lame-quatre heures d9entracte - Bibliothèque de Toulouse

ME ANNEE N. 6.92Z
ABONNE_I5IE-N.13
12 fr.: 6 nana 23 te.; I e fr.
Les 28 Jours
Tandis que le ministère démistandis
que le président de
gépubtique est mis en demeure
de l'imiter, un
des derniers actes du
ander-se de la guerre a passe inaperçu.
Il intéresse cependant un
grand nombre de citoyens, et il ci
une portée d'un ordre général.
Le 24 mai, l'état-major de ne-
;née a porté à la signature mhilste-
rielle une
circulaire, par laquelle est
ordonné l'appel, à partir de septembre
1924, d'une partie des réservistes
de la classe 1920. Le ministre a,
bien entendu, donné son approbation
à cette mesure. Nombreux sont
déjà les intéressés qui ont été avisés
de leur convocation, -- soit à
leur corps d'affectation en cas de
mobilisation, soit à des ussités actuelle/aient
stationnées en Rhénanie
ou dans la Ruhr. Hypnotisée par les
événements politiques, qui se succèdent
journellement, la presse n'a,
pour ainsi dire, soufflé mot sur ces
dispositions, cependant plus que discutables.
Au point de vue légal, rien à dire,
sans doute, en ce qui concerne
Ine8 plus au temps ois les réservistes
cherchaient à se soustraire aux
appels ; en 1824, il y a cent ans,
Sous la Monarchie, le gouvernement
al/Pelait 21.000 vétérans, et se trou-
'tait en présence de 6.000 réfractai-
Tés. Les armées de /a Répuldimte
n'ont jamais connu pareille situation.
La sécurité de la France n'exigeait
Pas cette convocation. La majorité
de la Chambre vient d'être élue sur
Un programme de réformes, programme
qui réclame, entre autres
choses, la réduction de la durée du
service militaire ; cette réduction
Culminera fatalement la diminution
des effectifs de l'armée permanente.
Nous avons, en d'autres termes un
affectif de l'armée permanente su-
>rieur à celui qui existera bientôt,
IOrsqu'on fera moins de dix-huit
tnois de service. L'appel prescrit ne
Pond donc pas à une nécessité
accroît, tes effectifs pour garas-
In :sécurité du pays.
est, enfin, illogique de faire se-
"'Matir des périodes avant de savoir
P'lle sera Porganisation même de
enée. Le Sénat doit statuer sur
q41!".Ie15 d'organisation, bâclée en
aé_res séances à la Chambre des
8.16s, Se. Projets ne peuvent rée
Rédaction et AcLoinietrotiest 36, Rue Roguelaine - TOULOUSE - TéL
BUREAUX A PARIS 46, Rue da Tsivise. 46 (Ir Auroadisreemeut) Téléphone s Beepre esos
Aujourd'hui tout sommeille. Ou
dis moins tout le monde est dans
l'attente.
A proprement parler c'est Tente
acte.
Il faut, pour seoir du nouveau
que, le nouveau président de lit République
donne signe de vie.
Ce nouveau chef datai sera Al
Painlevé. Aux dernières dépêches re-
MES', Ms élection ne fait pas de
doute.
Dès l'instant que nous nous résignons
à avoir un président de la République
asservi aux usages, règles
et Raderions de la Constitution, nous
aimons mieux y voir 3f. Painlevé
qu'une créature rancie doublure de
M. Millerand.
Sons doute se souviendra-t-el qu'il
nous doit son élection.. S'il l'alibi
ce sera tant pis pour lus apparement.
Quoiqu'il en soit, M. Pairelevé fera
samedi appeler M. Herriot et lui
confiera le soin de constituer le cabinet.
Ce cabinet sera formé de radicaux
et de socialistes indépendants dans
la proprortion de 3 à 3 si les forces
respectives de chaque parti au sein
du Parlement servent de base au dosage
ministériel.
Jusque Id, rien de compliqué rien
de délicat.
La minute difficile sera celle de la
présentations du cabinet Herriot.
Difficile pour les socialistes plus
que pour quiconque. .
Notre Congréa de Paris du 2 juin
« bien voulu adopter la tactique dite
politique de soutien e, qui permet
aux élus socialistes au Parlement
qui permet, mais qui n'ordonne pas
soutenir un catin-lei prêt à réaliser
le programme tracé c grosso
modo s par M. Herriot dans sa lettre
â Léon Blum.
Mais la réalisation d'un programme
est liée à la personnalité des exécutants.
Privé sien socialistes, M. Herriot
trouvera-t-il clans les deux autres
groupes de gauche en nombre suffisant,
des hommes d'envergure capables
de redresser une situation si
compromise par le Bloc National ?
Que m'entende bien. Des homnies
déjà connus. ir des vieux ), puisqu'il
faut les appeler par leur nom,
gen a certes.
Il g en a trop, sauf te respect que
je leur dois.
Ce ne sont pas des vieux que le
peuple réclame.
Ce sont des jeunes.
SOCIALISTE
nuoonooaueounnuoen aaaaaaaa notuoussmeaulnal.
lame-quatre heures d9entracte
L'âge d'ailleurs da rien à voir
dans cette al faire.
Le vieux c'est l'homme è brûlé r.
Le jeune c'est Blzomme nouveau.
Le peuple octet du neuf.
M. Herriot en -t-il assez dans sa
boutique ?
Toute la questions est là.
Il est clair que s'il nous sortait trop
de rafistolage, trop de maquillage,
sucs élus socialistes, malgré Tautorisession
quils ont obtenue, reeprouveraient
aucun enthousiasme à soutenir
mordicus, pour le seul plaisir de fui
re enrager la réaction, des hommes
que les précédente cabinets ont pu
«contasses avec //OS piges ennemis.
Leur enthousiasme serait si faible,
qu'on le verrait ibentôt transformé
en déception.
Et de la déception à la défiance,
iln y a pas loin.
Que les maki= se le disent.
Nous n'avons aucune prétention
sri, ni aucune disposition à la prophétie.
Mais je suis certain d'être ré-
°ho falele de I« pensée socialiste.
Nous voulons soutenir l'entreprise radicale
à la condition que les maçons
et les architectes ne soient puma
vieux artisans deja déconsidérés par
des oeuvres grotesques ou simplement
médiocres.
:la demeurant, attendons. Après
avoir donné ce nécessaire avertissement,
il convient de ne point expri-
. neer des hypothèses sans fondement
sur le cabinet de demain.
Son chef nous inspire confiance.
'C'est un honnête honune. Si ses collaborateurs
sont taillés sur son patron,
du bon travail pourra etre
amorcé. S'ils sont de mauvais cartelu.
eurs, but ms pour loi et pour
eux aussi. Nous n'avons pris aucun
engagement au sujet des persona,
Peul-être avons-nous eu tort, notre
congres du 2 juin a-t-il en tort de
n'avertir point les radicauxx de l'importance
que nous attachions nu
choix des hommes..
Mais sans doute nos congressistes
ont-ils jugé cette précaution instille,
Noua verrons bien nans quelques
jours s'il n'y a pas eu là un fâcheux
oubli et un optimisme un peu naïf.
Lean HUDELLE
La Situatîon
les périodes imposées aux hommes
des réserves ; la Chambre défunte
a voté des prescriptions qui se résu-
s ment ainsi e leur nombre et leur
durée sont fixées par le ministre de
la guerre s. M. Maginot peut dire,
en conséquence, qu'il n'a fait qu'user
d'un droit
Il y a, cependant, une série de
considérations à ne pas négliger. Au
point de vue instruction, la classe
1920 a quitté les drapeaux depuis
moins de trois ans. Rien n'a été
changé dans le terre à terre du métier
militaire ; il est donc inutile de
la rappeler. Il y a plus cette classe
fait deux ans de service, tandis
qu'aujourd'hui la durée du service
militaire est de dix-huit mois. Son
instruction doit, par suite, être supérieure
à celle des classes d'anion,
d'hul. D'autre part, si cette classe
est restée six mois de plus sous les
: drapeaux, ne serait-il pas rationnel
de tenir cotante de ce fait,
s'agit de lui imposer un nouveau Siljour
sous les drapeaux ?
Lors du vote du dernier budget,
les crédits nécessaires pour cette
convocation n'ont sûrement pas été
votés. La Chambre nouvelle n'est
certainement pas disposée à voter à
ée par nos iotmréres ne gauche
ce sujet des crédits supplémentaires.
Serait-ce donc la carte forcée ?
DU QUOTIDIEN
tout cm, le vent qui souffle ,depuis
(Pierre Bertrands
le 11 mai, est heureusement à
li ne doit pas s'y tromper s la force cad
l'équilibre budgétaire ; pour y arri-
t'abat, ce n est ni un journal, ni une
ver, une compression énergique de
assemblee.
Mines /es dépenses s'impose, surtout
CENT LE PAYS.
lorsque celtes-ci peuvent, sans su- revoir l'approbation d'un ministère Dans un moment où les élus tergivermo
doute, être ajournées. Il n'y de gauche. Ils seront sûrement resaient encore, se demandaient ansien. si
l'heure était venue, s'il
avent pas à tenter ime expérience visés.
n'y avait pas
prudence à dit:serer, sic'étan à prop.,
Pour savoir si les jeunes classes, qui Cette convocation répond unique- si c'était conforme à la règle et à la t.a-
Sont pas fait la guerre, se rendaient ment au désir de mettre immédiadition, si c'était politica,' si, esfin, il na
compte, comine leurs aînées, de toutement en vigueur toutes les disposi- serait 11C3 cloue sagesse panfonde te c'en
tes leurs obligations militaires. De- tions prescrites par la loi sur le ne- I remett.e à l'avenir du son de nrotéger
Pins la campagne de 1870, l'exécu-
effeasernent le ..égirne menacé, le pays.
crutement ; or, cette loi, tout le nuis_
tion des périodes de réserve était eus-
bd, n'a pas hesito.
de le sait, est déjà froncée de cadu- Il bée dans tee limeurs de la nation
a réclamé, d'une mi, de phis en
cité. La mesure ordonnée par le mi- plas iinnéneme, une invenIef etc smetion.
avec mie armée constituée par l'esnistre démissionnaire est te nrsimat C'est cette remue eni a tont eennerté.
des citoyens aptes à porter
mutile
d'une crise aiguë de militarisme. Fas-ore tent reonhes ters
les arnies ou à servir, nous ne SOM-
En résumé, la classe 1920 n'a nul
les rnarsdatire:s ent entendu et esseeeis.
La crise, c est la vele-té nenslaire gel
besoin d'ule convocation de réser- re faite ers; va, dans queklues insvistes.
Le ministre de la guerre de tants, la ti.orrer.
demain a donc le devoir de défaire, DE 1209E Nr211VFILE
par une nouvelle circulaire, ce qu'a
(Cesreex
inauguré malencontreusement le ministre
d'hier. Vrai/rient, M. Alexandre Millerand est
al4m-tave des plus essentieles élégances
Général SARRAIL, de l'esprit.
e......te.ea.
La politesse des chef, d'Etat est de ne
faire atterelre le peuple.
Le peuple attend, depuis le 12 mai, la
démission du prInieent du Bloc National.
Les prédécessetm immédiats de M.
Millerand, Dindes X, Louis-Philippe ler,
montaient, nuitamment, en berline, et
n ergotaient pas.
... Voici tantôt un mois que M. Minerai,/
plaide devant »es juges.
C'est le 12 mai, au petit Your, qu'il au..
rait dû démissionner.
Mais non. Un mois de distingo, on
mois de ruses, un mais de supealicatiens
et st Thétadre Steen avait fermé un catit'
aurait tenu bon jusqu au
mt,,Alexandre
'La personnalité de M. -Millerand
n'in:Anise pl. ne:sûr:ne. ni en Er6nc,
ni à !étranger. L histone de ce vague
poPticiers qui se cranenonne aux fauteuils
dorés alo garni national ne provoque plus
seme des haussements Il dun
Va uar I eso.alser de servne.
Pensnrs à son n'ex:esse:1r.
Les Cruelrs sert maltresses de fêlestiem.
si elles pratiquent la rigoureuse di:s-
cies,
D1.6. réerreasatt, lieu l'embraeuse
d'une foorfie le verfil attentif de M.
R3C3,73134 F'oincsi.S. L'homme est a
a,vis.(lent miam nese,str de reeerri.e
Je vous insnale son emle.carle.
DE PARISSOIR
(H L.O.Fronardl
En refusant de collaborer avec M. Mit
lerand, président de combat, elle est davs
son droit. Le discours d'Evreirs 'était un
acte, il engageait dam la bataille nies
partis le elnef é0 l'Etat. Nul n'a pu se
nnamendre et M. Millerand moins ese
core que le plus hereLle citoyen ser la
pertée de miel ente, accommli en violation
de la Cnnetibtion. Lorsque le PrésMent
de la RAnablicare, au erlipris de ses devons,
redevient sm panisan, il s'engage
I, subir le sort du parti aunise/ il attache
sa ort ne.
Le Men netional.et vaincu. Ors essaie,
te' ollotos .t..t,t,er,es d'étape
oeil a frc3,VC, SI on s
a la eirerernitien des servages, In ecefinen
ce do naos. R;en de plus fou. Nem 'té.
evveuvom,c,uc, Tm le minimisé ale au.surhe
est lie noés d'un ri:4;1;os et demi A- min
se en total de neuf mitons desnffrages
evarimés,
borscs5ls4 g-Venantes. La virteire de»
fereoi ela déesneestie est éclatante. On
es:kt.e de M. l'avait
cramaSs, ni il tire, en ce oui le concerne.
lis corsé-rue-mes c dma, scrolm
qn; l'astoint u.sonnerement.
(511-art à /a Constiseloa, clic svAto hors
de ce dent et la politique dr Cartel en
assmera le respect.
ta desisslon est accorlie
Paris, 1 1 juin. Le conseil d. ininis-
Des s'est réuni à II h. 30 à l'Elysée,
seu la pr.idence de M. Millerand. M.
Millerand a lu au conseil la lettre de démission
qu'il adresse aux pa...sidents do
la Chambre , et as Anet.
Voici les termes de cette lettre ...
s M. LE PRESIDENT, J'AI L'HON-
NEUR DE REC,JETTRE SUR LE Hi-
PEAU DE LA CI4A8:13RE (OU DU
°",NATI ImIA DEM1c6ION PRESI-
NT DE LA REPUBLIQUE FRAN-
ÇAISE.
« VEUILLEZ AGREER, M. LE PHE-
SJ.DENT, L'ASSURA.NCT. DE Mal.
HAU1E CONSIDERATICN.
UNE LETTRE AUX FILANÇAIS
M. Alexandre Millerand, redevenu
simple citoyen français adresser, cet
après-andi, à ses concitoyen. une lettre

Bertrand alun, Louis de Nicolle.
Oberkirch, Poque, Paul Simon, Perau
Perinard, Pernot Perreau, Pierre Pra-
dier, Angéla Peyrou.. Pflegen colonel
Picot, Plata Plactrenault, lieutenante.
lonel Plterhon, Poitou-Duplessy, Poussi-
aman, PreveteRaboutin, do Ramel, Regis,
Etienne Regnier, If. Regnier, comte de la
Ribeisière, Iticolfi, Rillarr de Verneuil,
Mese% Barghtelemy Hein Rodhereau,
Pollin, Roquette, des Itotoute, Reulleau-
Dugage, II. Saint-Just, général aie Scheer,
Sehleiter. Robert Selnurnan, Thomas Seltz,
vene, Silberman, TM. Soulier.
Iraittinger, Toton, Vassal, Theverty,
Theumyro, Thuau, Tinguy du Pourra de
Treminlin, Joseph Vidal, Villaut-Duch.es-
Mea, Villreoarh Filmile Vincent, Violle,
Waller, Waren, waren, FrfintOiS de Wen-
del. Guy de Wendel, YbarnegalMi
N'ont pas pris part au vote MM. An-
litettivant, Barra, Ancléé Eerth.on, V.etor
Bora Barrer, Boudera, J. Boyer (11501e-
Loire), Brunet, Cam.et. Charlot, Ch.-
vin, Obotlet, Dehy. P. Dignac, Dutreil,
Main, Faisant Liaaparir, B. Paté, Jean
François. Ch. Lobeucq, Lenoir. Louis
Meyer, Victor Mbrel, Outrey, Painlevé,
Raoul Péret- Pentfils, Pue., Saumande,
Severe, Si-bille, Vaillant-Couturier.
Absents par congé r MM. Bouligand,
Fould, Ignore Salmon.
M. Antoine Baal. porté anime n'ayant
pas pris part au vote dans le saurin ci-
dessus. déclare qu'il ôtait momentanément
absent de la salle des néaPCrs et que, s'il
avait été présent. il aurait vote pour.
[8 irnsmission des poules
Paris. 11 juin. - Cannent s'effectuera
la transmission de pouvoirs Péésidentins 9
Depuis /a fin du septennat de àl. Loubet,
Celle transmission a eu lieu, pour le prési-
dent Fallières et le président Poincaré, à
UElysée, on présence du bureau des deux
Chambres. Celle fois-ci, la procédure sera
différente, la vaminee du potlatch' exécutif
étant ouverte par la démission du presi-
rient Millerand. Depuis aujourdbui, et dia
la lecture par les ,présidents du Sénat et
de /a Chambre de la lettre par laquelle M.
Alexandre Millerand annonce qu'il démis.
rite pouvoir exécutif passe
ontre les mains du conseil dcs ministres.
C'est h Versailles, S l'issue du vote de l'As-
semblée natiemle, que le gouvernement,
par l'ordre du président du conseil M. Fran-
çois Marsal, fera la regnise des pouvoirs
au nouveau président.
La cérémonie, Bès shnple, aura lieu dans
le bureau du président de l'Assemblée na-
tionale. Il François Mareth/ prenant du
président du congrès le procès-verbal de la
sean,ee, en donera lecture à l'élu et pronen-
etre une courte allocution. Le nouveau chef
de Pad lui répondra et ainsi investi, il
grignera l'Elysée.
Aussitôt sa démissien remise entre les
mains des présidents de la Chambre et du
t- rut, M. Millerand redevient un simple
drag Il quittera les appartement qu'il
aiIIe avec sa fronitle à l'Elysée dePuis
9: do stintrindiro 1920. /1 ira habiter Ver-
sailles, dans la maison quit possède, 10, rue
Mansart et d'on chaque jour il gagnera le
bureau qu'il avait ensascrvé avenue de Vil-
lars, 2.
1 e Ceasres de Versailles
IL AURA LIEU DEMAINI VENDREDI
A 14 HEURES
t'Indium dtiIfi>,rsadles
Man.. 2
soffe, Monodie, de Monicault Edgard Mon-des prolemenrres. elle du
thieu Guy de Mond., Eugène de Muller, aln.. de diaposer asthme foie élg 11 n'aurais sauf
le oes de haute trahies, rendre des CMIPlea
sASAIAAMIM Ovmult la derée de son eemsenat.
tige ddomion inapuée per l'esprit de MM
quelques meneurs vient es jeter bas cette
tie. Sot,, leur pression, dee réunions extratipar-
lementeires on/ déclaré que le préedem de la
République ne plaieans pa8 à la majorité de la
Chambre nmrvac, devait se retirer immédiate-
ment, sans attendre le renne légal de os. man.
ee. Présédst redo..ble qui fent de le présidence
de la République l'enjeu dee lattes Rectorales,
qui introduit, par un détour, le plébiscte dans nos
meeurs polinaines et qui armee de la Constitu-
tion s Seul élément de stabilité et de continuité
qu'elle renfeemait.
J'errais cm cornmetre une félonie en me fai-
sant - ne fûtke que pas mon inertie - le
compiice d'une nouveauté si grosee de périls. J'ai
résisté. je ne cède qu'ale., avoir épuisé tam. 14
mos-ene 1.aus en mon pouvais. Dem., dane
k ina, aux dités dee bons citoyens qui Ment
de Pm. las Polm de, SV, atére* Fencoarage-
mem précieux de leure sympathies, ie reprendrai
I, haie pour la liberté, pour la République et
peur la France.
Paria, Il juin 1924.
A. MILLERAND.
Les conversations dont pas été moins aerives
pendant toute le joeunée eu la question du fu-
gue Président de la République que se, saï.
du Président au ou vient de :milrnequer.
Encore que M. Painlevé set, pans rElys6e, le
favori, les pointeurs manifestent queree réser-
ves am lee ohanees de son Umtion. On calcule,
en effet, que suivant le nornbre des présente en
Congrès de Versailles, le Majorité absolue sera
Os 430 a 430 volx.
Or, de comté. douille peut disposer M Pain-
levé à L Cl:ambre - exception faite dee corn-
mumetes qui votera à l'unanimité Mar MRIlY 1
M. Painlevé ne peut obtenir que 310 voix. Cr.
bien de voix sê porters:st sur son nen an 00.
0180 au pIrs, soit, en tout 390 voix. Il lui
000 0101 donc d 40 à 50 voix mu olvent
inajanté absolue au remise tuer
Au Second trmr, la mejorité absolue ast encore
Dournerte a'i/ veut se présente,
aurait, des las aineicam, chorées. Mou é le voudra-
t-i/ i Den, la cas contraire, On surmonte les
. d'ordeltiere poeildes : MM. Céorges Lay_
eues, Raoul Péret et Panas
Ma' Ils
sa
approuver un texte dans lequel le Cnn-
port sur le an/ de vie, M. Mance telt/man
sent coma," des hares de ...cierges, cha"n sais
..k.
La nonvollo élucubration
de l'expulse
Péri. éxim - Alsrés son, reale sa deitia-
sion de président de la République entre /es
mens .8 préside. du Sénat et de /a Chambre,
M. Alexandre lthIlerabert redevenu sunp e e,son
pen, 0 tesSessé à erm ...doyens la lettre prtbliqns
dont voici /e leste intéérel.
Mea ohms concitoyens.
An moment où je remets /es Pon.eils que
FAssemblée .nationale me conféra MI PIM dos
trois quarts de ses suffrages, le 2 septembre 1920.
je Veux m'adresser à vous.
Premier magie,al de la RépuNique, appelé, au
lendemain de la pl. cruelle ét de la plus ala-
Perme des guenee, à veiller eur les destinées de
la France, je mvais que vas vécus vmanimes se
résumaient en un mot : la pais. La paix au de-
hors par l'accord avec nos alliée, par la dévelop-
Pement ales ententes internationales. sous
de la Sosiété dee Natio.; Pas ,ca'aAMM
traité d. Vermille, qui devait nous garantir la
sécurité et les reprenons: par Lairelatiou des
mies diplomatiques qui ont créé l'Elisa. nou-
elle. La paix au dei., par l'oubli dee dissen-
sion:, intestines davant-guerre; par la respect
eroyancee et d. cpinicasi par la psdection
Ce tons les didu et les intérêts légitimes dans la
tranquilité, le travelç e l'ordre; par la pour..
incemante du progrès matériel et moral.
En même tempe qu'a appliquait ce programme
le gouvernement ne pouvait oublier L dette s5.
crée contractée par la Freme eee régions
.dévastee, comme à l'égard dm addmiss de
M'erre. Pour l'acquitter, L contribuable français
'a pat: avancé moine de cent millierdo aux lieu
'Irisas du débiteur défaillant.
Tous les ministère, depuis celui que j'eue
Fhonneur de présider, se sont consacrés à lieu-
s, que je viene de défi.. Pendant ces quatre
années, le monde s rendu homme,s au specta-
cle impreseorment offert par la Passe, laborieuse
nussi cogmgeuse devani les tâches
de Is paix que devant les épreuve, de la guepe.
Le Il mai dernier ont eu lieu les élections ené.
sales. Fidèle au peemiet deveir de Préed.nr de
République 001 eàt le repent scrupuleux deo
vol.-tés du suffis, universel, je me suiS tourné
vers lei hommes politiques qui/ avait désirmist
j'entendais collaborer Ove< dus sa trmte BiNe.
à .le gestion des affaire' Publiquee. A mes offies,
il, ont répondu par un le/us. Ils ont exigé ma
démission, prétntion ininstifiable, videmmeni.
tvridéo O l'estant Cm.s là lettre de te, lei
sonetinalomelle. Si notre Conentuteon remet le
Ohms du chef de l'Erne uniquem.t aux ms.
LA CHAMBRE
Paris, Il juin. - La Chambre, aPrès
avoir mis connaissance de la Ettre de dé-
mission de M. Millerand, s'ajourne à sas
medi, 15 heures.
Le Congrès se réunira à Versai/les,
vendredi à 14 heures.
<
Le CONGRÈS
de l'Union fédérale des l'Avilies
LA DEUX/EME TOURNE&
(Correspemilance particulière du a Midi
Socialiste a).
Arras, 10 jum. - Le congrès de IU'nion
fédérale des mutilés a repris ce matin ses
travaux. Dès O heures, /es congressistes
etaient au travail.
Le programme était três chargé. Les
questions b étudier Tort nombreuses. La
compétence des rapporteurs Lehmann.
Cassin Liehot, Viala, le docteur Grasset al,
lait permettre d'aboutir rapidement.
A la première corninission, M. Cassin,
après avoir fait un luniineux exposé de
jurisprudence des pennons, invitait les fé-
dérations t nouer tes liens permanents
avmc. les meilkursf avocats spécialisés et à
envoyer les décisions /es plus importantes
prises par les cars réeonales au siège
de 1 Umon federale.
A /a mate commission, la Fédération de
taon faisait émettre pa rie anaPa un vu
aux tertnes duquel les enfants S Imita des
Inutiles et réformés de guerre soient adop-
tés par la natron, sans distinction de de-
mi, es que les titulaires de pendons conti-
nuent h percevoir les majorations pour
les enfants /asque ceux-ci seront recon-
nus atteutts d une maladie Incurable les
rendant inaptes A tout travail.
M. Fontennille, à la deuxième commis-
don. reconnaissant comme des plus ur-
gents la création de maisons de retraite
po.ur invalides, invitait l'Office national
ria mutilés à mieux faire canaitre l'exis-
tence des maisons de retraite déjà exis-
tantes et à d'al; des maisons de retraite
régionales S mi-artère civil là où le be-
aie s'en fera natta.
M. 10 docteur Arno/ a fait une inféra-
sante démonsirdion da fonctionnement
du bras artmmel créé par
L'examen de la loi de 1901
La loi de 1101 donne-belle satisfaction
aux associa-tiens des Victimes de Ise guer-
re f Tetio est la question posée par M.
Marcel Lehmann dans le repend Pre.eldê
par loi si la 3. commission. Il ne peut
tains faire de remarquer que le législa-
teur a conféré le maximum d'avantage et
eerrs'sYnen'tterx Der i;r"Isrei:
analogues étant rendus par les groupe-
ments tramages combattants et des victi-
mes de la gara, il y aurait lieu de rédi-
ger ana propinition de loi permettant aux
dites asseetations de benêtider des avanta-
ges animes aux syndicats par la lot du
lad nia. 1920.
le Congre, donne mandat au bureau de
l'Union Féderide, d'accord avec ses con-
seils -juridiques, de rédiger cette proposi-
tion de i0i.
Présentant à la 1° commission, un rap-
grèS, etlnéldéranf que nedgrà les difficeies
financifireS des relèvements de crédit 05
été fout récemment consentis au profit de
certainha catégories de créanciers de la na_
lion, demande I exécuta marner/mie des
engagements gitan. pris h l'égard des
jersionnes de la guerre.
In serenuMmon III. Le.dinann
censtatant qu'aucune Mesure efficace 2.A.A
OIS teint à l'égard des proftteurs de la
eenir 'do'eCfoiotiugirrèseZee' 'Idirten'''mnodtioent
mandant fa poursuite impitOyalge de tous
les prefiteurs des malheurs de /a nation.
La troisième commission alois h étudier
pin/portante question des relations que l'U-
nion fédérale et éventuellement lo comité
d'entente, devaient entretenir avec le Par-
lement peur qu'aboutissent rapidement Ira
revendications des victimes de la guerre.
Il appartient h M. Henni Pichet de trai-
ter cette délicate question. Retracer Phis-
loirs des relations dé PUItion fédérale riva
les hommes pubillea fut pour lui Pace-
Sion de proposer la constitution d'un
groupe p.lementaire de défense des victi-
mes de /a guerre a amiens combattants
d'oti serait naturellement omise toute in-
t:neige militique entelle qu'elle soit.
M. le docteur Grasset, président de /a
Fédération du Puy-de-Dôme, a présenté un
n'ami/ ciamsiderabie sur les movena
mener la lutte notituberculeuse chez les
pupilles de la nation.
Mme Callaree fit un rapport de arec-
tère expérintenta/ sur le fonctionnement
des offices départementaux de pupilles.
La question de la réorganisation die On-
de de justice militaire et celle de rumnis-
tir ont été traitées par t MM. Marcel ge-
r aud, députe, ancien vice-président de ru-
nion fédérate ; de Cassin, président ho-
noraire.
Ce dernier a également retracé Pactivi.
té de l'Union au Bureau internationa/
travail et en basse de la Société des Na-
tien.
Un exposé documentaire sur l'organisa-
tion, de Genève a MC fait par M. Paul Name
toux, de la section des affaires étrangè-
res de la Société des Nations.
De noinbreuses Pavés de guerre ont sisi-
vi, avec intérêt, les travaux de la première
dinaission chargée d'étudier la question
dc remploi obligatoire des victimes de ta
Ses erre.
. , .
Ires du codait 'd'administration, 287.000
suffrages ont dé exprimés, Les résultats
seront n'acte/tés demain à la séance plé-
nière, séance de clôture qui sera suivie du
AU CONGRES
de l'Internationale syndicale
UNE MANIFESTATION GRANDIOSE
DU PEUPLE DE VIENNE
Il pleut.
Durant des heures, l'eau est tombée à
Boss, l'eau a été deversée pm seaux SlIr
la ville de Vienne.
Durant les mêmes hemres, des milliers
des centaines de milliers d'hommes et de
femmes ont défilé devant les représen-
tants de l'Europe socialiste.
La manifestation n'avait été décidée
quç lundi, lors de 1 ouverture do congres. 1
Zeinumg », gai ont pam depuis, des ais.
Dans les trois numéros de Arbeiter
PtL. autrichiens doivent
manifester pour saluer les délégués étran-
gers ».
A l'heure dite, malgré le temps infers
cal, s'est déroulée devant nos yeux une
des plus formidables démonstrations so-
cialistes que l'Europe ait connues.
Les délégués étrangers, après avoir été
reçus à l'hôtel de ville par le camarade
Seigt, bourgmuette, se sont rendus, entre
une double hme de troupes de mute.-
fion républicaine, devant le Parlement,
pour y assister au défilé.
Celui-ci commence aussitôt. Il .t ou-
vert par- des bataillons de l'armée ourriè-
re de l'armée de protection républicai-
ne, des » Schutztruppen ». Des travail-
leurs portant un uniforme en toile grise.
marchent au pas militaire, bien aligads
comme de vrais soldate, encadrés d'of-
ficiers et de sous-officiers dont les COM-
mandements brefs et secs raopenent, à
s'y tromper, les revues /militaires. Osi sent
que ces hommes vont régulièrement à
l'exercice et on no,, sonffle à l'oreille
tells possèdent leur fusil ellen eux.
La révolution a passé par kit
Puis suivent les organisations des dis-
tricts. Des milliers ellonsmes. de fem-
mes de jeunes gens, de jeumes filles Puis
de notiveatt, des troupes de protection
d'un autre district I des chemnot,
cheminots et encore des chermrms en
uniforme, formant, avec leurs officiers,
des bataillom sPéciaux de Humée rélm-
blicaine.
Les tramwaymen, les travailleuoa des
usines à gag et à l'électricité déôlent com-
me le fort cheg nous les soldats les mi-ou
dresses. Les gymnastes le torse recouvert
d'un mince maillot blanc ; des batao-
lors universitaires, composés d'étudiants
marchent tête nue.
Interrninablenrent, le film proô'Peux se
déroule devart nos yeux, tandis que
I eau tombe, tombe, tombe toujeurs.
Loin de calmer l'enthousiasme, le
temps affreux ne fau ou exceer les ma-
nifestants, et, au plus l'eau tombe, au
p/us fort sortent des poitrines les ut Hochl
die Internationale 1 I »
Chaque fois que de nouveaux groupes
passent devant neus, le cri se ',oued!,
nt se propage sir Eiremiense foule qui,
comme nous, regarde.
Car 1/ y a sous les péristyles de l'hôtel
de ville et du Paden,ent, sur le bode-
vmd en face, allsr fenêtres des grands
hôtels du o Ring a des nalliers et encore
des mdliers rie eersonnes. Ce ne soin ras
Or simples spectateurs, des curieen i d f-
fteents, mais la foule qui cou.cmie
dans tm même enthousiasme a, 1
MC CS
manif.tants qu'elle ne cesse d'aeclam t.
Toue .la population est dir's Pur
sI ginq ti, à
ses yeux, en est vil-nage, et elle est prête
à faire tout pom réaliser l'un et pour dé-
fendre l'autre.
Le mouvement socialiste est. à Vienne,
um mouvement vraiment PeP.dslre, se-
es t t'ô tr. d ô T
paran en 1 te e rte e. e e est
Firfirtnession que /et elôlêemôs étrangers
oet rancortée de l'inerbliskle me-tacle
dont ils viennent d'être les térnei,
Lécp. DE SWAEF.
Avant de se séparer le congrès vota à
l'unanimité et par acclamation l'ordre
du jour suivant t
t Le troisième congrès ordinaire de
la Federation Synch.de Internationale,
tenu à Vienne du 2 au 7 juin 1924, con-
firmant les rosolutions anteneures contre
le militarisme et la guerre, rappelle que
c'est le devoir de /a classê ouvrièae, na-
tionalerant et intanationalement organi-
sa, de s'opposes enermquement à la
guerre par l'arrêt de la fabrication et
du transport des armes et des munitions
le blocus économeques ; la grève géné.
rale internationa/e ;
» Le congrès déclare que la Pré...-
patron CO, ,,te des organisations syndtr
cales de torii hé pays do,) être la propa-
gande du diamine/rent des haines, en
vue d'aboutir à une organisation nou-
velle des rapports entre les peuples, ba-
sée sur l'entraide internationale, l'appli-
cation du droit b l'arbitrage.
» Le congrès, considérant le bien-être
des peurples, qta rte peut trouver sa sau-
vegarde absol. que dans le t1.3sarmes
ment générai, proclame comme instaca-
ment nécessaire
» I. L'urgence du contrôle de la fabri-
cation et du trafic des armes et des mais
nitrons de guerre ;
» 2. La réunion d'une conférence in-
ternationale pour décider de la suppres-
sion de la fabrication privée du matétrel
de guerre et aboutir à la prohibition gé-
nérale de la fabrication e de la vente
de celui-ci
Clgrge le bureau de la Fédération
syndicale internationa4 de porirsius11
aie action générale en faveur de l'édu,
cation des masses ouvrières, es
ticulièrement de la in unes. me de,
Base, ne, fortifier l'action des forces de
paix à travers le monde
» En application de cette résolution,
le congrès do la Fédération syndicale in-
ternationale, confirmant solennellement
les résolutions prises par le comité direc-
te, dans sa séance do 8 novembre 1923
mes l'organisation de la remlifestation in-
terrationale contre la guerre le 21 sel>
tembre 1924, demande aux travailleurs de
tous les pays de faire le rmaximmen d'ef-
forts pour que cette démonstration ait
l'imeoetance et le retentissement one ré-
clame la et-nation actuelle du monde. »
Le congrès a 'ainsi deni son attitude
vis-à-vis des File importants problèmes
qui lui étaient soumis.
AU LUXEMBIU RG
Un peu moins de monde qu'hier dans
les tribunes mais, I. sénateurs sont aussi
nombreux. Le banc du gouvernement
demeure inoccupé.
La séance .t ouverte à 3 h. 15, som
le tnidence de M. Dourrmsgue.
Le Sénat valide l'élection de M. DAMA.
thy élu dans l'Indre. Puis, M. Doumer-
gre donne lecture de la lettre de démis-
sion du président de la République. Au,
came manif.tation.
Le pr.ident annonce guet cOmfmmé.-
mont à la loi constitutionnelle, le Congrès
se réunira à Versailles le vendredi 13 tuM
b 14 ares.
Prochaine séance mardi. Séance levée
à 15 h. 20.
Le nouveau Ministère japonais
Tokio, II job. - Le baron Kato vient
Or former son ministère de coalition. Le
baron Sihdehra est nommé ministre des
affaires étrangères. Le général Ukai
çoit /e portefeuille de la guerre et l'amis
ral Takah/e reçoit le portefeuille de la
Imarine.
La Révolulion triomphe
en Albanie
LES DERNIERS CONNAIS
Rome, I/ nun. - On confirme que
les troupes nationalistes de Scutari sont
enteees dans la soirée à Tirana Ahmed
Zoimoul s'est sauvé au cours des derniers
combats. Les forces gen/verne/Tenta/es
ont laissé sur le terrain de nombreux
Mien. Les nationalistes ont fait environ
250 prisonniers.
Les membres de la régence sont partis
pole l'Italie
UN GOUVERNEMENT PROVISOIRE
Vienne, Il juin. - On mande ce Bel-
grade que le ministre d'Albanie à Bel-
grade a reçu du gouvernement provisoire
albanais qui s est constitue sous /a piani- I
dence de Mgr San Ninli. l'évêque grec
d'Argyrocastro, et qui s'i3titule Comme-
sion administrative pour l'administration
du pays, un tellégame l'informant que le
goisvernement provisoire assume le gutitt
vernoment du paye sou entier.
En Géorgie occupée
ARRESTATIONS EN MASSE.
TORTLIFIES INFLIGEES AUX
DETENUS
NOUVEL I FS EXE,CUTIONS
PANS JUGEMENT
Les le _'ouilles ont redoublé en Geor-
g Set, aleclaeus,tartelanm,liopulmloie
d occupation Cl arrêter plusieurs milliers
de personnes, Parmi lesquelles envIr°9
cinq cents teum,s qui avaient réclamé
la ideuveiture des églises.
Les datent. sont soumis à un régime
éraervantable i ils sont jetés dans des ca-
ves sales, humides et dont souvent le
plafond est si bas qu'if est impessible de
l'y tenu debnut ; certains d trille eux no
reçoivent pots toute nouriture que 2(10
gra:mimes d'on mauvais pain et de l'eau.
torturos sont des in... frOquen.
I0101.1 employés pour forcer le détenu à
faire des dénonmatrons.
Par exemple 1 tandiant Alexandre Km-
coureichvili fut placé dans un sous-sol
étroit, sans lumière où on le battait chas
que 100r et après l'avoir déshabill& on
l'arrosait d'eau glanée. Kimouréiehvili
est à l'heure actuelle gravetrent malade.
Un téhékiste arracha la moustache au
détenu Lazareichvili. M. Noutroubidzé
bai suspendu par les pieds, la tête en bas.
On vient d apprendre la mort d un mil-
decin de Tiflis, le docteur Michel
, viladge, qui ne put supporter le ./../gia.
I attnel il était soumis.
En même temps les. exécutions sans ju-
gement continuent, gais ameroe elles se
passent clandestinement, Ou apprend
longtemps après l'exécution que telle ou
telle personne qu'on 1:noyait en pinson og
exilée, a été mise à mort.
Voici ei-d.sous une liste d'un certain
nombre de personnes e0401it3es
En septembre. - I. Matchabelli Bar.
kheli, coin/lel 1.2. Efendieff Tefpik, offis
mer ; 3. Eferaneff Mednk, c.ffmer ; 4.
Clianneeleff Zia, officier ; 5. Moulduar-
hacheff Meuker, offimer ; 6. fLtvapslze
Georges, 7. Nicolaichvili My
'
rian / 8. 13e-
roldava Gabriel 9. Mme Perelrenureff
Barbe ; 10. Kirvaiidge Georges ; Il 'i
sladere, Jammes ; 12. Artchvadze Jean.
En décembre. - 13. DMounaichvili ;
I4. Pro,),sa, Jason; 15. Kiagiin Nami
16. Crie. ilis 17. Kavtarachvili ; 18.
Koutsomacull.
En janvier. - 19, ;
gomadze Markian; 21. Kakichvili N. étus,
client 22. Kamlelil Guéracime, étudiant:
23. Banda/the Victor, officier.
PETITS FAITS
FAITS
CrIUTE MORTELLE
Marmande, Il juin. - Ge matin, deux
aviateurs du centre de Poing-Long, l'adju-
dant Gare,. Laarra, pilote, et Lê aidai
mécanicien Basile Leyinarie, étaient par-
tis de Pan à destination de Toulease,
ils allaient rejoindre te deuxième groupe
lis passaient vers dix fleures avec tem
Breguet sur le territoire de la COMM.('
dr. Fourgues, près du pont de Mareseet
sur le canal. Des ratés du moteur furent
nettement perçus P. Ma PnYSOss qui tee.
vuilisieus dulls les edoomfna. 05 vil MISS -
tôt l'appareil évoluer pour essayer dot-
Urie. Une fausse manuvre ou la crainte
de descendre sur un gazepe de cultiva-
teurs qui plantaient le tabac, prouo
tont b coup un déséquilibre et l'appareil
piqua en avant et Viol s'abattre sur le
sol. Les malheureu x aviateurs furent retirés
des débris de l'avion. L'adjudant avait /e
pou pectienne ; le mécanicien les jambes
brisées. On organisa rapidement les se-
cours, mais les infertitnés succombèrent
avant d'arriver h l'hôpin_d de Marmande.
L'adjudant Laarra, d'aPrée me Pla-
quette en métal trouvée mir lui, était en
1914 Capitaine de l'Union Sportive Pm.-
gant:taise, champion de France. Il est marie
Toulouse.
Le .3,14 Learmerie
dd
prive.
HORRII3LE DRAME DE FAMILLE
Un entrivateur tassa belk-mère et son en.
fard, blesse sa femme et ari fait ensuite
justice,
Perpignan, 11 jjuin. - Un horrible dra-
me de famille s'est déroule ce matin, vers
en-uoures, devant la Priam de Wafd-
sance.
Un cultivateur, Emmannel Mouragues,
Osé de 28 ans, a tire t'intenta coups de
revolver sur sa femme, sur sa belie-mère
et sur son jeune enfant due de six mois.
et s'est ensuite tiré une balle dans la
tête. Sa belle-mère et son enfant sont
morts presque instantanément. Sa feinme
a eu la bouche traversée par une autre
balle, Lui-même a eu la veine jugulaire
tranchée ; son état est désespéré.
On a trouvé sur lui une lettre récrite
avant le drame, expliquant que, abandonné
par sa femme et ne pertivant voire ainsi,
il allait se venger sur elle essor la mère
de petto dernière qui, au lieu de l'engager
à revenir avec lui, l'avait encouragée dans
son abandon. Il annonçait en marne qu'il
allait se suicider.
Il résulte des premiers renseignegents
que Mme Mouragues s'était, en effet, sé-
parée, il y a quelques temps, de son mue;,
et s'était retirée chez sa mère, Mate
doms, rue du MM, faubourg MninMar-
tin. M. Mouragues, de son côté. vivait chez
ses parents, rue du Puits-des-Chaines.
Co matin, Mme Menragura se rendait
au Bureau de bienfaisance, rue Bardou-
Job, pour soumettre son enfant h la vtsite
des nourrissons effeetuée dans cet établis-
sement par 111M. les docteurs Gouzy et
Paya. Mme Mouragues, effrayée par les
menaces réitérées de son mari, s'était faite
accompagner par sa mère.
Son mari connaissant probablement sa
visite, s'était posté prés de eet établisse-
ment pour les attendre. Le drame a été
extrêmement rapide. fil, le docteur Gonzy
ayant entendu le premier les coups de ope;
R
riUri essnCe parreti°SeCouur-siuratT
tuiles. Mme Bcdonia et son petit-fils ren-
daient à ce moment le dernier soupir.
Mme Mouragues était grièvement blessée,
ms son etat n'est pas désespéré. Les doc-
teurs G'ouzy et Payryé lui firent un pas,
sement rapide en attendant l'embu/ana
de l'hôpital civil qu'on avait appelée par
Le metnitrier, qui gisait sur le trottoir,
perdait son sang parla veine jugulaire.
On lui aei,NaLtine pince hémostatique
pour
M. r a''rroare,
e-deeteu'r p médecin légiste.
a etê commis pour procéder a l'autopsie
de Mme Bordoma ce do Petit Mouragues,
ainsi qu'à l'expertise médicale.
Theatre des hues de Beileu
o DEMN1FIE it
Ainsi que nous l'usons indiqué dê.là,
Bailly, le peintreaticorateur, bunt les ate-
liers à Paris sent, .tranrce. et qui a tenu
signer le aide 'de I Béjaune est venu
donner à Béziers 10 eoup d'il du maitre
sur son uvre, maintenant complètement
drilla.
Le décig devant lequel dimanche pro-
ehain se déroulera I Déjanire rt sur la
scene des Aliénés de lier.rs est la rePrôr
duetion exacte, il faut lo répater, de eelth
qui, il y a viné:Lex ans, priguidt sur les
spectateurs, lors de l'inauguration des Ad-
nés, une si profonde et st ourable sensa-
tiom De Mmensiens bien plus considérables
que celui qui servit de cadre 5 « Penthé-
silée » on an « Dieu sans couronne ii, at
entièrement brosse à ne.uf, ce panorama,
de l'avis des privilégiés qui vol pu Io con-
temple, est une véritabte merveille.
'Ferrade., une queshon délicate se Po-
sait r
(1e dtkor ayant été conçu/ pour être mis
en valeur par la lumière naturelle, que
ammenutt les plans otage de sa fuyante
perspective, le soit, mus l'éclairage arte
r Des essais ont été tent., da expeieees
ont été faites et le problème est résohr
grânenon dispositifs spéciaux adoptés, aux
combinaisons et aux jeux de lumière étu-
diés, le décor de t, Déjanire g illuminé de
! ta scene juiimilati faite. Sera but, ausdi
palan, sa perspective admirable restera
1001 0051' pure, Ilingenirsite de ses détails
apparenta tout aussi perceptible, le soir
D'ailleurs, cette soirée de dimanche
constituera une véritable féérie de lumiè-
re t les Arènes .ront éclairées si brillam
ment, qu'Il n'exIstera pas une seule place
d'où le spectateur no puisse, ainsi tianen
plein jar lite son programa 00 suivra
le texte sur le livret.
Mais, qu'on se hâte si Yen veut jouir de
ce sua se e «beatuque. Il ne res e plus pont
cette soirée que quelques linges S' trot,
théâtre numérotées, de Première d de ré-
servées.
- La Compagnie d. Autobus départe-
mentaux rias prie dhinnoneen au publie
qu'un service d'autobus suie toutes les li
0000 0e dessert la Compagnie sera orga-
nise prune Déianire it aussi bien on soi-
rée ev en ma rnée.
Un départ dans toutes les directions mg
ra Pen une demi-heure après la fin de /a
représentation du sols
De inême la Compagnie des Tramways
organisera un service spécial, b T'effet de
ronron h Sauviati. Saignan et Vahins lés
emmiella. de la soirée, h, l'issue de la
représentation. >
La Vie Sportive
COMTE REG/ONAL DE RUGBY
DES PYRENEES
BUREAU
Séteic. du 10 Juin 1924
Présents r MM. Lakede, LauloO. Nand, Du-
rand, Dr. Cdnesty, Gine, Meuve, Piessst, Sau-
rer, 0, Osa. Sein. Sicre, Vidal.
Excusés t mn Delle, CouffignaL Ferma, moly,
Momm, Nada, Peyrous, Pa,llou, Relia, Re_
vell-t
AbseMet MM, Des. Eecefit, bulmoo. Pu,.
Après tirage au eort.
,.fait en Présence des re-
'dIrte::'dne' /:4'sai'scoé 924'1'9';;"'re.7ti. 27 CI
amiante. Psur les &Mues premières t
Les rencontres ii.ront lien sa les terrains mn.
mitivement nommés.
Lee Clubs n'ayant pas encore adweesé
droite d'emmgeinem pieu ces eh...pionnes (5 fr,
par équipe) sant instar/valet priée dc les faire Pana
venir sens délai. ea Comité, fa. de emoi
deiger se vemn au remet de Prendre des me
sures.
10 Série - TXvision d'Hamm-
les Octobres. - Maaame-Montanben I Moissac-
Sz_Gagrievir Painiers.Castrea
26 Oc... - St.-Geudens-Mgmarnet: Caeres-
Moissac: Mofirnuban-Pennere.
9 Novembre. - LloimaceLlerammt Pamiers-
SC-Caredenst Castres-Montauban.
23 Nrnembre. - Mazarnet-Pmrners; Mont.-
lansMeiesact St Gnodsas.Coaieso.
30 Novern.bre. Carne.Manernett
Manaubm. St.sGentdene
Poile A.
2. Série
dcs19
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m-r'A'inMid'oriZe'rokaliese
C11.7''Déc.4'ernisi Ex'
slde-''' Cher Cmilh
net'etietil'
Cahors. - Exempt Amidonniers.''
Pe,tls B.
19 Combes -GeadherRonneke I
Eznbeistr:t aotir,C
EQ.4,4 de I. Série
US. Perpignalee, R.C. belsrhnovs1s'
terrNse, A.S. Carcaseormaise. F.
29 Octobre. - Carcassonne cr
C.:kas:tonne: Perpignan corme
pignan
eNov.
à Narbonn n antre Bég
-- Exempte; UTI".em
23 Novembre. - Coscaemitne
cent'Sta,
à Cereessonne Lésirose, 0000lc p
... 0'
Perpignan: Narbonne con. Béri
Narbonne. - Exempt
000a Biaise,, o
z,sLiigrL;.6,=:
14 Décembre - Lie
ék
4 isaslee .naoobns do t,
reanà
Dieision Honneur
Prmairmanuis, 0A. Bitem
U.S. Quilianeise, Montpellier, Mmes.
9 Dékembre. - Minrclies contrée AS, a
Montpellier: Quins contre Nimee, à Perpignan. -
Exempt s
16 Novemlore. - C.A.13 contre
Quil'
lt s
Béziers; Nimes centre Montrmllier, à Name à
Exempt : Quine.
23 Nevembis. '- contre Quine, 19,v.
lant C.A.B. contm Nrmes, à Béziers. - Ea.,,,
ME:1;Dek:lie:'
me.bAr..Bt Quins cone. CAB., O Or e'
E erapt t Nim.s.
amant Quillan. contre Moontopellier, à 1,rmIlen,- .
y,
7 Décambig - Montpellier contre Gains
o'
Mon Mimes castes Q.I.., à mr,.:
LA CORRIDA ROYALE DU 29 glIN
A & SOS
Si hensla ces.go ec ...Us à un énonne re-1
tentieement, n'a bieu lle du 29 rai. à 01.1
skis. Le napel, de fats des dg difficiles,
admirablement conincsé. 11 ssi de c.s sui lut
prévoir One /Mis sensatirmnelle.
quenett prottessee les aficionados peuvent
s'ettendm avec des sas, gni en, nom ; Cl.
cnelo, Marquez, Silveti, Beistans, sse-
tont Imagils g couvent .. présence d'un 0.
tag ami nabee que celui do D. And. Na.
garennemear Andlass), zaradora au, gc
dernier, au des cade. de
Vilenda, a obtenu le premier MO.
C'est pemunol, le 29 jum, o'est toute fat.
méridionale mi se danser. rersden-vons dam à
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ilt11tilttOtil000hoeuoo01011
Eu nem nuso-allaleidcs
Le conflit germano-russe n'est tm jeun
pas réglé. Les bolchevistes ne au. Px.
satisfaits -des explications allemandes et
demandent mie I exterritorialité de toute
In mission commerciale soit reconnue. Ils
ne veulent pas admettre que leurs age.
aient violé ke lois allagades, en ca-
chant chez eux un communiste évadé.
Des sn.ures sont prises pour soinnette
I Allemagne a un boycottage éesenome
Les dirigeants bo/rImistes ont, dara
lettre discours, traité de ols, haut le cou.
and et t visiblement
vernement allemand
spéculé sur la situation internationale dl.
fiole de l'Allemagne. Interprétant I in.
dent de la mission commerciale comme
une tentative de gagner les faveurs de
Prance (ce qui esti d'ailleurs me rime fag
taisie), Kre.ine a déclaré crue le got3,"'
chemin
mt
'it/que tr cre' 'eu eP Ir nu sen te,
le
Mois il nsentible bien que les
rd:,arLrce
féaf .eocritiazitab%e,,,,p
plus
1
Le gouvernement allemand °ebbe,
effet, une note d'après Isemelle les ma,
chandises importées par l'Allemagne na
Rmsie ont repréSenté en 1923, 41.3 P. 5-
de I
reeéumotosee a:eiounionuste,itydpis.p...rellé1.;;;;..
00'
parlé
carpe,. rtenatioAnn,aernm.11,aend3e3. Lu cRuss:e
Roule'
marchandises exportées par elle, mai:
ces marchandises ne repréeement
2.9 n. e, de Fingertatiou allemande.
A cela, les Soviets rerordent,
indignation . tem liAllemnune a
en Russie 4 p. c. et importé aussi ,"
Il est clair, toutefois, que preseitun 19 ta
lié ole. commerce extérieur Pisse'd.
avec l'Alrensargie, tandis que rcenE,
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propos du Congrès des femmes
Le Congrès féministe sui ces jours der-
tenait ses assises à l'hôtel d As...
ree!eete, moyons-nous, quelques conemen-
pures. noas parait utile de souligner l'im-
portance tarde particulière des Problè-
sses sociaux qui y ont été étudiés et n, se!
efesigestler les caractères généraux hi lé-
minisne moderne dont la doctrine plus
hem.rne que politique ne revend crie le
droit de vote pour les ferla/let que rosse.
yq, moyen indispensaele de Légaliser le
droit nature/ de la femme - à plia de
justier et plue de joie.
A vrai dire les Congressistes ont été
Jonc sagesse exemplaire et les. ',ramies
ee sont déroulés dans une atmosphère
paisible. Elles ont discuté, comme il sied
e dm personnes bien élevées rameniez
de la videnee. Dans cette salle où d'ordi-
naire se pronocent des discours Reade-
m'eues et se distribuent des pro de vertu,
on avait nettement l'impression d'assister
à une réunion mondaine des dames
d'une parfaite distinction disaient de-
quernment d'intéressant. choses.
Dans ce Congrès, le féminisme était re-
présenté uniquement, ou presq:se, par
des intellectuelles. Certes neus n y trou-
esse. rien hredire puisque c est le propre
Je l'intelligence et du savoir de créer les
précurseurs I Sodaitons seulement aux
theonmennes me noin avons applaudies
d'être secondées dans leurs efforts par
des ouvneres que la pratique de 1 acuen
syndicale a resehies en fait dans le do-
maine émince-nique les égales de l'hem-
me. Le bon sens et l'ardeur combative
de travailleuses /vannelles ayant le FC718
de l'organisation ne sont point des fp.
terre à dédaigner 11 Y a Plus do vie me /e
Forum qua dons un OtneCle, ce cénacle
réuni dans la mvison de Clémencedaax.ne,
jesui de /a Pentenm serait-il inspiré
par l'Esprit Saint.
Main ne soyons pas irrévérencieux et,
vers des Fe/rames dont rardente foi, le
talent et /a bonne volonté se. dignes des
plie geands éloges. Reseercions-lcs, au
mutedre, d'avoir reneuvelé, humanisé,
sr° si- men dire, ce féminisme outrancier
.sidérait. il n y a pas très long-
terdet enDore, Ehernme COMME l'ellneMi.
Les terres sont heureusement changés
et les féministes d'aujourd'hui sont de
. sosies femmes jouissant des priarogati-
ves de lem sexe et ne reclansent One te
Omit /d'ultimes de partager les droits elles
devoirs de Yhommie.Elles se sont penchées
se la drande misère de /mars meurs ex-
ploitees et elles ont fait le rêve genereux
elr es:Primer l'injustice dont celles-ci seet
sectes es.
Elles reetestent et s'indignent corstre la
'condition inférieure de la femme dam
'l'atelier ou le rrmgasin. Avec raison el/es
réclament pour la 'fer.ce et pour l'hem-
me ses salaire égal quand le travail est
identiene. Elles d'anones. le scandale dtt
travail à domicile et proclament la née.-
aisé de loin protectrices du travail fensinin.
Mieux que /es hommeru elles se °romano
qualifiées pour .rarer la stricte applicee
tirer de ces lus, corr.sne de celles relatives
à l'enfant et à la ordre.
Elles luttent contre le taudis, la tuber-
culose, les plaies sociales, (débauche,
_prostitution) ; enfin cortre la guerre. Le
bseletin de vote est pour elles le moyen
d'aeceder aux fonctions susceptibles de
defendre la femme et de Eeneancieer.
C'est peut-être sine ilh.ion, mais dans le
Monde moderne, ',râle de !a fem.me est
assez grand, esser qu'elle puisse légiterp,
ment revencEmer te droit de s'occuper
des affaires publiesies.
Après cette adhésion asm principes
essentiels du féminisme qu'il nous soit
Permis de forme!er quels/ses réserves. Il
m'es semblé panne tendance fàcheuse
s'était manifestée dans Feeprit 'e nom-
bmuses co,ngressistes.
Duos le but très lonble de donner à
/a ferreon une indépendance plus grande,
quel ses ferninistes et peet-être le plus
prend nombre paraissent eensidéres cone
me un bierdait l'obligation nom la feue
nte de travailler hors de son foyer. ed.tte
Décessité transformée en idéal Inc socia-
listes ne peuvent y so.crire sans protes-
ter. Certes_ noes ne nions peint 1 utilise
de donnrràfo jeune fi/le mi métier, ma-
nuel et intellectuel, lui permettent de ga-
ge, sa vie si elle reste eelibatace ou si
Plie tard elle devient veuve. Ne. rem
50na autesi que c'est déjà tmp de 7,0,1-
103ir envisager l'hypothèse où une femme ,
ne met ou arnica tris en ayant recours à la '
charité publique ou à la débauche, et un
Muser nous parait être un exceilent mo-
Ytet de diffense peur /a femme seule. Peut
une fraye. mariée restant chez elle, en
Psétier n est pas non plus chose négligea.
bile. Savoir coudre, faire ces ehapeeux,
laver, ceisiner, enseigner cent
gals sedil n'en faut à une femme peur
°murer dans le liris la pince erré:none:lé-
tante.
Mais accepter d'un Gent léger le Prim
Pou.. eu Ah)gn la compagne,
ri-eut la mère, no. ne le pouvons
Res. Ceiirene nos maîtres socialistes, .111t,
Ise, Guesde, nous proclamons que le
grand crisse du capitalisme est d'a.
noir iriduetrialisé ta ferrre et Peuhl.. Ce
PSt P.a. Pour énienciper la femme que
nn0rtnlr5nt5tr0tnsfnrn,d In rneriegere
c,.47;'"It de machine, C'est pour en-
, de er ...né du travail et trouver
la femme la concurrente de l'hom-
!S/mu/mec° dont la passivité permet-
Pu da vile les sa
.
au lieu dem
laires En réeumel, c'est
avoir à sa drapasitton deux esclaves
. dno fait les salaires réunis de l'homme
f.,..nemte sont à peine suffisants
fétrv.spuUnbrei le budget familial. Nos
Pendnnte quand elle P
/alaire de femmet Quelle erre. !
eè mit une servitude de plus qui
dsS sue ses débiles épaules. Il n'est pas
'I'od'ùieiened isei
suit toujours
o'clec
s sérd'seudatiiorrde
nlvtrg
d,..sotrt tempérainert,ret
croiSe
pesielee/1,s n
nun rle''
se'''''Tescilerya';a
N'ou. 'cons centre
ijiMistice noovuss e'epérOgns bien, ecâ-
h. II action racieliste, donner à la ferre
eistedeldte-e _.en d'esse libre dans son cadre
mille. Nous subissons le du-
re lot d'airain qui ploie nos reins et net
meurs sous le joug du capitalisme, CUIT>
me une nécessité douloureuse que seule
la force nous contraint daeeepter. Mais
ce joug nOns le briserone an en,. De
grâce ne faites pas un idéal de cette sug-
gestion monstrueuse I
L'effort socialiste tend au contraire à
modifier les conditions d'existence des
classes laberierses de façon à permettre
ara ohef de famille, grâce à des ressources
suffisantes, d'avoir ein logis proPre, vas-
te, leen aere, ou ses enfants et sa fgenane
trouyeerbnt /e bien-être et la séciirité, où
luierfferre pourra se reposer et m'instruire.
Les femmes sont nos égal.. Sans réti-
cence aumme, sans amère-pensée, nen
faisons nôtre cette Vérité morale. Plais
est-ce tele raison peur les masculiniser ?
Si ce n est pas dédesir pour un homare
d'aider sen épouse, rentrant de I ateeer,
à vaquer aux soins du ménage, ce n'eet
pas non plca une huseiliatien pour la
femme que de remplir avec ellegresse,
ses deveire de maîtresse de maison et de
mère de famille, - L. C.
Conseil Municipal
Le Conseil municipal s'est réuni hier
saie
, .
SOUS 8 pro. ence de M Dneemermgue
en présence de 19 conseillers. La sem-tee
est-ouverte à 171t, 30 et M. Salamms est
rromediaternent nommé administrateur
de la naisse de crédit municipal M. Pm-
tene étant dermssioname. 118 voix sur
19, 1 bulletin blanc/.
Sue rame.. de Iv!. Domergue, /e cens
seil vote une subvention au centre ante
canceredx de Toulouse, puis un projet
suppeineant un eseeloi dans les écolos
communales et amans leu classe prépara-
toire à l'Ecole supérieure de jeunes filles.
Stnix rapport de /à/. Bertrand, 500 francs
sont accordés au Comité de retour 8U%
chancas Languedocien, et le legs Beemn-
ls. est accepte.
MI. Brus fait accepter un rapport con-
cernant une demande d'alignement, rue
Perdepinte,
Sur demande de M. Brustier, le conseil
adnees crue le chiffre des voitures de place
sera porté
LE CHAPITRE DES DEPE,NSES
Puis IVA. Galinier ouvre un dossier con-
tenant Ire projets den embieuses li-
quidations de pensions qui sont toutes
votées.
Quelques subventions sont également
attribuée..
Un crédit de 21.900 francs est voté,
concernant le mentant des fournies.a
des essences et des huiles du service du
bettoiereent de la ville et des transposes
communaux: ainsi eserin crédit de 3.075
francs reprresentant le montant de repas
retiens aux voitures des pernpes funè-
bres.
Une garantie de 10.000 francs est votee
pour la Secte./ de Crédit immobilière
et le prinUsee de la co.nstruction d'yin
grand arnexhithéâtre au muserun d'histoi-
re Naturelle rat admis 'par le conseil mu-
nicipal.
A.probatlon est donnée enfin à un
meule, relatif aies fourniteres de pain et
de viande au Lycée de jeunes fdles.
LES HABITATIONS A BON MARCHE
M. CearynleOS demande où en est la
question des habitations à ben marché, si
cuisante à l'heure annuelle.
M. Souillard, aejeint, dorme geelques
explications et le conseil se mort, fa-
vorable à l'établissement du bedges
l'Office communal d'habitations à bon
marché. - Quand les verrons-nous, ces
habitatioris offrir leur toit a./ prohlteircs
nombresut en guète de le-gis 9...
ET L'EXPOSITION...
Encore M. Colon/ ries demande que
Frasserublése municipale réponde à rune
note du Comité de l'Exposition tendant
à prélever 80.000 francs sur les 150000
déjà votés, ail profit de l'Expesitien. Plin,
sieurs édiles remettent que le Comité
n'ait pas joint à sa demande un program'
me des manifestations projetées.
M. Domergue manifeste /a confiance du
censeil à rende. du Comité de
sition et les 80.000 frauce deireneée ee-
enotnennrdds.e Cela permettra-tel à l'Ex-
position de s achalander en attractions ?
L'ELECTRICITE AUX TRUSTS
Voici M. Dulong qui delvdoppe net pro I
jet de cession à la Comrpagnie Pyrenéen-
or ergie Electrisere d'ace partie de
/a emmession de la S.T.B. Rien dans le
cahier, des charges n'empêche In S.T.B.
de céder une pertie de son nionorde à
In Société Pyréséenne. La municipalité
autorise cette cessien qui donne faColté
debtenir un prix dégressif à Peste de
800 heuxes de cionsornation.
M. Dulong fait connaisse la note de
l'avenant qui sauvegarderait les intérêts
des usagers et de la ville de Toulouse. Le
Conseil, naterellemert, approuve,
UNI DEBAT SUR LA VIE CHERE
L'ordre clis jour est épuisé. 11 n'est que
18 heures et un long début- il faut bien
dire quelque chose - commence Sur in
vie chère. On nous reproche, dit-on, de
reavoir point combattu la vie chère..
Ou est.t. o Reneert . M. !Intendant
Souillard, qui est un bon économiste,
s'efforce d'exposer cemersent se cakele
l'index du coût de /a vie chiffre en mm,-
mue compara entre le cote de la vie en
1914 et en 1924. M. Souillard, emi est
aussi optimiste, coneist que la vie à Tou-
leesse n est pas des plus cheires, quoiqu'on
drs,nd est de 3,22 en 1924 au lieu de
2.80 en 1923. Celse dépend aioute M.
Souillard, de ce qu en 1914, notre région
était favorisée par un bon rrearché excep-
tionnel.
Evidersement, noue somme, SOUS f8VO,
risée, et la rie est pour rien à Toulouse...
Poan avoir l'air de faire surie. chose,
M. Colomiès engage le conseil à ',Tendre
des Mesures noue faire bai.er le Prix

4
'EPARGNE VEND LESTrIDLI. uns
POUR LA FEMME
Toute femme gut soute* dun nouais quetroaque de la menstruation, Rugie
irreguneree ou dOuloorennen. es usance eu en retord. Pana »mem, maiedie
interleures, métrite, Fibrome saisines, Ovarite. Suit« de couse«, serres sûre
mem nen amen fessas :aime dis a
JOUVENCE DE L'ODE SUU
ueiquement composée de mantes inoffensives jouissant de prepnetés spéciates
1,9 ont été étudiées et esperuneumes peinant de longues années.
La JOUVENCE de l'ainst SOUR,/ est laite expressamem
pour guenr intime :es maladies de la femme. Elle les entai,
bien parce quede oebarquess l'intérieur de mua Os 6..roc
truismes i elle rait meuler le sana, deconvestairme les
insanes , mémo temps qu'elle leu eiestrise
La JOUVENCE do Paies SOURv ne peut jamais ere culai
Me et toute per-soma can soutire d'une !mauvaise cimolimon
i Ope... mn".t du sang, uni varices, Phmeites, Hamorratem. soi t de l'Ettewac
util..z,nnaer.tegeree=s,,,,V..aeirutél.8,1rensont suit malaises du RETOUR 8.888,
.7 '..Ds 17"Y7 lallme Ct cie Ivico3e. SICA1.7et 'Ir
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FEIJILLETOR DU « MIDI »
Le Pont des Soupirs
Par Micilei ZEVACO
Que me voulez-vous donc ? gronda
Bembo dune voix concentrée par la tape.
je vol., écoute dormis on instant, et
je me demande si Lai affaire à un fou.
Ne mentez pas monseigneur l'évêque
1 voua savez que c'est défendu per
l'Eelise. Si vous aviez réellement cru
avoir affaire à on fou, vous seriez parti.
Or, vous restez, vous êtes là, et vous brûlez
le désir de m'imerroger.
_ Ce bien, oui, démon I Je ne sais
qui t'a donné le pouvoir de lire dans lm
âtries, mais tu lis dans la mienne comme
dans on livre ouvert /
Quoi d'étonnant à cela (Vous avez
une de ces physionomies fir-oeloise
qui traduisent instantanément les sentiments
lm plus secrets... Mais nous disone
des sornettes. Interrogez-moi donc,
puisrme coca ro mourez d'envie. Jr vous
sépondrai fra bement. Vegas. que
vottlez-vous
Bembo frésm.sait de rage et de terreur.
Il se trouvait en présence crin formiidable
adversaire qui trillait ale clui quel-
0.e jeu mystenerat. tm meurtre de ma
sre ni rnevicasente oneu
'..4.".'.`..'re,...:".:17;:=1,:ree."..,;;;.-"L';
jryitja.r11,t.
one dvrestian
ovy.nen Ms,
Gonfle solitaire,
4Vnen
ImennItnetee
;71e. 40 urarls.)- tord direct flueraelo alti, admirentÔ Straslearg, 17 - rettomm
r,trott teL isep«./ors, Narsca.: Ptanvee, Xénters nena Abadie. Tel., Geeeninotx
intidectteur était arrêté dans son esprit.
Deus choses rerméchaient seulement rie
se met en cotte minute même sur cet inconnu
qui le connaissait si bien, trop
bien ! D'abord, c'est qu'il n'était pas sût
d'avoir le destins'. ensuite, c'est qu'il
voulait savoir pourquoi cet homme l'avan
abordé. lamelles étaient ses intentions
OcPnis'de 19.81.8 années, Bembo n'avait
éprouvé un tel effarement de la pensée.
que ie venu savoir I reprit-il en
fixant ses yeux tamboyants SUT Roland.
D'abord, qui vous êtes ! Vons prétendez
MM voue êtes poète, secrétaire de l'Arétin.
Je vous ai vu en effet chez Id. Mais
total cela n'est qu'un masque. Vous êtes
autre chose que je veux savoir.
Vous êtes perspicace. monseigneur.
Vous voua êtes douté du premier coup
que l'hamac° qui jette k doute, l'effroi.,
la curiosité, l'exaspeation dans votre esprit
ne saurait être le simple domestique
d'un Arétin.
Oui donc êtes-vous, ,por l'enfer I
Vous m'avez tout à l'heure appelé
déanon. Je neree que vous devez vous Y
connaître. Supposez donc que je mis ce
que vousclites...
Un démon I
a-t-il là d'impossible b En
votre qualité d ecce.te et decardinal,
vous ne croyez pas aux esprits surnaturels,
ie le sais. Mais enfin, peut-être
vons Pim-per-vous 1
Bembo jeta autour de hi un regard
épouvanté.
Il n est pes inmile de faire remarquer
que le superstition. ai ,ocussante encore de
trot jours, jetait alors une mrte de crépue:nie
81888. sur 49 Cerv.82 lue pitsa
[8 11111111181181118
Clel 1a FM118
DEPUIS DIX-SEPT ANS JE SOUFFRAIS
DE MIUM.4TISMEn ET ME VOILA
RADICALEMENT GUERIE
Monsieur,
« foi niti nis-sept are Je souffrais de
rhurnat.smes, tantôt aux jambes ou aux
Un au, tantôt aux épaules e1 dans lm articulations
; les reins surtout étaient salivent
prie. Lannée dernière. je suis resbit
mi mois pouvant à peine marcher et endurant
des douleurs atroces. Je ine SUb
enfin décidée à suivre le a Traitemint
Chartrel ri, je n'ai pas lardé à ressentir
une amélioration el. après deux mois d'un
traitement bien suivi, j'étais guérie radicalement
Préventivement, à chaque renouvellement
de saison j'en prendrai
quelques flacons.
Soyez assuré de ma recomeissimce, et
quo ceux qui souffrent aient confiance en
c Minn. s Mme Lie Costes,
« à Baron. par Layrao (Lot-et-Garonne. n
Le Traitement du Cheire. tamise /é
sang, il élimine les produits dangereux
qui s'accumulent dans les divers tissus et
organes OÙ se produisent les manifesta-
-
Des art:minions ou des immoles. le
rhumatisme s'attaque aux veines le sang
contrarié dam sa circulation affin la
rôle, congestionne les poumons, /e ventre ;
I. malade a des varices, souffre d, vertiges.
emiLfements. chuteur, hémorragies.
tte. Tumeur, fibrome et le cancer se dé
veloppent de préférence sur le terrai o
111 't'q , I s ar.to e st t q
plus des deux tiers des cancéreux set des
rhumatiamts.
Le Traitement du Chartreux fortifie el
décongestionne l'organisme tout entier, il
ré errée la circuit.uo du sang cause
principale de Mot d'infirmités féminines.
Demandez I al. Relavant la hrehare
de 50 pages sire le rhumatisme et. les Mu -
Leurs ; elle mus seca envoyée gratuitement.
amas V0119 Euler. vousenérne.
Prix du Traitenent b., 0.r/rem, polka
el berme 22 fr. 85 franco. Dépôt général
Pharmacie Idatanurb ta, r. des Deux-Pouls
Puris (Lei, et dans tentas les bonnes
permute.
Reger tangue flaeee dans une tome
ecilée avee le Ilmbre de Mat 'français et
lu esemature s dom Bade CIL C. Seine
21,t,m)
L'AVENIR 7e.Ze ..tealalrEf,!:
go* dam de namance, 3 hasca.
Cité- ardln"re54-el%tà à.IMMUNE
de Çasselardît La Goutte, la Sciatiqu
et toutes les maladie,
sont guérie
- arthritiques
TOULOUSE 22:tneereM=4'_°242,11Z,: radicalement par 1,
: TRAITEMENTduCHARTM
le plus puissant anti
rhumatismal connu
boas d'insuccès, pas d
>égime spécial. Dem«
1ez à M. Malavanî
9,rue des Deux-Ponti
Paris (4'), la /et-achar
latteative graluite e
unes, VOUS VOUS gue
ces vos-mêmes. u
éclairés. Incroyants comme l'immense
majorité des princes de l'Eglie, Bembo
n en était pas moins SOL11703 à cette ans'
biance de légendes et de récita fantastiques
qui enveloppait l'humanité.
Il fit un pas en arrière, et d'une voix
qu'il s'efforça d'assurer, il prononça
Si vous êtes un envoyé du Mali, le
vote somme de me l'avouer.
Un sourire de dédain plima les lèvres
de Roland : il rencontrait mn Benne
mei. fort qu'il n'avait cm.
Aimez-vous mieux que je soi,
ange ? dit-il avec une gravité qui f0 f
sonner le cardinal. Au surplus, ic vous
laisse libre de choisir. Homme, ange,
démon, au fond la chose est de médiocre
intérêt. Passez donc à une autre
ouestion.
Soit. Dites-moi en cens, comment
vous êtes si bien renseigné sur mon
nuruPto ?
Simplement parce que je me suis
renseigne. Je vous m ttltni. ente_
rima,. Mais Pourquoi m'avezat
ont, Se op aua stawug ip aprett mos
pense d'elle. Voilà une chose qui était
secrète.
Enfin, s'écria Roland, nous voilà à
la vraie question. Mordiets, monseigneur.
il vous faut du temps pour voua décider
! Vous pemes que votre paseon
pour Name est secrête ! Voilà bisa les
amoureux ! Ils sont naïfs et perdus qu'ils
sont dans la pureté des étoiles, ne voient
pas à leurs pieds le traître qui les guette
I qui note Itire gestes, recueille leurs paroles
I Tenez. b ni connu ied,, un palme
garçon neis'était fellencemt épris d'un,
jeune fille. Conanso vous, cl passait son
LE MIDI SOCIALIS1rE
Nos Portraits
Le succés considérable obtenu pst les egrem
d/empeste de nome,. que nous avions trrése
demmeat recommands,e nos lecteurs, et le cad'et
véritablement artistique de ce travad.
à faire un nouvel miel à a. Ie.." eu
inciteoeur- es (c.
La vérité c'est am nose ce pris-là ii en imposable
à spicomme de fairo mei bien que .
que nous offrons.
Exactitude de la reprodaction, embeili.ement
dee traits, douceus du ton, tout est à peu près
m.fait.
Le cadre Iiiiméree. sobre de guet. harmonieso
de tien., rehausse le portreit et en fait ana vériv I
teibte more d'au.
Lu largeur de le basuene eu de eis ceotimSteee
environ.
Quelles que «vient lm dm.... de lu nhom
anginale encor., ii collera prie dan. nue Io.
reep. 35 francs. Expédié pm cons poetal (sert
et emballes.