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WEINGUT FRANZ KELLER<br />

samedi<br />

21/7<br />

22.35 | FICTION<br />

Stauffenberg, l’attentat<br />

En juin 1944, un groupe d’officiers allemands fait exploser une<br />

bombe à retardement au QG d’Hitler… qui s’en tire avec quelques<br />

égratignures. Jo Baier revient sur cet épisode capital dans un<br />

impressionnant film historique.<br />

Téléfilm de Jo Baier<br />

(Allemagne, 2003, 1h32mn, VF)<br />

Avec : Sebastian Koch (Claus Schenk, comte<br />

von Stauffenberg), Ulrich Tukur (le colonel<br />

Henning von Tresckow), Hardy Krüger junior<br />

(Werner von Haeften), Christopher Buchholz<br />

(Berthold, comte von Stauffenberg),<br />

Nina Kunzendorf (Nina, comtesse von<br />

Stauffenberg), Stefania Rocca (Margarete von<br />

Oven), Axel Milberg (le général Fromm), Olli<br />

Dittrich (Goebbels), Udo Schenk (Hitler)<br />

Image : Gunnar Fuss<br />

Montage : Clara Fabry<br />

Conseillers historiques : Hans Mommsen,<br />

Peter Hoffmann<br />

Musique : Enjott Schneider<br />

Coproduction : teamWorx, SWR, WDR<br />

SWR<br />

(Rediffusion du 19 juillet 2004)<br />

6 arte <strong>magazine</strong> n° 30 du 21|7|07 au 27|7|07<br />

Le jeune Claus Schenk, comte von Stauffenberg, entré<br />

en 1936 à l’Académie de la guerre à Berlin, admire le<br />

chancelier Adolf Hitler. Brillant, il devient rapidement<br />

officier d’état-major. Arrive la Seconde Guerre mondiale.<br />

L’officier prend vite conscience des atrocités commises<br />

sur le front de l’Est et contre les juifs. Mais c’est<br />

la campagne de Tunisie qui le décide à agir. Blessé au<br />

cours des opérations – il perd un œil et l’usage d’un<br />

bras –, il est rapatrié. Le 1er juillet 1944, Stauffenberg est<br />

nommé chef d’état-major de l’armée de l’intérieur : il<br />

pourra désormais approcher le Führer ! Le 20 juillet, ce<br />

dernier convoque les responsables des états-majors à<br />

son QG de Rastenburg, en Prusse-Orientale (la fameuse<br />

Wolfschanze, la “tanière du loup”). Stauffenberg s’y<br />

rend avec Werner von Haeften. Tous deux préparent<br />

une bombe et la déposent dans la salle des cartes où a<br />

lieu une conférence sur la situation en URSS…<br />

Multidiffusion le 22 juillet à 15.50<br />

0.10 | MUSICA<br />

Susheela Raman<br />

Aux sources indiennes<br />

Mark Kidel a suivi Susheela Raman,<br />

voix d’or de la “world” contemporaine,<br />

au Tamil Nadu, dans le sud de l’Inde,<br />

où elle a enregistré la majeure partie<br />

de son album Music for Crocodiles.<br />

Un voyage musical envoûtant et joyeux.<br />

Documentaire de Mark Kidel (France, 2004, 52mn)<br />

Coproduction : ARTE France, Les Films d’Ici<br />

ARTE FRANCE<br />

(Rediffusion du 12 novembre 2005)<br />

22.35 > 6.00<br />

“C’était un gars qui s‘appelait Jimi Hendrix…” Les trois<br />

jeunes filles en sari de l’école de Thiruviyar, au Tamil<br />

Nadu (sud de l’Inde) ont cessé de chanter, suspendues<br />

à la voix chaude et au sourire éclatant de leur aînée<br />

Susheela Raman, qui leur susurre une version douce<br />

de Voodoo child, accompagnée par la guitare complice<br />

de Sam Mills. De tels dialogues, où se mêlent la tradition<br />

sacrée du Tamil Nadu et le répertoire complexe et<br />

métissé de Susheela Raman, se répètent tout au long<br />

d’un voyage aux images somptueuses : de Madras, la<br />

capitale de l’État, à Thiruviyar, la ville de sa mère, haut<br />

lieu de la musique carnatique. Née à Londres, la chanteuse<br />

a grandi en Australie et s’est nourrie des influences<br />

contradictoires du jazz et du rock, ainsi que du chant<br />

classique de ses origines, appris dès l’enfance. D’abord<br />

douloureuse, la contradiction est devenue l’essence de<br />

son art et d’un inlassable désir d’ouverture. Amorcée<br />

à 20 ans avec l’éblouissement suscité par Nusrat Fateh<br />

Ali Khan, la redécouverte de ses sources la conduit désormais<br />

régulièrement à Thiruviyar. “Je me sens chaque<br />

fois plus enracinée et plus déracinée, résume-t-elle.<br />

Car plus on en sait, plus on s’aperçoit que l’on ne sait<br />

pas.” Les chansons de son avant-dernier album, Music<br />

for Crocodiles – “Light years” ou “Meanwhile”, et des<br />

reprises de précédents disques comme “Love trap”,<br />

“Sakhi Maro”, “Amba” ou “Manasuloni”, jalonnent ce<br />

parcours joyeux et contemplatif, où Susheela Raman<br />

nous guide à la rencontre d’une Inde éternelle et de ses<br />

mélodies divines.<br />

Multidiffusion le 22 juillet à 6.10

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