CHARLES FRÉGER
LES FLEURS DU PARADIS - Villa Noailles
LES FLEURS DU PARADIS - Villa Noailles
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LES FLEURS DU PARADIS<br />
<strong>CHARLES</strong> <strong>FRÉGER</strong><br />
/ COMMANDE PHOTOGRAPHIQUE<br />
VILLA NOAILLES<br />
/ Communauté d’agglomération Toulon Provence Méditerranée<br />
EXPOSITION<br />
19 octobre – 7 décembre 2008<br />
vernissage - samedi 18 octobre à 1 7h3 0
LES FLEURS DU PARADIS<br />
<strong>CHARLES</strong> <strong>FRÉGER</strong><br />
/ COMMANDE PHOTOGRAPHIQUE<br />
VILLA NOAILLES<br />
/ Communauté d’agglomération Toulon Provence Méditerranée<br />
EXPOSITION<br />
18 octobre – 7 décembre 2008<br />
vernissage - samedi 18 octobre à 17h30<br />
VILLA NOAILLES<br />
montée Noailles<br />
83400 HYERES<br />
ouvert tous les jours sauf lundi, mardi et jours fériés<br />
10h - 12h30 / 14h - 17h30<br />
entrée libre<br />
T 04 98 08 01 98<br />
contact@villanoailles-hyeres.com<br />
www.villanoailles-hyeres.com<br />
CATALOG UE<br />
Conception graphique : Michel Mallard Studio<br />
Co-édition : villa Noailles / Archibooks<br />
Distribution : Sodis / Diffusion : Géodif<br />
Prix : 20 euros<br />
ISBN : 978-2-35733-034-4<br />
CONTACT PRESSE<br />
/ Philippe Boulet<br />
T +33 (0)6 82 28 00 47<br />
boulet@tgcdn.com<br />
Photos disponibles en téléchargement s ur www. villanoailles -hyeres.com (espace presse)<br />
L’association Villa Noailles / Festival International des Arts de la Mode d’Hyères est financée et soutenue par la Communauté d’Agglomération Toulon-<br />
Provence-Méditerranée, le ministère de la Culture et de la Communication - Direction régionale des affaires culturelles Provence-Alpes-Côte d’Azur, le Conseil<br />
régional de Provence Alpes Côte d’Azur, le Conseil général du Var, et la ville d’Hyères.
LES FLEURS DU PARADIS<br />
Après Joël Tettamanti, en 2004, Olivier Amsellem, en 2005 et Erwan Frotin, en 2007, la<br />
villa Noailles expose, du 18 octobre au 7 décembre 2008, à travers une cinquantaine de<br />
photographies, le résultat de la commande passée au photographe Charles Fréger. Le<br />
sujet : les maraîchers et horticulteurs d’Hyères de son agglomération. Cette commande a<br />
été réalisée dans le cadre d’une résidence, pour laquelle Charles Fréger a séjourné quatre<br />
fois à la villa Noailles, entre 2005 et 2007.<br />
Né en 1975 à Bourges, Charles Fréger est diplômé des beaux-arts de Rouen en 2000.<br />
S’intéressant aux tenues et aux uniformes, il consacre, depuis ses débuts, une grande<br />
part de son travail à la représentation poétique et anthropologique de groupes sociaux<br />
tels que les sportifs, les écoliers, ou encore les militaires, dans le cadre d’un inventaire<br />
intitulé « Portraits photographiques et uniformes », qui rassemble aujourd’hui une<br />
trentaine de séries différentes. Parmi celles-ci, on peut citer notamment Majorettes<br />
(2000-2001), portraits de l’ensemble des majorettes du Nord-Pas-de-Calais ; Water-polo<br />
(2000), portraits de nageurs après l’entraînement ; Légionnaires (2000-2001), portraits<br />
de jeunes légionnaires et de pionniers ; Steps (2001-2002), portraits de patineuses<br />
synchronisées à Helsinki ; Rikishi (2002-2003), portraits de jeunes lutteurs de sumo ;<br />
Opera (2005), portraits à l’école de l’Opéra de Pékin ; Empire (2004), portraits des<br />
gardes royaux, républicains et princiers d’Europe.<br />
Ses travaux proposent ainsi une réflexion sur l'image de la jeunesse contemporaine.<br />
Charles Fréger a déjà eu l’occasion de présenter son travail à deux reprises à la villa<br />
Noailles : en 2001, lorsqu’il est candidat du concours photo dans le cadre du festival<br />
International des Arts de la mode, puis en 2003, où, invité par le même festival, il<br />
présente une série de portraits de jeunes athlètes du club de trampoline de la Seyne-sur-<br />
Mer, fruit d’une commande de la villa.<br />
Charles Fréger est également le fondateur du réseau Piece of Cake (www.pocproject.com)<br />
et de la maison d’édition POC.
LETTRE À PIERRE-ANDRÉ<br />
Cher ami,<br />
Permets-moi de revenir vers toi au sujet de mes images d’Hyères. Conscient de ma conduite<br />
photographique hors de mes balises habituelles, j’ai bien compris que c’était un piège de te prier d’écrire<br />
sur « Les Fleurs du paradis ».<br />
Point d’uniforme là-dedans. Un espace sériel diffus ou impalpable, peu de portraits et en tout cas aucun<br />
de mes classiques « Portraits photographiques et uniformes »…<br />
Rien de systématique dans le cadrage ni dans l’éclairage. Tu pourrais me dire que ce travail ne convoque<br />
pas la même rigueur, voire pas de rigueur du tout et je ne saurais te contredire.<br />
« On dirait des vacances », tu me l’as dit.<br />
Donc, le mécanisme de ces photographies consistait à débrayer tous les axes de ma pratique<br />
photographique « stricte », à laisser filer un peu mes réflexes endormis. Et pour cela, il fallait une<br />
commande, un contexte, qui, défini au départ, offrait un cadre au projet et le sécurisait.<br />
Ceci m’évitait d'avoir à choisir et de m’y jeter avec ma seule rage. Le territoire de la commande<br />
photographique, pour moi, est comme conquis d’avance puisque le commanditaire se projette dans mon<br />
iconographie en invoquant un résultat qui pourrait être similaire à mes séries antérieures.<br />
Le désir vient alors de chez Noailles, de son rocher, de la maison du haut, devenue Villa Noailles<br />
et centre d’art. C’est important d’y penser parce qu’à mon avis, Hyères fonctionne depuis que le premier<br />
mulet a acheminé les lourdes pierres de cette villa, sur une paisible dialectique : ceux du bas trimant au<br />
sel, aux légumes, aux fleurs et aux poissons… Ceux du haut, oisifs regardant vers le bas. Pour ce projet,<br />
dans mes visites, j’ai photographié des descendants de jardiniers de la villa, des femmes de chambre, les<br />
petits-enfants des cuisinières de la famille de Noailles. Un gouffre.<br />
Cette commande est aujourd'hui une chance de leur rendre un hommage. Ce fut pour moi l’occasion de<br />
prendre le temps – ce que je ne savais pas vraiment faire – et de regarder. Jean-Pierre Blanc me<br />
demanda de faire les portraits des maraîchers d’Hyères parce que je pense qu’il admire leur travail, leur<br />
force de caractère et leur tempérament. Les photographier, c’est les honorer.<br />
Je suis venu quatre fois en résidence pour ce projet. Il faut dire que j’avais déjà réalisé plusieurs séries à<br />
Hyères et dans les environs, au festival des Arts de la mode en 2001 et pour celui de 2003 autour de<br />
portraits de jeunes athlètes du club de trampoline de la Seyne-sur-Mer. J’avais déjà tout visité de long en<br />
large.<br />
J’ai commencé la recherche en juillet 2005, sur rendez-vous, pour photographier des maraîchers. Je me<br />
rendais chez les producteurs, concentré sur ma quête de portraits, et reproduisais mon protocole<br />
habituel. Après force discussions et interrogations, j’ai commencé à regarder les fleurs, à aimer les<br />
couleurs, la lumière douce du crépuscule. Je me suis vu trop loin du pollen, à des années-lumière de ce<br />
que j’avais à raconter avec mes seuls portraits. Implicitement, le reste a pris sa place ; le portrait<br />
submergé par la nature, comme au jardin le lierre s'enroule à vue d’œil sur le buste d’Apollon. J’ai donc<br />
laissé faire, sans résister cette fois. En t’écrivant, j’ai repensé au peintre Mondrian et à sa position<br />
presque mystique quant à la couleur verte, qu’il boudait dans sa peinture. Dans ses échanges avec Claire<br />
Parnet, Gilles Deleuze disait en parlant du peintre hollandais : « C’est aussi intéressant de se demander,<br />
d’interroger, de questionner un peintre en fonction des couleurs qui lui manquent qu’en fonction des<br />
couleurs qu’il utilise ».<br />
… / …
Plusieurs fois je suis passé devant cette grande serre abandonnée, en bois et en verre, qui dégueulait de<br />
vieux rosiers. En quelques décennies, la force des tiges avait eu raison du verre et les plantes<br />
monstrueuses explosaient au travers pour s’offrir un bol d’air. J’ai trouvé ça magique ! Je me suis trouvé<br />
sensible au rythme organisé des sillons, des lignes végétales, comme au chaos des fleurs en vrac… Le<br />
frais, le mûr, le sec et le pourri.<br />
La suite est un inventaire de mes trois autres séjours en 2006 et 2007 à photographier le paysage, les<br />
scènes de travail, les natures mortes et autres portraits, à la volée.<br />
Dans « Les Fleurs du paradis », les portraits révèlent beaucoup : des mains comme des crochets avec des<br />
lignes de vie à bosser dur, des sillons dans la peau des visages, le dos de certains en arc de cercle, des<br />
vêtements sans artifice, sans frime. Le portrait repose ici dans un ensemble, consolidé par la vue des<br />
champs, des serres, des lumières qui en racontent aussi long… Comme les portraits de rosiers, d’outils<br />
agricoles, de roses et « d’oiseaux du paradis » embrassés, de glaïeuls fanés et contraints sous la bâche<br />
jaunâtre.<br />
Se poser à Hyères, entre 2005 et 2007, c’était comme travailler sur le repérage d’un film, comme aller à<br />
la lisière d’autres territoires possibles de la photographie et au-delà de ce seul medium. J’ai pensé au<br />
design, au cinéma… Lumières, personnages, actions et décors épiés avec curiosité. Oser le hasard et<br />
l’intuition, se permettre les hésitations sans s'effrayer des erreurs.<br />
Tôt le matin, j’allais aux champs ou sous les serres voir les producteurs et leurs ouvriers au travail, tailler<br />
les rosiers, ramasser les légumes, biner, planter, sarcler. Cette photographie-là est un dispositif simple<br />
qui réclame de choisir un point de vue, de négocier la lumière du moment et d’utiliser les matériaux : le<br />
verre, la bâche, le grillage me donnaient les éléments transparents qui passaient souvent en premier plan<br />
et à travers quoi je regardais les hommes et les femmes au travail, les plantes adossées aux courbes des<br />
serres.<br />
L’architecture de ces boîtes à lumière contenait le volume, la profondeur de champ et la réponse aux<br />
perspectives. Les fleurs, les fruits, les légumes, les palmiers en ordre ou en pagaille me servaient<br />
d’ensembles bruts, variés et organiques. Les travailleurs étaient comme des acteurs que je n’arrêtais<br />
guère. Ils avaient fort à faire et j’avais choisi de me mettre en marge de l’action. Sans déranger, je les<br />
laissais agir guettant leurs parcours réguliers dans les rangs. Ainsi, j’anticipais sur le point où j’allais les<br />
figer dans le cadre. L’ensemble de mon approche s’est résumé à cela et, tu vois, pour un temps, je crois<br />
bien que je suis redescendu des épaules de mes modèles !<br />
La dernière fois à Hyères, parce que le mistral commençait à souffler, j'ai pris ça comme un signe et je<br />
me suis enfui. Mon travail était achevé et il était temps de remonter. J’ai acheté des fleurs pour ma femme<br />
et pris la route de nuit face au Mont Coudon… Sans aller voir la mer.<br />
Charles Fréger.<br />
Rouen, le 23 août 2008.
Charles Fréger<br />
Né en 1975 à Bourges, Charles Fréger est diplômé des beaux-arts de Rouen en 2000. Il se consacre à la représentation poétique et anthropologique des<br />
groupes sociaux tels que les sportifs, les écoliers, les militaires, etc. Ses travaux proposent une réflexion sur l'image de la jeunesse contemporaine.<br />
Fondateur du réseau Piece of Cake (www.pocproject.com) et de la maison d’édition POC.<br />
SERIES PHOTOGRAPH IQUES<br />
Portraits photographiques et uniformes : Réalisation de portraits dans des structures collectives impliquant le port d’une tenue vestimentaire uniforme :<br />
majorettes, légionnaires, lutteurs de sumo, ouvriers, élèves d’école techniques, cadets de la marine, patineuses synchronisées…<br />
Faire face — mai 1999, Clubs — juillet 1999<br />
Portraits de jeunes individus portant différents types<br />
d’uniformes (armée de l’air, majorettes, Scouts de France,<br />
supporters de football)<br />
Protocole — octobre 1999<br />
Portraits de jeunes volontaires d’une clinique pharmaceutique<br />
réalisés lors d’un protocole médical.<br />
3741, les tabliers — décembre1999<br />
Portraits de travailleurs à la chaîne dans un atelier<br />
d’assemblage d’une usine de moteurs.<br />
Majorettes — février 2000 - juillet 2001<br />
Portraits de l’ensemble des majorettes du Nord-Pas-de-Calais.<br />
Water-polo — mars 2000<br />
Portraits de nageurs après l’entraînement.<br />
Pattes blanches — septembre 1999 - mai 2000<br />
Portraits d’élèves en blouse blanche de l’école nationale<br />
d’industrie laitière de Poligny (Jura).<br />
Miss — août 2000<br />
Portraits d’une sélection de Miss avant élection lors d’un<br />
concours de beauté.<br />
Notre-Dame — novembre - décembre 2000<br />
Portraits d’élèves dans une école catholique anglaise à Norwich.<br />
Camouflages — janvier 2001<br />
Portraits de jeunes engagés dans un régiment d’artillerie<br />
marine.<br />
Liteau — février - avril 2001<br />
Portraits de futurs chefs, cuisiniers, serveurs et sommeliers.<br />
Sages-femmes — mars - juin 2001<br />
Portraits d’élèves sages-femmes de la maternité de Rouen.<br />
Légionnaires — septembre 2000 – juillet 2001<br />
Portraits de jeunes légionnaires et de pionniers<br />
Steps — août 2001 - février 2002<br />
Portraits de patineuses synchronisées à Helsinki.<br />
Glögg — décembre 2001<br />
Portraits pendant la Sainte-Lucie dans un lycée de la banlieue<br />
de Stockholm.<br />
Merisotakoulu — janvier 2002- janvier 2003<br />
Portraits de jeunes marins finlandais.<br />
Sihuhu — août 2002<br />
Portraits des pionniers du train de Budapest.<br />
Les hommes verts — Mars 2002 - Avril 2003<br />
Portraits des balayeurs de la ville de Paris.<br />
Bleus de travail — janvier 2002 - Mai 2003<br />
Portraits d’élèves en écoles techniques.<br />
Trampoline — Avril 2003<br />
Portraits de gymnastes dans un club de trampoline.<br />
Rikishi — février 2002 – Septembre 2003<br />
Portraits de jeunes lutteurs de sumo.<br />
Itzas’ — février 2004<br />
Portraits de la population Itza’s du Guatemala..<br />
Penitentes — avril 2004<br />
Portraits des penitents de Sevilles<br />
2NELSON — mai 2004<br />
Autour de la lutte greco-romaine, Clermont-Ferrand<br />
Menti — Avril 2004<br />
Portraits à l’école de Police de Moscou.<br />
di tu — février 2005<br />
Portraits de bonzes au Vietnam<br />
Opera — avril 2005<br />
Portraits à l’école de l’Opéra de Pékin<br />
Maul — Juin 2005<br />
Portraits de jeunes rugbymen<br />
Umwana — Juin 2005<br />
Portraits de jeunes orphelins, Rwanda<br />
Empire — depuis mars 2004<br />
Portraits des gardes royaux, républicains et princiers d’Europe<br />
Seijinshiki — 2007<br />
Portraits de jeunes filles après la cérémonie du Seijinshiki.<br />
Hereros/ Himbas— 2007<br />
Portraits dans les communautés Hereros et Himbas de Namibie.<br />
EDITIONS<br />
Portraits photographiques et uniformes<br />
co-édition avec la Société Française de Photographie.<br />
Editions 779 - Paris. Juin 2001.<br />
Majorettes<br />
Editions Léo Scheer - Paris. Janvier 2002.<br />
Légionnaires<br />
Editions 779/Château d’eau - Paris. Septembre 2002.<br />
Steps<br />
Le point du jour éditeur/ POC éditions – Cherbourg. Décembre 2002<br />
Le froid, le gel, l’image : Merisotakoulu<br />
Editions Léo Scheer, Paris – Octobre 2003<br />
Bleus de travail<br />
POC éditions, Rouen – Septembre 2003<br />
Rikishi<br />
POC éditions, Rouen – Janvier 2005<br />
2 NELSON<br />
POC éditions, Rouen –Mars 2005<br />
LUX<br />
MUDAM, Luxembourg – Mai 2006
COMMAN DES PHOTOGRAPH IQUES<br />
Caisse des Dépôts et Consignations / Pôle Image Haute-Normandie<br />
Bleus de travail — mai 2002 - juin 2003<br />
Commande de portraits d’élèves portant le bleu de travail dans des<br />
centres de formation professionnels de la région Normandie.<br />
Ville de Ferrare<br />
Palio — mai 2001 - juin 2002<br />
Commande de jeunes habitants de Ferrare pendant le Palio de<br />
Ferrare.<br />
Centre photographique de Cherbourg-Octeville<br />
L’arsenal — août – septembre 2002.<br />
Commande d’une série de portraits dans le cadre de l’Arsenal de<br />
Cherbourg.<br />
Festival International des Arts de la mode d’Hyères<br />
Trampoline — Avril 2003.<br />
Commande d’une série de portraits de gymnastes dans un club de<br />
Trampoline.<br />
Festival international de la Mode de Singapour<br />
Face of the future — Mars 2002<br />
Commande de portraits dans diverses communautés de Singapour<br />
Boston Consulting group<br />
Matière grise — Juin 2003<br />
Commande d’une série de portraits de Consultants<br />
Festival photographique de Clermont Ferrand<br />
Double Nelson — mars 2004<br />
Commande d’une série sur un club de lutte de Clermont-Ferrand<br />
Musée d’art moderne de Luxembourg<br />
LUX — mars 2002 - juin 2005<br />
Commande d’une série de portraits de la jeunesse luxembourgeoise.<br />
EXPOSITIONS<br />
Centre régional photographique de Haute-Normandie<br />
Mai - juin 2000<br />
Festival International des Arts de la Mode, Hyères<br />
Avril 2001<br />
FRAC Haute-Normandie, Sotteville-lès-Rouen<br />
Avril - juin 2001<br />
Galerie 779, Paris *<br />
mai - juin 2001<br />
Maison Européenne de la Photographie, Paris *<br />
Janvier - février 2002<br />
Galerie du Château d’eau, Toulouse*<br />
(dans le cadre du printemps de Septembre)<br />
Mai 2002<br />
Mois de la photographie de Cherbourg Octeville<br />
Novembre 2002<br />
Galerie P, Bruxelles (Belgique) *<br />
Novembre - Décembre 2002<br />
Hippolyte Gallery, Helsinki (Finlande) *<br />
Janvier 2003<br />
Le Plateau, FRAC Ile de France<br />
« Des voisinages » Mai 2003.<br />
Artothèque de Caen*<br />
Octobre – Novembre 2003<br />
Musée des Beaux-Arts de Rouen*<br />
Janvier – Avril 2004<br />
Musée de l’Elysée, Lausanne (Suisse)<br />
« Je t’envisage » Février – Avril 2004<br />
Culturguest, Lisbonne (Portugal)<br />
« Made in France », Février 2004<br />
Galerie Nouvelles Images, La Hayes (Hollande)*<br />
Avril – Juillet 2004<br />
L’imagerie, Lannion (France)<br />
Estivales photographiques, Juin – Septembre 2004<br />
Hayward gallery, London (Angleterre)<br />
« About face » Juin – Septembre 2004<br />
Yokohama Museum of Art (Japon)*<br />
Janvier – février 2005<br />
Musée des Beaux-Arts de Clermont-Ferrand*<br />
Mars – avril 2005<br />
Fine Art Museum of Shanghai<br />
Avril – mai 2005<br />
Moving Gallery, Spazi Multipli, festival de photographie, Rome, Italie*<br />
Avril – mai 2005<br />
Photo festival of Breda (Hollande)<br />
Septembre – octobre 2005<br />
Kicken Gallery, Berlin (Allemagne)*<br />
Septembre – décembre 2005<br />
Stephen Daiter gallery, Chicago (USA)*<br />
Juin – août 2006<br />
Musée d’art Moderne/ MUDAM (Luxembourg) *<br />
Juin – Septembre 2006<br />
Galerie Nouvelles Images Den Haag, (Hollande) *<br />
Novembre – Décembre 2006<br />
Galerie des filles du Calvaire, Paris (France) *<br />
Avril – Mai 2007<br />
Dorottya Galeria/ Ernst Museum, Budapest (Hongrie) *<br />
Mai – juillet 2007<br />
MOCA, Shanghai (Chine)<br />
Janvier – mars 2008<br />
Galerie Nouvelles Images Den Haag, (Hollande) *<br />
Novembre – Décembre 2007<br />
Transphotographiques, Lille (France)*<br />
Mai 2008<br />
« Prêt-à-porter », Kasseler Kunstverein- Fridericianum, Kassel<br />
(Allemagne)<br />
Mars – avril 2008<br />
Galerie Nouvelles Images Den Haag, (Hollande) *<br />
Avril – mai 2008<br />
Parcours St Germain, Paris (France)<br />
Mai – juin 2008<br />
MEM Gallery, Osaka (Japon)*<br />
Juillet – août 2008<br />
Rencontres internationales d’Arles (France)<br />
Juillet – décembre 2008<br />
* exposition personnelle
Visuels disponibles pour la presse<br />
1<br />
4<br />
8<br />
5<br />
2<br />
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10<br />
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© Charles Fréger<br />
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11<br />
13<br />
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