o faitd - Bibliothèque de Toulouse

Fe'
QeeleME
ANNEE.
N.4.871
SOCIALISTE
Voici la demi d'une composition 1 e La
feuille se compose de trois parties m le
derme, l'épiderme et le pacehyderna
L'an dernier, dans la mente régffu, on
avait obtenu de candidats au certificat d'aludas
ces réponses. relevées pie un journal
universitaire :
Pourquoi l'eau fait-elle du bruit .
bouillant ?
Parce que ça Ouates microbes et alOrs
y gueulent.
Qu'a dit Jeanne d'Are sur son Mb
oher
Efie s dit talons-mai dei-cendre o.
100.
wricimot e Dc81Mg3ql1 l929
Tous les Français connaissant les noms des
maréchaux de la dernière guerre.
Mais combien ignorent celui du docteur Vaillant,
à qui ses travaux ont fait perdre la bras
et l'épaule gauchos et le poignet droit?
ABONNEMENTS
tr mois 23 fr. fan .
te.
00,jusaaaaintateefilltataltiatinteMalleallgeRaten
--- Visions de grave -
1-e oppupations actuelles m'amè- annonçaient que les boulangers
r d à passer Une semaine SUT deux à avaient mis les pouces et, avenue
p,o's. J'y suis arrive dimanche ma-
,`-- Au métro d'Austerlitz, j'achète
fis le Petit Parisien, étant
daitue
abonné aux publications somapontrairentent
à un tas de
bites
; mn foutres dont le verbalisme révenaire
baisse volontiers pavé.
dot leur porte-Mn:mies.
er 7ia p comme on dit à Pari,
:ence ,a nouvelle e la grévi
bs boulangers. Me voilà ! A traie..
la a bourgeoise me mon
ire mélancoliquement quelque,
/mignons » heureusement tombés
de /a corbeille sur la planchette cb
bde,cni ils pisaient oubliés. One-
» de pain ne se vi,
rent autant rêté!! Mais autant muss,
a emporta le petit déjeuner...
ide voir, don, parti dans les ru,
itla recherche d'une miche.
La bouta/14re de ma rue, nabirelpment,
a fait ',rêve et fermé bouline
comme toutes /es autres, o
rncooe Elle a aelseté son fonds il v
ton su environ. Elle l'a nové asseg
du,. cher, trop cher. C'était le terneri
beaucoup de gens mangeaient
gnon cht nain de fantaisie- à Se.
cents erammes tiour Un kilo et cd.
tout tin nîmenn rosait, remmena dit
o rélthusrls rende. C'était le tem,
ni, on hoehmeer nouvait sisnomotel'agorttsuement
oie son fonds en trois
on enntrm ncomee« n"-^ crois du COD-
,1710.1/1`. bien entendu.
Ce tamt, Put taaaté Beaurono on'
rermIlsê4 la c fantaisie » la nain
eècoolclm «ni donne un Mie oesé
pour un kilo "amie nt rares sera- de_
Arne nerf. frlli CO. nalaul, ns des,.
lii ditnneel'p et encore! des triai'-,
mutesesuittes d a riusemets
Murs, vo", nom"renea.
ment PTI t.aata ana il n'y faut
Perse, domie 1" Monnet dos ras et
b"..,munrs ciii crovaieut toner
ni' Imnt de «dm, anném se
ne mettront nas
ii riiione e/m-dies il réolt.er loun
Tie nou /Bo/mente/lion. en Lii0s.
Eit o, Drus Sella. coron
leur a rcxeci, en lam en faisait uo-
Per dn's Foi, leur mauvaise lm-
J'ente. cèvii la rue du Commerce.
o Gren«no qur In chaussée, sur lem
trottoirs. fle,C °nonnes nombreux de
bois
onntre moutonnes. (Mi dise/ries!,
(MI mn/. «estes. sans éelats
Mg. Sur tes VivauPS une tristesse anmimée
et une fureur Otti ronee son
frein. Une Prande maison d'alimentation,
e Eco ». vient de terminer
sne ratite distribution. Quelques
heureux passent, leur nain h la
Pain. comme « une trophée ». sdon
l'expression d'une ménagé,. Un se,
at Me conseille d'aller voir à la
Mairie du rminglême
'int, plane de
arrondisse-
Vaugirard, où il no.
Oslo
nue l'on distribue des
lion é...
e boules
C'était exact! I/ est dix heures et
derrtio Il y a, devant la Mairie
ains /a et
me latérale, une quelle forlaidable
de deux mille personnes au
Peiens. Je
preffoi ma Un huart
î MM ne s'était
kik pas place. croate que
personn.
keent lus s'échelon-
derrière niai. dep Que voulez-vous
fasse dans une a queue h, si-
7' On causait donc, et
et et hi de toutes 0ta5n5ia055 Aelemivimirstion
FATJY
38. Rue Roquais:lm - TOULOUSE
rr 1-Yr. Ammulisdmeet1
- Compte Chili., poersux o Ssoyy,
Téléphone Beridee
lannestleu
smgisyssammtaigssigehlefflgegigigegessigymism
ALI JOLIR LE JOZJR
A LA CHAMBRE
Un bluff cmiteux
PETITS BI LLETS
Trop d'écrivains Le budget de l'Alsace t'Offlà MET[01101.0fildllE Grève lerminée
Paris, 5 décembre. La séance eat ou-
Bosquet, deux boulangeries annon- une ,m-serge enanéle a démontré aie. verte à 9 h. 40. hi. Francois Arago priisale; POUR ENTENDRE
L'hostilité de la pomaation, loI désaçaient
une distribution pour dix-huit rairapera inarastricis romm, I, ateere.,h MM Loiret, 8.deides sceaux, ne Lasteymie, a PETARADER DES SOTTISES » probation de la presse, les mesura
heures dans loue, pour dix-huit heu- nourrit pas ran homme a. jour daujoied et Alapetite sont au banc do gouveinernent. ON NOUS DEMANDE, EN 1923, de répressions prises par le goutter-
mi rant quelle Inn Una ramisi, mort a
res et demie dans l'autre. Dans la
BUDGET DE L'ALSACE-LORRALNE
CINQ MILLIONS ET DEMI nement ont donné à réfléchir tua
démosoa ose, honnie paeigteen lii. à scie« ce,
première, j'ai encore raté ma miche nié, ct araonj ime me. d'aillera., le dép.«0,, eismm On continue temunen des derniers cha-
Dans la seconde, plus heureux, je I,, femmes,. les a-adieu, ne geovone plus ét.dier pitres du budget alssemn-lorrato.
Nous n'avons pas cessé de dénoncer
boulangers parisiens. Leur mi grève e
me suis vu attribuer une flûte d'un npu aep Au service de l'hymene et de rassitance,
lé bluff a, extrêmetnent coûteux est terminée et aujourd'hui ils raft-
5rarn.
M. cerot o, upuse Une majoration de lu mil- pour les coraribuables, de u l'Office na, descendront à ouvrir leurs boutiques
kilo, que j'ai ramenée fièrement à la Cela sensbieseit muret aeta les temps no,l lions pour 1 affecter aux mamisements 000a0 riaJtuarologiqueet le pauvret° pour gagner encore quelque argent..
maison u comme une trophée » selon aer ourriratea ditra libérales me eme, locierne- hienfats.ce des communes qui ont ete mu- li ..entifique des résultats culaten. . .Dans l'entrevue qu'ils out eue hier
!'expression déjà citée de ma mé n'en!. la jeuneese devrait retreuxer rs. manches a.. par la dévalorisation des titres alle- pat cet urganasme nOuvean cree y a avec le ministre de l'Agriculture, leg
Ci erapronetwe un méfier.
mands quelles détiennent.
cieux ans au se...secrétariat d'Etat de
;Ingère de la rue du Commerce.
membres da bureau du Syndicat deg
Le mariera tien finances reeonnait le dA.Lormutique. Nous avons signalé
Ceux qui n'ont pas passé, comme Chaque lcd, ci'mls « fficitEére dent com
nitt oiur«,
Ic plus éténtentaare intitrêt meninbeide ohm'mei Mao foude de la requête; il propo00 une
boulangers ont dédoré que o tenant
ment cet organisme à peu prés inutile
le l'ai passé, leur dimanche, non pas éroder. Nous anon, presente.ent bee de méde-
somme ue à millions pour sunvenir sus en. ré, présent de ses informations et àrépondre à l'appel fait à des senti-
'eue beau dimanche, car il faisait un
charges des étanlissetnents de bleui:Usance.
cins, omm d'imemanimmem, rad deceours, inc &
de ses avertissem,ents
Lê crédit de à millions est sem..
à peine né, ments qui sont ceux de leur corporel.
temps brouillardeux et de suie, mais prujeeeenrs. trop de honerianneires, top de demi-
leur sale dimanche à chercher leur s nenh, trop die demi-ortiges, tr, rte sens ani NE. OderkAch et Jeaget ontienuent ms
eliMorre do prendre, à l'heure où dam lion tout entière et désireux de ne
troxii
nain quotidien, er,ent denveener divine parce qu'ils +sone
rebvement de crédit pont le personnel de
les administrations on 0/ compri- pas faire subir plus longtemps à la
ne connaîtront la- lire. dee. me >birr me eid mm meem,,,mne dédie-
radminist ation
me » le personnel, une extension qui population de la région parisienne,
mais la bonne, Pénivrante odeur du ne-am m'id . mmleemmione lez noms à o. beme- Au budget de la imitée, M. Gérald pro- o est nullement jiistifiée, et q.ui apparaît les conséquences de l'état de choies
nain doré qui sort du fottr ! Mais ils amm lay»tav
pose ileconmnie des 4u0000 francs inscrits comme de plus en plus disproportionnée
titla de stioVelltion aux punlicatam, avec l'intérêt réel qu'il pré..e,
actuel. ils allaient proposer à leurs
peuvent me croire quand je leur dis Il y a .ffeemifiese dm cautères intellectuelles, et manif.tations d intérêt national. lEsmas aVons du moins eu In satisfac-
adhérents de reprendre immédiate-
comme je le dis aux gouvernants of- eel unbroteillege n'est par une ...saule
C'est de l'argent ...Pillé et tion dn constater que l' e. Office natioment leur fabrication ».
PCilye écrivait il ficiels et officieux, y compris a l'IL.
a s seize.. ans
qui va faire doubie emploi avec les fonds nal ni téorologique avait passé un Personne ne se laissera prendre an
oirai des Intéréts
secrets que vous avez votes hier.
écOnomiques
mamxiis quart d' heu, au cours de la ré- boniment des patrons bottlangerg.
« Si j'avais mm, jellne hmemmm dm oral.., pm,-
banquier du mi Bloc national u. utffil rom a élever et à eundaire, je pendue.. I. Lire Cette intervention va provoquer un viocente disdussion du budget de raéro- Quand ils ont décrété la grève. ce9
reps-coule. ne,
lent incident. Tout de suite les interrup-
a,,tat prudent de ne pas renouveler
les lanaaes meetes,_ ler nautique. M. Ernest Flandin, plus spém-
lettres.
Messieurs savaient fort bien que Pa-
les sumo,. amaa, q.; nsetrant une disproportion tions jaillissent à droite et au centre. cialunesnt, a été, encore plus sévère pour
trop souvent, sur les nerfs de Paris, don,,», nos désir. et nos ressources et sui
Clitry ayant pu acnever tant bien que
ris et la banlieue souffriraient de ta
lui à la 9ibune de
l'expérience d'hier.
frn, rep mai ses explieatio.,.le haut commissaire
Chambre que no.
Ir: si» premières onnirs notra se borne a cette bel va repollae
ne ranOns été iciumême. Nom &ocna
aéra Qu'allait causer la fermeture de
Elle crie à ce point l'imbécillité et unzresse a une mh.em ta ais/2am ustae, bé 101 M. ALAPETOME; Je mai pas 5 rendre infinio noter huer égard, rattitude pour leurs boutiques. Mais ils croyaient in-
rimmiissance des dirigeants réac- dna raseratiers, sur le nez et sur le clos: lo
=ticivIc, Io bru,. coup. à M. Uhry de l'emploi des fonds en moim étrange de Laurent Eynac au timider les pouvoirs publics ; ils cro-
ts esnne ,10
tionnaires de l'heure crue, sitrement, no,, t, Joeelenem do hese et ml, renoluez il,,,, question. Je suis placé sous ie contrôle ex- cours du débat dont nous patio.. liaient avoir l'appui de la presse
une fois prochsne, il y attrait è du ,ntt Cd. Ihootes phone, h ,ff...mehim 4ee-.1111,.
clusif de EL le garde des sceaux. s (Excla- DOià, quand les compagnies tin navii bourgeoise midi- ceux qui crient bien
innovais » et buis les travailleurs,
rata,. mations à FOXtrelne-g1111,110. C115 à 11:Clite). gation aérienne evaiient été mises sur la haut noue la liberté du commerce,
d. I. st =listiez-1s
mamiels ou intelleettielis. ei eenunerciele n
ERNEST LAMENT proteste contre les odlette par 55. Frouilleux.-Lurcint, M èfais les tenants de la presse infdo-
en Sont ve-
Paroles dol commiasmre du gonreneMM, iliamont Eynac avait naturellement
nus it un noint tel d'irritation contre Une telle inepoeninn est moins 5005 qui n'a pas le droit de mette en cause un cusé le rapporteur d'âtre à la fois dée allX intérêts patronaux cl Tes
ries
la politique d'abîme nui nous est im- dinlerne et il ne chia mOn a met. inelnbre de l'Asseinblee. (Biraits pcolonges). simiate é et u injuste s, Mais quand nias chauds partisans de la libcdê
posée depuis /a ma, ....rom dm maim. Maim il net peilt-2,ne eti,, « Reglement I Règlement I m erie-t-on de Fonck,
guerre, qu'il ne fau-
l'as des as s, avait renchéri sur commerciale ne vivent pas nue d'f-
mhim mem., quelque mhéme a nom,, dom, toutes parts.
drait pan compter, mais pas compter eon "perhsnonneie.
M. Cidrat fait observer que le commis-
certaines critiques du même raPPortaar, dites ; ils vivent aussi de Pldm
'es soussecrétaire crEtat de raéronauti- Peurs journaux ont été très sévères
du tout, sur les socialistes, élus ou
saire Mt gouvernement n'a eu atlante pen-
non, pour se mettre en travers...
rnollteur est qtenn n. clyti,na pan sée d'insolence à l'égard de Uhry. lue n avait pas a pipé à
envers les boulangers.
At, si l'on Punirait chiots?, d'un jeune Je rappelle qu il 00,1 j000aisenioé
E.nfin, quand on en était venu à la dis- Le Tenu, le puissant organe pat
ELLEN PREVOT, Irarame OOTMG Of1 earroaa'a on châssis Z'automo- dans la mais. de M. le commissaire mou cmslort du crédit affecté am subven- trona!, a dit :
Ancien Dépui4,
gmaernement dquiniton un membre do tions des entreposes de transports aé-
Co 'il général de la Flaute-Gasanne.
Andff Nr.s.
Il ifa.voulu dire qu'une mins., -ires nt quand me réduction de
c D'une façon générale
trois
et en
c'est quit était placé sous le contiôle tin millions avait été prépo.sée en plus de la nartinnlipr loreeleil S'Unit du cuir/
dos sceaux seul et je déclare que je diminution créXii opérée par la Commio il est fuechnierible nue le m'Ille moue:.
preue lientlere responsabilité des Partes xion des finances, on avait eu la stupé- fre des eoeditions d'intéréfe oartiorel
A. :st rant. Cominissuiro.
faction de constater que M. Laurent Pers, end sont aussi contraires à ià
Ef. Ernest LAFONT. C'est à l'Assen, Fémur, ailant au redà des demandes mei
uos JJsllUijlt5ap 104o5a000e ,,,na a,nav aajt, mos d, u pmsirnistes Il, acceptait sans
ennomeeee que les inter'
ventioni rie rEfAt.
t. tu] ,,atualasane du gouvernement a "r rroireire résistance rabattement pro-
111.i, en Cause un depute dont la Chambre noce. Ce qui était bien a En cherchant, sans eiratrels 00IIP
n'a pas à eannaitre la personnalité, dans
(e, preuve Mit
u. phase qui par son allure, était plus ou
sun budget avait été quelque peu a en- les consommateurs, trancher la
moins isjurieuse t regard dc l'Assemblée. fié ie.
ruerelne nue In ulnl Ira boulan-
Je demande Im M. le commissaire du gou- La même facile capitulation du sou. gers se sont mis d'us /ego
vernement, mnsi que le veut le règlement, secrétaire d'Etui s est produite en ce qui Le Petit Parisien, dont les
d'avoir pour tous lis députés les efin concerne le budget de r y Office natio> conservatrices s'affirment
que /a Cluunbre a toujours réservés aux na, re.xiorciogique Ernes. F andin
temps, u,,quelques
va plus loin Muta
ectiontiosaires du gouverqement qui sont combattu par le seul Pierre-Etienne
ses hales,
rune Aurès avoir énuméré lei atgu-
hiancim le combe:gent des conoo,tums
Le président met aux voix l'amendement
ments nue pigment invoquer les
de Uhry tendant à la suppression du rita- de l'aérooaulique pu'
aVant dnrnandé
le. Cet amendement est repoussé les chapitres en question fussent rem
trace boulangers, il «joule t
par
337 voix .ntre 08.
voies pour eXamten Plus assamtoione à la
è Mois est-ce lies raison suffisante
Un autre amendement sur /e même che- Commission des finances. M. Laurent Pour planter là leurs f ournils, créer
nil r, ramenant b crédit à 350.000 francs Elynac no fit point éra difficultés Pm00 celle effervescence dans tout le yu-
est selon..
accepter ce rem... Si Même On avait blic et donnes borasuiomala exemple
Ernest lAtont réclame une augmentation statué tout de suite sur les crédits, il eût d'une grève d'un service mitait-
LA GuISYE DES BOULANGERS a changé la ionoinie de 1 pendant
importante du crédit destiné i indomeer de même consenti à la réduction d'un
?Car
au fond, la Imulannerie n'est-elle
les .Alsaciens-Lorrains victimes pendant la million qui était réclarnée, Si bien qu'on
pas
quarante-huit heures. Voici un camion Militaire arrivult avec son précieux contenu guerre, des agissements des autorités mili- en .rive à douter de le sincérité de pré-
un vrai service public ? »
dans 1» cour d'une mairie.
taires françaises.
visions de dépenses étakilies dans. des Nous disions la même chose hier
M. Alapetite prend t'engagement de faire conditions telles que leur auteur ne s em- nous demandions la
étudier promptement 1e do.ssiers des rémunicipalisaploie
pas autrement à les défendre. tion des commerces
On liquide le harem... Le pape est hostie
clamants. Un .édit pourra être ensuite
essentiels à Peat%
En tout cas, il est à capércr que ta tence. Qu'on le veuille ou non, la for-
au mariage ciron prêtres PTer''L'gjtu rfehrEt..i,rraie toi on- Cogunission des finances" épluchera » ce des choses amène
fin achevé.
soigneusement le budget de l' u Office
aux solutions
socialistes.
Londres, 5 décembre. mande cle
Constantinople au « Daily Mil » que le
La Man. est levér à midi 50. rgétéorologique ou triomphe, solen un
mot fameux, la o acie.e à cinq galons s
I s Ils
eue-ornement turc s'occupe en es mo-
Le ii Corriere della Sera
qu'elle prerme h ce sujet l'avis autorisé
ment de licencier le harem de l'ex-sultan dit apprendre que le Pape a excommu-
Mbhmed VI, Maintenant réfugie b Malte. nié les membres d-e nationde Conseil des Ministres d un vrai savant. M. Minscart, directeau
do l'observatoire de Lyon à Saint-Ceni.
On propom de renvoyer dans leurs vil- cr-ate, qui avaient aboli le chfibat
lages d'origine la moitié do ses 300 con-
Laval, et elle sera vite édifiée sur /a en-.
les mettes.
cubines. Peur les autres, on recherchera
Paris, 8 décembre.
. Croissez et midi elles », avait dit le
Le conseil des mi- Ira des services rendus par des météo-
des maria Memo sans dol, li ou loua' ierû
nistres s'est réuni ce matin à lelysee, sous rologides pour la plupart iremprovis..
pa sdifflolle do leur en trouver, car les
Christ, Ce nimt Plaa booms in enee /a présidence de M. Millerand.
L'ancien bureau central inlitéorologii
fenunou du patais ont toujours joui d'une
huilent en son Imm.
Poin.ré a mis le conseil nu courant que, dont le personnel était composé de
haute considération dans la société tus-
de l'état des affaibes extérieures et Pa véxitableo spécialistes, ne coûtait naguèque.
La moitié daa eunuqu. de l'ex-sul-
entretenu des questions onneernent son re que 300.000 franc. Office natiotan
sont théj.h attachés au harem du nou- Les Progrès de l'Instruction Prochain vo.. à Londres.
nal météorologiquo nome prégente pour
veau calife. S. quatre emx-Rpouseu seront
El. de Lasteyrie, ministre des finances, a 1923 une note de plus de 3 millions. Si
défrayées sur les r.enus do sa fortune
fait approuver /sa nominations suivantes
personnelle. Mao on no leur accodera que Du Cri o Fedi.
M. Jacunin de Margerie, l'on y ajoute les créclits épars dans les
,soins .diraoOmr
des pensiouu trés réduites, Mehmeid était Que4,es réponses de jeunm candidats
à la direction du budget au ministère des budgets de ragricuhure (bien sûr I) de
gens, de tons son, le coup d'une accusation de haute au certificat d'études primairna dans
flnances, est nommé directeur du contreile la guerre (1.310.000 fr.) ; de la marine
le
liii et de tous âges. Chacun ditraNsen,
qui peut faire confisquer sa for' Limous-n
des administrations financières en remplir- (10) à 120.0-0 fr.), ori arrive à un total
-
.n inot, On demande do répondre « par able
cernent obo M. Leclerc, appelé à d'autres qui dépasse, pour la méthéorcilogie
bil moi comme les autres.
l'oral à cette question :
fonctions; M. For.ary, inspecteur de Ire 5.500.000 fr. Une telle dépense pour en-
vous dire que le a Bloc natio-
Que, différeuee n at-ii entre un roi classe des finances, est nommé sous-directendre la Tour Eiffel pétarader o ce
), »,el. Politique de liberté anarclii- La guerre de la bière absoin comme Louis gt-V et cdi président teur d la direction du budget.
que M. iVlascart appelle textuellement
k, fié mercantilisme et de spécula-
dela République comme à/. Millerand M. Chéron a sournIs à la signature du des sottises o. c'est un peu cher.
iellement protégée,
Réponse u C'est quo Louis XIV avait une président de te Remblidue, 'un d'écreE Mais, pour les militaires, il va
ANGELE LAVAI,
son im- Annem.se, 5 décembre. Loa Mi/épiés
4,;Jante incurie, en ont pris pour oui braaserico bavaroisns ayant, au cours
couronne et M. Millerand den quitun cha- créant ne- registre génél/ogidne es .men- sana dire, l'argent ne compte pas Do
peau.ces
sélectionnées et établissant le contre'.
Junne ! Vous vous en doutiez. d'und remiion tenue le 30 novembre, dé-
de toutes semences, eu de protéger les
moment que ce sont les a yékirs o qui l'héroïne de l'affaire des lettres anonymel
cidé -de porter ii 140 mark le prix le prix Autre répon. m C'est que Louis XIV
paient be
de Tulle
cultivateurs contre les fraudes dont ils sont
le l'avoue, je n'aurais pas
â Paris
du litre de bière, de nombreuses protesta- gouvernait, tandis que Mierand fait rien
e ibesiteisetene-etamidà
trop souvent l'objet.
du
pire le
le dégoût tions paraissent dans là presle igsv.mise. qlls deo discours.
Bine moins' » eût atteint ce qui ?élève avec violerme contre les mena- Se condeq. stion reiative b l'histoire du
Uns Ville canadienne ravagée L'arbitraire des
r,, abusives des brasseurs tendant à ren- Limo.in passeports
par le feu
bouches
dre inaceesible b la .bourso du commun
saves-vous de Gaty-Lussae
L'Index-Number
hmttendues,
rler, si rake le breuvage nal/final, si cher aux bourgeois Réqonse 1 Cay-Lussee a consacré sa vie
sortaient des menaces de Munich. La population manifeste l'in- dans les gaz et les vapeurs.
dans les différents pays du moud
Tout le
la monde était d'avis tention de boycotter certmaici fabricants Question scientifique 1 Pourriee-vmas vi-
Montréal. Un incendie sévit à Ter-
grève durait un jour de peu sermon/eux qui. Mut eu augmentant vre en r.ngeant seulement du sucra et
Y aurait
faitd
en 1922
re-Bcrme. Le ler cleceiclore, à inimot,
sans cusse leurs prix, livrent une bffre tou- fro.tge
l'hôtel de ville, l'hôtel des Postes et
o sûrement du mat, jours plus amère au palais des amateurs. /Réponse I Non. /1 faudrait encore un
q, ante maisons eigicrit eéjà dit on. ceira
i y a es Mau-
mea de lainant
Royaume-lini, leo en novembre; !Au-
certains quartiers, vous
A l'axamen du brevet élémentaire (striche,
1.130.000 en septembre; Rolgarie, p. is On ns signale ai rune. vintirrie.
nous avions man-
I.), l'épreove écrite sur les sciences avait 2279 en juin; Danemark, tite en Bullet;
Lin tendie ci-, a éclaté" le ter ilbierre
te vent, producteur d'électricité
ndi, je le dis pour sujet Fétu1e de la fouille.
Finlande, 1.136 en août; Fran. Paris). lire à Terro.Bonni- n'a pu être enrxyé
en toute
302 le second trimest.; iOisenlanar. 22.050 que grâce aux ersorts de /a brigade de
aurait vu les pires,
en octobre; Italie (Rom., 437 en septem- pompiers venue de Montréal. situ à
Londres, 5 décembre. Selon le Daily
bre; ItaLe (Milan), 504 en octObre: Nor- 25 milles de Terre-Bcnne.
egitimes désordres.
t la Expr.s m, un plan cal en. moment t IM-
vhen, 249 en septembre; Pologne. 00,823 en 1.200 jperconnes sont sans abri et il y
a queue » pen- MRe au ministère de l'Agriculture pour
août: Suède, /90 en octobre; fPpagno (Maes
et demie. A trei- PutilisaiMn du vent pour la production
drid). 181 en juin; Suisse, 151 en sr,ptem-
e plus d un million de dollars de dégâts.
avait plus de pain de l'électricité h bon marolff. Les experienbre;
EAta-Unis, 160 en .Piousbre: Aus- D° temps à autre le feu reprenait Me
ces vont. commencer incessamment. Un intralie,
140 le second trirrieStre; Canada, divers points de la localité pendant la
re bredouille, comme génieur bien connu h Londr.. M. A. (rad.
147 en octobre; Ineln (Bombay), 160 en oc- matinée. Hier soir des ecclésiastiques
s'est partagé le der- soin, interviewé par le tournai, a déclaré
tobre; Nouvelie-Zeiande, 144 ea ont ont défilé en cortège dans les mes
s'efforçant de plai- qu'il considère le proiet nomme entière-
ARfgrique du Sud, 120 ett agi/embue. pour empêcher la popmlation de se laiskment
pratique par remploi des types mo-
après-midi, je suis
L'index comprend, amant que possible, ser outimr par la panique au rrairnent où
dernes de mou/lins à vent mu Ont ace les
"se. A cinq heures
la nourriture les vétoments, le loyer. le Ira pompiers faisaient sauter les maisons
°neje. l'avantage d'être plus effluseee nt
4 les journaux du soi;
Are!free! et Velairage
égale à Le dim./rite afin de banne In feu à
de pOuvoir Elfe construits à bon marché.
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501e KROPOTKINE EST AUTORISER
ENFIN
A RESIDER EN FRANCE
Palle Kropotkine fille du grand soute.
gue russe, ne pouvait obtenir Pautorisol.8
de résider en France.
Le seul griet qu'on eût à tut faire. Oen
sa nationalité russe. Cependant, le nem
qu'ene porte, honoré dans tout l'univera
qui pense et qui souffre, représente, tante
dans l'esprit de nos adversaires, les plus
hantes idéra de science. de dévouemont
d'honneur. Il eût été rem-ettable que le
gouvernement français ne sût pas respeem
ter, en /a personne de /a Rlle du grand
écrivain venant nous demander asile; sus
aussi haute glnire. mOrule.
A la suite d'une interventi. de LA LIqui
des Droits de l'Homme, Milo Kropolkina
a obtenu un permis de séjour d'os Malt
Puis, sur une nouvelle démarche de le
Ligue, Mlle Kropotkine vient dièdre Sues
risée à réside0 sa Eranea aiala_11taltattoa
do séjJew.

lalasand.11 2 alevaluessuemEgamistarmemsrusessa esseedammunte01.0Fliolagetral
A LA CHAMBRE î. lettres de Tulle Pluie d'entrevues séparées
4es
UNE ENTREVUE
KRASSINE - MUSSOLINI
Llestruction Publique
TaPs. dée.nre.. La Chambre aborde
cet après-midi, l'un des budgets les plus
Reportants, terni ,gur vraisembIlleoment
rependra le plus longtemps ratte 1.1. de
la Chambre.
Dès le début, M. Pierre Viala, au sujet
de l'insuffisance des dotations attribuées
aux laboraTôires d'enseignement supérieur,
promise un Inmett spécial sur Ms banques,
dont le primait serait affecté aux labosator-
M. CANDAC.E.
La France a des colo-
nies serbes, elles sauraient recennartre le;
profits qu'elles tirent de la culture seitnti-
igen de la médrepple, pourqUal ne pas MUS
faire appel en faveur des laboratoires ?
M. Léon Bérard n'a qu'a s'entendre avec
31. Albert Sarraut,
LA PROPORTIONNELLE SCOLAIRE
Cl vomi une grosse questrôn politique qui
lit entarnde par M. Avril.
11. AVRIL. Quelle est la politique sco-
laire du gouvernarmat ? C'est la seule
question qui pa.ionne vraiment r °rumen
à celte heur, Le« cabinets suceessifs ont
manqué de (ranc/use il de pagision.
(Très bien.) Pour la tranquillité de récole
Publique rd MB s'expliquer. L'inertie du
linon,,reill â gauche une inquiétude;
a dru in, une espérance et crée partout la
confosion.
L'éducation nationale reste une oblige-
r rIe l'Etat, n'est-ce pas, M. Léon Ide
sul ? (Aloubemerds dive.) Cependant,
Asais ou des espoirs de proportionne/le
claire tendent à taira subventionner Pa,
Etat los écoles confessiormales catholi-
ques d'abord, communistes plus tartd, je
-eppose. Est-en que ce classe umnt des éco-
les de Franco, selon les partis Politiques,
est atitursable ? lApplaudissunents a gau-
M. DE BAUDET D'AS:SON.
Mais niais
'..'u 0:te et man nous déposerons dès do-
n entre projet de peoportinnelle selaire
LS el ta tien.)
34ga/titra N'ADETNIVE. Quel est l'avis
m.. Léon Bérard
hl. AVRIL. C'est précisément en que
Ensire Ith faire dise. Le fond de la que,
on se peut être traite au détour du lourd-
set, mais il faut quo le g...versement de
la RépuBiique ai position prise contre la
.droporliantable edams. (Applaudis.-
..Ms:à galle/te.)
Al Léon Béraid es Lie gardien de l'âme
.vt pais. La engivance monarehique, sures
...ôté la grande force du rerasanbletnend
ellonal [m'aise des Liklék, renaît mass
0.lune un brandes de diworde.
M. InUDET. Noun voulons la monar-
eltie par l'union de tous les patmot es. Nous
un la fonderons pas par une révolution &-
sent l'ennemi comme est née la Troisième
République.
hl. AVPIL. Je crois que les luttes en-
Ici., uc s'appestront que si le gouver-
nement agit efficacement contre le retour
offensif de Pintranstgeance cléricale, dres-
sée rentre ITrole publique. Pas de pro-
Pestionnells scolaire et pas tin rentres ne
tangranations nalguante. I
On nous a donne, bien malgré moi, on
nonce. Le nonce a discuté avee le gouver-
ne. nt et a reconnu lui-marne, .rnt-en
assuré, I. inconvanrents de resdr.rilll-
gale en France do congranatiens enseignan-
tes. Mais cruelle est l'attitude de M. Bi-
sant ? Co n'est pas assez ale se taire et de
et laisser faire. (Applaudissements h gan-
t...) Peut-étre est-ri meure teMps de pro-
ies,er à quelques expulsions / (Longue agr-
tation.)
Si M. Bdrnial continue à tenir le; lois con-
tre les congrégations enseignantes intangi
las, potinerai ne les applierueil pas ?
atm. algautane.) S'il veut les app ilf are
? QU'il soit trop tard ?
La sont,' murale do l'Univehsité est in-
. quidluElettritinaglind les .saisons. M. Bérard,
par sa bade nese, la grAce do son eapat
qqf. 11%.à,ulqûr,ekurf. l'Université se plaît dia-
iTripil
d
e ePapplaudissemonts sur les
tan. ?é Srlianins.)
voils Qu Jref 'alpee .0 courage et la force.
LES 1101PHADES AUX INSTITUTEURS
.Le citoyen Alexandre Blanc défend la
fiheed dropinions des instituteurs, atteinte
par ne circulaire de O. Itérard leur interdi-
sant.. snéler à certaines luttes Pepti-
ques. (l'est un paradoxe que de limiter les
droits civiques de ceux qui sont appelas
à Menhir des doyens.
L'extrême gauche applaudit, Mais 1re
autres testent froids. Même leeu radicaux.
la s'agis pourtant de sauver la liberté do-
pera. des. ()Magne..
LES Se'PPRESSIONS DE POSTES
Puis. Aubry porte sen effort contre la
suppression de 1.500 ponte, d'instituteurs
ni instituts....
AUBRY, Quand la Chambre a voté la
suppression de 50.000 fonetionnaineg, es
n'est pas an personnel de l'enseignement
primaire quo nous songions. ;Très bien !
sue de nombreux lianes.)
Ces suppressions risquent de d.organi-
ser en certains emiroils le fonctionné/Ment
rim. étoles. On ferait mieux de met'e enfin
il la retraite de grands manitous do l'Uni-
vereté
AL BERARD. In loi que le Parlement
h volée, et que je ne potinais me refuser
lb appliquer, preserisatt des suppressions
"avant la fin de Tannée, Il y aurait eu des
inconvénients graves à procéder en eours
de scolarité. C'est ce qui explique /a bâte
avec laquelle Ms vacances ont été mises
A profit. (Mouyements divers.)
AUBRY. Vous avez méconnu la loi
nrsaniqua tIc renseignemen primaire qui
t'exige une école publetue par commune.
; M. DERARD. na janjais été question
d'enfreindre celle rigle, d si c'est à efila
qu'aboutIasaient certaines suppressions,
Porterait re1116da
En attendant, 1es écoles pu/di-
gnes manquent. LeS &Oleg cléricates pren-
nent leur place et le four est joué ! l'est
le nuement pour les républicains de w sou-
bénir que le cléricalisme est tronc-ri. CAp-
daudiesements à gauche d bruit b droite.
IL:Istar Ces. attobué au
d'el.bercorn.
Cours des Changes
Un fane navant tm Londres à 0 ft. 3.87, s
New-York. à u fr 361: à Romagne. 0 re 452.
u Genève 6 0: 50, Berg. ssa faces
Deuxième jOUrndir
LES EXPERTS SE CHAMAILLENT
Séance peu passionna/de que celle du
matin. Diskssiom entre experts, siens
profit palle personne.
Le docteur Locart a maintenu ses al-
firmntiom, à savoir eue !es lettres sou-
taises à son examen sont bien tracées
de la main d'Angèle Laval qui, sous
sa dictée, fut invitée à écrire de dives-
ses manières.
M. Gebelin, point de détail Par p' tait
de détail, s'est attaché à battre en brè-
che les cenclusiom de l'expert et, fins-
lement chacun est resté sur ses Puni-
tions. Il était midi.
UN TEMOIN CONTRE UN EXPERT
A la reprise dm débats à I h. de
l'après-midi, on introduit le premier sis
moin. C'est M. Blaay, employé de la
préfecture de la Hauteloire.
« Messieurs, s'écrie d'entrée le témoin
d'une voix farte, je suis dans le même
cas que le président de la République
du Brésil. »
Une explosion de rires salue cette dé-
claration initiale. Me André Hesse in,
tervient pour calmer cette tempête de
poilé, car le témoin vient d'affirmier
que, strates conclusions du docteur Las
nen, il a été traduit en cula' d'assises.
Mais les magistrats ayant constaté Fer-
rem ont prononcé Façouittement. Et M.
Blaze continue à s'exprimer énereque-
ment pour flétrir l'attitude do denten,-
Locert, qui s'est trompé sur son coup-
te.
TEMOINS DIVERS
PRIs viennent des fem.mes.
Ce qu'on entend daim conwreéiages de
concierges I Me bermen Mmes, des lan-
gues vénéneuses.
Cependant un témoin homme qui pa-
raît sérieux produis une plus grande ima
pression. C'est M. Moury, chef dé divi-
sion à b préfeeture, sur keine], parait.
il: l'inculpée avait des visées menins,
Males et oui fuit intimement mêlé à le-
censure à tel point que quelque temps
les scupçons karèrent sur sa femme,
cacjausait d'atm l'enfeue des lettres
qn'ebanonymes.
Me André Hesse.
Monsieur lé pré-
sident, en raison de la nature délicate
de cette déposition jearois devoir de-
niander le huis due.
Le président. Est-ne bien nécessai-
re ? Mais le témoin rassure tout I. mande
en déclarant qu'il va s'effercer de se
maintenir dans une déposition discrète,
quoique complète, et qui ne choquera
/es oreilles de personne. Et nous voilà
partis dans le récit d'un homme désiré
par une femme et qui demeura inflexi-
ble. Il ne voulait pas d'Angèle Laval
pour épouse.
Sobrement mais en détail, M. Motu
ry nous conte la scène du premier boi-
ser a Embrassez-moi, lui dit Angèle,
le 51 déceml.e., Vous le pouvez bien,
puisque c est demain le premier de
fours. s M. Moray résista d'abord, puis
céda.
Il arrive à l'époque des fiançailles
avec sa femme actuelle. A ce moment,
les lettrez anonymes affluent, préver
riant le fiancé centre sa futur femme. Il
passe autre, il se marie et les lettres
cmitinuent tous les jours, ou presque.
Ft reaintensat nous passons aux peti-
tes histoires de bureau, d'avancement et
cle jalousies que susmte thes les ka la
fortune des work. Les lettres anon,
mes Interviennent, attisant les rivalités,
Jetant la discorde, provoquant le léser
dre.
Nous entrevis alors dans /a période des
sent gons. Mine Mbury, femme ou té-
moin est montrée do dergt On dit,
sas k manteau, ça elle est l'autete des
lettres anonymes qui désolent Tulle.
Sou mari mit que sa femme est inno-
cente et il explique devant le tribunal
civelles souffrasuces il a endurées., M.
puissant devant un, tel état de admises.
Mais Mile Angèle Csaval proteste une
Ras de plus cette déposition n est
qu'lim tissu d'infamies.
L'audience coq suspendue.
I.A TEiVTATIVE DE NO,!ADE
M, VeSgnae, propriétaire aux envi-
rons de i etang nu Ruffair, est, le [te-
nues qui a secouru Angèle L.velaa
a quitté l'audience. Elle n'assiste pas à
cette pénible scène.
M. Vergnole a suros. Mlle Laval au
moment ch elle se disposait à entrer
dans l'eass et où elle aPealait sa mère,
qui, aille avait dépà disparu, noyée Jans
l'étang. Il a explique sobrement.
Avezmonu eu l'impression que la
jeune femme voulait vraiment se noyer?
Oh ! oui vraiment.
Me Laccote fait préciser dans quelle
position se trouvait Angèle Laval, et il
en résulte qu'elle était bien décidée à
s'immerger pour en finir.
TEMOINS A DECHARGE
M. Broch, horticulteur, juge au tribu-
nal de commerce, est un témoin de mo-
ralité pour Mme Laval et sa lsmhjle II
rdhésite pas à donner les meilleurs ren-
seignements sur l'inculpée et sur sa fa-
mille.
Le témoin, sur l'invitation de la dé-
fense, ajoute qu'Angèle Laval n'a pré-
senté de symptômes de maladie qu'au
moment où elle fut soupçonnée dons
la compagnie des lettres anonymes.
At Dunois, directeur d'école en re-
noue, apporte, lui aussi, d'excellents
témoignages de moralité sur la famille
Lavai, et il n a entendu chez lui que
d'excellentes conversations bien loin du
les tulipes britanniques éldneni l'Irlande
ton des lettres anonymes qu'on lui re-
proche.
Demarn les avocats parleront.
Dublin, 5 décembre. Des dispcsi-
tions sont prises po u
ur l'évacation des
forces britanniques du sud' de l'Irlande P.M, IM POTS 'I
Cette évacuation serait, paraît-il, tenant. "M
née dans creux trois semaines. QUE DOIS-JE DÉCLARER ?
D'après des bruits qui causent à Bei- QUE DOIS-JE DEDUIRE ?
fast, le poste de premier gen/verdet ' QUE DOIS.JE PAYER?
est OUYRAGE TRAITE DE TOUX LES IMPOSS
PARS do. LEURS DÉTAILS
Postar minou tg Pi. tiffrmwo t M. en/
Paris, 5 décembre.
On mande de
Rome à l'Agence Fournier que Krassine
est arrivé, hier soin inopinément à Ru-
ne. Il a eu une entrevue.avec Mussolini
La conversation aurait été des plus cmré
&mies. Une entente en serait lisaitée
sur les deux points suivants
I. Il aurait été convenu; en zernetne,
que l'Italie enverrait à Moscou un re-
presentant politique, alors que jusqu
présent n y a enveyé qu osa delégu'é
2 II sera un comité. mixte Pelo-
tage° chargé d'étudier toutes les ques-
tions économiques et commerciales in
téressant les deux PnYsi
"E GENERAL PELLE A LAUSANNE
Malte, 5 décembre.
Cii mande de
Constantinople que le général Pelle,
haut .rnmissairs fiançais à Constanti-
nople, quitte aujourd'hui cette ville Punir
se rendre à Lausanne où il vient faire
un court séjour.
CE QUE SERA LA CONVERSATION
DE LONDRES
Londres. 5 décembre.
Dans les
Ciffileadr allenee, comme d'ail-
leurs dans de nombreux milieux fran-
çais, on catir. eue /a Conférence de
Londres ne prendra pas véritablement
le caractère d'une grande Conférence
La réunion de Londres ne doit être
cansidérée que comme le .préluda
/a Canférenee financière de Bruxelles.
Les Alliée viennent examiner dans leur
ensemble les questions qui es parieront
à Bruxelles, rriais auctrune décision ne
sera arrêtée.
I/ semble que M. Poincaré ne doive
pas- exposer à Londres sen rlax, général
isur la question des réparations, ainsi
que sur In remboursement des dettes
interalliées.
Ces deus in-es-Jutants points ne seront
tteités entièrement et résolus, C. l'es-
père, quià Bruxelles. Lu, réunion de Lon-
dres ne durera que deux jours.
M. IQUSSOLINI QUITTE ROME
Rome, 5 décembre. M. Mussolini,
acompegne de M. Gontarini, sénateur,
est pssti, hier, à 20 heures, pane Milan
Il doit rencontrer aujourd'hui dans cette
ville M. Nitchich, ministre des affaires
étrangères de Yougo-Slavie. M. Musses
lividenteurera deux jougs à Milan et re-
p.tir de cette même ville jeudi, pour
Lonees
Dans les milieux politiques de Rome,
on affirme que les intentions de M. Mus.
eolini ont été modifiées et, ainsi que les
journaux italiens d'hier l'affirmoient, M.
Mumodini ne s'arrêtera pas à Paris,
Au Sénat
La agnat est omene à 3 heures 15. M. Lem
Emageois préside,
Le Sénat Valide l'ilemgn de M. le comte de
Sigs dans le n'axa-as-Lu' a. Il adepte sans débat
les crédits supplémentaires nous les dépenses nd-
cnisteratives ce le Chambre dos &Muge.
Uordre cht inc «molle le dimernon do mont
adapté rp le Chambre sur la création de l'arme
tle l'aéronramique
Le général blirdwbouer, rapporteur, expose les
avantages de le orMtion do la cirmuième aune.
Les divers artieles du projet sont albetés, après
un bref allonge d'ereetvatiorn eane MM. de
Lobersac et Maginot, ministre de /a guerre.
Le Suent reprend ensui. /a dIermssion inter-
romp. pendant plusieurs nes du ment rdati1
am charnues d'agrimiene.
Avent le vote SUT l'es/semble, M. Méline, pré-
sident de la commission d'agriculture, félicite le
Unas d'eveir veté le craie, mus sella, doms
revenir à /a alambic, aveur subi d'amen nom-
breuses ...tif/cations,
L'ensernbie du proie est voté à mains levées.
Ume interpellation de M Decca Tut le Palle-
que ;noient:, et le feledeeten d'ensees
noms. est renveyée après ta rentrée de gnei
nce /evée I 6 Ir 35, Piochai., leadi.
Une heure avec Crigul.
poids plume
Un motel de boxe surtoau quand il met en
présence deux champions comme Cric. et Met-
thews, est vraiment la Mese la plus étonnante du
Inondai Quells annnataller el Quel 6.0 Quelle
fumée, Quel concert d'acclamation. Quelle fiè-
vre, rai- an des femmes sus lèvres rouges mier
anathème ou vaincu et Pts, des fleure au vain-
qteur. Jar vu.,
Mais bissonr.les les BOUVelliY9 d'hier. Lee aw
fions de demain seront phis mcsaffm.
Faisons confiance à l'avenir.
Je pensais sofa ce m e
atin n me rendant ellen
Climat rette le féliciter de sa nerwe victobc,
craignais de trouver un homme las. je montais
avec hien/mec les eeediers oni conduiseue à as
chambre. J'arrive. Je pousse la pane, une voix
joviale me Banne au visage, et a.,o un éclat de
rire j'enmnds
Vous êtes le bienvenu.
M Crin. est-1/ là7 demendaide,
jouer à a
Saverodua l manille?
LE MIDI SOCIALISTE
«atmasitatasattagammeitaWilmemagzaufass
Ilu prefet dant les juses
Deuxième rourede
Limogcs, 5 décembre. L'audience
est ouverte à 9 heures. Et aussitôt M.
Riffaterre, maire de Bourg...neuf, nus-
'-milles général de la Creuse, est appelé
lais barre. C'est lui qui souleva, lof-
faire du ravtaillement, et il eandiellso
dans quelles circonstances M. Piettre
accuse nettement M. Riffaterre d'avoir
soulevé le scandale pour se faire
tremplin politique et pour re venger de
n'avoir pas obtenu de fonds secrets lots
des élections législatives.
Le témoin use-se contre une telle
accusahen et be Brasaient. deep:le-da ne
en
p tolérer dinci&nt politique, menace
de faire arrêter définitivement M. Pie.
tre. Mlle Mothivet, ancienne associée de
Walter, mariée à un docteur parisien.
u surtout à s'expliquer sur l'adjonctian
du met mi vég-étal s sur le contrat de
graisses.
Venue à /a préfecture peur faire éta-
blir un contrat en règ/e, Mlle Mathivet
ne conféra qu mec M. Piettre et empor-
ta son contrat. Le faux n'a pas été rom'
mis per elle. M. Piettre affirme qu'il no
pas été fait dans ses bureaux. Le ppro-
tes,d'ailleurs, demanda une indemnité
puna fourniture non confirme. Le mys-
tère n'est pas éclairci.
Ancienne comptable d'Edrei,
Lévy n'assista jamais à pilonné Cratere,
nation entre les deux accusés. Uns seule
fois, elle eut à inscrire sur ses livres de
eocisse une somme de 4.000 francs ver-
nir à Mm Piettre.
E.desi profite de cette &position
poila protester de nouveau de son inno-
canne et de sa parfaite c.orrection en af-
faires.
S d'un parlementaire de la Corrè-
or, Mme Berger vient expliquer Caria.
ment elle rencontra M. Piettre, ses or-lu-
tions rrsondarnes avec lui et l'interven-
tion arnica2e de celui-ci karès d'Edam
ur faire liquider les dettes'de Mme de
salle.
Mme Berger proteste avec énergie
contre les insinuations postées senne
elle; elle n'ai jamais été la maîtresse du
préfet de la Creuse.
L'audience est levée à midU.
La lecture du Journal officiel mm conte-
rient la discussion toute récente du bud-
get de la justice m'incite h examiner les
ivers points mis.en lumière par les ora-
teurs, et sur lequels l'attention du garde
de.s sceaux a été attirée.
On a beavreup paiq de la réforme judi-
emmure, que d'eues. fient à la redonne
administrative pour mieux la retarder et
peut-être même la faire &heu. Cepen-
pour reconnaître que la Mi de t9t9 o tait
dant. fout le monde par. être d'accord
fafilitte et que, sous l'appas.. d'icone-
mies (d'ailleurs en fait inexistant.), en
a jeté le désarroi et In déSonise dans cette
admÉnistration, «nu, plue quo toute autre,
a besoin du calme et do la tranquillité
pour donner à Oen dansions, qui peuvent
peser d'an poids très lourd SUT 1m, Menés
ml 011/ les personnes, toute la garantie que
ive justiciables, petits rt grandis, doiveni
trouves dans la annecienee et dans Cimpar
Peiné de leurs )uges.
Je suis .urn profana, et je ne m'amuserais'
pas à diseutenst l'institution du juge uni-
que rot préférable à l'institution de grau-
des compagnies Indiciaires. Qu.tion âpre-
ment et vivement discutée au Parlenrent
au murs des derniers débats.
Mais, ce que nent voulons, quelle que
soit la Mrrne à laquelle on s'artels, elect
l'indépendance du magistrat a Conanent
l'obtenir ? D'abord. en Irn dkront un
traitement en renne aVOU la fonction
qu'il doit exercer dans la société, et qui
le mette à l'abri des préoccupations maté-
rielles, et par suite de Mnte compromis-
sion. Un grand pas a de fait dans celle
voie, et nous sommes I. premiers à nous
réjouit que tout travail, grill soit lotit-
Metu.el ou matériel, soit t'émané., suivant
la capacité et la compétence de ceux qui
Conecutent. Une fois cette rémunération
Mste et équitable acquise, Ms rares enns-
siennes, que le besoin aurai pu faire
réagiront. n ne restera plus alors
qu'un écueil béviter. qu'un fosse à Men-
tait mais il est si large ee
h
an
dance risque d'y sombres, et c'est ici o
nous prions no, amis lecteurs de ns ne-
cordonpour quelqure instants toute leur
bienveifiante attention.
Nous effsions, tout à Meure, due Pinde-
pondanen du manierai était exposéeà un
péril grave par un mal qui nous songe,
et dont la République devrait avenir le
plus grand soue( da no. débarrasser, j'ai
nommé le « favoritisme e Il sévit dans
tatlininistration judiciaire avec une Co-
Ience ironie et ii faut savoir, comme je
l'ai rnnienten. appris il y a quelques j'oies
à peine, comment sont recrutés et nom-
mes les magistrats, pour se faire une idée
de la gravité do mal.
Il y a, paratté deux ux portes d'entrée r
la grande et la petite. La petite, qui devrait
être la seule, parte que la plus juste, est
ruelle suivie par les personnes peu avisées,
.11. à l'ace de 25 ans, vont naïvement su-
subir 'à Pari? .dél.areuves que ires sais
fornment qualifier, tenant à la fois de
renom. et du canantes, de l'examen,
puisqu'on doit obier.; un.e meyenne de...
et dure conc.., panne que ron don. un
numéro da etas.sentent que le candidat ne
commit. jamais et qui sera rigoureuse-
ment et confulentiellement inséré dans son
dessier. Le résultat sera proclamé daim
Potine alphaludinee et ainsi des nomina.
tin. pourront se produire à droite et à
guiche, sa. avoir à observer le rang,
nu b m
bien que le 20e par exemple sera peut-
Atte proinu av.1 le le. Même principe,
ma-t-on affirme. pour le tableau Mayen-
eement, qui permet au magistrat pas in-
trigant et modeste de ne jamais avancer.Il
sera compléement euhlié si des influne-
ces politiques puissantes viennent Pas
'secouer les dirigeants et la poussière qui
recouvre depuis plusieurs annamu le dOSei,
de ce malheureux dont le droit cemandant
l'avancem.ent a été reconnu olficiale-
ment. Il My a pas d'aneienneté, c'est le
divis dans toute sa splendeur, mais and.
dans tette sa brutalité, et ie vo. assure
0170 le n'était pas peu surpris d'entendre
dernièrement un haut fonctionnaire de
attire tr les propos sultans . Que
veules-vo.! nn sert les amis daigne, les
ne leur permet pas de mettre le pain à pistonnés ensuite a Et que va-t-ii rester
1 fr. 10 au lieu de I fr. 05 dans les menue la troisième eategorie, rcmnnaén
circonstances présentes, d'envisager une ceux gui se tiennent timidement dans leur
réduction du salaire de leurs ouvriers. Si coin. crevant enen. à In vertu des mea-
. mduve ce déclare de ce fait, ils dénient es reconnus ? Unig.ruent /e plaisir ou
Pour leur part toute responsabilité, a Votât 1,3 désagntnionét de voir dé 'tee de-
LE BROUILLARD
vant eux Ce. privilégiés dont Mute la va-
. leur prof.sionneffe eonsise a avoir des
Plus que le froid, le brouillard est pour annote sûts et soldes, Combien de fois
les asthmatiques et catarrheux, une cause ne...lotus-no,. Pas ro, braves députés
d'accès den:Muraux et. prolongés. On .p.rM eu sénateurs di. r 3 M. IL. est mon cari'
vient ces crises en faisant usage de la Pou- /dadt. 0m air Peux P. MeePter M. Y-, car
dre Louis Loess. Ce remède merveifieux, gai déjà promis a Et croyewvous quo Ce
gril n obtenu la phts haute récompense A M. X..., l'heureux élu. aura toute rindépe.
l'Exposition Universelle le 1500, calme ins- ./053, 54445.1E4I Nur ma P.t, je ne Ir
tantanement et guérit progressivement itttriti, Pat
P.thnic, Poppreseen. T'essoufflement, le Depuis que j'ai élé mis au Mirant de
Incite cette cuisine que j'ignorais et que
te grand publie ignore, je me suis pro-
mis de rétaler au grand jffs0P, écoeuré que
le suis de Voir na tel état de choses. A cet
offet, 'ai régmlièrement parcouru les mou.
vements parus à I' e Officiel a, et j'ai
voulu me rendre compte si l'arbitraire., le
favoritisme qu'on mn signalait billot en-
démique existait réellement. J'ai dé acon-
naline eombien leu déceptioLe devaient Etre
grandes pour los magistrats, qui ne veulent
pas se laisser à l'intrigue et aux démarches
dégradantes. En outre, cette étude m'a
dnmend à signaler à mes amis 1.teurs qui
seraient fascinés Bar l'or ou l'argent do
la toque. un moyen élégant d'éviter l'exa-
men -ennuie. ennuyeux dont je parlais
tout I l'heure, et qui ne les comluirait nui;
la suppléance, o, c'est d'entrer par la
grande porte c. Après quelques années da-
serein de la profession d'aVoe.t VOUS
noua fpftee nommer dreetemeut à dos pos-
teu élegés quo les magistrats rent.. dans
l'administration h l'âge de 25 ans souvent
n'atteindront pas, mémo à la fin de leur
carrière. Ensuite, vous briguez un mandat
politique quel qu'il soit, conseiller d'ar-
rondissement eu conseiller général. voire
mémo conseiller municipal, et aussitôt
vous êles jugé digne d'obtenu un avance.
PETITS FAITS
KRUPP AURA EN RUSSIE
LINE IMPORTANTE EXPLOITATION
AGRICOLE
'Menin. 5 décembre. La firme Krupp
vient de conclure un accord important avec
le gouvmmement des soviets pour l'exploi-
talion agriedse de 100.000 hectares de ter..
vains situés dans le nord-ouest de la Rus-
sie.
La Maison IQ'lipp voit dans celte affaire
le moyen de s'implanter en Russie
LES DROITS DES PREFETS
SUR LES SPECTACLES
Teston, 5 décembre. Ls cour de cas-
sation a rendu un arrêt déclarant va/able
/a eleernon dit préfet du Var trn date du
25 juin 1921, interdisant dans tout ce dé-
padaneumt les spectacles, exhibitions, filaus
et affichus reproduisant des ass.sinats,
Menti/Te, elliCideS et, genéealement, Mus
attentats criminela
Le préfet du Var, malgré le visa accordé
à Pmis et dans le département de /a Sei.
nus films de ce genre avait le droit de
prononcer leur interdiction en vertu de la
III du 5 avril 1884, qui accorde aux daines
et préfets dents pole-airs pour prendre les
mesures assurant l'ordre et la tram/MIPS
publique dans tout le territoire dont ils
ont la responsabilité administraive.
UNE MENACE DES BOULANGERS
LILLOIS
Lille, 5 décembre. -- Sous /a présidence
de ltf. Dubreurq, président de 150e syndi-
rot, les boulangers de 1.111e,Roubaix et
Tourcoing ont tenu aujourd'hui une im-
portante réunoin à Pisane de laquelle 31s
out adopte la surnuhere moturn sutvante
« I,s banlangers seront obligés, si on
catarrhe et la toux des bronchites chro-
niques. Une boîte est envoyée contre man-
dat de 2 fr. 95 (impôt campes) ,dressé
Louis Legs., /, boulevard Henri-IV. à
Paris.
Tirages enanciers
Ville de Pers 1912. Le numéro 477208
C'est-à-dire...
gagne 50,000 frenm
Pouvez -pan fora un quatrième?
Le numéro 692.615 gagne 10.000 francs.
Lee oins numéros suivants gagnent chacun
1.000 Sape
l'enitici:,"I15cdoteZI'arZi'rfira's."ece 225'9,27
us;17,7.'
"2 u..,51,,7p,",:gro 653 99t
ados ha,,
anaEudeline,
son managea et ne vent mu perd,
Let macles de son osons se eontracte.. Il ober EsEss 20 050 lusaas
in atout casino il ;Deal. ret crighet.
tent en wat moise que son adversaire eet a meg.III 500 lis
snan'»,11;nea'n:;:ruln si 480.064 681 119 371.101 660.962
uM passe a défensive, Il mont chacun
.
Et c'est Criqui Ocre -
luidnéme qui se déclare knek.
5.000 feuna
413.178 265 794 692.727 428 259
one, gm,
o.! Roselier. 1909. Le numém 1.337.643 scene
Maintenant à nous dem, me dit Criqui.
re's'aiagnedaTen7r'elprend-ii, j'ai cessé mon
entratnement. Vous voulez nonnette le. trantet-
e5ons que a données me rencontre avec Mat-
thews. Je conserve le govenir de la ...fion
.tesistance de tan adversaire Si, comme d'antres
ie m'était biné aller ou début du mardi, Feue.e
été bans.
Mon intendom émit de finir très vite !1 en
l'a pas permis. Milly ce

Chronique de Toulouse
La Question des Trams
CHAPITRE PREMIER
Les Méfaits de la Compagoie
me question des tramways est celle
a toujours le plus vivement pas-
4onné la population.
A fort juste titre d ailleurs.
On en est-elle ?
Due faut-il en penser ?
Quelle est l'altitude de la munies-
»alité en cette affaire oh elle et un
We capital et décisif à remplir 7
Depuis longtemps, nous faisons
grief à nos édiles de demeurer meric
devant les abus de pouvoir de la
c,ampagnie. liais ils sont tout aussi
devant nos reproches, qu'ils
inertes
unanimement ap-
ovent prouvés d'ailleursll en vie.
Nous accusons nos édiles de n_asic
fait réduire les tarifs, bien
nue les comptes administratifs de la
T. C. R. T. avouent un béné'avfice
e; nous les acussons de noir
jamais contrôlé la gestion de ce secvice_
public dont le contrôle est de
droit; nous les accusons de laisser
agir la Société comme si elle était
Société privée; de lui laisser perpétuer
abus et passe-droits avec une
complicité coupable et de sacrifier
ainsi les intérêts du public pour le
seul souci de sauvegarder quelques
amitiés persomeelles, ou pour consemer
la clientéle de la Compagnie,
dont certains édiles sont les font,
nisseurs.
Ces accusations, nous les formulons
depuis longtemps.
Nos adversaires ou les amis de la
municipalité ont pu dire que par es-
Xi(' de parti, nous exagérions sans
doute les méfaits de la S. T. C. Il. T.
et, par suite, la culpabilité de la
municipalité.
Mois voici la preuve officielle que
nous n'avions rien exagéré.
Cette preuve officielle est un rapport
IM rapport présenté au Conseil
général cl au coure du quel sont dénoncés,
sons tendresse et sans pas-
Sion, les différents et nombreux ex.
ris de la Compagnie des Trams et
lienpuissauce avérée du maire.
Nous tenons à mettre ce document
sous les yeux des lecteurs autant
pour justifier nos propres reproches
que pour démontrer avec plus de
force l'incurie municipale qui resoortira
avec évidence de celte longue
diatribe préfectorale, que voici
EXPLOITATION GENERALE
Notre attention u été attirée tant
mies rapports périodiques des Ingénieurs
subdivisionnaires que par
nos propres constations personnelles
sur les faits suivants
Mauvais état des pavages;
Malpropreté de certaines voitures:
Négligences d'exploitation (stationneraent
d'automotrices en pleine
voie);
Irrégularité des passages à certaines
heures ;
Exagération de la Vitesse le soir
(et méme le jour) sur certaines voies
pabliques
Hâte excessive des receveurs à
donner te signal du départ.
Pour couper court à l'inertie que
persite à opposer la Compagnie à
nos injonctions, nous avons prescrit
aux Commissaires de contrôle de ne
Plus borner leur action à de4 avertiseinents
trop souvent inopérants, et
de dresser des procès-verbaux motiroés
soit pour contravention de grande
Voirie, soit pour contravention à
la police des chemins de fer, chaque
fois que les circonstances leur parai-
Iront comporter des samtions judiciaires.
YENTE PAR LA SOCIETE DES
TRAMWAYS ET OMNIBUS F.
PONS A LA SOCIETE TOULOU-
SAINE DU BAZACLE DE LA
. CENTRALE ELECTRIQUE.
La Société des Tramways et Omnibus
F. Puas de Toulouie n'ayant
Pas répondu, dans le délai imparti,
à dater du 4 avril 1922, à l'invitation
qui lui avait été faite de présenter
iaoymis de défense dans l'action
nue 1.,
n,e contre elle, par M. le Préfet,
nom de I Etat, en entier accord
tOec M le Ministre des Travaux prtes,
à propos de la vente de la
Grande Centrale Electrique à la So-
.ciié Toulousaine du Razacle, nous
la date du 11 mai 1922, dee
M..le Préfet de vouloir bien
le est e Conrelecture
- après une nom
atien in le Société de préses
iosyeas dr d 'f -
e l'affaire au rôle pour une
ue audience.
effet, un intérêt pressant
, autorité concédante, et
de Toulouse, autorité
- qui s'est associée à
Instance en cours - à
tranchée la nuestion de
ée devant la -juridiction
' .
lersus, pour notre part, à
raison des grands intérêts en jeu (il
s'agit de faire reconnaître par la
juridiction administrative, que la
Grande Centrale thermique, ainsi
que tous les hangards, dépôts remises,
ateliers, etc..., situés Avenue de
Paris. boulevard de la Marquette, rue
du Canon-d'Arcole, rue des Près,
etc... font partie intégrante de la concession
et doivent. dès lors, revenir
soit à l'Etat, soit à la ville de Toulouse
à /a fin de la concession), nous
veillerons à ce que le litige reçoive
une solution conforme aux justes revendications
des autorités concédante
et rétrocédante.
CHANGEMENT DE DENOMINA-
'FION DE LA SOCIETE.
M. le Préfet a fait à cet égard toutes
réserves utiles auprès de M. l'administrateur
délégué de la Société
des Tramways et Omnibus F. Pans
de Toulouse.
DEMANDE D'INSTALLATION, PAR
LA SOCIETE DESTRAMWAYS,
D'UNE LIGNE SOUTERRAINE DE
TRANSPORT A 13.500 VOLTS,
ENTRE L'USINE DE LA SOCIETE
TOULOUSAINE DU RAZACLE ET
L'USINE CENTRALE THERMO-
ELECTRIQUE DE LA RUE DES
PRES.
A /a date du 12 mai 1922, la Société
des Tramways a adressé à M.
/e Préfet une demande de permission
de voirie en vue de la pose d'un
câble destiné à relier l'usine du Rasade
à l'usine de la rue des Près.
Par une lettre du 22 juin suivant,
durit nous donnons ci-après copie,
M. Sapin a rappelé en ces termes
cette demande
M. le Préfet du département
de la Haute-Garonne, à
Toulouse.
Utilisation du courant hydroélectrique.
o Par application de nos accords
avec la ville de Toulouse et notamment
l'article 16 de la convention du
a août 1921, convention approuvée
per décret du 5 juillet 1920 (T. O. du
10 juillet), nous avons déposé le 12
mai 1922, aux fins d'approbation par
vous, une demande d'autorisation
des travaux de volerie qui sont nécessaires
pour que notre réseau puisse
recevoir le courant hydro-électrique.

westasq 4 mem. tramsnormsnesttvervenenell LE MIDI SOCIALISTE
Dernières Nouvelle (2 heures du matin) -----,
Aux Communes
ça commence à barder
M. BONAR LAW QUESTIONNE
SUR LES PROJETS CONCERNANT
LA RUHR
Londres. 5 décembre -- Aujourd'hui
la Chambre des Communes, le saint.,
de frégate Kenworthy, libéral, a
demandé au premier ministre s'il avait
de ressseignements sur les plans du gouvernement
français pour l'occupation
d'use partie de da vallée de la Rhur et
l'établissement d'un régime français
dans cetet région et les autres zones occupées
sur le Rhin, et sa le gouvernement
britannique avait été consulté.
M. Bosee Law a répondu négativement
aux deux questions.
M. Kenworthy demanda l'assurance
que la Chambre des Communes serait
tenue courant.
M. Bonn Law a répondu r
t Nam donnerens tous les renseignefrents
exil sera possible de donner à la
Clrrmt'.'n ii
M. Wedgwood Bonn a demandé si le
gouvernement actuel est lié par les déclasaticus
die gouvernement précédent,
gui a dit asn'al ne participerait à aucune
occupation miditaire de la Rhur
M. Bonar lrvw a tériondur
Jignorvis que l'ancien gouvernement
eût fait de telles déclarations ».
UN VOTE DES COMMUNES
Londres, 5 décarnbre. L.n Chambre
cies Conrunes a repris, hier le dérbat
sur la reponse arr disco-ms du Trône.
Au nom des libéraux indépendants,
sir John Simon a déposé un amendement
dsmandant l'abrogation de la loi
dite de ri aaudeguadr des industries britanniques
a
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22.A.E(GEM
4ys dans laVallée
pAR
Honoré De BALzac !EatEr.ZEtallifiâ
'A laquelle de ses demi fenuries devais-je
croire? Je sentis alors par raille
piqûres d'épingle les différences infinies
qui séparaient lienriette d'Aralselle.
Quand Mrne de Mortsauf me quittait
pour un moment, elle semblait laisses à
l'air le soin de me parler d'elle; les plis
de sa robs, quand elle s'en allait, s'asirssaient
à mes yeux comme leur bruit
onduleux arrivait joyeusenmnt à rnon
oreille quand elle (revenais; il y aynit
'des tendresses infinies dans la maniera
do,Int Ile dépliait ses paupières en abaissant
ms yeux vers la terve; sa voies, nette
voix musicale, était 14ne elareSSe continuelle;
ses discours té.maiganent d'une
toujomrs à elle-même, elle ne scindait
pas san âme en deux atmosphères; l'une
ardente et l'autre glete; enfin, Mme de
Mortsauf réservait son esprit et la fleur
de er pensée pour exprimer ressenti'
ments, elle se faisait coquette par les
idées avec ses enfants et avec ruai.
Mais l'esprit d'Arabelle ne lui servait
pas à rendre la vie aimable, elle ne
l'exerçait point à MOT, profit, il n'exis-
Après une intervention de sir Phihn
Greame en faveur de la loi, ramsndement
Simon est repoussé par 269 voix
contre 207.
Ce vote a été accueilli sur les bancs
de l'opposition. par les cris ironiques de
tr Démissionnez 1 Démissionnez I a
L'attentat c,n re Scheidemann
'L-eeete-er
Leipzig, 5 décembre.
La cous su-
prême a commencé aujeard'hui le procès
des deux auteurs de l'attentat contre
Scheidemannr le commerçant Hustest
et fe cultivateur Otelshlager. Tous
les deux ittspastenant à rorganisatian
Consul.
Hustert, auteur de la tentative, reconnaît
que le meurtre avait été peirmédi.
.58 près de deux mois di l'avance et que
les deux complices jouèrent aux martes
pour savoir lequel 'tes deux l'exécuterait.
L'aceusé Ctelshlarger a déclassé qu'il
avait pris la décision &attentes- à la vie
ds Scheidernann déjà en 1918 mais qu'il
n avnt pu réumir la somme nécessaire
pore mettre soin nrojet exécration qu'au
pais:temps de 1922.
Le procès da 3a 'ciels
minaLu es bulgares
Sofia., 5 décembre.
Les anciens mi-
nistres des cabinets Guechaff, Danse,
lalikaff et Komourkoff, uni ',nient mas-nus
à Salai, ont été tranfitsés à la
prison del Chournia, où ils seront internés
jusqu'à la fin du procès.
Rénondant à une demande adressée
Par des membres du Sodaranié, le miniatre
de l'intérieur, M Dykalciff, a déalise
que ce transfert n'avait aucun rapport
avec les evenements de Grèse.
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et la diriger. On l'ininesserait. Indiquer
prétention. Situation d'avenir. Orme, botta
postale 5, Bayonne.
tait que par le monde et pole le monde,
elle était preesnent moqueuse: elle aimait
à déchirer, à mordre, non pour s'a,
muser, mais pour satisfaire un molle.
Mme de Mortsauf aurait dérobé son
bonheur à usus les regards, lady Ara'
brunvoulait montrer le sien à tout Paris
et, par une horrible grimace, elle restait
dans les sonvenances tout en paradant
au Bois avec enci.
Ce ménage d'ostentation et de 071IS et chsessées qui
as chassera des divaAiom ainésales à &mer
Pola Mettre lei reales à grand trufic à rima de
Atoonefie aux besoins de la circulai..
Le programaea ceraportersa la réleitton, ceeee
ira eetràtemema le, plue modernes, de 7500 kilomètres
de routes natio-mile. m de 7,500 D'émane.
de nota. déportementalee . nielesies Penn ces
dernières categoriea dm elmnim. une subvemion
venait altouée per l'Emt sas départements et a.
communes.
La réforme ae rAtetehe dee-externem d'effleura
au projet dr création de /*Office netional dea ru.
ma qui, cor des semeur-ma epéciel., pourra procurer
b l'Ers, I,. renne.. nécesmima peur ces
importent. dépens., amemmtlea d fanim faire
fané; elk fait partie .té l'ensemble dm mesures
prévues per M Le Trocame, ministre Ma ma-
xima pedScs..
a emesées la semaine dan
Mère à ha Chambre dm dé-lamés dans ha vante
promener:. ou'il a nem' peur la nentstrattea
te perfectionnernem de l'outillage publie national.
La S'iligiou frînco-al'emaude
RIEN N'EST ANC,E DANS
LÀ SITUATION CRPF PAR
LA NOTE DU 30 NOVEMBRE
Paris, 5 décembre. II est inexact
que la conférence des ambassadeurs
soit revenue tus sa desman du 30 novernbre,
exigeant des réparations et hmpesant
des sanctions pour les ttuedents
de Passau et d'Ingolstadt. Cette tif-ri.
mon subsiste telle qu elle a êta nonflee
le 30 nos-carène à l'Allemagne et rem
due politique le ler décembre.
IF dCtCt4 MIS EN DEMEURE DE
REFONDRE SUR LES CONDITIONS
DU DESAR.MEMENT
Berlin, 5 dîrcembre.
Le gouverne-
xsaint a reçue de- la conférence des une'
bassadems aire nouvelle note revenant
sus I ',"rte du 29 septembre, dans laquelle
l'Entente proposait de séduire les
GUERISCA PROMPTE, DISCRÈTE, RADICALE, AMIE
T des MALADIES SECRETES
des DEUX SEXES
ley n'y mettait rien d'elle, il venait des molle, et leurs stems sont
gens, il était acheté,
Les mille attentions caressantes de
Clochegourcle étaient, aux yeux d'Ara,
balle, l'affaire des domestiques, à cilsc.
cr eux son devoir et sa spécialité.
Choisir les meilleurs lacsuais était l'affaire
de son majordome, comme s'il se fût
agi do chevaux.
Cette femme ne s'attachait point à ses
gens, la mort du plus précieux d'entre
eux na l'aurait point affectée, on l'eût
prix d'argent remplacé pax quelque
autre égaiement halsile.
Quant ots prochain, jamais ie ne tuspris
dans ses yeux une hume pour les
malheurs d'autud, elle avait même une
naïveté d'Sgoinne dc laquelle il fallait
absolumem lire. Les draperies rouget de
la grande dame couvraient cette nature
de brame.
La délicieuse aimé° guise roulait le
mis sur ses tapis, mi faisait sonner tous
les grelots de son amoureuse folie, réa
conciliait promptement un homme jeune
avec l'Anglaise inmnuible et dure; aussi
ne déconyris-je que pas à pas le tuf sur
lequel je perdais mes semailles, et qui
ne devait point donner do misiesons.
Mme de Motteauf avait pénétré tout
d'un coup cette nature dans sa mpide
rencontre; je me souvins de ces nasales
prophétiques. Hem-lette avait eu raison
en tout, rameur d'Aessbelte nue devenait
insupportable. r ai remarqué depuis que
la plupart des femmes qui montent bien
à cheval ont pou de tendresse. Centre
aux Amazones. il leur manque urne Ma-
ROD
:n;o:Pt:Pnlratne:tr':7Peld:i1;7:::
Marche aux bestiaux'
,11Vnlit tce'earbr's F9-78"
renur, 2 rra., '14 5192
trus ni la tutul,ra d.
Panel, t Ira quartaI,
4 fr.; pris extrémes 2 et 5'
Ira taiidita, 3 fr 30; 25, 2
mué., 1 et à h M.
Vek,u.i
5155,300
treTitial:. 3, ef,r, 42,60.2
endurcis et
un certain endroit, je ne saigldlurlu,
Au moment où je commença...d°
la pesanteur. de ce joug. mis ,F
me gagnait te cmps et num, eb in
prenais bien tout ce erse le o 37,
vrai donne de saintetê à
j'étais accablé parle» souvenirs els
chegourde en respirant, =duré
tance, le parfum de toutes rems,.." r2r.,
lem de sa terrasse, en eote
la
le cabinet dc ni'
retya:v a uai.
qui sertir dal eeàmu,,,,,,,,, sis
de
nouvelles de la comtesse.: id.ilmlsr3'
mqfiu,,ee.377rim..t elleairtêtrld,h'u.rnegu2;dfaerlongeui%77;;,;,:s....
poces,,dmi,otlse ddleruos. qu'il savait
si Isien,..ss
'Sire, ma pauvre fille es lis°
ea-0.gétf drs-ijed'ileen's larmes mn peau.
brayant une colère près d'éclates.
tA »tige)
,
INSTITUTSEROTHERAPe
0E1012. Rue d'Aise., tasasaa « cases
Ewaadua hee
urne mem.. j,-31S
l'O.'.
-...
.c,,,251)
3 90; pris tenit'latt': n 2Mci:
402:'311;"4,415'
4 42Ér ' 3.8:.
Ire otialité. 2 ft 53: 2e, 2 /0; 3., 1 55;;'e,
-7,
extrêmes, 1 et 2 64
eam re !amine, 8 fr ; 2,, 6 20; 3, 4 24
na. emmènes, 2 80 s 8 Fr 40 Pcras
moisé 4 fi. 80:2m, 372 3e, 2 31 "h
s,,60,,ar,
mil cerul,
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prix extrelme. 2 25 et 6 16
Pin,
gr.
sienne emoto.n.
38. x Rmeuel'oe'
OARFICAU,
r
378%5 ;, 33: 3 34;
tenm est -nom, 570 et 8 I, 14 P;11,1::.11,/
'
969; 2, 5 29; 3e, 5 10; "
90
erderj' nx 5 .4 M décembre Ikeda amenés 482
vendus 324. de 150 à 320 Ir t vache, a P
58 vendues 55; veaux amen. 120, vendue IO;
de Un à 480 fr cramée / 386 mû
dm 799 de 265 à 360 fr.: le tom Les 160 InIg.
pends
SOMMIERS METALLIQUES
fil acier, cloveble maille, é tendeur, renforcé patres,
100 et 110
L.rrurtIJE, Matelas, Traversins, °refilera
_