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curriculum vitæ - Université du Québec à Rimouski

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• « Le dernier ouvrage paru, sous la direction de Claude La Charité, est issu en partie d’une journée<br />

d’études, tenue le 22 novembre 2002, sur la tra<strong>du</strong>ction des récits et romans de Roy. Il témoigne de<br />

l’extraordinaire persistance de cette œuvre bien au-del<strong>à</strong> des frontières <strong>du</strong> <strong>Québec</strong> et <strong>du</strong> Canada<br />

français. » (François PARÉ, Voix et Images, Montréal, vol. 35, n o 1-97, automne 2006, p. 148.)<br />

La Rhétorique épistolaire de Rabelais (9)<br />

• « Bref un livre au rythme allegro, mais qui, par l<strong>à</strong> justement, détonne dans nos études et sé<strong>du</strong>it par son<br />

alacrité. Il sert, bien enten<strong>du</strong>, le parti d’un Rabelais érasmisant, innutri de rhétorique mais prenant avec<br />

elle toutes les libertés. » (Catherine MAGNIEN, Bibliothèque d’Humanisme et Renaissance, Genève,<br />

vol. LVII, n o 2, 2005, p. 547.)<br />

• « De façon générale, on est l<strong>à</strong> face <strong>à</strong> deux ouvrages [La rhétorique de Rabelais de Claude La Charité et La<br />

lettre familière au XVI e siècle de Luc Vaillancourt] de très bonne facture “seiziémiste”, qui défrichent un<br />

corpus peu ou pas exploité en recourant aux théories <strong>du</strong> temps, et qui caractérisent fort bien les<br />

spécificités de chaque recueil ou sous-ensemble de lettres. » (Francis GOYET, Rhetorica, Los Angeles,<br />

vol. 23, n o 3, été 2005, p. 298.)<br />

• « On en retient une compréhension nuancée de la manière dont Rabelais aura d’abord tenté de se faire<br />

humaniste cicéronisant, pour ensuite adapter les diverses tendances de l’épistolaire de son époque aux<br />

besoins de chacune de ses lettres. Ce livre sera <strong>à</strong> reconsulter souvent, tant pour les renseignements sur<br />

l’épistolaire en général que pour bien apprécier telle lettre ou telle pratique épistolaire de Rabelais. »<br />

(Jane COUCHMAN, University of Toronto Quarterly, Toronto, vol. 74, n o 1, hiver 2004-2005, p. 152.)<br />

• « [La Charité’s] examination of Rabelais’s correspondence to exemplify sixteenth-century letter writing<br />

enriches our understanding of Renaissance rhetorical by revealing its subtlety and variety. La Charité’s<br />

discussion of the letter types is especially sophisticated in demonstrating Rabelais’s adaptation of<br />

content and style to the circumstances and audience of his correspondence[.] » (Judith RICE<br />

HENDERSON, Rhetorical Review, Copenhague, vol. 3, n o 1, février 2005, p. 2, consultable en ligne :<br />

http://www.nnrh.dk/RR/feb05.html.)<br />

• « Il restait donc <strong>à</strong> mieux comprendre la pratique de l’épistolier, en la resituant dans son contexte<br />

sociohistorique […] Ta démonstration, de ce point de vue, est tout <strong>à</strong> fait brillante. » (Martin<br />

ROBITAILLE, « Débat sur La Rhétorique épistolaire de Rabelais », Études littéraires, <strong>Québec</strong>, vol. 36, n o 2,<br />

automne 2004, p. 128.)<br />

• « La Charité has sensibly pro<strong>du</strong>ced not just an encyclopedia of letter-writing, but a learned, instructive,<br />

and extremely readable book, which both sets Rabelais’s letters in their rhetorical context and makes us<br />

want to learn more about letters and letter-writing in the Renaissance. This will be a valuable reference<br />

tool for many years to come. » (Barbara C. BOWEN, Renaissance Quarterly, New York, vol. LVII, n o 3,<br />

automne 2004, p. 1016.)<br />

• « Cet ouvrage, qui se lit avec plaisir et profit, est désormais indispensable pour l’étude d’un canton de<br />

l’œuvre de Rabelais qui était jusqu’ici trop souvent envisagé selon des vues conventionnelles <strong>à</strong> partir de<br />

critères approximatifs. » (Guy DEMERSON, Réforme Humanisme Renaissance, Lyon, n o 58, juin 2004,<br />

p. 116.)<br />

• « […] ce livre représente un apport indéniable aux études sur la Renaissance en insistant sur un corpus<br />

relativement peu exploité : le corpus épistolaire. À la lecture de son livre, on ne peut que donner raison<br />

<strong>à</strong> Claude La Charité de voir dans ce corpus une clé particulièrement utile pour entrer dans l’univers de<br />

l’humanisme de la Renaissance. » (Christian NADEAU, « La clé d’un univers », Spirale Montréal, n o 195,<br />

mars-avril 2004, p. 45.)<br />

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