41Notre IslamÇ £MOs 11 OHdê 3102LÕintensitŽ de la chaleur de lÕenfer (1/2)Allah (qu’Il soit exalté) a dit: {Etles gens de la gauche; que sont lesgens de la gauche ? Ils seront aumilieu d’un souffle brûlant et d’uneeau bouillante, à l’ombre d’unefumée noire, ni fraîche, ni douce}[L’événement: 41-43].Ce verset comporte la mention dece avec quoi les gens se rafraîchissentdans ce monde contre l’afflictionet la chaleur, et ce sont troischoses: l’eau, le vent et l’ombre; etle verset a mentionné que ceschoses ne servent à rien aux habitantsde l’enfer, car le vent de l’enferest: un souffle brûlant, qui est unvent chaud à la chaleur très intense;son eau est: une eau bouillante dontla chaleur a été intensifiée; et sonombre est: une fumée noire.Et tout comme Il a effrayé dans ceverset avec l’affaire des gens de lagauche qui sont les habitants del’enfer, Il a effrayé dans un autreverset avec l’enfer: (et quant à celuidont la balance sera légère, sa mère[sa destination] est un abîme trèsprofond. Et qui te dira ce que c’est?C’est un Feu ardent).Et l’ombre dont a parlé le verset: {àl’ombre d’une fumée noire}, estl’ombre de la fumée de l’enfer, et engénéral, l’ombre fait ressentir l’humiditéet la fraîcheur, de même quela personne l’aime et se repose sousLa gŽnŽrositŽ, la largesse et la charitŽsont de nobles valeurs moralesenseignŽes par la religionEn faisant preuve de cela, le Musulman ne fait quesuivre le chemin de ses prédécesseurs les messagers,les prophètes et les hommes vertueux. Lagénérosité est le contraire de l’avarice, la largesseest l’opposée de la cupidité; le plus haut degré degénérosité c’est de donner aux autres alors que l’onest soi-même dans le besoin. C’est ainsi que se sontconduits les Ançars. Chacun des deux imams, Al-Bokhary et Moslim a rapporté le hadith suivant:“Un hôte frappa à la porte du Prophète (Salut etbénédiction sur lui) .Celui-ci ne trouva rien chez luià lui donner. Un ançarite de passage emmena doncl’hôte avec lui. Comme le repas était insuffisant, ilplaça la nourriture devant l’invité et demanda à safemme d’éteindre la lanterne puis ils firent semblantde manger sans rien mettre en bouche jusqu’àce que l’homme eût terminé son repas. Au matin, leProphète (Salut et bénédiction sur lui) dit:”Allah aadmiré la manière dont vous avez agi avec votreinvité hier soir”.Joindre Les Mains Et souffler dedansPour Se ProtŽger chaque nuitAïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, a rapportéque lorsque le Prophète– Paix et Bénédiction surlui- allait se mettre au lit chaque nuit, il joignaitses mains puis soufflait dedans et y lisait “Dis: Ilest Allah, Unique’’, “Dis: Je cherche protectionauprès du Seigneur de l’aube naissante” et “Dis:Je cherche protection auprès du Seigneur deshommes”. [Sourates : “Al-Ikhlas” (Le monothéismepur), “Al-Falaq” (L’aube naissante) et“Annas” (Les hommes)]. Ensuite, il passait sesmains sur (toutes les parties de) son corps qu’ilpouvait atteindre, commençant par la tête et levisage, puis (les passant sur) toute la partie antérieurede son corps. Il faisait cela trois fois”(Hadith unanimement approuvé).elle, mais cette ombre n’est pasfroide, ni bonne au regard, c’est uneombre de fumée noire.Le Corannous a parlé de cette ombre qui estla fumée de l’enfer et qui recouvrel’enfer, Il a dit (qu’Il soit exalté):{Allez vers une ombre [fumée del’Enfer] à trois branches; qui n’estni ombreuse, ni capable de protégercontre la flamme; car [le feu] jettedes étincelles volumineuses commedes châteaux, et qu’on prendraitpour des chameaux jaunes} [Al-Ç°BHºW ±s Å«bÇÏ: ´u§n ¡s ±»·UüMoursalaate: 30-33] .Donc, le verseta établi que la fumée qui s’élèvede ce feu à cause de son ampleur, sedivise en trois catégories, et ellejette une ombre qui n’est pasombreuse et qui ne protège pascontre les flammes brûlantes; en cequi concerne les étincelles éparpilléesde ce feu, elles ressemblentaux forteresses immenses, toutcomme les étincelles ressemblentaux chameaux jaunes, c’est-à-direles chameaux noirs.Le ch‰timent de la rupturedes liens de parentŽ (1/2)Premièrement: le châtimentdans ce monde :1 - Les actions ne sont pas élevéeset Allah (qu’Il soit exalté)ne les accepte pas :D’aprèsAbou Houréïrah (qu’Allahsoit satisfait de lui) qui a dit :-”J’ai entendu le prophète(qu’Allah prie sur lui et lesalue) dire : (Les actions desfils d’Adam sont présentées àAllah (qu’Il soit glorifié etexalté) tous les Jeudis soir laveille du vendredi, alors lesactions d’une personne qui arompu les liens de parenté, nesont pas acceptées)”.Et dans une autre version:(Les portes du Paradis sontouvertes le Lundi et le Jeudi,alors on pardonne à ceux quin’associent rien à Allah saufceux qui se sont disputés [etse sont séparés]).2 - La miséricorde ne descendsur un peuple dans lequel il ya une personne qui a rompules liens de parenté :La miséricorde ne descendpas sur un peuple dans lequelse trouve une personne qui arompu les liens de parenté,c’est la raison pour laquelle ilest obligatoire de se conseillermutuellement la bienfaisanceenvers les parents et la préservationdes liens de parenté, demême qu’il faut avertir contrela désobéissance aux parents,et s’ils font cela, ils sont sauvésde ce châtiment.D’après Abdoullah ibn AbiAwfah (qu’Allah soit satisfaitde lui) le prophète (qu’Allahprie sur lui et le salue) a dit:(La miséricorde ne descendpas sur un peuple dans lequelune personne a rompu lesliens de parenté).At-Tiby a dit pour expliquercela: -”Il est possible que lepeuple veut dire ceux qui l’aidentà rompre les liens deparenté, et qui ne le blâmentpas; il est possible que lamiséricorde signifie la pluie,et qu’il ne pleut pas à cause dela rupture des liens de parenté…”.3 - Le châtiment est avancépour celui qui rompt les liensde parenté dans ce mondeavant l’au-delà :D’après AbouBakrah (qu’Allah soit satisfaitde lui) le messager d’Allah(qu’Allah prie sur lui et lesalue) a dit: (Il n’y a pas depéché pour lequel Allah avancele châtiment pour celui quile commet dans ce monde,avec ce qu’Il lui réserve dansl’au-delà, comme la rupturedes liens de parenté et l’injustice).Observer lescommandementsde DieuIbn Abbas a dit: «J’étais une foisassis en croupe sur la monture duProphète quand il me dit: «Jeunehomme! Je vais t’enseigner cesquelques paroles: Observe lescommandements de Dieu et Dieute préservera. Observe les commandementsde Dieu et tu trouverasDieu à tes côtés. Quand tudemandes quelque chose, demande-laà Dieu. Quand tu as besoind’aide, demande-la à Dieu. Sacheque si tout le monde s’associaitpour te faire du bien, ils ne pourrontle faire que le bien que Dieua déjà écrit pour toi. Que s’ils secoalisaient tous pour te faire dumal, ils ne pourraient te faire quele mal que Dieu a déjà écrit pourtoi. Les calames (du destin) sesont depuis longtemps arrêtésd’écrire et l’encre des pages (dudestin) est désormais bien sèche»(Tirmidhi).Dans une autre version:«Observe les commandementsde Dieu et tu Le trouverasdevant toi. Cherche à connaîtreDieu dans ton aisance et Il teconnaître dans ta gêne. Sache quece qui t’a raté ne pouvait t’atteindreet que ce qui t’a atteint nepouvait te rater. Sache que la victoireva de pair avec la patience,que la guérison va de pair avec lamaladie et qu’avec toute situationgênante il y a une situation aisée».Chacun dÕeux paraltruisme prŽfŽralÕautre ˆ lui-m meOmar Ibn Al-Khattab nous racontece qui suit: “Un homme offrit àun compagnon du Prophète (Salutet bénédiction sur lui) une tête demouton. Celui-ci se dit:”Monfrère en a plus besoin que moi”etil l’envoya à son frère. Ce dernierl’offrit à un autre, de façon que latête du mouton circula dans septmaisons puis finit par revenir aupremier. Chacun d’eux paraltruisme préféra l’autre à luimême”Le Coran interc dera enfaveur des siensAbou ‘Oumâma Al-Bahilî a rapportéqu’il a entendu le Messagerd’Allah- Paix et Bénédiction surlui- dire: “Lisez le Coran car, auJour de la Résurrection , il intercèderaen faveur des siens (seslecteurs assidus). Lisez “Az-zahrawayn”(les deux souratespleines de lumière): “Al-Baqara”(La vache) et “Âl-Imran” (Lafamille de Imran) car, au Jour dela Résurrection , elles viendrontsous la forme de deux nuages oude deux bandes d’oiseaux étalantleurs ailes pour plaider (la cause)de celui qui les lisait Lisez la sourate“Al-Baqara” (La vache) carsa récitation est une bénédictionet son abandon est regrettable; etelle a le pouvoir de réduire à l’impuissancetout ensorcellement”(Hadith rapporté par Mouslim).
¢uÇ qÒÇè´W ”U W ¯q ´uå Å£MOs ¢Fb³U Ç_”BUzOW Ç°MH¼U²OW: Í \«OuÇÒw Ç°FLq ¢uOX Ò褷t ±Mc §MW è¢d¯X °t 30 ÃèÏ ³r w ¥U¤W Å°v Ãå ¢d«U³r è¢Iuå ¡»b±·Nr,è®b Ǩ·d× «Kw Ò±OKw Ãæ âu®n «s Ç°FLq °Of Ij ±s äq ü«U´W ÃèÏç èŲLU _²t ±O¼uüÇ°ºUä è³u ®UÏü «Kv ¢KOW ¯q Ç°L·DKUÜ Ç°·w Ç¥·UÌ Ç°ONU, uÇIX «Kv ¨d©t è¢Ibå Å°v óKw°DKV ´bê, °Js èÇ°bê üi ³cç Ç°LdÉ Ã´CU °K¼V ²H¼t ªMU ±Mt Ãæ ³cÇ Ç°»U©V ôCU ´d¬V w ±U°w,è°u °r ïs «U±KW °LU ®Bb²w, è°LU Ôd¢t òt Ǩ·d× «Kw Ç°·u®n «s Ç°FLq ®Uä °w ÅÐæ ³u ´d´bã ”UϱW_èÏç, di ¢eè´¹w. è±s ³MU Ç¢C` °w Ãæ èÇ°bê -§U±ºt Ç°Kt- ³u ±s ´d¬V w ±U°w °cÇ ±MFMw ±sÇ°eèÇÌ, è®b ¢HU³LX ±l Ò±OKw Ãæ ´Bd «Kw Å°v ¥Os Å®MU٠óKw ¡NcÇ Çü¢U×, èòU ¤b ±·L¼JW ¡t _²tŲ¼Uæ ±K·eå 豺·då è´»Uá Ç°Kt ¯¸OdÇ, è®b Ç”·Uü²w ±s ¡Os ¯q Ç°e±OšÜ °·eDZw èÔš®w Ç°FU°OW.°JMMw §Obê Ç°HU{KW ¥UzdÉ ¯On à q Ç°v Å®MUÙ èÇ°bê ¡eèǤw ¡e±OKw, °cÇ °¹QÜ Å°Op °L¼U«b¢w.Ç°ºUzdÉ: ²uÇä ±s ®¼MDOMWÇ°dÏ:£Iw Ô·w ²uÇä Ãæ Ç°d¤Uä Ç°c´s ®Bbèã °KeèÇÌ ±s ®q èüCNr èÇ°bã ±·º¹¹U òNr ´d¬uæ Çü¢Uסp _²p «U±KW, °r ´Js Ã¥b ±MNr ±s ²BOp °cÇ °r ´·r ³cÇ Ç°eèÇÌ.ñU «s Ò±OKp Ç_ü±q Ç°cê ©Kp °KeèÇÌ èǨ·d× «KOp Ç°·u®n «s Ç°FLq Ncç d W ®MUÙ èÇ°bã¡U°d{uÎ °DKp ”U W èÃæ Ç°¼V Ç°u¥Ob Ç°cê üi ¡AQ²t Ç°»DUÈ Ç°¼U¡IOs ³u ©LFNr w ±U°p ¯LU ´e«r èÇ°bã,èÇ°»U©V Ç°¹b´b ´di «LKp è±U°p è´d´bã Òè¤W èñU _èÏç Ç°O·U±v Ç°c´s ¢uOX «MNr ñNr, è«Kv ¡IOW ÃdÇÏ «UzK·p Ãæ ´·b”KuÇ ®MUÙ èÇ°bã±AJK·p ±du®W ¡U°ºq wëbÇϲU Ç°IUϱW, Ij Å¡Iw¡eèǤp ±s Ò±OKp w Ç°FLq _æ ²O·t ±Fp ¯U²X UÏ®W è Uü¥p ¡Jq ¨wÁ ®q Ãæ ´·eè¤p. èЯdê èÇ°bã Ãæ §Mp ¢¼L` °p ¡U²·EUü ï¸dè¡b °p ±s ¢Ju´s çdÉ Ã²X ôCU, è«KOp ®q Å®MU«t ¡c°p Ãæ ¢DKw «DKW Å¥U°W «Kv ǧ·ObÇÙ °·CFw èÇ°bã ñUå Ç_±d Ç°uÇ®l è¢bFOtÅ°v Ç°d{uÎ °d¬·p ”U W èòp ¢HU³LX ±l Ò±OKp °OLNKp ¡Fi Ç°u®X ®MUÙ èÇ°bã.èÅæ ¨UÁ Ç°Kt §·BKOs Ç°v ¢ºIOo ü¬·p «s ®d´V.. ¡U°·uOoüÏèÏ §d´FW¢HCq Ïüǧ·NU «KvÇü¢U× ¡w- OBq ±s Ç°IW, Ç_±d Ç°cê Яd¢t °MU´º·UÌ ±Mp Ç°v Ç°·FU±q¡ºJLW èЯUÁ ±Ft, èÅæ¨UÁ Ç°Kt ´·HNr Ç°DdáÇ°¸U²w ±u®Hp è¢Bš Å°v§Ob¢w Ç°HU{KW ±FbÉ HºW "ÒÇè´W ”U W" Ã¥OOpèèJdã «Kv Ç°¹Nb Ç°Lcèä ±s äq ÅUÏÉ Ç°IdÇÁ¡MBUz` ®OLW ¢MOd ©d´INr 袻d¤Nr ±s Ç°EKLUÜ Ç°vÇ°Muü, è³cÇ ±UÏFMw _§·AOdã ¡»BuÕ ±AJK·wÇ°·w ð»h °p ¢HU OKNU OLU ´Kw:òU ¨UÈ ±s Ç°FU LW «Ldê 92§MW, ±uªn ¡LR§¼W¢FKOLOW ±Mc ï¸d ±s §M·Os, è³MU ¢JLs ±AJK·w,¥OY è®FX «OMw ±Mc ¡bÇ´W «LKw w Ç°¸U²u´W «Kv·UÉ ¤LOKW ¤bÇ è±·»KIW, ¢FX ”DuÇ¢NU Kr Ãüé¨OµU ¬Od zo, NLNU Ç°u¥Ob ³u Ç°büǧW èÇ°M¹UÍ¢HJd w Ç°eèÇÌ _²NU ÒÇ°X GOdÉ «Kv аp è³cÇ ±s¥INU.èÅæ ÃüÏÜ Ç°·ºbË ±l óKNU w Ç°Lu{uÙ U®Bb²·EUü³U ¥·v ¢·»dÌ.b´IJr Ç°ºUzd: «b Ç°LMFr ±s Ç°FU LWONU, è³cÇ ±U ÏFMw _®·dÈ ±MNU èÃ¥b£NU «s Å«¹U¡w¡NU, è bâ ²O·w ¢¹U³NU, °JMNU üCX ü¡j «š®WèÇ°b³U è¯KLt ¡BdÇ¥W «s ü¬·p, èЯdç òp °¼X{b ůLUä Ïüǧ·NU ¡q òX ¢A¹FNU «Kv аp èòX «Kv«U©HOW ±Fw Ãè ±l ¬Odê _æ ³bNU Ç°u¥Ob ÇŸæ ³uÇ°büǧW èÇ°M¹UÍ ¥·v Ç°ºBuä «Kv ëKv Ç°ANUÏÇÜÇ°dÏw Ç°bÇ´W ²ºOOp è²AJdã «Kv dz·LU±p ¡BHºWǧ·FbÇÏ °·JLq Ïüǧ·NU 袷eè¤U, è ¢büê ü¡LU§OJuæ °p аp ±s ®q, è£o Ôw «b Ç°LMFr Åæ ¯U²Xè ¢HJd w Ç°eèÇÌ, HJdÜ w Ãæ îBb «UzK·NU °DKV´b³U ü§LOU °KeèÇÌ °JMMw ”Uzn ±s üi ©Kw"ÒÇè´W ”U W", èÇ«·dÇp ¡Q³LOW ±º·udzU è®OLWÇ°MBUz` Ç°LIb±W °KLAU¯q Ç°LDdè¥W ´e´b²w «e±UÇ°H·UÉ ±s ²BOp ¼·Juæ °p ¤š Ãå «U¤š, ±·v ÃüÇÏÇ°Kt аp, Ij «KOp ¡U°·d´Y è«bå Ç°·¼dÙ w ³cÇ°Kº¹W ²H¼NU Ç°·w Яd¢NU ·U¢w.°cÇ ®Bb¢p §Ob¢w Ç°HU{KW °L¼U«b¢w w Ç¢»UЫKv Ç°LuÇ KW è¡HCq èUzJr Ç°BHºW ±¼·LdÉ.ñU ¡»BuÕ ±AJK·p Ôw «b Ç°LMFr U°H·UÉ ¯U²XÇ°IdÇü _æ Ç°eèÇÌ ±¼Rè°OW ¯OdÉ ¡b Ãæ ¢Juæ w±¼·udzU èÅæ ¨UÁ Ç°Kt §··ºIo °p ³cç Ç°d¬W «sÇ°IdÇü Ç°BUzV ®q Ãæ â»cç ¡MH¼w èòbå «KOt,è°FKLp òMw °¼X {b ¢JLKW Ïüǧ·NU èòU ±¼·FbUÏ®W ±Fp ±s Ç°bÇ´W èÔd¢p ¡MO·NU ¡»BuÕ©Kp èòNU ¢HJd ¥U°OU w Ïüǧ·NU èÇ°M¹UÍ ONU è®d´V.. ¡U°·uOo.òU b´I·Jr ²uÇä ±s ®¼MDMOW, «Ldê 34 §MW, «UÒ¡W è±uªHW, ±AJK·w ¢JLs w Ãæ èÇ°bê ´diÇ°»DUÈ è´di ÒèǤw, ¥·v èòU w ³cç Ç°¼s ÒÇä Ç°ºk °bê w ¢Ibå Ç°»DUÈ °DKV ´bêü§LOU ±s óKw, Å Ãæ èÇ°bê ÏÇzLU ´di ±·º¹¹U òNr ´d¬uæ w ±U°w.°r în ±dÉ {b üÃêèÇ°bê ªMU ±Mw òt ǯ·An ñdÇ w ±s ®Bbè²w °KeèÇÌ, °r Ãüç ¡MH¼w, °Js «Mb±U ¢Ibå °w Ò±OKwÇ £MOs 11 OHdê 310251¥q ´d{OJLU, è±d¥U ¡pw Ãê è®X ±·v Ç¥·¹XÅ°v ±¼U«b¢MU.- «b Ç°Jd´r ±s è³dÇæ: ´LJMMU ±¼U«b¢p wÅ´¹UÏ Ç°ºq °LAJ·Kp _æÇ°·HU Oq Ç°JU±KW Ç°·w¢LJMMU ±s ±¼U«b¢p °r¢Bq, ºUèä Åü§UäÇ°LAJKW ±dÉ Ã”dé è¢Q¯b±s è uä ¯U±qÇ°LFKu±UÜ °O·¼Mv °MU±¼U«b¢p w ¥q±FU²U¢p.Òè¤w ´»u²Mw ±l ·UÉ w ±IUå Ç¡M·tèOW °KLu«b Ç°Ou±w ¥·v ´Hu¢p аp.òU §ObÉ ±·eè¤W èÃå _ü¡FW ÃèÏ (¡MX 裚£W Яuü) ¢eè¤X ¡Bb´o Ôw Ç°cê ë¹V ¡w ¯¸OdÇ ®q Ãæ ´·eè¤Mw è¯MX áUÏ°t Ç «¹UÈ ²H¼t, è°LU ©KV ´bê°KeèÇÌ Ã¥b ±s «UzK·w è®n {bç ¡q Ç°¹LOl ü¥V ¡t Òè¤U °w, °JMw °r ïs ëdá òt §OQ¢w ´uå è´»u²Mw ±l DZdÃÉ Ã”dé. 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