Les énergies renouvelables en débat à l'école technique de Sonelgaz de Blida

Les énergies renouvelables en débat à l'école technique de Sonelgaz de Blida
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Les énergies renouvelables en
débat à l'école technique de
Sonelgaz de Blida
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Date de mise en ligne : dimanche 13 janvier 2013
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Les énergies renouvelables en débat à l'école technique de Sonelgaz de Blida
Comme partout dans le monde, la consommation électrique est en nette augmentation et les sources
conventionnelles d'énergie sont en nette diminution et il est devenu urgent d'en rechercher d'autres.
L'Algérie, avec son Sahara ensoleillé durant presque toute l'année et son climat méditerranéen avec de très
nombreuses journées d'ensoleillement, peut se targuer de posséder un potentiel très important pour s'engager
résolument dans la recherche et l'utilisation des énergies renouvelables, dont l'énergie solaire est l'une des plus
faciles à mettre en oeuvre et la plus utilisée de par le monde, surtout que d'ici 2035, un tiers de l'électricité produite
dans le monde le sera par les énergies renouvelables.
C'est dans ce contexte que l'école technique de Sonelgaz de Blida a organisé, en collaboration avec la direction de
l'Energie une "Journée technique sur les énergies renouvelables photovoltaïques", ce mercredi, au cours de laquelle
plusieurs spécialistes ont présenté leurs travaux concernant les recherches entreprises et les projets mis en chantier,
à travers plusieurs points du territoire national. Ainsi, l'électrification de 18 villages dans l'extrême sud du pays, citée
par un des intervenants, est un exemple probant de l'utilisation des cellules photovoltaïques puisque, grâce à ce
procédé, 906 foyers répartis dans des zones éparses, en plein sud (4 wilayas) ont l'électricité, de manière continue,
et bénéficient de ses bienfaits. Outre cela, les initiateurs de ce projet se sont rendu compte que l'utilisation de
l'énergie solaire a permis d'éviter les émissions de divers gaz toxiques dans l'air, d'économiser plus de 960 tonnes
de fuel en une année et même la pollution sonore n'existe plus, sans compter la rupture de stock au cas où la route
serait impraticable pour acheminer le fuel.
Le Quotidien d'Oran
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