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Le clou de cette fête, c’est évidemment la démonstration du battage à l’ancienne. Non, bien sûr, ce n’est
pas l’époque du fléau qui était évoquée, mais celle des batteuses entrainées par la courroie du tracteur.
Pas moins de 5 à 6 personnes étaient au travail pour activer la machine. La veille, l’avoine avait été
moissonnée et gerbée ; Aujourd’hui, il s’agissait d’en extraire paille, bale et grains. Au milieu du bruit et
de la poussière générée par l’ensemble de l’installation, de nombreux visiteurs ont pu admirer le travail
qui abouti à la production du grain derrière le plateau vibreur. Une belle reconstitution d’antan.
Non loin de là avait été installée une piste de danse, de
danses bretonnes, cela va sans dire ! Un beau plancher
sur lequel 4 musiciens accompagnaient les volontaires
pour une dérobée ou une gavotte. De l’avis même de
l’animateur qui sillonnait le pré, micro en main, le
succès de cette attraction restait modeste. Cela dit, on
pouvait aussi passer son temps à abattre des boites de
conserve sur un stand voisin ou simplement se
rafraichir à la buvette sous barnum.
Avant de pénétrer dans la zone payante de la fête des battages et des vieilles mécaniques, il y avait un
libre accès au restaurant mais aussi au vide-grenier. Ce dernier méritait d’être visité, en particulier par
les amateurs de véhicules anciens. Un stand proposait des bougies neuves à prix réduit ; Un autre offrait
des publicités anciennes de véhicules d’époque. Louis, Germain et Bertrand, par exemple, ont visité les
lieux sans revenir les mains vides.
En fin de journée chacun a ramené sa machine
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