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La naissance du roi Arthur

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[11] Cette première partie <strong>du</strong> chapitre a été empruntée à un récit anglo-normand contenu dans un manuscrit de la fin <strong>du</strong><br />

XIIIe siècle, édité par G. E. Brereton, Oxford, I937. Tra<strong>du</strong>ction française intégrale par Danièle Régnier-Bohler dans le Cœur<br />

mangé, récits érotiques et courtois, Paris, Stock, 1979, pp. 281-295.<br />

[12] Cette partie de chapitre est extraite de l’Historia Regum Britanniae de Geoffroy de Monmouth, éditée par Edmond<br />

Faral, la Légende arthurienne, tome III, Paris, Bibliothèque des Hautes Études, 1927.<br />

[13] C’est le nom générique des Irlandais mais, depuis le vie siècle, lorsque l’Écosse a été christianisée et gaélicisée par les<br />

Irlandais, le nom de Scots est devenu celui d’Écossais.<br />

[14] Peuple d’origine controversée qui occupait l’Écosse lors de la christianisation et qui a reflué ensuite dans l’extrême nord<br />

de la Grande-Bretagne, ainsi que dans les îles Orcades et Hébrides.<br />

[15] Il s’agit de l’île de Wight, au large de Plymouth et de Southampton, en latin Vectis.<br />

[16] Il s’agit de l’île de Man, dans la mer d’Irlande.<br />

[17] Ce sont les îles Orcades, au nord-ouest de l’Écosse.<br />

[18] Le mont Snowdon, au nord-ouest <strong>du</strong> Pays de Galles.<br />

[19] L’île d’Anglesey, en Gwynedd (Pays de Galles), dont le nom gallois est Môn.<br />

[20] D’après l’Historia Brittonum, chronique attribuée à Nennius, contenue dans un manuscrit des IXe et Xe siècles (Ms. de<br />

Chartres, Revue celtique, XV, pp. 175 et suiv.), et dans un manuscrit des XI e et XIIe siècles (Harléian 3859, édité par Edmond<br />

Faral, la Légende arthurienne, I927, tome III, pp. 4 et suiv.).<br />

[21] À l’origine, le terme désigne seulement l’Angleterre proprement dite, moins la péninsule de Cornwall-Devon. Par la<br />

suite, le « royaume de Logres » sera celui d’<strong>Arthur</strong>.<br />

[22] Cela correspond à une migration des Belges en Grande-Bretagne, vers la fin <strong>du</strong> second siècle avant notre ère.<br />

[23] Souvenir évident de l’expédition entreprise par le Gaulois sénon Brennus, en 387 avant notre ère, et qui aboutit à la<br />

prise de Rome par les Gaulois.<br />

[24] C’est le Cassivellaunus dont parle César dans ses Commentaires.<br />

[25] Cette première partie <strong>du</strong> chapitre est empruntée à l’Historia Regum Britanniae.<br />

[26] Ce sont les équivalents des korrigans de la Bretagne armoricaine, ces petits êtres qui vivent à l’intérieur de la terre,<br />

sont possesseurs de nombreux secrets et trésors, et que l’on rencontre parfois sur les landes.<br />

[27] C’est-à-dire à la fête celtique de Beltaine, correspondant à la fameuse fête germanique de la « Nuit de Walpurgis »,<br />

lorsque tous les sorciers et sorcières se réunissent pour tenter d’attirer la malédiction sur les moissons et les troupeaux.<br />

[28] Dinas Enrys est une petite colline isolée dans une vallée <strong>du</strong> massif <strong>du</strong> Snowdon (Éryri), dans le Carnavonshire, au<br />

nord-ouest <strong>du</strong> Pays de Galles.<br />

[29] Ce thème <strong>du</strong> panier magique inépuisable est souvent exploité dans les récits de la tradition galloise. Il est identique à<br />

celui <strong>du</strong> chaudron d’abondance dans lequel on peut puiser indéfiniment de la nourriture. C’est une figure archétypale <strong>du</strong> Graal.<br />

[30] L’épisode de « Lludd et Llevelys » est un récit gallois traditionnel contenu dans le « Livre rouge de Hergest »,<br />

manuscrit <strong>du</strong> XIV e siècle. Tra<strong>du</strong>ction française intégrale dans Joseph Loth, les Mabinogion, Paris, 1913, tome I, p. 23I.<br />

[31] C’est le Cunobelinos historique, qui a servi de modèle au Cymbeline de Shakespeare. Quant à Arvarwy, c’est le<br />

Man<strong>du</strong>braccios dont parle César, qui aurait incité celui-ci à conquérir la Bretagne.<br />

[32] D’après l’Historia Regum Britanniae et certaines « Triades de l’île de Bretagne ». Caradoc est le Caratacos historique<br />

qui nous est connu grâce à Tacite.<br />

[33] D’après un passage des Iolo Manuscripts, traditions galloises diverses recueillies à la fin <strong>du</strong> XVIII e siècle par le<br />

fondateur <strong>du</strong> néodruidisme Edward Williams, dit Iolo Morgannwg, et publiées en 1838 par son fils Taliesin Williams.<br />

[34] Cette fin de chapitre est empruntée à Tacite (Annales et Agricola), ainsi qu’à Dion Cassius, chap. XLII.<br />

[35] D’après diverses traditions gnostiques de la légende. Le thème est représenté sur les anciennes portes de l’église<br />

pa<strong>roi</strong>ssiale de Mauron (Morbihan), actuellement à l’intérieur <strong>du</strong> sanctuaire. On y voit la pierre tomber derrière l’arbre de la<br />

Con<strong>naissance</strong>, alors qu’Adam et Ève sont en conversation avec le Serpent.<br />

[36] On remarquera que dans cette version de la légende (celle de Robert de Boron), fortement inspirée des Actes de<br />

Pilate, l’arrestation de Jésus se déroule dans la maison de Simon et non dans le jardin de Gethsémani.

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