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En regardant Le Mystère Samaël Aun Weor - Gnose de Samael Aun ...

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<strong>En</strong> <strong>regardant</strong> le <strong>Mystère</strong> <strong>Samaël</strong> <strong>Aun</strong> <strong>Weor</strong><br />

______________________________________________________________________<br />

Chapitre 2<br />

<strong>Le</strong> <strong>Mystère</strong> <strong>de</strong>s Lutins<br />

1. <strong>En</strong> Colombie, dans un lieu isolé <strong>de</strong> la Cordillère centrale, se trouvait une hacienda<br />

vers laquelle se dirigeaient <strong>de</strong>ux travailleurs, accompagnés <strong>de</strong> quatre grands chiens.<br />

Vers la tombée <strong>de</strong> la nuit, l'un <strong>de</strong> ces hommes sortit chercher <strong>de</strong> l'eau en lâchant <strong>de</strong>s<br />

cris. Son compagnon l'entendit, et lui dit <strong>de</strong> ne pas crier ainsi, que c'était dangereux,<br />

parce que dans cette cordillère habitait la « Patasola », et qu'elle pouvait leur répondre<br />

et venir jusqu'à eux. L'homme n'en tint pas compte et se rendit au cours d'eau sans<br />

cesser <strong>de</strong> crier. Après avoir recueilli l'eau, il retournait en flânant à la maison et se remit<br />

à crier, lorsque quelque chose répondit du haut <strong>de</strong>s montagnes.<br />

Son compagnon dut lui répéter <strong>de</strong> cesser <strong>de</strong> crier, maintenant qu'il en avait vu le<br />

résultat, maintenant que la "Patasola" lui avait répondu du haut <strong>de</strong> la cordillère. Mais<br />

l'autre ignorait toujours ses conseils et continuait <strong>de</strong> crier, tandis que la « Patasola » lui<br />

répondait toujours et se rapprochait chaque fois davantage <strong>de</strong> l'endroit où ils se<br />

trouvaient.<br />

Comme la "Patasola" approchait <strong>de</strong> plus en plus, les <strong>de</strong>ux hommes durent se réfugier<br />

dans la maison en verrouillant bien les portes. Peu <strong>de</strong> temps après, la "Patasola" arriva à<br />

la maison, et les quatre molosses durent lui livrer une ru<strong>de</strong> bataille. <strong>Le</strong>s hommes<br />

enfermés vivaient un véritable cauchemar ; leur seul moyen <strong>de</strong> défense était leurs<br />

chiens. Après plusieurs heures <strong>de</strong> lutte, ceux-ci mirent la "Patasola" en fuite, et elle<br />

s'éloigna en poussant <strong>de</strong>s cris <strong>de</strong> mort. Lorsque les hommes virent qu'elle était partie, ils<br />

sortirent <strong>de</strong> la maison et s'enfuirent sans <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r leur reste.<br />

Pourriez-vous, Maître, me donner une explication <strong>de</strong> ce récit ?<br />

R. <strong>Le</strong> commun <strong>de</strong>s gens vit dans ce mon<strong>de</strong> à trois dimensions tout en ignorant<br />

l'existence d'une quatrième coordonnée, d'une quatrième dimension. Il est nécessaire <strong>de</strong><br />

savoir qu'au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong> notre mon<strong>de</strong> tridimensionnel se trouve la dimension inconnue, la<br />

région éthérique.<br />

Si nous observons attentivement la couleur <strong>de</strong> montagnes dans le lointain, nous<br />

observons un bleu intense et très beau. Cette couleur est assurément l'éther <strong>de</strong> la<br />

quatrième dimension. On nous a annoncé que dans un futur lointain tout l'éther sera<br />

pleinement visible dans l'air même que nous respirons.<br />

<strong>Le</strong>s scientifiques mo<strong>de</strong>rnes nient catégoriquement l'existence <strong>de</strong> l'éther ; ils disent qu'il<br />

n'existe que dans les champs magnétiques.<br />

<strong>Le</strong>s gens du Moyen-Age niaient la ron<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> la Terre, ils la croyaient plate. Lorsque<br />

Galilée affirma que la Terre était ron<strong>de</strong> et qu'elle n'était pas immobile, il faillit être<br />

condamné à mort. Quand on le força à jurer qu'elle n'était pas ron<strong>de</strong>, et qu'elle ne<br />

tournait pas, il dit en mettant les mains sur la sainte Bible : "Je le jure. Et pourtant, elle<br />

tourne..."<br />

Aussi, même si nous <strong>de</strong>vions nier l'existence <strong>de</strong> l'éther, même si nous <strong>de</strong>vions jurer qu'il<br />

n'existe pas, nous <strong>de</strong>vrions dire comme Galilée : pourtant, il existe...<br />

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