En regardant Le Mystère Samaël Aun Weor - Gnose de Samael Aun ...
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<strong>En</strong> <strong>regardant</strong> le <strong>Mystère</strong> <strong>Samaël</strong> <strong>Aun</strong> <strong>Weor</strong><br />
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personnalité. Cette <strong>de</strong>rnière est énergétique ; elle reste dans la tombe, mais à l'occasion<br />
elle en sort et va jusqu'à se payer le luxe <strong>de</strong> déambuler à divers endroits.<br />
Pour ce qui est du récit, je crois que vous pourrez comprendre que ce qui s'est rendu<br />
visible à la fête, que ce fantôme qui s'est fait prêter une veste, était la personnalité <strong>de</strong> la<br />
morte. C'est la seule façon d'expliquer pourquoi ils ont retrouvé cette veste précisément<br />
sur le tombeau.<br />
5. Cher Maître, ce fantôme était donc l'âme <strong>de</strong> la défunte - comment <strong>de</strong>vons-nous<br />
comprendre ce phénomène ?<br />
R. Ne vous étonnez pas <strong>de</strong> ce que je vous dis, et écoutez-moi avec confiance : l'âme <strong>de</strong><br />
la morte ne pourrait pas être mise dans un tombeau. Ce qui est apparu était la<br />
personnalité <strong>de</strong> la défunte, et cela est différent. Il n'y a aucun doute que la personnalité<br />
se désintègre peu à peu, jusqu'à disparaître, s'annihiler. L'âme est une chose bien<br />
distincte, une chose divine, qu'on ne peut pas enfermer dans un cercueil.<br />
6. Nous trouvons vos récits bien intéressants, Maître ; nous aimerions que vous nous<br />
contiez un autre cas d'apparition d'outre-tombe.<br />
R. Avec plaisir ; je raconterai à l'assistance cet autre événement très intéressant.<br />
Il s'agit cette fois d'une dame qui prit un taxi à minuit dans la ville <strong>de</strong> Guatemala. <strong>Le</strong><br />
chauffeur lui <strong>de</strong>manda où elle désirait aller, et elle lui donna une adresse qui<br />
correspondait précisément au cimetière <strong>de</strong> la ville. Un peu étonné, le chauffeur laissa la<br />
dame exactement <strong>de</strong>vant la porte funéraire, non sans exiger auparavant d'être payé pour<br />
sa course.<br />
La femme lui expliqua qu'en ce moment elle n'avait pas d'argent, mais qu'elle lui<br />
donnait en gage une chaîne en or, pour lui garantir le paiement. Puis elle le pria d'aller<br />
le len<strong>de</strong>main à sa maison située à telle adresse, <strong>de</strong> frapper, et <strong>de</strong> remettre la chaînette à<br />
sa mère en lui réclamant l'argent pour la course. <strong>Le</strong> chauffeur, un peu confus, s'éloigna<br />
<strong>de</strong> la porte funéraire.<br />
Très tôt le len<strong>de</strong>main, il frappa à la maison indiquée, et une dame d'âge avancé en sortit,<br />
lui <strong>de</strong>mandant ce qu'il voulait. Il sortit la chaînette <strong>de</strong> sa poche en lui racontant la<br />
situation et en lui <strong>de</strong>mandant <strong>de</strong> payer le passage <strong>de</strong> sa fille Une Telle.<br />
A la vue <strong>de</strong> la chaîne en or et <strong>de</strong> son joli médaillon, la vieille dame reconnut le bijou<br />
avec lequel fut enterrée sa fille, morte il y a quelque temps. Il est évi<strong>de</strong>nt que la dame<br />
pâlit, saisie d'une gran<strong>de</strong> frayeur. Puis elle invita le chauffeur à entrer chez elle, dans le<br />
but d'essayer d'i<strong>de</strong>ntifier sa fille. A cette fin, elle lui montra une photographie agrandie<br />
et joliment encadrée qui se trouvait dans la salle <strong>de</strong> séjour. Bien sûr, le chauffeur la<br />
reconnut immédiatement ; inutile <strong>de</strong> dire que la mère se trouva dans un état <strong>de</strong><br />
confusion et d'épouvante. On dit que plus tard, le chauffeur revit <strong>de</strong> nouveau la fille<br />
ailleurs dans la ville.<br />
Voici donc un autre exemple <strong>de</strong> matérialisation <strong>de</strong> la personnalité, ou <strong>de</strong> l'expersonnalité<br />
d'un défunt. Dans les temps anciens, les gens avaient une bonne<br />
compréhension <strong>de</strong> ces choses, et ils enterraient leurs défunts avec tous leurs biens, y<br />
compris <strong>de</strong> la nourriture, <strong>de</strong>s boissons et toutes sortes d'effets qui étaient familiers au<br />
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