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EPHJ Genève 14. – 17.06.2016<br />
Gabriel Dumitru<br />
La 14 ème édition de l’EPHJ, le salon des sous-traitants de<br />
l‘horlogerie, de la microtechnique et des technologies<br />
médicales a eu lieu du 14 au 17 juin à Genève. Ce rendez-vous<br />
technique est l’un des plus importants salons<br />
professionnels de Suisse et il rassemble trois secteurs<br />
d’activités sous le même toit: l’EPHJ (environnement<br />
professionnel horlogerie-joaillerie), l’EPMT (environnement<br />
professionnel micro technologies) et le SMT (swiss<br />
medical technologies).<br />
Le premier regroupe les métiers et entreprises autour du<br />
produit horloger (design, matières, fabrication, appareils<br />
de contrôle, packaging, etc.), le deuxième accueille les<br />
entreprises actives dans les micro et nanotechnologies,<br />
alors que le SMT réunit les spécialistes de l’industrie médicale.<br />
Entre ces trois secteurs, des piliers de l‘industrie<br />
suisse, il y a d‘énormes synergies, pas toujours connues.<br />
C’est comme si le principe des vases communicants<br />
était aussi valable entre horlogerie, microtechnique et<br />
medtech, car de plus en plus de sociétés travaillent<br />
pour les trois secteurs.<br />
L’EPHJ a fermé sur une évaluation positive. Pour donner<br />
quelques chiffres, les 881 exposants (50% de Suisse romande,<br />
30% de Suisse alémanique, le reste de l’étranger)<br />
ont présenté leurs offres à quelque 20’000 visiteurs,<br />
qui ont été surtout attirés par la capacité d‘innover de<br />
ces entreprises. Parmi les exposants, avec un stand<br />
haute classe et en présentant tout un tas de nouveaux<br />
produits er services, Blösch SA.<br />
L’idée centrale du stand a été le mariage entre la tradition<br />
et l’innovation, ce qu’a bien placé notre présence<br />
sous le moto assez ambitieux «Le futur du cadran».<br />
Mais, en tenant compte des innovations présentées et<br />
de leurs échos auprès des visiteurs, ce futur a déjà commencé.<br />
À la fois ludique et informatif, le cube technologique<br />
– le point d’attraction du stand – nous a beaucoup<br />
aidé à expliquer aux clients et à nous visiteurs les détails<br />
du futur du cadran, comme nous l’imaginons.<br />
La présence de notre personnel du stand a été choisie<br />
à la fois classe (en accord avec le stand), unitaire et<br />
discrète; tout ça pour mettre en évidence d’avantage le<br />
concept, en estompant un petit peu les individus. Pendant<br />
les quatre jours de foire nous avons reçu plus de<br />
200 visites au stand; de chez les grandes marques, nos<br />
clients, il y a eu des différentes équipes qui se sont succédées<br />
– comme quoi le radio couloir chez eux disait:<br />
«allez voir Blösch, il y a de quoi à voir».<br />
Parmi les différents projets concrets (86 saisies dans le<br />
FileMaker) discutés en juin, il y en a déjà quelques-uns<br />
dans la phase «prototypes» et des autres suivront. C’est<br />
toujours difficile de quantifier le rendu d’une présence<br />
à une foire, mais avec son stand, avec sa présence<br />
Blösch SA a bien marqué son retour dans l’univers<br />
EPHJ. Pour conclure, le texte paru dans la presse sur<br />
notre présence, car nous avons bien attiré l’attention<br />
aussi aux journalistes:<br />
Depuis l’intégration du fabricant de cadrans haut de<br />
gamme Mérusa, l’an dernier, le groupe Blösch, spécialisé<br />
dans les traitements de surface, est en mesure de<br />
fabriquer des cadrans et composants horlogers de luxe<br />
dans leur intégralité. Ces activités ont été regroupées<br />
dans les bâtiments de Mérusa, à Brügg, «ce qui nous<br />
permet de profiter de synergies en termes de savoir-faire<br />
et de technologie», explique Gabriel Dumitru, directeur<br />
de division chez Blösch. Dans le domaine des cadrans,<br />
explique-t-il, Mérusa et Blösch sont complémentaires.<br />
Mésusa fabrique ses cadrans par des procédés traditionnels<br />
et réalise de séries moyennes, tandis que<br />
Blösch, à travers son procédé d’électroformage à partir<br />
de moules par injection plastique, fabrique des cadrans<br />
en plus grandes séries. «Grâce à nos multiples compétences,<br />
nous pouvons combiner ces technologies, ce<br />
qui nous permet de diversifier nos activités et d’ouvrir<br />
de nouvelles perspectives», explique Gabriel Dumitru.<br />
Si le groupe est de retour à l’EPHJ avec ses activités<br />
horlogères après un temps de pause, il fréquente aussi<br />
d’autres salons avec ses secteurs d’activités «produits<br />
industriels, revêtements spécifiques».<br />
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