SOCIALISTE - Bibliothèque de Toulouse

ANNER -as N. 4910
sEjalEME
TRIBUNE DU CONGRES
Changeons le mode de scrutin
d'aprZes Adrien FIEU
de la Fédération de l'Hérault
i.e Midi a hies voulu me demain- der mon opinion sur cette question,
laquelle acquiert chaque jour plus
d'actualité car chaque jour nous
amène vers l'échéance parlemen-
I
', taire de la législature présente.
Je crois 1 qu'il faut se placer ici,
, annule en tout problème politique.
' au double point de vue de l'intérêt
da régime républicain et de la doctrine
socialiste.
Et d'abord un point parait acquis,
, presque unanimement partagé, je
crois, dans le Parti socialiste : s'il
iny a pas modification dans le nielle
, de votation, si nous sommes régis
I dans la consultation législative prochaîne,
par le système majoritaire
1
actuel il est de l'intérêt de la Ré-
; publique et du Socialisme d'envisager
d'ores et déjà le cartel des gauches,
pour répondre à la coalition
inimanquab/ement
certaine du Bloc
, national.
C'est à cette dernière formation
électorale que nous devons les légis-
1
lateurs conservateurs actuels. lit demain,
ils emploieront la même tactique,
parce qu'elle sera encore pour
eux la meilleure.
La meilleure à mettre en opposition,
devra ètre pour les gauches,
conditionnée de mémo façon. Mais
an lieu de s'être constituée pour
s'opposer à tout progrès démocratique
le cartel des gauches aura pour
but de présenter a l'ensemble des
denaierates, pour les voir se réaliser
datte la législature à venir, la réforme
fiscale, la reforine militaire, la
réforme de l'enseignement et hi refonte
économique de la Prame, préliminaires
d'un acheminement vers
les modifications économiques ré-
tion politique plus prononcée, plus
élevée, qui permettait à l'opinion de
comprendre cette commune demande
provenant de milieux opposés.
La guerre est passée par là; avec
elle l'indifférence est venue, qui se
dissipe cependant de jour en jour.
Pour intéresser aujourd'hui la masse
électorale aux problèmes du jour, il
les lui faut nets, tranchants nièrne,
ne lui offrant ni l'ombre d'un doute,
ni celle d'une appréhension. C'est
ce compte, je crois, que l'on parviendra
à l'inciter à s'intéresser à
In chose publique.
Devant cette nécessité du concours
d'adversaires de notre tiragramme
minimum, et la quasi-certitude
de n'avoir pas une R. P. véritable,
je me demande si le retour
momentané, de circonstance, au
scrutin d'arrondissement, tel que
nous l'avons connu avant la loi
Bouffandeau, ne serait pas pour le
régime républicain et pour le Parti
socirdiste, la meilleure position de
défense et de conquête.
Avec le scrutin d'arrondissement,
il n'y aurait pas te conflit qui surgira
dans chaque départenient pour
la fixation an cas de cartel des gauches
-- au seul tour de scrutin. par
l'effet de la loi électorale qui nous
régit du nombre de candidatures
revenant à chaque parti en organisation,
prenant part au Carte/.
Chaque parti pourrait avoir son
candidat, et voici les partisans de la
motion Broche (ce demie, aa estil
toujours partisan avec te avemd,
majoritaire départementa/ millet ?)
satisfaits dans leur demande de
candidature générale du parti au
premier tour de scrutin.
clamées par le Socialisme. Comme
Ce genre de consultation, aura à
, aima de préciser quelle doit et, a, mon sens, dans les circonstances pré-
' dans le domaine des relations estesentes,
l'avantage rie faire connaltre
rieures. l'attitude de la France dé- à l'électeur, les candidats que sonna-
, mocratique.
teront ses suffrages. Une situation
A mon avis la campaime électo- compromise commande des pilotes
rale devra revêtir quant a son objet, avertis, comme des passage., e( pi-
une forme simple, concrète, nette, gés pas eux dignes de les conduire.
posant à la conscience de l'opinion C'est un inconvénient de la la. P.
1
' publique l'état déplorable de notre rien n'est parfait en ce monde
pays dans tous les domaines de son inconvénient d'autant plus grand
activité économique, politique. Muet- que /es parfis politiques sont inoriectuelle
et morale, et opposant à ganisés de laisser les candidats
son enlisement les réformes démo- au deuxiame rang, réservant les
cratiques plus haut énumérée., seu- idées au premier. Cela eat très soules
efficaces à redreseer la France haitable en principe, mais on con-
daas sa tradition de najas révoluviendra que l'idée aura d'autant de
tionnaire, au sens historique du mot. vertu qu'elle trouvera dans l'individu
un défenseur autorisé.
Et puisque à l'encontre de la loi
Voici que vient se reposer le. tmm, anglaise nous bénéficierions d'un
tics de la représentation proportion- deuxième tom de scrutin, au ces de
nelle.
majorité oP11 absolue ce qui rat
Il est certain que cette reforme au avantage, il est évident qu'il
s'impose au point de vue de la jus- conviendrait de préciser par avance
tice, de la clarté, et pour la solution notre attitude en l'occurence.
définitive de cette irritante questian Je rente partisan du désistement
de tactique électorale, qui fait sou- réciprocité du socialiste
sent oublier à nos militants l'objet au bénéfice du candidat plus avan-
politique et économique du soma' tagé, acceptant comme réformes im-
haine, C'est une remarque que l'ai médiat. celles énumérées ei-deasue,
souvent faite , on se comptait da- et P.rt.earn nue /a manière de
vantage dans nos milieux, à contre- faire dans les relations internationaverser
sur le mode électorat, que sur les, l'internationalisme pacifique que
t'action immédiate et la science so- nous professons,
ciologique. Chose bien plus facile en Et pour préciser, je dirai qu un
vérité.
cas de deuxième tour devraient se
'Mais la R. P. n'aurait ea plaine trouver réunis sur le même candi-
efficacité que réalisée dans un cadre dat, les suffrages de tous ceux qui
ragional, aussi étendu que possible. partagent l'état d'âme politique de
nié serait :does, avec ses nuadalités la Ligue des Droits de l'Homme. Non
'4teei mathématiques qu'il se pour. pas que je veuille donner à celle-ci
4/1, la traduction de l'expression un caractère politique électoral; elle
s'en défend à bon droit. et son succès
est pour beaucoup lié à son
a-électoralisme. Mais dans sa propagande,
dans son action, elle donne
aux républicains des directives qui
me paraissent former le meilleur
progranune minimum capable de
réunir l'ensemble des démocrates.
vraie dea opinions. Croit-on que le
P
.arleinent présent soit capable d'éiaborer
mie telle loi ? A voir la begne
par lui produite, on est en
ll'oit d'en douter et de croire plutôt
4 Une loi plus hatarde que celle qui
',ails régit.
Puis il y a cette chose délicate
latte toutes, (trie la R. P., les sociaees
se trouvent ob/Maie de la réamer
et de l'obtenir'avec le con-
te de ceux qui justement se iran-
Vautre Plus farouchement dressés
j us, dans l'action politique
ere. Les militants ne s'affnssaiv
de pareil état de choses,
à craindre que l'opinion
actuelle, ne juge cette
contradictoire.
C où Jaurès. Gromsier,
nos amis Parlementaire,
s'attachaient du 'mil.
tr action à réaliser la R. P.
dans la paya une éduca'
SOCIALISTE
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BUREAUX A PARIS 45, Rae J5 Travas, 46 (IX* Ausendianuase) Téléphone llea.ase
36-10
Ainsi résumant nia trop tangue
dissertation, je reste partisan de la
R. P., mais j'estime qu'en raison des
circonstances politiques présentes, il
y n quelque crainte pour le Parti socialiste,
à voir mal comprise son nation
sur cette réforme, et pour le
Parlement, à nous voir dôter d'une
loi pire.
Mes préférences iraient au retour
pur et simpie, retour du moment,
au scrutin d'arrondissement, après
révision départementale j'en conviens,
du nombre de parlemeataires,
par leur fixation éguneble.
Ainsi possibilité pour le Parti socialiste
d'affirmer dans l'ensemble
de la France, au premier Mur de
scrutin, sa doctrine, satisfaction étant
ainsi donnée aux plus exigeants.
Quant au deuxième tour, désistement
au profit du candidat le plus
favorisé ayant accepté les réformes
immédiates suivantes
Impôt proportionnel et progressif
sur le revenu;
Instruction laïque, gratuite h tous
les degrés, avec sélection;
Réforme militaire par l'instaaralion
de la nation armée;
Industrialisation des services publics.
Et dans le domaine international.
acceptation de l'entente internationale
des classes ouvrières et des partis
démocratiques, en vue de la lutte
contre la guerre et /e mandien de la
paix par l'universalisation de la société
des nations.
Ma conception -- appficable à défaut
d'une véritable R. P. aurait
pour résultat de donner satisfaction
à la fois ans orthodoxes et aux partisans
du Bloc des gauches, non pas
que je cherche à plaire à tout le
monde, ce qui est d'ailleurs impossible.
Telle est mon opinion, que je base
à la fois sur les circonstances du
moment, et sur l'intérêt du régime
républicain et de notre doctrine.
Adrien PIEU.
Nom publierons demain l'opinion
de
HENRI SIZAIRE
Moira de Castres
PETITS 15/LLCT5
L'hie sur MS Maires
Malgré la nécessité de voter rapidement
la loi de finances pour que
le Sénat en soit saisi avant la fin du
mois, la Chambre n'a pas hésité à
consacrer plusieurs séances à la discussion
de l'impôt sur les salaires;
ni le gouvernement ni la comnassIon
ne se sont opposés é l'atnplitar de ce
débat.
Car la question est grave. L'impôt
sur les salaires, cri plutôt la façon
dont il est perçu, a soulevé de nives
protestations dans la classe ouvrière.
Le groupe socialiste ne pouvait pus
ne pas intervenir: Vincent Auriol et
Alexandre Varenne sont venus d la
tribune affirmer, en son nain, des
principes et proposer des solutions.
L'attention avec laquelle la Chambre
les a écoutés, les approbatioma
chaleureuses qui ont accueilli leur
démonstration, leur ont prouvé que
Ira arguments dont ils étayaient leur
thèse avaient frappé l'esprit de leurs
collègues. Si la Chambre ne leur a
pas donné complètement raison, c'est
à des motifs budgétaires qu'il faut
attribuer le rejet des propositions egoportées.
Courageusement, le mot n'est pas
trop fort en présence de l'action de
certains démagogues, les deux orateurs
socialistes ont maintenu le
principe de Timpixl sur les salaires.
Et leur attitude était commandée non
seulement par la justice, mais aussi
par la vision très nette des conséquences
politiques.
Supprimer M cédule de l'impôt sur
les salaires et les traitements, c'était
le premier coup de pioche porte
au système fiscal de rimpôt car le,
revenu; c'était In brèche ouverte par
oit se précipiteraient tous les adversaires
de cet impôt, imparfait encore,
mais qu'il est possible daméliorer,
Les socialistes ont vu le piège r ils
n'y sont pas tombés.
Le principe une fois admis. ne fallait-il
rien faire t Nos amis étaient
loin de le penser.
lit ont proposé l'exonération de la
presque totalité des salaires en demandant
que les abattements ponr
le calcul de l'imnôt soient ralentis
d'après le coût de la nie. Ils ont soumis
â la Chambre des chiffres qui
arrivaient à cette solution. Ils ont ensuite
demandé pour les salaires In
diminution 5Iu taux de l'Impôt.
La Chambre ne les a pas Suivis,
noirs cirons dit pourquoi. Leurs efforts
n'ont pas été toril ét fait vains
Zig ont obtenu une déduction intéressante
pouno les charges de famille. Ce
vole de la Chambre est une Memnon;
si la situation financière eitt été
meilleure, nul dottte one les proposi.
lions de Vincent Auriol et de Varenne
re.1148.118 triomphe!.
Ce n'eut que partie remise.
Menaces de guerre dans l'Est
LA POL.00NE MOBILISERAIT
MOUVEalENTS DE TROUPES RUSSES
Ois mande à la Chicago Tribune de
Berlin I
Toue les ambaseadeueu d'Allemagne
dans les Etats frontières da la Russie,
aussi bien que rambassadeur
pie da. les Etats frontières de la Russie,
aluni bien que l'ambassadem d'Alto.
massue à Mtescou. lut Hrockdorff-Rantmu,
sont arrivés mfiourd'hui à Berlin
afin d'assister à une conférence.
On mande de Kattowitz que les plue
jeunes cl.ses polormisea or,t reçu leur
ordre da mobilisation.
Le maréchal Pilsudski serait parti peur
Beest-Litowsk pour assister à une revus
militaire On signale des meuve/sante de
troupes russes à la frontière polonaiee
oh de remiseras trains venant de Moscou
amènent den troupes. On a remercia/é
quelques chers d'assaut parmi leur ma.
tériel.
A MEMEL
Arrivée de nouvelles lords alliées
Berlia, 19 panier. Ou mande de Memel
aux jourmits que deux eronnurs français
son/ arrivé.. Des .mfiliata anglaia Ont
débarqué et ont placé des postes militaires
à in prefeeture.
La prefeeture et /a easeme mea/Mea par
les troliques tramais., ainsi que les alentours.
scat en quelque sorte considères
comme territoire neutre.
L'amiral anstais &ru, récemment à Memel
nageais avee lm LU/manie.; -mais on
ne sait moere rien sur les resultuts. des
pourparlers.
Une intéressante initiative
en Suisse
SERVICE CR/LL AU LIEU
Genève 18 janvier. Une pétition
vient d'être adremée airs autorités fédérales
demandant l'institution du service
ci,' en faveur des mtoyem que Dura
convictiom politiques ou religieuses en/
pêchent de remplir leur obligations militaires,
obligea°no dont ils seraient, aux
trimer de la pétition, dispensés si le set
vice ci.] devenait une institution légale.
Cette pétition, qui émane de milieux
très divers, est, en effet, appuyée par
des signausres catholiquea et socialistes.
Il est très probable que la pétition se
transformera en intiative, laquelle sera
en fin de compte soumise navale popce
laure, c'est-à-dire au ramendent.
Aux Mines do Carmaux
_
Victoire déPnitive des ouvriers
LA COMP.AGNIE CONDAHNEE
C.D...., 19 imater. Set tribunat civil
statannt ou référé, a remlu, mercredi
soir, sa aSeisven sus l'opposition Demie
per la Campesnie ans leu., que le
Hirochett des Minsmai amti eXun titre Miroiter
avait mise es demeure dexecuter le
inerte& am ennaleunnée k Insi verser
-'tais essoièrn somma de m.» trams, jailli,
ment remue am les sedan, de la Pranifise
qui aulne ..e seetm
Le tribunal a roadtams6 la Compagnie à
venter, nontobattant appel et rem csatition,
la somme da 34.903 frarns entrte es nnen8
iereetaire du &recase
D'autres yoim de rem,'s restent emore
ouvertes à ta Dampagne qui. rependant, au
dela& de mn, importante again°, videahusit
avec furiere qu'elle était prête II anniginer
devant une &Pulsion do justice, dont elle ne
ferait rien peur retarder Peabeauce, mets
qui, depuis, a minpletcsuent change d'alti-
LU*. axammulmt toua O,, mure. dilatai-
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DE MAL EN PIS
Pim cite qu'on n'a pu le précoir, loua
les damons contre lesquels ms005 avons en
train mis en garde les mucors de t'averstare
de la Ruhr, révèlent leur caractère
forrnidable.
La résistance allemande s'affirme. Le
gounernernent français s'acharne dans sa
politique de contrainte.
C'est une véritable gamre md a us",
s'enté. Les autoeités française» se rem
dent compte elles-mômes de la difficulté
de réquiseenner le charbon am mines
mêmes, C'est pourquoi elles ont recoure
à un autre moyen. Ori veut diriger sers la
France tons tes trains de charbon destinés
d l'Allernagne.
Mois cette opération sera-t-elle phis
facile 2 Les ruines continueront-el/es d
produire dans ces conditions
Et si oui, ponrra-t-on surmonter le probtème
du transport ?
Ers atten&ed, la nervosité' s'accentue,
et la cagne de haine monte de part et
d'autre.
On pressent une catastrophe!
Puisse rai/enfuie dtre liquidée am&
qu'ePte n'éclata
Le point de vue
de 14. Herriot
Le dernier vote cla confiance du Parlement
t M. Poincaré, où M. Herriot, da-'
Famé, président actuel du aces rudieal,
dee trouvé en contradiction ragraufe
avec M. Domergue, sénateur, ancien rd'
sulent du métre parti, a provoqué dons
In monde politique une grosse émotion
qui a sembbt devoir entrainer la démisdon
de M. Herriot. Le député de Lyon,
renseignements pris, reste d san poste.
Mais il a voulu justifier .g attitude, et
Pau la menus l'ail voulu sonna
bldmer l'attitude da ceux qui ont suivi
M. Domergue. Il l'a fait dans un article
qua r uvra s puls'iait hier matin, et
dont nom croyons obis et mime indiss.
pensable de citer les plus saillants pas.
sages
Dans l'indigence de documents officiels
où noua sommes tenus, alors quo la
Ruhr peu' tant d'esprits ne représente
quasis contrée vesou une Atlantide, ou
un Eldorado, je ns étais avidement penché
sur ceux qui me pouvaient remei.
soies N'allez pas dans la Ruhr, nue di'
nom en sa première partie le rapport Da.
nias. N'alles pas dons la Ruhr, ajoutait le
vieil ingénieur Cambon, l'homme de
France qui, certainement, connaît le
mieux rAllomegne. N'allez pas dam la
Ruhr, me faisaient discrètement dire des
hurnmas ans ne Pois trahir, mais dont
la qualité m eispeussionnait. L'Alletna.
gim capitaliste assmément est de mauvaise
foi, proclamaient-ils. Fui io le sais
bien, et je le dis à qui veut l'entmdrc.
Mais, canal/laient mes guides, si vous
voulez la saisir. saisissez-là sur lo Rhin,
o lai, j'en appelle à M. Clemenceau
dow pourtant j'el peu guûté
lets violences. Il part pour les E.W.e.cUnis,
tont chaud d'une ardente conviction, se.
81..4 qu'il va convertir. Il revient. Après
cette expérience, qua dit-il J U se confia
à un journal américain. rai recherché le
document à son origine. De son inter,
view deux idées se dégagent u P Jouedessala
Ruhr, 2. En cas de déesieverd
avec l'Angleterre. faites appel à l'Arraérique.
Que l'on teausohe le texte. On
verre si je me trompe ou ai j'ai menti.
I, Je proclarne ici ma conviction. L'Amérique,
elle, ne cèdeus que pour SerVir
A QUOI IVE VENT LES MID1NE1TES
15 CENT.
DANS LA RUHR
Trous ne sauce. pas?
(Cliché da MerieSlaos)
Non t Les Allemand. se révoltent
Ce qu'an s'en ficha é Léa.
d'ami I
rsatfis camarade Léa, aient da chante
SAMEDI 20 JANVIER 1923
...Mais ce n'est pas pour
obtenir du charbon qu'on
a occupé la Ruhr
On réquisitionne le charbon
une grande idée morale. Elle viendra
dans la paix comme e//e est venue dans
la guerre, ie jour OÙ On rappellera à .8"
sures la &é...ira de la France en accord
avec un programme vieiment démocratique
de renoncem.ent à la gaarra e
travail en com,man
Edouard HERRIOT,
Aurons-nous du charbon ?
L'ATTITUDE DES INDUSTRIELS
Berlin, 10 janvier. Le Comité et le
Canpagnie centrale de l'Association d'in.
clmtriets allemands se sont réunis hier,
pour discuter la situation dans la Euh,
Do ont dédite à Puna:Matte d'adresser
à M. Prit. Thyssem à MulhelnpLur-Ruhr,
un télegramme le remerciant pour Ou cou,
rmeuse attitude, recommandant à tous de
tenir bon et déclarant qu'en misas du
danger qui menace l'existence de tout te
peuple allemand, l'industrie allemande
fera en sorte que les sacrifices supportés
actuellement pur le territoire de la Item
ne soient pm vains.
D'autre part, des peurparlors sont en
cours cntre les représentants du Syndicat
dea cheminots, la direction des chomim de
fer d'Essen et lm autorités d'Empire sur
l'attitude à adopter par les cheminots
t'égard de la main-mise des autorités d'or.,
cupation sur les transports de charbon.
Ou annonce officiellement que le gouvernement
d Empire a conformément aux
instructions ilmnées Pnr lu commises/te
d'Empire au charbon, interdit aux fane.
tionnairm et employés des chemins de Inc
d'En:pire de transporter du &tarpon ta
destination de la France et de la Belgium
ou de collaborer au détournement' dm
trains de charbon destinés à l'Allemagne,
sur ces deux pays.
On mande d'Essen aux journaux de Ber.
lin que la direction des chemins de fer
d'Essen a repoumé la demande dm am.
ratés d'ociamation de détourner sur la
Fronce les convois de charbon destinM
l'Allemagne.
LES REQUIS/LIONS
Essen, 11) janvier. 1,a deroutemmht
de charbon et de coke ont continué biet
sans incident, marquant une augmentation
sue la bornée précédente de 4.000 [mince
aviron. Un certain nombre de traim ont
été dirigés vers la France.
D'autre part, le talssion teehnique çail
remettre un ordre ferme de réquisition
aux &recteur des mime; fiscales, qui devront
en commencer l'exécution cc las.
tin, Au cas contraire, elles se verront Dep,
pies d'un certain nombre de mesures de
coercition dont les détails ont élit arrêtés
après consultation du gouvernement Iraecals.
MESURES SUR LA RIVE GAUCHE
DU RHIN
Mayence, 19 janvier. Les hauts cois,
mie-mires Litem/11es des territoires nié.
sans se sont Munis hier matin. à La suite
des manquements vehuntaires au l'Allie/nas
une; ils ont pris trois ordonnances relit.
tires :
I. A la salide de l'imp& me le charbaa
dam les territaires memest 2. A la uti,
nattadodzce. ges ei= d's up1;:',
3. A la saisi de menti. gages proreuant
de la gestion des l'exploitation des ro..
sourires forestières des territoirea neer,.
Le haut mnunissaire britanniqm a as/
sista à la sten., mais s'est atutuenu; la
aleprettentant du gouvernement italien
également partielpe à la séance.
CUI NOS ALLIÉS
Part.,, 19 jmvier. Bien que le dé.
téen britannique se soit abstenu hier à la
Li. C. L, le gouvernement britannique a
tenu in num donner Passuranm qu'il ne
s'opposera pas aux meaturs que nous al.
Ions prendre bu la 'etc de po& de Cola.
(Me Le haut commissaire anglais o seulement
dentm& que nous prenums des dis.
positions grOce auxquellm lm mIdats bri.
humiques n'aient pas à entrer an matact
trop fréquemment avec la population alle.
mand
Poure. la première fois, à la réunion
d'hier, un représentant italien, M. Cote.
rano a voté.
Il n'avait pas reçu les pouvoirs (le 010
gouvernement à temps pour prendre Part
es vote de le première ordonnance, mit
porta sur la perception du kohlentimer;
mais il a pprouvé /es doux autres u sur les
douanes et les forets.
Dans peu de jours, Taillmr, il y aurn
un haut commissaire Italien à côté du
eûtre sur le Rhin.
SIR BRADBURY QUITTERAIT LA C.D.H.
Londres, 19 janvier. Le mn/espoir/
dant MI « Daily Chronicle u écrit qu'il est
probable que sir John Bradbury pour des
raisom d'ordre privé se denaettra ptochainernent
de ms fouctions du délégué
britannique 11 la C. 1). 11.
ffn croit que sir Waren Fisher, serré.
tele perinment à la Trésorerie, lui mccédent
à l'Hôtel Astoria.
LES ITALIENS A COBLENCE
Londres, -9 janvier. Suivmt un mes.
sage de Home, des négociations seraient
en cours On ce moment entre Paris et
Rome pour fixer les oonditions dans lis.
quel/om les troupes Italiennes pounpient
remplacer les tronms américaines â Co.
blmce et prouver ainsi à l'Allemane hi
solidarité des Alliés.

2 61MMIten,
Que font les Allemands 7
TINE N9re A LA S. 1). N.
Berlin, 19 janvier. - Le gouvernement
blletnend a adressé li la S. D. N. une note
doti, laquelle Il proteste euton b pré-
seine de troupes françaises dans In ré-
gton de la Sarre.
La note déclare notamment que l'idée
d'une cotas:M.0n popote:Mets:lans celte ré-
gion ne se concilie pas avec la présence
de troupes d'Une puissance faisant valoir
ses droits sur ce territoire.
et Si la France a le droit d'exploiter
les mines de la Sarre, déclare la ce
n'est pas à nous de les défendre.
Le gouvernertient déclare à nouveau
que Mine des mesures les plus utiles JI
prendre, en exécution du traité de Ver-
sailles, est le reinpla.ment des troupes
françaises par la gendarmerie locale.
UNE MISSION SECRETE
Londres, 19 janvier. - Le ...pondant
spkial do s Ttmrsn le Essen dit appren_
dre de source sûre qu'une mission secrète
Meniande a quitté Itedin pour Londres,
afin de demander à la Grande-Bretaguc
d'intervenir dans Fat/étire, de la Ruhr.
Le « Daily Sketch s, qui comme le « Ti-
mes o annonce TerrMée en Angleterre de
cette iniFsion allemande, écrit que l'Alle-
magne fera l'exposé de sa situation émono_
inique de jour in isour phis désespérée et
en accusant In potitique françaises d'alfa-
mer ses masses populaires.
Le o Times s dit que cette délégation a
paie de chances de réussir, le politique du
gouvernement britannique étant temours
la même t s'abstenir de Mute intervem
Itou, sous quelle forme que ce soit.
MANUVRE DEJODEE
Ditsseiderf, 19 brui/ - lo démena..
gement de la Beichshank de Mayence a
rte. empêché, hier, par les troupes que ru.
'Pistard, bans c....mire français dons
/os territoires rhémin,s apni thanances.
Nous ayons mis /a :nain sur tout le
numéraire.
De métre. ce malin, la Reidebank
Desselclusf ortassalt ses richesses dans des
curions grillagés. Les .smions allaient
partir quand ms soldats les cernèrent.
Même emplehement a db mis à 1900.
vioc «lev fonds de la Itelolishmm de Dort-
Les suites de l'avilissement
du mark
Maymne, 19 janvier. - L'avitimement
irrémédiable du mark va amener Piero,
sluctiou raptdo d'une monnaie some dans
les territoires- oroupés; des francs ou des
Ilorinv. Cri parle du godai paice que déjà
cette mou.to pue au très gr.d rota
dans Ms tractations .mmerciales des
pays rhénans.
La nmecouVre du greperritement aile-
mand se retournera donc contre 119-miane.
Au point de vue économique d'abord, tonte
Peano...Mn allemande étant basée de-
puis plusieurs années anis la faible valeur
du mark par rapport no., trairas mon-
naies. l'introduction d'une monnaie saine
provoquerant dans les pays rhénans' une
stabilisation des prix et des salaires. Au
point de me Politique, I/ en résultera .e
barrières monétaire entre les pays oecim
pês pourvus d'une ummurie saine, et le
reste de TM/Cumule.
Ce n'est sans doute pas précisément le
but que R neich se pergtmait d'atteindre.
Il se trouvera donc en face de elms alter-
natives t séparation goonomique entre
la Rhénanie et te rosse de t'Allemagne
eu une généralisation daim toute PMI.
:magne du régime numeMire des pays
rbennati. Ce ne sera pas tum petite altaire
élans Idélat Mi an Meuvent les finances
tIn Reirli.
L'EENONDDLIMAT ttIa MAT
Le mark baisse titane manière effrayante.
De en jugera par de table. Mtimd
Cours me9a du mark (par 100 mark;
27 décembre Bedon. ....... 0 fr. 21
3 P. irr 152.1 Or. 18
s 0 i7
1 6 0 0 fr. /6
0 fr. 15
0 fr. 13
0 fr. 11
10 vi 0 fr. 08
18 ts 0 fr. 06
en Bourse, la dey.oc allenaande état:
invendele ii 0.06 les mark. Vers 6 heures,
il y eut quelques demandes 7m 0.07 sue de
-vagues pumours reIntioes à la dé-Missiou
e dom. Néanmoins, c'est une bracle I
On prétend que Ms Allemands vendent
es mark pour se proeurer des livres en
nale I: paiement des fournitures anglaises
de charbon. Aux cours actmels de la diegisa
britannique, et du mark, eette opération
est absolument netsieuse. Maie si 1. Alle-
mans veulent le charben, ils /Myron: le
payar très cher et Rutplant..r les mines
anglaises ont des earnets de commandes
osser ehatiols et se montrent 9219e las dans
des pourperiers.
C'esl ainsi epeû Hull, une vante de
race Re,es de houille û chandthq do
Conne qualité 00 pu être rond. 01110 SOus
Cerlditien expresse d'un paiement
o cash tt h Londres, ou Amsterdam, y, avant
Pambarquement
Voith qui n'est pas trop eensolant pour
des Allemande, Mai comptaient sur do lar-
,reclifseo l'Angleterre. 11 fard deehan.
Ler.
CHEZ NOS SOLDATS
Paris, 19 janvier. -- Les dispositions
suivantes net été adpotees rebtivement à
l'achemines/ler>, oies correspondances des
militaires envoyés en renfort I l'armée dis
Rhin, an elle de 10 progression vers ta
Tant que l'armée do Rhin n'aura Pas
fait connaître à ces militaires le numéro
du secteur p.tal desservant leur unité,
ces correspondances devront être achemi-
nées sur le bureau frontière du secteur
postal 219 qui fera suivre les dites carres.
pondances jusqu'A destination.
Dès sue les militaires el-dessus In.-
tiennes conneitiont In numéro du secteur
postal de l'almée du EhM anquel mi rat-
tachée leur unité, ils feront commit. ee
numéro a leurs .rrestoond.ta. Ces der-
niers devront abrs libeller de la façon
suivante les adresses des correspondances
en question
Nom et prénom du destinataire. grade,
unité, compagnie, es.drun ou batterie,
once otisrvice, numéro du secteur pochai
à l'exchisMn de tout nom de /oralité.
Cours des Changes
Log:Ires, 69.152; R.ese-York, 16; Alterna-
CIIM:d.,13 Knigéque, 110:0; Danemark,
; 115 elle,gr. 89230; Hollande.
ollae. 596; Italie,
71.761 Tvagua. 1152; Norvège, 27930;
7.19; Seade, 402.50; Suisse, 87929;
VItMls, 21.
Un Dm. *po..
Londres,
te 861; Ne.Yerk, htt 00e. Mû; ft. %r-
enne, à 01e. 429; à Geubve, à 0 fr. 857; it
gertin, à 1.411 fean.
LE MIDI YjCIALLSTE leMaPCMIPPMIMMuseempapacepangteliZMIIINIMMIIII
A LA CliAMORE
L'impôt sur le revenu
Paris, 19 janvier. -Séance AS heures,
M. Landry préside. Urie cinquantaine de
députes 0001 présents. La discussion de
la loi de Batelets est reprise.
M. Beirarranunki, rapporteur général du
buclet. - La coneression dos finances
préfère que, pole, l'application de Ting
pôt sue le retenu, soient traités comme
salariés et non conte. commerçants les
artisans travaillant chea eux ou au de-
hors qui se livrent tt exclusivement à
la vente du produit de leur propre tra-
vail.
.1./I - Lies artisans émaux, fres
reteins, charrons, bourreliera, ealmtiers,
etc., Vendent toujours différents objets
dont ils ne sont pas les faluns:an. et qui r
oint quelque moneart avec lem prefagaiort.
Ils or gobStrent "v05 benimoup sm
yen-
tes et y renonceront s'ils doivent en per-
dre l'avantage d'être tvaités nomme sa-
lames, ma. alors lem chenssle payemoe
sera bien entech, de l'approviaionner
de fers, kaches, cbaussons, etc.,
qui lui sera indispereoleks.
M. de Lastayrie, miniutre des fireanc..
- y accepte que ces venons soient menai-
itérée. cOrearne accemaires de la prof.-
sion principale de fartimos. Il suffira de
viser dans la loi les nitioses qui se livrent
principalwrent et non exclusiven.nt à la
vente du produit de leur propre Cava .
Puis sur Ces diverges modalités d'O.-
luntion et de. paieront., de longues et
coaf unes et Mmes. eleszterions se pro-
longent tant et ai bien qu'a sept heures
on n a pu Voter eue les articles 6 et 7
dont ce; peut affamer que. le Sénat les
modifiera ,totalement, en Sotie qu'eu
fond la Chambre a perdu son temps.
Ceat pourquoi elle siégera demain ma-
tin et soir.
Un Usurier des mutilés
condamné
IL PRETAIT /4 40 POUR CENT
AUX PENSIONNES
Nancy, 19 janvier. -_Anionsorloe Med esse
ger, ciseau le eilatual esoacêemal de Nen,
le Umm. Dosait. do Nor.
sou uni ce /*enfer est pensent en 'le>
An la du Dé Mlle 1919, eit; ...in de
même sur lis assume. 0, Dectile stase fait
usgrislim de mater ms nottil. et à den
taus s rimais d'emiembe
que /e leasestrice assit avancé de Vaasa.. une
ecrearse de 18.31.6 fi 95, se reseitiss. ,,o89
etruxenteurs sieulutsis de remets .1,samm
Le Limai. en se livime ee mfa, tien:
sert un cerntin nen. nesse:il es motmé. nos
nom me samme de 109 fr. rem. mi no.
1000 Vant entes 20 et 40 Boom.
Les chemins de fer
franes-espagnois
Madrid, 19 jarmiar. - Le confleil de la 1
-
prgense nationale, réent sous ln mégi-
dence du roi. se negoit occupé de la cons-
truction de divers. lingres do ehernms de
fer, et plus partimlièmnent de In litanc
d,e Pmmehme à la frontière française,
dont les travaux mat déjà avancé.' , inasi
doat seleversPent amuit maremme
poussé à bref délai, voreomément aux'
désirs exprimée par le Maistre des na-
vaou pub e
publics et do commerc
Les lettres anonymes de Tulle
Limages, 19 janvier. ..-AnaHe Laval
ayant fait appel du jugement du tribernasl
comectionnel de Tulle la condermant
un mois de prison avec amas, con-une
étant Fauteur dan /cures anonymes de
Tulle, le procureur général a également
interjeté appel s à minima n contre cette
ctelont.
Le dossier a été trar.suie par Le prame
rem- de Tulle au parquet stet
ie
iéral, et l'al-
foire vnds. devant 4 dour dam Fa
deuxième quimaine de février.
Les Obsèques
de M. Maurice Loi
Colombie, 13 janvier. - Les ulcérions u
ns d
gouverneur général de l'Indo-Chinc ont
eu lieu le 16 tamier. Ln levée du culpa n
êté faite l'hôpital généra/ et remue
donnée â l'église de la 'Toussaint.
Les honneurs militaires ont été rendus
par mie compagnie anglaise et me campa_
nie indien.
Le corps n été conduit au dépmiteire
I'Mpital militaire, oit les honneurs ont été
à nouveau rendus.
S. E. le gouverneur Clementi a Prescrit
qu'une garde d'honneur fournie par le ré-
giment anglais dc Colomb.
im
veille lu dé-
pouille mortelle jpa'à son embarquement
sur /' André -Lebon
La suspension des négociations
anglo-américaines
Londres, 19 janvier. - M. Stanley-
Ilcfratin, chancelier de VEdhiquier, et
M. Montagu Nordmann gouverneur de
la Banque d'Angleterre, ont eu aujorr-
d'hui une dernière entrevue avec m.
Menou et la commission umériegine de
consolidation de la dette britannIque. Ils
vont s'embarquer samedi, à New-York,
pour l'Angleterre.
Les pourparlers sont suspendus proba-
blement jusqu'après le ler mers. .le con-
grès actuel devant siéger oubli
date.
Il est possible que Sir Auckland Cled-
des, antb.sarleur de Grande-Bretagne à
Washington, mit chargé do la mite des
itégociationa.
On à l'Impreesion que l'échec monacre
toué de cette conférence est dil à rimais.
tance du gouvernement de Londres, le-
La refusé d'accepter des conditions
de consolidation qui lui paraissaient trop
onéreuses et qui doivent grever le bud-
get anglais pendant soixante ans.
Les pursulus
TURCS ET GRECS Notre Ch
contre Musel CsciÉn
m-
LE VOTE DES 1/M'UTES
Paris. 19 j.vier. - Voici le résultat du
pointage sur les tounclustans aie la tosn-
mission chargée d'essmiser une demande
en autorisation de poursuites coutre un
membre de la Chambre
Votant,, 619; urrapecile 2211.
Pour l'adoption, 971; courte 149.
Oct voté contre t A.ambrny, Albert
Favre, Alexandre Blanc, André %colt sr
florême), Pratt Auer.u, Aubr. Vano.t
Aurait, Aasssu.e,l (Maries Baron, P00, Oie,
Edouard Biely. Barnard, Chari. Bernard
(Seine), Rertheleneot, André Berthe:1, Dé-
:sinise, fisPcl, entetne Blanc (Ain), L.n
P Inc, 11o:sueur, Adules Borret, /Mué,
Bustsson, Maceel Caooio, Cadet, Coeur..
Lanavelli, Lastel, Charles Casals, (Maries
Guilhaninon. Péronne:, Clair/set, Clerc,
Chaussy, bouille aulutunps, C0.13e-
Moral, Connes-et, Henri Causant (Seagq,
Couteaux, Deladier, Daniel Singent, De-
tory, Pau/ Denise, llmgeotm., Demrnaul.
Muge., Dodu:. Dorasoy, Du, arstur,
Escoffier (Nerd), Evrard, Femead, Flodis
Georges Ba,thélgiley (Pas-dé-Calais), Ri-
chard, Ghrusi, Girard, colonel Girod, Inc.
tin Godart, Geniaux, Conde, Groumiar,
Guidiard, Baud., Iland, Henry Sonnou
(Tarn), Herriot, Hugnet, Ingisels, Israël,
Jarmo', Sohmbit, Jcin Pienatut (Lot-et-
Garome), Joseph Durand, Judet, Laie-
petto, Ernest Lefotn, log temiltière, Lames.
Landied, Lebel, Lebas,,Frangelo .Le_
gaine, Marcos, Masma; liaucel, M'etc&
Nadi, Nilielle, Niccd, Painlevé, Anchte Pai.
sant, Paul Perey 1'.u.luOI, 11 Poail.
Bencese, Pldllta,u, Phillippoleaux, Pierre
Raina, Pierre Robert, Pinerd, Piton, Met,
Isiiittedu Piresmmane, Proust, Queintde,
Pienard, Beyinoneneg,, Binguign Rognon,
Charles Baux, Actium iba,ies, Sagel, Soja.
Venant, Sens. Iirby, Vaillant-Couturier,
Valleste Varenne, Jean Vidor.
N'ont pas pris part annote r MM. Henri
Aiguier, Raoul Ang/le, François Arago,
Mistsie Briand, Avril, Résispet, Vidor Bo-
ret, Beingier. Bou.sou (Land.t, Cand.e
Ca.pus, Charlet Paul Dubois, (Merles Dai.
mont, Dumesnil, Men, Scitspot, Ga-
vial, Bonsemot, Gennet, Joveiet,
-
Ismotte, La anne, vad
Meunier, dorien. Nivemix, Raoul Péret,
Pekit, Pierreagli
e,jbeyris, Ples/ 11.1
Maurice de Rothseluld, 190.-Freisineng,
Tarirais, Thomson, Tranchand.
Mont pas pris part au vete comme rete-
nus à la commission des finances 5 MM.
Bardo-, Bokmowski, Laudry.
Absents par cir-mgé t NEtt, Abh. Georges
Aimond (Seine-et-Oise), André FrEvourg,
Antenais, Antoine (Somme), Ardumbaud,
Combrome, Defos du Rau, Delemlle, Dons-
seuil Dalot. Louis Dubois (Seine) Gaba-
rit, de Goilhard-timeed. Colman Grand'
Pet0e.':3 e»J'gr"Iertn d 'tti.17Y7ron"Y/ je'sft'
y,

Evidemment M. Feuga n'est pas obli-
etêtre arboricultem, ou pépiniériste.
Mid's7ant.être agirail'il lausTlefamfflf
en prenant conseil de ces spécialistes.
p/unSt que de ML Thomno ou de MI Con.
l'Ibert, lorsqu'il veut faire plantes dés an 1
bres.
I/ Éviterait ainsi le ridicule qu'il rio'
luge et un surerofft de dépenses qu'il in-
flige am contribuables, en ce moment
(raira les travaux de la plage Matabiau.
Elle ers voit de toutes les couleurs, cet-
te pauvre jolace Matabiau 1
Nantia d'une statue qui assombrit son
horizon, elle a été dépouillée des tilleuls
qui l'embellissaient et la parfumnient.
Nom mettrons mieux que çà a, dé/r-
uai/rant nos édiles. Ces tilleuls sont mai.
grillais, sans vigueur. Anima de la Fa-
crue il faut de la robustesse et une o.
bra abondante
Et chacun de consentir à la mort des
Mais les remplaçants sont aussi rm
hougris au bout d'en an de plantation
u'au moment où ils furent plantés. Au-
tant valait dee piquets.
Et voicequ'on. lei arrache peuplas rerm
plac.er a leur tour
Lm remplaçants out belle allure. Mea
s.iln grandissant aussi vite que les pré-
cédents, Fan peochain il faudra les arra-
cher à leue tem.
Et combien tout cela corde -y-il 7 Com-
bien collet la pbontation des arbres que
l'on arrache 7 Ira combien foriération ac-
tuelle 7 D'innombrables écpelpes emplis-
sent la veste place. Camions, tours, ma-
tériel formidable font tue exhibition ko-
lossalle.
On dirait qu'on va construire cm Pa,
iris - ou en daneing succursale des
Beaux'Arts t - cor un pavillon « artisti-
que a pmir abriter /e prochain caneours
-d'un confrère.
Voilà beaucoup de fraie provooués par
d'incapacité ou la négligence de notre
conseil crin certainement agi err cette
circonstance, cancane toujours, cane rien
tontrôler, sans Métre savait qu on lui
luisait approuver.
Fr attendant, les Torbousaim cas-
quent.
La Place Nalablatt
Il faut Clone muhiplier les produits.
té 74. Débon est la raréfaction des Pro--
COMMele ? En accroiase. le production.
en révolution-mcomma
Mais
n accroître la production ?
-n travel ant.
&rais ce que. Mt Déjean n'a pas dit
c'est qu'avec l'organisation actuelle de
travail, où du haut ers bas de r échelle
eociale mi voit une multitude de média"
crités ne réussir qu'en fonction même
de leur médiocrité et où na surnom c'est
le veau d'or on de papier qua est le
maitre ck la bêtise humaine, mu ne peur
père espérer que le travail soit très pro-
ductif
Ge 'que M, Déjean rale Pus dit c'est
qu'en menue le Capital qui asservit le
travail n'a nevem par pour excuse, dans
In souveraineté qu'il exerce sur les tra-
vailleurs, dc. savoir se gouverner lui-mê-
me avec Intelligence.
Ce que M. litlieen n'a pas dit c'eut que 1
le principal renalede à la vie chère serait I
la mort rapide des rior,veaux riches I 1
Afkris corrune ce monde tir ne meurt mê-
me pas d'idiotie, il fendra supporter le
vie chine encore quelques lover !
Déjean ne combat pus la ploutocra-
tie. Il cluerche a la me chere des remedes
qui ne seraient pas des rermèdes. /1 nous
offre quelques petites tisanes, par campe
ale, celle qui consisterait à renoncer à la
loi de huit heures ! II y tant de crétins
qui ne travaillent Même pas une heure
par java I qu'on aille les chercher ceux-
là, pour faire le ennoiement des huit heu"
Le trovuillLolmeanéalmrtrovoil!La
majesté citu travail !
Cent entendu 1 Mais que les nouveaux
riches mettent tin peu la main ê la
pâte !
Et qu'on nous débarrasse do Dloc Na-
limai et du régime/ caritsfiete I
Les voilà les remèdes à ln vie chère !
Datuti kg Commissariats
Fillaudeau, commissaiee de 2e clos"
se, est ncerrané de Ire el.se, chef de la
sfileté à Toulouse.
Moins somértrie heureux d'apprendre
cette nomination et nous adremem à Mi.
Fdlaodeanm nm meilleure souhaits de
bienvenue.
Nous espérons qu'aurrès de lui com-
me auprès de ses prédécesseurs la imest
se trouvera touiours le plus bienvedlant
accueil et rue la sir' eté aura en lui un
chef
Et voici tle l'art- Cà ,et
lii. Joon Fiananiit, piafesse.r de
mation nu Conservatoire de Toukurse, cet
un homme actif qui voudrait mettre à
profit les lareis que lui laiment sa classe
rt ses leçons particmlième.
Après bien d'autres, il nous fait part
de cou m'errer de fonder à Toulouse un
Theâne d'Art clarinque qua érait, nem
uns élèves une émois d'appucation, et
pour le ublic une école d éducation.
fée I. muscoi est un optmnste. Il ne
peut se résoudre à moire que le vÉriner
raire ultra-léger., qui fait fureur auteur-
dirai ait
ait déhntivement tué l'Art avec un
grand A et que Ion gens aillent an spec-
tank" uniquement pour se a martes e, je
sois un peu connue lui, je Ic confesse, et
c'eet pourquoi je vous annonce avec plat.
un soui audacieuse tentative à laquelle
jr souhaite bon sue,cès et que j'amure
d'ores et déjà de notre concours le plus
sympathique.
Donc M. jean Froment /L'hésite pas à
organiser dune la salle du Imdin
si lointaine, si lamentable et ri désuète
rlpourtant, des progrumnes de bon et
prend théâtre où figureront lm nonm les
plm glorieux de notre littérature., armai
des talents ou.blies comme Rotron et Le-
sage et rem quelques auteurs du «ni
car ce bon MI. Froment croit aussi à cette
chmere qu'est la decentralreatran.
Sas reptésentations seront adomées de
rances. Ce sera évidemment très
. car notre professeur a d'indiscuta:
qualités d'organisateur et de metteur
n crène: il saura choisir se troupe et ses
tornertentateurs de main de marne. Il a
pris pour second M. Nadia Espy qui fit
stità dans notre ville, avec quelmm atm-
aèe. diton, une pareille tentative.
Nous tiendrons nos letteurs au courant
des faits et gestes de ce nouvel impressa-
.tin ger tua pas peur, lui, de la naine des
théâtres et nom les engagerons comme
il convient, a lm manifester leur intérêt.
C. PittuePou.
La première matinée aura lieu direart.
che prochain. Elle enrnicerre le Aldin&
Imaginaire, la Noir d'Octobrc et une con-
'gérance de Praviel.
ofrncosur la vie chère
M. Derme, avocat à la Cour, a fait
lier soir à l'ancienne Faculté des scien-
ce,. rue Lakanal, une conférence sur la
trie chère.
Il a exposé les mesures prises par le lé>
r(sisiteur
pour remédier à la cherté tom
aurs crom.nt de la vie et a montré
inefficacité de ces mesures,
Il Y a là, ateil dit, un mal que In luise
nem pas enrayer. Le, faits économiques
eamPPealt à In volonté du législateur. On
en 0 vu la preuve par k régir ie des tans
cites Quand la lei de l'offre et de Inde-
'ouaté) donne fi un produit la va/eur 10,
Irs taxation a beau lui donner la valeur
?Mot Onenaple, le produit cemsrve la va-
-Mu 10 ou s'élève kiisqu'à la valeur /2
PM. m.:aussitôt go d est il
et du march(c commun et, devenu
Si floue ê trouver, augmente de velem,
est lu k point de vue du coniféren-
xes. Cest pOile de vue.
Dite des ganses de la vie chère, a do.-
SERVICIA DEM EAUX
Dec réparations urgentes devant être ef-
fectue. it la canaleatiou do ta vuile da
dia/de/nation de l'eau sera interinmpue, a
partir de tu h.rea. le sansedi 20 anurant,
dans les soies mmprês t route de Revel,
chemin eu Canasse, rue Ilarrau, rne
Pinceau d, la Caltée, chemm de 1,eept-
net, boulevar Armana-Levrae, bonis Au
canal côté Vinaigrer et céte Pertes de la
vêle
Le service sera rétabli dès que lm tra-
vaux seront terMiu., probahl.tent deus
LOGE 4 LA FRANÇAISE DES ARI'S
Les membres de la Logo i 1,0 Fmneaise
des Arts ni sont priés d'assister aux tra-
vaux du samedi, 20 jeevier tee e t/ heures
précises du rom, mi local, 5, nue de 13.1.
rient.
AVISO A LOS 424PAONOLES
Iii Oensul e Espana en Toulouse parti-
cipa a los aoldaelos del cupo ra filas del
Reemplazo de 1022, que deben etc/mar an
intorporagion a 100 Cujas dc lise luta Tee-
postivan durante hos Mas 24, 25 y 25 del
goulet-do mes de Enero.
Tes que na la veritlquen serge déclara"
dos man arreglo al f.odigo du Se-st:ria Mili-
ter,
ANCIENS PRISONNUAMS DE GUERRE
L'Association des Attelé. Prisonniers de
Guerre; siégé social, 2 place d &Wendel°,
porte à la cannaresanco des prieenniers de
Frorre do la région que la Fédération Na-
tionale des A. it. G. seule a étee, chargée
officiellement, par lo Groupe parlementai.
no de détenir des A. P. 0, de centraliser
tour les 710Ine des A. P. G. rida dresser dru
Dates eomproearlt les renseignem.ta déla
demandés par des puée-et/Mea notes (nen,
prénomma, grade, urée e CaptioM . nesdeL
Les A. P.O. sont one fi c adresser
4 l'Association dur A. P. G. la région ou
directement à la Fédération Nationale, à
Paris.
ACADEMIE DES JEUX FLORAUX
Séance u 5 janvier 1928
hl. F. TresSerre II don. lecture d'une
Commobieetion enbeee par M. le baron
de Bouglou, mainteneur, intitulée t s One
évothatiou diapres In méthode é.esaise
M. de ("élis a roll/munie/tub rate étude
tronxinige per e A. Puis, mainteneur, elga-
lement empêché d'aesieter b la alumet
intitulée t n, Les lednmnents de 'rouleuse,
par IL de Lahoodes
L'Actant/Mie n fixé am 28 janvier /a ni
Meption solennelle de 'M. Marsan au fau-
t.il occupé de son vixant par M,
Coi/roTri/h/ana/
Correctionnel
Audience du 18 jansigr
COups de fourche et cool', de bâton.
Layttet dean-Marie, 45 ans, fermier a
Sabent et Sabatier François. 61 sus, tee-
Inter à Peyre ont comparu P.dienee
tehi,T pour coups et blessures récipro-
ques.
Laynet a dit t « Je mettais en tas des
gerbe, de blé dans un champ lormete I.
detbais de .Sabotier, ana nombre d'one
douzaine ervren sont ventis sur les ger-
bas pour picorer le grain. J'ai commandé
it ma petite Joanne de détourner les bêtes.
Sabatier est arrivé en mmgreant et m'a
beseté sur la tête pinsieues noua. de
fourehe pendant eue va belle-1111e me tr-
imait le brai. s.
Sabatier a dit t « Mes dindons étaieut
trop jeunes pour manger du Né. Leynet
m'en veut. 17 me insulté et attaque à coups
de bidon. Je nie suis défendu avec la
fourehe,
in eibunal les a .ndrunnés, Laynet
160 freines distnendet Sabatier à 50 fr....,
rue et autre avec suris.
Ifohdrm en l'air iet iman neiebtr -
Bous Antelne, mettre valet à Brugnière,
s'était °régenté cher Blanc Jacques. Pc.-
pelettire à Lespinasse pour régler
compte avec lui.
Bia. avait donne un champ de mak
h moitié Irait à Rens. Nam eleyait reol-
1er me mes et le porter dans te grenier
de Blette.
Mrds 11 ne se pressait pas de teirc t.
eMeto. Blanc fit dan° la récolte pour ire
nes taimer menger. a-t-/1 dit, le inais par
tes carbsaaos,
Roux proteste et tealta Blanc de voleur
de niais, ti lut craehs même h la fere et
le mordit ,h la netM. Mals II pekend
swe ru truité de vela
/ni a n'affilé aussi A In lace
de
fac
f et Pila b'i,
denx moisirez d'un rime
rein'.""
(écot francs d'amende a chacun aver, anr-
Vingt milte mark ne ratent ras grand-
et/Asa. - Steekmeister, offet telemand, a
«MM l'Allemnene le 31 décembre sec'.
nuire pour aller ehercher clin trav°11 en IO,
pagne. 11 est parti avec vingt rellk emak.
Au bout de .1.,«111, leurs il étsit, sans
rasent/m. h Peris. Tl vendit sau pâmas_
sua nem payer son voyage hreru'à Man_
trtuben d'après ce m'il dit, mais il nerdit
son billet et confirma son voyage muera
Tordonse nià on l'aertla h la descente
tmin de Paris, pour avoir voyage saris
billet.
1, tribunal s'At menteé h-du/gent et
ne l'a etudamné qu'h 10 francs d'amende.
Audiersra du 19 /envi.
Vol h la éue, - Patuov l.ocds, -
sans tifs/nié/D fixe rat inculpé de vol, va-
gabondage et infraction h un arrêté d es-
/Mis/an.
La dame Marie-Louise D... était allée
acheter des chunssures RO Canitelle. lors-
que souekin une reareharde de edesex
l'avisa mine individu 'rait da lui mentira
le portenionreie en fouillant deus In poche
de son manteau.
Elle interpelia cet individu oui se Mi-
merait tranquillement h quelones mitre,
il déclara ne/ ne suemit Due de ouoi
kgirseelt puis, sur
tle la
marchende de ofeteaux nui affirmait l'avoir
vu au moment où if «t'ait le portemonnam
il avoua le val et rendd le morte-tmonnme
en disert r r Te n'en dites rien ....
La donc Marie-Louise t/... dénonça ce
,personnage à un aernt nui l'arrêta.
C'est le nomme Panas Tends. Il n'en est
pas à son cour d'essai. Il aima renier im-
tffeigire emarollé de manda/mations Pmff
mals de 1.rrist nature.
En outre il est sors domicile fixe et n'a
anrun moven treidetenre et il est sous
le engin d'un arrêté d'exunkien.
Le tribunal le condamne h nu an de pri-
Mem de_ confiance. - Raymond Ernest,
retira-Mer à Enz.i, eut hutulpé d'abus
de confiance.
lientre en qualité de garçon de courses
A rorrke phneratmentique de la rut de
Nearenevs. à Teelnuse. il avait reçu un
imperméable nom faim les courses. mois
P. en avait ritseue .100 en avoir la pro.
siée. On un jour, il partit en emportant
nanerrukable et le garda.
11 e été condamné à huit bines de prison
vete défaut
Coetps et blessures. - Guy Joseph et
Guy Pieme accupaient une chambre cime
M. Pons, reatiourateur rue des Pénitent,
Blancs, a oukase.
Un four, ils amenèrent dans leur cham-
bre unn aille ale mauvaise vie et se firent
donner congé per le restaurateur. Ils ne
furent pas contents et quelques Anurs
aprèt, nein preiehle que Pons M'ait fait
enlever les chies de leur di, ils descen-
dirent cher lui et une rixe éclata.
Posas,' plaint d'avois cté tenpiuê un
Rent avec une bouteille de ?mère par Guy
losemb et d'avoir été marli, à la main
par Gay Pierre.
Les deux prévenus prétendent , le pre-
roier qu'il n'a pus frappé Pons avec une
benteile de bière; le second qu'if n'n mor-
du Pons que perce que celui-ci lui a mis
Ir &let dans la bouche.
Le tribunal /es condamne Cm Joseph
à 9 jeurs de prime et G. Perme ff 1 5
jours de prison aveu le bénéfice de la ni
de mrsie. D /es condanme en outre à 21*
francs de dommage° intérêts eevers la
loin nu'
Outragea à agent dg la forée pub ligne
- Ainclee Fernand, mécanicien à Les-
pinasse avait bouses/é le eurde.elestme-
Dr l'avait saisi au collet et /ai avait tex,
cité. le fion-gel et la cravate. Tout rem
parce eue le gardechumpêtre hti faisait
quelques observations.
Le tribunal a coud:semé Amelrut
francs d'amende.
I-E MIDI SOCIALISTE
"Teéeteal
gsttg
Tbeitre tes Variétés
LIS MONDE OU L'ON S'ENNA:TE
Coite année, ;mus n'ayons pas tau sé-
rie de matinées littéraires organisées coin-
me la saison dernière par la direction du
tlehtre elleaneine, mais nous crans pouc.
tout certains jeudis quelques mutiné. in-
téressantes.
Jeudi dernier, lu tournée Conveleire nets
apporta it Le Monde où Yon s'ennuie
Ce n'est rattes par une nouveauté; mais
cera se brime encore entendre. LI fine co-
médie de Paillevon fralt encore salle com-
ble au philtre Frangin' Est-ce purce que
la peinture des moues y est partieu/ière-
ment fidele 2 Peut-être.
Est-ce parce qu'on y ridiculise /es Méa_
/listes, 1« /met.; les philosophe", les
v inutiles » t Est ee Caere que la moralit ,
de la pièce pst profondément réaliste ct
utilitaire I 'eut etre encore .1Allit si le
spectateur se laisse séduire par cette mo-
ralité immorale, il a grand tort. Vernet,
ren disait à un jeune homme qui le con-
sultait sur le choix dune emrière r r Fai-
tes des vers, neau d'un chien I et soYez
pauvres I e Verboeren m'ait raient.
Du mol. c'est M. Armand Praviel
qui l'affirme, car la viens de vous donner
non peint mon opinion, niais celle de
l'aimable et disert conférencier qui s'était
chargé Mer de présenter Le Monde ou
l'on s'rcumrateaao nombreux public qui
tint applaudir >Me Niran, la charmante
sociétaire de la Comédie-Française. et ses
a/ire/lents camarades, ct M. Pravitd
même.
Intérim.
slembseemeraceemeeetsaaesemtn-emateaeirmie-*
L'AMICALE DES POILUS DU rmerr
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On ee rappelle les Tormuquables continsses
tua données le Conte Gess., itlaSnn,ltt do
Géographie sur le restechemeua de la 57oc à.
la Emme. L'orme, /aiment parler sen ore.
de Syrien et de Fmnets d'adoption, en de
.1, mouvements d'éloquence mie realcocc
fit chaque kis na< cbutalle °mem.
A la domande de ta Smiété de Géographie
Cem, Cremety revient de nomma tienni
nous usus nous entretenir de l'Avenir éconerni-
qae de la Suri, Cette con/Emme sem damtra à
d'Araemt mardi amehain 23 imvier à 8
heures 30 sous Ir oaromee de ka Société de Gé-
essais-hie de la Chanke de Cameame de la
Ligue d'Enmismatent et du Syndicat d'initimiee.
Nom ne damons pus qu'elle rit en sem. sure«
CHORALE DEODAT DE SEVERAC
C'est ne scia sue M Bre.° Deum/ lassas,
conférence ms k Chaman proueasok, atee
il/estraderns mea/cales pao M, C. Sena, home-
mlies et le chmm d'hommes de la Chorale /Ik-
eda da Sévere.
Salle chauffée, Entrée mature, Place rie«
vie t 1 le.
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beign Rielard et 52, ne de Taie, chez M.
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Demain dmmaouims 0 4 h. 30 de regehs-m.:
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ies pilons da Semeur". de I'Lleien LM., 3,
Allées Jean-Jaurès escalier A. me inbizossalate
ounféron. eue L'halbranm do la Guerre me lot.
Le rime, sem emadée me M. Hamme-
Femeals. Prefamia d'économie politique à ta
limulté de Omit de Talouse
V° le Mme°. -finanuère "getuetle cran-si
las p,abpsmas soi se vaseni pian revenir nous
remeamemmen moment à tomes Lee Peenennea
tri remoa hcanonique rie eor
amie. à estto °semez
Les portes soient eammie, à parer de 5
DOCTORAT DE L'UNIVERSITE
Aujourd'hui 20 ;amies la li b. clans rem-
et lita,a de demie de la Emelt° de. Selecem
mollie Si hiiotrali, M, Yiestfogiel Made.) ...-
tiendra ses thèses en vus du Dom.asi de lel,
vanité /mention botaieue) no les sujets sui-
duo
ho Thiiee n Contrite...ri à l'étude de l'Oï-
dium de la vigne et de me tacitement.
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ulué
LUNDIS LITTERAIRES
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dia.. Del. le Protes.« Anglede Perles, sut
lee POO« Populaires du Félibfige La looecion
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du soir eu «dei Cramai..
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m'inerme du tris' ester demain &mettait. de /0
heure, à midi. Baur. Ira Tmvog ruina la re-
mise des cana coniedeales de 1923.
Sandi.t régional du Pave d'Affinerie de
Toulon.. - Las &maties et ouvrières yndleeét,
mat priés d'eseeter b remendaffe générale qui
mira lieu le mate/ 20 iamier à 14h 30 au
café Morin, Bd sk Stambours.
odm da ime Conque-Tendu linencier
Questions diras«
Les Sociétés
Teolooseine d. A noi, S
fems. - Réaton du hmare ce acar sa' d' f-
I It 30 eu siège 14 Amides du CapItele,
StiPétei du 50000,a eteeeet, s La Fraternelle
de Ors u.
i7arteex"'r,9h *
e,s.Oelts 21 2.:...1"trid'va'''t'ir'
du cinéma salé Andras. glace du Catutma:
Faaregon Nerioncic do5 Suis Giflasse d A
ruées de Teno et da Mer - Réunion drirsdat%lie-
71 janvier à 10 h. es Bige effé Chulaus, Ast
rades du Capitole.
Ucengtehenuu financer de la fete Verse
ment dee coi...dons en round ; Les meenhr
adhltrprta au Bencreet pal n'ont pue vengé Leal'
dosa sont invités d le faire gemmât à cette ré-
union.
La Tooloudeine - Ce soin répétition générale.
Société d'Agriculture du Dipartement oSa Io
HateteGteronne - En neural de k. semaine na-
tienak da Blé, appelant notr.bre d'ouriculteura
à PertP, ka réuniona
panel ao e einatinele
21 ;envier n'auront Par het,
Le prochaine aéence arra celle du cos«a
lundi de Ove...
Aesoefirdion tlebasllr egos Meddie et Renorreld.
de Teaderee et de le H.te-Garoene -
lei membre» aime priée diaseteuir à rAsitemblée
générale qu sage lieu le dimanche 21 janvier
d 9 la 30 à l'ancienne Yoculté dee Lettres. rue
de Régna-aut.
VelorefaulfiToufeepoin. Réunion se min
3e café Fine, 9 Asmder du Cepitek.
Cad:te du jour
Elabog' tien du oalendner
Quest,» didtegued chacal!. t Premme
inalionensdala
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JEUNESSE SPORTIVE TOULOUSAINE
L'Amine mernière de le Jeunesse Sparte°
Tale* m rerada, dimarache 21 leake
Drive remmeirm réeeipe mamme de Club Athla
ne., Becta, an match mob1. La odens de ré-
e.. Pavie, nessneure fi ao5 jeunes de Padane
Leur sua elnease., put "'me... à °imam P.
tie jouée. Es mue Sund, dopa n'ernaplayer à
fond pour endiguer les attagtps des Lomas.
Penckui ee temos Ira bouns ele l'équipe demiè.
me reamat,cmat sur ietupte de le Ville itua le
execla Thome Banhès aa Pont d'eameekt.
Floadeamme dm é-geste/ms croisions aiattea1
soir 7 h. 30 gare atateha.
STADE TOULOUSAIN
Demain dimancille sur ka Papa Etc.« Wal-
lon des PontaFterteteux l'équipe 7... O'.-
eaieliition dos Simie Touleamin reeesra Clonons
eormstmodeam du Club AddAtique Béeleite Cete
«encontre set attendue sem° ionnannrcn 11.1.
ferreras da, ballen read.
Lm ouatée", ne ment ne. pree de leur
sport loran, causa lever de rideau rem:ellen,
émou° 4 du Soda coassassent k niaise P."
Mier

4
IlltaglE1111111111111111
Dans le guêpier
UN VERSEMENT
QUI NE NOUS ENRICHIRA PAS
Evecn, 19 janvier. Le Gouvernement
l'Empire a mis â le disposition dis amo_
lités du la Ruhr une somme de un nantirst
lie gus, peur les iudemnites dues pour
tee dommages proveumt des frais de l'ocpulsation.
NOS TROUPES AU REPOS
Dusselderf, 20 Rutiler. Aucun change-
/m /s con Aime/ u dans la pistion de nos
troupes hormis que la ge brigade de dragons
s'est retirée de Dortmund vers Dusseldorf.
Pas ie moindre incident a signaler
entre nos soisiats et la population.
04
PEUILL
Pour la banne compréhension des per.
sonnes qui me font l'honneur de Meaouter,
je vais intervertir l'ordre des Pm'
poaitians et prouver d'abord la seconde
partie de mon dire.
Vous savez toue que, clan.s les familles.
il est d'usage de garder avec soin, je dirai_
même avec piété, certaines reliqu...
Il s'interrompit et regarda du aéré de
la eetteeeee qui venait de pousser un gémissement
sourd parce qu'elle perdait
patience et se sentait de nouveau défaillir.
Ah je savais bien que mon raisonnement
frapperait lusse 1 s'écrin le verbeux
docteur, prenant cotte plainte pour
une approbation.
Je maintiens donc
que c est une relique et j'ajoute que cette
relq,ufàepstouurnl,,obpjoetndtlyet.vu des
nonces: quant au point de vue pratique
ou utilitaire, mon argument sera plus
serré. étam plue made.
Si l'an se reporta au sens exact et littéral
du mot qui caractérise le système
Sforai-Spinona-Mlanetto, c est
des Italiens
à-dire la nastification, ma déco:racle, on
gomprendra qu'à 1* ride de more/dee chimiques.
nous transformons la chair en
une pâte, dont le propre est de durcir en
séchant, comma toutes les pâtes.
MENACE DG GRUE
Berlin. 19 janvier. La s Gazette de
Huit Heures du Soir croit savoir que
l'Union des métallurgistes allemands s'apprête
ii proclamer la gnIs StMérste Pour
lundi trecimn dans la /net:liturgie.
tIN oenen DU 05E1'.11
AIX CELEMINOTS
Dusselderf. 1g janvier. t,'uedaeuulè
lance bite par le ministre ajlerssurct des
transports eux ouvriers dee mimaiiss ite
fer de nr plos assurer le transport ues
charbons dc le 110..
LISEZ ET FAITES LIRE
LE MIDI SOCIALISTE
tee s.l....en. imam. as. marras si narmangs. airsms., aw one, ru. ore. 1.1.7.1 et rete
ri.. ....d ne via... nahe et eit. t'Ouvra. ne arien, et eu. ono. onnnee nue P.... rani.,
pute none.. re.t. e tons iee troves.. reepdamenta. itoein gagna,
eieet bu, non.. eu sou
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DLPOT3 s Ph. latritutra lavOon.i rearna. Mn Mono, sa., usas, sa
LE FILS DE LAGARDÈRE
PREMIERE PARUE
Le Sergent Belle-Epée
Eilrem
LE MIDI SOCIALISTE
Dernières Nouvelles (2 heures du matin)
Par taul FE'VAL
Natimillement, le temps fait perdre Ott
sujet quelque chose de son poids et de
son volume plastique.
Ainsi. garée rets lustre, il ne reste guère
que la forme admirablement coneietarim,
reproduisant avec fidélité /a forine de lé.
teedécédé et armature à l'intérieur par
l'ossature qui devient indestructible...
l'aime à moire que vouu voilà convaincue,
madame la cern... 9
M. Milouin s'était approché de la
chaise brigue et revenait vers le docteur.
Non, I intenompat-11 d'une voix
madame de Lagardère voua enjoint
de procéder sans plus de retard.
Le regard du praticien désagea un ire.
mense mépris, comparable à celui dont
suma pu se charger celui de Turenne ou
de Condé forcé de courber son génie
stratégique sous la suffisante bêtise d'un
Soubise de son temps.
Entendre c'est ober 1 répéta-t-il
avec une souveraine
Pour
plaire à madame la comtesse, nous allons
autopsier cotte statue 1
Gaillardement il brandit son glaive de
prosectem.
Avec ce grand scalpe/ qui coupait
mieux qu'un rasoir, il commença par
fendre de bas en haut les vêtements
,
Les Obsèques de M. Ribot !
Saint-Omer, 19 janvier. -- Les obsèques
de M. Ribot ont été célébrées hier,
Saint-Omer. Le cercueil avait été transporté
à l'Hôtel-de-Villo/ beaucoup de massue
amient arboré le drapeau trimlord
cravaté de créna
La lovée du corps S eu lieu à 11 net,
reg; M. Rail., ministre dm rég'o. libérées,
représentait le président de la
Mique et le g.vernement; les honneurs
Hilaires ont été rondiez par le 270 réga
tarot
A la basilique de Notre-Daine, l'absoute
a été donnée per Mgr J'alleu, évêque d'Arras,
Suivant 10 volonté du défunt, aucun
discours tia Olé prononcé.
Belle victoire socialiste
HENDERSON FELE PLU A. NEWCAHTLF.
Newcastle. 19 janvier. Arthur Honderson,
secrétaire du parti travailliste, a
été élu aujourd'hui membre du Parlement
pour la circonscription de Newcastle-Est.
li avait été battu aux récentes élections
générales dune unautre arrondissement.
Voie les réultats des élection» d'aujourdlmi
Arthur Henderson 11.066 voix élu.
M. Bernes, libéral indépendant. 6.682.
M. Gee, conservateur, 6.480 voix.
I
I
LU thscours
de Vincent Auriol et de léen Blum
poussrereux qui recouvraient le corps
l'enfant.
cette opération. 9u'un profond
sentiment de respect re empêche de
qualifier, clèmt-ill en travadlarm
/c plus
clair va être des barboter mon instrument
tout neuf,
Maintenant on feleet cercle autour de
lue, tout en IrnerSont une large ouverture,
où pouvait passer le regard d'Aurore,
?rée de laquelle Olympe de Ghaverny
etait seule restes.
Lsesque la paitrine et rabdomaa de
l'enfant furent à nu, sombres, mates et
missi nvosislés qu'ara bienr.e florentin,
César Cabalus ne tourna vers Aurore
peur demander une dernière lois
Alors c'est hien décidé 9
La tête de la malade s
fada est l
D'un geste presque Essieux, le docteur
enfonça son instrument dans la poitrine
de l'elle:mur/si., à la hauteur du sternum.
Le silence de tout à l'heure s'était dm
tabh et leg respirations sifflantes et con-
Tenues continuaient mules ee faire mie
souder.
fte neuf et affilé à miracle,
le scalpel de César Cobalt. eut quelque
peine à pénétrer dans In matière qui,
comme il ravait fort bien dit luismême,
devait avoir gagne, avec les années. le
dureté et la cormistance den clioses pétriées.
La besogne était rude.
Sans fausse hante. voyant seule
n y pouvait re, Caloslou avait attele
ses deux mains sur le manche de l'instriment,
et, suant à grosses gouttes,
avançait avec précaution, labourant pénil-rien-tont,
par une incision lengitudirata,
Ae Io hanteur d es seins au creux.
de l'abdomen.
Il ne professait plus à haute voix et
s'en VOUlait presque d'avoir consenn à
pratiquer cette opération ridicule.
PETITS FAITS
El'IlASE SOUS LN AltlIBE
Rodm, 19 janvier, M. )'jouis, marchand
i Ld I itedex, seis,I, cas s yds'. lic
&dem c, arronissemert .174p m /.. n
le ace OUVrierà, des 19.0entes floa:t
mhettle L'arbre oit il était en train de leusaline
s'abattit pins vite qu'ou un gon-
net Mt Dejean et fractura um
peu,
jambe à Sint ouvrier.
BROYE PAR UN TRAIN
Perpignan, ig jamier. Vendredi, un
nommé François Batelier, employé à /a
Compagnie dos chemina de fer du Midi.
demeurant rue do RuissetnA t, b Pnrgignan,
âge de 28 ans, mardi, laissent sa
fmnime dans un état inter.sent, a été
trou,/ mort sur la voie de Perp:gnan
Cerbère, es fam le triage obi) était affecté.
Il mait le argile ouvert et les jambes o.-
lionsuiru
fi semble bien quo, pour se rendre à sou
travail, il a traversé lra, voles et qu'un
Vaine au passage. Ca linPPê vi broyé.
MANUVRES EALILEUREUSEN
Chitlo.-sumétarne. 19 janvier. Une
batterie 5105e d'artillerie revmait do
clamp de nmnosuvrea, dans la solnee
d'hier, après avoir effecto.é .des tirs, lorsqu'un
des chevaux d'un attelage bouda on
Maus qui n'avait pas moisiaé et qui. était
â demipinfonnd dans le sol,
line forte explosa° nue produisit et trois
cheveux furent tues par les éelats d'obus.
Trois artilleurs ont été bleaséa, dont un
grièvemmt.
ilevislon des listes [lettone
Nous rappelons à rios amis que n'est
dam le comant du mois de janvier que
sont révisé. les listes électorales
La librairie du « Midi Socialiste. Ir vient
de recevoir le numéro spécial de
LA VIE SOCIALISTE
qui contient les magnifiques discours
prononcés à la Chambra par nos amis
Vincent AutiloL et Leen BLUM.
Tous les socialistes doivent lire et utiliser
pour leur propogeroda ces discours
nourris de faits et d'idées.
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Toug les Mercredis r
Le Cana-d Enchaîné
Tous les Samedis r
Le Merle Elanc
tosesseassearess
r or,
nombre d'entre elles contiennent des cereura
et des °mimions.
Il est du devoir de chaque électeur
de se préoccuper de l'établissement de
ms listes en vérifiant d'abord sa Prolam
inscription et ers s'assurant ensuite que
de. erreurs ou dea omrsalo. ne se sont
paa produitea à l'endroit d'autres elem
Sauts connue.
Que chaque électeur ne perde pas de
pue qu'il détient une parcelle de pouvoir
ee qui implique des droits et des devoirs.
Beaucoup ne se préoccupent des listes
électorales qu'à la veille d'un mrutin.
C'est dès maintenant qu'ils doivent sur,
veiller et vérifier les irocriptio. ; après.
rms p mea.
Voici la dmée et la date des diverses
opérations
Publication des tableaux rectificatifs
le 15 janvier.
Délai ouvert eux réclamations t 20
jours, jusqu au 4 février.
Délai pour les décisions des commissions
chargeas du jugement des registrations
5 jours, jusqu au 9 février.
Délai de la notification des dernières
décisions des commission» 3 jours, jusqu'au
12 février.
Délai d'appel devant le juge de paix :
5 Murs, jusqu'au 17 février.
Délai pour les notifications des déciaimas
du juge de paix 3 jour, jusqu'au
2 mats.
Délai d'appel en cassation 10 jours,
usqu'au 12 mars.
Mise en demeure aux électeurs inscrits
sur plusieurs listes électorales le 22
ACES T
Je raves prédit, voilà le plus arr
résultat, s'écriat-il mot à canto en pâti.
One se. Outil avec colère.
Le scakag, déjà notablement efisfiché
dans as el-aven/Se hebeneuse, vemeut de
rencontrer in corps dur contre lequel
s'était brisé
M. Héberge narra reeremiaer la lamé
avec attention, puis, en rapprochant de
la Mame, promena son doigt sur la section
chirurgicale, le long de laquelle
était une poussière implaPahle.
MaRce ealsadua était de mauvaise humeur,
mais i/ suivint ce manège avec une
très évidente ironie.
Est-ce mang na sidé 1 demanda-6g
raillemeatent au policier qui venait de
Porter son doigti à sa bouche.
Salé, réplique M. d-Lé/Qian.
II Ut, pencha, en homme qui veut examiner
un objet de très près et sa 'nain
dame palpa le visage du petit mort.
Madame de Cheverny, dit-il, tout
Cottp, en se redroment, veuillez venir
VOir ?
Vs, Flan va voir 1 s'écria /a malade
qui' depuis te début do l'opération, regardait
la bouche béante, les Yeim fiavu
et le tâte penchée à tomber, à peine appuyée
qu'elle était sur l'extrême pointe
dre coussin.
La marquise n'avait qu'un pae à faire
pour passer entre le docteur et M. Héluoin.
Regardez cela, lui dit ce dernier
en désignant /e côté gauche de la tête.
Elle se pencha à son tour comme avait
fait M. Helouin, mais le docteur intrigué
fit ce mouvement avant elle et fut le oremier
à dire :
Le sujet n'a pas d'oreille gauche.
Elle a été coupée, murmura le mar-
.
rectifia M. Helouini voyez
les morceaui sont au fond de la châsse.
-Y
A la C.D..
REELECTION DE In BARTHOU
Paris 19 janvier. La C. D. R. a réélu
président M. L. Barth., prmnier délégué
transis et,ç vim-présitlent IL Salem. Raggl,
premier délégué italien
A l'issue de ce scrutin, MM. Barthou et
estivage Fligi ont prononcé chacun une
alheution dans laquelle ils ont remercié
cludeureusement leurs collègues et vivement
inaiste sur l'esprit de muta.) mnfiance
et do cordialité qui n'a cessé de
régner au sein de le commission au cours
de ses délibérations.
Société Méridionale
4 1 4 4-4-4-40.4
29 fi. .1r 0 ami. effe. uér
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Sminvete de Lucien EIRVIN a La les
d. /avers expliquée et sommentée par la
jurisprutlea.. vient de parai:ce.
D était impatiemment attendu dans les
milieux judiciaires, car il n'a aumn équivalent
jusqu'à ce jour. La 101 flat compliquée,
souvent obscure t M. Stevin nous dit
non pas comment elle pourrait, êtro interprêtée
niais bleu comment tous les eas qui
sa présentent ont été effmtivemeot mterpliés
paris juSiee depuis ne proraurgat
Les titres Ple la lei posaient presque
tous des problèmes : le volume de Sirvin
en fournit In miel. officielle.
Les Litres de l'auteur (ancien .n.iller
aneien avocat, actuellement iuga
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de ce volume essentiellement pratiqua
que nous vendons seulement 4 trams pris
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areed...tehmien, durne.eui Droanei ruts, es.; srePatnas I a.55. cua.s.
Mme de alaverny continuait à regardan
de près la cassure de roreille.
se dirait jamais que ceci fut de
la chair 1 dioelle enfin tout bas.
V0,18 nve/a Cté la victime d'une comédie
aussi éhontée qu'audacieuse et madime
la maroui. vous dira comme moi
que/ est le vrai nom qu'on devrait donner
à en prétendu cadavre...
Hein 1 exclama Cabalus ahuri.
Qu'entendez-vous par un prétendu cadavre
Mais la comtesse n'était relevée sur le
coude et demandait d'un ton suppliant
Flor, parle vite ?
Sous les regards avides qui la couvraie.,
lv rrarquiss était un peu gênée,
Pointent elle répondit en dissimulant mal
un sourire
Ma foi, ma chère Aurore, i/ me
garage... oui, je crois pouvoir l'affirmer.
11 me semble que. nous aVeAse là non Phi'
liane lui-meule, mals son effisr...
Effigie ! répétèrent en merne_ temps
M. de Chaverny et le docteur. Le pre-
Comme un collier de perles
EST-IL DANS UN TAXI ?
Perle, 19 janvier. Ordre a été donné aux
mmmtssaires de police de Paris et de la
banlieu de reehrecher une petite serviette
de cuir qui contient des documents diploe
Matiques importants, parmi lesquels se
trouve notamment me copie du traité de
Sèvres.
Ces reoheeches jusqu'à présent n'ont
donné aucun résultat.
Peisonne n'est venu déposer le traité de
Sêvres au hure. des Objeta troUrés,
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mem avec incrédulité, le second en laiss
mot mer sur ses lèvres un sourire d're
Iller dédain
La comtesse et sa filleule se taisaient.
Et après 9 répliqua sur le même ton
Cabotais indigné. La ggéo d'orange
a-t-elle l'apparence de ce fruit 7 Eh hi.al
ers est de même ici. puisque ie voua
dis que c'est anse conserve humaine 1
Quant à Cocardes., il étouffa ma ne.
teraiment e dioubiban o 1 tant il était
scandalisé.
L'ignorance 5 l'ignorance 1 o'écrio
tout à coup, maitre Cabal.: ce mons-
Si c'était ce que vous dites, intertre enténébré, que leu lumières de In
vint le policier, le poussière de ce ampe ecience mettront des siècles à percer da
aurait ose seveue mccce, puisque, vous leurs feux 1...
era./eyee rarsenic pOUr la reartherVatiOn Certes, je seur croire que madame la
des tissus... Or elle est salée... marquise est convaincue de la vérité de
Oh 1 vous ma faites mourir 1 s'écrin ce ,raelle vient d'émettre un peu à In
Aurore qui n'entendait rien de cette die légère, et je ne puis lui faire reproche
cussion. Dites-n[10i ce qu'il y a 9 de s'être laissée abuser pm les apparenc
César Cabalas ciluit répondre, mais este. Mals in plus qu'ailleurs les appas
M. Helouin lui coupo sans façon la pa- renom sont trompeuses, mesdames et
role. messieurs, et il n est pas permis de con-
Madame la comtesse. déclara-t-il, fondre une effiffie avec des tissus qui ont
je n'ai pan voulu me fier à men seul té- été animés.
rnoignage, quoique j'eusse -le fortes et lamais cette poupée n'a été enè
sérieuses raisons (il appuya mir cas mars) mée 1 interrompit sévèrement Mi. Hé.
/ouin.
Pour le coup, César Cabalias perdit
le peu de calme qui lui restait et, dis
haut de sa fierté médicale ogemée, il
s'exclama avec colère
(A suivre).
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