- SOCIALISTE - Bibliothèque de Toulouse - Mairie de Toulouse

M. MM. S.13.498
ABONNEMENTS 1
111 mie. 22 h. 0 mol, uSIr., I an. 32 le
Hier, à Toulouse, à l'occasion du 25e anniversaire de la première élection
de Bedouce au Parlement, 10 députés, 18 orateurs ont exalté l'action
de Bedouce, l'action socialiste et nos raisons d'espérer un prompt avènement
au pouvoir à la fin d'un banquet de 730 couverts.
Léon Blum explique pourquoi les socialistes ont voté avant-hier
pour le gouvernement, c'est-à-dire pour la paix, et flétrit les
informations de la presse bourgeoise.
Au Capitolz
Le triomphal succès des fêtes
organisées en l'honneur de notre
camarade Bedouce était facilement.
prévisible.
Son extraordinaire popularité, la
foi intense qui l'anime depuis le
/ébat de son apostolat soiallste, ta
modestie de ses origines et la piano
qu'il a su prendre parmi l'élite, tout
concourait à attirer vers lui, autour
de lui, les représentants de tous les
organismo du Parti, non seulement
ceux du département, mais ausm
ceux de toute la région.
La foule de ses admirateurs et de
ses disciples fut telle que lesdivere
ses salles de la galerie des Illustres
ne purent la recueillir tout entière
lorsque, à II heures. /es portes du
grand escalier d'honneur du Capitole
s'ouvrirent pour livrer passage
au premier maire socialiste de Toulouse.
Il paraît. Une formidable ovation
pr longée jusque sur la
place ou Capitole, noire de monde
et tote réjouie de l'honneur qui
échoit à l'homme du peuple resté
peuple en son âme comme en ses
manières.
Il est enfeu.- de Blum, Auriol,
Tonnelier, Pampre, Capgro, députés,
qui l'accompagnent fierais Paris.
En un clin d'Oh toutes les salles
ides /Rustres sont bondées, au point
qu'on va éprouver golguest difficultés
peur l'accomplissement
pourtant fort simple des cérémonies
prévues.
L' Internationale retentit.
La Philharmonique, toujours prête
h t'enferrer nos manifestations, Per,
cule avm maestria et se fait applaudir.
Il s'agit de remettre sans aucune
snlennité, â Bedoce, les trois objets
d'art que lui offrent, à t'occasion de
son jubilé, te personnel moimpal,
dont il fut le chef; le conseil moioing
qu'il présida et dont il es(
nombre actuellement; et le if Midi
Socialiste s, qu'il fonda et dont il
est toujours administrateur.
RIV/ERE
nismes professent à votre égard.
Je me fel.la que les csreonstances
m'aient désigné .pour prendre la
parole à cette tète Jubilaire. Depuis
de nombreuses années nous ous
connaissons; l'an prochain fera quarante
ans, nous ous sommes trouvés
pour la première foie dans le
même établissetnent, travaillant à la
même besogne, et alors que /a différence
d'âge qui n'apparaît plus
maintenant entre vous et moi, ras
vous êtes toujours resté plus jeune,
était sensible, je subissais h. mon
tour l'ascendant que Mus exeretez
VINCENT AURIOL
sur Inc jeunes gens de ma génération.
Je me rappelle, en effet, que, dans
I a maison où nous travaillions ensemble,
vous vous faisire rernarmier
par une initiative hardie en moue
- SOCIALISTE
Rédaction et Administration e 33, Roc Roaselaine, TOULOUSE Tél. 0.03 C. C. Postaux t 3.277
BUREAUX A PARIS e 3, Rue St-Anna-MM (2.) Téléphones t Gatemberd 76.33 - 61.21: f,.anre 07.24
ses qui vous étaient faites. Mous
muez cotons adorablement le rote
fie radmsnistrateur municipal. Ln
1906, alors que le Parti 'ad/cal toulousain
était en pleine déconne.
tion, tète de liste, vous nous onemes
pour la première fess au Capitole.
Immédiatoment, votre lampéament
d'organisateur s'est fait Jour.
Nos sons vu pour la première fois
la ville de Toulouse se revêtir d'une
toilette quelque peu cnquette. Votre
nom restera éternellement attache
l'une des choses auxquelles vous
aviez pensé, pour ta propreté de la
ville, et, si â Paris il y a des pouâ
Toulouse il y a des bedoncettes.
(Applaudtssements et rires.
Mais, h la tête de l'administration
municipale, vous n'êtes pas resté
longtemps. Février fres l élection
de la municipalité. Mai tOM t le
maire de Toulouse est ( député de
la première circonscii ton. Vous
êtes ombreux, ceux qui devez vous
tappeler de la lutte entre Beilotoe,
un primaire qui n'avait que son nem
Whist d'études, et un remégé
l'Université, homme de se, te, néanmoins,
il ne faut pas le méconnaî-
tre. Veto vous rappelez de queiit
manière Bedonne tenait en échec,
do, os romains publiques. M. Beuglé.
M Bouelp a eu à ce moment-là
an rot très heureux; il a dit go
Toulouse n'était pas sen/enflent la
patrie des vio/ettes, mats encore sies
virdons et le violon enchanteur
c'était note ami Bedoce.
Bedouce député, son râle à
Chambre commence et sa premOr
intervention est relative aux trouides
de Narbonne. Redore avait détendu
/es vignerons narlionnais et
flot voulu donner le soin de
Ire représenter à natte ami Léon
Blum, one je suis horeax de voir
assister à cette fête.
En 1910. réélection; os 1914, ré,
!fiction novel/e. L'influence de
Bedouee se manifeste de façon de
n/us en plus grandissante tale Chambre.
Reporteur du budget des travaux
public, orateur écouté en ce
qui °encorne les queStioas finaneiè:
res, son esprit toujours en Med
donne des indicatifue piécises à se,
cellêgues de la Chambre. Si vous
elles un jour dans les couloirs de
MOMIIIIEEs.,51MELECTINE/
sdre RAUZY
avait lopin de brrr u pignon sur
rue et qui, un moment donné, a eu
peur de voue et de nos .doctrines
parte qu'à ce moment-là un .vent de
peur soufflait sur tout le pays.
-. Et lorsque, aux é/entions de 1919,
nous avons constaté les résultats du,
vote d'un quartier pour lequel DOnt
00100 500 certaine prédilection, parce
que c'était le vôtre, çà été, pour
siens et pour nous, un grand déchirement.
Comme beaucoup :crottes,
vous evez été victime des calomnies,
des injustices et, sur votre curante,
on faisait courir des bruits que
jamais personne n'aurait le' courage
mie répéter. devant nous.(ApPlaudis-
.
Alors que vous sacrifiez tonté
votre énergie, histe votre activité
pour la richesse de la ville et pour
restera irréalisé. Mais le mérite de
l'idéde en revient à Besioure et au
groupe parlementaire, je suis heu-
reux de vous le rappeler. Voilà
pourquoi, mon cher Bedeuee, dans
toutes les circonstances d'une me
que je reliera très rapidement, vous
avez eu autour de vous les affections
tendre, et passionnées de vos
ami,
Je ne Consols pas de défaillance.
Tous on1 voulu être ares de vous
au moment des épreuves, tous soue
ont encouragé.' Nous aurions voulu,
pour que la fête soit complète, voir
h vos côtés sotte admirable compaon,
Mime Bedouce, et vos enfants.
Mme Bedouce est retenue h Paris;
je croiss être l'interprète de tous
en vous priant de lui morler nos
maux de guérison co, tète, que
nous souhaitons de tant 0010e creUr.
(Applaudissements.)
Nous aurions voulu voir également
vos enfants. Vous leur direz
quelle est th Inc amitié, notre affection,
notre tendresse, et nous vous
prions d'accepter, au nom du Conseil
municipal, au nom de la &Mien
tolousaine et de la Elibtration, ce
bien modeste objet d'art. Il vous rappelleta
simplement les sentiments
que nous nourrissons pour vous et
vans dira quims toute circonstance
le .Consell municipal, la Section tem
lousaine et la Fédération socialiste
seront là, non pas pour vous défendre,
or vous novez pas besoin d'être
défendu, mais pour applaudir aux
succès futurs que voue remporterez,
pour vous, pour le Parti soie/fele
et pour la Ilberation de l'humanité.
(Applaudissements./
LE CADEAU
du Personnel Municipal
Le personel municipal lui présente
des cadoo turne. 1 C'est
d'abord une reproduction réduite
des fameux chevaux de Marly, qui
ornent la monumentale t'entame de
Carpeaux, h Paris. Bronze authentique,
d'un effet artistique remarquabl
P e du premier maire socialiste en
têtrunsequPereBuevileSulce prit possession I
d Capitole, il rêllnit le personnel
p 111` pro re 000 1001 avecus..
Jamais pareil geste n'avalt été
encore fait. Et, haranguant la foule
d s employés en camarade, il déclara
q 'aucune considération politique
n pouvait influencer le sort du per-
an.
Il demandait simplement à chacun
de la conscience et de la probité,
Ce discours, nul ne l'a oublié,
et chacun, à /a mairie, tient. à le
p 011VPD.
C'est porquoi le personnel est
eureux de oir Bedonne suivre, au
Parlement, une voie gbrieuse et
Léon BLUM
entouré du respect toujours gra -
dissent. de ees pairs.
Il y e des geo qui, lorsqu'ils disparaissent,
font pOuSser des soupi s
de soulagement. Il E en a d'autr s
qui font pousser des soupirs e
regret et( font naître le désir de 1 s,
vdoorm, Tentr. BOA 050e est de c
LE CA DFAU
du Conseil Municipal
Le conseil municipal présente à
l'ancien maire un objet d'art de
grande vecur Le Rapt
C'est une jeune fille qui enlève
à une biche son petit et s'enfuit,
poursuivie par la bête. Bronze vert
d'eau, bas et long, du plus original
effet et signé de Ciry Bitter.
En le lui présentant, le maire
prononce une alti ration très substantielle,
au cours de laquelle il
retrace, en un tableau rapide mais
complet, la itortore militante de
Bedonne, évoquant les émeus
premières, les tombais communs
C'est que Billières fut jadis, son
seulement le camarade combat de
Entoure, mais aussi son collaborateur
dans la précédente administration
municipale. Il n'en est que
mieux nasillé poncera évocations.
Discours du Maire
tlittmennts,
Citoyens,
Mon cher Bedouce,
En ma triple qualité de maire, de
militant de la Section toulousaine et
de membre de la Commission exécutive
de l Fédération, je viens vos
exprimer, au nren du Conseil municipal,
de la Section toulousaine et
de la Fédération socialiste, les sentiments
de fraternelle sympathie et
temps que par un tempérament
extrêmement prudent, et je me souviens
également que ces initialises
n'étaient pas toutuurs appréciées
p il pl t l.q p
4CI:sk-Itneêsmeas"Îuéraslep''rest.MU.
Je me souviens également qu'à ne
moment-là vous vous empresszez
d'orgainser les jeunes; en mélo
temps que vous leur donniez, dans
les pares, Os possibilités mie distraction
s sainee puull te ditnanelse,
vous essayiez d'entreiner ces jeunes
graves votre idéal qui ou pas
changé depuis.
n, tout jeune, rai subi votre influence;
petit à petit, j'ai marché
dans yetre sillon, et c'est ainsi
l'âge de 16 ans ou ténue et demi, je
commençais â ollabm.er dans la
Jeunesse socieliste et, plus tard, je
rentrais au Parti ouvrier froçass,
dont vos étiez, avm le vénérable
docteur Bach, l'un des animateurs à
Toulouse. Cette directive que vous
conneriea au travail et à la préparation
de la jeunesse, vous l'ayez
continuée omrne orateur. Je me
souviens des luttes éPiquee que vous
souteniez et de la façon chevaleresque
dont, un soir, vous camiez la
vie à. l'un de os adversaires qui, si
vous ne vous étiez pas trouvé sur
sa route, aurait pu subir, dans un
moment d'énervement de réunion
publique, un sort autre que celai
'il a subi; il ne vous en a pas su
d'affeefinn profonde que ras orge- gré, mais nos savons /e geste que
vous avez fait â ce moment-là et, à
notre tor, nous vous en félicitons.
Ensuite, vous êtes devenu journaliste;
vous avez créé un hebdomadaire,
la Cité e ce tournai qui
dans ses potemiques, fil trébucher,
pour la première fois, le Plus gram/
journaliste de l'époque, relui gni,
l'heure actuelle encore, embarrasse
Palais-Bourbon, vous serez frappés
de l'unanimité de toue Ire députés, à
isotonie parti qu'ils appartiennent,
à accorder leur estime â notre ami
Bedoce. (I,e citoyen Léon Blum
apipironuave
que Iraemaeinoti.
Ose d'adifersa'ireS, bien
de sa prose un peu diffase et an Pea
toone les colonnes d'un journal qui
a /a prétention de repreeento 15
démocratie. Ce n'est pas sans émolion
que, dans les cellections de la
ci Cité n, nos retrouvons le vieil des
luttes énergiques que vous avez entreprises.
Entre temps, vous étiez rentré au
Conseil municioal, avec trois autres
de nos amis, dans une municipalité
radicale; volley avez fait de l'opposition,
mais de l'opposition constructive.
Je relisais vos interventions
au sein du Conseil municipal
et j'étais frappé du néant des report-
il ne le bien-être des particuhers, on
vos 'acrusait d'avoir des châteaux
dans le liarbonnais, d'en avoir mémo
en . ispagne; c'était peut-être
Ces chaton. en Espagne, au sens
figure du mot, le filas clair de votre
richesse. Alos, mon cher ami, que
vous étiez amiaé d'Atre devenu un
Nabab, laissez-moi 'citer un fait que
j'ai connu et qui vous borore comme
il nous honore tous.
C'était vers la fin de la législature
de 1919, tin accident était survenu à
un vêtement de notre ami Bedouce
et ce vêtement il fallait, pour le
remplacer, une certaine somme et
on ne la trouvait pas. Et notre no
Beflouce, dans le courant do Siete,
alla à la Chambre avec un paréesms
de demi-salson. Mollit la pauvo.
de Phono'au riche float vos
étiez, mon cher, Bedon. et te trait,
loreque nous /Mons connu, nous a
touché tous. (Applaudissements.)
Lorsque, maire votre échec momentané
de 1919, je me plais à le
dire, exprimant le sentiment de tous
nos amie, vous êtes venu h Toulouse
au milieu de votre famille, vous
vous posiez au matin la uestion de
savoir comment pourrasqt manger
votre famille et vo enfants, c'est à
ee meut-là que nos avons com-
sa °JOpris, tous ceux vol vous entourions
llOtlinitésulu'tadue,,,cielinpuliafumnsee de l'affection fraternelle que anus
connaissez et que rien ne pouvait
de parti. (Apptaudissements.) atténuer, combien vous noirs étiez
Et cette sympathie dont il jouit donné entièrement, complètement à
au Parlement, il en jouit également votre thrhe, pour vous, votre hon-
dans l'eoemble-de la population. neur. votre probité. male également
Je veux marquer devant vous le por le Parti socialiste. (Applaudi,
rôle de Redore h Toulouse pendant SPIPPPIP.1
ta période de guerre. C'est lui qui a 1924. L'ère des péréiodes difficiles
etre l'usine immense qu'on appelle au point de vue Off/dorai est close
In . Poudrerie et mit est transformée. Pour Rotolo,. 15e 1919 à 19., vous
en ce moment-m. en Offiee national avez travaille comme toujours.
de l'azote. (Applaudissements.)
TI l'a édifié petit à petit, grâce h
cette Oseraie, calculée et voulue.
(m'il met dans chacun de ses actes.
Tl a été aidé en cela par les parlementaires
dp son groupe et un homme
qui mérite la sympathie de tous
les sociatisles, Alhort Thomas, à ne
moment ministre de l'armement.
Je veux faire remarquer aussi
qu'elle a été l'ingratitude de ceux
sur qui Bedon, grâce à son action.
avait fait pleuvoir de 130 h 40 mil-
/ions de sa/alres dont le commente
local a bée.... Tons avez été la
victime de cette classe ouvrière à
rtul vous aviez permis l'accession à
la petto propmété, qui grâce à vous
VAIIP
Mo réélu_ vous reprenez votre Pla,
h la C,hambre li ne m'appartient pas
de dire l'effort Cdrigidgvele que
yens avez fait; un parlementaire ici
C'est qu'il fut toujours juste L
orie,t artr cloti'ori?s"emuol/Ulersiderndle bon avec discernement, double tim -
lité rare chez un chef et que Bedou e
Possédait à un degré éminent.
C'est pourquoi le personnel municipal,
en lui offrant un bonze a
durée illimitée, a voulu lui signifier
la pérennité de sa reconnasseance.
En lui offrant une urne artistique,
toute parée d'enjolivures, il a
voulu rendre hommage b la manière
poétique et imaginative de l'administration
de Bedoce.
En Mi offrant le stylo, i/ a la certitude
qu'il ne outre qu'à exprimer
de nobles pensées ou à signer
des promesses qui seront toujours
scrupuleusement tenues.
Et, en lui offrant des fleurs, il a
voulu entourer l'affection collective
de parfums et de &Bretesse et marquer
les /iceux de bonheur qu'il forme
pour la santé de la famille et /e
promet rétablissement de sa femme,
si douloureusement accidentée.
En terminant, Ni, Carbon, dot
l'émotion visible gagne I le fo.
Redore et l'auditoire, exprime ses
sentiments personnels envers Bedonne,
qui voulut collaborer avec
tidPulidS
lui, d'égal h égal, au mépris de
toute hiérarchie officielle.
cals, uvre de Limoges, d'une hau- Le discours du secrétaire général
teur de 65 centimètres.
de la rnairie est 'encasernent ova-
C'est encore, enfermé dans un tionné.
écrin de cuir jaune clair repoussé,
un stylographe et un stylomine Le Cadeau du Journal
Enfin, une belle gerbe de fleurs Le e Midi Socialiste », eut., offre
rouges, entourée d'un large ruban à son fondateur un objet dont la
aux couleurs de la ville u rouge et Oient artistique apparaitra â tous
bleu tendre.
de premierordre lorsque nous
Ce sont vraiment présents prin- ns dit qu'il est some A, et, le
ciers. Le personnel municipal révèle grand artiste qui honore notre cité,
ainsi son effet:ion â celui gui les dont la réputation est nationale.
dirigea en camarade et pas en Aletc minait et aime Boloce.
Patron.
Discours du Secrétaire général
de la Mairie
Et c'est M. Carbon qui parle au
Présent certainement le fera. Une nom du personnel. M. Carbou n'est
idée flotte dont avec nuelques-uns Pas seulement le secrétaire général
de vas camarades vous êtes te PM, de la nsairie, li fat, en outre, jadla
one de la rénovation nationale, de In chef du contentieux, qui rentrast
l'outillage intimai D'autres vous dans les attributions de Bedonne. A
l'ont prise. Si Po vous avait écoté, ce titre 41 fut un des collaborateurs
Bednuce. l'outillage national serait les plus rapprochés de Bedouce.
maintenant chose faite, tandis Ms% M. Carbon marque tout d'abord
l'heure ettuelle, aven la situation combien vivace et profonde est res-
budg4taire mauvaise, avec le MIDI tée, dans le personnel, l'empreinte
fIlle vont créer encore dans /e bud- de Besiouce.
get certaines dispositions Prises « II y a, dit-11, des traditions ora-
avant-hier, nous mono tont lieu les qui se respectent et a perme-
de mire que l'oulIllage national tuent aussi bien que les lois. L'axera-
Son
fore N'Osa dans son In . a
mie à la eiTeeZnd'd'eeitrlir,;'Z'biot
que le il
son âme avec tout son talent.
C'est un meuble de ED/011. PD marqueterie
plane 1 une fameuseliseuse
n à un seui pied, avec tiroir
et cropartiment.
11 est en acajou ordinaire, très fin
ot orné de dessins variés, sans creo
et sans reliefs.
Il est présenté à Bedouce par
notre plus jeune dactylographe.
Mlle Marguerite Brunel, qui est, Psr
surcroît, la fille du premier gérant
du if Midi Socialiste fi, de celui qui.
sato Bedouce, partagea les transes
des débuts du »urne/.
FA c'est Berlia, l'administrateur- Notre camarade BREITCHEIDf
elder de la social-démocratie ailemeindi
dom la presse a dit csill était venu
délégué, qui parle au nom du personne/
du journal, -
pour
,ier sut les décisions des socialistes
itterieeiet et dont Léon Bloc s du, hist à
'Toulouse, qu'il n'avait eu aucune influencg
am notre attitudn.
nal dont la tierteest, la plus grande
des richesses. 1.1 moins, leu,
volonté n'y connaît-elle point l'action
dissolvante de la finoce
règne en maîtresse dans les sallSi
de rédaction de la grande presse.
Ce sont lee nécessités mêmes dd
combat quotidien qui voue einneM
conduit h mat le tilla.
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
25 CENT.
UNIX 29 MN 1911
Pourquoi les socialistes ont voté
avant-hier pour le Gouvernement ?
C'est ce que Le... Blum a expliqué,
hier à Toulouse, au s de la Fête en
l'honneur de »edauee.
DISCOURS
de l'Administrateur du Journal
Mun cher Bedouce,
Le if Midi Socialiste s et son personne/
Oint point voulu que se fête
votre jubilé parlementante sang
apporter sa part de louanges, car il
sali trop fortement tout ce qu'il
vous doit.
Le souvenir que nous voue offrons
est modeste comme nos remources,
mais il témoigne que nous n'oblinns
point que c'est à vous que l'on doit
In création du journal qtmtidien qui,
depuis magt-deux ans, n'a rossé de
sm battre pour la défense des tratailleurs
et pour l'amélioration de
leur sot.
La jeune employée que la persom
nel dli loures/ a abasie por vous
présenter notre sovenir est la Mie
de notre ami Brunei qui faisait partie
de Phoine groupée autour de
vos dès 1908, Il était le premier
gérant de noto journal et c'est lui
oui commence à supporter bénévolement
les multiples comparutions
en justice qui accompagnent tou-
jours une action politique audacieuse
et franche.
)
T.a mshle artislitme que nous vous
demandons d'accepter sort des atebers
du Maitre réputé'Aloi, cies
Artistes Méridionaux, et porte sa
sianature. Vous volis raPPellerez,
sans dOdte, que les 'molto des
premières années du o Midi ft mardent
aussi la trace de son talent
insigne et de celui de non frère,
Edmond Alet, mort pour la Franco,
par /es chroniques d'art qui paraissaient
allia tee signatures de Mordre
Faitnut et de l'Artisan. En souvenir
(IO yelIS. A/et a voulu, Pan son travail
et son talent, participer au
aeste des camarades du « Midi Socialiste
linos sommes, ainsi, au ff Midi s,
ne/nos-os gai tennns de otre
anrienoeté le nrivilève d'avoir 00005
Inuit ceux qui, à vos eMés, don.
rent le sacrifice de leurs efforts
Peat le lancement de notre a Midi s
et peur sen succès. Les ans sont
encnre à leur poste, d'autres mm.
portés par IPS luttes politiques, d'autres
sont morts t la tâche.
C'est Bernard Doha/n, chargé de
le chronique régionale. disnaru trop
Mt d'une lutte sali Malt faite pour
lui, comme lui liait faite peur elle,
Il dont le dévouement au Pott
avait vu son résultat désolé par
dévehionement du jounial.
C'est Bertrand. c'est Ani/otaries,
(t'est Lefèvre, c'est Martin. aujourd'hui
disparus, passant lors soirées
dans les SIDICIS done administration
difficile et sterillease.
C'est/ Vincent Auriol, alios tout
ipso. avocat. qui sonne les illIlif-
Mrents, annelle les socialistes à l'action
et fait du Midi s la tribune
redoutée de buts lo privilèges, des
préjugés et de là sehle.
ici, dès lors, le passé se relie au
Présent. C'est atijordibui Léon
Marielle. c'est Salo/sol, restés fermes
â leur poste et fidèles au jour-

eues .0. garde 18 gong.. bie
attaques mulet.. dont SM. IiitUS
l'uttel., tes lauti, comme maire de
itotre edla.
Itous limitons alors, pour dévelop-
per le suelelmine à Toulouse, que
notre ...ln enbdontanalle. la
4 Ailé e. Certes chaque dimannh.
se ...Salt pour nous Entendre et
attaquer leinversaire, mais, durant
six jours ensuite, c'était le silence
forcé pour nous, tendis que toute
la presse quotidlenne hwlait et
eainnonit., déin une municipalité
toulousaine.
Avec vous, av. Desbale Vincent
Auriol, Ellen Prévot, nous avons
vécu les premières heures du jour-
nal. Heures d'enthousiasme et d'es-
par.
Nous avons égaiement assisté eux
premières déceptions.
En effet, si Toulouse s'organisait,
si la vaillente Fédération de l'Aude,
sous l'ardente impulsion dur egrette
Forroul, se plaçait au premier rang
des pionniers du « Midi et im-
plantait m vente tuseue dans /es
plus petits vinages de l'Aude, d'au-
tres fédérations restaient indiffe-
rentes.
Aujourd'hui encore, certains so-
cialistes eoneptent sue les complai-
sances d'une partie de /a presse dite
de gauche.
1111 0e t ers complaisances vous
les avez éprouvées dePuis vingt-eine
allS.
Voce avez senti et nous avons
senti avec vous de quelles abdica-
bons,fl fa art Ire puyee.
L'exemple est ici même A Tou-
louse, où. depuis eingt-einq ans, tous
ceux qui luttent vraiment pour
n1-1tre idéal, toue ceux qui oeuvrent
pour /d socialisme, sont en butte
aux campagnes de presse, même de
celle de gauche.
Campagnes fanhtt violentes, tan-
tAl soornoises, contre les meilleurs
militants.
C
gre de silence. aussi. socle
traZ"1parlementaire des élus socia-
listes
Je sais que Von dit parfois que
tout cela aurait été évité si voue
n'aviez pas créé le « Midi Je sels.
évidemment, que, si nous étions
. .
a s luire eneeuée hoeorohlO,
noms anrait tolérés.
Aveline aurait tolérés à la eon-
ditinn de n'étendre le sodelisme oue
dans les /imites et edue la forme
qu'on sens aurait indiqué.
05 5015 aurait tolères h la eon-
daine que les Erni..rn de grand
emenel de la Démocratie aient un
droit ile reeard sur le Parti sono-
lise et melont sur le choix de Se.,
camildets et de ers Mes.
A Formel» d'une polémique essee
récente. Un direeteur 10ea1 ne S'egl-
il pas permis de différencier la ve-
lem morale de reUx 111111 .t eu la
charge d'administrer 1a ville detetic
vinid-cino ans au nom du Parti
serMliete
Ut vraiment on se demande ce
qu'Il y a de phis insultent pour un
sorielisle de enhir tee Ohmes de cette
mimer rte de mériter ses critique.
llest vielle, ealie forte, polie /mois
nee-epté. 'pareille situation en sont
morte.
Tin tel- démet. noue a été évité
h votre action. Recloue,
envesen recentrer./ par le me--
Pires/MI. d'augined'hul, h Metelle
le Personnel du « Midi Socialiste n
est heureux de partleiper.
Le jruornal que voue ove z crée,
V e vient-delle ans, nana sommes
Pore de t'avoir développe. renforcr.
oreaniee, et nous ne eenelrlee oie
l'arnelerer mur que Mer uvre se
confiera, prose faciliter les condi-
/line de lutte elle rérteretione
fraveilleurs qui neue suivent, eux
Menee mil viennent. gni .ont pilé
tiens cos rangs et nid. peu h Peu,
Prendront Post aussi les portes à
Merde resnonsabilité. S'ils ont m
vous remanier vivre. ils aiment le
sontiment d'une otetivite tonionre
Mune et Virmirense, si passionnée
'et si raisonnée à ta fons, mie Von
croirait que la sagesse attique a
érotisme sons in bene sobsil Mulon-
.in S'Ils moment eornprendre nies/
Imite la mite de votre evietrinee, ris
II frOlumment une repentie de dus'
roue beter les eneefis Mil viennent.'
Cen/. en terminent, In evre mi ne
volis of en votre nom le leur souhaite
hien efTeetommeMerit/
IligeOurS de Berlia est salué
d'one loneue ovation.
Ft c'est ineintenant Bedonne qui
g Mot remercier.
Un moment' 11 tente vainement de
L'émotion l'étreint trop for-
. ment.
Cependant, peu h pete I/ arrive â
Ji surmenter.
DISCOURS DE BEDOUCE
V vue avez affirmé. dit or à Meie-
r. eue je teetaut.toujours jeune
Pas assez eanz doute 1,41s Ole vous
m avez appoé im um rajeunir.
Mals no alls Me toscan le plus s'est
le garamère du Mol témoignage
d affection eue sexe donnez aujour-,
d'hue
Cette afteethun je la rapporte non
pas e am permne, mais à l'idée que
je represente, Video, À l'idéal que
représentent mes ee ans de luttes.
Cette idée net cd si, sont les meil-,
leures forces morales de l'homme.'
C'est grâce à eux que isa pu sup-
porter les calomniée, avec serenité,
j.mis appuyer 1,, plus petit
mutin/ont d3 haine, c'est grace à eux
Mite j ai pu éprouver de la epsee.ore-,
on Maveusait d'etre railliennaire,,
.,rg que ma femme ne pouvait me-
/ pas paie, une femme de mé-
iilliormaire I Hélas l Mais si Le
,lest où on nOmeumit de l'être,
s m'aviez offert lee présents
Jus n110 vous m'apportez auteur.
il, on aurait pu erciee que je
s en effet.
Es sont trop beaux Mai, ils me
donnent en quel,. perte une nou-
velle nromsion de for et d'idéal. j
Une autre mimn eejoie, e'.t la'
constatation que la population, si
elle a été trompée, le recors:lait maim!
tenant, et qu'elle commence à com-
prendre que pour °major de vus
démolie. nous, mcialistes, les miver-1
suires sues OBLiGES de ruas eu'
lama., Seulement nous ne soi.ms,
jamais atteints. Souvenez-vous en, !
députés, vous n'avmec
subi l'assaut de la calomel.
jeunei, . Pee en- 1
Mais ça viendra. Ne les redoutez pas
par avan. eae le. en/munies s'émou/t-
ee. toujoure contre notre probité.'
Les calomniaMurs .nt vietimee
bont de peu de tempe de notre han-
nèteté quelle plus éclatante preuve
que celle du dernier scandale Dean-
eoer Oustric. Toue tes partie en nom
eolabou... T., emeptfie
nou.,
Pum Bedouce, remercie chacun. Il
comprend le souvenir qu'à P. àssr-
der le personnel non pas de lui,
mem de là Ire administration a..-
tete. Le Capiitele, vit au haleou un
drapeau, et une flamme dans /a
mai.. C'est que te socialisme ne
'oonnait pas de servitude, met nos
1. travailleurs sur le même tien.
Et lorsqu'il dit à eus collaborateurs-
je n vous demande que de la con-
sciente et du travail, ildam. dit au
fond
Je VOUS demande de faire ce que je
veux faire molonerne.
C'est pourquoi on parle de révo-
lution. ,C'est pourquoi on rafle par-
fois de hos revirenients, nou ne sa-
vons pas noue retourner. gt quond
on veut nous attraper Il faut .urir
après nous, il faut done no. sui-
vre.
Puis ne mot pour le « Midi Socia-
liste s pauvre mais puissant faisant
trembler /es priems de la
Enfin une péroraison émouvante.
Ce qu'on fête anbe, rd'hui, ce m
ses et ans de hitte. Mais lui. Bedou-
lee.
vent fêter par avance les 50 ans
prochaios où quelque chose mea
, chanme grlke aux rennes, qui ani-
mée de Emma réalisateur sauront
!supprimer
traites les servitudes et
asseoir sur des hases inde.rietiMes
une sodé,/ où on ne vivra nue pour
eieheeer. mentions interminable et
;qui menme de faire crouler les
mues).
Entre les Illustres
et la Potinière
UN SIMPLE GESTE
Le public quille les Illustres. Alors
Bedouce, entoure des députes, prend
Ire superbes gerbes de fleurs qu'en
vient de Ici offrir et, ainsi chargé,
mes le moindre apparût, sans la
nictindre escorte officielle descend
silencieusement le grand escalier,
reverse e bondie du Copilote e
dépose lui-môme les fleurs axu pieds
de Jaurès.
Chapeau tees, sans nt mol, sans
Vu gesle thated
Mais, is sa vue, les personnes qui
se trouvent dans le tandis, Prem.
nettes, Iiscurs, rêv.rs, dispersés sur
le boues ou SM1S les 011/1trages se le
vont spontanément, se découvrent ci
se renient autour du monument où
Ils restent un moment pieusement s
lencieux,
Et l'on ne sait ce qui est le lei'
tonthânt I de geste rr-o r Po, -
on du geste necl, commandé et trot
aussi pathétique de ces pessanls, mot-
et.. et obscurs, mspendant leur
nmrche pour s'assoie,. à ememinitae
A in Potinière
La foule abandonne la galerie des
Illustres pour se ruer sera MB UMM.
ways, dont un service spécial est
organise pour le pore de la Potr-
cière. On y arrive sans encombre.
t'ancien front., surchargé de
fleurs odorantes, de (minettes boom
riantee et d'arbres agi/eh/ires aux
feuillages impénetrablee offre frai-
dieu et poésie eux convives..
l'e salle rit décorée de manière
magique. Dee folies rouges h pro-
fusion. des banderolies rouges
Une mande table d'honneur, oir
pr.nent phee, h cale do héros du
jour, Ire élue I
parlementaires, dé-,
mitée eonseillers gêner.. moires.!
Puis, drags/. perpendiculaire-
ment h cette tafcle, seize tables, nu-
méroté., char te destinée à une
délegalion bien délerminee.
Ainsi //MIS les convives, avertis le
matin même par la vole du « Midi o,
prennent leur place sans heurt,
sans hésitation et gens compétitions..
Au talai. 730 emports.
1%"S V:Sre°9S p'srilui de draperies
rouges sur tout05 les murailles. Ail
t'esses des écussons écarlates por-
tant les noms en gros caractères do- é
rés de nos maitres en socialisme
Marx, Branting, Bebel, Troe/stra,
Jaures, Gvrude,
C'est sobre et imposant.
Félicitations aux oreaniseteurs t!
Masquère, Dominique pieu. Bonne-
rom, etc.
Le banquet au fond n'a pas d'him'
toise.
De 13 à 14 h. 30 rien â signaler.
A partir de 14 heures cependant,
I e pare :commence A recevoir nom-
Ire les discours annoncés pour 15
heur. Ils se casent, .neomment et
ainsi patientent.
A 15 heures, le président donne
Igap,aerole au .crétarra fédéral Ma,
DISCOURS DE MASQUERE
Masouère donne tout d atmed lec-
ture dee lettres d excuses quel a re-
çues et déclare que la C. A. P. a
délégué Léon Blum pour la reprémn-
ter a tette belle mutplestatioe.
La lecture des emuses terminées.
Masquer, au nom de la Féd...a
de la IlteGne, adreese des rernemie-
mente. à taus les militants qui sont
dros nombreux, d'un peu nartout,
toutes tee fédérations aux dépu-
tés est/sente à la Bourse du Tramé,
representé par le vieux lutteur Be-
del au camarede Bertholuzzi eui le-
présente fa fédérati. italienne En
terminant, Masquire adresse u se-1
lad t miHtant, qu'ose Becte/ne, la!
hsympathie
déférente de tous les
stes.
eocia-1
Les jeunes dit-il, suivront le si
Ion mi il a trace pour l'avenir fé-
cond du socialisme.
LES EXCUSES
Lm camarades cldessons ont en-
voyé leurs exeat.
Frosserd. retenu ex., Popu/sire e,
envoie un télégramme d'excuses et
d'am Clés.
Seyerac. eimoye à Maseuire 1 .!
vux et le félicitations de la C. A.
P., représentee par Léon Blum.
C,
ambouleve. transmet les vux
des meialistes albigeois,
Mazaud, député de l'Arièm, et
Paul Boncour ont envoyé chacun,
une lettre d excuses.
Voici le terte de qtrelquee télé-
grarnmee .
Chaville. Cordiales salutation.
Meilleurs vux jusqu'au .ntenaire.
Grumbach.
Paris. Conseil général Parti go-
cialiste italien adresse camarade Be,
dowe cordialites fraternelles. Délè-
gue camarade Berto/ussi le représen-
ter sympathique manifestation eux.
Paris. Sois heureuse exprimer
à B... toute mon amitié et fêter
me.
av.) cameraitue celui qui ettetribus cellier tris applaudi, &est virce que
à l'unité et toejoers se dévoue no- grandit auest la ponete. 0.
I esinca cocue. hie, Présente avocateterMineet. dans un Men. hoentne-
camarades, aleitlse,
frereard.Jles deus metyre, Matteotti et
DISCOURS DE
Déteigne de la Bour. RIDEL
Inn aurite.en D/SCOURS DE SUBRA
Maire de Merde
vailE0de1i nn M.. de In Bette. d. Tree .Aneten secrétaire fédéral de l'Arlége
de Toutou., excuse 'imeneuve'
et N'orgues retenue par leurs obim. Ce vieux militant évoque les per-
Mons. A Bedon. coex-ei apportent mières heures de la bataflle soda-
leur mmoiseege ds penfoope eympa. liste. C'est Bedouee qui nt venir
th/. Suhra. au Parti socialiste, par
Ire
a
C'est
enutant
tant que militant
vertunt eiviolned'orateur.
Relatai que Pur min
! que comme oélrgue de la tale
tre grand part, domentorice. artisan) dee Ouvrisse, dee tgluell111-
« P5 PoPuleige e en Pleig d'o-Preiteli, TM/Pallier enit
IErrer.e intiMpeligeble
u Peuele
/Boer. qu roppode jee débute se. Et Sobre évoque la Mlle synd,
!dente de mihtant pue,s o, ge. cale, à laquelle Bedeuee se cense-
deu 000,,,..,orefo
ces beeeg era et dent Pourra, qui était ee
'effort/ e, h une époque où l'action sa- moment le serrétaire général du
cinliste et syndicaliste, était si clif- Syndicat des P. T. T. était t'anima.
ficle, il a su en apprécier les pré- telm.
cime. qualité. A ce tempe il était Ennealion PMine de Poésie et de
'en effet méritoire de revendiquer au pathétique qui fait revivre les hen-
nom des travailleurs, ces hémiones oh Faction syndicale
« Oh, cert., à cette époque, o ne et Fedi.) sacieliste. Intimement
pouveit voir a banqueta de ma ond. mêlées. poursuiveient le mémo but.
verts. A peine quelques nattante_ L'artion de chenue jour, mitre
C'est nrea à mon. Oui càààào 5e. rernerede Subra en fait une revue
douce, n'ont cosse d'oeuvrer pour la cupide.
prospérité du eocimieme, enue Notre devoir Pst de suivre les
devons de no. rencontrer aujour- directives de Léon Mme sur le che-
d'hui si nombreux In - nitre internalionel. avec te souci de
Tout ce passé. depuis Les débute l'éditeetion populaire au-dessus de
du emialianne, en passant par tee tout et BASA lA sou. de rassurer la
tem. Icloulmés Je 191t, à 192, met colite Pronriété.
un ser garant de l'avenir. Motteus deus le méme sac toue les
me toujours tilinelle aux militants.
Cet 'avenir, Bedel le mnaidère dom- adnele,nil'ae .0nn,inrn0./.0int00. cieei
Il e a encore des luttes à soutenir. ce eue nen. Pounee. di/n/rnr
« Én ce moment, doue le Nord, dit- Mieux.
Il, la classe laborieuse lutte cantre
le patronat. Il ne faut p. ne les
DTSCOURS DE nrnERE
el orgenieee po+ Député de la Creuse
une teMative rec
some '
rent, etl'aeTion" vamé't'haodi' 'r
queest Cm
« J'élisTdun''
e protestation véhémen-
t...imite propose. roc 1, Ce G. T.. te contre le fait que l'on ine doman-
aura raison de cette tentative s. Ide de faire oc discours. Je ne suis
1 il termine en magnifiant l'espoir pourtant plus un étranger et miment
de tous les socialistes et en l'avenir Toulou,e elle Hante-Garonne .t ce.
du Parti, de la dame ouvrière. Or. tenti de mes sonorités peut-être élé-
ganisée et de l'action s.ialiste. mentais.,
D/SC011etts DE MONTEL
Ici on ne fait point une tournée de
Citoyennes, Chemin,
masse, mais on assiste à une fate
laquelle s'associe la Fédération de la
t'aoelalutooe toute a ee ueu- ,
su de nos oemereope go, doLe de Riiére évoque ensuite te jueile
prendre M paroi, à. ppm dee Feel,. de Beteuille et de Constans, amoque/s
aucun dos eenuirut de tout le midi II détaille la vie parlementaire du
que je se connaime et cda me permet député de la Ire mot...rit/Do.,
de parler au nom de plusieurs fédé- explique nomment peu à. peu, il a a.
ratione !quit une autorité parlemeetaire sans
Je reparte notre hommage Baser- cesse grandimente.
ne! sur Bedouee. Ce sont des Yi. Rivière évoque ardemment ensuite
ee000e la sienne qui font Use dee la lutteeue va subir le
eotorinime,"ge%nôtres.
Parti SocialisM, eotamment pour
é au répondait à Jaurès un vote réeent
je ne regarde jamais derrière moi. ! ,, o m
'oet l'exeple de vieux mili-
n'en est pas ainsi pour noue C'est tacts, oomme BeoIuor, terne. Ri-
.1°,'entOorq'tiè'ontloeussonereingesssdd'asess dlee'reVit ""i""! Oses use
minements où nous gommes
A l'appel de notre humble Midi
Socia/isto o il se trouve toujoure de
noLveaux croisés pour ie
.1c comiaiS un bariquet Lffl, où
cette heure des hommes clamer-
ees dor y mi/tuait:ers protocomi,.
111000 ,d0 lm, Bedon., c'est la fêle
i des gens de cur. Ils se donnent mais
retet ,eiu je de Bedooe, D en.
Montel, neall de su jeunesse et. de Sa pie;
ratlauS I an uedoeiennea Il n'est Bnnin..
DISCOURS SIZAIRE
Député du Tarn
Moire de Cessons
Notre ami, député du Tarn, com-
mence par excuser Paul Boncour et
Carneoulives. Délaissant one impor-
tante manifestation, il est venu avec
me savent pas se vendre
joie
. tant plus que Toulouse fut I
« Le ubilé n.
et
j
fêtg, so., .igoede
Bedotee, mmi
élection. Espagnoles, quo noir de
'durreene
..c/iTe/eat:,/1,ekieete,ue'à,sI
m nn triomphe pour le iali. ceux qui comme lin ,
militante, confiance qui a maroute Ire
abondantes moissons eocialistee du
Mi 1.
Il boit, en terminant, à Red..
et eu Parti socialiste,
DISCOURS DE PARURE
Député de Céret
Aven une verve toute méridio-
sale, disons même eateclane, Pa-
rayre rappene comment il y a
plus de vingt ans, il cogita Bedouce
et comment il vint t la grande foi
Socialiste.
11 remercie Vincent Auriol et Léon
q nnt aidé h son sucres
P0ecro' o
ralrhecent. ear ce sont des
hommes qui sont de vieux modelle-
tes qui marquent aux jeunes lunule
a sun..
Se tournant vers les Italiens, Il
souhaite, avec des phrases d'un pro-
fond lyrisme, le succés du Parti
socialMte.
DISCOURS DE RAUZY
Camarades.
Au nom dP /a Fédération de
l'Ariège, j'apporte un salut frater-
nel à Bedouee. Il convient, t 'heure
ah la virulence des adversaires s'ac-
crotte de se retremper dans une
atmosphère vibrante comme eelle-
Remy, qui a laissé sa voix dans
une réunion publique, arrete le s9
brève alloention que la sa/te upplua-
dit lonnnemnut.
DISCOURS DE VINCENT AURIOL
Une ovation le salue avant qu'il
ait commencé de parler,
Il ne prononcera pas d'homélie.
paraitrait une oraison funèbre.
boulonne a eerne. Les fruits ? Voila.
ici, dans cette salls.
De tous ces fruits, Vineent Auriol
veut en faire partie.
Car Vincent Amie éveillé à l'idéal
sociebste par la voix de flednuce. ne
trouve pas d'autre père que Be-
doncc à sa foi.
Fi, à ce moment, Vincent Auriol,
ma per un monvement ole tendresse
irrésistible et dP renia, se
dan, Ire bras de Redoute en /mi
disent l « Vous êtes mon père pop-
tin., yens avez reenl en vons
Gueede et Jeudis. Velus Posa gA,
parte store veule eomoreniee le réel
et perpe que vous Miriez indeel, tout
ernmilior. toutes /pg lois, ontes /e8
ennecieuree. Alnet onorscle a
iM rée/igen dans la Fédération
mronneise.
,debrantee
de s La Dépêche a, il s'e
PiiM c'est l'évocation de l'après-
enerre et le discours eensationnel
Bedonre sur le traité de leo-Faillée
« nid de vinéres n. dont in sifflement
go Me error° entendre.
Et Veetinn de Redonec nette/11e, de
nies en el. Imre, de obis en plus
révélais!rr de la ronscienee Imma-
cuMe vie. Infteer.
7:uvre de Redon.. elle ep con-
fond avec 'Oeuvre du Parti et mite
l'or.rr de tome Ire ramendes Dru-
lonstairs. 11/nan hies dens les gram
Per perte/vent:Ores elle dons les
prime., Elle se ressent del
la tAssIenT dr, Pans.
« Redone, le cheon-
nion oneddioned de l'unité et. dent
Pnrne les oins de enlevante ans vous
reefoz /Monime qui incarne l'idéal
Id termine moneei no. p.our socialisme que /a connanee CeouveIles effusions minetionnées
sot aelyersufms
s est instaurée au cur des jeunes par 1111 tripIe ben dee convives.)
décorations. Maie il en roscsuo us
n'"'"t se" Is!"'"il ° du DISCOURS I)E Lion BLUM
travail, car il faut /tenir eervi 30 ans
le même mettre pour la mériter-
Je bois à Bedowe qui serri.3e Voici Léon Blum. Dans l'imme.e ventre pas de paiera. des Morelia.
ans, le PartiSocialiste. salle quelque peu eurehauffée III est nomes; pas lie secours aux 4 mulio.
ALLOCUTION DE BERTHOLUZZI
présents !tentent, comprennent que risques tees grands de sévolulion
le leauer parti! va prorioneer, terieure lever:Me aux hdleme.
Citoyenn. Citoyens
Il menIImime., de //lié a o.e e e nro
emicazd ...Beér'.,..me. du hajt deLseettrue des / 'll"sau°s " I ""s'
ttn,e .., 2 tOlece,,,/ào,/,.,,,,,,,,,,, car
,,,,,aminele,,a L qt_i.1,,, fatot,e.treitelos,,,
iculierement, I. eocimiet. proscrite 0014,re0B. Sr+, pP:ur:dritir:i°ou'r d'arme% 1
' "" ' ne n tt M
désirant lui offrir aujourel'hu'Si pe-
Itas1,,iej
'Llberte et sa. Patrie dere- le déposé de l'Aude déolare qu'il va
.ciini nés,,,,dd,, 01e1u gr s ,f,a lep oi rl I e,se, ttoeo t,,//,/,,,,dee, ..1,:e tli-l:r.iusoteeer heuon,,...ocisrui,:el oiLé.d..e.,icepti ton,(,yrreint ço.
foi qui nous est comniune, citoyen-
me,,,et citoyens ; n'est grand bonheur
r no. remontrer /ie. Me odutes
u monde' que nous voudrione moit-
eut, des pionniers Sole que vooa cm
marade Bedouce.
Les pionniers comprennent mieux
es pélerine Ils savent mieux lumps'
or et comprendre leurs douleurs et
Mais s.daan la vo. de Blum vi-
bre d'émotion, car, dit-il, il ea par-
lei pour IMet Bedon. ;
il cet !on aussi. député du Midi par
la gra. de Mordel.
L'Eloge de Bedouce
Notre Mole Blum l'anus et deux
ers eiscre,"kgr ho'zinmt. lu, ,nt
Ce laits'mon, 0e ml'
sont les citoyens avides d'écot, r
MAOUS.
sil, qui. mpond a une rés., cime
ont fait étape da. cette Oasis de-
Tout h l'heure, sus proscrits qui uo ///cle°
e'i»"',/,','''reh re,'"oAr
ej" os s
la
"/''Ïru''
Te'
'nun
'-'' Wmbs°l'u, pu
Ler een ra,gMed Jiiieuulrou.s,%peatn,..11/;'''i trait,'MCsaspplaudi, de13...2t1Oueg,ce'
fig. de celui d euh mot qui fut le P'en/te"avusefe'té. luei dit-il, le campe,
rem . '
ro% nue, oelruiplus noble et le
In, tomba le premier f (Dam. kiPlaht 50
-' ,i505;5 s '
o5.fienoi0''I'raè,/? L
0'er'inujoe'vilu:deelieleo,Uoe.i
teootTtiu.r
disait-il à .. assasems, tion de Toulouse.
Doux, conciliant, d'une eagesse.so-
js Sa
ron'issr,"p 1..i "seper >est pi, a' olykre:Ce. 50 et ,B,,'',",1%e'pL"pr ei er mi 'ire:Ji.;
re, marchant en tête. toujours
°///i' i idé. /lui n5. nn moi, y... .. cratique d'une modestie excessive,
nous 0,0, quoi nos oh qu'il aurait du être.
guide au conibat
aardezle efilousernent,
de
ohérisses-le B
(Crede,ee
/."'0heiee uetip'ur,. I qla Emin-
cher eamarade, &est tout le cur,
ve,t ee 0e .,..: l
, t2,r,..e.:raPdv.:C:ntuée c
nt u:n/.1:er:-.
toute l'âme et tout l'amour déchique-
dt:::: p,s,°:tupril:Zi:,:irb:',.",,c0L'it imtrealuitt.t.ri.efoi..::,11:::aeo arotreoani::,.
clevage, qui lutte et marelle e sa r.0 0 e B orme an
puie sur la réalité.
DISCOLIIS DE ALSEE
Maintenant Blum n'attarde sur la
An 5005 du Parti Social Démocrate boom de sobre o.:lande qui eall.
Autrichien
l'estime et le respect de tous.
S'excueant des défaillances posai. /h ...eu le grand Ph.. dT.I.Rfe"
Ides en langue fiançai.o. notre ca. ment national, son Muai, perme-
marade Alsele avec une profondo nette; la transformation da reseau
émotion nous dits gmel point les routier eet la preuve de m fécondité
manifestatiions de ce jour Ions tom Pratiqua
ohé. Fidèle interprète des sentiments Le plan d'amélioration des ports
qui nous agitent il ne meequera pas aussi est la conséigienne de sou
as lee Srsoohrnobsre â /es .marades Mon ainsi que l'Idée qui a permis de
p; wois. lb termine eon discoers, in- résigter à la proposition du prési-
n'aiment sincère dans son émotiore dent Hoover a laquelle il a utile-
en offrant Mus I. vux du parti ment participé,
socialiste autrichien h Bedouce et en Si à la mite d'un vote, le cabinet
buvant ti l'Internationale Socialiste. Laval s'a pas été renversé, c'est
que le groupe meieliste, agissant
D/SCOUDS DE TONNEL. LIEll
oomme des eréaniciers en présence de
Députa de Montdidier
débiteurs détaillante, n'a pas hésité
Voici Tonnellier, député de m..ai- e11 doeexcdnnt les nsuccispdene
qior, ors peu connu dana notre Midi
H est naturellement rès é.uté exigibles de l'Allemagne miect ms-
Tonnell.r. avee une pointe d'hu-
nmot, no. aoporte tout d'ebord le .
mat des socialistes picarioie rourguoi nous avons voté
I' exalte le bon renom de Toutou.
la timon toute cordiale dont il e pour le Gouvernement
été reçu da. la ville rose ce qui saut
à Biltières, une belle ovation des On dit que nous avions une créna-
neremiste. Il adresar un vibrant ce privilegiée f Certes. o., Mm.
hommage b Pedouce Chevalier quoi notes servirait ce privilège si
as Peur e mes repr.lt s et ,sm le débiteur ne Pneveit Iglta PgYer et
Vineent Auriol, dont Mondidier ne payai pas ? Si notre refus de mes-
e Peu epprécier toutes les qualité:, prusina 1b05 Palmnsufg oteen'le net.
Bite somalis,/ grandit, décloue Tonoeeréancies h la faillite que va-l-il de.
Poils es qo a tait le p00 00 essitLiine,
et Blum en démontre le mincie avec
une fécondité d'images inégalables.
Ainsi se trouv, diAil, par ceIls
mesure de simple bon mn', rejeté le
danger. pour l'Allemagne, de la dic-
tature hiltérienne, résultant de ta
gens finamiere de ce grand pays.
A la suite de leur vote contraire,
bien des perlemenMires seront peut-
être fo/tem/et genés de leur tacti-
i
Cette Mansion aux radicaux met la
mile en joie et en effervescence.
A bas Herriot, crie-I-on de tous el-
fes.
Ah, rprend Blum, ce vote d'hier,
débto les . émis
dans lempoir de créer une crise mi-
nistérielle. Mais leur tactique ayant
échoue, voilà qu'ils la regrettent. Il
ne leur reste que la honte d'avoir
voté avec Mare et Franklin-Bouillon,
ais peso se parer, dljh, 1.S ten-
tent une nouvelle manuvre préven-
tive contre nous. Ils essayent dans
leurs jour... de nots présenter
oomme des pantins entre les mems
de nos camarades d'autre-Rhin. Quel-
le misère. I.e groupe socialiste 'parle-
taire avait pris dès lundi dernier
.1/1/aide:Mon appliquée par ha samedi
Poursuigent sa démonstration, il
constate, à la lumière de cet axiome,
paulien on peut être surpris à la
lecture trartmles COMMA celui de ce
matin, da. la « Déo.he qui pré-
tendent des invraisemblances tou-
chant la résolution d'hier h la
Chambre et notamment eue notre
camarade Breitmheid aurait forcé la
comme nous sommes erronés l'u
MM de yole nationale. C est noir
1 e e e proe
.Les Informations
de :a « Dépêche
Reprenant les hypothèses ebra.
!tonne qu'elle ail pu recemment an
nower la suite en Espagne de lut
mème ai d'Auriol, et noème rende
compte de la réception gut leur fa
ménager aiors n y ont puna.
ers les pieds Pl
4/11119 < Le Dépêche a, devant le
pieoueltes de sun parti, p besoin d
liement. les évenements de Parti.
hèrn façon.
Elle fait erotre h l'exécution d'un
quadrille pan/igue.
CES PAUVRES RADICAUX
Les radicaux sont d'abord av. I
.binel et les s.inlisles contre. C'es
.
e loMe en oriel est pur produh de
Pinaginalion de M. Spectafor. La ve
rite, c'est que les radies. ont cher-
ohé une crise dans l'espoir d'en pro-
liter. Nous les avons entravés, pas
pour /eue faire une niche, mole pour
la pale.
Notre programme pour demain
Cette grave situation Blum a sou
lu 1-exposer deveat perse qu'el
le sera exploitée demain avie mou-
vaise foi.
L'orateur maintenant, ...HP
nant l'avenir parle de /a prochaine
campagne électorale qui se fera mir
Mut eue M problème du désarme-
ment.
Lee dépensee militair.
lent, ditol, des milliards s'engloutie-
sent, mais M trésorerie est épuisée,
le budget d'aujourd'hui se boucle en
déficit, l'autre le sera davantage.
Blum-alors montre que seul notre
programme pourra sauver ce Pe.
Quel est-il
Emnomiee militaire, fiscale, mono-
POIS nationalise, la terre aux petits
ro r''t l'éc I
Les radicaux pensent pouvoir ex-
ploiter eontre nous leur attitude et
la nôtre. Combien ils se leurrent I
L' Vtrd's!ti el7ress "e'osnsciloreiSerti'on
lié
lié surt.t an résultat et l'atoncsè
phère de la prochatne conférence du
désarmement qui va se trouver en
présence de super-armements de
l'Europe et de nos trois milliards de
beton sur nos fr.tières.
Nationedisation
des exploitations
pétrolifères. minières, des assuran-
ces, ces dernières permettant d'effi-
caces secours pour le chômage et
pour les risques egrico/..
Protection effective des petit pro-
priétaires plus expropriée que Fav-
or,. per le eepitteisme qui niternle
à les prendre erveo Mi pour les mieux
étouffer. Oarrioes nationaux du blé,
du vin, des engrais ; offices régula-
teurs des prix, garanties contre l'ex-
propriation.
Enseignement onirree distribué non
pas selon le heeerol des Mrtnnes
mais pur séleetion du mérite. Instruc-
lion edéotiete aux dispositions de
cheque eurent et gsreetie Pour la la-
mine contre le manque de saMire
d'appoint.
UN CM DRISPERANCE
Et mrmine par nn cri d'espoir
victorieux dans Favénement du so-
cialisme triomphant.
« n'y a plue, dit-il, d'espoir
11,1u,
seul,
s et
l'ouvre Ce ereomèsl.
i1
ooeu
co.mme celui eue nous fêtons aujour-
d'hui, de Bedouce.
Liei la voix de Blum tremble
d'émotion. la salle eet suspendue à
,
ses lèvres.
Voyeeous, dit-il, le parti! socim
liste qui monte, qui mont. poePé
par des multitudes d'hommes
que notre idéal a eonquis car le su'
cialisme p n'abandonne Pas .ex
qu'il a ris.
Toue cette armé, Itedouce, elle est
là la voyez-voue qui complète cette
céeémonie. Noua evons choisi la eau-
. juste, la cau. digne, /a cause
Vous la personnifiez, Bedouce, et
vous sentez bien aujourd'hui rom'
bien est. grande pour vous cette
dres., cotte affection de toute l'âme
smialiste, (Applaudissements).
DISCOURS DE BEDOUCE
Inutile de dire, poureuit Blum. .
que poent n'était besoin de l'in., r
menti. n allait pas à l'encontre de d
qui étaient bien loin d'avoir des e
=hies pour le gouvernement gi
ses Laval, ne l'intéresse pas. Lui d
evons-no. rendu servi. l'autre 0
Je ne Me ereyale pas BI modeste
je ne mecroyam pas tant de quille...,
je ne rine croyais pas Si puissant._
Je n'ai pu retenir mes larmes.
Tant pis et tant mieux.
A I heure où jet supporté les at-
taques de la réaction, les ealornnies
M
de nos anens amis intéresses d'au-
tes fois, les radicaux j'aurai rougi
qu'une Mime affleure à mes yeux
Aujourd'hui non.
Je vo. remercie d'avoir maM â
vos compliments le souvenir de ma
compagne, c'est elle qui a subi les
outrages et c'est elle qui a pli en
pleurer.
Je les pardonnerai, désormais, car
eelles d'aujourd'hui effacent te sou-
venir des autres.
Vous avm dit que j'étaie un Chef,
re ne suis qu'un soldat, un soldat
de notre idée, comme vous toue.
Ce grand parti dont le coeur est
fait de toue les vd(res et mil est
peut-111e ie seul Parti qui ait lm
cur voit se.puissanee grandir...
Il n'y a pas longtemps, un adver-
aire souhaitait publiquement aux
t'actionnaires des hommes dévoués
omme les nôtres. Cela ne peut leur
reiver.
n pourtant sommes-nous demi-
es par un minci électorat dans nos
écisienef Est-ce mue notre dernier
vote nous a été dicté par cet intérêt
dernagogique
D'eutros ont préféré pourtant ce
oirai El t/ est d'une grande tris-
esse pour none de voir un homme
tus nous avons, à peu près seuls
étendus contre les pires entraens
e /aisser dorniner, déeormais, par
es querelle, de clocher à mnins
qui serait pire prévoit et
répare une eombinaison plue OU
Moine ministérielle.
Aujourd'hui ces radicaux nuls
préviennent que l'on nous demande-
ra d'observer la discipline. -Mais si
/es radicaux et les réactionnaires
votent au premier tour pour on mê-
me candidat et si nu secontl tour on
oves demande de voter pour le mê-
me il se trouvera élu à l'unanimité
et cela serait une mauvaise affaire-.
Mals il convient d'apprendre à
régir M travail et ceux qui ont
l'honneur d'être choisis par 1¢ Parti
doivent s'y préparer auc toue les
CRAPOUBLLO?
plohlie un MM/AM mnstztioneel
» LES MYSTÈRES
--- DE LA GUERRE
e
'POURQUOI LA GUE11141? MIRA
; CINQ ANS. - LE PAPF EN 1914
I FUT-H. ASSASSINE.? - s LISTEL-
. LIOENCE-SElt ViCE. - MATA-HARI,
n CO' DANSEUSE ESPIONNE. - LESI
"IMUTINERIES LOLO.POCSO
RASPOUTINE, LE BOUC HYPNOTI-
SEUR. - LE COMMERCE AVEC
FRE - LA GUERRE VUE DE BER.
L'ENNEMI. - LES FUSILLES PAR
ERREUR. - LE SEOPET CHW-
rue ete
La livraison illustrée: 12 Pr,
(Elrenger1 18 fr.)
et une édit!cse erleinale de Mao
à 70 traces
RAPPEL DES NUIWEROS
A G^
LA GUERRE IMGERRIE (KM' 511151 1211.
LES ALLEGRO: 12 fr- LES URI AIRS: 12 fi
LE CRAPOUILLOT
3, Place de la 10' ove. Paris
(CC', 'met, 407-26)
Aboie d'un an 15. mj,
- France et Coli 711 fr.
Ftrairer t 115 fr,
fdemi-ferif puobol I 95 re.
- IIIIMMIliemeninmemegmemim
terrains. Cela Mures nous favout dit.
A la voix de Jaurès, tous les Mut
se sont spécialisés. Modestement,
mais tenaeement, ils ont poursuivi
leur but. A la Chambre, nul déhel
n'est fini quand l'opinion socialiste
n'a pas été exprimée.
C'est à cella hes,ne de bénédie.
tins que se sont attelée Rn députée
socialistes au Pariernent /... Sur let
plue hauts et récloutahles problè-
me, nos avis /, 1 0enut...5 et tran-
chent des situations souvent épi-
net/SeS. -
Se plaçant au point de vue pure-
ment économique, Bedonce detnem
Ire i 01501,1 les erreurs gag
pitalletes constant., telle Eerretu
consistant à refuser M prélèvement
sur le capital qui au fond était nes
stabilisation au coefficient 3, alors
que le gouvernement a tait les Iras
de la stabilisation au coefficient 15...
Le Parti socialiste, continue B.
douce, malgré les calomnies, est
p/us que jamaie le setd capa/te de
relever inc ruines causées par let
promisses ce pool 'st ee
Ceux gni par égoïsme suivent leo
partis bellicistes ne méritent paf
qu'on s'arrete à !eine raisonne.
ment. Le socialisme doit rappeler
h tons qu'il ne doit plus y avoir de
gueme, s Tous les homme, de cur
doivent former un roue de chair s.
Le parti socialiste se doit de vote/
, toujours pour les mesuree de pai.
' C'est ainsi que dè, mardi, le groupe
parlementaire avait déjà arrêté son
vote.
Par /es chemins 10110505 de la
niplomsbie, nous devOns
la Paix o quitte aue meilleurs par
leur sacrifice de faire fleurir l'arbre
"oritxo.e,ent venu les Daliens, Be-
°°P'eiX,s'ertsest jeSV dr!LC
An 411 /
teotti et de Ferrer. Dans un de nes
'Jes
t coi'untUiriesr°,"itls ent'ecliitO Stt
litépublllaue italienne sous l'égide
"Se sEas Mute unité de notre
termine-toil, nous vaudra le
M'emplie définitif 011 socialisme qui
sera celui de la conscience humai-
ne
e,
C'est est. 19 heures. Encore'
un triple han, encore /Internet/0o
nate et la Potinière se vide.
Nos impressions I
Nous 1m donne.. dcumfa.
FEDERATIONS VOISINES
REPRESENTEES
Aude. Mont., Sutra, Raulet.
Ariège. Naudy, Sabra, maire de
Mem., les frères Espmt, de Bel.ta,
Maestre, de Tarascon.
Gers. Dr Dettouié, Capperon,
Gabarroul.
Tarn-et-Garonne. Forge., se-
crétaire fédéra!, X..., trésorier fédé-
rai.
DELEGUES RTRANGERS
Parti socialiste es 00001 1 Carrer.
Parti socialiste italien: Bertholueze
Parti autrichien: Alsek (de Vien-
.).
POUR LES GREVISTES DU NORII
Urie coileele faite à la .rtie pur
notre camarade Belbêze pour Ire gré-
vislcs du textile a produit la somme
de 935 francs qui sera envoyée à nos
camarad. de Roubaix.
1E'X P RT
es(
Un nouveau maillot de dépêt
est décerné contre Ouen
On sen mie, essaies présent, te moio
clame mem/ Onatrk avait 1,131e1
de traie mandata de mont damt
narrai,. Malaandeau uocluette Jrrre
dernierement ; un autre dans l'affaira
de Holfra le troIeleme dam1
Mem. de corruption de fonctionnaire.
eul a amené Innen/peton du polleier An-
dré Benolet.
M. amen, lues d'instruction, vient de
gagner un eustgeme mandat de affle,
cette fo. dans l'affaire des « Chem,
mires Fransainee p.
D'autre par, Ouatait a demandé dee.
nr,r'JL'Coln 0h72,=`71
«
u groupe soma iste.
Or, aucune allusion n'a été faite
par Breiteheidt au yote qui allait
intervenir, lors de sa visite, vendre-
di, au smrétariat du groupe parle-
mentaire.
vention de Breitoheidt pour voter
dans le eens où l'on a voté.
Le groupe n'a done jamais varié,
d'autant que la reponse gouverne-
soient.. vue.
te fut la seule conséquence
de la volonté clo paix des simialistes
miBnlifere"tarilravderoserlUiret?,
nuit 9
Noie voix ne portent tAijoure p.
oe eer aria comme a Veramlle.
(Bises).
Que nous importe d'ailleure que
deneain vienne un gouvernement bloc
natmna/ I Qu'est-oa que cela peut
nous faire à cité de oe Mrmidable
problème qu'en l'union d. peePloe
le désarrnement
Ce qm est vrai, c'est que nous vou-
ions avoir avec Pi. O. S. sur les
problèmes internationaux dee con-
tacts de plus en p/us intimes et arri-
ver à Pwité de vote international,
...Mer son état de santé.
y y dore
tout Ibu dê eupponer sue. dane
on /es mOtecine «perte ne concluratr
pas favorablement eon Rassisse...a,
Oustric ne serait pas art. de eulttee
asana 45 gong, -
-rn ssrpir SOCITALTETIE r ovienellealfflemdRedillaffire
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

LE SALUT
par le désarmement
TL n'est pas vrai
teschiffres
sont précis et éloquents
que
la construction d'un croiseur
dans les chantiers de la Bal-
tique justifie pour aussi peu que
ce soit /a réplique de la tranche
ravale
et de ses milliards.
On a trouvé là un prétexte peur
Monnet satisfaction aux métallur-
lestes et marchands de nations, qui
/rôdent Comme rapaces dans les
antieharnbres Ministérielles, par-
lent en maltrea dans les conseils
de gouvernement et arrosent co-
pieusement la graode presse.
Ou eappme h recommencer, Ou
plutôt on continue ce genre d'opé-
rations, pour les tra.nehées de hé-
11...
POur faire accepter de nouveaux
Irailliards, on racontera que Par-
'suée et l'aviation allemandes sent
/devenues un danger auquel il faut
rapidement faire face.
Je répéta que si mla était pré-
sentement vrai, les rédacteurs du
traité ide Versailles, qui avaient
prétendu désarmer h Jamais les
vaincue, auraient été des traîtres
Pu de sinistres imbéciles.
M. André Tardieu, tué des prin-
cipaux responsables, ne S'évadera
pas de ce dilemme oU bien la
flotte, l'armée et l'aviation du
Reich ont été mises hors de jeu par
les mesures qu'il a fait prendre et
Inscrire dans des articles spéciaux,
Soigneusement étudiés, Dans la
paix de la victoire ; ou bien l'Al-
lemagne est devenue de nouveau
mie force militaire, navale et
tories.r aussi mettaçonte qu'avant
le guerre. -
Dans le premier cas, on trompe
le pays en lui faisant croire h des
PArtgers imaginaires, On le ruine
pour gonfler leu coffres-torts des
iournisseurs de l'Etat, qui ne sa-
pent plus que faire des milliards
qu'ils ont gagnés pendant que
d'autres se faisaient camer Io fi-
gure.
Dam le second ms, le traité de
Versailles est un grossier chaton
lie papier qui déshontme pour tou-
tes les militaires, les techniciens,
es tilplornates et tes, hommes
d'Etat qui Vont ctlinçu.
J'opte, quant à moi, pour ta deu-
La déclaration
de Léon Blum
pour expliquer
le vote de nos élus
Voici le texte de la déclaration que.
somme on le verra dans /e rompt(
rendu de /a ssattee, autre stm Lem'
Blum a fait, au nem du groupe, hie'
Matin, b la fin du débat, pour 'expli-
que. le vote favorable de nue amis
à l'ordre du jour approuvant la ré-
ponse du gouvernement à la neer),
lettonne M. Hoover.
Noua avons toiiijoue voté sen
!lb:Un:1'1.7re. Et g'irjou'Uniil
no. nommes encore en désaccord
avec lul sur plusleurs Pointe, nom
jugeons aa réponse timide, étroite
nt muette eur te point essentiel du
désarmement_
Mals nous ne vourene Oas émetrre
;centre la paix et le rapprochement
'des peuples un vote hase. par te.
que les négociations seraient sinon
xième hypothèse. Non que je croie
h un danger immédiat de guerre.
Tous ceux qui regardent l'Alle-
magne d'un peu près, môme en
tenant compte du bateau de la Bal-
tique et des éMetions hitlériennes,
savent que ne grand pays appau-
vri, dénanné pour le moment, et
ravagé de chômage, n'est pas en
état de soutenir les Charges de
toute nature d'un conflit militaire.
Mais il est absudde et cruninei
de penser que l'Allemagne, Etat
moderne, dans tune Europe capita-
liste surarmée, acceptera, malgré
toutes les clauses des traités, de
rester seule &Serinée tongternpa
encore. .
Surtout, ne Ponblims pas, qu'un
lui avait pranlis'que son désarme-
ment devait etre le prélude du dé-
sarmement générer
C'est inscrit en. Mutes lettres
dans le texte de Versailles, s'eut
dans le programme et la doctrine
de la Société des Nations, c'est
dans l'esprit de Locarno el du
pacte Kellogg-Briand.
Si tout cela est lettre morte Ou
dell le devenir, l'Allemagne dira ;
« Puisqu'on ne désarme pas eom-
Me il avait été entendu, écrit, pro-
clamé par actes et engageromts
mlennels, j'arme h mon tour.
Il ne sera MUS seulement ques-
tion alors, quton y réfléchisse tant
qu'il n'est pas trop tard, d'un croi-
seur a surclassant nos unités
c'est lb un bluff rarement égalé
dans les sonates du natio.lisme
Mais d'un pays plus peuplé que
nous, plus riche en industries 011-
liSable6 pour la guerre, et noua
surcWmnt ser toute la ligne.
Le vrai patriotisMe t'est, je le
Crois fermement, de se mettre en
présen. de Cee rooloos.
Ce n'est pas dans la courge allg
armements que l'on doit chercher
la Séellrité netiOnale et la paix eu-
repéenne, on n'y trouvera que la
ruine, Eanarehie et l'effondrement
de toute la civilisation humaine.
C'est dans le désarmement gé-
néral, simultané el contrôlé.
Deux conceptions, deux poli-
tiques.
Il mandes choisir,
PAUL FAUNE
M. Denten prononça l'allointion
présidentielle. Il résuma le événe-
ments surven. depuis le Congrès ex-
traordinaire de Bordeaux.
Le Congres ne suivit ni son pré-
sident si M Bertin, qui demandaient
qu'on discutât irturiMiatement le con-
flit U. F. EL-U. Ir R. A., les congres-
sistes préférant entendre d'abord les
rapports moral et financier.
i.e premier fin lai par M. Laurent
LE RAPPORT FINANCIER
M. Rolland donna des chiffres et
qui expliquent que la caisse fédérale.
se note lorsque la Fédération aura
payé aux clubs ce qu'elle leur dnit
sur le blocage des recettes.
al, Cours lut le rapport três sévè-
re de la mmtnission de vérification
des comptes. Grosse discussion entre
es docteurs Bergeret, Hème,. Came
(que de médecins dans la Pétri-ra-
tion!) et interventions de m. Hallse,
Picon, Manier, Bertin, Rasured, Dan.
fou, Mc...
La commission des finances n'était
ai présente ni représenleel Personne
pour répondre eux critiques, mais
unanimité pour déplorer les erre-
ments passés
L'on entendit le président convenir
rtu"reareetion't'anCL"s'MuTe:etee'. pnasc'f'onn'OrZ
des fidoucot n'a-
raient Incalculables. firme qu'il y avais là une admirus-
Cette seule raison no. détermine. Motion (inonde, déplorable. Le rua.
Nue suffrages rient paa toujours gréa approuva rapidement Ira corne'
tee tao., réserves des observations
pare'r(ure la fidèle majorité de.ccvii. feeksentées,
el, men n's jamais trahie...
M. LAVAL. -- Et nuit ne trahira
L.u.,s VrEpiViiitt/11iN8A2.NEIFMS
pas davantage...
LEON eLu.. ,.ce te mena Le docteur Caoro fit adopter les
pas ce noir dans le triste eituation mivants
de n'être sauvé que par ne. voix. t a Que les critiques de la com-
e La politique Intérieure n'est Ma mission de contrôle soient prises en
is e e a x
< Mais, je le répète, voyant dans
is conséquence possible de notre
vote un coup porté t la cause qui
ne. est le plus c.., nous marque.
rens notre attachement à la paix et
SU rapprochement des peupDs, nous
apporterons notre vote aux princi-
pes contenus dans Perdre du Jour
eccepté par le gouvernement.
LA VIE SF °M'IVE
RUGBY
LE ONZIEMB CONGRES
199/ LA FEDERAIION
FRA,NÇAISE DE RUGBY
Aix-les-nains, 28 juin.
A moms
de réanima imprevisibles, pouvant
sure au dmner moment, le Congrès
de u P, F. R. Maintiendra, nom. à
Bordeaux, te championnat de Fran-
ce facultatif, pour Mutes I. divi-
sions, y compris la division d'excei-
A mmun moment, un congressiste
n'a demandé qu'on aceeldt mi désir
exprima par l'U. In Ft. A aucun
Point, c'est-h-dire la suppression du
championnat excellence. Les. autres
points litigleun ont Me presque tous
acceptés 00 /e seront ailinurebet.
L'accord espéré entre les deux fé.
dérations est-il encore possible 7
D'ailleurs, une comnissim de ré-
votations présentera un texte cadi
permettra la reprise des discussions
entre les deux groupements.
SEANCE DE L'APRES-MIDI
1371 surjette présentées. Le 11e
congrès annuel de la F. F. u. ?est
onvert hier, à 14 h. sous ia pré-
Sur 731 mei.l,c en règle avec leurs
.eofisations, el étaient représente.
Isar environ 120 délégués. Si l'on T
Monte 16 voix des membres du bu-
rent, le C,origrès coMpte ou total 687
votants.
eonsideration s;
e « Qu'un budget provisionnel
soit obligatoirement établi la pre-
mière semaine d'octobre e
3° < LeS dépenses devront MM
étudiées par /a commission des fi-
nances et soumises au plus prochain
4° « Etablissement Fun bilan
mensuel et d'une situation financiè-
re sernestrielle ;
Quesoit constitué un fond de
réserve auquel on ne retombera
qu'aprOs décision du congrès
On aborda ensuita la disrussion
des propositions de modification
aux règlements intéressant la solu-
tion du conflit U. 01. H. A.-F. F. ift,
M. pantois ovnis réc,iosé
(ale de la cootée000e te eret,
mais pas un mot ne fut dit sur la
suppression de la loi de deux ans
dont on avait pourtant parlé à Bor-
deaux.
A propos du butin' comité direc-
teur, al. Dantou se contenta de dire
qu'il avait promis h l'ut, F. O. A. /a
plus large représentatinn possible
sans precDer le nombre de places.
ON TOURNE AUTOUR
A 18 h. 30, une heure avait été per-
due à discuter autour de la question.
Le docteur Ginetny proposa h uu
comité directeur, nommé par le con-
seil fédéral et dant les pouvoira se-
raient très étendus à côté d'une
cornmisamn de dianipline complète-
ment indépendante, aux dédisions
mus appel.
Main personne ne prononça le
mot de P.R.A. et .voir si cette pro
position pouvait s'accorder avec la
conférence de Bordeaux.
fie nombrcns congressistes inter-
vinrent quand enfin M. Bertin (AL
Imtique), puis M. Bernstein (Paris)
demandbrent au onngres de ta,rc ces-
ser l'équivoque et on aborda, le pro-
blème pour lequel I. congreseest.
',nt venue à Aix-les-Bains.
Mlin...N1hRES PROMJSITIONS
DU BUREAU
Le bureau de la 0.0.10. s'était rée-
n/ le matin et avait chargé M. lierne
tain de yrs..uc la deniere motion
finie."... LM peut ainsi ...mimer
cette Mutare I r Atoord sur la fine-
11e a.nunstrative ;55 aocord sur ta
COM11113810/1 de discipline (.3° Plier
le mamptonnat, suppressinn du
onannemmat de Francs Mme/tome
pour étude des moralités d épieu
ves qui permettront d'allier la liber-
té des eluba à leurs désira de compé-
tition
t'as un mot sur la me/tibiaué pour
les comités tégionaux d'organiser
eustmenes des champi.... .81.-
eaux onligaroires.
Dem l'esprit du bureau d'ailleurs
ce texés prévoit le maintient du
ettammonmt fatultatif mais permet
de continuer la dimussiron avec PU.
FILA. pour l'étude des épreuves à
créer.
Id.. Bernstein ajouta que deux prè.
sidents de fédéretione anglaisea lui
avaient fait savoir quelles décisions
pourraient être repris. si le Mem-
p/onnat sana être supprime était
amendé.
Voire contre-offemive :Le docteur
Bezian (Côte d'Argent) et le doéteur
Bergeret (Lyonne.) plus quAques
congressis.s procédèrent à la contre-
of lessive au nom des ancienne que
mous connaissez i Championnat en-
dispen.ble, obligatoire, nos sept h
huit vanta clubs en veulent, ils en
voudront toujours I
Mais Io dmteur
Benian ajouta qu'ils se rallieraient
au texte si les Anglais ne veulent d
aucun prix du championnat et ails
Fédération a de trop grands bemins
d'argent.
LE CHAMPIONNAT FACULTATIF
EST MAINTENU
La péanee est reprise à 21 heurea.
L'on aborde immédiatement la ques-
tion du championnat et la décision
euivante est prise t -
« Le Mampiomat obligatoire est
aupprimé, cependant les clubs au-
ront la faculté d'engager dans - un
championnat facultatif, qui sera or-
ganisé par la Fédération. n
LIBERTE POUR LES COMITES
REGIONAUX
Fut ensuite votée à main-levde la
liberté pour tes comités régionaux
d'organiser leurs championnats °orn-
aie ils l'entendront, ce qui mus-en-
tend eue des comités régionaux
pourront rendre les ohampiennate
obligatoires, d'autres fmultetnts.
L'ENTENTE ENTRE
LES DEUX FEDERATIONS
Le congrès diseuta ensuite trois
ordree du jour qui synthétisent la
position du Congrès de la F.F.R.
vis h vis de IT.F.R.A.
Trois ordres du jour sont déposés,
par MM. Bernstein. Bertin et Ore-
L'ordre du jour de 11. Bernstein
a la priorité.
D'ores et déjà l'on peut dire que
l'entente entre Ms deux Fédérations
semble définitivement mmpromi.
L'ORDRE DIJ,JOUR DU CONGRES
Voici les principaux pointa de
l'ordre du jour du Congres ou, plus
exactement, da l'ordre du jour
.1)Jds.Ce7'
lellteroavreterrbu.-
sentants de 111. F. R. A. Adepbae
B Le Congrée accepte le peindre
des propositiom administratives
présentées par les délégués de la In
F. IL à hi Conférence de Bordeaux.
Sur ces poMts plusieurs votes
« Le comité direeteur aura 25
membres (unanimité) ; sera
nommé par le cotiser/ fédéral r (592
voix centre 87) ;s /I aura une du-
rée de trois ans e 1384 voix contre
295).
Aucun vote n'a été émis sue les
pinces Oct seraient réservées éven-
tuellement aux membres de l'U. F.
R. A. dans le mmité directeur. Le
principe du vote l,llieinl a eté adop-
té par 526 voix contre 144.
La Modalité d'une voix par équipe
active avec, un maximum de quatre
voix par club a êtê votée par 401
vola 00010e221
e Suppression du championnat
obligatoire réuni/ace par le Cham-
Piree' f
Les loeuurintrit's senronet :remi-
t) I t f /mat vé
ses en dehors du championnat le
sermt sons le contréla financier de
la F. F. ft, imain levée). Lutin,
appel pathétique a Me adressé en
faveur du retour des Mohs de ru.
F. 4. A. dans le giron de la F. F. R.
PAS IDEQUIPES BRITANNIQUES
La en tala prochaine
Londres, ati juin. Au cours de
son mem/née générale, la la. U.
d'Angteterre a réélu président M.
Pearée, de Bristol. Ce dernier dam
son allocution déclama '
« Je dois démentir l'histMre osa-
menant. l'autorisation donnée par la
Rugby Union à ses °tubs de conti-
nuer la renoontrer /es clubs fran-
eaie.
« L'Angleterre est solidaire des
antres unions britanniques, elle ne
fera rien en dehors de celles-er Les
affaires de la France ne nous inté-
ressent Mus ; il est doncimpossible
pour nous d'envoyer cies équipes
oshlre-alavohe. in Feavre doit mol-
me nots en avions mis jadis avee
le Northern Union ; apr. nous ver-
Irons.
Je préférerais donner un mot
jelus amiral à la France: elle doit
toutefois, avant tout, trouver une
minivelle imité de direction et téta-
bila Ilnedre Mes el/e. Les dirigeants
et joueurs ilooeoul pmuver sur les
terrains leur rneineur esprit sportif
et donner toutes satisfentione à ce
»let ; après sons venons.
Envoyez yee LETTRES et COUS
es ALGÉRIE, en ESPAGNE, te PRO(
te A. O. F. et en AMERIQUE DU SUD
p as r AXA" E CI IM
comvuums GÉNÉRALE AM/osons..
s, Arma ertateed, Perd (8)
Téléphone 5005 et I. alite
Nom venons de vivre des heures
Hmmatique. 11e5 événements inter-
nationaux de la plus grande importan-
ce ont accaparé tonte notre attention.
Aussi nous sommennom vu obligé de
négliger un peu les choses d'Espagne.
Or, l'Espagne vote aujourd'hui.
Elle élit ses Cortés Constituant..
C'est une journée historique qui déter-
minera, pcmr un laps de temps consv
dé-utile, l'évolution du pays. Où en
est la République née le cg avril? Où
ya la jeune République?
La période des Vacances de la
/égalité s prend fin. Le gouvernem.t
provimire issu de ta Révolution se.
metma demain sm pouvoirs extra-
légaux entre les mains d'une Assem-
blée populaire nommée par le suffra-
ge universel. Les actes du directoire
seront soumis à l'approbation d.
Corte. Un nouveau statut légal doit
tore élaboré pour remplacer celui qui
a sombré, il y a deux mnis. Quel sera
le nouveau régime constitutionnel?
Que sera le nmvel ordre social?
Point de doute que les Cortés cone-
tituantes approuveront l'action du gou-
vennernent provisoire. Elles confirme-
ront également la mort de la monar-
chie. La République recevra sa non-
Micraron légale. L'énorme majorité
des députés pentétre même l'una-
nimité seront des républicains. Pas
de darger de ce côté-là.
Mak /a République s'eut qu'un sa-
dee politique dam lequel doit a'orga-
niser la vie sociale Et si toutes les
forces populaires, je dirai mètre tou-
tes les classes à l'exception de la
conte féodale et du haut clergé sont
ailles da. la Monté deméer une Ré-
publique, chacune d'elle à na con-
ception de la République, chacune
d'elles attend de la Rept/Nique la réa-
lisation de ses propres aspirations.
L'ancien régime s'est écroulé parce
qu'il était en opposition avm les in-
térêts de toutea les classes de la société
moderne. Mais la route une fois libre,
le prinnipal obstacie surmonté par
don cornm.une de tous tes éléments
de la Nation, il s'agit de donne à
d'Espagne renie:née une physionomie
politique et sociale corremmiant aux
désirs des Espagnols. Or, ces désirs
ne sont mllement communs à tous.
La lute entre 1m classes qui, aux der-
nièces heures de l'ancien régime, s'est
desnide daes la lutte nationale contre
la monarchie, a repris ses droits.
Quelles sait la classe ou les clas-
ses oui feront prévaloir lruse idées?
QmIle sera l'issue de /a tune enne les
étivers éléments soreos pour le Mie
drminant dam l'Etst?
0 0
Cens qui m'ont fait l'honneur de
lire mes artirle publiée ici en décem-
bre et pillyler, se rappellent peut-être
que, dès cette époque j'étais très
prénecure du ruile que joueront dans
la Révo/ution espagnole le prolétariat
et ses organisations socialistm et syndi-
cales. Pour mus, le triomphe définitif
de la Ré mh/ique était en fonction de
l'ortion de la classe ouvrière, Um
République démocratique et oeUele
la seule qui peut se maintenir en Es.
pagne et contre laquelle se briseront
fous les ass'airts de la nontretévolution
et mutes tee tentatives de la restaura-
it:on - ne peu( être que l'oeuvre de
h classe mrrière clIc manie. Un pro-
létariat bien organisé et sachant bien
ce qu'il veut et ce qu'il peut, an par-
ti amenasa vigoureux et plein d'élan,
des syndicats puissmts possédant la
mafia/un de la quasi.unanmité des
myriere, tels étaient pole asoi et
sont encore tes éléments nécemires
de la victoire de ta Révolution. C'est
dam la mesure où le prolétariat s'éri-
gerait en force princinale et dirigean-
te de la Révoltai., que celle-ci sera
Konoble et pourra résondre,pacifique-
mmt, dans le minte et
su.sins
inutiles, les grave problèmes
qui se posent devant l'Espagne 1 ré.
forme agraire, réforme de l'Etat (fé-
déralisme), séparation de l'Etat et de
E Eglise, etc.
Partant de ce point de vue, je me
anis permis d'émettre quelqum criti-
ques au sulet de Pinsarrection avortée
de décembre code la tactique électorale
de nos amis .pagnols. je crois que
Ire événements m'ont donné raison.
Mais de oe point de vue aussi je re-
grette ore certaine hésitation qui s'est
manifestée dans l'action du gouverne.
trent provisoire, l'heure tardive des
élections et l'attinde électorale du
parti socialiste.
000
Inte de moi l'idée de condamner la
participation des smialistes au gourer-
nerrept provisoire. An contraire, j'a.-
rais voulu qu'ils y participent encore
plus artivement en tant Que parti et
qu'ils y prennent des initiative har-
di.. Fu période révolutionnaire le
temps passe vite. L'évolution qui en
temps normal se fait /tintement, prend
eu murs de la Révolution un rythme
a né... Dem mois et demi pour
lue Révolution qui coinmence, c'est
b)aucoup. Miens valent des réformes
résolutions/aires bath,es que des réfor-
mes tardives, même si celles-ci sont
m'eux étudiées et préparées. Ce qui
est fait, même sire n'est pas très bien
fat, ut mieux que dru lois parfaiM,
'q
son paiide des f'orrep réiovolutionq d
naire
manifeste déjà son impatience et
mn désappointement. Une Constituan-
te élue dans la fièvre et I'mthousias-
me des premières semaines de la Ré-
volut'on est plre puissante, peut faire
plus et mieux, tienne Assemblée nom-
mée d'après I. règles les plus soi,
tes de l'équité et de la /égalité élec-
tonde, mais au moment où la Révolu-
tion est dethrée par 1139 fltratrIC-
ki.11 insnivra inkritable.
Nouvelles ffuternationales
UNE JOURNÉE
JOURNEE HISTORIQUE LA REPUBLIERIE EN EMRE APRES IE BOTE BE LA CHAMBRE
L'Espagne élit aujourd'hui
je emagint Frau° M. STIAISON EST CONFIAN
aura;t reparé
T
dans le succès final
i
p
les Cortès constituantes me :ouralien mitire
des négociations entre la Franco
> et les Etats-Unis
Enfin, la riarti politique, et la
pmmière condition du succès construc-
tif de la Révolution. Par contre in con-
fusion politique, parte en elle, toue
les grimes de l'impuissance et des
mis.. Malheureusement, les élecEons
la Constituante se sont fades june-
ir.ent dam la confuslon Le parti so-
cialiste, trop préoccupé, du maintien
de l'union entre les éléments qui ont
travaillé ensemble au renversement de
la monarchie, n'a pas voulu repren-
dre, aux élections, sa complète Inde.
pendante. De ce fait il n'a pas pu
rallier autour de son drapeau, et su-
eur de son propre programme révolu-
tionnaire et hardi, la quasi-malité du
proléiariat urbain et rural auquel se
serait joints d'autres éléments démo-
cratiques. dont le intérêts ne sont pas
en contradiction avec une République
démocratique et très avancée.
Je sais que le parti socialiste espa.
gnol l'a fait délibéremment. C'est
,murquoi je me suie abstenu de le dire
ici. Je ne voulais pas que nos obsep
vatiens puissent tom utilisérs par ms
ennemis et adversaire communs contre
les socialistes epegnols engagés Clans
une grande bataille. Mais par souci
d'information je mois devoir le dire à
présent. Les socialiste d'Espagne
craignaient en se présentant seuls de-
vant les électeurs, de déterminer un
tel courant poputaire en leur faveur
qu'ils auraient été obngés de prendre
te j.tvoir à eux seule.
Nos amis se rendent compte de la
failidesse de la partie éduquée de leurs
effectifs. Ils omstatent un afflux fon
midible dans leurs organkatrins
dans les syndicaer de nouveaux adhé-
rmis poussés cors le socialisme par
instinct et pas sentiment, mais igno
rant tont de la doctrine sedansOr et
de réa/isatio. p.sibles. Ils redou-
tent que s'ils prennent le pouvoir pré-
matités-eut, l'enthousiasme que Ma
déchaînerait dans le pays et les illu-
sion qui en naîtraient, créeraient une
situa/ion dangereu. pour la Révolu.
tiont I. républicains bourgeois, et.
frayés, passeraient dane le .alp de
In mumrévolution, le parti submer-
gé par I. éléments impatients entre.
rah dans la voie des réformes irréel/,
sables et utopiques qui conduiraient à
l'échec.
C'est H un argument sérieux mil/
faut examiner de pl. près. Léon
Blum n'a-t-il pas rappelé, au Con-
grès de 'routes, l'avertissement donné
par Jaurès: ce que la mode mus don-
ne, la mode nous reprend? La croîs-
same trop rapide du parti est, en
effet, dangereuse Mais c'est d'une
période momie que parlait Jaurès.
C'est d'une croissance du parti dans
des conditions politiques normales que
parlait Léqn Blum.
Or, Blum j'en ails preuve
n'entend pas applique/ cette règle à la
situation révolutionnaire, au contrai.
m. Il est d'avis et je partage m-
tièrem.t mn opinim qu'au cours
chine révolution, le parti socialiste ne
gent pas, ne doit pas ralentir te mar-
che; qu'il n'a pas le drott de se sous-
traire à la mission dont les clam/dan,
ms du mornent le chargent. S.on,
le parti mcialiste peut livrer la 1.1.êrci-
turion aux forces conservatrice ai bien
la Ré.olution, que te parti ne dirige
plus. peut passer par.demrs sa téte, et
sombrer finalement dans la contre-né.
O. ROSENFELD.
M. Stelling fait ca expoq
de la situation économique
et financière de l'Allemagne
Berlin, 57 Juin (Dép. Havas).
Le
chancelier Brantas a prononcé en ma-
tin, au mu. de la Man. d'ouvert..
Vri'aiTeersOcall Aen=:,'C ece:
mi cou05 duquel il a examiné la si-
tuation ...nique . 11.nerere de
rAttema e
Le chancellera débuté en inne.nv
toi graves dangers que I. retraits de
cree;a'ds.renerzz.Z1tn-luf.,;:
e:Le,',"erto,:e%?,: 'Mure
/iman. adtetendait:e ladreallsatIonmin0j,
Cil 'eVevem.'edift.
Il est en/datent, a decla.ré M.
BrunMg, que te plan FMover «Prime
la confiance que l'Allem.ne fera im
Piste emploi des sommes que les ah
'jiTtre'rint' ét"sa 'Lee;
Ces ...orneome doivent aboutir à une
restauration dont la premier° coud..
est une saine administration financiers
des commu.utés
PublijMet,:
sa;Fel::iueer Mc:niite fivancir.
Une politique mem. saine, a d..
id ensuite le chanceer, n'tst possible
qu'autant eue les conditions economi-
«Annal longtemps que l'étranger pour-
ra occe.sionner des perturbe.. sur
te mareché financier du fait de ses re.
dé
traits de mena., tmtestlea. mem.
re=à,rezz.
Le chancelier :élève coeur
/n diminution deo salaires
Le emmener a également souligné
riUbli'tteuZjon.?Z'dlnalres
.es devait être .onomie
.uvornemeat du Reich, aT-11
dit, na p. craint d'assumer des mu-
tes commis. da. le .passé et de re-
eonnattre celle euh avait pu com-
mettre Mi-même. L'économie privée
dIa'''thé'OrTe. "dapmr:s7 s
atinelle une amem
Le chancelier a conclu en critiquant
ration de la productIon ne pont etre
rets' uZs.,re'rnee'à
nt période présente et 'riens Pierer.
Îe'c'Ue carnet de M. Lefàee
d.Ple de'rl'i'tmetre'a°.:1'eiTé.run'tidednen':
M. luth, présidént de la Reicha
bank, qui a PI, essai, la navet) e
Dadaddiditer que ta tarta a. lac-
Madrid. 27 Juin. iDép. Hamm)
mmop tl nO,ullon la Tvbiads, 55
trouva alité dee sui. de sou a.ident
i='aadr'aar'Fir"c'aur'ensem't;Itruce:
tem du mmve/nte. Les mirées d'avis.
tien. ...Queen se sont jointe d.
aviateurs venus do P.M.rieur, se tont
fortifiée da. /e camp.
Da: Ver desen
e e s mise en marche
midi contre l'aérodrome de Tablada.
Le commandant Franco est révoqué
...arta. 27 juln. La Gneeta de Ma-
amie
rilapublie un:dee:miro du
rdnetre:
e Les fOrC ctiona'ntle ettaf'' s.uPterieurde
l'aéronautique sont supprimé.. Par na
décret qaTII à cette date, le comman-
dant d'Infanterie Ramon Drang
meBaa-
mnndn, nui
'edr7: 'Ir: u"
en san po ib forcés.
Les projets de Franco
Madrid, 27 juin. On mande de
Séville au journal Le Mn que les Muas
ddidjdfdramdderudedid0t dEjtandeo. iedtaient tedidid2-.
ne :e Tablada. en collaboration avec
/es officiers qui auraient été d'accord
avec lui.
Recherche de t'appui de la mralsou
de Séville pour mener ô bien cette ra-
tel/Mu;
Désarmement de la garde civile de
/a capiMie eadalonee et proclamation
de la Repabliqui, d'Andalousie.
La situation à Sévfile
Moine, 27 juin. 1000, Don..)
.mmaudant Perron, arrivé ce matin
de madrid et gut serait parvenu rar
nerrueslon à faire avorter le mou.°
ment de rébellion que projetaient ce-
tains officiers, a pris la dir.tion de la
base a:écimas en mnplacement du no
lonel Macho. Ce dernier et Dols:dere.
reeodrrdod,' Le'e rc
t:.
ce OnbOnta. louve tu allis, dus totnliiu
cents d'infanterie et de cavalerie par.
courent les rues et 0:2 ladeitdirtradddtratd-
e'orsto%'o':Is arr.mtions
eu lieu b Tablada et que q.lques of-
ficiers ont été arrêt.. Les autorités
observent la Pins firalle
oiruns On lu raId male a000lnaan. Quel'
qum agitateurs ont été inca/et/én
La version Officie%
tu "gleraniee
SLuunmenetr'
teareur ler'lirnlie que l'an a fait
mi scella
ectertnà.defee 50e
ér
d'Ineldsnts; mals elle Mostdpen du tout
erni' Cesneeien't,21-1?Jiligtquroentil
valet les incendies de couvent et c'ent
jidon0drdrjueliddi on14i.0i0irgis
0.010,idds m0i,esuu0red
les smardficiers, mais ce n'est rien.
Le général Ru. Tele, chef de la
''Itirerae.'tfet.licraiitoflae clVeti 'tr
place de Tahlada. Je ne sais poarquoi
eanc.ment. En mmme, 11 n'y a rien. ad
elidleatri:10a0,1:oeu'vehl ro"
nu la
11 a dit que que/ques ouvriers Md
travailiatent m. radrodrome n'étalent
pas miitOeloas ci 500 In
j5Zr1171
von,
luaIc alutu bd villa de
en prévision Mincidentt
'' 0e
cd?I'l'e u ae'rgedrecrcIulsmaeO 000m'
Que confusion parmi la population,
La Situation politique à la selle
des élections
Madrid, 27 juin (Dep. Information).
La situation politique est fort con.
f.e car de nombreuses list. sont pré-
roese ':ai'leretrqU'Î rtgZ'
:::dola
fdad,i0e: rlre. établies par le gons...
I011i7es
'EaATo
0,ji;ed niitd.gdodd i,s vumuec tee eau.
etder:!: e Mes 00010 gaIe
°portions considérables. Les en-
el.toraus ne peuvent faire le
?Mutage ente pour les candida. officiel.
entent prociamés et 1m votes ainsi
émis vont D. l'encontre du reumt dé.
niais que recherche le gouvernement.
C'est surtout ba cm b Madrid et I Bar-
celone,
Dans la capitale, on estime Mie M.
bernons remportera d'emblée et re-
cueillera un nombre de suffrage im-
Portant. Les sept candida. socialistes
a MaIson de Psuvie0
1,1
'1PrejilU orrvcel'e l 72rder2i17
me
earctig«,t8'1)''lre'OrtUlt.trIcol:Cpunbliclerr-
ne,secialis. et ceuxtde fa carne re0M).
Onenioe de M. Mame pr..Sent¢r
>art. Toutefois, les élections parement
devoir se pa.re da. le calme a Ma-
drid si 11, Harceler. I/ n'en est pas
es1 ZanedeenTnelt.
L'action da commandant France
si vu'Ii ace l'loeiiOlOuur Os 0x00101 OuI
ana. comme sléne le .60 d'aelatin
Tetgada, Men partaient des avions
tre'tees'
e g ernemen pr
Le général BanjurJo. COMMartlept de
la garde cime, est maintenant eue
les lieus ou mn fait couper nintes
communications téta/muni/nes et cer,
mn le camp d'amimie. drate eard-
taines tout erré,.
La situation td.t pas moMs Menue-
Mare:dans.. erre. de Codraodueddie
un aspect collectiviste. II en est de
môme en Estramadure
compte en Allemagne. ,71/1 *tett tombé
jusqu'à 4 pour cent en JuM 12.30, était
retamment
resté notablement am
Esa'rl' er crleo le Dr
Mimer"... y ver mutOt l'influence
de la nervosité universelle que celte
de symptôme purement allemande. in
gouvernement Brinning a rétabli la
ronPance. Les Mme massifs de la
:Imre
M. LuMer déciare dénuée de fold
MrePs'nee d'Veren'rriertnUu:a.
ejeese'inevdtdoellere.
i'térelJ'étaY.
New-York, 27 Juin (Dép. Havas).
M. stimson s'est ennemi.« sur le Confe
Oran. d midi, pour Mapl..
Avant de parte. il a déclare msatid
faction d'apprendre que la Ohambre
avait voté M confiance au gouvernement
français indiquent La possibilité de rée
neer un accord satisfaisant sur lie me-
ratoire Ove det.s de reparations.
Il a exprime sa confiance dame let,
succès final des négociations en rie -----
d'éliminer les différences de point de
vue .tuell., en raison de la dismish
lion apparente de le France à entrer
en .nvernattn.
Il a stmligné la nec.dié pour le.
Parlementa dos deux pore de ratifier
les concluaions manuelles parviendront
les prochain. conférences.
Commentaires de la messe anglaise
Londres, 27 juin (Dép. information).
D'après I. messages de New-York
et de W.htnigton aux divers journaux
londonien, l'attitude du gouvernement
améri.in é l'égard des contre-Pm.-
Bila ne françaisse oet e sympathique
Le correspondant d. Neer Carentele,
par exemple, dit mie le président Hoover
Semble prêt accepter lt Mree frau-
rez.r5r=n1
s'efforcera d'obtenir du mayen
'minent de Paris une ModificatIOS
QUartt à

4
Le Congrès de la Fédération
Nationale des Tabacs
LE CONGRÈS A TERMINÉ, HIER, SES TRAVAUX
Le ouvriers et ouvrières des manutautures
de tabacs ont tenu, hier, a
la Bour. du Travail, leurs dernières
Pértaces du congrès.
.Lea principale. qu.done ayant été
traitées /es loure précédente, les congressistes
se sont occupée des questions
.condaires et d'ordre .terieur. Tou-
rt
rtes ont reçu une eohrtion conforme
Intéréte de l'organisation v00200'
Le matin, le coner, s'est surtout
solidarité r
re.ctitu.d.ldsoon.onize,....
Ente, l'ordre du jour a MO épuise,
l'apres-midi, an rom. d'uns ami'.
Noce donnons cl-après ka textes des
ETC:: nu; I'mphol:
«Mente qui se Sont produite r.emmem
à la manufacture de Nantes.
Le nouveau directeur de cet établiseement
inflige au personnel des pum-
Clous h tort et à travers. Ouvrières et
ouvriers sont fortement mécontenta et
In Fédération élève centre ce directear
par tlop sévère, une rénémente protesta.,
Les retraites
Le3 dëiêgIeêa au eonarbs des o.
...lare et ouvriees des maniguctures
ele tabam de Peano°, réunis en rote
rode à a Bourse du Travail de Paris.
S'éléVeet énergie...91.f contre
les intentions du gouvernement d'au-
porter des 'amures restrictives d la
70i des pense°. d'avril 1924, notamment
en ce qui concerne k recul de
la limite d'atm auesi bien que pour
la péréquation des pensions;
Et prorestent Contre le déCision de
la Commission des finances de la
aos députés, qui a adopté
lu PrOposition du gouvernement . ce
Cet ordre du Jour a été unanimement
adopté.
Les incidents de Nantes
Le congrès, aprtr avoir entendu le
délégué de la manufacture do Na.
tee, ainsi que /es membres de ta 0.E.
eut les incidents qui, depuis rant.
vée die nour.n directeur surgissent
en jour te jour dans cet êtablissement;
Protest° énergiquement, d'abord conthe
le terete-out infligé au personnel de
Sa manufacture de Nantes es, ensuite,
centre VatIttlide de la direction rés
aérai, qui, contre toute attente, tea
1.. CM devoir épueser le discussion
sur arme question, en la c/dturant par
une serai. injustifiée;
Le contra, se soddarisant avec les
camarades de Nantes, auxquels il envoie
sun salut fraternel, déclare pareil
fait inadmissible;
Décide, d l'unanimité, du peste de
eroteseatim cal s'impose et ¢1,1588
S'ordre jour.
Ce kxte a r.ueilli des
suffrages.
Le Congrès des retraités
des Tabacs
Le congrès des travailleurs retraités
des Tabacs a tenu ses assises hier,
à la Sour. du Travail de Paris. Sein
ti 'e t
La Fédération des retraités englobe
dans son sein les bénéficiaires des
doux régimes de retraites, c'est-à-dira
du régime forfaitaire et de la /ol de
marx 1000.
L. dmégatu retraitOr assistèrent, le
matin, à la séance sur les retrait.
du congrès de la Fédération des Tab.acs.
Ils purent constater l'effort fait par
les repr.entants de la Fédération tant
an point de vue de l'application du
nouveau rffalme des retraites que dxx
bénéficiaires du taux forfaitaire
La sienre de l'après-midi fut présidée
par Ie el -avarie Bel/I, retraité
de Dijon. Elle fut excluelvement 10.
LE CONGRES
DE LA LIGUE
DE L'ENSEIGNEMENT
Un magistral exposé
de Marcel Déat
La séance de olkure du C,ongres de
In Lig00 de l'enseignement a'eet te
nue a la Sorbonne, sous la présidence
de hl. Pomme, remnImint M. Mark
Roustan.
François Albert, président de la Li
gue, en un disco.. excellent, marque
avec force la foi et l'espérance de
ceux qui luttent Peur le triomphe de
La vérité.
C'est notre ami rffat qui fait le rap
Port général. Certes notre camarade
rappelle les diecuss.o0t 00 00, dort
aions de ce Congrès en ce qui concerne
I éducation post.scolaire toit
scoutisme, mais il a montré Mie le
Prohlême qui planait sur les discussions
c'était celui de la laïcité, du sens
qu'on donne à ce mo..
Il n'y a pas mie gamme ininterrom.
Pue dans les interpratations, mais deux
grands courants. Beaucoup se conten.
tont d'affirmer /es idées courantes. en
se montrant conciliants, mals ea von.
lant défendre rgtat contre l'emprise
de l'Eglise. c'est la nation qui devient
la notion trans.dante avec le culte
de la patrie et de l'ordre social .créé
.pg, la bourgeoisie triomphante. L'an.
IseIgnement de la morale laïque a
imprégné de cette idéologie 0010.0
1910 idéologie qui considère la democratie,
récole unique, comine des dia.
solvants des oppositions de classe.
A cette laïcité d'essence Pool...
s'oppose une au. conception se r
elamant du syndicalisme, du Bock.,
me. ces laïques réclament moins de
chisme, ma. plus d'humanisme; pour
eux, l'école dot viser A développer
l'enfant pour lui et non pour l'Etat,
la démocratie n'est qu'un moyen de
mesurer le, forces en présence. La
laïcité, c'est un choix.
LieaSeeê de Déat - trop résumé Oct
- .uleva l'enthousiasme de l'auditol.
se qui, debout, fit une ovation au mi/-
Porteur.
Uri discours de M. Pomaret, tarend.
ste de la grande médaille d'argent de
la Ligue 0 François A/bert et tee congreesistes
parte. an banqnet.
Charles PIVERT.
e ce journal ans plan
ÀBONNEZ- VOUS
t'est le sen, moyen de Id prose«
emtre aaliskettiOnis
servée à l'examen de la situation dat
pensionnés du régime ferfai.ire.
La .cretaire de la Fédération fit
e" et=é eacdcUrrer t1.= eieerehre
d'ercatégeries de travailleurs 0, 150
lat. Elle lit- un compte rendu déMille
du congres du 2 loin et dee diffère.
tes délégations auxquell. elle parti.
supra, du groupe parlementaire
i'e.rence qui a e. accordée Par
Os préeldent du Corsai/. Ce dernier
a reconnu la légitimité de l'augmenta-
tion do /a pension pour ks non-bene.
claires de la loi de 1928.
La délégation a demandé qu'en rat.
son de l'augmentation du cote de la
vie les taux forfaitaires aotent portée
de 4260 francs e 6.090 francs pour
les femm00 et de 6,000 à 6.000 [rance
pour I. hommes.
Le présIdent du Conseil, malgré le.
difficules 0000015r., 11.epte d'ex00
mMer cet. situation après avoir prie
avis de ses ministres.
Los délégués ont emporté de cette
entrevue une excellente impr.slon.
L'or r 'Jet% 5p l'r":non"leealr et"Îul
dreffu1s.0 mandat deacontinuer sa collabo.
ration avee l'ensemble des travailleure
de l'End.
finlicriefip'résee'n'arls, C'siunfatreadre'S'e
let, trésorière.
Le congrès renouvela sa conf..
au bureau actuel, comp.é de la ca
marade Delannoy, de Lille, comme se.
cretalre; BeilL de Dijon, comme seer&
taire adjoint; et 510e Follet, .mme
déserté.. La secrétaire r DeseaNOT.
L'offensive générale
contre l'assurance-chômage
Ce mole de filin aura été marque 1Lansbe00R0bot ne nous l'envoie las
P.r une recrudescence d'attaques contre
l'a.urance-chèmage da. les trois °i , comme èche h . discours. ror-
pays d'Europe ke plus maehtte par la ...ive and-ouvrière reprend .rtout
crise 1 l'Allemagne Je Grande-Bretagne avm fureur.
t l'Autriche / 0100,x0 Allemagne, la promulgation
Et toutes 0m attaques se sont a..- cran nouti.0 décrekioi yleant, entre
butes la morne semaine, /a semaine où antres choses, à /a compression des dl.
Lambert-Ribot, porte-parole da grou. penses de l'a.urance-ehém.e et au
pe patro.1 ti la Conférence interna fonds de crise. Par la réduction des
donale du travail. a prononcé à Genk pr.tatione dont bénéficient tee
ve un discours contre rassuraneocha meurs, le gouvernemeM Briining pro
mage. Simple hasard sana doute Néan. tend couvrir le déficit de 400 millions
moins, une telle coïncidence pourrait de marks qui affecte l'assurancecno
presque nous Inci.r voir Lins ce dis. ma. et le fonde de crise.
cours une sorte de mot d'ordre. Et quelles réductions
e due à i'tmvruocx-chfmaaa. , e Suppreseion des .cours aux adoles.
dit M. LamberhEibot. C'est d'elle aue cents de moles de 21 ana ; pont les ira
vient tout le mal. Et c'est llaide do veilleurs saisonniers, redumion de
cette Permute, paseablement cyMque kur durée qui est ramenée de 26 à 29
qu'il nooe a dévoiff le fond de sa nem semaines', oNigation pour tes Comm.
siée ou. plus exactement, dle du grand mariées Prt chômage de faire la preuve
patronat dont t nit I emMoyé. de leur Indigen. pour Itre eccourues.
Vansuranceschedage permet la stabo A aissement gênerai o, n p, 000 du
tkation dee salaires d dee nive. doi- taux dof secours et Proleagation ula
terminês, au licu de les laisser. s'agavé nuit Jou0f de la période de carence
ter une conattione économique, Bref le daiicit doit tire couvert par
Cela, au moins, c'est clair octet. Prh les chômeurs eux-mêmxx et h dé.,
tiquement, cela signifie que ci rasse. mi, qui soulève l'Indignation genérale
rancochômage n'existait lm. la baisxo dee travailleurs de tout. ..ditione,
des .lairxx serait hien plue facile. M. prend exactement le contre-pied .dres
00000rselnt cor 00 0.
z l'imposition sur la 0,imande fortune.
mn oppose. avec la dernière brutalité,
Sur.
la compression des dépens. sociegen
Toutefois. l'énergique prese'on d.
syndicats allemands et de la sociaialé-
meeratle a pu arraener au cumul.
e fl Brüning l'engagement que la commis.
"Pe pCir"deÎltie;eei"V'e,to,c;;:
ffiossieeles 00e décret-loi, qui risque d'a°
voir I. phis gray. ....ne. eo.
claies et politiques.
En Angleterre, méme situation. Im
le gr
La paille russe
'budget de l'assurance...aga est af.
'fecté pt un déficit qui s'accroît à raison
de un mi/lion de livres par se.'
M. Louis Forest vient d-e découvrir vrir qu'en commissi"o"n
gou"ern v""ente a d;a
d des machines agricoles au pou- délào.r ua mémorandum ...portant
une augentation m des cotisations dee
reffiammt rem les affnia. améffedm àà'al empkyeurs et des salariée et de la con-
. Pain de ruiner l'agriculture américaine. tribut. de rEtat, ainsi qu'une dimt
Mais ce collaorateur du Matin, grena
admirateur
e:
de otre expansion coloniale,
ne veut voieue ses deductions et con- C. m... out été formellement ro,
clusions s'eméliuent gji,. perrer delta repeveiutante dr.
volio,ntiou. I,
grissess tg. é.iiiss's ralon.'ire eOl's'eirgereal 'sies's=a
ers au bois de sr incennes. 'britanniques, par la touche son RO'
'rad, en effet, la Russie n'est eretaire, Waher Citrine. 'est résolueti.
débouché pour Id américaine. -
mue les employeurs, eox. ace... sen°
qu'elle devienne une ...rente Po. réserves.
togriculiure des Etats-Unis, cela ne pourra En Autriche, enfin. les reprkentauta
m,- S'ss 'S me",s` eueirunrelce.e..z.'pI
le peuple russe ne p.rra pas amoroer projet réactionnaire qui tendaii b relui-même
sa production agricole. duite dans une proportion considéra-
Tandis que Io preuve est pige ah sad, hie /a partic,ipe,Ich2t...,
tenant, d'abord que la plupart des indianes
de nos coloni,, ne seront jamais des
clients sérieux pour notre industrie; ensuite ndnrc,!, dacx ke eavs ene1 eomPtem
don le, On
I4
des cendereno reeoupolei prof nos agri- seule planche de ealut, l'unique ressort,
cafteurs. ce des travailleura chassés dei usiner
Le débat sur la viticulture gai s'est dé-s',s,slrg,sqr%''.gtIl gre arece,7..rdee
roulé à la Chambre, démontre surabonda. éffe he'ffa gitiitaa;" Meie surto, t pour
ment ler stupidité de la politique qui a en. mieux réduire le nive. edral des
voté mourir des paysans français en Abrique
du Nord et qui chaque année impose
des centaines de m'Ilions de charges aux
55erU...
on e cette of-rendre, te mot d'oc
ore de la àffdaration sysdicale
tionale est formel
s's,sis , gis°7iss'
P°' po ten'":,gfirlan '7011reiat?.%
b"'1' e
imeruee u'allarce paysans franç., ide suppression des
faire sur leur tere lei culture qu'ils juicit clalErm nO orme, noqoleta s"'s Os' Es
I, plus avantageuse,
tant de luttes et de souffrehees
Pour reprendre des expressions ele M.
Raymond BOUYER.
Forest, nems pourrions dire que « jamais le
flii
fermier .français, habitué au biemêm de la
civilise., ne pourra lutter mm les salariés
des grands domaines algériens, réduits à
des saloir. de famine m Et que st le vin 1a LS.F,
algérien, né du sang des soldats français
et des impits des contribuables français.
sera donc toujours vendu par le capitaliste RADIO-TOULOUSE
algérien partout à meilleur marché que le
vin f rançais I. que. par conséquent « te 12 h 45. - Orchestre syMphonique.
fennier français ne 13 lacune. - Aceordéo.
s'en tirera finalement 13 h. 15. - Informations de der-
que s'il admet lui aussi de vivre dans des niere heure.
gourbis en buvant de reau
13 Emission teléphotogra-
S'ils risquent de créer plus tard des conphique par le Belinographe (deux
currents à l'agriculture américaine, du photos d'actualité).
moine acmellement les Etats-Unis ne reti- 17 heures. - Emission téléphotore:il
que des bénéfices des ventes de matégraphique par. le Bohnographe une
riel qu'ils font à la Russie. Et ils ne com- photo di...alité).
mettait pas celte guigne folie de dem.,r /7 h. 15. - Musique militaire.
cent millions tour on gagner vingt, comme 17 h. 30. - Premier bulletin d'in-
mas le faisons par exemple en Syrie. formation.
« Si ron continue à chercher de la sorte 17 h, ut. - Soli divers.
des débouchés, tout finira par être 18 heur. - Orchestre viennois.
bou- 18 h 15. - Opéras, chant.
din, dit M. Forest. Tel est déjà rentendément
dcc joyeux publicistes rai ont peur 18 h. 30. - Deuxiêine bulletin d'in-
Os la concurrence russe po. l'Amérique,
formations. Bourse dea valeurs de
Paris. Cours de clôture des ehe-i-
mals qui glorlient celle que rAlgérie. gea. Quelques dépêches.
Tunisie et ft Maroc font déjà et feront de 18 h. 45. - Guitares hawaïennes.
plia en plus d la France.
18 h, 50. - Accordéon
JO RJA I LL E. 10 heures. - Chansomietten
19 IL 15. - Violoncelle.
LISEZ ET FAITE LIRE
19 b, 00, - Troisième bulletin d'in-
LE MIDI SOCIALISTE f«rmations. Coursa, de chevaux.
Bourse du commerce e avoine% soi-
LE MIDI SOOTALIbtE
Une explosion dans une fabrique de cordite, en Angleterre
Une explosion s'est produite dent une fabrique de cordite de la marine roya le, &tuée dans une lande, à W kilo
mètres, de Poole (Dorsetshire). Onze hommes ont été tués et dix.neuf Mess.. Jusqu'à rosace n, cinq cor. ueviff
ment ont pu étra retirée des découd, ves. on eopacse que les su autres ont été pulvérisés par la déflagration.
une vue de' bâtiments endommagés.
gles, blés, farines, sucr., al.ole.
Quelques &paellas.
19 O. al. - Ortin.tre symphoni-
20 heur.. - Concert sur l'opérette
« L'Eau à la Bouche » (Van Paris):
Oh I dia Claudia ; )0ourquoi / amour
; Ce n'est qu'un mannequin
Pourquoi .que les petits oiseaux
Prenees-mm bien gentiment ; Ah I
dites-moi 0 11 a une belle auto Toto;
Sa main s'est posée sur nia joue.
90 h. 30. - Tang. argentins.
90 h. 45. - Jasa.
20 h. 50. - Chronique de la mode.
lI
l'orchestre .des Américains, 00 la
dir.tion de M. Navarre, Programme
: st 111.0001uc russe » (Gaulle) ;
.. La vie o artiste o(Strauss) ; « Les
Pyrénées o (Lacôme) o" Le Dernier
our r (Quima aine
tell (9ood) » ((MM.,
ne) ; Werther » (Massenet) ; Oudan
tutti » (Mozart) 'e Frets
Kopcnen » (Sie.) ; c. No. Villageoise
» (Godard) a El Requiebro
(Orlando).
89 h. 30. - Quatrième bulletin
d'informations. Nouvelles communie
ques par l'agence Fournier.
22 h. 45. - Suite de ia retransmissien
des Américains.
90 heures. - Fleure des auditeurs:
La parade des soldats d'emin »
(Jessel) ;o La marche des forgerons»
(Iloieman) ; « Faust » (Gounod)
Ballet.
23 11. 15. - Cinquième bulletin j'informations.
Le journanl .ns papier
de l'Afrique du Nord. o Marche de
a Lige. étrangère » (Quéru) « In
valse du Comte de Luxembourg »
(Lehar) ; « Barcarolle » (Offenbach)
Valses » (Robrecht) ; « Fascinahou
» (Marchetti).
24 heures - Fin de l'émission.
Bulletin météorologique. Pression atmosphérique.
Etat du ciel. Fête à
souhaiter. Calendrier du jour.
TOULOUSE-PYRENEES
Ou i 255 mètres
Lundi 29 juin
12 bu 45. - Con.rt symphoni.ff ae
organisé par la Conunksion artistid
l'A, t d ph ur
a Toulouse-Pyrénées », le cou'
0011081 de l'orchestre de la stat.on
(direction I M. Elenry Combaux,
professeur m Conservatoire de 104.
100o, - Programme o « L'Adieu des
Gladiateurs », marche (Blankenbure)
; « Etin.11e », valse (Waldteufel)
; . Scènes alsaciennes suite
d'orchestre (Massenet) ; « La
Pelsfirzio;:or:étitIon(tiiyuaU
Tavan) o, Fidélio », ouverture (Deethoven-Salabert)
t In Klée » (Siede)
; « Le vieux mot, je t'aime »
fox (Niederberber-Salabert).
Pend t rentr'aete PPopen000e
des spectacles do Touleame (soirée).
17 heures. - Concert de musique
enregistrée.
e 18 h. 12. - Morourialea.
18 h. 15. - Relais de Paris. Ecole
Supérieure de P. T. T. t « Radio.
Jouroal ds Frecdc,
E 10E GLOZEL
Un non-lieu
en faveur des Fradin
Le Juge d'instruction de Cusset vient
de rendre une ordonnance de non-lieu
*tee la poursui. Intentée pour «rrarmed
'éf=r1r, jd 'ese'nPAtee
et Mallat du barr.n ae
la perde eivik repre.ntée par Me
Maurl.Garçon se pourvoit contre
I,. ire P 19.ep CCM. d-
tion de la cour de 111001..
Lettre d'Espagne
Je ne miamusereipas au petit jeu
dot pronoaties, sur les élections espagnole.
Je me propose seulement
Os répondre à la demande réitérée
de nombreux amis des divers poMts
de la Fran. qui m'interrogent
m'écrivent ei oe sujet en particulier,
Ors jeunes, depuis le Umarot des Situ.
01001, Socialistes, le S avril dernier
on je pris la parole pour exalter
Fteuvre révolutionnaire A laquelle
s'associait le jeune.e studieuxe de
l'Espagns, veulent .voir. J'ai étê un
des rares li miser sur la révolution
espagnole contre beaucoup d'hommea
politiques dont le jugement cependant
rait autorité. Et si j'ai eu rai,
son contre eux, c'est parque que je
voyais les évenemente, les choses, les
Minn,. par mes yeux et non b Lavera
les informations, systématiquement
tendancieu.s et fausse de la
presse de notre pays.
J'ai voulu prendre is témoin de la
situation en Espegne, au cours de
mes derniers voyages dans ce pays,
des persona. neutres ou hostil..
Elles ont pu voir une population
aimable, insouciante, vivant d'une
vie fmile ehes laquelle on ne découvre
aucune préoecupation politique.
On a l'air de vivre, la-bas comme
dans une fête I Qu ne ....me guère
de politique qu au moment où
comnien.m et où tinissem les meeting.
Et quels meetings I Cèdui le la
Canche républicaine catalane (parti
de Maeia) et de l'Union Soeialiste
(notre parti) qui marchent ensemble,
rassemblait cent mille personnes
délirantes d'enthousiasme I
Mais, aussitôt le meeting terminé, ou
pense à autre chose.
Apprenons à nos lecteurs qu'un
bon meeting pour être aasuré du suecds.
doit commencer à deux heures
du mat)0. A cette heure, on se lève
de table, et, si un ventre affamé n'a
pas d'oreilles, un estomac satisfait
est bout oreilles 1 Ensuite, la foule
bruyante, joyeuse, s'écoule et envahit
les cafés et leurs terrasses - les
«diodx » -, tandis que les jeunes,
montent et descendent eur Oct « rani-
MM. Bruning et Curtius
sont invités à Rome
Berlin, 27 juin. (Dép. Haras.) -
servi. de presse socialiste annon. que
l'ambassadeur d'Italia A Berlln a ro
mis auleurd'hul au chancelier et au
ministre des affaires effanerre une
invitation de M. Mussolini t venir rem
dre visite au gauyernement
L'organe de presse socialiste aesure
que Mig. Bruning et Cardin ont ae
cepté cette invitation. Lelle
ferait eraiecmblablement après leur vi.
g1° .t.!'"
,"2,.0011111e.,7=7,11'.`° 000.
LE PAQUEBOT EN FLAMMES
Le paquebot Bermuda >, l'un des pl. ieti,sent, grands et de. pins I
Einnntonpar eunb Incendie quelques q e
heures avant son'clépestUrt. le
de II suives° trouve x pou' u r'Neu" la mort dans l'accidetd. Petto as termtoe N"'" °"-"r"""'
o e,flammes,
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
ches 1m nOrns des c
plus, Aucune déolar
gramme. Pas ducal
que. Nulle part de d
Mole curieux est celui d
ciens dans l'âme, de ceux
goût de la discussion qui
sur certaine points et qui
intéres.r 0. lems débat
seule per.nne au début,
nombre de personnnee qui p,
se groupent autour dieux.
IdIrrarre'nenatvee'que7qu'et:Cutorler''-'4,),
ne sont pas aans influence. vo,'
bilais de dire que les meetiny 1.
l'Esquerre et de l'Union
Leirt: 30:a.ei répuebt a Paru) aar t S
(P.nt radio-diffusés et
écoutés reeigieusement daot
oi te::
meéquii village.rci, nEdo elue.xmcemt:ettliongtgee sur
oc
de caadidare
monarchiste . Au de-
einp"porenndoe'le'ret'raan
ij.:
a:g: un mod
de ropois shligote rn'urbi /del
toua pronostic. Je ne pale m'aimebt
eher de faire part 8. tous nos amis
mes espérances. C'est notre Parilte
plue
aPuadrtni ea I di etéel
us, on.re
tienne bien ma ou prophétie tt
reconaaîtra, une fois de plus, mit je
connais amer les affaires d'Espagne;
4e préciSe même d'avantage, es
ajoutont que c .t mutent da. la
région de Madrid que notre tri
plie sera le plus éclatant Il n'y ath
sa vraisemblablement ni. monarchie.
Ode, ni Communistes élus. Ces den
niers préaentent 29 .ndidata. A ti.
Pro doeumentaire, pour nos militante
j'indique qu'en Espagne le comma.
20 heures. - 134me émission du
ri Journal parlé de huit heures du
nisme ne ressemble eu rien au -
soir », présenté par M. Lon. Los-
munisme Mamaia, 11 n'a de ce dernier,
ni son inutile violen. .
'00h, h. 20. - Programme dea amen.
déloymté jésuitique, ni sa bêtise
d. de Toulouse (lendemain). incurable. Les dirigeants ,
espagnols
00 shounrta sy.mpppathrtiaq u,,,e0set ko,,lat les
que changea - ; Qin/. officiel mé.oroiy . - . °-a coadlLro iurin. tee
valeurs ; locales fée On parle, - je vous l'assure de les Socialiste. Disons qtrile n ont
; ceinemehl"ii de.
vera,
tout autre chose que de politique. Les aucune influen.. J'ai failli renom,
20 h. 30. - Concours de charades
jeunes filles chantent la dernière tré ce pauvre Martyge.ntiment
de la Ligue du Sud-On. t, contre la
chanson, suivi. de orbe par les gné que deux innoffensifs agents rs.
tuberculose infantile.
mettaient auaei aisément qu'us
. J ' d
ageau égaré ourle ohemin de Fran.
20 h. Ib. - Cauesrie agricole par mii litons qui ne mqueraient m certes Je sais bien q000 ne manqmra 005
le « Progrès agricole », 45, rue Al- pas d'intéresser les keteUrs. Si je do dire et d'écrire cmtre nos °amas
sace-Lon aine, trouve le temps, . sera pour une rades de la République Espagne.
21 heures. - Relais de Bordeaux. aube dota.
mn cette dernière fait ce line n'a..
Lafayette : Soirée de musique elas Les rmetings sont annoncés très pas fait la Dictature, Oves exact.
eque et mmerne oiganisée par la diserètement Par la PrV.0 22 elê m'a La Dictature n'a jamais expulsé la
Commision artistique de l'Area, rattires ordinaires. Je le ré Me communiste. Mais il est néeeisatre
nvm seuls sont qualifiée, grands meetings de faire remarquer que les commu-
LZ, -pr ft% moTC2C"J'.' et assurés du suu.s. eaux qui ont lieu nistes se sont bien gardés d'aller est
Grand Théâtre de Bordeaux s de deux heures du mat.. Les autr Espagne à ce moment. A l'heure ds
M. Rambaud, flûtiste ; de M. He n. ne sont plie que réunions de quar- danger, ils y défilaient. Anime.
ry Baromh, violoncelliste ; de M. tier. De cette sorte, le Parti Meula d'haï qu'il n Y a plus aucun risque
Jean Cha.mpeil, violoniste, et de M. et nos amis en donnent régulière- courir, les dévouements abondent
Gabriel Grange, pianiste. - Proment quinze par jour. Les orateurs De tele procédés, de telle, attitude.
gramme o Par MM, Grange, Cham- qui prennent le pille souvent la pa- contradictés, achèvent s perdre te
peil, Barouk ; « Trio pour piano ». role sont Ventura, Gassol, LIbui y dPiacrutiri.oromerneiperore:£,..çflat.iii et de elvioloo
00 vi010nnolle o, VILorta rto),, pda;e: Valle.a, Ventollo,.José et Joaquin
Xirau. Le plus goûté est Ventura- Les é/actions du 12 avril, ont ohaa
mie) per Mme Elisabeth d'Arden- Gesse]. qui parle en poète, et dont le el la monarchie. oellee du 28 juin,
ne t « Nmturne » (Lequeu) ; s Sur lyrisme est séduisant. Le plus m'U- con.lideront la République. II alhs
me tombe » (Lequeu) par M. Grantique est Llbui y Valles.. Aucm ne partiendre aux Corié, de forger à
ge 100 Fileuse 0, (B. Godard) ' Etu- parle avm passion emore moins av. présent une forte législation démo-
Se » (Mosekowski) ; par Mit Ba- violence. Mais. entre tous, lerroux cratique Lite par les vrais représen
rouk et Grange « Cinq iations est le plus fort, indi.utablement. On tenta do peuple pour le peuple,
(Mosart-Beethoven) ; par varit Rom. dit son autorité bien diminuée, sa Que nes camarades fassent confise.
bond t t. Suite » (B. Godard), par popularité éteinte. On lui reproche oe h lx République espagnole
Mme d'Ardenne u o Au Crépuscule un glissement à droite et de ce ddé qu'ils veuillent hien partager me
lea Elfee danses » (Alexandre Geor- des amitiés compromettante. Entre moi, l'espérance d'un suce. sosie
ges) ; o L'invitation au voyage » lui et « l'Esquerra catalane », de
(Duparc) inar M. Rambaud I Soir Macta - çà ne va Pe.
".7:. ne puis manquer au devoir d'é.
sur la plaine» (Ph. Gaubert) ; Peu d'affiches, Me% très peu I Et tee présent à la manifestation or,
« Fmtaiiie » (Fauré) ; par MM. en de très rares endroits I Pas une misée en l'honneur du eues/trade Be.
Grange, Clampeil, Baronk ; « Sere- seule am la s. Rambla de Catalunye » douce à Toulouse. Meta j'aurais Ree
na.de o (Widor).
- pas une seule sur le « Pa.o de voulu asAister, comme le 12 avril,
A l'Issue de /a soirée, programme Grmias » . Pas davantage dans la aux élections du 98 juin, qui don-
des spectacles de Bordeaux et indi- celle « Corte, ou ni sur la « Dragoneront is notre Parti le plus grand
cation de l'heure.
nale » rue ou avenues longues de nombre doline. une centaine environ«
22 h. 15. - Diffusion du oie le ci- plusieurs kilomètres. Sur ces ehnéma
«
E. MONTEL
Trianon t du fielm sonore
« Le Vautour n.
Des dissidences
chez les libéraux anglais
lendree, 27 juin- - nana une lettre
adressée an chef de file du parti ilha
gai, le déguté Brown explique qu'il es
retire du consel.ffectenr de os parti
Parox quai ne saurait souffrir Pl.
dee humiliatione comme al.
I. dont coq parti fut récemment lob.
jet. M. BroWn ajoute infil ne ee ralliera
A aucun autre parti mals
10 droit d'agir Indépendamment dee db
readye de l'organisation libérale.
Sir John Simon, également déraie
Ce4'in'agce?seedu li,i,zdeiebez
eue c'est parce qu'il désapprouve la P.
litique suivie par M. Lloyd George, ao-
Mmment 540 .jet MI projet de lot sur
la taxe foncière, gel; entend à l'avenir
suivre une politique libérale indépen.
dente.
On nunc.. qu'une douzaine de Mn
Putée MA.00 ont l'intention de nul,
vre MM. Simon et Brown.
fle-partout
YOUGOSLAVIE
Le Jumna/ Offietel pulgle une loi aun
termes de laaumie l'exportation et rira-
PerMtion de toutes varia. de ecreffes
ot farine. deviennent te monopole de
I'Eteg. Le transit dee .rodes tracera
te territoire yougoslave demeure libre.
connexion av. ce tte mesure, le
vernement a dé.. à partir du à Ma: inet
prochain, d'effectuer rachat du blé PM.
un aria qui ne sera p. inférieur
dinars, franco wagon.
ETATS-UNIS
out era'Ventue:- ItPiefli`u"ierieer
ad le min.. du Travail s'entretenait
de la question du chômage ay. les ck
tad. koalas. De. renforts de
envoyés houx eidar à disperser ...du
restants, ont -e-ie accueil. a COupo
Pierres et bedon. Au .ure de ia
tro. ...acteurs et on. agent»
de ponce ont es mes.e. Douze
nous ont été opélaes.
POLOGNE
Les ;ternie. projets gouvernemental..
prévoient licenciement prochain é°
7.000 tonctionn.r. de différentes catégories.
De divers cUtas. on annonce a.
de nombreuses manifestations sent Pro.
baht.. da. les mille. d.
nairas, pour protester cone.
sures.
AUTRICHE
Une nouvelle crise mlnis.r.
être évitée justesse, le sabin
gegen ayant ..p. cratandonn
Malet concerna. le reduction d
temente, des te...aires. mes roqsS
ét.t ardemment combattue par les P.a_r
sermanist.. I.quele n'avaient PA? °,;,;
MUA menacer de retirer enserre.'"

er;,, v«,!!,e'l,`.;2`j Teosa Nobel niciEs. rus apprêt/6e n'""`
net Ferdinand.
LA MTILI ROCII-ATISTE
a/MtMW1
MILITANTS SOCIALISTES
Notez sur votre ealpin
-: 5 T
LA VIE DES SOCIETES
C0fl0EME
DtsIibulion do Pix
duConseidosprudhouunes
AUX VIEUX SERVITEURS
ET AUX ELLIES IDES COURS
PROFESSIONNELS
Nier diMandhhe 28 saurant a eu
pou dans la .1.10 des M. de la
Censière de Commerce, rue d'Alsa-
,, g 15 heur., la distribUtion eu-
Docile des prix aux vieux serviteurs
et arts élèves des diyers cours prote...els.
C'est Al. Taverne, président du
Conseil des Prud'hommes, assisté de
.tous presqueles
membres de celte
,,, ,idictipn, qui préside. A ses rôles,
" ria place AFM. Bieard, Conseil
gnt
ler e Krecture représentant le Mhrior. Perh Pierre, Reamond Louis
Masves Adrien Ce arra Jean Bau-
Prefet, arbou, Secrétaire générai
dte la inlaigto, représontant le Maine 7....A:ikrr.4.areEtd0AR.h.3.7°Bhodr-A.rmry
de Tahlrusei Gehett h"Pen"' elle/ Reilhao Paul, Espelette
vilii.Maire traved, représentant ,
Refat Paul. Tournamille André, Au-
Id. te Minlere
avait demandé da
Tr'd'ad' 1111d àà
bleu vouloir pré- ou André, Houque° 4,40,, Pierre A
r eetke aérllnolee, hirvhhi th'he lom Raymond, Al.sy Jeam Alquier
soldePair de du canine
Hubert, Bore Roger, Duits Lucien,
arr collègues, MD. éthr thhi Molis Fernand, Ferran Louis, Sesedonne
chaque année des prix en esê
es Mordeils, Secrétaire de la gne Uohri Phattesnx Emee, Mlles
.. 1...w,, Torse Adrienne. Sabuque Victori
représentant la Bourse du Travail,
LNiehh Thhe'-
Labeyne, président du Tribunal de se, or
eau.
nunerce Lhourteau, directeur de
Mole batebere de Toulouse, Le
procureur de la République et le
président du Tribu.l Civil s'étaient
faits excuser. Manie Hôtelière. - Audoubert
Un excellent orchestre sous la %- Marcel, Baissa Louis, Chaurnux Parution
de MM. rePY et Soleaguet, Baux, Combes Gaston, Delque Alprofesseurs
au Conservatoire pré- bert
lait son gracieux concours cette syndicat d.c m.tajjAre.....
Liesa des ePprentis. prjg
cérémonie.
Dancausse Mourite, Ramière Geor-
Dès sEIance ouverte, M. Taverrie gus, Autefage Jean, Ayral René,
prononee une allocutian, dh.c th- Canguilhem Pierre, Tagnères Paul,
quelle apr. reMonT19 Ire 91- Pailla Robert. Falcon Bardin, Marverses
personnes assistant. à la se-
Dlloy
terrante, il dit ceMbien le Conseil Aus,,
reconnaissant d, coud...
des Prud'hommes est
la Municipalité toulousaine, . rand Galineaud Jean, Hourliac Md-
Conseil général des dons mins foira man. %glas Joseph, Arias Masipour
permettre celte distribution de pdll.p. Familier Emile, Las:vigne
prix, qui, p. erreur, Certain Vires p,,
crai.t Prnvehir hudAh' hffed'i
Prud'hommes. Il voudrait voir Alliance des Sténos-Dactylosi
.031916,4d qui tan h. l'In.' guerite
MM réeaud de vienss
Henriei Cauj'-"n,olle Paulette
U te, Lente Palmyra D.plaxi
Saint-
dignes d'étau récompensés, donner
Avis Gaston.
des sommes importantes, ce qui
permettrait l'augmentation des pou Rule Technique de vente, - Sance
Reger, Pujol Jean,
décernés.
Il fait l'historique de /a fondation Cercle Duployen (Sténos-Dacty
aphéodoce user., . genéreux phr- los). - Mlle Segoufin Cécile.
1antrope et il remercie tout partientièrement
AL Dulen pour ses dons. lentos',
Institut des jeunes aveugles. -
Mora Bertrand, Vernot Jean, Ourlier
Raymond, Paual André, La(fond
Désiré. Mlles Lassorre Ray-
Inonde , Boungues Luce, Cules Pa.lette,
Asserane Jutiete, Gerçure Antablette.
Institut des Sourds-Musts. - Ayraud
Ham% Soucase Mairet Delcloue
Marius, Damon Fernand. Viols
Raymond, R Chapsal Fernand, Laporte
Mathieu, Cadanae° Aristide,
Vigneaux Pierre, Caudet Lucien,
Coulato Germain Cebador Berthélemy,
Maury Maurice, Sanie Henri,
Mlles Norbert Arnaud Augustine,
Penavayre Angèle, Andreau Henriette.
Bourse du Travail. - Coulomb
F t J°an ne Derrou au J
Boole des Beaux-Arts. - Baux
Georges, Mlle Heaume Gisèle, Carrière
Germain, Peyre Jean, Stdeis
Gontran
Liste des Apprentis. - Prix 25
Il dit que le Conseil, sur 65 propos. ttr.. :
tiens de récompenses de vieux 1,,,,fflut dru Jeaure Aveugles -
aervdeurs. en a retenu al tout en Mandas Raymond, Chêne Pouf, Cetectimpenearit
180 apprentis. mes Jean, Sauvy Franc, s, Lalour
Il termine en faisant un nouvel Je, mue Mile
Commerce et ex corner- MontéMit Oise, Mlle /malter Umm
10Pel
efard, la Shinicipalité toulousaine
des prix qTelle attribue chaque a.- .PULI cAl9r3,,,tdrod3simiMune:Ii!. i,auCiearinee
pour cette ce monte.
Après Di, M. Cannet, Inspreteur hréhhi Uther, ohr e m.nsus,
divisionnaire du novait dit le, Duo,. André, Combes Gabriel, Salt
Unir du Ministre du Trayait dg ne ,vaiti-g Mlies Bouges MM, Bar-
Monde répondre à l'invitation (MI
Olga. Remue] Simn ee, Bonaven-,
1
lui a été adressée, dit cobien m il 'ore Lohisc, Dise.
est heureux daveur été designe Bourse du Travail. - Galeppe
pour le représenter â cette %te du Geatiges, Gsrcia Gineee, Cohrm Jeseph,
GrDard Henri, boumé Allrert, I
avait.
Il souligne lutrlde des Cour s 9,0- Tourte Jean MID Liaunet Yvonne,'
Ersionnels e il f ait l'élOge de Tau- Mlle Faure Paule, Pont Georges,
louse qm, à cc sujet, a pris une Bousquet René, Faure. 1g ce, Du-
,rnes Pierre. Tormo Edouard, Hourplano
1.61-ijond ii renle.
Il montre d'Importance pour unl,h-he Edmond. Aedese, tirai-s.
ladurtrirt ri aven de bons apprentis touui.
qui, plus tard, seront d'excellente Foole d. Beaux-Arts. - Angely
Mme, Canditnilives Uno, CaMpOureY
Otorters.
ka' An M. Carbon, Secretame gêné- ,,e.11, Cerehltx Vitte^ni. PB. /AMIer,
ral de In Afairie, eXouse M.
BnItièreS,1RNmao CéSe, Siguier Jean.
Alaire, retenu par des obligations Fon,
inhérentes à sa charge, il rappelle Caillas Dan, Laparra Jean. Llebot
LeRL ltérêt que la
Alunimpalité Raymond, Marsa' Aimé, MartY Mostsocialiste
de Toulouse porte à Den- riee. Massotte Peut, Sera Georges,
arec du Conseil dere Prud'hommes et Verger Jean, Escales Jemn, Grad%
assure salai-tu de toute la Dense- Auguste, Loubics Jean.
lanee Ou Conseil municipal, lui aus- i2leA, ET LA
Ait CONSERVATOIRE DE
j
hYndsest
des Métallurgistes. - Duai
rend hommasee h
tous ces sueur
Serviteurs. ModIhis CaYMI cl à' AilléP,'-eg m e udo10 iPi".erre j,"nPô portesRmenerr,
n'oublie p0 hhPrentIrRenaud Georges, Moser Joua, Cane
11195
suivant les Certes prof eserinueD rédiscours
étant terriviréd, AL
po secrétaire do Conseil fart I appel
'des Deal,. dont nous donnons
m-aprea ta due.
ComMe de roulltme, après la cirémons
fut servi un lunch racine font leen, Pierson Jérôme.
enlendit de fort »Les v, Boux . zanne, er.
FADAS Union Sociale du Midi. .-Mlles
Misser Simone, Palacios ElDe, /langes
Henriette, Puys Marthe.
IBUTION DE PRIX POUR La Boche. - Ailles Garrigues Se-
L'ARNEE 19'1
llée. Grley Marie-Louise, Savi Hen-
Priai de mérite "1eèfir,nér; aux anciens riette, Thomas Marcelle.
Horlogerie. - rbéaenot ARdrE
MUSIQUE
IDans sa séance du saemid 274015,
le jury special, présidé par notre
ami. Julien, adjoint au Maire, a décerné
les recoinpenses suivantes t
Prix d'honneur t mue Aguilo.
Prix Maury, - Chant hommes
1
Geas, 140110 fr. ; Gourgues, 500 fr.
! Chant femmes Aguito 1.000
ifr.PiMio Miaou Ieit'rrndie lpr usr":
M. 'eri Bs iérea, 500
francs.
Plano femmes Mlle rournyog du
Clos, 500 fr.
Harmonie M. Labatut, 500 fr.
Divers. sommes, â titre d'eneourageaient.
ont été attribué. aux clénos
dont les noms suivent M. Casries,
Mlles Muratet, Juniet, Dujol ;
M. Auriacombe; Mlle Pujol; MM. Lueries,
Verdier, Mlles G0112, Castel;
MM. Guiraud, Ausset, Rigaud, Bornes,
Nieque, Mlles Banquet, Cavaitlés,
M. Bose, Mlles Ferrent, Berbié,
Ameyugo,
Prix d cliAsseriation des Anciens
Elèves du Conservatoire 0...5o fr
!Mile Becton.
I Prix offert par D Maison Martin-
' Goutté (200 le) Mlles Croises et
Mathieu
Prix offert par :l'Association radiophonique
Toulouse-Pyrène. (3,0r
Iran.) : Mlle Sourdit.
DISTRIBUTION
I DES PRIX DU CONSERVATOIRE
La distribution des prix aux CDars
CeIli'rlTisetÎZ
au Dis. à 2t, h 30, sous la présidence
de M. Jet. Mese/lier, grand-eut de
Inreri. professeurs, les membres du
jury et les élèves récompensés sont
priés de retirer leurs cartes d'invitetion
I la Mairie de Tou/mise, tueras
de /Instruction publique, te lundi 2:
juin. à 9 heures, au mardi 30 juin,
midi.
P ee délai, /es earles nue re-
Grecs seront considérées ramure
abandonnées par leurs bénéficiaires.
CAISSE DES ECOLES
Un beau teste
Grande affluence hier, sur la Place
d uCapitole Djelmako, le sympatique
équilibriste aérien donnait une
séance de gala et oth banane° des
petits neoliers de non écoles
fat simplemeet niervexlieux. Wou..tu
faxai
setueé.,Isfzesetfriee- de 2
Havent versée à la Caisse des tiroirs.
Le Conseil d'Administration de
Pleuvre IM adresse ses pias memercimenits
ei ses plus sincères telicitations
pour le ga'eP Phithaihropigne
qu'il a si aimablement- et si
genereusement consenti.
Au nom de n. petits écoliers de
nos étioles laïques, voua disons
encore Mord. - Le Comité.
DANS LES P. T. T.
On demande un certain nombre
de facteurs interimarres temporale.
à la Recette Pesc(/ta-le des Postes,
rue de /a Poste_Se présenter le plus
tint possible au Contrôleur du servvce
de la distribution qui fourrure- tous
les renseignements nece.sair.
AUX MARCHANDS FORAINS
La Counnission administrative du
Syndicat des Marchands forains
Tordeuse, reucie hier mardi e.3 joie,d,
connaiseance des
e'amu tedeporte 'el ialett décidé l'arasairation
d'une grande réunion publique
et contradictoire dans notre vilte.
le samedi 4 juillet; à 21 hemea.
Avec le ...ours du- secrétaire fer.-
FortJeanne,la
ral, pour protester 005105 la fermeture
éventuelle don marchés le dimanche.
Tenes-vous donc prêts à répondre
nus vICLOr, rtane, riPt-PC, Canais
d'Hersee e des 'déversoirs à talue et à
e APPel.
héhiPehere h lu rhith c""ur' I %dilue, Autich Henri.
Alliance des Steiros-Dartyl.- ultérieurement, par voie de presse e `7.nseO'Pesen!O Lee laidées
modernes mg
tti Bord Léon.ce, es
constitution de la matière.
Ise. Ginette, Poirson Gabrielle. °
Ecole Technique de vente. - Mêle
/10TEL-RESTAURANT
singesteeenerecuterea*aeogemseense
Matu-Sco Lat-
DU FAISAN
Red net Jeanne Ain
DORE
64, Rue Denfert.Rochereau
P.T9111 Fart touà tes %virés 05 'Cercle Dut-doyen (Sténos-Hanta- (Près Gare Matant.)
me frfd MM par des eb?iicems- lih les), - Rivière Marguerite, o.pag 8 francs, vin compris.
Chambres, de 8 à 12 francs
DANS LA RUE
v01 DE PNEUS
Pria président Datong, à 250 fr. M. (l'ovin Bioussa, limonadier, or-
Pont François, al ans d'atm, 13 cades du Capitole, a porté pdainte
paar vol de deux
ààà Du"" ri""' Le Carnet du Sauvage 73 ans, 61 ans at préaeuce.
boymot
pour veto, valeur 80 francs.
Prlx Dire. it 10 ir - Faure
Une enquête est ouverte.
Gailletin. 65 eils, Mars de urée.- PIETON RENVERSE
00,,48 ans de présence ; Bi Mari Aure. un préside. entre d l'Elysee, un M. Soulier Pierre, 52 ans, tane
nes Berutel, nus
Juliete 92 ans d'âge, 47 a. de pré- autre se maria. un troisième meurt. Saint-liome a été renversé hier, a
Peut-are veau même montent un 10 heures, par M. Santos, 48 lias,
sente,
pale griatriésne nerissaiè dans sautasse vsl- commerçant, 56, rue de Metz ; M.
Foin mààiài'ààà 1°' tr. Pthe liNthri Soulier s'est blessé légèrement â Peel4v
aus
Via.", L0 u0ff d'd691
Ader Françoise, née Arba- Pr' Xos arrières semeur le verront gauche
genre
feue, ill 80 ans d'âge, 45 an. de Pri
LN PORTEMONNATE MN VA
pence Sanvago Aiexhhdre rh haat le plue envié, conquis de hou-I O na
volé le portemonnale de Me m
d'âge, '40 a. de présence ; Se terevu
Jean-Paul, 58 ans d'âge, 40 te lutte n'est gamme toute que cho- Petit, 69 ans, propriétaire I Quint.
amt
de présemas ; Konoepfler Hortense,
67 ans d'âge, 40 ans de présence,
Prix de mérite à, MO le, - Camsus
Antonin ; Balard François,
Ourmières Jean, Mouchard ()harles,
ci..d.rio Jean, Roques Louis, Be
snsta ét raane, an +.1 fent lemaer Le portemorinam contenant 1301
tinguier Edouard, Larron. Marie,
Senne Thomas née Eseriout,
Faille, Roux Charles, Fabries Jean,
Pietro Donk, Dard Alphonsine,
Deydé Paul, Martin Hugues, Gourrdonon
Elisabeth. Lichen Auguste, Aubiges
Victor, Denjean Vincent, Delery
François, Deu Hélène, Loubet
Paul, Berty Jean Vergnes François,
eamh. Georges, 'Noue. Charlotte,
Askna Jeanne Dardier Jaco., Pi-
LE SAUVAGE.
re:, itiolntriee Guil/acimeà Authier
go.
g"4"0055 UN AUT0m0BILLSTE
Cr0yer-rour que relui raffle vrerie-I uunAuu un CYULISTE
ment tant de peines, de politerraes,! Hier soir, un Stanatibiliste, h 4
CHEMINOTS
ANCIENS CO,PGAinANIS DU MIPI
BOBEsSan
Le. Cheminots AnMens Comm... du
SANS C
Midi, sont convoeués on réunion mensuelle
CONFIEZ
0x105 TEINTURERIE
le merdredi les juillet 193,; à 21 heure.,
U"
at, case aocssd. I. pare du Capitole ..t"eree lecNel UNIVERSELLE
Ore,, du nour I I. bunte du compte
EU NOTEZ F-N MARGE QU'UNE AGREA BLE EMPRISE M VOUS soda du Comas. Fédéral de Lit/et J.
met d'assurer. avec des soya.
ATTEND LE JOUR-LA.
Coelétence sur lors...mon de le Peu,
'e°E4.1:,
reils mormones, les travaux les
Pa- M. Bécan.; O. Que:atone chveoaa, semsevasiesem
puas délicats..
anialbution des rournaua p. 1., poste.
AMICALE
UN CYCLISTE MALMENE
DES POILLS leU FRoNT
Avant-bier, vers 14 betlreS, la nom L'Amicale de. Portos du Front rappelle GliteigaelSouctagius ce Amuse
minAylies Joséphine, 37 ans, com à ses membres, que tes mecriprion. à r>.
missionnaire, demeurant rue des FI banouet annuel esront clos, le lm ma-
lattera 43, qui circulait tbicyc/ette
lm. mimer délas
au carrefour d. Grands Cafés,
Le premier dep.. emmure de peche.
en eollieion avec l'automobile
ama lieu à 6 heures, place Sainr-Sern.. SAINT-GAUDENS
055entrée
conduite par M. Molinari Daplanis, Douar.. dép.., b 10 hen., Parm AVIS AU PUBLIC. - /I mt rapPeR
NY ans, rndu-triel, demeurant .e tabiau.
m'am termes del arrêté munienpal
Claire-Paulihac I.
DES ANCIENS COSIBATrANTS U. F. 20 mat 1930. e interd,o de tirer. sur /a
Après avonr rems des soms à la
vol. publique, des atome ...Mme. Pa-
pharmacie Destan, la blessée gai
Les adhere. de la Mun...Re:me neckt En cornés:ace. X perdisavait
«ne
de''''q.
profonde blessure au bras
47. Irtormés se le *are.. administra- .t invitée à se conformer pres.
..pnions, notamment à l'occasion dm fêgauche,
a demandé â être
tee do quartier
REFORMES WAX-ES
te'tien C 4 1;:Ir i transpor." atre
Dr, rVetbaun de contravemion se-
D'APRESCUSKRE
pointe 'rasuture.
nom n"te infracti" à par.
Les camarades ayant emaracté me meja.
Une enquête et ouverte au 5e ar- dm oi une infamrté pendant m mure de
rondissement
leur service eues ii,, Orme., soe CONSEIL MUNICIPAL. - Le Conseil
I
pour aujourd'hui,
ETAIT-IL F011 1.
qu'd moste à nounous un ambonsmaa,airrl crr``mrdué
meut eusel ils ont tout intérêt d'adhérer .9 ' .`11`9,4 du--
Samedi vers midi, le nommé Naafin d obtenir tous tee avantagea nue de
mur Jean, 60 ans, chiffonnier, ra-
ETAT-CIVIL DU 19 AU 25 JUIN 1931.
masseur de bouteilles, chemin Mau- lb seront en outre, informés qu'une per. LNaisse... Jean-Adolphe-Albers La/rire,
ayant bu le reste d'un liquide numerme cSt tenue tom les dimanches de fins rue de la Caserne.
qui se trouvait dans un bouteille
IO heures à midi, eu erège sam. mie Mariage'. George Save et Mersey.
qu'il avait achetée comme vide, a étê
Albert, 15, place du Capitole, où stout Obaubell,
pris de violentes douleurs.
reçue, les nouvelles adhesons
Décès VIctomAntoine-Roger Camm. 20
Mem. qui avait cour boire di, vin
us, rue de la sous-préfecture, Maria.Noé-
blase, a fait anneler de toute urgen- A MICALE DES POILUS DU NORD ms Rseque. 65 ans minute de Pernad
ce, le docteur St-Pleq.
L'Amicale des Poilue du Nord inlay/ne Mise. quartier du Pont de Valentine.
Prévenu, M. le nommissaii d
itesedherents,
que le banquât annuel
lice du 4. arrrendDsement s'est trans
ars el tu heu
LUCHON
porté an domicile de Namur en .m- !,éno Ire;lafille dt. 513:Ze.
HStel Lux n d'Or,
pannie da dorienne Paumés qui a fait Les mscripttons eu banquet seront
VOL. - Dans 1. nuit de samedi à dice-
transporter le malade h l'Hêtel- gus au siége. 42. rue Sont-Rome. ium
mann. des malandrins se sont ultra..
s'au 30 Min, dernier délai.
au marche couvert, mm cloum à l'aide ta
La bouteille paraissait avoir COs. De rneme y seront donnés toua les dé, uusses c e s, cer es p e q e
tenu un litmide caustique.
mils concerna. /e
x ypénétr
er aprè. 0, termetme.
Ils ont vade ean ou es douzain. I
A gui LE PIGEON?
LA DESCENTE RAPIDE 4 citai as.e c de ligues et d.vere lé.
M. Costesèque, gérant du if Petit Lm membres de l'amicale r Lx Dem.
Rabinun s, route de O. B.., a. 5. Bmide sont informés que na piochaitrouvé
/e 24 courant. un page., 00- , ne sottie
yageur portant A la natte droite,
aura fieu le 5 juillet avm son mer: la façon inal:aomite dom lise om
coupé est, viande, a eérieusement
encours de pêche, café de l'Amicale, 8,
une bague aver inscription 229024
Saint-Agne, Toulouse.
II tien ee volatille â la disposition
poait einse
ai A L9.3-1.1.10111ELLE. n
de son propriétaires
4. rue Aean-Suam C. - FM. 27-20
TROUVAILLES
Aergeries de Limonadiers
Réclamer à Mlle Dedelian, rue Couronnes Mortuaires
y, se ePnnefUe,nuen;foàuirrne
1%suacea'il
la trésorerie générale, rue des
Lois :14, un portefeuille ; au 3e sr- !enuns & gidifERENCES
rondissement, boulevard Armand-
Duport., an pince-nes ; di M. Lai- LIGUE DES DROITS DE L'HOMME.
font, lotissement Lesoine, villa Jar - Demain, 30 Huin. à 21 heur., sahe
sé, braeelet d'enfant I à Mme da Musc-Ciné le citoyen Léon Bayle,
Haller rue de 1 Annedur 5. un per- exiadjoint au maire de Mareeinc. ment.
temonnaie ; à Mme Jemmet, rue du mrmté central de la Ligue. donnera
Mantandran no. une clé à M. Vi une réunion uontradictoire eur la base
n'en, rue Gramat 1, un stylo ; M. dm Hoite del Hotinse, I. Justice et la
Conseieu rue de la Fonderie 9 une Pets
paire de chaussures, M. Mondent, Toua ceux oui veulent combattre .911é-
rao Vestrennin 705. une manivelle mitré, {arbitraire el érance, se feront
d'auto, au bureau des Frayes, un . un devoir d'aller aslaudnr le eonIf1en-
nlonet ; l'administration des nne: taXnt qu'est Léon Bey/et. Prof.
Trams, une raire de gante, une pea- mur honoraire de Lê.,
re de lunettes, deux parapluies, -
COSTES. 25. nie de Remusat
Parer. de mariée. La Vie Sportive
MENS CONCOURS COURSER OR CHENAUX
FACCLTE DES LETTRES
PRIX ANGELUS4V
Dipliimes d'Etudes Supérieures
5.950 fiance. 2.000 mètres
I. ACrIsNAR 6siouroe.), à M. Dame-
ESPAGNOL
Hanme.
: Medi. 10 (alois,à 10
5 fr. 50.
M. Brama. Marte autaaal Non placé Le Supéties
Csandes Dams. de du Han de Cinq ton mettra
Dercondes
Klbestruvrn ou Almnt de Csar
Ma rdi 30 O'uM. à 16 h. 30 - en Akherrai entraîné Par L de la Far..
Il, meee sems amadeido,
méd. de Marie de Reyes
PRIX DU CONSCIL GENERAL
. 5400 trame. 90(t mètre.
FACULTE DES SCIENCES
I. CENtENO K....eu, e M.
Thèse de Doctorat...S..11cm Casant , Il h. 50: Placé n 8 San..
Le meraredi ler millet 1931, à 8 h. 30. 2. tnioResepat Moundelyh an comte
à l'Institut Electrotechnique, 4, bou/mard de Laer:sue. Placé I 10 francs.
Roue, M. Bouien Chdles, agrégé, crut.- IP Nocta Memel, au rue...trie de Panne,
se. es Lycée de Toulouse, mitriendre dee
ClAsm pom l'obtention du grade de Doc. Non plac. n Hope-Futt. Camperai, Lx
tern-ès-Sciences -Physiques sur lez sujets Je air
misa.
Demi-longueur, trais
ler thèse. - Expériences sur écoule- Centen. po Briei et Clovelly. Entre
mem en dévermir. Etude du déversoir n.ca: i 0. Tillas.
LE MERIDIONAL
7.500 francs. 1.400mètre.
I. D/BANE (Audouberth au la.. Gese
em. Crnsant I 8 francs.
2 Pépée-jolie (Bernis), à M. Dain....
Non placé I D'ArEet.
Une longueur. lom.
en ALGER/E, es ESPAGNE, au MAROC Biber. Hanguia et Bobançorine) est en-
(bîné par eon proprié.re.
et A. 0. F. et en »SÉRIQUE DU SUD
PRIX CANTALAUSE
par 4avi0a1
5.000 francs - 2.800 mètres
COMPAGNIE GÉNÉRALE nenOPOSTALL I. SAUVAGINE (Rivière), à M. Sensuel.
5. Amme Medi...d, Paris (89 Cagna. francs: Placé 1 7 fo 50.
Télépbone Elysée 52 72 et la mim 2. Cmadière tOryl. à M. &Menine.
Placé : Il francs.
3 Zere-11 (Bourdelp). 1M. Meeavel.
imaseammisremamOsteene Non aimés Roseau, Atm..
Distances n Eneolure, troie tomme.. I
Sauvagine IBinic et Faustine), stralnél
La vile sociaoste par Ion propriétaire.
STEEPLE-CHASE
ASSEMEREE C.ENERALE COMMUNE CROSS-COUNTRY INTERNATIONAL
DU PARIS
DE LA SCCIETE SPORTIVE
ET DES JEUNE0SE:5 S. F. L O.
D'ENCOURAGEMENT
Mar& mir. 30 imrs, à 11 beurs 30. co. l0.000 francs . 4.000 mènrs
mer. au Foyer du Peuple, 71. rue du I. VIDOCQ III. dr S
Tm, par notre mmarade Robert Alseo,
croates ren drotr. mg...Mime du cura Cloomt : 15 fr. 50: Placé : 8 fr. 50.
socialiete autrichien.
2 Dollar fLertiguM. à Mme de ln Mata.
Tom les camarade. se feront un devoin Placé : 10 fr. 50.
d'être présents à ce. réunion extraord1- 3. Valérienne (Dulau). à M. Demy.
Une longueur, quatre longueurs.
"L'e° Sec. étddde de à, Session Tealouaeln e Non placés r tesla, Dkfàf.., IX, Sil"
enfui. Néon-
et dos Jeunesses
Veux
Vidocq, par Cou-Gaulois et Viterbe
CROUPE Ir FELIX-LAVIT
(Colonne-Maruego-Arago)
Réunion de, membres du Groupe Félixdastneers,
denere, de verbiage, de kilmneires d'Albi, a Pommé aces 100 Levit. le mercredi nuillet, ler. à 21 hm.
désirs et do jalousies f Hutte un cycliste et c'est
rnéciaes, au siège, café du 10-Avril, rue
MERVEILLES DE MODES
tre penses-mous pas qu'il est plue moins, tes Pharos et le Pare-brise Campana.
ege, ee berger mo reste sur sa mon- sont brisés. Lu voiture murcluit à Oldre du 'mar
tagne, es verdiers,. de phare sui 110 à el Adésionsn h) Mure définitive dee
airs s e semeur disse
l'heure.dcpsro
inscriptions pour la sortie champêtre du
son flot, ne ee laissant pas attirer UNE JAMBE ECRASEE
gmoita ToRt ru 0,0 su ne lin unes
12 juillet. Versement des frai, de tram-
par les lumières de la ville I Hier soir h 22 heures, M. Cous Flo- port; c) Audition de la Voix d.. ...LES DES GIUNDS COVITRIEES
Nuire. ,n,dI Question. dive...
moorms, ne plumet/cal
% rait sono d'ê,iseah., la hait, dans un tramway, ligne 2. Il man- Prénence indispensable.
viennent se braser les ailes cor qua le marohepied et tomba sous la Lee sympattisano sont cordia/ement H- entatiett rreMsrms sas accu sconase
remorque. Il eut la jambe dues ailée à assistes à /a réunion et à partie
broyée amdessus de la cheville. Rele- per à In morne.
rets rets mauve roue tas sa.om
vé aussitôt, II a reçu len Premiers
Le Secrétaire,
culerla pharmacie Jollivet. Il a
vaerrà PAIIIMS/7
été ensuite transporté à l'Hôtel-
Dion, salle St-Latare. oh il a .bi IPOSTES, 25, rue de 116Mus50 .. pas. a
l'amputation as dessous du genou. Couronn. mortuaire.
dété-
gumes. à 15. de Mme Jourdan. De la
. ande des, la Mg. xle M. bart... bon
ma - la partie qu de ont lamée.
Le ops. de police état situé
au manche, d es em que in, voe! ms
: out pas manqué de mlot, et qu il. tien.
-en en piètre estime la vigilanm dee
r'de' ce!'isClecamb'flOiOlage"urOe la r'1'
ACCIDENT MORTEL - Avant-finer
mir, samedi. vers 17 heures. 1Vhne Mn.
aselle Cabas âgée de 30 ma environ a
ne renversée pe sit, ardo, aa, le put do
Laccumas. Grnevement blessee. Mme Cm.
(saa été transpercée à I Hôpital, ot, elle
se décédée presque immédiatement. L'am
tic.. étatsdrdrn%ranron...,.....4Mrt d Ap.4.a,-,
de connaître le nom. L'auto était au adieu
le la route Mme Cabas qui émit sourde,
matr /a vue très basse.
La gendarmerie Procède à renouas
REVEL
ORPHEON DE REVEL. - L société
étant inviMe à prendre part aux concerts
aar seront donnés à Poemeion de la ré.
Serai..
;,t.ifjt â:udt.C-?`:kreer
mus les membres participante, sont ins.n.
ment pries de serendre aux repephons
rénelea qui auront lieu le mardi 30 juin es
le jeudi 2 jute, à 8 h. 30, salle de la
marne, afin de ponvoir a Pr0.16.1
Minent en
Montesquieu-Volvestre
CINQUANTENAIRE DE L'ECOLE
AIQUG - Dinenethe dernier. ..1. la
.
marre. assisté du personnel enseigmm m
lIns membres de la Caisse dea Enclos, ie
lins duos la selle d'honneur de la,
mairie. ta conférence d. M. Clave amine
aénéml, sur D Cinquantenaire
de l'Ecole Mique.
Après avoir rendo un éclatant hommage
rencier dit qu'it fera l'histoire de Iumell
depuis le XVills siècle iusan.e.
'P airun. bref et intéresmnt hist.-mue. g
r r'
le privilège de quenques-um.
malym ensui. INaucre de Condom
ces de Cernant m esoaepxls Mmété Peq
,
Pats, vient une éloquente evocestua
la grande ligure de lem Macé, l'un de,
grands-pères de l'Ecole Xime. dool les pé-1
riions ferre.. elmnerent ta. d'étau
am. républicains organise. de remets-cernera
du peuple.
Ensuite M. Gee stade da hosad
sotem Paul Bert, qui vit dase l'Ecole sas
khss., obligatoire en gmmite, lu suprême
guiantie dc l'unité nationale. Il prou e,
gui l'amiuss de t'Indiques-un. de see thè.
se. enciale. /es p. hardies. qu'il fut vrai.
rient le fondateur de I Ace
L'orateur passe ensuiro à jalea Ferm
Meim par m ténacité. sa logique impie....
bre. ce qu'avait fait germer Pau/ Bert.
Il mon. que son cemre et cetle do ses
arécurseurs a été heure...ne. continuée
par Gotée. Waldeck-Rousseau, Combes.,
Exissen
Envisegeant ce si reste à faire. le cm
mulmite ardemmern que la lui I
molere soit plus assurée, le
1.e:::17sOolte l6.16i:Cireet 1:nen'
de l'Eco/. unique vol donnera à tme les'
citoyen. to nossiblue d errom a taus ies I
sc.. Il affirme que, par el/e, ano ente!
imelletaeller, créera Elle infusera du 1
ri un sang jeune. régénéré. Ponalnite
combes smiales anémiées et ainsi Mese,
nium la vraie &mec...
Par cette très intéresm. conférence.
De Clave mont,s, une foie de plus eorr
trient de conféremiern comme mai..
he très chaleureusement arntraudi Par au
mditoire nombreux qu'il sM charmer pee
Félévanon d. 0m pensée t'abondance de sa
documentation X mesure de se ceci, es
sc, Xie bue fo' I Mue.
Qu'il nous permetm de le féliciter.
CAZERES
CARRINCToN REVIENT. _ :purins.
ta- e e trouvé à Caaèrev, mil
n.éritain,
Le valeur m l'attrait de son spectacle
ont été très estimés par no. rnmpatriotee
vol ne som pas habitués à dee spectacles
do ces importance.
M. Cerrington cm un inconnu pour
nous Mes mus pouvom affirmer ou'i1 ne
peut être comparé à cee charlatans de foire
qui. après avoir réalisé fortune, orsni.
BARIMOLUT. - /Matinée e
15La
eiZO iZB1a}dOrt «
Matinées à
/GAUMONT-PALACE ft h. 15 ct à 21 heures: -r Le Tampon
Capistm s Attactione.
GALL/A-PALACE - Tem lm iours,
deux mer:nées . 14h, 15 et 16 h. 30: soirée
à heures Nos malt les domem
tiques deuxième sema.,
COSMOGRAPH. - A 9 heures, Pou
lise Sterke dans e Cmurs déchus ..
TRLANON. - Matinées à 14 h 15 et
H h. M. soirée à 9 beurcs: . Le Vautour.
Attractions.
Matinée à 3 heurm rouée à 9 heures
BACH & H. LAYERNE
ana 6 Mt. vernis. amer.
LE
TAMPON
lJ
CAPISTON
SUN St..LIVF
HALFA and Fr ANDRE RENAUD
PAR TN E R
Le fameux Une, Espagn4
José MOJICA
La FUue balla rouis de l'Epoqut
00%
Av. 48 ut« Of
LASANDEms 8REFIMS
midis:one tout ce cpre nom avons lu am
.5e affiches es nee paospeCtua.
w ee mut d'abord un ho.
s.. hart aimable, cherunmt, qui a le don
de Mme au public, qui l'accueille par aie
:train et as bonne humeur continue,
5 Il est une Mudance generale elses tee
hiadoaniatea, imputable à ace ...rte de dé.
formation professionnelle. ex prendre
do, nez nads en des sots
iiZatazuz, (t)".(4e)C9reteet>efro
s mrnsontcitri
se font sem Mt as mrsl sa dennment
ces: qui tee et provoqué...
Rien de semblable chei s. Carringron
?Ivo. lu, /5 spectateur est 11 Irisa, Il agit
sacs tact ot MeSure. s Carangton s est
'Sehs numéros d'attrac6., en, une mies
milité out plie au public xn raison de
I siégeres de/eur présentation et de la siiretu
de leur auteur Mais leurs exécutirns.
aies 0x111. de o. soe010nlus,,e,,niril,è,m
monstartions d hypnotisme sur des animaux
teh que b coqs, lapins. canard., pigeons.
fmt dire que a Carrington sa tait
Sue de mute une same-cour dom le
Concours lui es: extrêmement préciem.
mauve en el/s les meilleurs mies, es le
m divertit fou à la vue e à
I mdition, de toute cet. volaille errante.
effarée sur le seéne.
Deux expériences de lévitation tentées.
For suc un suie, t'autre sur un obiet,
int été réussies et ont produit une imorem
eu profonds Il en beaucoup d'autre, arum..
qui méritereient d'être me.ionrme.
Il nous mt impmsible d'aborder ici,
queetions de transmission de pensé,
de espiritisme et d'hio...me.
L. vue mole compm Er no.
munI
sh.'inrdems"P=gdérn'éZles, Caeonreren"-ti
,us
o5sr:'re:. t e'u e;.E.
Retenez ean. crainte vos Maces Pour.
i 29 Dia. ear c'est le spectacle te plue
fsunidable donné à Cagères.
MAIRIE DE TOULOUSE
DEC:MUTIONS bE EGES.
CONVOIS FUNEBRES
Le Maire de la Ville de Toulouse
1 honneur de rappeler à se. adminimém
Min d. les men,. en _amie urne des ex
mure regrettable., qua Ise déclarais.. de
décès s. reçue. sa. dan.
bar.es de Phi,. Civil à te Mosie.
Coder Civil et Dec à'r':O1 1 :OÔ 191e.
avril 084, l'autorité muni... règle le
mode de trama. dos Personnes deeédée,
te, inhume... et exhumations orden, con.
silo mule à le droit de Mer lm
heures des enviais tunèbres.
S'as/remet pour tom renseignement.
010. Moumnirsl :=.7lu eeerf''F,7,:* eb:":se>:
rent à grand lime, de publicité doser,,- rm Poosaarraihr.., eéléshoo. 11.40. qui te
es., dam les étendisse.... On epprécie cl.argera ais mures démord,. auprès dea
Carrington d'après Ion spectacIe. Et Pour UMM. des _dives culte.
perler ai. lui, en some neadéperidance, nom,
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
3 lààààffl

,!!!!!ffl% 6
TOUS LES SPORTS
LE MIDI SOCIAdiiii
,er-AtermiseemrmAtesesermesureturimsrusuemuntureirmanareneArmeneretmermiemseAmnremormeâmeurAterArAnweauemanumedwArimAnards
Le rôle de la presse
sportive
Dans la Sukse Sportive, M. Pierre
ee Coubertin a précisé dans les termes
iguivents le rôle de la presse ...vu j
Tant que Fon s'abstinent Parmi
les éducateurs et dans las range du Publie
a considérer le sport et la culture
sitesique comme mêmes choses à ne voir
entre eux que des différences de degré
rempiétement nus.
(kterviero de t'entrain., Hermant
dans Eau, sport, soleil a, bulletin
de la 2 I', 0.1
Quand no. verrons les gens monde
es passzoniter pour pi course d pied qui
est sans COUIC le plus austère OR tores
les sports, celui on ta vetuositd regret
se eoejf trient minima, où le don phy-
sique et le courage purs gagnent. c'est sernent notre runnute eheque,
Vue /a soetétd sera lace perfectionnée. pastaue n° 5277 d Toulouse, au
Juuooua . moyen de ln formule eue tes,
delenrée par ta Poste.
LE SPORT ET LA JEUNESSE
A NOS ABONNES
Nos abonnes peuvent Feviter ter
Crans de recouvrer.rrt des qutt tan
es, devenu* tris unetelle.
I te. suffit eelteetuer le paie
dent de te,ur abonnement pur ver
LISEZ ET FAITE LIRE
LE M IDI SOCIALISTE
Tee'Mee
SOCIALISTE
. compoeS par ose katx d'envies syriFsuis
Le liftant r LJARRICAL.
Les Amis
de la Nature
Dans la patrie
du Sport
LE SPORT EST UNE FOIRE
Sade dosage, çn nuira à l'une sans
.rvir l'autre. Ohom curieuse cette
otion simple et fondamentale est en
égreasisa. Elle était tacirement admise
Y a quarante ans /orsque se leva
%tube sportivk Il My avad alors en
contact que des jeunes gens passionnée
et des spectateurs favorabies ou lagstles,
mals silencieux. Aujourd'hui, tout
est submergé par la cohue bruyante
dee u intermédiaires slrrllaeeiouaelu,
médeci., journalistes, C..litiC18113. arrivistes.
C'est b qui criera le Mus fort,
apportera son a systême sa
thode n et périodiquement décou- En vo, . qui savent saineent m ser leurs kis' Ils
vrWa l'Amérique w. Cette turbulence
trop nombreux.
gicla le désordre dans les idées et con.
Sondu les horizons. Des naivetés dignes
de M. de La Palice smt répanduae a
jet continu sur l'opinion qui ne sait
plue reconreltre le nord et le sud au
PARADOXES
milieu de cette avalanche de ProPea
elmplieres env.. ppés du jargon scien.
tifique qu'elle a pris l'habitude d'admirer
béatement sa. le comprendre.
a C'.t â la presse Mortive u au dé- Le Sport et les Arts plastiques
gager de tout ce fatras et elle ne le Pons
ra cm% condition d'établir et de maintenir
I. démarcations entre /a culture
physique éducative et rééducative Il faut bien avouer que jusqu'ici les pédale épertinmem et suit in/assable-
l'apprentissage sportif le sport
1.0prement dit qui a.muurla forcément
rapports de fun et des autres n'oM pas ment l'engin qui pétarade.
les c..urs 1. records, l'excès ci- donné grand cho. de fameux. Rares, Et l'acrobate qui plane et vole autour
tins, alloue, fortins, dit la devise olym. bien rares, sont les muvres marquantes de la barre défiant, lui aussi, la pesanteur
pique. Chacun de tes trois départements- inspirées par I exercice physiq.. Que ce l'attachant sol. Et l'haltérophile aux
la a non seulement sa technique dis- soit en peinture ou en sculpture, on est
tincte, mais sa phil sophie et sa péda-
prises avec la matière inerte, méditant
gogie séparées. A l'heure actuelle, qui obligé de reconnaître qui part quelques un instant devant barrie, nuls se ruant
y clerc? On le cuIt, d'instinct en pays réceptions la vogue sportive, commencée, sur lui, tous muscles bandés, pour le ter'
anglo.sagons on commence s'en il y a plus d'un tiers de siècle n'a ap- rasser d'un effort suprême..,
douter en Allemagne. Mals ailleurs ? porte, au point de vue artistique, que des II y a aussi la poésie, la noblesse des
résultats assez décevan., mouvements de masse, alors que dans la
Les essais officiels n'ont rien rendu, immenses plain. de sport me Von trou-
Une exposition artistique annexée Les plus belles
aux ve en Europe centrale, des milliers de
jeux olympiques et où les artistes soM gymnastes, au costume clair, exécutent
conviés à prendre le pinceau, le burin, avec un ensemble partait, les mêmes
piscines du monde la lyre ou à corepo.r des harmonies à mouvements, au même rythme. Un .mdate
fixe, ne peut fournir des uvres mandement et c'est une forét de bras mil
Men éclatantes. Ce n est p. non Mus se leve, un aune et des milliers de bustes
violions de Vienne '65', .666 dans l'architecture des ,stades que l'on
conta ies plus belles du mmde. Le se renversent..,
otaent mm cmi a une né.- trouve beaucoup de lignes capables de
+ +
ngiao'n
est'. établissement soutenir la Comparai ale avec les palestr. Certains d'ailleurs sont absolument
« -u'ri'
d.... andireedont eon ne peut se Waire antiques. Pour tant quelques
p .
divise en deux piscines, ru-
.sais ont transformés sur le théâtre de leurs en-
été assez heureux et aux portes de Paris, pipi.. Ti/den par exemple. En tenue de
ne de 55 m. 55 neur Temètres
tives 49 s e.5reny'5 55re Jean-Bouin et RoDre-Garros deux ; l'autre de pour e .
ville, le grand tennisman apparaît au.
baigneurs, avec toboggan, vagues arti- mor. porfflo , gracie ,,,,no
qUe ec 68 »OM U tl
ficiell., etc. ere. C'est magnifique. Une permis Masse. joli. réussites. .rpe, bur 05 mort, nus raqunila su
t% deaerrun tas'sed'al