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sommaire - organisation - information - concours - Klaver 4 - Wandelsport Vlaanderen - Défense - jour de la ranonnée - sponsors le complexe militaroindustriel allemand n'est plus en mesure de compenser les pertes. Bien que Ludendorff et Hindenburg déclarent que l'offensive est une victoire, ils ne parviennent plus cacher la réalité aux masses populaires. Les pénuries alimentaires, le mécontentement des travailleurs et, surtout, les lourdes pertes, commencent lentement mais sûrement à saper le moral de la société allemande. Un nouveau coup dur se produit à la mi-juillet ; en trois jours, Déploiement de l’artillerie allemande les alliés repoussent Le tournant une offensive sur la Parallèlement à leur avance au sud d'Ypres, les Marne grâce aux efforts concertés des troupes troupes allemandes progressent aussi dans le britanniques, françaises et américaines. Ce revers secteur belge près de Merkem. Pour les troupes oblige les Allemands à reporter une offensive belges, l'offensive du printemps culmine par la planifiée en Flandre. L'histoire nous l’apprendra : bataille de Merkem ou la bataille près de De Kippe. Les Belges tiennent bon le 17 avril 1918 mais au prix de pertes importantes. Ce sera la dernière grande offensive des troupes allemandes dans le secteur belge. Si les offensives de printemps ont permis à l'Allemagne de s’emparer d’importantes portions de terrain pour la première fois en trois ans et d’infliger de lourdes pertes aux alliés, elles n'ont pas réussi à couper les forces françaises et britanniques. Les pertes allemandes sont énormes, la pénurie de munitions ne cesse de s’aggraver, l'équipement nécessaire ne peut plus Verzamelde Duitse krijgsgevangenen être remplacé. En définitive, 10
sommaire - organisation - information - concours - Klaver 4 - Wandelsport Vlaanderen - Défense - jour de la ranonnée - sponsors Le Roi Albert 1 avec le Général Foch et le jeune Prince Léopold ce report marque le début de la défaite. Après le 18 juillet, l'Allemagne a définitivement perdu l'initiative. Le tournant se joue le 8 août, lorsque le maréchal Foch déclenche une offensive surprise majeure à Amiens. Les troupes allemandes se rendent par milliers ; le déclin des troupes impériales est définitivement enclenché. Les troupes sont complètement démoralisées et les dirigeants ne parviennent plus à sortir de la spirale négative. Le Roi-chevalier à l’offensive Pour les troupes belges c’est alors le début d’une nouvelle phase de la guerre. Jusqu'à présent, le roi Albert, en tant que commandant en chef de l'armée belge, a toujours rejeté les demandes réitérées des alliés d’engager les troupes Militaires français, américains et anglais sur le front 11 belges dans les opérations. Le monarque s’appuyait autant que possible sur la neutralité de la Belgique et voulait se limiter à la résistance et la défense du territoire. L'armée belge était épuisée, la majeure partie du territoire belge occupée. Il estimait donc que les soldats belges n’auraient été en mesure de faire face à des batailles meurtrières des dernières années. A présent il est à la croisée des chemins. Les dirigeants militaires et politiques belges se rendent compte que si l'initiative passe dans le camp des alliés, avec une victoire en perspective, l’heure est venue d’engager les troupes belges dans la contre-offensive finale. Certainement en vue des tractations après les hostilités à la table de négociation. Au terme d'intenses négociations entre Foch et la direction de l'armée belge, la décision est prise d'engager
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