ne industrie - Bibliothèque de Toulouse

ANNE& -.. N. 11.349
31,
noTi'LitiNEMENTS
seaelle. Et 5.5 0 mels, 41 fr., I an, SE fe.
"LE PRETENDANT "
Madame s'excuse, mais elle ne peul pax voue recevoir aujourd'hui..,
ne industrie
2r7Jsipère
E 23 jilin dernier, les action-.
de la Société Ano-
Lnacres nyme des anciens Etablistements
Hotchkiss et Lue
étaient réunis en assemblée générale
ordinaire. A l'ordre du jour,
il y avait les rapports habituels
sur l'exercice 1931. La lecture du
t'apport du Conseil d'Administration
fut accueillie avec une vive
natufaction et nous ne résistons
pas au désir d'en donner à nos
lettetirs id Partie là plus intéressante.
L'extrait est un peu long,
mals personne ne d'en plaindra 5
s Matériel de guerre. Nous
noiros déjà souligné, dans nos
précédents rapports, l'intérêt que
les différentes démonstrations de
tacs mitrailleuses, antiaériennes de
13 nom. 2 avaient suscité, tant en
Fiance QU'A L'ETRANGER.
Gràce à la supériorité muni-
(raide par nos armes au cours
gfeSsais très sévères auxquels Participaient
de nombreux concurrents
ETRANGERS, nous avons
pu obtenir d'importantes commandes
dont l'exécution nommennée
en 1931 ne produira sou plein
effet qu'a partir de l'exercice en
cOurs.
e D'autres commandes ont été
également enregistrées depuis le
début de l'exercice 1932. Leur importance
vol démontrée par le fait
;que l'effectif de notre personnel
pour les usines de Levallois et de
Clichy a été sensiblement augenente
depuis le' commencement
ee cette année.
Ced deux usines travaillent
actuellement b plein rendement et
notre carnet de commandes maté-'
riel de guerre est suffisamment
garni pour leur assurer, pendant
sm temps appréciable, cette même
marelle satisfaisante.
« Tout en exécutant les travaux
que nous avons en Mains, 1101.3
ne cessons de poursuivre le dé-'
peloppement de nos matériels à
grande puissance, de 23 mm. et
etc 37 mm. donAllintérêt n'a nos
échappe aux AUTORITES MILI-
TAIRES ET NAVALES FRAN-
ÇAISES ET ETRANGERES.
« Des expériences très concluantes
ont déjà été faites avru
ces matériels, et nous pouvons prévoir
de ce côté de nouveaux débouchés
dans un avenir peu éloigné.
»
Avant de commenter ce morceau
de choix du principal rap-,
port soumis aux actionnaires,
quelques renseignements sur la
situation financière des ancien(
Etablissements Hotchkiss et Cie'
ne manqueront pas d'intéfét.
Le président avait le droit da'
'dire, en réponse aux questionS pan
Mes par un « honorable action."
noire « Nous avons un bilan,
magnifique. Voici une société nul'
est au capital de 18 millions entièrement
amorti... »
En effet, les 100.003 actions de
100 francs ont été intégralement
remboursées en 1923 et remplacées'
par des actions de jouissance cotées
en Bourse, le ter juillet dernier,
1.060 francs l'une.
Et non seulement se capital de
16 millions est intégralement
amant, mais il correspond en
réalité à un capital initial de 4 mil-
/ions deouc fois doublé au profit
des actionnaires par prélèvement
sur les bénéfices. Non seulement
l'action cotait Lot» francs au
ler juillet dernier, mais dans les
périodes actives du marché de Paris
ses cours ont touché MOS
francs.
Antres preuves de prospérité,
môme dans cette période de crise
économique et de misère. Les bénéfices
de l'exercice 1931 se sont
élevés à 12.198.459 franco et un
dividende de 60 frettes sera versé
par action de 100 francs remboursés
en 1923.
Admire. la prudence des administrateurs
qui ont accumulé des
réserves qui se chiffrent
61.800.000 francs.
Ge n'est pas tout. Ici nous appelons
l'attention de nos camarades.
L Soc"té f u tot 1 de
cautions « à divers gouvernements
o se montant à 20.194.311
(rancs. At/ bilan de 1930, les
mdrnes cautions ne figuraient que
pour 8.873.780 francs.
Cette augmentation consulé.c
sable provient des nouvelles commandes
de « divers gouvernements
a enregistrées au cours de
l'année 1931.
Le président n'avait-il pas raison
de dire 5 Nous avons un bilan
magniflque 2 Et quand il ajoutk
e Rous arrivons d produire Un matériel
apprécié à l'étranger et qui
Panera na.a centrer de nouvellen
el importantes commandes »
joie patriotique des actionnaires
éclata en de vifs applaudiasemonts
que note le compte rendu
de l'assemblée. Evidemment ces
bons Français ne désirent qu'une
chose, c'est que la Conférence du
désarmement renvoyée à six mois
échoue complètement.
Maintenant, revenons au rapport
du président. 11 nous apprend
que lorsque sa Société expérimente
des mitrailleuses ou (ro,
e matériels à grande puissance né
elle le fait savoir à tous les gou-
vernements et à tous les étatsmajors
afin qu'ils constatent, psitt
leurs représentants qualifiés, l'eftt
ficacité destructive de ses armes
SOCIALISTE
Rédaction et Achnintstrathin g 38, Rue Ropaelaine, TOULOUSE O-43 C. C. Postaux t 3.27'i
BUREAUX A PARIS t 5, Rue ShAugastIn (21 Téléphones g Gatemberg 70.58 01.21; Louvre 47.23
bsi'enuvre.','M;xevecZerntoe:%Jfelf; LES pRoBLEmEs BLE
Sons les expériences auxquelles,
YOUS asSisterro seront si con-,
tillantes que VOUS nous fere. en-, 5
toile vos commandes. _.
Et les choses se passent aire
les « divers gouvernements a se
font livrer le matériel de guerre
fabriqué dans les usines que nessède
la Société à Saint-Denis, Leyellois-Perret
et Clichy.
, Réaction et gouvernement français
n'y trouvent rien à redire.
Pour eux, ces opérations sont minimales.
Schneider et Cie vendent
1eurs instruments de mort à tous
les biais avrt plus de facilité que
les industriels n'écoulent leurs
produits textiles, minéraux, codnestibles
et autres.
. Putt la production pour la
guerre a cet avantage énorme Sur
l'autre, c'est qu'elle ne chôme pas;
dlle est même un moyen de réduire
fa crise. Les anciens Etablissebnents
Hotchkiss e travaillent an-
Ituellement à plein rendement », et
'pour satisfaire les commandes de
matériel de guerre il a fallu cgbrutes
du personnel.
Quelle condamnation du capitalisme
1
I Tandis que dans toutes les in-
',lustrine où l'on produit des choses
nécessaires aux hommes, la crise
sévit et jette des ouvriers sur le
pavé par centaines de mille en
France, dans les industries où l'on
produit pour la guerre, pour les
massacres scientifiques des peuples,
le travail bat son plein, lm
affaires sont brillantes.
Connaissez-vous situation plus
horrible
Le dernier Congrès du Parti
élaboré un programme minimum
dans lequel on trouve t'interdislion
de la fabrication privée et du
commerce libre des armes de
,guerre. Le président du parti radical
aujourd'hui chef du gouvernement
déclara cette modeste
revendication inacceptable.
Sur qui voule.-vous dons compter
pour la faire aboutir 7
A plus forte raison, sur qui pouvez-vous
compter pour pratiquer
une politique de désarmement ?
Disons-le tout net ; sur le Pontt
soCialiste seulement, entrainant
avec lui, dans son action, les
masses populaires.
Car l'erreur n'est pas possible
sur les forces à vaincre, c'est bien
ê. un combat contre tout le cap.,
talisme que nous allons.
S. LEBAS, deputé-maire
de Roubaix.
ha Mort h Mistral
DEPUTE-MA1RE DE GRENOBLE
Notre camarade Mistral, députémaire
de Grenoble, est décédé grottement
m matin dans une localité des
enrorone de Grenoble, os H était ro
villévi noues,
Le maire fa Gremble est un des
plue anciens et dm plus sympatho
ques militants du parsi au sein du
quel il a joué un grand eue.
Il adttunisaim5 drenoble depuis
de longu. mué. et i/ avait su faire
de cette ville la véritable capitale
la région, ooquette, propre, animée,
lumen. même.
Il jouissait d'une grosse autorité
dans les conseils du parti socialiste,
dont l'influence, gram à lui, s'étendait
avec rapidité dans tous los tien-
Il part en pleine mtivité, et nous
en éprouvons, ici, un tris vie regret.
Quoique peu connu des Toulousains,
il s'intéressait fort à notre
vie militante méridionale, et il était
avide d'en connaître 1m détails dès
qu'il aperoemit un camarade de chea
nous.
Il compta longtemps parmi les
« gauchistes » les plue déterminés eh
même parmi les kientaliene.
En ces dernières années il avait
évolué, mais n'avait pro réussi à jeter
à droite avec lui une fédération
que son propre enseignement
avait poussé primItivement à gauche.
C'est une belle figure qui Inc' va,
que nos adversaireu salueront
respect el nos militante av. une sinoêro
'affliction.
Si les cultivateurs s'attendaient
trouver dans le discours du ministre
aie l'Agriculture quelque nouveauté
réconfortante, ils peuvent aujourbrhui
déchanter.
Certes, M. Abel Gardey n'a pas
>lanciné de prmlamer une fois de
plus les mérites de la classe paysanne.
« Le monde rural, a-t-il dit, a
/toujours MS et demeure l'élément /a
plus précieux de la stabilité écononique
et sociale. a Je suis même peruadê
que /e Ministre a tenu à dé-
Snontrer son indéfectible attacheliment
aux vaillantes populations
(agricoies du Gers auxquelles il s'errasse/h
en répandant à pleines
Mains les poireaux et les palmes.
Mais en dehors de ces manifestaons
platoniques, le discours de M.
ardey n'est pas fait pour nous do,
or le sentiment que le gouverne-
Ouest est déridé â lutine véritabl.
ent contre la baisse du blé.
Sans doute y a-t-il dans les derpièces
paroles du Ministre une etllirmation
qui peut vouloir dire bien
des choses.
« Le gouvernement veille. Et s'il
ne veut pax dês aujourd'hui, par
'tactique réfléchie, ..prociser les mesures
qui sont envisagées, c'est qu'il
gré:morve respr da n'avoir pas boom
de les mettre en oeuvre, et
qu'il entend ainsi le cas échéant
pouvoir les rendre Plus 050rentes.
»
Compère-Mord l le répétait -hier
i/ n'y a pas de mesures de détail qui
puissent apporter au marché du b14
q e rlolaml par ire pr0000e
teurs aussi bien que par les consom.'
mateurs.
, Ou bien, rolution mpitaliste, /et
cours resteront soumis b l'influence
beruésesi dictatoriale de la spéculation
et de la grande miroterie ronce,
' Ou bien solution smialiste,
cours sera Ore en tenant compte
rendements et du prix de revient. 1
Pas de solutions intermédiaires,
Même pour les cultivateurs les plue
réfractaires aux idées s.ialistes, 15
baisse actuelle des uours du lekt
éclaire sous son jour véritable 15
bai-disant « liberté du tommoine
Quels sont, en effet, les procédés
qui ont provoqué une baisse si bru,
,tale
D'une part certaines positioro
culativee, escomptant rabondanei
de In récolte, avaient orienté la
Bourse du Commeree vers une baissa
importante. Et di/ est vrai que 15
gouvernement veille, il a une exce/dente
occasion de le montrer en
gageant contre /es spéculateurs te
tes les rigueurs de la loi.
Mais je pense que, plus emord
bue la spéculation boursière, la baisse'
hst due à l'attitude systématique da
ta minoterie qui dans toutes les ré;
binas productrices a raréfié au maxn
mum ses achats au moment même
loù une récolte abondante et les ne-
' Uins de trésorerie de la culture
rovoquent des ventes nombreuses.
On sait combien la minoterie est
aujourd'hui concentrée. Les Grands
Moulins de Collait qui étaient jusqu'à
ces derniers temps restes isolés,
viennent d'adhérer à l'organisation
qui groupait déjà les Grands Moulins
de Strasbourg, les Grands Moulins
de Paris et tous les grands moulins
du trust Vilgrain, Nancy, Lil/e,
Bordeaux, Saint-Louis-du-Rhône, etc,
Cela .représente une consommation
quotidienne de l'ordre de 60.000 quia.
taux. On imagine quelle puissance
un semblable consortium exerce sui
la moue des murs.
Jadis, l'écoulement des blés était
assuré par la petite meunerie et les
marchands de grairo qui existaient
un peu partout, Le producteur, au
moment où il apportait son blé sur
le marché, trouvait en fave de lui
dru acheteurs multiples. Alors jouait
vraiment la loi de l'offre et de la
demande. Sans doute, les acheteurs
ch.erchaient. dans la mesure du possible,
â profiter de la situation, ache-'
ter In moins Mer possible au Producteur
et revendre en fin de campagne
â au cours plus êlevê. C'était
là les règles norma/os du commerce
libre, et la multiplicité des acheteurs
entretenaient Is concurrente.
lits C ole0riesoteertrlé:..
Cs nues au
leur vieille roue à palettes. Et lb
petit commerce local a fait placo au
réseau serré des courtiers du consortium,
obéissant au mot d'ordre'
que chaque jour la direction de Paris
téléphone.
On trouve Il un type parfait de
capitalisme coneentre. Et dan, le
cdre de la 16galitie présente, je ne
Cent pince et une heures durant,
;artiste anonand Heinz Arnt, cmtta
tusse nec Ire nenev» 0e lecoanr, u'
g';"d1C. id. H... dHo
"tele:,d."'47"'d'OM
eu»
et
geagineebre.
vois pas comment on pourrait rat,
teindre.
Une semblable organisation es
plus besoin, en effet, d'user de nouvoiles
tendancieuses et de spéculer
à la Bourse de Parie pour imposer
sa loi o il lui suffit de donner aux
courtiers la consigne de n'acheter
que des quantités très faibles da
marchandise, et cette abstention
provoquera ou aggravera la baissa
sur un marché largement approvisionne
par les apporte de la nouvelle
récolte.
C(ext ce qui se produit actuellement
et nous avons vu les coure,
Sur les marchés de province, descendre
au-dessous de 100 francs, c'estb-dire
là ou 20 francs aurterooro
du roue spéculatif de la Bourse de
Paris.
Comment agir pénalement contre
un acheteur qui ne veut pas acheter
? Je doute, du reste, que ce soit
dans les intentions du gouvernement.
Mais quand mémo ro engagerait
des poursuites contre la grande
minoterie, en quoi cela pourrait-1/
la contraindre à payer le Me un certain
murs p/utôt qu'un autre
Le problème n'est pas un problème
rêPression. C'est un prolneme
dorganisation.
Il ne s'agit -pas de punir la minoterie
d'être ce qu'elle est, II faut
remplacer l'autorité qu'elle exerce
par une autre autorité.
Le moment n'est-il pas venu de
réaliser, enfin l'Office du Blé ?
MONNET.
LES FAITS
REPONDENT
QIL
.
ad eu aes LYISCS econonu..
tues autrefois entrainant des crises
financières pour les Etats, des
ruines pour les particuliers, des trouble,
sociaux de plus ou moins grande boson.
0000e pour certains pays, M. de Kérib,
lis voudra bien croire que nous avons entendu
pucier de ces phénomènes. C'est
son eux précisément que les théoriciens
du socialisme ont appuyé leurs critiques,
c'est d'eux qu'ils ont tiré leurs conclushstu
cl salmis que ces crises iraient en
t'amplifiant et qu'elles aboutiraient, un
four ou l'autre, a ave crise de régies»
Ions l'humanité et la civilisation ne sortiraient
que par l'application des méthodes
socialistes. Sinon. ce seraient l'inondm
same, le chaos el l'anarchie.
Notre raisonnement est d'autant moins
en défaut qu'il s'appuie sur des faits que
chac00 a pu et peut vérifier.
Pave tout esprit, non gagné par Id
pondra, et qui n'est pas dominé ponds.
préoccupations de conservatisme politique
el social, il n'y a aucune comparaison
à établir mhe les crises industrielles,
généralement décennales, d'avant-guerre,
sur lesquelles Ire économistes bourgeois
usaient leurs lunettes, et ravit brutal de
la production et des échanges qui a gagné
tout l'univers et bouleversé toute
l'économie contemporaine.
Hier, ces crises étaient localisées e0
parcellaires. Entendez par là qu'elled
n'atteignaient pas à la fois tous les polo,
et toutes les branches de la production.,
Quelques mois suffisaient Pans aPPorter,
le remède. Les marchés se désengorgeaient,
de nouveaux débouchés nad
vraient et la machine repartait.
Aujourd'hui, rien, absolument rien
pareil. Tous les pays sont atteints, tom
5t3 les sources de vie et de travail sont
aidée» di leur substance. Le nombre des
chiimeurs croit sans cesse, les dif endtés
financières augmentent jour par jour,
este panique frappe à la porte des mi..
lieux dirigeants où l'on ne sait plus quoi
penser, quoi faire, quoi proposer. Les
économistes se taisent au moment où ifs
'devraient le plus discourir.
Des ministres et hommes d'Ela( lancent
leurs pays dans une politique de
protectionnisme à outrance qu'il. con-
>damnent ensuite lorsqu'ils se trouvent
dans des assendtéro internationales.
, Elles crise, sans erré!, gagne du terrain,
en surface et en profondeur.
. Vil,
Est-ce une prophétie « ridicule o
prétendre, comme nous le faisons, que
trente millions de chameurs ne peuvent
plus attendre et que méme si les ail".
lions de chômage étaient suffisantes pose
Ire faire patienter, les Etats appauvris,
rongés par le déficit et menacés de ban.
querelle, ne pourraient plus longtemps
en supporter les frai,
Nous nous trouvons donc en présence
d'un triple problème u financier, économique
et humain, pour la solution duquel
les dosses dirigeantes ne suggèrent
pas l'ombre d'une solution sérieuse clef.
Vraiment, dans ces conditions et ers
'ces havres, les défenseur, actuels de ce
régime devraient bien nous dormes un
autre spectacle que celui de hors pauvres
critiques dee rt expériences socialiste. SW
el de leurs railleries des a prophéties n
maroistchs
'PAUL FAURE
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25 UN T.
e. ht Osait tomcel car nos slmaulee
confréres de la grande presse avaient
&misé tous Ire marronniers uni Ma
QUe amibe, en période de canicule fleurissent
en première nage de leurs jour.
nana.
Voici l'aventure publicitaire loi 0051
si joyeusement accueillie par tous les
malheureux journalistes en mal d'ingormationst
une riche Anglaise dévergondée
et vicieuse (jusqu'ici rien qui
rleitnnortn'bruaree as
une fugue o Paris. Elle vient, dans le
plus grand secret cheroher un engagement
dans un studio parisien. Oui mais
voilà, elle ne réussit a séduire aucun
metteur en scène.
Alors plusieurs jours se passent sans
nouvelle.
De l'autre côté duoeaoahe le d,
zens:dr gagne 100,00e du romplalsant
fou va le voir) fiancé de la fugitive
un riche agent du Stook-Exchange. Pen
dant ce temps l'aristocratique miss se
1E1.3E91 18 ACSUT 1932
Si Hitler et les communistes s'uissent
dans l'opposition, ils rendent tout gou«
vernement impossible.
L'AVENTURE D'UNE JEUNE
ET RICHE ANGLAISE INOCCUPEE
La /*ose/letton dans un renaticant du. Bois Ocrant un menu... anennesiadt .
Enfin one Information sensationnel. console comme elle peut de son efféd
ya e CCP on. es, 110Ce8
ses, stupéfiants sane doute fele a MN
100 condamnes pour en avoir us b,
champagne, tout est bon pour noyer s
chagrin Puis un beau jour on la retrouve
sur le 0000 00 Paris, sans n
sou les traits défaits, lee vêtements
en désordre, la faim au ventre, la fête
est finie, mais le cinéma et la 000 5,
cité commencent.
Elle se fait émnanre. Alors on P
vient le fiancé qui dans son avion p
t'entier arrive d'un coup d'aile
Bourget et ére sa belle de ce mauv le
Effusions, baisers passionnés, p.
don solennel, serinent de fidélité, ri n
n'y manque, la presse est /à, les p
toginphes aussi, l'aventure est tenni.
née. Le scénario est réussi. Et voila
miss Brenda Dean Paul lancée: uns
nouvéle sMr se lune an firmament u
cinéma. Son premier scénario est adr
ternent monté, pour le plue grand pl if
uir des journalistes en mal de copte,
REPORTAGE A TRAVERS
LE MONDE FERMÉ
DES ASSURANCES
Comment on roule les assurés naïf .i
On vient te me rendre de la part de
mon chef de service, NI. X... une let-
Lequi me pardt pourtant parfaitement
correcte assuré a vendu son cheval,
pour lequel il était assuré à la Compagnie,
la loi ai lait connaître que, naturellement,
fl devait nous payer cette famune
indemnité de restimhon, et le lui
al fait comprendre que Si nous ne race.
:rions pas l'argent immédiatement, il lui
arriverait toutes sortes de catastrophes,
eus terme de poursuites par huissiers,
de jugements, de saisies, que sais0e3...
15 n'étais pas mécontent de mes menaces,
du ton ferme de ma lettre ; alors,
pourquoi avait-elle été refusée?... Peut.
Le directeur haut, are, nl.aaear,étre
avaisêe exagéré la note?... Fins,
roge M. X... sur les misons pour les,
quelles cette lettre n'a pas été signée,
«Réfléchisses vous-mêmc et vous trou,
veren, me dit-il I voyons, votre client dit
qu'il a vendu son cheval, et là-dessus
vous lui demandee l'indemnité, de résilia.
Son ; cela vous parses suffisant?...
Mais oui, (panure, in petto, que
c'est même beaucoup trop).
Mais non, qui vous prouve que l'es.
surs a bien vendu son cheval. Et, es
Pa vendu, qui cous dit qu'il n'en a pas
acheté un autre?... Demandez la justification
de la disparition totale du risque 9
c'est a l'assuré de prouver qu'il n'a plus
sirote cheval.
Mals comment fera-t-il cette proues?
On peut prouver quelque chose qui
existe, mais prouver ce qui n'est pas,
On» me paraît délicat!...
Eh bien, il se débrouillera, et s'il
he peut pas le prouver, tant pis pour lui,
son contre continuera, nous ne le résilierons
pas, et il devra payer chaque
année ses quittances.
Un de mes collègues, n qui ne raconte
cette histoire, n'est pas très impression.
Mals ce n'est que l'enfance de l'art,
ris dIs-SI, l'avantage de la combinaison,
t'en qu'il y ,pas mal d'assurés, dans
les campagnes rortout, red ne savent
SOmment faire la preuve qu'on leur da
Mende Plutôt eus d'avoir dee ennui,:
par crainte de l'huissier, de la justicei
Ils préfet.eat payer leur assurance, a/o
qu'ils n'ont pius rien a assurer.»
99. 919
Obi ohl les prédictions de remployn
de le Production sa réalisent t je sui;
appelé chez le patron. n paraît qu'llabl
tuellement ce n'est pas pour féliciter en
employés qu'il les consoque. Aussi fat
beau me dire je n'ai rien I me reprocher
; et puis ce n'est peu.. pas pour
me bramer qu'il me demande », 9e me
sens vaguement inquiet au moment d'entrer
dans /e grand bureau, si vaste qu'op
en impressionné dès qu'on y pénètre.
Haut, sec, glabre, mon bonhomme &alti
le m'approche. Il continue d'écrire, rate
tends, debout, ne sachant que taire dd
mes mains. Blusquement, il prend une
lettre de mon courrier et la déchire. ,
a Apprenez à lire les conditions gen&
raies des contrats, monsieur. Voue éte4
novice, aussi je ne prends pas de seul
Flua, mais faites attention une mem
fole 3.
il m'explique: Il s'agit, en l'espbec,I
assuré qui prosedait une roto 5 el2
rLe citent a rends sos enevon.
len os clients vendu la voilure et '.11
lui a demandé alors, bien entendu, di
justifier de la disparition du risque : Pst
négligence ou par oubli, notre nomme
n'a pas répondu.
On a donc continué, chaque année,
créer des quittances qu'il n'a pas payées.
Cette année an se décide 5 le poursuivre,
et le pauvre homme, ans inquiet de Incevoir
du papier timbré a couru n l'étude
et a fourni toute, les Mecs» attestant que,
depuis 1,27, Il n'avait Pas dttus;
sier noue a alors demandé ce qu'il mus
Ides Fidèle aua PrinciPes inculquée, I.
ltd al écrit de réclamer l'indemnité de
résiliation.
C'est le motif de la co/ère du directeur.
Dane ma candeur nais», j'avais pense
qu'II ne pouvait One question de demam
Ose plus, puisqu'Il était bien prouvé qu'Ill
el, avals plue d'auto depuis 992/. St
hien, en.. .90ene assure as !muni MI

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Ftwommum".... - gMAL/grig
La femme et le !foyer
eireadeja RADIO-TOULOUSE
A12 h 30 nouvel..
A 12 h. 45, le quart d'heure des
nuditeurs de la régiOn du Sud-
-Ouest.
A 13 heures, airs d'opéra,
" A 13 h. 55, chansonnettes.
' A 13 h. 30, soli.
'A 13 h. 45, un peu d'accOnléon.
A 15 h. 30, lu scion beliegrapht-
MUNE DES FEMMES
!DUALISTES
L'industrialisation
de la femme
eaftiatiffigitlefiendiffifi»liffeltaiffitieMerlb.
UNE PELE RINE
Recettes La Mode
culinaires
Les robes d'intérieur
darde ce qui est advenu du mente Criscelli lui avait arraché et que déd
Armas_ il m'avait défiée. Avouez je très galamment àlorny lui avait
que j'ai bien su me venger... restitué...
Vous êteS une grande criminelle Et quand à votre emi. in
LOS DERNIERS MOUSQUETAIRE:
Prenez garde / il y a une Comte d'Ânesse,adame... d'Ânesse, l'impeccable Athos,
justice.. comme vous l'aviez si spirituelle-
Par Jules r...E19.MIIVA.
Trêve de grandes phrases... remit surnommé, Milady n'a plus
mais diles-rnol que faites-voue jci ? rien redouter de Sel... car à l'heu-
Ah I je me souvien.s, s'écria re qui sonne, il doit être mort...
tout coup DM ia en portant les Croyez-vous, cria une voix, tan-
'b»°55euleitt l'officier toucha te niait pus à. travailler devant témoin mains à son uont,
c'est vous, MM dis qu'une main s'abattait sur /a
as de d'Artagnan et lui montra (irae espérer /0 fléchir, ni tueur c'est vous nui avos
livré les deux sienne et lui arrachait le ImPteeiiiiii4
"riilditi à la fenêtre s ni intelligence, avait dit de /u1 More hommes en étaient
Ici... c'est vous vole.
'temnett jaune ellani,n eepiomme lui adressa un ny qui le tionnaiSSuft. bien.
qui vous êtes fait tu oomphimo d. 0. Et elle recula, épouvantée, le com-
Pourtant il 1111 fallait partir. Elle miserable I
te d'Armac était devant elle, aocom-
ge, Et drill s'était redreSsée. hagarde. ch.ce- Le docteur, qui
ereyalt en avoir pagne de Trêmery
lente, battant l'air de Mas Main. ,
,p.oura« ron,ejBoino e vPautitii
p'rt, es... cria Quelle est roua femme dit
mn avec ,cette a ffaire, tirait peu- Ah, Mes maitre!, fit le ceinte,
demment du odité de la porte... regardent en face nette femme et le
p;,;.Mtareuse femiae. Jacques, Une loin auprès d'elle.
Restez donc,
docteur, dit la docteur qui eût donné beaucoup
Et elle vit à côté MI docteur Leuots
le
comtesse. Que vo us importent les pour être S. Constantinople Ou plus
Jyàtliit e.iiç éteit ébranlé et gent, un peu plus rose un peu plus déclamations de cette femme... Eh loin encore, vous croyez en avoir
poupin que de coeume, comtesse loir.. oui, sachez-
tomba en sonoreSanglotante, de Ombelles.
qui, de près ou
Elle reennaissait cette misérable. eau. de l'homme
e'élilitodheanr: son teeivetrt, nu vurm Ires- savait le mêle infâme qu'elle core le nom., m
avait joué dans la vie du comte d'An- temps exp/oité Co
ellait reiie serlii,o7 'nrerte, stupide, tura
amis de prétendue
la qu'us conduisait con amant Qui je suis, MI dit-elle, je suie tes avouentSa
l'amie du comte d'Armais-
lui, ni les siens,
ht
lorr âmp préfecture elle ne péri& Ah oui I je Voua ai vue tout 1s personne... Car ce
Il la belle conspiratrice, n est- ci...
Maures était un bourreau qui n'aL il pas vrai f bien, vous savez ma- Elle montrait
fi-
FEUILLETON DU tt MM? ' (78)
foseer le comte cette nuit même..
Sa haine enfin allait être assouvie!
Elle serait veuve I
Eh bien non, non, cet homme hal,
abhorre était encOre /à, devant elle,
la bravant et /insultant_
Et, da. un paroxysme de rage,
elle tira tie son Sein un poignard,
élégant comme un bijou et acéré
comme le dard d'une vipère et se
jeta eur d'Arum...
Mais d'un coup sec, le comte avait
fait tomber te poignard, et pesant
le pied dessus
En vérité, madame, je me demande
ce qui m'empêche de faire
enfin justice et de vous Mer.., car
voue êtes bien la bâte malfaisante
dont on écrase la tête sous le talon.
Mais vos amis tuent trop pour qu'on
s'abaisse à les inliter.
le, je hais 1001 ce ni avec moi... pas encore I Vous Puls, se tournant vers Giulia
de loin, tient à la avez trabi, Voue avez commis toutes Etes-vous arrivée à temps ?
dont je porte en- les lâchetés, et vous croyez être Mais non... mon dieu S le ont
assez long- bers de poursuivre 101m route à Clé entralnée à la préfecture... le
atm moi et filer travers/ toutes /es infamies et toutes temps passe... il faut les sauver.
s preuves de fan- les turpitudes i/ vous faut encore Ah misérable femme, dia d'Ar-
SIS maintenant, nt
tram si ces hommes que vous avez
comtes ose°P' éth
je ne crains plue Ainsi Cris. ava 200000 c ap- livrés meurent, je jure Dieu lue
s papiers, les uni- per I que /e Policier o. l'est Po.
froppé 1,1,e Ma, qUe lutimportait?
le portefeuille que elle savait que l'ordre etait donné de
Cette fois rien ne vous st,acheris
à votre châtiment... Les sauver I
il le fauta
Les propos
du docteur
erZ. 17 heures, émiesion télé/Shengraphique.
A h. 15, communiqués.
A 17 h. 30, musique militaire.
A 17 h. 45, orchestre gymphoeetZirse"dteas-comiques.
A 18 h. 15, quart d'heure d'accore
h. 30, communiqués,
A 18 h. 45, musique de danse.
A Il heures, mélodies.
ut 19 h. 15, orchestre argentin.
A 10 b. 30, communiqué.
A 19 h. 35, nouvelles.
!A 19 h. 45, orchestre viennois.
; A 20 h. 15, airs d'opérettes.
A 20 h. 30, musique militaire.
A 20 h. 45, orehestre et bal mueeZ51
heures, festival s MaSeenet e.
A 22 heures, orchestre.
A 22 h. 30, nouvelles.
A 22 h. 45, airs d'opérettes.
,. 'A 23 heures, petits ensembles,
, A 23 h. 15, chansons espagnoles.
' A 23 h. 30, grand orchestre sym-
"barrique.
A 0 h. 5, demi-heure de inusique
englaise.
RADIO-TOULOUSE
ET LES MUTILES DE GUERRE
L'Art et la Paix s à Hossegor
Les « Humées d'Espérance» insu-
au carrefour de l'Armistice,
rurées H août, par M. Berthod, ministre
Ides pension., continueront par la
marée e L'en et la Paix e qui sera
ItIonnée h Hossegor, le 20 août, sous
artistique de maure
typesidence
Le concert, au profit des mutiles
Os guerre, sera précédé d'une alio-
%dieu de M. Deyris, député des
Landes, et d'un discours du colonel
Picot, président des Gueules caseras.
Radio-Teilleuse diffusera cette
Manifestation patriotique destinée
.au développement des amitiés internationees.
die
Pestes tueras% ple-upa, phonos.
E. FHIEDERICH, Ing.-Const, 9, e. de
lindustrie (Cdombette) Toulouse.
TOULOUSE-PYRENEES
8 h. 30. 25110 émission du
Tourna/ parlé s flue édition). Deritres
nouvelles de la nuit et premières
nouvelles de la matinée,
'communiquées par l'Agence Havas
et préuntéess.par 141.. Louis Leepine.
12 leurra. La demi-heure elltraphone.
Grade de musPpie enregistrée,
organisé par l'Association
!radiophonique e Toulouse-Pyrepees
m avec le concours de la So-
Ultraphone Ftiançaise.
12 h. 511. Journa/ parlé n 12e
Derniètes nouvelee de la
gratinée, communiquées par 111.
Louis Lespine.
12 h. 45.... Concert symphonique
iterganisé par l'Association Hadiophoinique
Toulouse-Pyrénées s, avec
Se concours de l'orchestre de /a station,
sous la direction de M. Henry
Combat., professeur au Conservatoire
de Toulouse (chef d'orchestre
M. Navarre). Progratume :
Banqua, grande ouverture (Hérold)1
Faust Introduction (Gounod-Augrray)
; La Maconnaise, pour hast..
bois (Garimone, soliste M. Gaillard
La Traviole, grande sélection
iTerdi.-Taven) ' , HamleL, grand ballet
(A. Thomas-Mouton) ; La Lettre
Ide Manou (Gillet) ; La Tossa, Fent.
sélection (Puccini-Tavau) ; Les
Hers de France (F. Lette).
17 lemmes. Matinée enfantine.
Demi-heure de cousine Paulette
gentes, poèmes, chansons,
17 h. 30. Concert de MuSiqus
Istregistrée.
58 h. Mb. Relaie de Parie, Sente
Supérieure des P. T. T. 4 a Radiogouras]
de France m
19 h. 45. Programme des speoiacles
de Toulouse (lendemain).
19 h. 50. Bulletin météorologie.,
changes, cours officiel des valeurs
locales, communiqués divers.
19 h. 55. Journa/ parlé 3e
Sdition, présenté par hl Louis Les-
20 h. 10. Musique enregistrée.
20 h. 55. Confénences et cause-
Pies, direction M. Jean Douyau
Ai Voyages s, les Républiques Baltes,
par M. le Cemie Bégouen.
/ 20 h. 50. Re/ais de Parts, Ecole
Supérieure des P. T. T. : La Nouvelle
Idole, de F. de Curel.
/I faut s'en occ.er dee maintenant,
Saute de tome.
tee midis de ta rentrée nous accapa-
Les formes crorgantsatIon du travail,
P.hee les tomates
mante tern. miette appellent dee
°donde reront si vite que noue /l'aurons guère Ce qu'il faut dans l'eau bouillante 04,0e es
transformations dana la Ne socie,
enitNer le loisIr de songer à noue.
rechercher
facilement la peau.
(liftent aussi la rie des Individus et
Enietea
l'
Mine al
011000 les apo. coupées par moite,.
Soignons pourtant robes de maison ce qu'il faut craindre
Particulièrement de eux qul concou-
Mettez dues vos poule de l'huile
que noue revête0s plue souvent qua
rent a la production. Elles les obligent
luasa elle commence à entier en ébul- les toilette habit/eus, par et ne vedoutons les beaux jours d'été
porter leur attention eur des objets
lition, mettez, ice tomates sales, bol. Pas de consacrer quelques Instants
au'. la veille, leur paraissaient Indiffé-
vre, faite Cuire quelques mlnutm abois. ou confectionuer d'éligantes et Les Durs ensOlellbOs
rents ; elles les poussent a s'Intéresser
feu eif ; que no05 travel
sl voue supportes rail, clou- simple créations qui noue rendront sans et denl nose étions dés0e00UtUmé1
1. des problème insane la tue.. Deur
tee une gousse d'ail pilée et servez trac plus agréaMes encore h notre entoura-
eux.
chaud en cupoudr.t de persil fine.
lot on tIl
Le développement du machinisme et
ment haché.
ge. On ne doit point, en effet, réserver 159=jrieel,RL'ie dees"
la conesdration Industrielle, par /a Nous vous donnons NI un mode. de
substitution du grand atelier, de la lai Pelerine très tache à exécuter. puise.. 050
uniquement pour t'extérieur sa coque.
violets, si abondants dans lrerreolan'erirs
terie.
brique, de l'usine à râtelier familial noue aufOlou
Mayonnaise de poisson
Il est doto. contraire de se rappeons que
neer chez col et de res.r an si ce rairas eent
milieu
ont arraché la femme la rie purement assit f0 500117aiteflo 7,,CeéCe.en Débe.racer le
favorables à tous I/ faut cependant
poisson de ta peau, de
lus
des
domestique. elle en ont fait une ouvriè- de pratiquer ...ment une ou de. pin- ses arêtes, le diviser en Perimnoereaua besognes ménager...si charma. voir en faire image all000eolusls000a
re, ciente-dire un ouvrier moins payé ce sur les épaule. Vous obtiendra. de puis is mettre dans une coupe creuse, te eue les siens.
pas à tort et à travers
W. De là une nouvelle orientation de la sorte des petites pèlerine. nouvelle. P saler, le poivrer et l'humecter de très On dira Ose les déshabillée de sole La cure de soleil est surtout Mite
l'activité féminine.
Oui sent esses étroites et qui, pour eeia, Pou de Vtielgre bl.c. Recouvrir d'une et de dentelle sont vraiment bien fin- 55 4100
Lorsque éclata la Révolution de 1789. demandent tees peu d'êtoffe. Que votre mayonnaise très ssisses que t'adieu. ages et extrêmement coûteux it Oui,
eudulde. sou :2e": Siusltues, sou or
on comptait déjà un grand nombre de pèlerine sots coupée dans te dos tout du lion d'une cuillerée de vinais. blanc sans doute, mate /e satin 004 serait
/amuiru devenues, les unes presque ex- long, eu seulement à mi-hauteur si bouillant Incorporé. en fouettant emeclusivement
dee ouvrières, les autres .us d'ailleurs ridIcole et bien gênent pour
dan» le do. comme voua ohera de tomber. Garnir de quartier
hareement employées, méme dans les le verre Ici pour le devant, une patte. (Peule, de cerfeuil et de feuilles de .aucoup d'entre nous, n'est heureuse-
grandes manufactures. tins-gravure du ef.t de col rabattu achève de Min- tteur de laitue. ment pes Inilleneuseâle Pou, eeicu.V gr A eux qui Ant atteints de tubnn
e Recueil de l'Académie royale d. ner de la Puasse. à cette satellite am 000
de charmantss robes d'Intérieur On enlose osseuse 00 articulaire ;
sciences 18e siècle, reproduite dans poerra u porter, de le répète, aussi Pudding 05 sernoum
peut fort Men se cantonner dans dos és A presque toue les es de ritunirt
l'Histoire sOniaiste nous montre des bien eur une ro. que eur une petite Dans
Duales travaillant sur le carreau de Jaquette.
un demi-litre de /ait boillblant
soieries fumables 01 méme s'a...ter vers Nene Caranigue
faire tomber eu Mulula 150 gr. es ee.i. re de tres fins lainages. On eu fait am Mais il faut se garder, par ces fortes
la mine au triage du charbon.
Même si vous la choisisse. de couleur le, ajouter une One. de sel, 2 eue. Jourdihul de si soupleset de et Mgere
Ce modetrant de pénétration directe som.e, MM deviendra un alitement In- rées à café de sucre en nombre. Cuire que de pareil. tissus ...aient m.- rstrierlqUatl.lausesladir teyenter'e
Os la femme dans la vie économique a dépendant que vous pourrez mettre ad doucement en remuant souvent durant q.u.er de no. séduire.
heures de M journée qu'il convient da
continue sa marche aacendante, au fur dee robe. différentes
une dembheure. Ayant retira du feu,
pratiquer, entre 9 et 10 heures de
Enfin, les
et à mesure que se développait le mac
crêpes et velte de laine,
Incorporer Bros comme une noix de
taaférence.
Chinisme et la concentration industriel- MAYMMAMM.V.....MalM/COONSMata beurre fraie, 4 Mun. dinfe
allait gra cese que l'on trouve mainte-
pute le.
I/ faut, bien entendu, miértenter,
/0 et capitaliste.
4 bMnce battait en neige très terme. parnant mélangés de que/quse fila de sole, premier lieu au solen la .gion du
La guerre a accéléré ce mouvement
fumer avec un reste de citr. ou ont des coloris ravissants. des teintes Aro luI est malade les jambes. si ce
et. danses domaine comme dans dans Petit courrier (n.range râpé. Verser le Mélange dans un doues et pâles qui conviennent tont sont elles qiii sOnt arquees ; te bras
/es autres, elle a remplacé /a marche ré-
moule beurré. saupoudré de Inclue fait pour l'appartement
et C'est lui MM est atteint d'abc05 tiv
Salière do l'évolution que nous obser-
cuire une deml-heure bain-marie Comme formes
berculena. SM. le soteil n'agir mis seuvions
par une course précipitée d'allure Amie de sronmeniar. volet vin p.- dam te four. Se.tr avec une crème ou
révolutlonnaue !
.. parfait pour le nettoy.e de va°
Tom d'abord le type douillette. Hee lement d'Une maniere Matis r est tre
une sauce faite de confiture
Ce sont, en eçfet, de grosses muées
te vêtement classig. par exceilence. tonique, un attristant de l'état genérui,
0010005gèrem.t avec de l'eau.
meilleur
de femmes qui furent jettes sur le zuen,t."z,Y.r.;= que n'importe quel médira.
Ourse no mao
Coupe d'une extrême simplicité, mais
de_flanelle imbibée d'essence mp
Mlle 00100/1-Bizo.
ment. Il faut en doser l'absorption mn.
champ du travail pendant es quatre
impeccable. Lignes nettes. Mani/lei tbodiquement. (»couvrir au soleil un
anneee de dente et de ruines.
droite genre e teilleur le. Revers membre le premier loue, deux le se-
Ce mouvement d'industrialisation de un peu dm et fermant bien. Renan-
stricte à l'encolure. En un met une
la femme, qui a mérité de retenir et
simplicité voulue qui donnera toujours retZaeid;
a toujours retenu l'attention du soda.
Veelétv'e'cle'fi 7ervie'S' Les jours à fils lirés
«syeuse°.
Ilsme et du prolêmriat organisa, doit Laissez m. botte close onarante-hult
cette Impression de .tteté soignée que
et de la tate qui doive.
pezotea par un grand chapeau ou
eimpuer plus impérieusement â nous,
nous aimons parce qu'elle sied h mer
dans /a période prérévolutionnaire ou-
Un soliveau procédé tout
veine à notre allure moderne.
Tait Mé-
La duree de t'exposition au Aleil
verte par l'évolution capitaliste. am-. des cartes proprea et assainies. dit va vous permettre de varier Dane le genre itou, on trouvera faci- doit aire, aile aussi, progresive en
La duvette ettefflon faite aux females
par l'économie moderne a amené m. S. fini 0ecombinaisons de Jours RN tilement de &INN.. formes Yinspl- anmmençant par 10 minutes pUis un
meilleurs costumes de rée eut, duequh prase. ne Cloraient rant de ta ligne génteale de la mode, fivart d'heure, m minutes, demiAenive,
béatement une transformation dans
que Ma dessins bien rectilignes hien eh on pourra utiliser les berthes et les trois quarts d'heure, enfin / heure rat
leurs habitudes, Mure murs et leur e.,1,r,tterintsi,......e
de la vie. p... ou
popioure
Certes, dans la
Astmne
réglemente PNertue ai gracieuses.
est ana durée maxialum ne jamare
corl'InéNtable droit fil du Dam.
dépasser.
r.oceetion é oh nous vivons, cette transfor-
Vous saure, resinisnant, orner de
Ims premibra Ems on couvrira la
mation n'est pas toujours heureuse et
peau
ne va pas forcément dans le sens du aves,Ute e
d'une /égère soue. de vaseline
Nvisible amis la par-
ayant de la mettre au soMil.
SnOnaOO tunNue haan.
LES TACHES
fore'="le
nientu
Nuit.
Z""o'M
U"
laa Cure de Soleil peut aire dangu
relue 5 ceux oul Sont atteints de
vouloir ramenee'ler femmes
tubera
leur anstenie
oondition. Rêve irréalisable, el
Les taees a. café et de Nveolat sont Alose pulmonaire méme bénigne. C'est
ere..roet?:leevit'ariUje,teleoi Tr
frequentee sur le linge . tulle. Une Pourquoi les prédisposés, les suspecte
'a tO,, cierqurOnne ramu.eron quelques semaines, pomma. ettl-
MM la. et bouilli. le malheur est etz ne doivent jamais s'y livrer sens avoir
tleuve vers sa source. L'un et l'autre
si.arai réparé, emsout el l'on a eu la demande au avis médical.
peuvent être réglés et utilise en vue eenst*iie'val'eUrel e.inej."=:
p.caution de tamponner Assit. M ta- Les 00010511e une peut p,000usseuoe
lu nies che d9au tidde leserement
e la communauté. Cest en
t'inspirant de m principe du bien-être
mats g n'en eet pan de même pour cer- gulvants
ellectif et du perfectionnement dm ra.
taines étoffes de couleur nialMnt pas
m. lessive.
ses humaines que doivent étre examli
Lavez-Ms donc a lieu sa- ana;eteernetlircl«'
l
us'tier'ytêm%Ullalr;
tes, et par les hommes et par les femvonneuse,
puis frottez /a tache mue du qui est plias dosIOUreou qUe dung.
mes soclaustes et prolétaires
lause daeut mn, délayé dans un .an reux.
les conséquences
de la proletartsenn de la
d'eau ...Cuneo de quelques euttes
CONSEILS
Lorsqu'il se SOrteS une simpte
lemme EN cela au triple point de vue
Individuel, familial 51 .00101.
Pour 1. lainages et tee soleri., frot-
eux evec cnsation de cuisson, on le
A la formide des attardés qui répètent
tes 1,.arot, m... avec un tampon
r.ombattra par l'application de yeeline
ae smrineee ou à défaut d'un blanc diteut
Blyoeri, plie rincez plusieurs
aveC une constance de vieilles .ndulest
fois a
MÉNAGERS
battu en neige qui calme merveille..
reau tiède.
« La Femme au foyer ! s e La Femme
meut l'impression de brûlure. SI la pees
su foyer ! nous iropposers. racla
Repassez aussitôt l'é.ife u l'envers est
avec
sse. atteiMe pour qu'il se produise
formule un fer chaud jusqu'a oe qu'aile
du féminisme extrémiste érosion on une véritabte plaie,
La
ou
Débouchage don toscans à FénterL
Drame hors du foyer l n, mals t
entierement sech.
« La
traitera cdle-ci avec des AmpresAs
gemme partout 09 elle accomplit une
l'huile goménolée ou aveo du tulie
Plavez le Dagon, bouchon en bae
grau
gérai utile, par devoir sa par capacité a. dans une cauerote étroite contenant la
1
15 L'Insolation qui se manifeste rue
51 quells que soit la forme sous laquelle quantité d'eau voulue peur atteindre la
dee maux de tête plus ou moins
a Femme, de même que nomme, Nier- moitié du flacon t place /a casserole Sas relIs 55m 0,s51l5
su
violents
. son actiNté, elle acquiert le droit it a. le feu et feu modéré, porta lie.
la complète émancipation.
contenur â Mutation dès que va ee
comme rotule d'une relte'Int'lir 'al°_ast= DÉTAILS
reiaCne'ste.11,1°,"teleâ
Louise SAUMONEAU. produire cote retirez la cas- ai.. d'un emplacement,
00e oOalOhee 1000e n l'omble, On esotoe
meule du fou à l'aide d'un line mime, c'est, et vous voulez, un true,
la Mute, de ladre abondamment en
H) Saures e Histoire Sociattate s prenez le flacon, retournezde eue tar. Pie truc. mais enaire tenalt-0 y °angor. NOUVEAUX éviMut PMcool elles excitaMs. Seul
der et. aVee un Hugo sec et propre, tour- Il est hi. évident qu'on ne peut ti-
le cas, rare dans nos climats, de Mort
nez doucement le bouchon .1 viendra rer de Ma que dene le droit fil, au,.
subite, la guérison est la resie en M
immédiatement hla main. Le prend faut-il prélever des petites bandes un contglêts souvent les rads sua 99 heures.
SENSATIONS D'ART et infaillible.
centimètres 5centlmétr. et derni, 0e2 vos de earmanta pet. vêtements
da. le.uellea voue there be nombre sleioe dame verge Ingeuleu.. Ce sono steei=rgeSecheaTeresju'
*0+
de fits nécessaire,. votre Nur.
Menés qui ont fait sous /e ealeu
tanfût des bOtelroa ou de sielerines
mie
Voue déco.mrez rendrait à admirer,
lougIs marehe ou soi sont restes
des capettes qu'on
as
Flaques ayant contenu de .. voua fa.iierez un étroit rempli sur cha-
peut tailler dans un soleil, debout, Immobiles, Vétus frep
que nord voua fixer. me une seconde
Petit rmetrage de tes0 benjouns effé- Mandement (sotdate Rua revues ou
Peiteistes trempe, busguement dans fautilere 15 petite bande droit fe entre rent de la robe. manuvre°, etv.d.
de l'eau Mile, additionnés d'un peu de
cristaux es soudeHetlrezdes ensuite
les deux fermais et voue fers, votre 000
Ajoutons 4 . gliJet tele, pur sot
de l'eau et rempiissesale d'ammoniaque iour eqbella en Menin da. 74 tics
temps., Il convieut d'ales vêtu Hee
liquide pur durant trois ou quatre heu-
rondi.
La noise erineuse s'impose et eiliMpo- rament, mab surtout de .temente eats
re..
arce jour, enerelement noms haut, et Sein de Plue en plus ft ta rentrée, da05 pies, les cals raide. les ceintureS 1.
ensuite à Veau rames. ne
Sas ou le flaÇon ne serait point Mahar- en axe, ornera d'une façon aussi ao. les lainages Due muais?,
corsets doivent être soigneusement
Ors qu'élégante,
racé de toute imes huileuse, ajoute
blouses et les ro-
proSerits corn-me dangereux.
de rad. oxalique à 'cou cède du rintee
de sis fille.
000
Q.I. aux tout jeunes enfants, 11,
Demi.. de zonages eent fermés doiVent être (tout
ça.. Termines per un Onega
en les protégeant
l'ean mmsavestsvinema...e....svv.vmassavvwM
bure. Afin da d.barrasser len flac°.
par de gros boutons d'acier do forme des eispeents.d'air et du soleil direct
de toutm canes de maties. etrangsees
°année, disposés en rangs obliques, me lori loe000a allamica) Presque enflé.
voue ne sauta. mieux faire que de fai- Contre les piqûres - les extrême, pointes des découpez.
re suivre le rinçage fi./ du flacon dort
alçario proloneé àl'eau beuillie sais'
roi de D.J..m
d'insectes
000
Le aourrie.n doit ête miche h peu
pres nu dans son berceau ou sa voiture
S'Il
de und,
"
La Jupe-crelet sonnait toujours ta sa 211 rateraient II crait ess
+ +
En cas de piaule, ettrer tout daborq grande vogue 1 elle remonté eue la
de eider s,
le dard . Mime. s'il mit resté dans blouse seit en mouvements de pointes, dit ère. du coup de Adell
In rineolatIon et
Nettoyage d es lavabos.
piaie, puis laver aneui. INau vi- mit es rants arrondies,
51,0101 Au Premira
flge, dont no. reparlerons prochaine
nais.. ou phéniquée. on peut encore
Alors mal,s qu'un lavabo cet minu. utillem Mau additionnée de actinies 000
ment.
Docteur WEILL-RAYNAL.
tleasement essuyé toue les joute, ce' gouttes d...Maque eu PaatMa7T Les manches ballots tons emeloydee à
vet rapidemed une teinte ggisàte dire sensurseea de. sédative en.. tont et a camera Mais elle tent sur-
on vient f.ilement à bout en le lavant si m meere tUs donlottreuse, bals tout d-élide.. dans I. tissus légers
Peau de soude. Si quelques taches Suer M partie malade dans la
s-
lat...., comme
Ce mem déjà pae mal, comme
les moussu.,e plantee b mi- Les manuscrits, même non insérés
subsistent, frOtteades au blanc d'.80.- sgieten (1 gramme de sublime et
vous voyez ! Mais avec un peu mus eue, puis employez une tranche de ci. une cuille.o nuscules pole Mance
trialcool pour un litre
brodés sur fond ne sont pas oendus
de reom, le votos garantis une rare trois Après un rinçage à nroo d'eau) nlaquelle ou ajoute quelques
de coaltar, ou tond -Mame
et la MétlaeliOn n'entre pas
sensation ! !
marbre a retrouve tourte sa netteté. 5100e,ha goutte de /salami.,
L. F.... en correspondance 5 ce auto.
Il surprit dans les yeux de la comtesse
une /ueur de vengeance satisfaite.
Du moins elle lui infligeait une
terpee torture, di elle en jouissait :
Non, je ne vous tuerai pas, aije
dit, mais du Moins, je ne veux
pas que vous puissiez encore aujourd'hui
user de votre influence
criminelle pour faire du mal
bon.êtes
Et comme II s'avançait vers edle
don air menaçant
Laissez-moi passer, eria-t-elle.
Je vous défends de me tounher, lâche
I lâche
Fermez la porte, Aramis, dit
froidement le comte.
Il ava.it saisi /es poignets de lu
comteee et promptement de son
mouchoir 1/ les lui avait liés solidement
derrière le dos.., puis de
son écharpe qu'il lui avait arrachée,
il la bâillonna...
Elle se tordait, mais le comte,
avec une incroyable dextérité achevait
son ceuvre ; la comtesse, en un
bident, était réduite à l'impuissan-
ce la plus absolue
Mon cher docteur, dit d'Arme,
vous avez quelque part un cabinet
0 *1
Sur..,
le gril
On attend mieux'
Ce n'est guère, semble-1AL qu'au mis'
d'octobre que ton pourra ;apercevoir si.
siemernent si a as gouvernement radical
change quelque cheso
Malt 3 y a dos gens pressisuni veulent
nous convaincre que cette preuve est déjk
faite. Cui ainsi miun confrère radical
a'es1 extasié parce que dans les damier*
décorés du minitiére du Travail figuraient
plusieurs ouvriers et une ouvrière.
Il parait que a la Légion d'Honneur
prend «Mi m véritable signification e el
que voilà enfin une promotion N'aiment
nationale, au sens de 89 ».
Ro! Ié, forceuas., uob,r
feuil
bous,C
lait que jadis lm républicains vitupéraient!
ce, a hochets de la van. y, avec Impact;
les gouvernants faisaient marcher lu sou-
Mole, eues e,lz,r s ht., otqucsé
es 0505 resnlovl
»stère se fiche un peu, et tréma beaucoupe
eue certains des siens puissent orner letni
boutonnière de cc ruban rouge qui perMei
aux escrocs de la finance de n'être justicicd
Ides que de la Cour d'appel, après lcus
avoir facilité leurs escroqueries.
Si les travailleurs attachai. de prix à
ce genre de récompense, ils ne rompre.
draient pas d'ailleurs qu'elle leur Pd shed-
Iode avec tant de parcimonie.
Mais. en fait, ce n'est pas cela que les'
ouvriers réclament pour leurs Vieux joins.!
I, moindre grain de mg ferait mieux
affaire. Une loi qui laie assurerait à MM
do 501e, à 60 ans, sans les obliger préalablement
à des restrictions supplémentaires,
fereil outremer,' len affaire que a notia
Peur e fait à quelques-uns d'entre eux d'ana
décoration... sans allocation.
Aussi bien, et quelle que soit
'des intentions de M. Dernier, (sont.tenu c..'
une erreur de croire qu'il a innové en .
:ièmre. A1 cIszro.. lui ; it 0rée,d,hes sit: te
veileurs. l.t.on Aoublié
les vie. Mamans
M.
Paient pas quitté leur /erre. tenais que son
collègue des Colonies en décorait d'autres
parse l'avaient abandonnée 7
Si l'on pouvait, par ce ntoyen, contenter
tous les travailleurs, les gouvernants- m
plus réactionnaires seraient prêts à tom les
enrubanner.
Pour ce que ça leur coûterait I
JARJAILLE.
EN 'nier PARTOUT
soc leva MONTRAL rcla
BouseVelio oeS cacieCinss
Plus de Bois de Panama
JALAPA ut eue il EIN
che Plie., plus Vite, ravive les .uNurs
et ne verdit pae /e noir, comme le fait
Il bois de Panama. Le « JALAPA est
en vente chu les principaux Droguistes.
EpiNers et Merciers et u 0.1.91115 dit
JALAPA, Bordeaux.
dans lequel on ne pénètre jamais...
veuillee me l'indiquer.
Le courage n'était pas la qualité
donlinante de cet excellent doc.
.ur.
Depuis le commencement de
scène, il ne songeait qu'à Se faire 050,Le
petit, tout petit.
Il eût bien VOUlu certes se glisse
dehors, Mais Trêmery occupait la
porte que maintenant II guilait de
refermer.
Les yeux de la comtesse, lançaient
des éclairs obéir â d'Armao,
c'était s'exposer h de terribles représailles
de sa part... mals voyons!
comment s'y refuser ce diable
d'homme avait de Si vives façons
Or persuader tes récalcitrants.
A vos ordres,
Et del/bédane/A, il traversa la
pièce, ouvrit une porte, puis une
nuira, serré de prés par d'Armae;
oui avait, d'ailleurs, raMassé le mn,'
gnard de la comtesse et te faalV m
mireiter aux yeux du bon docteur.
Au fond d'un laboratoire oh la
poussière accumulée prouvait pets
de régularité des Ma.. qui /0,1
pouvaient accomplir, le dOcteur ou.
voit une petite porte 000duisant
une aorte de cellier obscur.
"gereIrelIMMIJRWURDZIEWMERefflWillLTTP.dultioutILTDITMERLIIMMeMMMEMMTlare17021MMISPILMIffliq
à que'eenque y N d fwagis te tticii,fia sçariri y, E c
rune
n kit ertieiper sa 4 .,
RECIAMEZ un Carnet tifi den' sderest:LEPARGE arnel 130ill
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OU L'ON EN EST...
...Avant que le pourvoi de Gorgulov
soit rejeté par la Cour suprême
Cari samedi, on le sait, dment la
_chambre criminelle de la Cour do cas.
grad., qua sera examiné le pourvoi
e Gorgulov.
Or, cette dernière audienoe ne sau-
rait soulever aucun intérêt. Ce qu'il
fallull savoir, c'était si l'assassin do M.
'Paul Doumer êtalt fou. Lee Jurés, â qui
la qu.tion n'a pas été directement po.
sée, ont indiqué, en refusant d'accorder
ges circonstances atténuantes, qu'ils te-
niaient .t accué pour rmisonsekle, pour
ttormal. Jundignement le cas nmse
os Ainsi. décierô eain d'esprit b cent
pour cent. Gorgu.v sera exécuté z voua
iteues bien que las dernières palabres
écront Organisées de femon d ne rien
Changer au verdier acquis. O._ mais
savez-vous ce que eet bomme de bon
Mus raconte a sa femme enceinte VII
peut vis-à-vis delle se montrer aincs
. re. 51 va mourir. Elle est le seu/ être
au monde qui lui témoigne encore aml
que affection toute spontanée, et sans
: aucune nuanee professionnelle. Au par
lelr, H lui a tenu li pau près ce dis-
e.. t
. - 11 y a un dieu vert, qui m'a chois,
Peur Minmrner sur terre, comme le
dieu d'Israël avait choisi le Cshrist. Les
homm. de notre temps ne m'ont uas
compris ph.ta que les juifs n'ont con
ara Tema Mon rotor commene.a
après ma suons On parlera de mon
éehafaud comme on parle de la croix
du calvaire_
El. l'a regardé, d... m a Mima-
t
- Econte-moi, Peul, usoreaceoiurl
yen à moi. Nuire fils va maitre. Te su.
rat toute seule. Que fandrasril, mus
tard, lui dire ?
Mals, a ...st Icondamné, ces
n'Mancune impartance..Ce qul compta
c'est mon régne, mon grand règne_
Te tiens ce McIt d Mme Gorgulov
eileguèrue, et elle ne me.ait p., elle
ne cherchait ni à feindre, ni à sauver,
meule amplement d colorer la vérité.
C'est ainsi. Si gassamin du président
Doumer avait cs. un simulateur, Ilces-
serait - tout est perdu - de aimaEt
surtout, n ne Mura, na-r celte stro-
e comédie plus longtemps à sa 10e-
Mais n'en parlons plus. Officielle-
ment, Gorgulov Ag raisonnable, rob
gcusable. On va re.cuter. 11 n'y e.
Plus rien b tenter, Huon à Preclamer.
ououtra fM, que l'on va couper la
te k en dément
Une curiosité m'est venue. Au cours
de An réquisitoire, le procureur géné
ras Donat Gulgue a reit mal d'un livre
Paru le Mar même, écrit par un ces
tain j. Lovitch, et qui paraBil, décri-
vait d'avance la mort ober de l'Emt
trançais. Te l'ai ouvert ce livre. et gai
Parcouru 1. vacances Judierairar
noue htiment quelques loisirs forcés.-
Il est exact que le président de la R3-
Malique française y est blessé légère-
ment, d'un coup de feu. male à /a gare
de Mils, et par une femme, que l'on
apicole Anna Godet A la même heure,
le ministre anglais des Abfaires étran-
grima périt victime d'un provoiliteur.
rerr le signal concerté d'une guerre
de mas.s. La atterre est déclarée, les
Rouges envahiment Murano, pénètrent
8. Paris et s'y installent. Mais les Rum
ses blancs et lee Français, alliés po«
la résis.nce, se ressaisissent. Ils Sont
sauter le Louvre, car le Soviet des mu
vehilseure M a installé ses serric.. Sui;
vient un .uv.0 Charles MertM qu?
...us. l'ennemi. Les unanime/1M«
rentrent défaits b Moscou. La eivillep
Tel est ce /ivre, intitulé Tempé. eue
l'Europe et mis en page Sn précipita.
ment - et pou,. ? -ton daul
l'exemple...me à moi remis, le Jour da,
verdier, /es pages 64b 131 manquent
N'étalent s11. pas encore imprimé.
Qui done avait intérêt â faire paraître
coûte que coûte cette insanité, on vral.
mem, et pardon pour le jeu de mots, on
ne voit de ...a peu vraisernitia.ble
que le martel. Dans le feu de l'and.,
ce. cet incident a passé inaperée Am
iourd'hul, on peut regretter que le ras
Preseutant da ministère pMlic ait fait
etat au dernier moment,. par suret.
se. de cette sotte publication. lices vrai
eue l'an voulait à tout prix une con.
damnation à tuent. Tant pis pour griss
sauce nt
Bref, lb faut voir les ohoses tegesi
qidellos Sont. 11 ne peut plus être un..
tion, devant la cour de cassation, de
nlaider la fol.. I/ faut s tenir. coin.
me pour n'importe quel assassin, à dee
guettions de imam. Deux erreurs. de.
a moyeu » ont été souteves. Peuvent.
autoriser quelque espoir ? Cent.
non. Mais los avocats aceom.plivom
jimpeau bout leur devoir.
Ils plaideront, tout d'abat'd, quele
crime do Gorgulov est un crime polit,
otie, et q. le crime politique est pu.
Par la loi de vingt années de detentien
dama une enceMte fortifiée. Ce brûlot,
Par nr.ilteer, risqne de faire 10,01
Au. Des arguments em foule, po.
nt contre, viennent immédia.ment à
l'esprit- D. attentats MM que ceux
tout récents d.e Germaine Berton, de
Schwartsbard on de Morahaelmili, jus,
Liciers improvises, étaient aum â ca,
ruai ne politimm, mais nu/ n'a Sté 0000.
00 do les voir juger aelon le droit com.
1000 11 ia-Lit protester alors. hala'
.. est établie, et il est vain
- protester aujourd'hui. La cour de
cassation pourrait d'ailleurs simple-
ment décréter -cl pourquoi de gêna.
rait-elle ? - que gosmtssinat n'eat p.
un crime polit... Personne ne proteo
ferait.
11 y a, 11 .0 mal, nn second etneyerts
soulevé, Mais qui rinulte Uniquement
d'un amblent do entame. mins la oie.
lion amassée b l'acemo, 01 était pré.
eiso que li, dobate seraient P.A..
Par lie, Plu 0g. Gest le premier préside.?
Dreyfue qui a fonctionslé et, li faut le
dire, avec beelleOup de distinction et de
mesure. Mais enfin, l'erreur due ecribe
sahels.. En tiendra-gon compte ? Peng
tout autre meurtrier, peut-être délibé-
rerait-on. Pour Gorgulov, la difficulté
est écartée d'avance.
Cs sera. done, samedi, une audience
dc pure forme, et Je le répête, sans au.
ou. Intérêt. Ce qui demeure troublant
c'mt de .voir si Gorgulov est saM ou
fou. Le resta vraiment, n'importe plus,
SYLVESTRE.
A TRAVERS
la Presse Ouvrière
Yiendra-t-il des jours
encore plus sombres?
-. Du Professionne/ des T. T.
Branchement, la situation présent:
gorts pas d t'optimisme. De au..
' Oie que l'on se tourne, ce ne sont que
menaces pour . paix du inonde, Ce
n'est que reseiron. ce s'ose presque que
Hep«. b, fin de ta piler r, le monde
a de ta p.« d retrouver sec éganibre
more/ et son équilibre matéMeL Pour-
suivant en mbr sa lactique reil/énaire,
le régime capitaliste a tente de Ireal'
lIeraI Bon profit les conséqUences de 51
on.tde,4ieffid,%eV:.f.1151:
de rems., les marchands de drap, les
etarchandf de camembert en pidlre,
pour tous les marchands. L'apreamtlef-
gs les a encore comblés, le fa//ait re-
lever les ruines et .reconstituer .les
stocks. It fallait spéculer sur les morts
et exit/alter les vivants.
, Tout cela le capitalisme l'a fait, mais
ne figurant que gâge d'Or n'aurait pas
nu fin, Il n'a rien prévu, et la cri.
est venue.
, Mais il faut trouver des remèdes et
ges remèdes c'est sur le dos dee pe-
tite que le .pitalisme les cherche.
/I y a dalleurs réussi, tout au moins
An partie, car en fa. de son désarroi,
11 y a tell autre ddsorrei, celui do /a
Masse ouvriére.
Ah: il est loin geePrit file lUtte
animuit le monde ouvrier avant . guer-
re comme au lendemain de la guerre!
La scission est rasade Par 14.
,PePtris, déportés aussi, les trevaib
Murs ne peuvent présentement envi..
fer une véritable résistance générale.
...Les hC47.O8 craque, vivons aujour-
d'hui sont tristes et angoiseonte s mais
Pon peut se demander si vraiment
ne viendra pas demain des heures et
Ces jours encart Ph. »Sabres... fur-
ces de dêntocratie readent denses ntn
me tem. in.4 /es dictatures et.term
rent eu exacerbant /es nationalismes
-égoïstes.
..Les peuples se replient sur 55e ml
mes, la guerre rôde à nouveau. em.-
Peisonnent gatmosplaére.
Aussi, de Plns en plus, le sa/ut .-
..rata en /a Game ourriare. Afais pour
cem, il faut que renaisse en elle le
périt.. esprit de niasse. Non P. o.
état fresarie de certains qui veulent /a
rmotutton pour la rdu.set.n, mais une
eonscienee pleine et entière des droits
et dOS possibilités.
Atier d Vidé« enenprendre le réer »
Or, et Von Ida pas tué rimée au a.
Se m classe ouvriére, on Pa bien rele.
Nous n'attendons pas de mira.e.
Mais nous pouvons en faire Un: Vanité.
L'OR ne peul que s'étonner, s'indigner
Mente de ce que les avénements ne
l'imposent pas avec tee joncs telle que
Gêne benitd ne se reconetipise,
Mente.
Ce ne gens pas, en effet, l'un des
h oindre, étonnements des générations
5utures, qu'asse a un mornent es critique
mer m cl ouvriêre, celle-cl, tout eu'
- ParOs organisée. gut deo
t

Dans Vensenrale dee) 26 cm-
Was 1886-1010, un total de 245.800
"rrespondani à une moyenne
alOu
tte de .
9 824 dé ès cl Un ta.,
rame
(rayon de Mortalité de 215 080.e rang
10,000 habitants.
« 6. Dans l'ensetsible des die an-
11111-1112,11, un total de 105.000
eépêS, correspondant à une moyenne
manette de 10.500 déctie (le taux an-
nuel moyen de Mortallité pour 10.000
babitante ne pouvant Pas se
tee non plus pour l'ensemble des
10 années, ainsi qu'on l'a vs de
pour la natalité); Mais OS toux rue-
sortant sue delle Chiffres indiqués
plIra haut, de 201 décès pour 10.000
habitants dans Peraternble des trora
années 1011-1913 et de 101 en 1920).
« 6. Enfim done l'eneemble des /00
tannées 1821-1020, un total de 098.400
Meras, correspondant b une moyen-
pe de 8.984 déc. Par an
« En somme, la mortalité a quel-
quepeu baissé dans la Flauta-Gar,-
Me, de l'une b l'autre des trois périe-
qies comprise dune l'ensemble des 65
années 1821-1885; puis après s'être
quelque peu relevée au contraire
rendant la période des 26 années
18)86-1910, elle a reCoMmentra à bais-
er, de cette période à celle des trois
innées 1911-1913 (en sorte que, de
te premiare période a celle-ci, e/e
a, comme /a natalité, baissé, niais
aine la proportIon bien, moindre, de
lel. Enfin, à l'inverse de la nata-
allé, elle a continué à baisser en 1920
-- et si ou la Campera à eu qu'elle
été dans l'ensemble de la Fran-
, (Oh on e COmpla succeesivement
e95 décès par an et pour 10.000 ha-
bitants, pendant les 25 années 1801-
4845; 230 pendant les 90 années 5856-
4504; 208 pendant les 25 années 1866-
&si 208 pendant les 25 miné, 188e-
8940; 182 pendant les 3 annes 1051-
5913; 171 en 1020), on voit que dans
je Ilaute-Garonne, la mortalité a
Commencé par être notablement in-
férieure à la moyenne générate de la
, France dans tont le cours des 65 an-
'Pies 1821-1885, tandis qu'elle lui est
devenu supérieure dans l'ensemble
rms 28 années 1886-1813, ainsi qu'en
1920.
En .particulier, le taux de 191 dé-
de pour 10000 habitante, qui S'est
produit dans la Haute-Daronne en
31020, est supérieur de 12 °A au taux
Moyen de nrartatitê, déjb notoire-
ment trop érave, qu'en vient d'Indi-
quer pour l'ensemble de la Franco;
e sur les 88 autrnu départements
français., il n'en est que 15 où des
tilld de mortalité plus élevés aient
été constatés cette année-là.
et D'un autre Mt& l'exament de la
Oituation dans les divers pays étran-
gers mentionnés au chapitre précé-
dent permettant de reconnaltre qu'en
cette année 1920, le nombre des dé-
cès pour 10.000 habitants a lié de
Me en Espagne, 131 en Autriche, 188
;en Italie, 159 eu Finlande, 158 en Al-
lemagne, 144 en Suisse, 139 en Bel-
6100e, 133 en Suède, 129 en Dune-
rttark, 128 en Angleterre, 124 en Nor-
'Nage, 159 en Hollande, en voit que
sur ces douze pays, il y en a un seul
D'Espagne) oh la mortalité a été
plus forte que dans /a Hante-Garon-
ne et deux aussi (l'Autriche et l'Ita-
lie) où elle a été eensiblement la
/trame, tandis que dans les neuf au-
tres, elle a III, au contraire, dans
une proportion variant de 17 à 38 %.
En résumé, le taux de 191 dee.
pour 10.000 habitants, qu'il y eut
. dans la. Hau.-Gtahronee en Draa, dé-
aoasse, dana une pronosticx inégale,
mais le plus souvent importante, les
taux moyens de moralité qui se sont
produite, cette année-14 tant dans
l'ensemble de la Fessue que dans la
grande majorité des pays étrangers
dont on vient de parler; dès lors.
et bien que, par aileurs, oe taux
soit le moins élevé qu'on ait oonstm
té dans m département de 1821 à
/920. on est incontestablement
fondé à dire que la mortalité se
trouvait bien trop forte, dans la
Haute-Garonne, b la fin de la Mtri.
'rte mr-1020
tt No. ajouterons que, depuis, la
situation s'y est encore modifiée
dAs un sens plut% défavorable, le
taux annuel moyen de mortalité y
ayant été de 105 décès pour MODO
habitants dans l'ensemble des 5 an-
nées 1921-1995; 189 dans l'ensemble
des 15 années 1926-1930, et par mu-
ent., 192 dans Pensem,ble due dix
annéea /921-1930 (au lieu de 191 en
1920),
BALANCE DES NAISSANCES
ET DES DECES
st Si maintenant noue mettons en
regard les nombres de naissanees et
de décès constatés au coure de la
période 1821.0083. les chiffres des
matonnes 6 et 7 du tableau ci-annexé
Montrent que, dans la Haute-Garon-
s., il y eut successivement
t, 15 Dans l'ensemble des 25 an-
araes 1011845, un trac 'dent total de
;64.700 naimances, corr.pondant
son excédent annuel moyen de 9.588
1/miasme., ou de 59 naissances poUr
10.000 habitants,
.1,8..2aiDans l'ensemble des 20 an..
11.-ta65, un excédent total de 12.900
eeiaan.s. correspondant à un m-
ns annuel troyen de 645 naia-
s... Pour Innen habitants.
ê 3° Dans l'ensemble) des 20 an-
ales 1866-1885, un excédent total de
Line naissances, correspondant à
.Oeeeédent annuel moyen de 55 nais
de I nai.ance pour 10.000
l'ensemble des 95 anses
n excédent total de 50.100
eSpondant b un excédmt
yen de 2./32 décès, ou de
ur 10.000 habitantn
l'ensemble des 10 années
n excédent total de 52.5W
esponda.nt ft un excédent
en de 5.250 décès, Mme-
) ite que l'excédent an-
des décès de l'ensemble
années est impossible a
Up 10.000 habitants (ainsi
i que relui des 6 an-
mais qae la môme
de calcul n'existe ni
nées 1911-1913, ni Polir
qu'en faits ces qua-
l'excédent annuel
qui s'est prodnit a
pour 10.00 Mb&
semble dès 3 annêes
9 en loue.
eu, en somme. dans
ne, un excédent de
s considérable dans
6 années 1821-1845
puis minime, dans
0 /t'Indus 1896-18/5 et
866-1835; dans
5 années 1888.1910,
excédent de décès,
très considéra-
14 à 1910, a beau-
eu 1920; et au 14-
esses faible ex-
Oc de 271 dh.
alu eu eue.. Per loO, dune l'ex-
semble des 100 Attlee de la pétiode.
» Or, si on trompara la st tuation
résultant des Mit.us qui précèdent
a celle qui s'est en même temps
produite dans l'ensemble de la
Fr,. (sauf pendant I. ale an-
nées 194-1919, où on ne la menait
qu'inccnpletement). On constate
qu'au cours dee 04 annéee 1621)1013
et 1920, la balanes des naissances et
des décès s'est constamment soldée,
dans l'ensemble de Ir Fran.. pur
dru excédents de naissances (qui
ont été de 61 naissances par an
pour 10.000 habitants pendant leu
années 451,0543 ; pendant les
vingt années 1836-1885 ; 9 pendant
/es 25 années 1886-1010; O pendant
les Sens années 10111113; 42 en 1920)
et on volt amas que la nituation
point de vue de la balanee des nrao
sanoes et des décès, a commencé par
étre Ma satisfaisante dans la lite-
Garonne que dans l'ensentble de la
Franuu pendant les vingt el, an-
nées 11,11i18:1 renais e le
Le
(un
pl dua'svoeu'vent même en ;r1a/itti plus
mauvaise), dans tout le cours des
mixante-huit années 1846-1913, ainsi
qu'en 1950, poiaqu'on vient de voir
que Mut se temps-là s'est par dehs
excédents de naissances que la ha.
laure des naissances et des décès
s'est constAtment soldée dans l'en-
meuble de la Fran., tandis que
dans la HautoDaronne, elle s'est
soldée. soit par des excédents de
naissances moindres pendant les
quarante années 1848-1885, soit par
des excédents de décès le reste du
temps.
rt En particulier, Pexeddent de
12 raieras pour ra.000 habitante, qu'il
9 a eu da. la Flanto-Garonne (Dégustation Brame WALSBEHO
1920, met ce départcnent en état de A mrault, Soupera
flagrante infériorité o d'abord sur Ouvert toute l'Année
l'ensemble de la Franee, où
duit l'excédent d issanees
s'est pour
pro' 2, place Esquirol. - Téléphone, 20-39
e 42 na
/0.000 habitants qu'on vient d'Indi-
quer plus haut; pois aussi me la
-grande majorité des départements
français envisagés individuellement,
car dans sobeante-treise de .a dé-
Parammenta (sur quatrehyIngt-dix)
oe sont des excédents de nn,issance tements du meur Baratte) Augusto,
qui s sont produite cette année-là ; 37 ans mrçon, de nationalité ita-
et sur I. dix-mpt départer.nts où Penne:Chemin Larrieu, à Lafour-
ailette.
Tous les Matra/ee ont été fouil-
lés et leur contenu jeté sur le sol.
line malle a été fracturée, une sem-
.) de 930 francs flni s'y trouvait
éte) dérobée.
Sur plainte, une enquête est Os-
verbe au 7e arrondissement.
Le Prix du Pain
Le préfet de la Haute-Garonne,
après accord avee les syndicats de
la minoterie code la boulaneerie a
fixé le prix de la farine à 200 fr. les
100 kilos gare départ
Le pria minimum du pain de con-
sommation courante sera abaissé de
26e. 15 à e fr. 05 le kilo a partir du
21 août murant.
DANS LA RUE
VOL D'UN PIIRTEMONNAIE
Certifiera médieal sera Produit.
Une mouâte est ouverte.
UN BILLET DE 100 FillINGS
QUI S'ENVOLE
Mme Delrieu, née ROIS Jeanne, 33
Mis, tailleuse, domiciaéle rue A.,
(Croix de Pierre) u Perlé Plaint°
centre tancé 1114 ci, ae arrondisse-
Ment, peur Vol d'un billet de 100 fr.
Commis le 18 courant, vers 11 heu-
res, dans un Saa h main posé sur
une table, à l'entrée du garage dent
la porta était ouverte.
Les malfaiteurs cnt négligé de
Prendre une somme de 35 francs
qui es D'Avait aves le billet de
ramrs, armee..
Trois millions dans le ventre
Employé à la grande banutorte
S... et V... en qualité de veddeur et
sur le point d'être remercie par ses
patrons le jeune J... S... a par mé-
garde avalé une perle d'une vnleur
deIrnpni
o'sn' a de fesuce.
e poursuivre, 11
L'a commis aucun délit. Juridigne-
ment, les bijoutiers S. et V., sant
toujours propriétaires de In perle et
J. S. tien est que le dépositaire in-
volontaire.
D'antre part, an dire du médecin
légiate, après examen radioseopique,
/a ponte s'étant log, dans Pappen-
den du jeune homme, peut- on ta
t, u am de la lot, contraindre
ce dernier h se faire 01...
Que faire I
UN PORTEFEUILLE
QUI CHANGE DE POCHE
M. Sauguil Charles 82 ans, ma-
chtniste a la T.G.R.T. domicilié 158
avenue de Muret, hors barrière,
avait suspendu le il courant, vers
th heures, son veston a la c/attire
de gironde d'un terrain sur lequel
il fait construire, et sis rue de la
Source, Croix de Pierre.
Vers 16 heures, il -O condate que
son portefeuille pl,é dane la Po-
che Intérieure du veston et conte-
nant une aemme de 2.05 fr. avait
draper,
Sur plainte, Une el:guète est ou-
verte au 7e arrondissement.
101002ra
BRASSERIE PERE LEON
110.021.44
VOL AVEC EFFBACRION
Le 16 Courant entre 13 h. 90 et
19 henree, des malfaiteurs ont pé-
nétré par effraction dans /es appar-
s est prodult un excédent de décio
il n'y en a que dix (Lot, Ger., LA
ebGaronne, Yonne, Creuse, Tarn-et-
Garonne, Nièvre, Allier, Ariège,
Puy-de-D me), où est exeédent de
décès sit été plus élevé que dane la
Haute-Garonne.
» D'un autre raté. cet excédent de
19 déc. pour 10.000 habitante, est à
la vérité le moins élevé qu'on ait
mnaraté aune la Hante-Caronne au
cours des trente-cinq années 1087-
1000; et de ce fait, on peut dire
quis] marque un certain progrès,
d'ailleurs bien relatif, pour ce dé-
partement ; mais il mnstitue, par
mntre, un recul incontestable sur
l'ensemble dmi soixanteminq années t
1821.1885, où ciétaiant des excédents 1
de décès moindres, ou des excédents
de naissancee, qu'on avait générale-
ment etonstatée.
n Enfin. si on °compare la situa, BENVERSEE PAR SINE AUTO
tion à, ce qu'elle a été en 1900 da. Le 16 courant Mme Combes Anna.
les pays étrangera déjà cités, on âgée-de 70 ans, domiciliée cheminais
canatate 9110 dans tons ers Pays 51100 Cois dg la Moure, a été renversée,
exception eee, non par des excé- I rie de mee, par l'automobile con-
dents de décès (pomme dans la duite par le docteur Charmettes, rue
Hatila-Garenne), Mats bien Par dccl de la Colembet. 45.
excédents de naissances (comme pbosée au pied, Mme Comtes
dans l'ensemble de la Franee). quo éra transportée à, non domicile par
la balance des naissances et dee dé- p uraur de l'accident
eiss n'est, m réalité midi. on
constate Infime que ces excédents de
'rturs dttt 5d'aPn1-s
l'ensemble de la ;rani. (.e excé-
dents ayant dt4 de 162 naissanoes
pour 10.000 habitants en Hollande,
139 en Norvège, 131 en Italie, 126 en
Angleterre, 125 en Danemark. 1E1 en
Allemagne, 102 en Suède, 04 en Fin-
lande, 82 en Belgique. 65 en Suis.
62 en Espaane, 33 en Autnche/
te En somme, on voit, par Mue,
ees A e 8..darm"ie noce
chiffres, à quel point la situation se t 'ait
rau elid
trouvait man... dans la Hante. s'est produit roune'nayoellnh dtoe,'fauce
Garonne, au point de vue de te 1 au village de Portet,
balance des naiesanoes et des déMs Nosu 000S ..""" rend" "r
à la fin de la période 0821-1920. lieux et nous avons pu constater
» Il nous faut, en entre, ajout, qu'une voiture Peugeot 301 n. 1053
qu'elle pu encore berme., conspiré RF9, appartenant à 51. Sabla Louis,
denura, ear de la comparais., a.' demeurant b Paris, 128, rue Diderot,
chiffres donnés à, la fin de Macun accompagné de Mme et M. Puni, de-
des deux chapitres préddents, réseln moirant à Toulouse, café de l'Avents,
te n que l'excédent de décès, qui a route de Muret, rentrait à Toulouse,
continué à se produire dans le dé_ est rentré dans un tracteur Renaud,
partemmt, s'est élevé de 35 décan 14 tonnes, n. 4888, F02, appartenant
Peur, 18000 habitante dass Pen., a M. Aguilla Antonio, entrepreneur
0. °,,,e1 années 1621-1845, nuis g Fos 1111e-Gne), et son conducteur, 11.
37 dànà Peneetnble des cinq années Duel Antonio, M. Fos également.
1026-1030 (au lieu de 19 m 19200. Le Dut.. a.." Four "."
» a CiA LE ON p sana d'une roue dronte a.ière et
dueprolrurcelxéeed Ire ses occupants sur la droite de la
pente
et chemtetee
trade entram de réparer, lorsque
Laines de de Roubaix
de. tattriero. 15.1«.
Ecrivea-novs pou, recevoir collec-
tions gratoiles.
Envoi franco
partout, même ai Testasse.
lire enquete est ouverte an lue ar-
rondissement
entrrenweerrentraltrereR
0011 Naft h meilleure de toodet
s'est ta BIÈRE DARRIBAU
Mir:Mumtmtmummuumumzueeded
ACCIDENT D'AUTO
colt-il vers 21 h. /5 une auto est allée
heurter, en voulant doubler, eus
l'obstacle,
La voiture 305 a eu toute la car-
rosser, (emboutie par les billes de
bois, une quinzaine environ.
Seule 141 ne Poch a eu quelques
ésratiemoss à la face et b l'épaule:
elle a été tram/portée à son domicile.
La gendarmerie a ouvert un en-
quête.
ANIS MATAD0110
Laisses. Marque "MATADORD.
TROUVAILLES
Réclamer é M. Coi.re Rom, eb,ndu
M. Jean Tous.u, 48 ans, cantonnier, du Buscs. 19. une montre; a M. Mes
route de Revet por. plainte coutre.r. des Moulina 13, un corset; à M
inconnu, au 6e arrendissernent pour vol Guichard, rue de. Amidonnier., 20. u
d'un pertemonnaie en cuir noir conte- Pleoravoravenrt à -M. D". 'us
nant une somme de 160 brama, aom.f. Puits-Clos, 5, une Petits somme: à in
I. 13 courent à con domicile. pendant There. boulevard Lamroase, 13, un mé
Mre son épouse se trouvait à l'épicerie. &Mont t, M. Lac., sue Labé., 10,
este adent. de cl.e.e, a M. Den., sue
DES COUPS ET EGBATIGNURES de Balance. 6. une musette: à l'eàl
m, Menl,ieu....met. de. Tremervi,.,:n poroofeltl«1.e.
Aldtw)F' Or te-7rannaie, rr: Ireacelet.
tarsier, n. 30, a posté plainte contre Mme se
Angèle, même' 4.4.e, 41a) main' 'de 'le, da 'rua euas
d.,

temffl
E., bordure de la route de Draveil, sur un vaste pl.., le
tonal de la Répilliqu dm Enfante adressé ses tentes. Sous le soleil ardent, les
cônes, éclatants de blancheur, m détachent comme de gigantesques fleurs sur k fond
sombre des ambres qui, sur l'aune rive de la Seine. formerit un majestueux rideau
de verdure. u Phu I Die Falken Kommen. u Place Voici les Faucons. n
Cette banderolle rouge, aux lettres Manches, floue à l'entrée du camp, où un
euH:d'sefetas environ. venus de tous les coins d, Franckl Bilgrque, d'Aile-
magne, d'Angleterre. de Suisse, vont pendant vingt-huit jours mener la vie saine
du grand air, sous la chaude caresse parfois même un PMI anisante
soleil radieux.
Le cane,, traversé par l'avenue joanujaurès, est divisé en quatre villages.
co,lenant chacw vingkcing tentes et dirigés par un ir mai. n. Celui-ci est chargé
' urun et de l'entretien du Ellage.
..gereg
Maque tente, [SM, d a., ILS d, tione, à à...à,. ses, vies arsà..ou
do sexe, ni de nationalisé, 80115 la surveillance flus aide ou mmiteur et d'un
et Menu. », c'est-à-dire d'un enfant choisi comme chef par ses petits camarades.
Les tentes forment un cercle autour d'un large espace libre, appelé r place du
village- Au nulieu de la plue flotte, au haut d'un mât, le drapeau rouge du
village, Irne é chas, marin et ramené /e soir.
lente, établit de solides liens d'amitié. Tous ces petite Campeuse Rouge,, qui ne
au connaissaient pae psautier jour, sont devenu maintenant de bons camarades,
's'aidant mutuellement dans cette vie nouvelle du camping.
Freundschaft AmiEé 1 C'en le mot de ralliement de cette jeune république.
Freiheit I Liberté I C'est le mot de pas..
La fraternité qui unit c. futurs citoyens fait bien augurer de l'avenir. Les
Horreur Le squelette du poisson
dansait tout seul dans la c/airière.
ratte/rem :
Une. oteuec.
.
NOTRIE JEUDI
ILLUSTRÉ
AU CAMP >pz DRAVE11%
Neuf cents jeunes Européens vivent
dans la plus fraternelle et la plus joyeuse des républiques
louons Rouges sont aujourd'hui los pon dimanche notamment ces fêtes attirent
niera de la uciété socialiste de demain,
Regardez leu. sourires frais, kun vi
des milliers de spectateurs, venus pour appieu&
les cortèges et les uhanta des pe-
-
Ets campeurs. Cele didisnanche dernier,
à laquelle ,assistaient parmi de nombreruu
camarades nos amis Léon Bhim et Jean
Longue, a remporté le plus grand eue..
ces. Et c'est avez émotion que tous su
litèrent les grand draneanz rougee
toues ces jeunes organisations, réunie en
fakeeau frémissant, symbolisant
l'union et la fraternité des peuples.
sagee g * grucu air k
tous dénotent %joie et le plaisir de MC./
loin des taudis, où malheureusement trop
souvent s'étiolent ces pauvres enfann de
travailleurs, la vie fortifiante et libre de
plein air.
La Répulilirnie des Enfants est ainsi
la république des jeux et de la joie. De
grandes fêtes y sont donnée, sur la place
de la République, vaste espace libre, situé
en dehors des quatre villages. Le
Fes ME Fm/ SOCFALISTE EE
N.KNAWL4VMANV,Ile,uuueu,,euuuVOeeuurictus...ide**,
Mais en dehors de ces fêtes grandlosei,
chaque jour dans lu villages, d'autres
&lues, d'autres cortèges sont organisés.
Et c'ut alors une véritable émulation
pour savoir lequel du quatre villages
donnera la plu belle représentation. Une
brillante phalange de jeunes musiciens
prête son concours pour toutes ees fêtes,
sulmuesées par ks chants majostue. du
Travail et couronnés par tme vibrante
International,
Le soir venu, après une journée bien
remplie, /es jeunes campeurs regagnent
leurs tentas rupectivee et, tandis que la
nuit duce. lentement, des deur. s'élè.
vut majestueux et dont les échos se répercutent
au loin dans k vallée.
Chantez, heureux enfante I Chantez I
Et demain, lorsque vous serez a voire
tour appelés à entrer dans la vie,
bliez pas les chants socialistu auaris à
Draveil Puisez en eux l'énergie nul,
fout, de travailler pour le triomphe du
L'oncle Anatol est complètement affolé, mais Cédé et Doudou ne perdent
pas leur sang-froid...
socialisme et soyez les bâtisseurs de I
Cité Future.
Tout a été prévu dans l'organisation
du camp de Draveil.
Sur la place de la République s'élèleg
baraquements de la u Centrale
Rouge », poste de commandement ail se
tient notre camarade Lowenstein, dise,
teur du camp. La poste, la banque pour
y déposer l'argent ou l'échanger, le central
médical, le baraquement bibliothèque,
dirigé par la camarade Crumbach,
mganisaniee du camp, Sont. les divers
bkimenn qu l'en trouve place de la
République.
C'est là aussi que, à côté du uand
POUR NOS ENFANTS
4 . LES AVENTURES DE DÉDÉ ET DOUDOU
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
quotidiu, dont ils ont eux.mêmes connainance
jet d'un règlement
du camp r La Parole.
Chaque jour, le lever ed sonné par un clairon à que hemes du 1
Aneet
eitôt tout le monde est debout pour /a kern de gymnastique. C'en
eneuite Phej.,1
corporelle, et celle désirée du petit déjeuner. Après avoir, prgg
de la toilette
egjé et mangé de fort bon appétit les tartines de pnin beurré et de confitures,
s
dauu font le nettoyage du camp et, dans chaque village, les petite cam,
'affairent autour dee tentes.
j,orge, jou net eu eudre, k joie reprend ees droite. Chacun selon see fonts
0, ha de la musique, chante, ou se rend sous la grande tante du réfectoire
aàe sa urrespondance ou écouter des causerie.
Après le déjeuner, qui a lieu à midi, et le nettoyage le. .
moment de la siute et du reput
eej
c'est
I
De deuu à quatre, l'heure du bain permet à.., les enfants d'aller &heure due
l'eau et de barbotte, avec force éclats de rire. Et 'puis les jeu teprennem juqu'à
Heure du dîner, et se poursukent 'aussitôt le repas terniine.
A 20 h. 30,1es quatre villages réunis saluent par dee chants le drapeau roud
que leu ramène du mât central. Quelques inunts plus tard, tue, dort dans I
pavois rouge, flottent le's drapeaux de camp de la République des Enfante, tandis qu'une garde vigilante veille sur I
différent. natrons PmEEPentes eu etttP sommeil pesant des petits campeurs, rêvant à l'Use de grande fraternité humain,
international. dont ils sont les premien promoteur.
La vie des purin campeurs fait Pub- , André BOTTA.
...Et volent eu secours
de leur malheureux oncle.
r
eoulemee, t pkysggp,
ing