SOCIALISTE - Bibliothèque de Toulouse

SETZIENIE ANNEE. -- N. 6.701
ABONNE-1.1En/
mois, 14 fr.
mois 23 tr. I an 45 fr.
SOCIALISTE
adai.e...Atlet.tti.e. S. Sue Stegaelainee - TOULOUSE -14 .4- Campes Cliequea
SURSAUT A PARIS 44. a.. la 44 Aoratifhetwe Tékéteets bise. /geai
MMMMMMMM 0.11,0,es...0. Ir
vegcvn
esmanannenemesninnient.0nes ....................
ésireut trio., la surpopulation los méricain9 deoenua bien diffioiles et foot oo d'oie
m aae notre reparte: photographe e pris ries tantanê auj mos meni,n de jeunes 8.T... Une,t
ne attendant de savoir s'ile seront us don comme candidats au titre de eitoeto tot,,,c.n
Le mal qu'a fait Mussolini
Si l'on veut mesurer quelle a été la
oocivité sociale et européenne des
derniers actes de M. Mussolini, on
/ &miniers pour ce dessein un excellent
il moyen de diagnostic dans la lecture
d'un des derniers numéros de l'Eurove
Nouvelle. Dans cette revue, com_
use aussi au Petit Parisien, M. Philippe
Millet traite de la politique extérieure.
L'Europe Nouvelle s'est souvent essayée
à justifier son titre par l'effort
en vue de faire comprendre, en les
éclairant d'une façon éclectique, les
problèmes devant lesquels se trouve
le monde depuis la guerre. Elle a
paru chercher les méthodes de
good xviii », comme disent les Anglais,
de bonne volonté internationale.
Je sais hien même que l'Europe
Nouvelle a publié récemment un numéro
spécialement consacré à la S.
D. N., niais ceci n'efface point l'éditorial
auquel je fais allusion, et qui
était consacré par M. Millet e aux
conditions de la sécurité européenne
».
Ainsi qu'on va /e voir, celui-ci respire
un mépris qui peut être exprimé
avec talent n'en est pas moins brutal,
pour les méthodes que les vrais
dMmerates et lets socialistes voudraient
voir appliquer en matière
de relations internationales.
Je ne puis mieux faire que de
citer.
il ne suffit pas. par exemple, à M.
Ph. Millet de réduire autant que possible
le rôle de la Société des Nations.
e Il faut aller plus loin dit-il
et mettre le pied sur le mysticisme
doctrinaire qui 'ici-Parait obstinément
ê tous les tournants de l'histoire
aatualle, ait risque ce COM,
'promettre cette sécurité de ("Europe
qu'il prétend pourtant assurer.
La première conclusion à tirer
de l'épisode italo-grec c'est qu'il est
désormais manifeste que tout enga-
Ornent international d'eut caractère
général et abstrait, tel que le Pacte
de la Société des Nations, est Mo-
Pérrint quand il s'agit de protéger
une nation grande ou petite. »
Et AI. Millet ajoute encore
e La démonstration vient d'être
faite (par l'incident de Corfou) de f a-
Çon éclatante que, même dans le cas
le plus simple, la Société des Nations
ne joue que dans la mesure où
lm parties intéressées veulent bien
y consentir. C'est tout le mysticisme
de lord Robert Cécil qui sombre ici
ti même coup. »
Puis. ayant défini qu'il faut mu/-
/lober les traités appuyés
Oinventions
sur ies
élargis il mtaires et navales »,
as ien " mais je ne vois
pt-ler fies bl
àrripar quel p éde sans for-
rne
entrer Pen â leRle.tg
Plana
leurs Peu ff-Msleaud;feaidree
instruments d pipm,t(
ennemis d'hier »,
Millet .-'1
si Cette ceuvre ee conclut
/iehevée, l'idéal inscrit -47,:Pril:eet
nant aura quelque
chance de Co-s
>ouver réalisé dans les faits. La mée
de contraire, Celle des
7, conduirez. illuminé;
au contraire, qu'il de;
%cep fions.
bnieLe point faible du libéralisme en
hiocoPe c'est aujourd'hui comme
son absence de sens politique,
t.delie que devraient se proposer
140?Ortoorates de la génération Oc
th. r7 Précisément de se gué-
.7PUts vite de celte maladie de
eeeq. l'ans Isnte'rêt même
ue le président
de
Wilson a
failli discréditer par sa noble candeur,
le meilleur service que l'on
puisse rendre est de donner impitoyablement
la chasse à toutes les
billevesées. ,t
illusion, illuminisme, billevesées,
il y a là Mut le bagage méprisant
des prétendus hommes pratiques
contre l'idéalisme vivifiant du progrès
humain. Et M. Millet est allé
jusqu'à reprendre contre le président
Wilson, le fameux iflot, de la e noble
candeur », que M. Clemenceau avait
été obligé d'excuser aussitôt qu'il fût
prononcé.
Certes, ce n'est pas nous qui nie.
mus les faiblesses de la Société des
Nations. Socialistes, nous les avons
bien souvent signalées. L'affaire
Oslo-grecque a été l'occasion de constater
combien li y a né.cessild pressante
à In faire plus active, plus audacieuse
et ferme. Mais à qui donc
la faute, je vous prie, s'il n'en est
pas ainsi ?
C'est une chose vraiment étrange
de déclarer, comme /e fait M. Mi/let,
que ce qu'il appelle le mysticisme
doctrinaire -- mais que nous appellerons
sitnplement la volonté de paix
dût être rendu responsable des
menaces de guerre. Celles-ci sont issues
tout entières ou des maladresses
on des hypocrisies, ou des rêves
malsains des gouvernements. On
comprend qffavec une telle mentalité,
la presque totalité de la presse
française se soit laissée pousser oecultement
par des désirs de marchandage
et ait fait visiblement de
I acomp/aisance attx procédés mussoliniens,
une rançon de complaisance
escomptée de l'Italie fasciste
dans le problème de /a Ruhr. Mais
le châtiment de tetles combinaisons
est quelles ne peuvent pas se proclamer
au grand jour et qu'elles ne
trouvent pas toujours leur récompense.
0n l'a bien vu, puisqu'au
cours de /a crise la presse musso-
/inienne s'est déchaînée contre la
France qui, au gré italien, ne barrait
pas la route assez complètement
cette espêec de vague d'indignation
mondiale qui a, ma/gré tout, fait
reculer les exigences de M. Mussolini
après l'occupation sanglante de
Corfou.
Si bien que le rôle de /a Société
des Nations ou de l'état d'esprit
qu'elle représente, si atténué qu'elle
ait consenti à le faire, n"en a pas
moins été de grande importance. Ce
rôle a été, qu'on le veuille ou non,
de cristalliser les volontés et les protestations
contre un évènement dont
ehacun voyait qu'il pouvait entraîner
la guerre si on le laissait,, comme en
1919, sttivre la pente que ses auteurs
lui avaient hnprimée.
C'est là ce qu'il y a de changé dans
le monde par la guerre, et il faut le
crier bien haut à des hommes comme
M. Millet et aux gouvernants
qu'ils approuvent en fait.
Ce qui anime les e ilhuninés a, ce
n'est pas l'illusion, c'est la volotet.
Nous savons bien toits les dangers
qui sont semés sous les pas de la
Poix par les forces obscures de réaction
politique et de domination éco-
nomique Moisi nous voulons les
Pearler et nous savons bien qu'il faut
aller jusqu'aux racines du mai. C'eut
pourquoi le combat continue, âpre
et permit/tent, entre ces forces obscures
et les forces croissantes nIe progrès
éclairé et de civilisation humaine.
C'est pourquoi nous demandons
sur illetSses de ne plus etre te
flJ JOZJR LE JOUR PETITS ESILLETS
Définitions de chasse
LA CHASSE
Chose t, vetee du moot mec I, «ibis,.
Haliali : contrainte par cor.
ACCESSOIRES DU CHASSEUR
Carabine, la tendre incitié do carabin.
ChasuPot. huil tout faste bon Pear faim une
elmess peau ou même une chasse d'os.
Fusil. arme à feu le gibier.
- Hausse, échelle graduée. Pue rouverte, de la
ahane, ta hausse_ dee pris n'a res de limite.
semblablu à Morphée, ds le
sommeil à ce. qu'ils touchent sommeil de
premb.
GIBIER DMESTIQUE, GIBIER SAUVAGE
Meneau, animal aux longs isede, se
nem( pffe partcultèrement de manne... da
savon.
Rauh enimal domestique; soss nit nit a jaire
des Fenêtres, nuis, ainn que la Plaleart de, ee
automnes, le benet ne devient à la mode
000e:, sa mo
Cane, eisecu de besse-couri femelle du o.*°-
Cane. a. sauvage I...
Cerf, bête fatme Sui possède des can:
Chèvre, ruminent à Id barbiche impériale. Recueillie,
clic éarène sen chaud,i de crat. noires.
Caene, palmipède ,Made in Gerinang
dit-en po le cyan.. allemand à Se image etusi
bien Butane 'que sur nu, puisqu'on parle
seul de de signataires ! Dcerait oder chance nu
chasseur malheureux s Par ce rogne, ta rein.
coca !
Dalin, mammifère visant par troupeau, se ren.
centre fv0uasnnoel dans la société (dédain D
Lapin, Duel en carts,, qui fit Dimuoment
net, enfance. La gent Opine ferme un rOyeume
dee pl. dérnecratiques certains de sus sols
furent et sent encore, tree elleros, tels la pins..
et CaPPendiee... Les enseureto Marmonnes
Posent souvent des
Liane. mammifère feu palpes, dut peetani
un gaillard à poil.
Lion, carnaesicr Ani le ehair est ires remarquable,
car le samissen de Laon est fao estimé.
Tranché en oh. parties égales, il se méonion
ose,, en de. n,lions. Une richessè pour le
chasseur intrépide, mns que celui-ci nonne garde
car Fauchier n'attend pas In nombre des aro
né. e.
Mem., mammifère amphibie a montré de
bonne heure des dieses.n. heumasee m. te
ffiézmiehie. Il est /invente. de l'appareil du
même nem.
ir petit de le sache; lorsqu'il est sena,
Fait d'élégante. clicrusnua Le veau des champs
ost ,2a-urn.ibte otooto ...o.* et tex gong
tristes pleurent comme des sen. le Oen de
etn, au non... est ban gei e fnui rite
La meurtrière de Plateau
Paris, 10 octobre. -- La Am/fibre des mises
en aceimation, après avoir entendu le
rapporteur, l'avocat généra/ Mancel, a
rendu un arrêt romoyant devant la cour
d'assises de la Seine, sous l'inculpation
d'homicide volontaire avec préméditation,
l'anarchiste Germaine Berthon, qui tua, /e
22 janvier dernier, AL Marius Plateau, le
secrétaire général de /a ligue d° s Action
fiançai. s.
Admettra-t-on les Dominions
aux conférences interalliées ?
LORD CURZON PEUT EN LARES.
SER LE PROJET, MAIS CELUI-
CI NE SE REALISERA
JAMAIS
Admettra-von les Dominions eux conférences
interalliées ? Lupeesse anglaise,
et en particulier le s Daily Telegraph e,
organe officieux de Foreing Office, osas
anno_ncent une bien étrange nouvelle
es Dommens seraient desormais se.
présentés aux conférences interalliées
Qu'est-ce à dire ? Et surie orsimemme
diplematique dissintude cette informafion
évidemment tendancieuse ? Lord
Curzon espererait-il nous intimider ?
Si nui, d se trompe. Comme il se
trompe également s'il croit que sa pro
position passera comme lettre à la pcste.
Le handicap de /a Societe des Nations,
où l'Angleterre dispose de se'pt voix,
voix des Dominions. contez une à la
FrXnce nous suffit.
L'Angleterre admettrait-elle une nos
colonies et nos souverains indigènes
soient représentés aux conférence,
teralliées ? Bern, niest-ce pas. Aisys
pourquoi tdlèrerions.nous la présence des
Dominions qui somme toute ne sont que
des colonies en tutelle dissimulée ?
troupeau moutonnier que dirige
aveuglément le mauvais berger.
Et à mesure que ces masses s'éduquent
à la volonté comme à l'intelligence
des intentions et des faits
il faut bien le dire encore pour ceux
qui pensent comme M. Millet, il faut
les avertir -- si cette volonté ne peut
passer qu'au prix de la révolution
morale qui précède toute autre, et
du renversement sans ménagements
de tous les mauvais préjugés et de
ceux qui en vivent, la responsabilité
n'en sera point aux peuplas eux-
/ventes, mals à ceux qui auront méprisé
l'idéalisme, sans lequel l'hemne
ne sera pas ce qu'il est dans l'échelle
des êtres.
Pierre RENAUDEL.
Les loups
NE SE
mangent pas entre eux
Avez-votes réfléchi à l'étrangeté de
la diplomatie ponecareste ?
Il existe, en Allemagne. un permit..
exécutif, un gouvernôment régulier.
Le chancelier Stresemann le représente.
Ce chancelier vient de prouver,
d'éclatante façon, le deser, tuteur
que cela, la volonté, de modifier In
politique allemande et de cesser
Isole rebellion inutile. Puis il a proposé
de discuter.
Que fait M. Poincaré ?
Il refuse déelaigncooruleOt.
Que dit la presse patruthque .
Elle dit e c Amen e.
Mais, en même terup, des conne,sations
officieuses mats rendues pet-
Niques s'entament et se Paureui,'.I
entre deux individualités que rien ne
qualifie pour cette besogne le plus
grand mercanti allemand, le plus
grand adversaire du gouvernement
Stresemann, M. Ilugo Stinnes, et un
militaire français, le général Degoutte.
Le chef du capitalisme eitlemand
était-il mandaté ? Non.
Le chef du capitalisme allemand
pouvait-il recevoir régulièretnent
mandat ? Nom
Et l'on assiste à ce spectacle d'une
négociation cidre le roi des coffres.
f arts d"Allemagne elle commandant
de nos troupes de contrainte, alors
que les gouvernements, seuls qualifiés
pour parler CM nom des peuples,
s"ignorent et s'insultent DE PAR LA
SEULE VOTANTE DE, 31. POIN-
LARE !
Mais ere 11' est point lei le seul mandore,
Plus Ronars plus ciésnsigunage
que te geste -soit la mentalité qui
l'inspira el les conséquences inéluc.
sables qu'il comporte et dont les yre.
litières déjà sont apparues.
Pourquoi M. Stinnes devance
M. Stresemann ? Parce que le chancelier
veut faire payer les riches capitalistes,
dont M. Stinnes est le plus
considérable, et qu'en négociant sans
le chancelier et à sa place, le magnat
entend sauner la grande finance
et faire tout retomber sur les petits.
La preuve ? Mais elle est éclatante.
Parmi les conditions réclamées
par 3'. Stinnes ne voit-on pas figurer
la demande freine de la slappresslot
de la loi de huit heures et ln
proposition de porter à dix heures
la durée du travail des mineurs ?
Ne cuit-eus pas ce que pareille mesure,
si elle &cit.l impoéée par les
pouvoirs publies, déterminerait dans
le monde entier du travail, et arec
quelle rapidité le patronat des' pays
alliés réclamerait une mestere, identique,
pour pouvoir lutter à armes
égales, avec l'industrie ennemie ?
Et lorsqu'on constate l'approbation
donnée à cette demande de M.
Stimees par les autorités françaises,
n'est-on pas fondé a porter contre
celles-ci l'accusation de vouloir saper
la loi de huit heures chez nous,
perfidement, déloyalement ?
Et pourquoi, d'autre part, ref uset-on
toute discussion avec le cabinet
oit, Reich, qui visiblement cède aux
suggestions socialistes ?
Parce que si, de ces' discussions,
sortait un accord, le socialisme international
en sortirait grandi, et
parce que, si 31. Stinnes aboutit et
non point le cabinet, celui-ci sombrera
elle pouvoir tombera entre les
mains des grands financitn.s.
Parce que, d'un mot, ce que poursuit
SI. Poincaré, c'est avant tout
et sans que, peut-être, il s'en rende
nettement compte . la ruine d'un
counernement à tendances socialistes,
qui va foire casquer les mereme_
lis et les profiteurs de la guerre et
de l'actuelle panique monétaire.
Telle est l'a-noce imposée à M.
Poincaré par la coalition de la finance
et de l'industrie interguitio-
31. Stinnes full partie des coalisés.
. .31. Stresemann y est étranger.
Le premier, sentant que l'heure du
paiement fatalement sonnera, cherche
à en tirer profit, au lieu d'en
pôtir, nomme le voudrait la justice.
Le second 'tondrait prendre l'ar--gent
qui it est, chez M. Stinnes et chez
Et la France, ou plutôt M. Pain.'
curé, ou plutôt ceux qui le maintiennent
tut pouvoir, préfèrent Stinnes à
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
15 CENT.
M. 1.0 Troquer a fait hier un magnifique
éloge des cheminots français.
Or des milliers de ces braves gens ont été
Jetés sur le pavé en 1920.
Qu'il les fasse donc réintégrer!
Stresemann et les ntereantis au peuple.
Voilà l'explication de l'actuel scandale.
Les louas ne se mangent pas en-
D'eux.
Léon InIDELLE.
L'INSTITUTEUR PILLARD A-T-IL TUE 50V PERE
On le uoit ici au milieu, au moment eà u, va Temmenn sur les hem du ointe.
Le Chancellor reçoit pleins pouvoirs
M Poincaré refisse de reISCIfier
13.1in, 10 octobre. Cette nuit, à 23
leur, te Reichstag a adapté, en première
lecture. la toi relative aux pleine pouvait',
accordés au gor/Oo noment.
Les quatre partis de la (amende effailli'm
ont NOié pour les mtiouatiites ;Ic parti pepolaire
bavarois el les counnunistes ont
voté contre.
li est à noter que Ir ministre bavarois
à Berlin, hl. von Preeger, déclara que le
FOuventiement bavarrois rem:mese la loi
sur lespleins pouvoirs t Eton!. donné /a
composition du gouvernement du Reich,
déclara AL von Preeffer. ts gouverenement
bavarois éprouve des scrupules sérieux
/ai accorder les pleins poUveirs demand,és.
Cette déclaration fut couverte d'applaudissements
par la droite, tandis que ia
gaucho protestait. Le vole de la loi, en
deuxième lecture, aura lieu jeudi.
LE GOUVERNEMFINT MAIN/TENT
LES 8 HEURES
Berlin. IO octobre. Malgré les pleins
pouvoirs ennenues eff.._goevemnmet, te/
iteensmg sera convoqua a, 11011Ve.
tours de le semaine prochaine pour denbiffer
sur lu projet de loi relatif a la Mue,
dut travail et à la journée de huit homes
qui sera prépare, entre temps, par la con,
inioion d'experts.
La pollen de la durée, du tradsil dam
les mines serait réglée, assura-t-on. de la.
toc que la nouvelle loi prescrira une durée
d,, travail de 8 heures, y compris la
sortie cl l'entrée des mineurs dans les
pulls.
Lai ifsséistierns de mineurs Chrétiens
ont demandé au chancelier d'arrêter les
directeurs ItOO mines des territoires de la
Ruhr qui ont minimal gravement les lois
du Reich au sujet des heures du travail.
Dans presque toutes les mines, les ausrierés
ont tenu des réunions de fractions
au cireux de la »m.,
suie t"Ill'ffg'nedtscloile dErIJUdners"s
travail el ont tait d'entras proposai... Co
revirement t'il di) u l'Inlervention telégroi
bffue du ministre du Traval.
PAROLES QU'IL, FAUT LOUER
Berio, 10 octobre. -- A Cologne, a eu
lieu, une seaure de la commission du centre
des partis allemands ; à cette occasion
le professeur Loucher, député du Reichstag,
a dit, entre autres choses s Les milieux
allemands, qui, après l'abandon de
la resistance passive, veulent risquer la
rupture avec ta France. minent complètement
le crédit nierai du peuple allemand.
Un cabinet qui aurait compris 'da. ses
rangs des nationaux allmnandsi aurait été
une catastrophe pour la politique étrangère
de l'Allemagne. It n' ya qu'eme roule
suivre Faxeculion des réparations. La
comlition primordiale est de remettra sur
pied /a vie économique allemande,afm
qu'a l'étranger on n'ait aucun prétexte
pour saisir diremement des veues productifs.
Quiconque ddesire la paix durable avec
la ranc,e doit désirer qu'or en finisse de la
situation insupportable' qui dure en Ithenanie
depuis nul ons. Il Mut elo. entanier
des egocialions sou,, la France
LA MANUVRE.
ANTI-GOUVERNEhIENTALE elc STINNES
Berlin, -PI octobre. Densembie de la
presse critique sévèrement l'altitude des
gros industriels rhénans cl désapprouve
spécialement le contrat conclu par /, sonsortit.
Walf ilscr le rméral Degoutte.
La (/ Gazette Genéolle dr l'Allemagne »,
organ,e de hl. Stinnes, observe un silence
complet.
Le Teglebatt e. s'occupe des dis questions
posées par, hit Stinnes et consorts an
gouvernement allemand et dit l i En se
servant de la question de la Ruhr, ces
mesiours ne veulent Den moins que gagps_
Ors par la voie d'un ultimatum et en excluant
les autarilés coulpe/lentes les problèmes
éConoiniques sociaux et fiscaux de
la politique allemande. 1 semble d'autre
part que différents industriels ne voilent
pas se contenter de transmettre au gouvernement
d'ffinpre les revedications françaises,
mais veu/ent y ajouter encore des
demandes personnelles et 14, craignent pas
JEUDI II ().1.:TORRE 1923
LES PAROLES ET LES ACTES
do servir de converiure ans Fiançais. s
Snivant M. Georges Berhnardl dans la
cnsette ite noss tt, le Consortium Wolf
n'a pas fait autre ehore que d» tise, de son
entreprise les conséquences de l'abandon
de la resielance' paSsIve ; mais en re qui
concerne les négociations du groupe Stinnes,
elles sont ele nature Polniel., mi
étroites relatiis avec les récents evenerueras
d, la politique intérieure.
Les revendications adresmees nu pan ernoment
démontrent iquireinent que AL
StitineS cherche maintenant «rare h faire
tomber la grande coalition ni à créer des
difficultés au chancelier.
M. Benlinard demande sa gouvernenient
d'intervenir inimédiatement.
a M. tresemann eroit-il pouvoir maintenir
Sa coalition si de pareils éléments sont,
maintenus dans l'une des parties de cette
coalition
e inisentein ne croit-il pas le moment
venu d'établir l'entente fie ;71 bourgeoisie
allemande, qui des( pas dinposée à MI..
une lett, de classe dasn le seul but Te
servir du eolttien àl.a. dés -
grise encas éronoutiquos ».
VON DULOW A PALOS
Amllerelam. II octobre. -- Selon un télégramme
de Berlin, !colorie. Stresemann
aurait t'intention tem/sererà Paris la
uriner von Belon' pour négeecier les quen.
Umm de garantie, mec le gouvernement
M.Poincsrg refuse
de discuter
Ports, 10 octobre. Go matin, lu it heures.
le chargé d'affaires d'Allemagne à
Paris. M. von Becs., s'est présenté au
Quai d'Orsay où il a ,été reçu par le président
du Conseil.
M. von theselt venait faire à Paris, une
démarche /analogue S celle que Je chargê
d'affaire allemand à Bruxelles, avait arectuée,
hier auprès de hl. Jaspar.
Il a annoncé efficie/lement ,à M. Poincaré
que le gouvernmitent fdlernand était
disposé à rolDberer à /a reprise économique
dans la Ruhr.
Il exprimait en outre le désir de la part
do Berlin de participe, aux négociations
qui se poursuivent' à Dusseldorf pour Porganisation
nouvelle du Gravait et des livraisons
en nature.
suggérait la Constitution Tune coneinision
mixte où la France. la Belgique et
l'Allemagne seraient représentées.
M. Poincaré a opposé à cette dernieme
demanda une On de non recevoir.
s /I y ft eu ce moment, dit, des
eonféronces à Dusseldurf, entre les rems:-
sent./ dos gouvernements alliés suis, autorités
locales pourparlers entamés
ont déjà donné ' des 1-esti/f555. puisqu'un
accord provisoire a été rondo avec te
groupe Otto. VIII. Kmp, von EisOngen,
pourquoi compliquer les choses en a./mottant
i ces dernières riennons des Id./aisés
de Berlin
hl, von licesell lia pas abordé soin/de-Gd
In mies-non d'un règlenissit d'ensemble sur
des bases nouvelles de la question des réparations
; niais AL Poincaré lui a dit en
substance que la résistanee passive aura
efferdivement pris fin.
Si 1c Reish à des proposilions h faire
str dvs medalités de réParatiim,, c'est O 1,
C. D. 11. qu'il ronviendra de les mtunctl re :
si Berlin ne les présente pas Int-tnélne
DiAtel Admis. celui no ceux des gourerneinents
alliés qui iiendraient à en être
saisis s'empresseront de les transmet/, h
ln counnisSion des réparaions. Le point ide
rue franenis n'a sur colle nitestisa suesn
mima de changer. e
Un traité de commerce
germano-américain
Londres, 10 octobre. Le correspondant
du s Thnes s à Berlin dit aPPrendre d'une
source blen informée, que des négociations
sont en cours depuis idusieurs see
'naines à Berlin, en vue de la conclusion
d'un traité oommercial et coneulaire entre
l'Allemagne et les Etats-Unis.
L'ambassadesir d'Allemagne aux Etats-
Unis retournera à Washington dans quatues
jours et soumettra le projet de traite,
ley deux pays s'accoudent réalproquee
ment le réelle da la ludion le plut faeo.
risée,

PENDANie le,n VACANCES pAILI4EMENTAIRES
On !11l01, roulure Il Paleis-hurDoil
ope quoi on misera 18 lue Oc 1g24
11;01h:int des nactmces palementaires, les
ouvriers de toutes pridession, se sont em.
parés du Palaisaleurbon. lei et lia parfum
peur mieux dire, ce Re sont quiet/belles et
achaffaudages. On Male. on lessEe,
éPaaage, eu capiton.
-4 Y de..it, au Matas vingt ans qu'un réa-
vait effectué pareitle reteglion.
Aucune salle. aucun escalier e'él.bsoppe
O la plu, minutieuse des inspeetions.
Pour éviter tout accident, /es visitas du
morannenCent été suspendues et les jour-
nalistes parlementaires ont du
la salle des PasPealus et se refugler
Catis le salon voisia, où. pendant la guerre,
On les avait installés quand la Chambre
aiégMt en :Centile secret.
C'est la quo, en quête de nouvelle, 11,3
attende. /e Passage /tafia d'un ministre
on trêve de banquet, ou d'un député égare
qui semble tout atpaysê dans celle loti.
Empressonsmems de dire quo tria M-
e bientot changer. Déjle on se hâte de
mmettre tout en place, et quand la cul'
rotation des finances reurendra ses troaaux
Otto trouvera l'ordre partout rétabli et
ehaeue a son Pesta
Il faut .mail en sMt ainsi. du resle, eue
ltuvre qu'elle au.ra aceorteli
mit Otto entravée par uee dit/acuité am.
térielle.
Au cours de la session ordinaire de
1023, te Parlenient -- on ne l'a pas u..1.11,1
a accepté, sur la (lemme° du gomer-
ternent, de rendre applicable. a Litre es-
eptionned
/mage de 111251 ù t'rxoi 000
102.1,
Cotte meure de fortune, si /Fe peut
sema/aimer ainsi, ami/ élit provoquée par
le retard de six mois apparié 30 vote dn
budget ea, 1023 et par Fimpessibilila de
préparer et ile finira adopter celui de 1921
*sa date nounale, étala donné d'une part,
le programme de travail sur.nt censures, l'Association de /a
aresse !molesta eventeet. Canuue son pré--
rident M. Barra/ai, appromait te décret, il
*d donner sa démisse..
ta/élection d'un neuve00 président avait
été retardée. Deux candides se trouvaient
en présence Le sénateur Bergamini, di-
recteur du ii Giornale ,d/telia 3, était
cancliète lovasi Oct jobenalistes profes-
sionnels. M. Bore.oi a soutenu, dans son
/Darne', /a politique nationale de 111. Mus-
solini, niais 31 tolijolus protesté contre les
rases dos fascistes. Les fascistes intransi-
pesais dc
« Imper° 3 le nmnacêrent me-
Curait y a (amimie six inoP, &nue purge
O l'huile de Je151. Sa candidature seuubhat
atone rallier Missi bien les libéraux de feu-
the que 10: libérale conservateurs, les pei-
ou/aires, et né par9ssalf pas devoir heur-
ter les 'fascistes" modérés.
Mais les faseistes, se ',menet cette P.ii-
MigkIP, ont iaterprété cette candidature
komme un sete d'hostilité au fascisme_ Les
oint de M. liergantfai rapétérent
voulaiect an contraire maintenir l'Associa-
/ion en delnoi. de toi3te politique. Les fas-
cistes suscitèrent alors la canildature de
PI 1Coehalini5 directeur de V a alaal
Nazionale a na des chefs du parti natio-
naliste passé au fascisme et devenu séna-
teur. La pressa protesta contre la Prete.
ion des fascistes qui veulent matraiailm
toute l'Italie à accepter leurs exigences..
L'élecilon prit donc un caractère amoreau
et cessa d'être une !araire Feremeet Ore'
fessimmelle.
Le tee octobre, M. 13ergamini fut élu par
gag voix contre 270. Les amis de M. Cor-
radiai ne yeake Pas te teair Pom hait.;
ils annoncent que la bataille va continuer.
I' a Mea Nazionale a écrit : s Le mot con-
made lorsque les ademsaires ont sur /0
roaseienee une latte nettement antifas-
ciste est un mot vain.
Cette éleetion a donc une importance
aeiltique. M. Mussolita l'avait computs, qui
précisément avait regretté sectes amis lui
eussent donné ce caractère, La majorité
des jeurnalistes, réputes les Parte-Parale
de l'opinion, s'est prononcée matte /a
propeenza 3 fasciste. Les fienistes dé-
blessl qu'ils pendent a imprégner toute /a
aation de fascisme t; les journalistes ont
1'Ouillé et desirent conserver a leur Assoe
dation son indapendance
PROPRIÉTÉ COMMERCIALE
et Bloc National
ProMMté tles eoMmereaats leectalles
est
plus. apparente nue réelle, car a, Mie des béné.
tar, Y S.SSSSi des ruines Lee comatent4ats
nui sot réPhé anda-ai mafia on; autipledhal
en face ees organisations capttopstes qui
reprennent teurs schen, Casant guerre
N.
o pensons que te Parlement ra mIdI ers cor
terMeneausible témoin, do cette lutte ind1rstrielle
catunereisde dana laquelle Inc anse sont agit-
teenane aup desialés pp. être /es vieprries
pansons qua tous /es de,eree de
géras. sociale, is ttaseithels. qu'il soit ouvris,
potit commerçant. tu petit industriel. doa être
tkasuré du beneae de ses efforts, nous voulons
lleSerelep11121 fisti par :taraient née-essaie.
pour l'OSE,CUU011 des services.
0 Ln presento loi. idithtrcu et adaptée
Pue te Senat:at par la Chambre des Délat
aa. aima executee comme loi de l'Elsa a,
(Ede ,ieiee ce Loatu et coniaMat C.
choses mat-elles se Peer
En principe, aux ternies mimes ii e
article, les crédits ouverts par la lui des
fenances du lot lui/let 1000 23 milliards
400 millions eiviron sont applicables
à aexereice lotis ; inais te gouverne/ne/a
s'est engage, comme on vieil( de le voir,
O déposer, au cours de la session extraor-
dinaire de 192:3, amt projets de loi ocres,-
met les dépenses extraordinairei, les dé-
ponsos du Mame et des iliéâtres exterieurs
d'operationo ainsi que l'autorisation tde
percevoir les draits et revenus pables.-
héorigaement tout au moins, le gouver-
nement a acie tenu ret eàaageniest, car,
le Pl jaillet dernier jour de /a clôture de
lu secnion ordieSire, il a ehnpoid, Sur le
bureau :la la Chambre, deux projets
19 le m'arnica (numéro Galla portant
euuesture de Crédits, rue FeSereiCe Pen,
au titre du budget généra/. en vu,, de
pellIVMr I h. sas dépenses extraordinarea
2, aux dépenses militaires de: Maroc et dm
thetecs exlerieurs d'ope/rations î le scone
Maniera perlant aulemsation
percevoir, pendant l'année 1925, lm Matta
produits et reveints PUblieff, sonOs lipia
-
mettre et de renouveler. aendet la mémo
Anna, de, rake:. dv TréSor à POtirt leu'
I delta/min entendu que. puer ts"ve' doit
auPliq.bies
POUrrout tateriffIrement y api/ tette des
letediflealientb
Toute la diamssion des imidits
sera eilme.lofinin a ratte:né rk prendra la
eonaniesian des finanres du go a
vernament au sujet dos créait., imittares
da Mame et des Illeatres extérears d'opa-
rations. car eet einldils posent
lions do pnlitieue eatérieure. Lu (légiste
une fois prise en ee qui les /tom:eine en no
voit plus quels longs débats pourraient
Susciter les autres. Le let petit
ra-
pidement vota mémo devant les drag
Chambres, bien qu'il s'agisse oie
617.501.861 francs. l'ne selille, quia I
Par coutre, le budget seecial dee déPeo-
c. recouvrables. est exécution du teille
de paix. déposé le té juillet eaalement
sous le numéro 0.40.7./devra 6100 :dmué tli
fond. puisque C'est len qui met la ...a-
riette la Fenee dans Pflat prémare ait elle
ce trouve.
Il serre ltistblr uts Parlement etersu,
trot' les dernières séances de la alaislature
l'étude et au lad° de lois mmuienins..et
hapationment attendues l assarane. so-
ciales, pensions. ete.
Mais cars-bil le tennis inahirid de ré.,
idem toutes ces attelions Si. ettflutut
l'assure, la rentrée des Uhatnnres nu diet
avnir hea que I, male 13 110`,111131S!
4414i111 t Q1S parle meule da pian là ;
/r. Canseil des m'ais/ras ,ffq pas emore
TiliflODORE IlEa t'Y.
qu'il n'existe plus de moyens possibles à l'abus
dee bic de /e déposséder.
A l'aime au ces prétentions on tisane, nous
ne Fipnoroas ras, d'évoquer dg. ussnqt
Fin're.iniZe.bre de '
MlasalroOf: sel, ceci F.lnu
porc. t'évidence eu là qui nous montre tous
les jours le capitaliste éerarcnt In gancepetit et
porc. triomphant, sans remords, enriebi sur ces
dépouilles.
Ce que nous nouions sinon bru surto., c'es
rc amuse éhonté que certains propriétaires pra-
tiquent quand vient la deo du renouvellement
da bol.
Le Unau devrait à la rentrée voter ta lot sur
la propriété courcecreale, nous a.ns quelosses
craintes que vote sgit retard:é de num:Sacs
loups. nes sénateurs qui sont eacore a la cam-
pagne ou à la mer s'occupent surtout des ée_
,:c, prochain..
A Plaste.,c reprises noirs avol. dénoncé In
Mantleacies d» M. 0u4« eu de la Lieue aes
!Ka Ecommiques ountra la petite propriété
rcmmerciale.
M. Billiet flatte les petits eammerrcuts, msis
titis ne s'y trompent pas, c'est Pean mie. I.
maux
fito daims nu,, ou lendemain cht vote par In
Chambre, des Belle, des Cam., des Coucou
roux, des Çaibel, naus soulignons lrc assiiessls
cts teste st nsus intlissiets qu'au moment dotu
misu en attaque it nésessitcrait tme procédure
diabelique qui rendrait inopérante ia protestation
désirée et nécessaire, arcs dhions a.si pue uette
loi crabe or le uhaluu, parlsmentaire du Idée
!muets/ depuis pAs de oidutons
qu'il y tracrait jusqu'à l'extrPme limite de
cette législature de 'White générale.
LAitalEU.
Semas. de /a Inedératien des locataires
de la 1-bute-Garonne.
ussuques-c
Un congrès de gardes-champètres
l'aria, IQ octobre. Qui dira que lrc gardes
champêtres ne sont pas des pers.neges officiels
et importantsI lits viennent de momref
Liement et entendent rcnir une grande place dans
l'Etss en faisant, comme tant d'autres
astres, Pur eoeeriiii.
Grognards, basanés et moustachus, vencs dc
tcus les coins da France. ils se sont réunis on
congrès à la maPie du sixième arrondissement.
Pour donner p/us de made à leurs emmena. lis
avaient revêtu /eur uniforme dominiral., mea do
livrée brodée d'os et galonnée d'argent.
Une commission de quoame membres lut char-
ése de edlaur des retiras sur Inc auestions qui
serom posées pendant l'après.midi devant l's,prs
blés me entatc. Voie quels seront les
PSS, Prols/èmes turc., à l'ordre du
ut Euatiestion de toutes les polices de France.
(L'autorité da arabe et du mem an seule à ae.
ser po los tardes chooraites tat veulent &pon-
dre de m.). ce ecuu u été formulé par /a FE.
dsmaa dea foncionnaleas.
3e,53, Au
e qar="r' aalnit,c d'ue,tc us tic.
ea,:lé' roua tutu, ml,cmos dual
_el Garanti de stabilité un gode chauma,.
ne Pourra Mre révoqué
l'aleureeque
d'un conSed/ de dirciplirc qui aura examiné son
sas.
d)
Tnou véritable csisse de replilc
qui se substituer, apt caisses particulières. dont
l'organisation est forcément in.fleanto.
el amabilité d'olamir la médaille d'honneur
de la polie, afin que les eeere4e deeeemedeee. ee.
soivent une allrcation dans les mêmes conditions
que Ics gemicutnes, -
11
Suppression de l'affirrnatrcn des procès-ver.
heu... Il est inutile et dangereux de foto rhar
oie proèmerbaus nci b mata Ai le bue as
,
9 °me., des demi-3.4s sur los uhemte
de fer, tous /es autres fonctionnaires les Percé-
dont de*
Les Séparatistes rhénans
sont soutenus
par la Régie jranco-belge
-4'
LE MIDI SOCIALISTE
Nous avons déjà demandé s'il était
exact aie les sépaintistes rhénans nemelit
été teanaportés gratmeament a Dusse),
dont, le 30 septembte. pour se rendre a
I aueunifestetion e,u i devait se te/Chine; ' pour vous, mesdames
d'une maniere h tragique. Eh bien, le
feus est exact. Nom psuvons mémo au-
jomcl'hui, ajouter quelqt es mécisions
Par son avis na 46, la régie franco bdge
des chen,ins de fer des territoires
pés a prévenu /e personnel de l'exploi-
tafion que des Peins spéciaux seraient
mis en marche, le dimanche 30 septem,
bre, de Landstuld, de Wiesbaden, de
de Bonn, de Trèves. de Clève-Crefald.
d'Aix-la-Chapelle, de München-Gald-
bach, de Dortmund. de Fier:111th
sen. de Duisbourg, de MulheirroR
de Gladbach à Dusseldcrf Domo trains
spécleux ont donc transnorté vele le
s Paris rhénan s, qui ne fut jamais si
bien nommé., les activistes qui slaPinà-
taient à manifester. Au guichet de toutes
Ion gares on distribuait des tickets ma-
toits sur lesquels un cachet spécinl
remplaçait l'indication da prix de par-
quiconque présengait une tarie
FOI à un chi: rhénan. Les n'us eng
frais de l'epératign de Dusseklolf ont
donc été supportés par la régie franco-
belge, c'est-àdire en fin de compte par
Ion dame saavernerments qui ont constitué
cette régie. Il faudra bien qu'on s'expli-
reaolbadocosrs,
de jcur ou l'autre et qua
t17 a ,,ot eo defe s'il Is»tssuit dans
ningoon
I.A..ereris on ou anoembrement
la rdoopcieutivv do
de
me que rAlle.
a ne
Voirlemems encore une indiscrétion
Il pamit qu'à la suite de la cessation de
la résistance, les fonctionnaires des ciao'
mirs delco allemands (amurent rependre
lem seivice en Rhénanie et dans fa
Ruhr. Marc d'Ebold la priorité sera don-
tee ave Rhanans. On devine les luisons
de cette priorité. Les autres Allemands
reprendront du service s'ils trouvent de
(E. place. Quant aux Belses et aux Fran-
cais, ils resteront en fonctions t t aucun
Alletnand ne poutre se itoaver dans le
cas de donner des cidres a un.ressortim
sant des nations occupantes, Les Alle-
mands seront donc conaitéeaux emplois
subalternes, quels rme salant /eut tenae
ne leur compéleree On Peut due clef Su
fera un beau ffSehiS. F. D.
A quelle date rentreront
les Chambres ?
agas Laions bien ait, nusud los (alani-
ne, se sépureient cct ételi faFtat o
reyertaa pas de longtemps. Le truc du
budget biennal devait en ettet semis au
gopyernemint à ee pater au Parlencet.
Aussi, a'avops /131lq dldS att) étonnés, edi
art nit. !juste cailles jeldllaffff
a:monta/eut que 2101 Pointaré 5cc mmve-
gaerait guère le, chambrer que
Ii sluv,5tcngrr.e.
01 b -dcc
Culotte. vIn eerlain Jota qui est
ditoroyaliste.
Mais il suffisait :p.e ce Joly s'en
indIat, pour au' on se coulmitat de rigole:'.
Cependant, pur la suite, quelques déje-
tés auraient, protesté auprès de pitésinent
du Conseil enntre le retaal appnolnl pan
lui à la convocalgen du Parlement. Ed-re
parce qu'il altribee à se PiVIlde stout'-'liou
'cite importuna, particulière. que al.
11ailiouca, député radimilmbleo naticoal elç
l'Ain, répétait hier aux échos da Palais-
Bourbon qu'il était Ar quit /a conmealion
serait pour la fie de en mois 'I
Tel a'êtait pas l'avis de ,M., Ailrien Lam
Dac. président de fit Conmissiop des Fi-
nances. Il a .bion l'intention de ronmquer
petl, maneission pour le 21 actobre , mais
il pe suggérera mi preSident du' Conseil
de m'invoquer les Chambres que jour le
6 nosenthre S'il gagnait cos sept joars
Al. /Dariun aeu ferait un
suces personnel Il faut lien de efl,,S0 tOtoOi.
Selidlitre.
M. Franklin-Bouillon
interpellera
M. Flanklin-Bouillon prend/a part RU
débat qui s'ouata- her le aaité de Lau-
sanne et il g D queleice ch..° Puas Gre
nem assktione à une passe assez vive
entre lui et .M. Artli Tardieu.
wr,,it. ce n est pas 'Ià ir plus imper ara
...voeu dératé de 5eine-et-0,se in-
terpellera te gouvernement ,ISY les ré-
rentit
nornleatione d'eaclésiasaques,
celle de Mgr Gibon notsremen% dans
1'0.4 de ho Usina d'honneur.
M, Franklin-Bouillon se fait fort de
prouver ose ces distinctions ent été dé-
IPÉC,, à taie paiement rellgieua, ce qui
sac esche/ne. t contraire à Feeeit de
la toi de 1908 dénonçant ke Coneoldat.
Adressée au gouvernement pneus
poinemiste neteiee, peut-être que cette
inteepellutioa amènera ks groupes à af-
firmer nettement leurs tendances elle
gouvernement lui-nefine à cté/imiter sans
ambigu., sa majorité po:ailette..
A la veille des 6Aen,tions, c est. une
chose qui ne peut semblés tout à fan or-
SeUSe,
M. Herriot retour d'Amérique
Le Ilavre, 10 octobre. bond du pa-
quebot a Paris a sont amines ce inatin
venant d'Amérique, M. Herriot et Mistin-
guett.
Le mi tire fie Lyon a été reem par Mal.
Bauffandeau et Laon Meyer.
M. Herriot revient pour présider le Con-
gras radical.
Aux Etats-Unis le députa da Rhône a
reçu du président Colidge et des person-
5b:310(. commerciales et industrielles un ac-
cueil 93 s'est manifesté Dés sincèremen
senimen franeaphile des Américains,
Il u eanstate qu'a l'Université eillavard
et dans les grands magasins notamment
sont ériges des plaques partant les noms
des sealies dos Etattielhis tembés aux
ce..é., des atâtres. Fo ce qui ron.rerue
relations eimunereiales et industriel/es,
est en M'oit de dire que les Américains
éteints sérieux.
(jrnsi ètop'ree'ark7cue beaucoup
ou-.Lais
do eu coi cg 0»se elt Russie, eue,
en ralsop de certaines analoaies économi-
ques, il Apparat! at14 Mucludeains que le
1'41 do la Musee masquera peur eux mie
ère de difficultés pour leurs débat/eh..
LA VIE AU F7`-ER
Le Coin des Gourmands
LA MODE
Un temps viendra et ce temps col
peut-être tout proche où une ie.., in-
goiète dehe commandet de meuvent, mil,-
tes, ne se demande. plus ; Comment a
sera ma robe 2 Nais c En quoi se. nm
robe Et exile formule traduira exacte-
metst l'influence capitole de. matériaux
Puer déterminer l'éng,ance Ide l'ensemble.
Deux directives, qui sont étroitement liées,
s'imposent depuis quelques saiseas en ce
qui concerne la amie; elle a si peu eau-
tué, que c'ett toujours une surprLse de le
constater. Omo devient alors a lancons-
tome a eine 1,00 se plail à attribuer à la
déesse somptuaire 1 File n'a pus perdu ses
dtpits; nus robes eéalisent ce postage de
naître « ni Mut à fait la meule, ni tout à
fait une mitre, en changeant de saison,
amine si la coupe demeure à peu près
realable, les tissas les composant se et-
°tavellent avec abondance çt -viaaété. Et
ré:est/ment, si la mode oscille °etre quel-
ques tendanaes et demeure surto,ut fidèle à
une très grand: simplicité de ligne, c'est
quaLappartient désormais aux tisses de lui
conférer la fantaisie, la nouveauté, la
somptuosité., le sens decomtit, et a tut!
quanti 3,
flet hiver, no. verrat. s'affirmer la ode
AIS des manteaux tout droits, fiCS Ioilleeev
a idem 5,, des robe che ville eeivées (tu
fourreau initial; et tous ces modèles Toue
e/mrie"8" 11;
a v u duceer ne es ma ri.
Men Yrs.
11 faut Mignaler encore le rue.
0111001tenu,
dana /es dernières creattaas sant.
Maires par un autre .ilément que le licol,
et qui, Sans lei faire tort, a cOnituis à ses
ctiteS une place enviable
/I s'agit obi Mb., dont on soit déjà qu'il
est prépouderant eh, /es modistes, étant
la base nietim de le. art, et qui s'affirme
eomme un .détai/ d'importance dans ta taîtia
position des modèles destir.és aux eliffélen-
les beur. de la journée.
Los créateurs des modales des rubans,
comme ceux dos tissus, d'appliquent e en
diversifier l'aspea en perfectionnant la
lechuique dit (01502e, en variant leu disno-
Litions, les calor., les matées.. Le jou
doc ililares eau I. ressource de milie va-
ragions ingénieuses. Les dent, taons d'un
1,010erill/911, de texture et de couleur op,
posées. daubent son appoint décoratif el
l'enrietiesol d'autant.
00 emploie asee un parfait éclectisme
dés aibans très earnits de neal dentelés.
ajoures de picots. en relief. ou de, rubans
ltritt slalgenn en, velours, dont unit miroite
Dés prisée, nue de dues dites. s'appelle
l'épingle. en eluvetine emblée de sati
erte
n,
aimable nemeteaulte, en Panne luisante ef
muple.
oie! pu, continuer sa vague
/gurniture
Cols, aux poches et ana pois
gneto sans nuire aux effets de nuds à
la ceinture; u ana.' fard sur la hanche
reproduit sauvent manie sur les
le:trs; on bien ce sont des bandes de ru-
ban de teille sur 1e. devant sealetneet d'une
ratte
ertffte. Drs rabans de velours de
largeur décroissante forment de, volants
étagés su u
r ne ro ou
be.
bien ils C(S:PpOSVIlt
un cal uniumutuux,
sue t'en-
maure d'une cape. Lee petits rubans se prai-
let à des effets
rosaces
Oplonouf .nuanasrfeon tionirlorméa. np ru-
pans superposes sur phusieUrs rangs et de
REPUBLIQUE FRANÇAISE
VIE SPORTIVE
CONFLITS ET COLERÈS
meAnesuGeril7dbu''C:mu
more, amouvé par l'unanimité de pl. de soixame
ailusuuc phéserits, a rédigé et obtenu le vote de
IPes, réuni es 'assemblée
gerdrale, après avoir pris ecturcissanco da com-
muniqué par la Commission d'amatrcrisme
In Fédération, fellicit.cette Commission des ef.
forts faits en vue de encabanas Famatecnienseci
c%clazél,'.iar trêt Os toutes Iss,ro
ffooiéttle.
nu do osa
ImbScollea des neufs
préj,udice peut êtra causé ceux dota les
non. Pesa/same dam isumans et l'qlsist Jsa.
Ed
00 5t0 f0ed
cou
mission risque frai.. la Fédération des de,
mandes de demaimeadatieu m
........
................................................................................
LE PERDREAU
Cc gibier est de pleine actualité. Il est,
cotte année. igen MARS rare qu'on be
l'avait dit et redit avant l'Onvertnee. 1I00
si ee savoureux volatile est relativement
abondant, il est aussi relativement cher.
On /musait, pour Moins d'un 0e-o, jadis,
se procurer un iman perdreau, il faut, au-
jeuld'hui, aller jusqu'à douze eu

Le Criminel accord
entre l'Etat et les U. C.
Le régime des stagiaires volontaires
CEUX QU'ON
ACCEPTE .-CE QU'ILS FONT .. CE QU'ILS GAGNENT
VOYAGES A L'CE/L
i-dscus le texte d'une note c) les réglements (ou notices) pour les
é dem/ment SS. ni° 211 que conducteurs out chefs de trams.
publié hier iciimdme. On y Ces documents sont laissés entre let
ato ndra comment ce instruit les bri. mains à la fin du stage.
eren:ons de grève, et quelles cd menses Pendant les deux ou trois Premiers
en leur proatet.
jours, les stagiaires assistent par petits
gammes de 3 ou 4 à des théories faites
***
par des chefs de trains expérimentés
Ajoutons à titre de curiosité que deux
membres de l'O.C., hier entre 10 heures
sc. la sturveillance des contrôleurs de
ei l'heures, s'étaient rendus à encore- trains. Ces théories pontent sur le service
eke de manceuure siguiilags et de con- dee conducteurs, service avant le départ
du adroite. On pouit va /es mie Von en boue- du train et en cours de route, mesures à
eron bleu coiffé d'un /cuire mou, l'on- prendre en cas d'incidens; utilisation de
he en costume ne ville, cadié d lm rno-
es, circulation dans les voies
Ion exécutant d'une main un neiligcni esel'ivrr's'i'reins '' et notamment des freins
'moulinet avec sa cane, foire Mus deux ttngha
es. Asu .cours de ces théories ils sont initiés
de Mataf/km ne pont de Constantine. à ./a sIgnalisation et aux services des t'a-
Etca, c'éld,,,e deux achNescents. lis riaient. 'es.
Ensuite les stagiaires sont affectés en
Voici le texte
Les réseaux peuvent avoir à faire appel
bdes volontaires dans les emplois suivents
I. Mécaniciens et chauffeurs.
2° A' '11
3° Agents de trains (canductezzs)
double, cornme conducteurs à des trains
de voyageurs des lignes de banlieue et à
den trains de marchandises de Unes
d'embranchements.
A l'expiration de lem Page, ils sont interrogés
par un fonctionnaire de l'exploirotins.
Les résultats de l'examen sont no-
signés sur une fiche spéciale.
Chieriera. Bila note moyenne est égale a 12 au
5. Mbnceuvres emplois ne nécessitant moins, le stagiaire Peut être autorisé à
aucune connaissance spéciale) affectés accomplir des stages de perfectionnesoit
au service de la tractation soit au ment dans les rloes3¢3 conditions que les
service l'Expkitstion.
L'inscription aux pois prernicis emplais
est subordonnée à un stage de
quelques jours effectué dans les conditions
ci-après indiquées.
L'inscription aux emplois douvrims et
de manuvres se fait sur sinople Présentation
du volontaire et constatation suce
tinte doser aptitudes.
Les stages devant forcément être très
brefs. il est indispensable /ers 1SS colontaises
soient. dès le début, dirigés vers
les emplois les plus compatibles avec
leurs connaissances.
En principe les élèves ou anciens élèves
des émules techniques (Ecole PaIVtechniq.,
école Centrale. Emede des Mines,
ou des Pont et Chaussées. Envie des
Arts et Métiers; Pst.) les mécaniciens léteyetis
de /a tif orbe et en générait-ô. /es
volontaires qui cent un métier qui les Y
Prédisposent sont admis à faim des stages
de machine sous réserve des conditions
physiques exigées, en particuher
Pour la vue.
Les élèves de facultés, les élèves des
Eccles commerciales, les commerçants, et
en général les volontaires que leurs aplaudes
ne dirigent pas vers r de
mécanicien suivant les préférences qu'ils
expriment Pa., la /0 sédentaire ou P..,
le, vie active sont admin.& faire des stages
'aigAddlents ou de conducteurs.
Les stages dont les duré. sont indité,es
ci-après ont lieu de préférence
pour les élèves des é.les 4 l'époque des
grandes vacances, vacances de tiques
va, de nouve/ an.
Chronique de Toulouse
Les Mutilés du travail
ont tenu un congrès
La Fédération Nationale des Mutilés
du Travail a sens à Lyon, au Malais de
la Bourse, un important congrès Les
délégués de la phi part des régions de
France ont décidé de mener uns ruban
énergique pour btenir l'assimilstion des
Mutilés du Travail aux Mutilés de guerre.
Un cortège d'un millier de Mut:iés
aYant à le, tête nes amis Lévy, adjoint;
Morstet, Godart et Rognon députés
Baudet conseiller générai, a parcouru
dans le plus grarp calme la rue de la
République et la place Bellecom.
Le Sud-Ouest était représenté par un
délégué de Toulouse
J
aiguilleurs. Au début du premier stage de
perfectionnement le volontnire est rapidement
interrogé et si les connaissances
sont jugées encore suffisamment il est initié
aux fonctions de chef de train toujours
sur des lignes de banlieue et d'embranchements.
Rémunération. - La rémunération
des volontaires cA o sMvante. (Ces toux
peuvent être augmentée d'un ou de deux
francs dans les grandes villes pour tenir
compte de la cherté de la vie, l'augneentation
de deux francs jouera de Piens
droit pour les stagiaires à Paris.
I. Volontaires en stage pour l'emploi
d'aiguilleur onde conducteur
16 fr. par pour de havai/ peur le stage
d'initiation.
18 fr. par jbur de travail pour le stage
de perfectionnement
Les volontaires appelés per leur ses,
vice à qiiitter la résidence ou ils doivent
faire leur stage reçoivent, en Plus de leur
rémunération jeurnalière les frais de déplacement
prévus pour les agents dont ils
tiennent l'emploi.
Pacilillés de circulation. - Les facilités
de circulation ci-après peuvent être accordées
eux volontaires qui ont accompli
des stages dans un réseau.
P Volontaires pour l'emploi d'aiguilleur
et de conducteur
Un permis après /e stage d'initiation.
Un permis après le stage de perfection.
Ces permis scnt donnés en, 2e classe: Ils
sont strictement 'personnels et ne sont va.
lables que sur le iéseau sur lequel le s.seig,
a èté fait Ils peuvent être demandés
par les ayants droits dans le courant des
douze meis qui suivent le stage et sont
valables pour trois mois. Es sont passibles
de l'impôt
ÇA ET LA
/GCE DES DROITS DE VI/031NC
Les Ligueurs sont instamment priés n'assister
cri nombre à l'Assemblés générale de
la Section le samedi 13 courant à 21 b.
Calé Andrau, 1, place du Capitole.
Cette assendatee generale sera précédée
de la réunion ifit &mem à 20 II. 30 très
Preises.
Ordre du jour t Révision des statuts et
questions triés importantes.
CONCERT M/LITAME
Peogromme exematé le jeudi 11 octobre
à /à /a. au Grandiliond par la musique du
17e C. à.
1. « Allégro militaire o X..; 2. a Le
Calife de BaMad a (ouverture) Boieldieu;
3, 0 Sandre d'Avili/ 5 (valse) Helmut; 4.
« Lei Huguenots z (fantaisie) Meyerbeer;
5. Les Souris /a/anches r (polka) Allier.
-
LÊ MIDI SOCIALISTE
earanalusasuntentssasetatemassaanean
,re,r/A/Ri '
eeemeto ,
.atermi
Pour. tout achat à partir
de 10fr. aujourd'hui
jeudi dietribution
aux enfants de
Ballons Dirigeables
ARRESTAT/ON D'EN MALFAITEUR
En vertu ,Tun mandat d'arrêt de M. le
inge d'Instruction .le Ihtsbes, en date du
31 août 1923, les agents de /a sûreté Saris
et Stefanacci eut arrêté hier soir le nonnne
Thorean Drac Lé-Indre jigé tile 27 a., se
disant boxeur, malfaiteur dangereux, sans
elnmicile fixe, incubié de vol.
Coudrait au bureau de M. le Commissaichef
de la sûreté, cet individu a été mis
la disposition de M. le Promue, de la République,
ce matin.
MALADE A L'ASILE DE NUIT
Le nommé Soleil Pierre, âge de 78 ans,
sans domicile fixe, pris ilt'une indisposition
subite ce matin, vers 7 heures, S l'asile
de nuit, a été conduit à l'Hôtel-Dieu et
admis d'urgence dans cet établissement.
LES GENS VIOLENTS
Use information tvet nt:verte au 3inni
arrondissement eornre le nivelle.) SirvIgn
Mareelin. demeurant Place via Ttavelin.
pooe viOleneos exercées sur la personne
de son épouse, Su-sain Jeanne, mie rot:bans,
revende., demeimmt. 21, rue des
Amidon/liera, de laquelle il vit Sépara depuis
une donsaine >leurs environ. Cette
saine se serait. déroulée lundi dernier. vers
SI heures, au domicile da la plaignante, taque/1e
a fourni nu -rertititeat Médical.
TROUVAI/AIES
Bric/amer t au portefaix Gante, Place du
CnPitade (plaque N. 92) un porte-monnaie
contenant une petite somme et un objet ;
à M. tiousquérol, suc Pa/aprat, 18, un jeu,
ne chien 'ipagnond; au Bureau dés Epaves
un paquet de quittances en écriture anniaise
et un porte IPORnttiC contenant divers
papiers; à M. /Ponson, rue Peytre, 34,
une broche; à M. Ilyasson Place St -Pierre
5, S11 chien de eihassc; à M. Auguste han,
rue des Amis/Damien, 16, un portem,onnaic
avee une petite soma..
ANIS MAT,ADORD
ti.111Et tt MAIR31 UA/ arum§
Cour d'appel
Le sieur Arpizon sans domicile fixe
avait été condamné par le tribunal correctionnel
à 2 ans de prison pour avoir tenté
de cambrioler le bureau de tabac situé
place du Capitole 1: la crue d'appd
Ai 1Palals
A L'INSTRUCTION
M. Signmel a intermgé Coutenceau
soc 18s clivdises inculpations dont il est
l'objet.
Nfie Ouvrier e
C G. T.
Syndics, de l'éclairage st joaes motrices lien
Son snob - Les camarades de la compagnie da
gaa sont insmeunent priés d'assistas sans hum
à l'assemblée ordinafie qui aura lieu le jeudi 1I
courant, à 9 h. du ,oi, Bourse du travail.
La carte confédérale sera exigée.
Ordre du ion compte sendu eh eengràs de h
Lyonnaise; qunstione salafies, '
Syndical des cuisiniers. - Tous les ouvriers de
la corporation syndiqués et non syndirprds met
001e d'essaies à ha réunion .nui arma lieu le
jeudi 11 octobre, 5. boulevard de Strasbourg.
L'ordre du jour étant de la plus haute importance
La présence de torrs eat indissensable.
Syndical moindre du Parc d'Artillerie. - iltém
non générale de Dua los membres I. vendredi
12 courant à 18 h. 30.
Ordre du eur r discussion vais arma on sujet
du tiouvean lllmiet de bordereau de salaio de
l'Assena/ et Caraocheiie. Réponse à faimo à la
Fédératien au sujet de dorfintation de notre orgenisatton
au congrès de D'urgea et proposition à
sire nous concernant pour le Conseil Fédéral du
13 cossant et armes emeations très goarco à dis.
Les 'Sociétés
FootbaRClub Tnuleusuin. - Assembiégénérale
ce soir jeudi, à 21 h.. au siège. M:tch du
14 eourant, laéplacen,ent de Quint. Equipe 2
et 3 eonvoosées métiehment einsi oco les
.Die- ante, d'un cor,IrinXimurn xt d due mn Paelniétaire n'était pas
ans.
tory la On comprend maintenant nousquoi
ans.
Rodée ne v'clait à rosi ii prix indiquer
Pendant cos stages de
ment le programme déducation per/codent,
In cachette des objets volés al1é..r.
skinnelle reste le mime, prof.- Brienne çar la révélation lui sut codté
mais le stagiaim une condamnation de 'Plus. - Mi(
est placé dans des postes ou cabines de
difficulté suPérietre la moyenne.
Cenductiems. - Les volontaiks qui
'désirent accomplir on emploi de
te"' doivent faire .ridric-
on stage du. dusée
rem dc 8 à 1Z ienrS
;rassasosie sb
IMeiVem
1.5)Palavouie mes. ipels
merde à l'abri des ttsStrés
neddonts
egaans; afoglamonto !cm national lx lés
qui désirent trsvailler dans les mainient la Peine.
Lt a nommée Marie Peclin, ménagère à
Moularès /Tarn) avait été condamnée par
e.,' Valorme, Lucienne Sondai. Weterslia-Régent et
le tribune/ correctionnel d'Albi à /5 fr. roua les sportsmen, avides d'émotions, sero M. H. Monval. Au lob acte, ballet Natta. Demain
d'amende. La cour confirme.
climanche autour des barrigres A, Pore des Sparts vendredi. marne spectalle. Samedi ores 00 de Pt,.
Po= oPP/audir ces deux bel/es équipes, égale. m le rarzten Hiernam.
, .
Tribunal correctionnel ardentdésir de vainere.
AU SPORT OLYMPIQUE MARENGO
Audience du 10 octobre
Toulouse-Amidonniers.Cité-Spmts bat S. O. de een' s cha n 'rer
Président, M. Crayol. Ministère public, Marengo par 16 à O. Partie plaisatte et très amicale.
M. Le.pinasne; greffier M. Clabére L'équipe des Amidonniers orlon point.
Camp/osée de bons joueurs elb joita la vitesse à
Couché dans un wagon. - Le sieur l'hornogénéitle.
Salles Léortmd, 26 ans, mécanicien place Le S. O. M., prive de quelques-uns de ses mei,-
Victor-Huga est condamné à 25 fr. d'a- /mas joueurs fournit un jeu daborearmé et de ce
mendc peur avoir été tienne le 2 juin der- fait peu ef(cace. Son quinze droit ,tre renmnié
non. nier couché dans un et entraîné. Sac
eaux atebers pratiques de rératurque
wagon de 2e dasse
cela, attention aux désillusions.
de ferronnerie.
et stationnant dans la gare Slatabise sans - S. O. m. (?) bat Jeunesse Sportive 121,
par 3 à O.
autorisation régulière.
Dimanche, S. O. M. DI contre Toulouse-
TOMBOLA
Coupa et blessures - Dans deux affai- Bonnefoy-Sportif. - S. O. M. (2) contre C. A.
Pente Fabre (rne St-Dimésy, SI. Tornres de coups et blessures le nommée Ca- de la Colonne ll).
hola du 29 juillet 1923.
therine D., 48 sou, anênagX're demeurant
CASTRESOLYMPIQUE CONTRE GALLIA.
Voici les muli,ros gagnants
rue St-Jeun est condamnée à 100 francs
4845 333) 342 2696 3948 4245 d amende avec sursis le peur Lumen LeS Olympiades qui doivent se dispmer l'an
.12-611 4347
4977 1115 3735 3190 4101 3170 4837 2493 F., /9 jardmier à Lalende à 25 fr prochnn a Pans ont mis la Fedcration de rugby
dans. llobligation d'e.varmer les
1039 4082 4335 2340 247 4334 2859 3424 d'amende ans'avec sursis cl Albert N., 29
dates du cham-
4299 2482 - 120 2143
pionnat de France et par contrenoup celles des
4749 2755 360 3004 vol', voyaget, 18 allées du Cimetière à
1455 36â4 4/93 2521 4840
ehampionnats régionaux. L'Ore des parties offi-
451 3356 3910 1795 2453
4126 1143 .1078 fr d'amende.
cielles S'OUvrira dimanche prochain et pOUr San
1529
Vol.50 - La nommée Madeleine Ga- datent en Ire sérié, /e reeevra tonnai sono
Ces numéros n'ont pas étvii réclamés.
. Prière de les r étirer avant le 21
taud veuve Parousie, 34 ans, domesti-
Après cette date,
courant. ar/a 36 it e St-Nicolas a été condamnée
00110 r500unnna au enles
lots tunfriehmaIs Mis toulousain, en dépit d'offres
ront acquis aux milans se- pro, vol le avantageuses,
16 mai dernier à deux mole
e 1"Ecole.
voulant sam. tout le rernerCier des encourage.
de primo par défaut a fait opposition à menp me:sués au enu. la la %aie.. 810riet[Se
TRANSPORT. DES VIOLEITES ce j1 zonent 1 Inculpée ne se presen de I an passe. Coup d envol. à il heure,
POnr rad/Reni/a tramporit tent pus la peins ma maintenue.
- Réunion ce soir, à 21 h., au nèpe. Rugby.
des
entre la banlieue de Caste/gine:d
ic.lettes
/nen et athlètes spécialement convoqués.
ct Tou- Vc gationdése. - Le sieur Guillermet
touse, In Société T. C. 12. T, informe /es René.-3t ans. cordonnier, sans domicile
Predueteurs de violettes qu'il sera :perçu fixe est condamné à 15 jours de prison Courantes ntritaires
par panier transporté dans ses voitures ta
o' hl. td Bude
sonnes uniforme de 01e. 59 que/ que soit à tmler Se et POM VqSàb/./OCIUS,
le paticomik effectud sur une mêvne Vol et cutge. - Otin Marienno, 62
Les paniers devront être acemnpagnés ans, ;cannelles demeurant à Toulouse
E tast-C v`i I
et ieS Persenues /eS aneampnenun
à acquitter le prix ordinaire des places.
amont quartier de Pérrole est condamné à un
mois de pason au moment où i/ transpor-
DEPOP D'EPALONS DE TARBliS tait une certaine quantité de mars qu'il Publicarioas de. Mariages
Un eaucours -pour juments mulassières,
venait de dérober à la gare l'agent qui
Du 3 oetnbre 1923
Usée, 15 ans au plm, anrit lieu vr cil r ro :Ides à son anestaton ren- Jean Bordes, chaudronnier, rue Beclaiter,
à Toulouse,
terrain Mauss', le samedi 211 Mocontra
de sa part une vive résistance et et Cécile Cava:lié, ménagère, ho I,
ber prochain à 14 beures.
des mots grossiers
Ravarond Nioulis, ouvrier électricien, rue Vi-
- Le sieur
Pour être admises, les juments
B. Garbo, 32 ans,
dal,. 3 va Juliette Arquié, a.
cor.
à Unix,
devront
Raymond labos, représentant de comme.,
avoir Cté primées dans un des donpier demeurant 13 rue Magenta à
derniers
.sueocool lerer, fi et Bernsdine s. p..
concours orgarrisés en octobre 15123 par
Bordeaux au coure d'une querelle avec
l'OUiec départemental agricole ce sa inahresse a thé sans l'atteindre dans Ends Boisson, sergent 3/e R. I. à Mayen.
Appel -te.
nir à des propriétaires delininPiés lien, /a direction de cette dernière un corp de et Mari. Ravat, a p., rue de Mea, 43.
les
arroodiSscinents de Toulouse, Mnret, \nt- revolver ; Il est condamné à un mois ELiebn,r)ne
lé/Mâche en entier. efdans les cantons de
de prison avec sursis.
Montrejeau et de liarbame.
Coups. - Le sieste Octave M. 41 ans,
joseph Laurens, macon, route de Un., 8 et
3.044 francs seront distribués en primes
Catherine Fournière, ménagère. r. St-Oharl. 5,
entrepreneur demeurant 3 rue Belleville
pouvant varier dc 330 à 100 francs.
Victor jubel, cordonnier, rue Redoicese, 8 e,
est condamné è /6 fr. d'amende avec sur.
le, inseriplions seront reçu. Sur te lien sis I/
méme du concours pur le Directeur du
avait un certarn ressentiment à ,MuETian: i,,lecia:er'iyeon7,,,I'ra/rduei7.
C
.1erm,7a qmuïstle:er da:So:ipe:tard et
l'égard de son voisin
Dépôt d'Etalons de Tarbes.
la date do; 11
juillet demie, il chercha querelle à ce Louis Maure]. bon/ange, Croix-Daurade et
SYNDICAT D'INITIATIVE dernier es le faePPa de plusieurs coups Noélre Vleu, a p.. à Balme.
de poing.
Fernand Denis. à Toulouse et Alice LaIrené..
Dimanche peochain, 14 octobre ) excursion
au MasaTAgif par Muret, Carbon.,
- Le siem Clovis H., 34 anA, mécani-
a p. à Cas/ères.
Cazimes, Ste-Croix, el,- Depart à 8 h.: cien deneentant 4 quai de la Daurade est
Naissances
retour vers 19 la
condamné à /mil iMts de Prises avec
Du 3 octobre 1923
Prix des places t 25 fr.
sursis pose aveu menacé le capteur de Mea Rigel, rue /drac-Acler. 18. - /Yvonne
S'inscrire au Syndicat d'initiative au Ce chiens avec un revelver et lui avoir lancé Roux, rue Ssint.E/oi, 10. - Mage Loci., quar-
Niole avant samedi midi.
oiselet,to coups de poings au visage tier de la Ceooilie. 311. Renée. - Josette Chiers
Détournement. - La nommée Survy de, ru. Sam-Charles, 43. - Andsiée
ACCWENT HE VELO Henriette âgée de 29 ans, domestique, tue du japon. 19. Yves Audran, o,. Tourne/X.11/e,
Anus-hier vers 17 lb 23 Mme Sudre .iu- mea domicile fixe, cond urinée le 12 jan- z. -M,ubai,ae Dugné,
domiciliée rue de Toul, 19, pissait vier demie, pal défaut à un an dem- IP:art:or Menesticr.
avenue de Launeguet, montée sur sa laprisonnement pots détournement de
Décès
evdette, se dàrigcant vers l'avenu, des Mi- deux colliers au préjudice d'un bijoutier
Du 3 octobre 1923
nimes, lorsque à hauteur de Idneneu,bile do la Plis; oui opposition à ce jugement Marie Came, 8 mois, chemin de VieiLle-Tou
per tant le N. 12, elle fut renversée Par une mont mencncée
bouse. - Antoine Poux, 22 ans, petite rue Ba
auto-candon conduit, par M. Saint Martin Coups esti-mares - La nommée Thé taille, 4. - Mage Arnaud, yeuse Senet, 65 .s
Pierre, domicilié à M,irignac (Lot-et Gai
ttoRn01
cynkjAte
rttoi veintit en sens invorse, mais ne
le tribunal maintient la prion PrinOlrIve- rue de Rémusat 31. - 2.
/Oie L épouse Miunee. 31 uns, ménagère
suivatt pas sa Smits.
Marre su, d n'eut matit mal, mais as iti-
8 rue Daresy, pi un sentiment de jalon- POUR TOUS LES DEcEs
Itit endommagée.
sie envers une marehandte de quatre-mi-
SUR sALNT-CPPRIEN
M. le Commissaire de Police de Se areme, elle a frima sa ive. d. ssna ,i1-1133 S'AUREssER III SEAU SPECIAL
rcndissenient 71. dressé procès-verbal contre boutedle dernière la tête; 100 francs
In conducteur da l'auto pour fausse effrac- d'amende avec santals t panne de 150 fr. DE PoNIPPLs FuNEEREs
tion.
de dommages.
-18, RUE DE LA REPUBLIQUE
loi
e n7.:,:r1 ru'ev: rr7dt ai
mennuer de venir voir Fions, le plus extraordd
mite jongleur qui sert, avec dia armee men,.
qui Is complète.. Ce programme est srannem de
e000:cs, ro.
- A 3 h. et à 9
Un superbe film en couleurs Lu &done de 4Aatour,
aveo Marcel Lesesque, Charlot dans Una
''CAdt 'il14707/T/-PALACE. - Ce soir, à 8 Ir. 43,
Jaekie Coulas dons Olivier Twist et lei Filmé
parlants Caumont.
3-ChOS"MOC,RdsP/i. - Ce soir.
9 h. M'unes 'm'orée, avec Warren Kara,
son:r, René Cresté dons lin COUP de tete.
latinées à 2 Ir. 30 et 4 h. 30.
SAINT-CYPRIEN-CINEMA. - Aujourd'hui.
matinée à 3 h. soirée à 8 h. 45.
Ch.Canguilhem16. 18. r. Peyras Toulouse
Vente par autorité administrative
/1 est annoncé au pellic que le 12 courant, à
2h. du son d sera vendu sur la pire< Du/Pre.
par ministère do eartunissaire-prisoue divers- men.
bles et objets mobiliers, tels que un billard, un
Piuno, trois fusas, une salle à manger complète,
etc.. ete. Le gut sera payé comptant sous peine
d, (elle enchère.
Ce aujourd'hui bi juillet 1923.
Cen objets mobiliers ov été saisis en date du
/0 juillet 523.
Le porteur do mrdbcaosls :
ffleffleteSSeeeeaeeina
CHRONIQUE REGIONALE
haute.Garenne
SA iNT-ti AUDENS
CINEMA. - Aujourd'hui iv 4', en soirée, à
8 h. 45, avec le concours do brillant orchestre
du Cinéma Pathé mi compte, Risqueront le film
d'aventures angoissant ...Le Flutehax. I. Roi de
l'audace. Specacle de farralle de gut Premier
or., Programme musical composé d'oeuvres
classiques et adaptation inualc,de. Prix ordinidre
des pis.,
LAUNAGUE'S
GRANDE FOIRE ANNUELLE. -. Notre
mande foire annuelle aura lieu cette année le
15 octobre. preebein. /Vaut nit Présager que son
imotepnee Psemsams mime. Lm
produits agricoles, les diverses ohIadI,, et les
sem,. dol. tome e seront en abondance. Lee
000nai.oanis siondrent nombre). pour faire leurs
Demandai
installations.
Rien ns sera négligé pour que vendenrs et
Dans tons les g/es
mem. soient pomme. mimes.
Comme d'Imbiorde y mea un asand bal. La
jeunesse des deux sexes treuxera, àrooeasion
LAFRICA1
de la grande foge les ,tmetions et les distrac.
tions do bon trvait oui lm sone favorites.
APERITIF A LA MANDARINE
,WB2qLéi0 b FAUB.»
Wou: urinaires - tore I lion LIMMIlliert
Haint-imbroix (Gezdl
LIMMMELLE, S. vue Réannt
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
THEATRE DES NOUVEAUTES. - In, triomphe
d'Alrben eentinoe, et d'ee tout To3ouse
ij

Orell=rallk
MMES DE LA FEUE
LA flIÉTRITE
Il y a une foule de malheureuses qui souffrent en silence, les
unes parce qu'elles n'osent pas se plaindre, /es autres parce
(m'elles ignorent qu'il existe un remède s leurs maux.
Ce sont les FEMMES atteintes de MÉTRITE
Cellesei ont commencé par souffrir au moment des regleI.
qui Halent insuffisantes on trop abondantes. Les Pertes bloc'
Glaset 1. Hémorragies les ont épuisées. Elles ent été suettes aux Maux d'esta,
mae, Crampes, Aigreurs, Vomissements. aux Migraines, aux idées noires. Elles ont
ressenti d. Lancements continuels dans /e bas-ventre et comme un poids énorme,
qui rerfflült la marche difficile et pénible. Pour guêrir la métrite, ta femme doit
faire un usage constant et régulier de la
JOUVENCE de l'Abbà SOURIT
qui fait circuler te sang, décongestionse les organes et les cleatrise, sans qu'il
soit besoin de recourir aune opération.
La JOUVENCE. de l'Abbé SOM' guérit somment, mais a /a condition quel!'
sera employée sans intorruption lot Ou dispmitlon complète de toute douleur,
'FOUIS temino sono.use de sa sari. doit employer 1s JOUVENCE de l'Abbé 80050
a des intervalles réguliers. si MM veut éviter al guer/r Métrite, Fibromes, mauvais.
SUlt. de Couches, Tumeurs, Cancers, Varices, Phlébites, Hemorroides, Accidents
du Retour d'Aga, Chaleurs, EtpUffensents, sas.
Il est bon de faim chaque Jour des Injections avez PliVCIEIIITINE dee LiAters.
a bella o 4 ts, eo,
reel?isalgr ce a
relui 6 fr. 05
eferpi,= b .knrorre, la e=?I'era:
Bien exiger la véritable JOUVENCE de l'Abbé SOUR)/
out dott porter Io portrait de l'Abbé Soury et ta signature Mag. 005555510erougr
Elle eut ensuite un ex-sergent aux
tardes du nom de Lavandière, avec lesuel
elle vécut quelque temps et qui la
5attait comme pl He pour la moindre
des choses ; traitement qui semblait
Iort lui plaire, car elle adorait le souffard.
Puis ensuite encore, elle eut
fermier général, un toreroementun capitaine
de mousquetaires et quatre ou
Jing durs ou marquis.
C'est au momenl ois elle venait de
nuitter un de ces derniers qu'one fit
jà rencontre du vieux cherlier de La-
Hsgonuais-Percy, joueur effrér4é, qui,
tillent habituel du tripot tenu par le
:comte du Barry et quelquc peu sou
Ossocié, vit tont de suite le parti qu'an
isourait tirer de cette séraphique et rom
plaisante beauté et l'amena au salon
atteres Nouvelleht (2 heures #fu matin)
In drame colonial dans le désert Un complot à Bucarest milieux politiqu8s 8, P9riri detriels
en faveur d'une Pouttque
tion qui permettrait Forait il de rendre
LE. MASSACRE DE PLUS DE Londres, 10 octobre. O é quelque ateivité à l'industrie.
I
60 TIRAILLEURS
Bucarest que la Sûreté roumaine a &cou- La situation de l'Etat-Libre d'Irlande
RESil E ANS EOLARCISSEMENT vert un complot dirige contre te président s'aggrave également. Au fer octobre, il
OFFICIEL
du conseil et plusieurs Ministres, à /a vie Y avait 12.007 sans-travail enregistrés,
La presse d initie:nation a cherché une desquels os devait attenter anjourillmi
ifaible explication au massacre de la De nombreuses arrestations Ont été opé-
't,lonne de troupes françaises au Nord de
rées.
Les élections en Autriche
.arnbouctou. a Nécessité de patrouiller
Londres. 10 octobre. Ors mande de
autlour des points d'eau a, dit-elle.
Xiimine que la campagne électorale a SUI,
j Nécessité antssi de faire pâturer les mé. Le chômage s'aggrave mener. Les elechons auront Ise, ic 21 oc-
saris loin. des pâturages que possèdent
mole, Lee partis gouvernementaux, les clé,
.es civils de Tomboucmu. a fout cela
ricana el nal ionalistes allemands s'aeltar-
n'est guère plausilsle. Les faits sont là t en Angleterre nant contre les socialistes' lesquels Pt,oixante
tirailleurs tués, dit le cuir/muni-
Donnent les dlecieurs fp» le maintien au
etié officiel, vraisemblablement mudes-
porvoir des cléricaux réactionnaires et
mas 'de la vérité.
Londres, 10 octobre. Le chômage
C'est un peu plus que l'effectif d'un s'étend d'une façon inquiétante en An-
mpie peloton de méharistes. De plus, gleterre. A Newcastle, y 020.015 chi/-
gis tirailleurs sénégalais ne sont pas meurs enregistrés et les travaux de Hantc
pontés. Ils sont accompagnés de spahis ways, de quais et de voies de corn/muni-
taharinns qui ont pour mission d'éclairer cations entrepris par la municipalité
muret. de la colonne. Spahis et Mail' n'utilisent qu'une faible partie des sans.
.
usntvraseblblemt été anéantis
ger nu rom.. Mais qu'est devenu le ou Dans le Yorloshire, le Durham, le Noitt-
, olifIci,gui gemmandaient la colon. humbedand il y a 257.649 sans-travail.
'e ? Dans quel but le ministère des cc- A Bradford, le grand centre de l'indus.
trie de la laine, il y a /6.811 chômeurs
/ornes ceche-tôt E verste ?
lin neuyeau communiqué nous maton- dont 4.000 ouvneeres.
m que E rezzou touareg a été rejoint et Lo ministre du travail annonce aujout,
ttaquii par des troupes de poursute, au d'hui que le Comité ;ministériel du Tra.
nord du lac de Paguigine Le butin au' rail siégera presque en permanence et
Pli été reptis. Mais à quel Prix ? P. qu'il n'attendra pas la réunion du Parle-
rle morts se acide ce nouveau ment pour publier une décision.
Un courant se remarque à la fois dans
des
ture Iseliuco
A LA C.G.T.
Innuroite deses
nationalistes allemands est une menace
pour l'existence de la Itépubliq ie.
tc parti du lic Setpel a conclu un parte
électoral avee les monarChiste,
0:1m4 les cerclas parlementa."r atith3vidons.
omIsse croit pas que ace hm,
apporteront un chanement ismis.1aut
L'ancien Parlement autruihien oitiUt
ion èle 25 cléricaux, Hl soeMisle, 21 alientands
mitional.tes et 1 tiniauStes àgrA
riens.
r.e nombre des députés dans le nouveau
Parlement Scra réduit à /ni ao list de
RH.
>
LA isuf y: TREMBLE
Bruselle, 10 .tobre. observatoire
d'Uccle a enregiatré aujourd'hui, à 7, h. 6'
12. une secelisse clmmiqu0 MM! lu forer
doit se trouver au nord de l'Islande.
suite.s
fection, causée par des beeil du rouget,
et _bi,,,erstetttiniin,00ntiloanist également une de ses
PaGs, IO octobre. Au cours de la rc,s la suette ide la fiancée, des suites de
salie° de te Inatin, le Conseil national de
la C. G. 1'. de la rue Lafayette, a rejeni
Dans les deux ras, Rubor ittait intervenu
eenducIlo,finripmuilearnbo.ér,alêrj,ep,,eett eil,.staitml0i0v1eré.
pot,
ou,riDA cédant.. a pluricurs riepriSes, pins traitent, avait averti les autorités, mais
violent, La même nuit, les écpu,
-
furent mal.ades et Haber aurait profité di
l'occasion pour voler les bilons,
Le lend.nain matin, le5 Crinun voulu,
cent se rendre i, la ville pour avertir les
autorités et le mari s'aperçut alors que son
automobile avait êté sabotée pour promener
un accident; un êterou de la coi.
mai>. da direction avait été enlevé et les
l'enquête judiciaire ne fournit aucune don- Ocre-50mdes rues arriére avaient été dé-
Le Gunité confedétal national a voté, née précise et l'affaire fut classée.
sserrês.
ensuite. après un as,ex long ihibin
L'an dernier, M. Rcinkt eut la même af- Quand Roture fut arrêté, il était sur le
Ire résolution relalive à la situafection et l'acte ;Fu ration prétend que point de s'enfuir en Suisse.
tion extérieure et aux réparations Dater provoqua le en procèdant sur L'accusé reconnaît le vol des bijoux, ragir,
Cotte ri.Oluton reclame flot:lm-Ment le pied de son futur heatl-Pao il des ...- il contestes les crimes et Les tentatives
vertu., des négociations immédiates mimsages. au moyen de liquides contenant des criminelles. II prétend ovale eu du poison
a. cumètruence do la ve,a ileu de la ré- linéales nocifs et provenant d'un bouillon potir tuer les renards d'une chasse qu'il
sirt ana pas,iAe.
Or cul., du laboratoire.
possède dans les environs de Munich.
I,, detaut s'est pert t sur le =Id put arc sauve, mais au coin- Il Prétend avoir gagné sa fortune en spélouée,culations
et mir les chomps de courses.
situis rep.ihes des attaques d'un mal étron- Pour le procès, il n'y a pas monis de
LES CAUSES CELEBRES Fe et 11 succomba à von tom. L'autopsie ré- quatre-vingt-Holm témoins et on compte
vela qu'il avait été empoisonné par des que les dPbats occuperont une ;mimai.
doses sticcessivcs tneide arsénieux et Hm de jours.
ber rai fortement soupçonné d'avoir commis
ce came.
L'étudiant empoisonlieur Il convient de noter que 11tudiant avait
épousé entre temps la fille de Relmll et ItitECTIMOITE
qu'il est ainsi devenu possesseur d'une im- 1E4GLAIRADE PIECE NUISILI
Iquideli, IO oetobre. Devant la Coati d'assisses
se juge en r moment une affadre
portante fortune.
UULUNFAINI
el-indue/le, h Lamelle la personnalité de Sur cette grave affaire, s'en est greffée PROPRETE 01(GYENE annexa
Paccuatt et /as faits tris à sa clouage, don- une autre. Haber est accusé. d'avoir tenté
nert un iutèrilt Harlicullea. Un certain Ro- d'empoisonner poisoner les époux Grimm,, u cou
(XIMMUDITE
bert Itulacr, andiant en chimie et prépaple et hes amis et leur avoir volé des h1 SEPRICES/ON COMPLETE DE RISOUBI
cerna nitailtà an lattocanaire d'Am grand PMU