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BMW série 3 : plus grande plus sportive - Grand Lille Auto

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VOITuRE VERTE<br />

Le troisième opus de la Toyota Yaris était attendu, sa version hybride l’était <strong>plus</strong> encore. Commercialisée<br />

depuis le début de l’été, la petite hybride remporte un franc succès. Avec la petite nippone,<br />

il est possible de circuler sans bruit, sans pollution avec un niveau de finition <strong>plus</strong> que correcte.<br />

Essai de la première citadine «full hybrid» qui par ailleurs est fabriquée en région dans l’usine de<br />

Valenciennes Onnaing. Remerciements à la concession Toyota <strong>Auto</strong> Expo de Villeneuve d’Ascq pour le<br />

prêt du véhicule.<br />

Yaris hybride<br />

reine de la ville Petit gabarit<br />

Silencieuse, fluide, zen, économique, les superlatifs ne manquent<br />

pas pour qualifier la petite dernière de la gamme Yaris. Attendue<br />

depuis <strong>plus</strong>ieurs années, la version HSD pour Hybrid<br />

Synergy Drive reprend la technologie largement éprouvée de ses<br />

aînés Prius et Auris.<br />

D’extérieur, la petite citadine ressemble comme deux gouttes d’eau<br />

aux autres versions de la gamme Yaris. La face avant est légèrement<br />

<strong>plus</strong> sophistiquée, des feux de jour ont été ajoutés tout comme un<br />

cerclage de chrome sur les antibrouillards. Enfin, la grille d’entrée<br />

d’air est <strong>plus</strong> importante que sur les versions thermiques.<br />

À l’arrière, même constat. Les feux à LED viennent compléter les<br />

blocs optiques et le logo bleuté rappelle qu’il s’agit d’un modèle hybride.<br />

Les derniers petits signes distinctifs de cette version sont les<br />

inscriptions «hybrid» sur les ailles avants et le logo HSD sur la malle<br />

arrière.<br />

D’un point de vue esthétique, la Yaris 3 est une belle petite<br />

voiture à l’allure élégante et moderne, taillée pour séduire<br />

les consommateurs européens. Sa version hybride existe<br />

uniquement en cinq portes et est exclusivement conçue pour<br />

la ville. La petite citadine Toyota plaira aussi bien aux hommes<br />

qu’aux femmes.<br />

Intérieur soigné<br />

Exit, la planche de bord des anciennes versions à l’intérieur de la<br />

nouvelle Yaris, un gros travail a été effectué sur l’instrumentation<br />

qui ressemble dorénavant beaucoup <strong>plus</strong> à ce que nous avons<br />

l’habitude de trouver chez les constructeurs français.<br />

© D.R.<br />

Toyota Yaris Hybride<br />

Dimensions : (L/l/H) 3.90 / 1.69 / 1.51 m<br />

Poids : 1285 kg<br />

Capacité coffre 286 dm3<br />

Moteur : 4 cylindres en ligne<br />

Cylindrée : 1497 cm3<br />

Carburant : Hybride essence électrique<br />

Puissance : 100 ch à 4800 tr/mn<br />

Couple : 111 Nm à 3600 tr/mn<br />

Émissions CO2 : 79 g/km<br />

Consommation en litre/100 Km (urbaine/mixte/extra-<br />

-urbaine) : 3.1/3.5/3.5<br />

Toyota a débarrassé la petite de son cadran digital pour le remplacer<br />

par trois aiguilles disposées juste au-dessus du volant (Compteur<br />

kilométrique, jauge d’essence et sur la version hybride un<br />

compteur de puissance et de recharge).<br />

La petite est dotée d’une climatisation automatique bizone et de<br />

la fonction démarrage sans clé. Quant au Toyota «Touch», ordinateur<br />

de bord intégré dans un écran multifonctions tactile de 6,1<br />

pouces, il se révèle <strong>plus</strong> qu’intéressant avec la caméra de recul.<br />

L’assise est correcte, le conducteur et son passager avant disposent<br />

d’une place confortable. À l’arrière, citadine oblige, la place<br />

est convenable mais limitée et donc sera à réserver aux petits<br />

gabarits.<br />

Enfin, discrètement disposés à droit du levier de frein à main,<br />

deux petits boutons permettent de passer soit en mode tout<br />

électrique, soit en mode économique. Des petites touches de couleur<br />

bleue parsemées dans<br />

l’habitacle rappellent que<br />

nous sommes bien dans un<br />

véhicule hybride.<br />

L’ensemble est très satisfaisant.<br />

L’assemblage des<br />

plastiques est de qualité,<br />

tout comme la présentation<br />

globale de la dernière Yaris.<br />

© D.R.<br />

A l’intérieur la nouvelle version n’a <strong>plus</strong> rien à voir avec ses aînés,<br />

elle adopte un équipement riche. Ici la finition style.<br />

La petite citadine de chez Toyota a de <strong>série</strong>ux atouts pour séduire<br />

les automobilistes par son agrément de conduite en milieu urbain.<br />

passe-partout<br />

En reine de la ville, la petite Yaris est le véhicule idéal pour se<br />

faufiler dans la circulation et passer inaperçu avec son mode<br />

électrique, qui permet d’entraîner la voiture sur quelques<br />

kilomètres. Par contre, la nouvelle Yaris est une voiture qui<br />

nécessite une conduire résolument zen. Il faut donc oublier<br />

toutes les habitudes de conduite d’un moteur thermique et<br />

appuyer très progressivement sur l’accélérateur.<br />

L’entraînement est quant à lui assuré par un petit moteur essence<br />

d’1,5 litre de cylindrée développant 74 chevaux et un moteur<br />

électrique pouvant développer jusqu’à 61 CV. Au final, la puissance<br />

totale disponible pour entraîner l’ensemble est de 100 CV.<br />

Les versions hybrides sont équipées de la boîte automatique E-<br />

-CVT qui se révèle intéressante en ville, en optimisant l’équilibre<br />

entre les moteurs pour s’adapter au mieux à chaque situation de<br />

conduite...Un agrément de conduite vite oublié lors d’une conduite<br />

trop <strong>sportive</strong> ou sur voie rapide.<br />

En conclusion<br />

La première citadine «full Hybrid» de chez Toyota est réellement<br />

une voiture destinée à un usage urbain. À partir de 18 500<br />

euros au catalogue, elle bénéficie des nouvelles aides de l’état<br />

pour les véhicules électriques (prime de 10 % voir en- cadré)<br />

et voit ainsi son prix diminuer de 2 000<br />

euros. À 16 500 euros, la petite hybride est <strong>plus</strong><br />

économique qu’un modèle D4D (diesel),<br />

elle est moins coûteuse en entretien<br />

et finalement moins énergivore 3,5<br />

litres aux 100 Kilomètres selon le<br />

constructeur en cycle mixte.<br />

La Yaris HSD s’avère donc<br />

être un très bon compromis<br />

pour ceux qui cherchent<br />

un véhicule moderne<br />

et économe et qui<br />

ne pensent pas que<br />

l’écologie sert à<br />

rester tendance.<br />

© D.R.<br />

Vous devez le savoir<br />

Depuis le 1 er août dernier, les particuliers faisant l’acquisition<br />

ou souhaitant louer (location avec option d’achat ou de<br />

longue durée de 2 ans minimum) un véhicule combinant<br />

énergie électrique et moteur à essence ou gazole peuvent<br />

bénéficier d’un bonus d’un minimum de 2 000 € pouvant<br />

atteindre jusqu’à 4 000 euros et plafonné à 10% du coût<br />

total toutes taxes comprises du véhicule.<br />

L’avantage est valable pour un véhicule dont la facturation<br />

est effective au 31 mars 2013 au <strong>plus</strong> tard et uniquement<br />

lors de la 1ère immatriculation. Cette mesure fiscale a clairement<br />

pour but de soutenir la filière automobile française,<br />

et <strong>plus</strong> particulièrement les véhicules hybrides du groupe<br />

PSA Peugeot/Citroën, mais permet de s’offrir certains autres<br />

modèles comme la Yaris à moindre coût.<br />

La motorisation hybride de la version HSD permet de rouler en silence<br />

et d’économiser du carburant.<br />

La petite Toyota fabriquée<br />

à Valenciennes bénéficie<br />

actuellement d’une aide<br />

de l’Etat de 2000 euros.<br />

10 11<br />

© D.R.<br />

© D.R.

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