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In Memoriam
1946 - 2019
1
À ma Cat...
Tu n’es plus là où tu étais, mais tu es partout là où je suis.
1969 - 2019
Tu nous as quittés, créant un vide immense, nous laissant dans une
grande peine. Tu es partie l’année où nous devions célébrer notre 50 ème
anniversaire de mariage. C’est injuste, trop injuste.
Il y a quelque chose de plus fort que la mort c’est la présence des
absents dans notre mémoire. Va, je ne t’oublierai jamais.
3
Carcinome ! Késako ?
Un néophyte ne sait pas :
Que le carcinome à petites cellules est une tumeur agressive et dans la
majorité des cas il se présente avec des cellules d’emblée disséminées ;
Que parmi l’ensemble des tumeurs malignes, le cancer bronchique
(situé dans une bronche principale) tient une place préoccupante en
raison de la difficulté de son traitement ;
Que le cycle de six séances de chimiothérapie est insuffisant pour
venir à bout du crabe mais nous permet seulement un répit de sept
mois ;
Qu’au bout du septième, la dissémination est inéluctable.
Qu’il ne vous restait que deux mois à vivre.
C’est le même processus pour ton frère et toi. Quel dommage d’être
partis si tôt et si vite.
On a essayé de t’assurer, pour le peu de temps qu’il te restait, tes filles
et moi-même la meilleure qualité de vie possible. Je dois te l’avouer tu
es restée belle jusqu’au dernier soupir.
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5
Maman,
Dimanche 29 décembre 2019, minuit
Je suis dans l’avion de retour de Prague et dès la première lettre
posée, mes larmes ont commencé à couler. Réaliser que plus jamais je
ne te reverrai (2 « r » ?) me fait suffoquer. Je pleure plus que je n’ai
pleuré quand tu es décédée. Mais tu le sais, il me faut du temps pour
réaliser les choses, pour m’en rendre compte j’entends.
Tout ça car je n’arrive pas à dormir dans l’avion alors je pensais
à toi. Et voilà, ça sort tout seul. Je ne peux pas écrire à froid. Tu me
manques, et pourtant je me suis tellement préparée à ta mort. Je le
savais que ça durait un an mais je ne pouvais pas le croire. Tu étais
tellement forte, belle et courageuse. Tu m’as impressionnée. J’étais
fière de toi.
Je suis heureuse d’avoir pu passer cette année près de toi, d’avoir
été là à tes côtés.
Tu avais l’air si paisible, tu es partie aimée et entourée.
6
Mais tu es là dans mon cœur, dans mes pensées, dans notre cœur,
dans nos pensées.
On réunit tes photos et des messages, des témoignages dans un
livret, quelques recettes aussi. Je ne savais pas si je pouvais écrire,
mais en fait je me libère de cette peine, de cette année.
Prague, c’était pour vous, alors on l’a fait nous. Mais tu étais un peu
là aussi. Je t’imaginais avec ton manteau en fourrure déambuler avec
nous.
Je ne peux aller plus loin.
Veille sur nous.
Nathalie
7
Ma petite Maman,
Toi qui aimais tellement
les mots, je les trouve bien
faibles pour exprimer le
gouffre béant qui m’aspire
à chaque fois que je
réalise que tu es partie.
Que plus jamais, jamais,
je ne te serrerai dans
mes bras. Ces moments
qu’on aimait tant,
privilégiés, où l’on faisait
un échange d’énergie, où
je m’imprégnais de ton
odeur, où tu faisais fuir
les nuages gris, pas jolis,
pas gentils, tout gris,
méchants...
Oh ma mamita, je me sens si débalancée depuis ton départ. J’ai
perdu mon alliée, mon pilier, ma moitié.
Qui est-ce qui va me faire mes piles de livres à lire de part et d’autre
de mon lit ?
Dans les bras de qui est-ce que je vais pleurer mes chagrins ?
Mais avec qui est-ce que je vais me disputer ?
Apprendre à vivre sans toi ne sera pas chose facile mais je t’ai promis
de ne pas t’inquiéter pour moi.
Je vais alors faire de mon mieux pour continuer, pour être heureuse,
pour que tu sois fière de moi.
Je garde précieusement en moi ton amour du beau, ton bon goût, ta
passion, ta folie...
8
Merci de n’avoir pas été «blanc beige». C’est ainsi que t’a décrite
une collègue de Montréal qui ne t’a rencontrée qu’une seule fois.
Merci d’avoir fait que je suis telle que je suis, forte et fragile à la fois.
Tu me manques tellement !
Je t’aime grand comme le ciel bleu de l’été.
Ton tanagra, ta petite, hiératiiiiique !
9
Ma soeur,
Je crois que je ne me suis jamais sentie aussi seule de ma vie depuis
ton départ. Nous n’étions pas jumelles et pourtant !
Je me sens dépouillée d’une part de moi.
Ma confidente, mon amie. Celle à qui je parlais tout le temps dans
ma tête puisque séparées par 5000 km.
Ma référence !
Nous avons passé notre vie à nous séduire, à tout faire pour ne
pas nous décevoir l’une l’autre. Nous nous sommes aussi beaucoup
disputées, affrontées, comme des amoureux qui ne voulaient pas se
faire dévorer par l’autre.
Après le départ de notre frère, je n’ai plus personne avec qui partager
notre enfance et évoquer nos parents.
Je suis dans un grand état de tristesse et de désespoir, comme tes
trois amours : Dallah, Nat et Audrey.
A toi pour toujours.
Ta soeur
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Mamie,
Quand je pense à toi, je
me rappelle quand tu me
racontais des histoires sur
la mythologie grecque en
me rappelant toujours que
j’avais du sang grec. Je me
rappelle aussi quand tu me
disais de me redresser et
d’enlever mes coudes de
la table... Je me souviens
quand tu me parlais de tout
ce que j’allais apprendre
quand j’allais être en
terminale et maintenant j’y
suis et je pense beaucoup à toi.
Tu me manques et tu resteras toujours dans mon coeur.
Giorgio
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«Pour ton amour pour
la culture, la littérature et
l’intelligence.
Pour tes célèbres envolées
lyriques, tantôt sombres
tantôt passionnées.
Pour ton esprit têtu et
délicat.
Pour avoir été ma tatie de
l’autre bord de mer, je ne
t’oublie pas.
Ta petite tête toute
blonde».
Élise
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Katoura, était comme une soeur pour moi et nous avons passé de
très Bons et Précieux et Inoubliables Moments ensemble, au Liban et
surtout en France avec Pépito, Mamie, Françou et Guitou.
Elle était la Joie de la Famille et Notre plus Grande Joie, c’était la
naissance de Nathalie et Audrey qui sont la Lumière de Notre vie.
Je regrette INFINIMENT de n’avoir pas eu l’occasion de passer
beaucoup plus de temps avec toute la famille «MON UNIQUE
FAMILLE» qui m’est siiii CHERE AU COEUR... ET
SPECIALEMENT HABIB ALBI ABOUDI QUI ME MANQUE
ENORMEMENT.
Wado
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Nous ne sommes, jamais préparés à perdre la personne la PLUS
PRECIEUSE ET CHERE A NOTRE COEUR, MAMAN.
Catherine ne VOUS QUITTE JAMAIS, ELLE VIT AU PLUS
PROFOND DE VOTRE COEUR et pour la revoir, il suffit de
fermer les yeux et VOIR SON IRRESISTIBLE SOURIRE ET SON
ACCUEIL SIIIIII CHALEUREUX.
C’est le Souvenir que j’ai de Catherine.
Et il y a quelque chose de plus FORT que son départ physique...
c’est VOTRE MEMOIRE, NATHALIE ET AUDREY et bien sur
ABDALLAH LE MEILLEUR PAPA AU MONDE.
Ghammmmmoura kbireeee BICKFEWEYYEE du fin fond de Nos
COEURS.
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Nounou
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Les cris du cœur
Mais pourquoi toi ?
Pourquoi tu es partie si vite Catherine ?
Je te revois encore avec tes vêtements
élégants, ton parfum capiteux, tes bijoux et ton
sourire.
Ah ce sourire qui accompagnait ces yeux
malicieux et rieurs...
Tu étais belle mais tu l’ignorais. Ça te rendait
encore plus attachante.
Tu étais intelligente, tellement cultivée, tellement. Devant toi, notre
culture était miniature... Tu savais, tu devinais, tu confrontais, tu
exigeais.
Tu étais entière.
L’essentiel pour toi n’était pas terrestre mais littéraire, politique,
philosophique. L’art avec toi était fleuri, engagé, volontaire et tenace.
Comme toi ma beauté.
Comme toi.
Nous, on s’est souvent attrapé. Normal je suis intransigeante.
Comme toi.
Mais si tu savais.
Si tu savais ce que tu représentais pour moi...
Tout ce que j’aurais aimé être en fait.
Une femme libre, aimante et passionnée. J’étais jalouse en fait je
crois.
Tu es partie.
Libre de tout, libérée de tout.
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Tu as choisi ton moment
de quiétude à toi pour
lâcher les amarres.
Ce qui me console c’est
que tu étais chez toi, avec
les tiens.
Je t’imagine dans
ta chambre, les livres
t’entourant. Ils ont dû
construire une échelle vers
les cieux que tu as empruntés d’un pas léger, la tête déjà ailleurs, vers
les autres.
Ces autres êtres chers qui t’attendaient déjà.
Tu es près d’eux, avec eux. Peut-être as-tu déjà repéré le nuage
sur lequel Brassens fredonne ? Ou bien peut-être câlines-tu un être
cher ? Peu importe tu es bien.
Je le sais je le sens.
Nous ben ma foi on est là.
On te pleure on te crie on te hurle.
On te raconte.
On se souvient.
On rit on pleure mais jamais on n’oublie.
Va Catherine va.
Va dans ton paradis blanc.
Attends-nous patiemment.
Et lis Catherine, lis.
Au revoir Catherine.
Au revoir.
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Sabine
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Billy et moi venons de lire ton message et nous avons pris un véritable
coup de massue à sa lecture.
C’est une bien triste nouvelle que tu nous envoies du Liban, sa
deuxième patrie, et tant de souvenirs sont aussitôt venus à notre esprit,
c’était notre jeunesse mais aussi notre amitié, ces ballades dans la
grosse Volvo à travers tout le pays en guerre avec d’énormes parties de
rigolade et ses mezzés mémorables, mais aussi les soirées très animées
rue du Guesclin entre deux trains mais aussi celles à Mireval sous les
muriers et Maria Callas en fond musical, mais aussi notre séjour en
Charentes Maritimes avec les batailles de vase dans les marais et les
plateaux d’huitres et fruits de mer et ...et.... Patatras de tout cela on ne
pourra plus jamais en parler avec Catou.
Nous ignorions tout de sa maladie. Nous nous doutons bien que
cela fut douloureux pour vous tous mais nous espérons qu’elle a quitté
le monde des vivants sans souffrance et entourée de ses amours.
Nous pensons très fort à Abdallah que nous embrassons et serrons
très très forts dans nos bras. Nous savons combien sa peine doit être
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immense et que la disparition de son amour de toujours doit lui être
insupportable. Une place est réservée dans nos cœurs pour Catou.
Nous pensons également à Nathalie et à Audrey pour leur dire
combien nous avons apprécié les moments partagés avec leur mère
qui les chérissait. Elles peuvent être fières de leur maman.
Françou, nous ne t’oublions pas, nous comprenons ton silence.
Quand tout ce qui fait ton existence disparait par morceau, on crie à
l’injustice et on veut se réveiller en espérant que tous ces cauchemars ne
sont que rêves. Nous t’assurons de toute notre amitié et t’embrassons.
Dès ton retour si tu le souhaites nous pourrions passer un moment
ensemble.
Puissent ces quelques mots transportés par la toile au-delà des
frontières vous apporter un peu de réconfort.
Bien qu’éloignés de vous par la distance on est avec vous par la
pensée.
Nous sommes tristes.
Billy et Michel
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Il y’a quelques jours je racontais à Thierry nos années lycée et les
récréations je ne sais pas si tu te souviens, nous organisions de grands
jeux, jeux de rôles et nous étions toujours désespérées d’être obligées
de dire aux autres filles de faire ci ou ça ...
Les souvenirs sont là et même si à l’âge adulte la communication
est plus complexe nous en restons imprégnés.
Je pense à toi.
Je t’embrasse.
Je suis stupéfaite, elle était à Montpellier il y a moins d’un mois.
Mais elle est partie entourée de tous ceux qu’elle aime, chez elle.
Je pense à vous tous.
J’ai mal. Elle ne m’avait rien dit sur sa maladie en avril.
Dany
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Catherine c’est tout d’abord une odeur... Mélange de tabac et de
Guerlain. La féminité et la force. Une odeur qui me bouleversait
et me bouleverse encore. Odeur synonyme de classe et de beauté.
Avec Françoise vous m’avez ouvert les chemins de la littérature, de la
musique et du cinéma mais aussi du féminisme et de la féminité. Tu
m’as révélée à moi même, à mon désir d’indépendance, de liberté et
de prise de pouvoir sur le monde.
Merci d’avoir fait de moi une femme, une vraie femme qui s affirme
et qui se plait. Merci à toi, merci à tous ces moments avec toi où j ai
tant appris, tant ressenti et tant vécu. Merci à nos rires, à nos larmes,
à nos coups de gueule... Tu resteras là , toujours, quelque part en moi,
dans ma façon d’être, d’agir.. . Salue bien Jacques, Gérard et les autres
avec qui tu dois déjà refaire le monde. ... Avec toute ma tendresse.
Nadège
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Courage «ma Cat aux yeux mouillants» (je sais que tu aimes que je te dise
cela).
Je suis assaillie de souvenirs bien évidemment.
Hier j’ai relu quelques mails de Cat parmi ceux rangés dans
«Mémoire (s)», une sorte de recueil que je fais. Ma Françou, bien des
pensées et des émotions se bousculent ...
C’est affreux.
Clo
Salut l’amie, passionnante et passionnée.
Pierre Dienet
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Salut Catherine, tu vas beaucoup nous manquer aussi, j’ai
énormément de peine. Je suis avec vous par la pensée.
Michèle Bielinski
Je n’ai plus qu’à remercier la
vie de t’avoir mis sur ma route.
Tu restes en nous pour l’éternité
grande Cat.
Ça peut paraître ridicule
un dernier message pour toi
sur facebook mais tu adorais
commenter toutes mes photos
alors peut-être que tu y jetteras
un œil.
Manon
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Hello, je suis très triste que nous ayons perdu ta maman, si vite...
J’ai beaucoup pensé à vous, et je reste de tout cœur avec vous, avec
toi. Salut fraternel et affectueux.
Je viens d’apprendre la mauvaise nouvelle.
Frédéric User
Je suis très attristée je pense très fort à toi je sais combien ta peine
doit être immense.
Transmets mes tendres pensées à Audrey car je ne parviens pas à
entrer son numéro.
Jean Luc et moi vous embrassons très fort !!!
Christiane et Jean Luc
Ma Catherine, maman et moi sommes très très peinées et nous
gardons de belle journée de souvenirs passées avec toi et Françou
pour toujours et à jamais dans notre cœur.
Caroline Pascareli
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Ça fait 70 jours que tu nous a quittés, je n’arrive toujours pas à
réaliser.
Tu seras toujours ma meilleure amie.
Maria
Je profite de te voir sur facebook pour te présenter mes très sincères
condoléances. Je le sens dans mes tripes mais je n’ai pas trouvé la
force de le dire.
J’aurai aimé pouvoir dire des choses à ta maman mais la vie en a
fait autrement. J’étais en Palestine et elle m’a dit a plusieurs reprises
qu’elle aimerait y aller un jour. J’ai pensé à elle, j’ai ri toute seule dans
l’église du Saint Sépulcre en me disant que si je priais pour elle dans
ce lieu elle m’aurait engueulée :) . Que tous ces prêtres de diverses
obédiences chrétiennes (avec leur chapeau, toges et tout le flon-flon),
auraient été l’objet de blagues et de fous rires !
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J’aurai aimé lui dire l’importance qu’elle a été pour moi et son
empreinte sur ce que je suis devenue aujourd’hui. Toute gamine que
j’étais, elle m’a fait découvrir le monde qui se cache derrière les livres,
elle m’a initiée à la politique, c’est quoi la gauche, c’est quoi la droite,
le féminisme, … toutes ces discussions m’ont nourrie pendant mon
adolescence. Et je n’aurai jamais eu le parcours de vie que j’ai sans
cette rencontre essentielle qu’elle a été pour moi, pour nous. J’aurai du
le lui dire, «on ne dit pas assez au gens qu’on aime qu’on les aime»...
mais voilà, je te le dis à toi.
Elle était entière, râleuse des fois, à raconter souvent des mauvaises
blagues sur les belges, mais toujours vraie.
Je t’embrasse bien fort, et embrasse Audrey et Dallah de ma part.
Nadia
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On s’est connues
On s’est reconnues
On s’est perdu d’vue
On s’est r’perdu de vue
Puis on s’est retrouvées
On s’est souri, on s’est disputé,
On a chanté, nagé (un peu), rigolé
Partagé des révoltes, des espoirs, des désillusions,
On a beaucoup discuté
On n’était souvent pas du même avis
Avec nos tempéraments aux antipodes.
Mais on s’est reconnues, accueillies
Et on s’est aimées.
La dernière image que je garde de toi, mon amie, c’est la plus belle.
Tu étais si belle, ton visage lisse, épuré, comme débarrassé des
angoisses, des révoltes, de la peur, ton regard, vivant et apaisé, tes
sourires amusés, un peu narquois pour répondre à nos plaisanteries,
nous qui faisions un peu les pitres autour de toi…J’ai admiré ta
générosité.
Dans cet abandon total de toi-même, légère, tu étais prête à t’envoler.
Et c’est ainsi que tu es partie, silencieuse et discrète, vers d’autres
cieux, plus beaux, plus absolus, des cieux selon ton Coeur.
A bientôt.
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Vivien
Notre Catherine
Notre amie pas comme les autres...
Catherine, esprit fin, âme fière et libre fidèle à ton authenticité en
toutes circonstances ...
Catherine, fervente ambassadrice de la francophilie et de la
francophonie ayant toujours mis en avant ta patrie, ta famille et tes
nombreux amis...
Amoureuse de la beauté, de l’art, rayonnante de culture humaniste,
ton humour acerbe, tes révoltes et tes indignations mémorables nous
ont toujours laissés partagés entre attendrissement et acquièscement...
“Catharina ma soeur
“De quel amour blessé
“Vous mourûtes au bord
“Où vous fûtes laissée...
Ton départ nous laisse un vide horrible.
Tu es partie dans la nuit du silence nous laissant les chers et précieux
moments d’amitié partagée...
Très chère Catherine tu n’es pas partie ! Ton souvenir fleurira dans
nos cœurs à jamais...
Que ton âme répose en paix !
Que ton âme baigne dans le bonheur éternel...
Samia
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A l’annonce de ta mort, Catherine,
une foule de souvenirs ont jailli
du fond de ma mémoire. Surtout,
quand Abdallah faisait ses études
en France, il nous envoyait des
missives de 4/5 pages puis ses pages
commençaient à rétrécir, puis un
«j’arrive tel jour avec Catherine».
Ce jour là, Camille et moi sommes allés au cinéma en les attendant.
Quand on a regardé la montre, on a sursauté, le film n’était pas fini,
«Chikhani arrive»… Les gens ont sursauté on a commencé à courir.
On a enfin fait la connaissance de Catherine et en rentrant en voiture,
on l’a bombardée d’informations sur le Liban et gentiment elle souriait.
Mais le comble c’est que quand on voyait les lettres rétrécir, on a eu
des doutes. On s’est dit Abdallah est amoureux !!!!
Comment aussi oublier le «Roland a dit», les petits plats spécialement
pour moi, nos escapades à Palmyre, Maaloula et à tous les coins du
Liban.
Enfin, je te remercie d’avoir toujours œuvré pour garder intacte
notre amitié avec Abdallah. On te regrette déjà.
Roland Abou Rahal
Adieu mon amie !
Tu as été plus forte
que la maladie par ton
humour ! Ton moral ! Tu
resteras dans mon cœur,
moi ta libanaise préférée
qui t’aime tant !
Béba
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J’imagine que tu as du passer une semaine assez difficile et surréelle
avec Audrey et ton papa...
Depuis la nouvelle cette semaine, plusieurs beaux souvenirs de ta
maman me sont revenus que j’avais envie de partager avec toi (à part
l’épique spaghetti bolognaise au vin rouge pendant que ça bardait).
Je me souviens de mes visites à Jdeideh, ta maman mettait de la
musique et commentait avec passion, c’est elle je pense qui m’a fait
connaître Brel d’ailleurs... et un autre souvenir de ta maman en classe
une fois juste après avoir récité le dormeur du val de Rimbaud, le
coude sur la table et sa tête qui reposait sur sa main, elle en était
charmée et m’avait souri longuement, avec ses yeux aussi, je flottais
sur un nuage ce jour-là, et je souris à chaque fois que je me souviens
de ce moment où je m’étais sentie valorisée.
Je me rends compte de l’impact positif que ta maman a eu sur moi,
et je n’ai aucun doute qu’elle a touché beaucoup de personnes autour
d’elle dont peut être elle ne s’est jamais rendue compte...
Je t’aime beaucoup Nat.
Christine Khawam
Chère Catherine, tu as été une
de ces premières personnes qui
m’ont accueillie au Lycée. Avec
le temps tu es passée de prof à
maman de ma meilleure copine,
puis à source d’inspiration.
Tu m’as enseigné tellement de
choses que je n’oublierai jamais.
Tu vas me manquer.
Serena
37
À ma belle Catherine,
Ton corps n’est plus
Mais tu es toujours là,
Tu es tout ce qu’on sent, voit et touchons,
Ton esprit est libre, mais tu n’es jamais partie,
Aussi longtemps qu’on te garde vivante dans nos cœurs et nos
esprits...
Ma Catherine, ma seconde maman, ta gentillesse, ton tempérament
de feu, ta passion, ta liberté de penser, m’ont forgée depuis mon
enfance...
Je te dis merci, merci pour tout ce que tu es et pour tout ce que tu
m’as donné.
Ta troisième fille...
Maly
38
Chère Catherine,
Merci d’avoir toujours été toi-même, rayonnante, sincère et
généreuse,
De nous avoir toujours reçus avec amour, avec à la fois ton cœur de
mère et d’amie,
D’avoir partagé ta sensibilité, ton intelligence et ta folie,
Merci pour ces soirées de rires et de débats,
Pour le courage de tes idées, pour ton avant-garde et pour ton m’enfichisme,
Merci pour tes deux filles,
Pour ce que tu as été, ce que tu as fait et pour ce que tu laisses,
Et j’aimerais te dire au revoir sur ces mots d’Apollinaire :
“Mon verre s’est brisé comme un éclat de rire.”
Youssef
«Chair Katryn,
Thon enairgie et ta verv nous
manque deja. Tous comme ta
pacion pour l’ortograf, cela va cent
dire.
Ton daipart nous donnent encore plus a pansée a l’importence de
vivres plein ne ment chac momant qui nous reste».
Jan Jak
39
Nous partagions l’amour des chats et des chansons.
Sarah
Je disais à Audrey
que ta maman était une
femme merveilleuse
qui a fait de vous
deux jeunes femmes
merveilleuses.
Ta maman continue
de veiller sur vous et
de vous guider. Je vous
aime.
Steph
40
C’était une femme
remarquable et singulière
qui m’a laissé
le meilleur souvenir.
Je pense très fort à
vous.
Félix Houde
Catherine est de ces gens qu’on n’oublie jamais.
Lysandre
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42
Mes chères Nathalie et
Audrey, mon cher Abdallah.
Je pense très fort à vous
trois.
Que dire... si ce n’est que
je partage votre douleur.
Avec ma chère Cat, ma
Vieille Bien Aimée, s’envole
le témoin de tant d’années
d’affection et de complicité... plus de 30 ans...
Je serai de tout coeur avec vous demain.
Je vous embrasse très fort.
Dites lui que Mamie Barbie l’aimera toujours.
Hélène Mai
Bonjour Audrey, je t’écris pour te dire combien j’ai été atterrée
quand j’ai appris la triste nouvelle de la mort de Catherine ! J’ai tardé
à t’écrire parce que j’espérais monter à Mhaydsé pour partager votre
douleur et vous embrasser tous !
Hélas je n’ai pas pu et je dois me contenter de te présenter mes
sincères condoléances par écrit.
Courage à vous tous
Je t’embrasse fort.
Rita Husseini
Je viens d’apprendre... c’est tellement triste... Mes sincères
condoléances. Nous pensons à vous très fort.
Soulaf Najjar
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Catherine, si forte et si fragile à la fois…
Nous avons beaucoup ri, beaucoup pleuré, nous avons passé des
moments merveilleux, mais au bout du chemin, je vais vieillir sans toi.
Ah ! Cette vieillesse que tu craignais tant… Tu haïssais chaque ride,
chaque signe du temps sur ta peau, ton corps, et un jour, tu as décidé
que c’en est assez. Tu as tiré le rideau…
Ce que je retiens surtout de notre longue amitié c’est la passion que
tu mettais dans toutes choses… Vivre pleinement, en toute conscience,
chaque instant, les plus heureux comme les plus pénibles. Sans demimesure,
sans contrainte, sans compromis, sans souci du regard des
autres. Mais toujours dans le but de faire plaisir à ceux que tu aimes…
Tu étais toi !
Vas retrouver tous ceux que tu as aimés et qui ne sont plus là…
Tu dois bien rigoler là-haut !
A bientôt chère amie !
44
Chaden Maalouf Najjar
«Le cabriolet», tu t’en souviens Cat ? Tu en avais de ces idées ! Une
voiture qui puisse contenir nos 5 enfants de manière à ne jamais nous
séparer même pour nous rendre ensemble au Lycée… !
Ce Lycée qui représentait le lien sacré dans lequel notre amitié
est née. La salle des profs, notre sanctuaire dans laquelle la «table
oblongue» était l’autel autour duquel nous nous regroupions ; où lors
des discussions, certaines personnes étaient sacrifiées… et d’autres
vénérées : c’est de Abdallah, ton compagnon chéri que tu parlais
souvent et de Nathalie et Audrey que tu chérissais profondément,
ainsi que de Françou, ton âme sœur dont l’absence te manquait.
Chère amie, ton souvenir éveille tous mes sens : ta voix continuera
à résonner en moi, ton parfum, ce fameux Guerlain envoûte mon
odorat, ta silhouette et tes jupes longues, je les revois défiler, et la
chaleur de ta grosse bise sur ma joue avant «le grand départ» garde
ses traces dans mon cœur : Je t’aime Cat.
Fadia
45
Et toi, chère Catherine, tu nous manques déjà, mais nous nous
retrouverons dans le soleil des lendemains qui chantent... Merci
de nous avoir transmis ton regard sur les êtres et les choses. Ton
indignation perpétuelle devant ce monde en folie nous a boostés tant
de fois ! Nous te serrons dans nos bras, toi et les tiens et nous pensons,
Jean-Louis et moi, très fort à toi, à vous. Encore.
Les mots me manquent,
Nathalie, mon coeur déborde
de cette vieille amitié pour tes
parents et de cette complicité
avec Catherine... Te souvienstu
de nos RdV d’autrefois à
Mansourieh certains 21 au
soir... ? Tout est allé trop
vite... Je pense à elle, je pense
à elle encore et encore.
Audrey, je pense fort à
vous ainsi que toute la famille
Sigaud. Mon fils avait eu ta
maman comme prof en 5º,
il s’en souvient comme si
c’était hier. Elle faisait partie pour nous des «immortelles»...
J’ai parlé avec ta sœur et Françoise. J’admire votre courage et
je te demande d’embrasser ton père pour nous, on essaiera de lui
téléphoner plus tard si vous nous donnez son numéro. Catherine et
Abdallah restent dans notre cœur. Ta mère était une femme forte et
belle de l’intérieur, une grande «personne» j’aimais ses colères contre
la bêtise, le pouvoir, le fric. Je suis sûre que vous la retrouverez !
Chantal Sigaud
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A Catherine.
Rentrée scolaire 1984. Je suis en classe de 5 ème . Petit, comme j’étais,
et suis toujours, je m’étais assis au premier rang, face au pupitre
du professeur. Nous attendions l’arrivée de nouveau professeur de
français.
Soudain, la porte s’ouvre et rentre en classe une jolie dame, aux
cheveux clairs, courts et bouclés, avec des boucles d’oreille en perle,
vêtue d’un jean et d’un pull en maille jaune. Elle se présente en écrivant
au tableau, Mme Chikhani, et en nous lançant, avec un large sourire,
Catherine pour les intimes !
C’était le genre de prof dont on tombe amoureux, et cela n’a pas
manqué pour moi ! J’aimais cette dame, et je sentais qu’elle m’aimait
aussi, qu’elle veillait, avec beaucoup d’humour, à alléger mon français
qui, à son grand dam, était lourd, comme elle veillait à me rendre
fier de mes origines arméniennes, en choisissant de nous faire étudier
47
Polyeucte, fier prince arménien de l’époque de l’empire romain !
Malheureusement, l’année se termine et en 4 ème , nous avons un autre
professeur de français ! Comme le temps fait bien les choses, après
avoir eu mon bac, j’ai dû retourner au Lycée, mais cette fois-ci en tant
que surveillant et instituteur suppléant. Cela m’a permis de renouer
avec Catherine et de bâtir une amitié profonde avec elle et toute sa
famille, jusqu’à être peut-être le seul de ses élèves qui a été promu au
rang des «intimes», gagnant les privilèges de l’appeler Catherine et de
lui apprendre à conduire.
Aujourd’hui, je me rappelle encore ses vannes, ses blagues sur moi
et sur les arméniens, le verre de vin et le café qu’elle chérissait, et me
considère chanceux d’avoir été parmi ses amis !
A Mme Chikhani pour les uns, Catherine pour moi, j’écris ce matin
ces quelques mots, avec une gorge nouée pour la remercier de tout
ce qu’elle a fait pour moi, et de moi, sans le savoir, et je lui envoie,
ainsi qu’à Chikhani, Nathalie et Audrey, et à tous les siens, des baisers
d’amitié, et de reconnaissance, et leur assure que je serai toujours à
leurs côtés, même posthume pour Catherine.
Au revoir Catherine, de ton côté de la barre, où le temps qu’il fait et
le temps qui passe sont différents de chez nous, plus sains voire même
plus saints que chez nous ! J’espère que mon français d’aujourd’hui
te plaît !!!
Ton élève et ami,
Vicken
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Nathalie je pense fort à toi, à ta sœur et à ton papa en ce jour
où j’apprends la disparition de ta maman. Le départ d’une maman
c’est une lourde page qui se tourne... Je vous souhaite beaucoup de
courage et je suis de tout cœur avec vous. En tous cas je garderai de
Catherine le souvenir d’une femme de poigne, souriante, généreuse et
engagée. Depuis notre séjour à Beyrouth nous avons toujours gardé
contact et nous avons beaucoup de souvenirs en commun. Je vous
embrasse tous.
Mélisande Sigaud
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Ma chère Catherine. C’est avec beaucoup de tristesse et d’émotions
que je viens d’apprendre ton départ. Je n’oublierai jamais les cours de
français au lycée quand tu nous laissais jouer Molière ou le Cid avec
Fadi-Pierre Singer. Nous avions 12 ans. Il y a 28 ans déjà... Malgré le
temps, ces moments de bonheur sont toujours aussi vifs et intenses...
Je te remercie du fond du cœur pour tous ces beaux souvenirs qui ont
bercé mon adolescence...
Je t’embrasse très fort... Que ton âme repose en paix...
Guelane Mansour
Mes sincères condoléances Nathalie pour ta maman qui a marqué
mon année de 4 ème au Lycée, par son enthousiasme et sa joie de
transmettre son amour de la langue française. Je pense bien à vous et
t’embrasse.
Muriel Khawam
Que son âme repose en paix... Mes sincères condoléances...
Elie Traboulsi
Désolée Nathalie...je garde d’elle un souvenir très doux...
Hala Abi Rached
J’ai vraiment le cœur gros et le cœur avec toi. Ta mère, elle a rendu
des générations de francophones, francophiles. Une grande dame.
May her soul rest in peace. Si tu as besoin de quoi que ce soit dis-moi.
Je pense à toi très fort.
Huge Hug à toi.
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Nada Gharzouzi
Mon dieu quel choc, je vous présente toutes mes condoléances
Nathalie à toi et ta famille. Bisous.
Valérie Ghostine
Une absence devient une présence. Je pense bien fort à vous. C’était
quelqu’un de libre.
Jean-François Hery
Des souvenirs d’enfance du Lycée se bousculent soudainement
dans ma tête... Ta maman part trop tôt... Mes condoléances les plus
sincères.
Farid Khoury
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Choux à la crème
Ingrédients :
Pour 4 personnes.
Pour la pâte à choux :
50 g de beurre
1 tasse de farine
1 tasse d’eau
1 œuf
1 pincée de sel
Pour la crème pâtissière :
1/2 l de lait
1 gousse de vanille ou 1 sachet de sucre vanillé
80 g de sucre
2 jaunes d’œufs
50 g de maïzena
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Préparation :
Faire préchauffer le four à 200°C (thermostat 6/7).
Préparer la pâte à choux : faire chauffer dans une casserole le beurre,
l’eau et le sel. Dès que tout est fondu, verser toute la farine d’un
coup et bien mélanger avec une cuillère en bois, jusqu’à ce que la pâte
n’adhère plus à la cuillère ni à la casserole.
Hors du feu, ajouter les œufs un à un, puis mélanger à chaque fois
jusqu’à homogénéité.
Beurrer un grand plat en tefal, puis disposer la pâte en petits tas (12
pour des petits choux, 8 pour des gros). Utiliser pour cela une poche
à douille, ou tout simplement deux cuillères.
Cuire au four 20 à 25 mn. Petit truc pour vérifier la cuisson : les
choux doivent résister à une pression du doigt (ou de la cuillère, si
l’on a peur de se brûler !). Ne pas ouvrir avant la fin ou les choux
dégonflent.
Préparer la crème pâtissière : faire chauffer dans une casserole les
trois quarts du lait, le sucre et la vanille.
Pendant que le lait chauffe, travailler dans une grande terrine les
œufs au fouet. Incorporer la maïzena et un quart du lait froid.
Quand le lait frémit, verser la préparation froide hors du feu,
mélanger puis faire épaissir à feu doux.
La touche finale : la préparation des choux. Remplir de crème la
poche à douille et remplissez les choux un à un, en pratiquant un trou
Si vous n’avez pas de poche à douille, couper chaque chou à moitié en
deux, le vider légèrement pour y insérer la crème.
Dresser vos choux de sorte à former une pyramide et verser du
caramel pour les faire tenir.
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Coq au vin
Ingrédients :
1 coq d’environ 2 kg coupé en morceaux.
1 bouteille de vin rouge.
250 g de lardons.
250 g de champignon de Paris.
1 oignon émincé.
5 carottes coupées en rondelles.
5 gousses d’ail.
1 bouquet garni (thym, laurier, herbes de Provence…).
Sel et poivre noir du moulin.
5 cl de whisky.
3 cuillères à soupe d’huile.
1 cuillère à soupe de farine.
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Préparation :
La veille : mettre le coq découpé à mariner dans un grand saladier
avec l’oignon et les carottes. Verser le vin, poser le bouquet garni et
ajouter des grains de poivres.
Le jour même : égoutter les morceaux de coq et les légumes.
Les éponger avec du papier absorbant.
Filtrer la marinade et réserver.
Faire chauffer l’huile dans une cocotte, y faire dorer les morceaux
de coq sur toutes les faces. Les retirer de la cocotte une fois dorés.
Faire revenir les lardons puis ajouter les champignons puis les
carottes. Faire revenir à feu doux 5 minutes. Rajouter l’ail. Saupoudrer
le tout de farine, remuer pour bien enrober les légumes.
Remettre les morceaux de coq dans la cocotte. Verser le whisky et
faire flamber.
Mouiller le tout avec le vin de la marinade, saler et poivrer. Porter
à ébullition, puis couvrir et baisser le feu. Laisser mijoter 2 h 30 à feu
doux.
Accompagner éventuellement de riz ou de pâtes.
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Iles flottantes
Ingrédients :
Pour 6-8 personnes
8 œufs
1 litre de lait
1 gousse de vanille
130 g de sucre en poudre
1 pincée de sel
Préparation :
Séparer les jaunes d’œufs
et les battre avec 80 g de
sucre.
Porter a ébullition le lait avec la gousse de vanille fendue dans la
longueur et en ayant préalablement gratté la gousse et ajouter la
préparation des jaunes hors du feu avant que le lait ne bouille. Faire
épaissir le mélange. Agiter sans arrêt avec une cuillère en bois et sans
faire bouillir la crème. La crème est prise lorsque la mousse blanche
en surface disparaît.
Mettre au réfrigérateur une fois la préparation refroidie.
Monter les blancs en neige avec une pincée de sel et ajouter
doucement 20 g de sucre.
Déposer les blancs montés dans un tuper ware et faire cuire au
micro-ondes environ 1 minute afin que le mélange cuise et gonfle.
Faire un caramel blond avec 30 g de sucre et 2 cuillères à soupe
d’eau.
Mettre la crème dans un plat creux. Y déposer les blancs puis décorer
avec des filets de caramel.
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Quiche lorraine
Ingrédients :
Une pâte brisée, 200 g de jambon, 100 g de poitrine fumée (bacon),
1 œuf (2 si petits), 200 ml de crème fraîche, 150 g de gruyère râpé.
Préparation :
Préchauffer le four à 200°C (thermostat 6-7).
Dérouler la pâte brisée et la placer dans un plat à tarte.
Piquer le fond avec une fourchette.
Y déposer les lardons et le jambon coupés en dés.
Pendant ce temps, mélanger les œufs battus et la crème fraîche.
Saler, poivrer, et ajouter la muscade selon votre convenance.
Verser la préparation sur le fond de pâte. Recouvrir le gruyère râpé.
Mettre au four pendant 20 min.
Accompagner d’une salade verte.
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Riz au crabe
Ingrédients :
1 tasse de riz uncle Benz.
1 boite de crabe chatka de
préférence.
De la mayonnaise maison:
1 jaune d’œuf, une cuillère
à soupe de moutarde de
Dijon, environ 4 cuillères
à soupe d’huile d’arachide,
1 cuillère à café de vinaigre
balsamique, un demi citron,
sel poivre noir.
Préparation :
Dans une casserole faire
bouillir de l’eau additionnée
de sel. Rajouter le riz pour
une durée de 10 mn, égoutter et réserver.
Emietter le crabe.
Préparer la mayonnaise.
Mayonnaise : séparer le jaune d’œuf du blanc. Déposer le jaune
dans un grand bol, rajouter la moutarde. Mélanger énergiquement en
rajoutant l’huile petit à petit. Une fois que la mayonnaise prend forme,
utiliser un batteur électrique. Une fois la mayonnaise montée, rajouter
le vinaigre, le citron, le sel et le poivre et ajuster à son gout.
Pour finir, mélanger le riz, le crabe et la mayonnaise et servir frais
accompagné de rondelles de tomates.
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La Belle se faisait toujours attendre !
Cette fois elle a pris les devants !
Nous aurions aimé encore l’attendre ...
Mais il en a été autrement !
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