BROCHURE LOU MESCLUN_12_2015

Francis Gag
Grand Prix de Lou Mesclun 1962
Après ses débuts comme acteur de théâtre dialectal,
Francis Gag s’imposa comme auteur les pièces de théâtre.
Ecrivain et auteur dramatique en langue niçoise alias
« Tanta Vitourina » Il reçut le Grand Prix Lou Mesclun en
1962. Toutefois Lou Mesclun ne put résister au plaisir de
l’honorer d’un nouveau prix, fait unique dans les annales
de l’association, en lui attribuant le Cougourdon du
Mesclun au terroir, en 1986.
Francis Gag
Grand Prix de Lou Mesclun
1962
Paul Gordeaux
Grand Prix de Lou Mesclun 1963
Issu d’une vieille famille niçoise, il débuta à Nice comme
journaliste puis «monta» à Paris. Résistant. Il fut le directeur
littéraire de France-Soir qui tirait alors à un million
d’exemplaires dans lequel il écrivit deux bandes dessinées
Les amours célèbres et Le crime ne paie pas, adaptées
au cinéma par Gérard Oury. Dans sa jeunesse il fut également
l’auteur de revues régionalistes niçoises. Il écrivit aussi
des livrets d’opérettes et une pièce de théâtre. Membre
fondateur de Lou Mesclun, il reçut en 1963 le Cougourdon
d’honneur lors d’une soirée présidée par Marcel Pagnol.
Très actif au sein des Niçois de Paris, Paul Gordeaux était
surnommé le Consul de Nice à Paris
Jacques Audiberti
Grand Prix de Lou Mesclun 1964
Jacques Audiberti rencontra un grand succès comme
dramaturge. Il fut également l’auteur d’essais, de romans
et de poésies. Il reçut le Grand Prix de Lou Mesclun pour
son ouvrage, Les tombeaux ferment mal. Malade, il ne
put venir chercher son prix ; sa fille s’en chargea, d’une
manière fort touchante. Il devait décéder peu après.
Jules Romains
Grand Prix de Lou Mesclun
1965
Jules Romains (Louis Farigoule)
Grand Prix de Lou Mesclun 1965
Normalien, philosophe, Jules Romains, Louis Farigoule
de son vrai nom, fut professeur au lycée de Nice en
1917. Ce fut le début d’un attachement qui lia l’écrivain
à la ville et qui ne se démentit jamais. En 1932, il devint
membre d’honneur de Lou Mesclun qu’il honora régulièrement
de sa présence. Il y retrouva d’anciens élèves et
reçut en 1965 le Prix de Lou Mesclun pour La douceur de
la vie (tome XVIII de la série Les Hommes de bonne volonté).
En 1968, il fut nommé citoyen d’honneur de la ville de Nice.
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