L'ENNEMI HESITE - Bibliothèque de Toulouse

21. :A.1,7NZE. 22443 

ABONNEMENTS : 

s mois 555e.; 18 mots 80 fr.; I an 155 ff. 

Comment faire face 

aux dépenses de guerre 

Nul ne peut ignorer que les dépenses 

auxquelles .traine la conduite 

de la guerre sont énormes. 

Déjà, pour faire face aux dépenses 

de la mobilisaton générale et 

aux premiers frais de la guerre, le 

Parlement a voté, le 2 septembre, 

nue loi portant l'ouverture de crédits 

supplémentaires o 17 milliards 

au titre du budget général et 28 milliards 

au titre du dompte d'investissem.t 

en capital; en outre, les 

Chambres ont autorisé l'engage- 

Ment d'une somme proche de 25 milliards. 

Mais comment l'Etat se pro.- 

..14-11 les re.omces néce.airm 

pour couvrir ces crédits qui, si importants 

qui'ls soient, semblent 

devoir être épuiSés aie coue doc 

deux ou trois premiers mois de la 

guerre? 

C'est un problème classique, que 

celui de savoir suivant quels procédés 

doivent 'ètre finanees, dans un 

grand Etat moderne, les dépenses, 

de plus en pleu considérables, nécessitées 

par la guerre. 

Le gouvernement dispose de deux 

sortes de ressomees et de deux sortes 

d'emprunt 

Il est clair Tm/ POlissé par la nécessité, 

il devm remarie à la fois à 

l'une et à l'autre de ces ressources. 

Mais convient-il de faire davantage 

appel à l'emprunt ou davantage 

appel à l'impôt? 

Le contrôle des changos ayant été 

institué, tous les revenus, salaires, 

Frets, etc., gagnés dans le pays, 

doivent nécessairement y rester et 

Pane fougent se placer en emprunts 

que dans la mesure où ils ont été 

épargnés par 1m prélèvements fiscaux. 

Autrement dit, plus l'impôt 

est lourd, plus se rétrécit la facilité 

d'emprunt. 

Au courn de la guerre de 1914- 

1918, contrairement à la pratique 

suivie par la Trésorerie britannique, 

le gouvernement français a fait 

principalement appel à l'emprunt. 

Par la suite, il a été reconnu que cet 

appel avait été trop large et que le 

recours à l'impôt avait été insuffisant. 

Sur un total de 210 milliards 

qu'ont coûté les cinq années de la 

guerre précédente, 32 milliards ont 

été convertis par les recettes budgétaires 

permanent., tanclis que 

plus de 175 milliards ont été dom.dés 

à l'emprunt. On comprend que 

des charges d'après-guerre aussi 

écrasantes peuvent rendre singulièrement 

plus malaisé et plus long, la 

guerre terminée, l'assainissement 

deu fmanc. publiques. 

Il est difficile de prévoir, dés 

maintenant si les événements permettront 

à notre ministre des Finances 

de pratiquer, dans la pré- 

Sente guerre, une politique flocon- 

Liteaerienne 

LA GUERRE ,GER 

Afin de retard. l'avance des Puces ,000 

porte et routes derrière eux. 

Parie. 

Le colonel breveté Thadee No' 

Voua un des plus brillants pilotes 

Pglonais, et chef de la défense asti- 

de Varsovie, assiégée par 

/es Allene,grids, a réussi à quitter en 

Sanaa Is capitale polonaise-en flan, 

eière plan opportune, en équilibrant 

plus judicieusement que ses prédécesseurs 

de 1914-1918 ne l'ont fait 

les ressomces d'emprunt et les recettes 

d'impôt. 

Pour l'inst.t, et à juste titre, 

M. Paul Reynaud recourt à la fois 

à l'une et à l'autre des re.ources 

dont il peut dispo.r. 

En ce qui concerne l'emprunt, il 

faut noter que le Trésor français 

est sans doute mieux préparé qu'en 

1914 à remplir la mission qui va 

être la sienne. Tandis qu'en 1914 il 

a fallu imaginer et créer les Bons 

de la Déf.se nationale, qui rendirent 

de si grands services; nous disposons, 

en 1939, de toute une gainme 

de bons à court terme, qui rendent 

aisée la collaboration des capitaux 

et de l'Etat (Bons du Trésor, 

Bons de la Caisse autonome de la 

Défense nationale, Bons d'armement). 

On a done raison de dire 

qu'à ce point de vue le mécanisme 

est au point. 

Dun autre côte, le gouvernement 

n'a pas m.qué de faire largement 

appel au contribuable et de lui demander 

les .crifices supplémentaires 

exigés par les circonstances 

les dispositions nouvelles concernant 

la contribution nationale extraordinaire 

prouvent que M. Paul 

Reynaud entend, avec raison, couvrir 

par l'impôt une part aussi 

gronde que po.ible des dépenscn de 

l'Etat, de façon à restreindre dans 

la même reesme l'émission des bons 

et lés emp.nts de l'Etat. 

Quelle que soit la -proportion .1v.t 

laquelle se répartiront les recettes 

provenant de l'impôt et celles 

provenant de l'emprunt, il est 

évident que ni les unro ni les autres 

n'afflueront dans les cuiaem du 

Trésor aver l'abondance voulue si 

l'activité économique du pays ne se 

maintient à un niveau suffisant. 

La préocupation domin.te du 

gouvernement doit doua être de 

maintenir da. le Pays, sous le eourtole 

des prix, Men entendu, main 

par un aménagement approprié entre 

1m liesoio,s du front et ceux de 

l'arrière, une vie econommue sulfite 

dans toutes les branches, y compris 

celles qui se rapportent aux produits 

d'exportation, comme le commerce 

de luxe. 

Toute formation de capital nouveau 

par les exploitants, toute 

création d'épargne faciliteront les 

empramts réguliers de l'Etat, les 

souscriptions aux Bo. du Trésor, le 

paiement des impôts. 

Les dépenses de guerre .ront 

d'autant plus aisément payées que 

le pays travaillera davantage. 

Henri BRUNET, 

Député de la Drôme. 

L'héroïque défense 

de Varsovie Récit d'un 

1111110111111111111111111111111111111111111111111111111 

combattant 

ANO-POLONAISE 

s elie.vades. les Polonea détruisece 

ceneee n. 7340. 

m., deux jours avant l'entrée des 

troupes allemandes. 

Le colonel Nowak, qui est depuis 

hier à Paris, a fart à un collaborateur 

de l'Agence Havas des déclarations 

sur la déf.se héroïque de 

Varsovie -a Cool, dit-il, le septem- 

SOCIALISTE 

Rédaction et Administration: 38, rue Rmudaine, TOULOUSE 'Té!. 200.03 C. C. Postaux 5.217 

BUREAU A PARIS: 5, rue SLAugustin (2.) Téléph. Richelieu 139.00 (3 lignes voupé. sus se numéro) 

Après la lettre à M. Herriot 

On arme les MINS 

COMMUlliSleS 

>K0 

'SbCENT) 

LUNDI 9 OCTOBRE 1939. 

Mille regrets, monsieur Thorez, mille 

regrets, monsieur Bonte (Florimond), mille 

regrets, messieurs les communistes, mais 

k France ouvrière et paysanne est au front 

où elle se bot. 

L'ENNEMI HESITE 

A ATTAQUER 

De Paris. L'information ouverte 

contre les députés ex-communistes 

au sujet du manifeste adresse 

au président de la Chambre, M. 

Edouard Herriot, s'est Pourseivie 

hier toute la journée. 

Le capitaine de Moissac, juge instructeur 

auprès du tribunal militaire, 

avait entendu /es dépositions d, 

11538. Touchard, député des quartiers 

du Combat et de La Valette, 

, 

patio; CosSoneau, député du Rein- 

M. RACZK1 WICE, le neuve. Préside. cy ;Pierre Dadot, député de Marly 

de la Répeblioue Polonaise. DemuSois, député d'Ablney ; Henri 

Visa .enstea n. 6462. Martle, député de raeIXOX.OXFVX.% 

LE COMMUNIQUE 

du grand quartier général 

laeriereeMeirte.6,-Wtee 

Douai; Fou- 

8 Octobre ( matin) 

chard, dépue de Mea., et Prachay, NUIT CALME, 

député de Ire-Adam. 

DES PATROUILLES ENNEMIES ONT ETE REPOUSSEES PAR 

Les autres députés n'avaient pas 

yseptossndslt.la ccinve.tion du juge NOS FEUX AU SUD-OUEST DE SARREBRULIL 

bre, qu'a commencé la défense de 

Varsovie contre les troupes allemandes, 

qui ont attaqué la capitale 

du côté de Blonie. 

Ce jour-là, une division blindée 

00 opp000d, or mutin, que vinai- 

allemande, suivie d'une division 

ois dèputés commoodlea cul été 

motorisée, s'approcha de Varsovie. 

mis en état d'arrestation cette nuit, 

csessrtais fas se4psropvsolueleer- 

Les défenseurs de la ville, qui n'étaient 

encore que très peu nom- des 

guEsingscsse cirisssessoins%rnsef ficsésuLei, void 

brous, ayant du reculer, I. tanks 

allemands pénétrèrent même en 

ville. 

La police judiciaire a procédé, au 

Pendant toute la durée des com. o.et de ortie nuit, sur ...1.1de 

bats de Varsovie, notre infanterie capitaine de Moissac, juge duosprocédait 

à des sorties. L'infanterie traction prés le troisième tribunal 

allemande ne résistait pas à nos st_ militaire de Paris, à l'arrestation 

taques à la baïonnette, tandis que d'un certain nombre de deputés 

nos 00000000nn net recularent que de- communistes, membres du nouveau 

vant les chars d'assaut, en emme- Parti ouvrier et paysan français. 

nant leurs prisonniers. 

Treize d'entre eux ont été conduits 

Nous avons fait près de quatre oc °ms Li aàts pesai pa lu% j rettesidssaansa 

mille prisonniers pendant les com- le 

oats de VarSovie, nous avons cap- La plupart de ces députes étaient 

turé . des , chars d'assaut et des autos 

déjà venus ces jourmi chez M. de 

Moissac. Ils avalent été cités com- 

Jetions, poursuit le colonel Nome témoins. 

wak, à souligner le rôle joué par Le capitaine de Moissm les a in- 

l'artillerie antiaérienne dans la déterrogés, puis II /es a inculpés d'infense 

de Varsovie. Pendant trois sefranction au décret du la sepmaines, 

nous avons réussi à abattre tembre 1039, qc,I réprime la P.I.- 

120 avions allemands. C'est le nomgande de la troisième Internationa. 

bre de ceux qui sont tombés dans la le et qui a dissous le parti commu- 

capitale même, Mais beaucoup d'anniste.pareils endommagés ont dû atterrir Voici les 'nome de-ces, treize dépu- 

au delà des ligne. uneululuieu. tés Grésa, 00000010, Costes, Cr.- 

Les avions allemands ont particuzat, 'Martel, Lezeray, Berlioz, Fiuos, 

lièrement visé les quatre ponta sur Petit, Capron et Touchart, députési 

la Vistule, ainsi que la citadelle, de la frise; 500401101 et Gnou, tous 

mais, très souvent, /es partiou de la les deux députés du Var. 

ville n'ayant aucune importance au Dec treize députés ont été, écroués 

point de vue militaire ont subi les à la prisoc de la Santé, Ils sortaient 

attaques aériennes. 

presque tous en imperméable et en 

pardessus, et av00 leur masque à 

Le bonabarde,ment aérien a été g z 

renforcé déjà dans la nuit du 11 au -O.n s'attend à de nouvelles arres- I 

12 septembre par le feu de Pastillerie. 

Des obus de 150 millimètres, 

tallons. 

des canons à longue portée com- PLUSIEURS IVIILLIONS 

mencèrent à tomber sur la capitale. 

DILAPIDES 

Aussi est-ce avec un grand étonnement 

que nous apprîmes, quelques De Paris. La municipalité 

jours plus tard, par la radio alle- communiste de Argenteuil a été 

mande, que Varsovie allait être dissoute. On s'est aperçu qu'elle 

bombardée par l'artillerie alternais- avait di/apidé plusieurs raillions. 

de en o répresailles g, dominai comme 

prétexte que la population civile HONTE FLORIMOND EST ARRETE 

avait pris les armes. Lorsque cette De Paris. On annonce que 

nouvelle fut annoncée par la radio, I3onte Florimond a été arrété Prés 

Varsovie était déjà depuis plusieurs de Melun où il se cachou; on est 

jours sous le feu de l'artillerie alle- toujours sans nouvell. de Thorez. 

mande. 

(Vair la ruile paga 

Je tiens à rétablir la vérité en affirmant 

que pend.t longtemps la 

population civile n'a pas prou part à Memel 

a lutte, assumant exclusivement les 

tâches du service auxiliaire. combattre l'ennemi, j'ai umnumne, 

Les cordons de notre gendarme- à chercher las moyeux d'évacuer les 

rie ne laissaient pas la population aviateurs afin d'empêcher qu'ils 

civile s'approcher des lignrn de dé- tombent aux mains des .Allemands. 

fense. 

l'ai ré.si à découvrir Amor plusieurs 

et clive.es parties d'avions. 

Après quelques jours de siège, Le montage se poursuivait sous les 

Varsovie a reçu des renforts, l'ar- projectiles ennemis, dans des couro 

mée du général Kurtzeba qui a de maisons et dans les rues, puisque 

passé à travers 1m lignes alleman- l'infanterie se battait ,déjà sur 

des, et a livré une bataille victe- l'aérodrome. On a utilisé, pour le 

rieuse à Kutno et à Lowie., faMant montage d'un de ces avions, plsa de 

trente mille ',tisonniers. 

mille pièces qui avaient servi de mo- 

Ce n'est qu'à la suite d'un lemdelo,s aux elev. de 1 edole d avorbardement 

intense subi sur la B.- ton. Nous avons réussi à monteras 

ru, quelle a lache une partie d., appareil de chasse de type ancien, 

prisonniers et s'est retirée avec de c'est sur cet avion que je me suis 

grosses portos a V0050vso, 

Quelle tait la situation de la population 

civile dans Varsovie assiégée 

? 

Extrêmement pénible, nous répond 

/e colonel Nowak. 

Les incendec et le manque d'eau 

préparais 

' eitst t don:seer issorschltdsess l 

cso s. 

et devineras-ondoient la situation 

de la population civile de jour en 

to. mes pilot. unpour 

jour plus critique. Les bombes allemandm 

allumaient plue de quatre- plan de eco age e e ,. 

Nous avons pris la dectmon de 

n'I' 

sormal, n' nombreux 

envole. 

Les Allemands étaient déjà maltses 

d'une partie du champ d'ayia- 

ide eslisioestitos% scitsugilsssstenssate 

sous 

re.Lorsque le commandant de l'an 

mé e m 

Lgetss incendiese' f e etis dru pjo'murp.iers, 

cinq u'gvaener, Par la voie des ai., que 

fois pl. qu'en temps des hommes qui nous étaient neees- 

arrivaient pas à se rendre salles pour contâmes la lutte. Nous 

maîtres des sinistres, 

disposions de sept aPPeredS, dons 

deux planeurs, un avion comme, 

Le sort des blessés était tragique, cral, trois amonnettes et un avion 

car c'est avec un acharnement tout de chasse. 

spécial que les Allemands bombasdolent 

et criblaient de balles les Pour nous permettre de Prendre 

hôpitaux. Nombreux sont les méde- le départ, /es détachements polonais 

cins et les infirmières morts à leur ont attaqué à la grenade et à la 

baïonnette les détachements alle- 

poste. 

mands, pendant que les équipasou 

On pourrait dire que les hôpitaux 

ont été obligés de transporter nos 

étendus sur le sol attendaient leur 

blessés dans des caves, chez d. 

tour de prendre le départ. 

particuliers. 

Mais la lueur des incendies éclai- 

Sous les ordres de Stefan Star. 

rait le champ d'aviation, ce gai ren- 

zynski, héroïque président de la dait le départ difficile. J'ai ordonné 

ville de VarsovM, qui travaillait 

vingt-quatre heures par jour, des à 

équipes d'ouvriers, en plein bousbardement, 

réparaient les dégâts 

causés par les obus allemands. 

Aussi les morts furent-ils nombreux. 

Les gaz asphyxiants Mont pas 

étè employés. Par contre, les Allemande 

ont utilisé contre /es postes 

d'artillerie antiaérienne .00 gaz lacrimogenes. 

Quand avez-vous quitté Verso- 

? 

1-- N'ayant plus aueun avion pour , 

mes pilotes Des noms, s. v. p. 

Nous n'avons pas, d'avantage 

qu'hier, des éléments nous permettant 

de rédiger d. commentaires 

Sensationnels. 

Aussi comme no0es ne pouvons pas 

vous parler du siège de GergovM, 

nous allons à l'exemple de nos plus 

académiques c confrèrvo 

faire un tantinet de géographie. 

Si noue mettons « confrères v entre 

guillemets, eMst sans cloute qu'en 

bon socialiste nous avons quelque 

peu l'impression qu'un certain nombre 

de ces messieurs de la grande 

stratégie de l'arrière pratiquent plutôt 

ce qu'il est convenu d'appeler 

le s travail noir g. 

C'est une agréable question sur 

laquelle noux reviendrons un de ces 

jours avec une plume dûment blindée 

(comme une colonne motorisée). 

Seulement, au moment de vous 

donner satisfaction, noao nous aper- Nous réclamons des noms. 

cavons que cela nous est. impossible. Des noms I Des noms 1 

Sur 18 1P0111 

LES SOLDATS ALLEMANDS 

DU FRONT OUEST 

NE DOIVENT PAS ETRE VISITES 

De Berne. La radfo allemande 

invite la population à abandonner 

ses projets de visite aux soldats du 

Iront ouest. 

De tels voyages ne sauraient procurer 

à crus qui les entreprendraient 

ose des frais élevés et des désagréments 

considérable, 

En »Iller des chancm qu'ils aient, à M'Usant O soNssousisussarsostms ubsienus q.lesisporiasstpuseuts 

000000 

en. 

os soramquel mtorte,ceqube'ncle'ufOurst 

iiise vsetslisaisligioilssre sMiagosinops,tspeismesko 

m in... 

sono 

No. avons signalé que, comme in- /orsque ressentie de nos forcm 

ddise uc,tortrnar,,taztiqquee,, odneuelt pinfiusarmr% édtteastpoir.a v.eurs lvivet.pyreemir:r, 

aurade 

l'oseder, 

de décoller en taso 

mottes, mals les Allemands dirigértM 

cZtr4u50r0s0 ranpirzieculseelPee 

moi, oves sept appareils réussirent 

à s'envoler. 

Lorsque j'eus dépassé les lignes 

allemand., ie Prie te la hauteur et, 

lorsque j'atteignis 1m nuages, à 

2,000 mètres/ Je eontinuais encore 

pendant longtemps, longtemps à 

soir Ma lueurs de Praga en flammes 

et, à 3,000 mètres, je pris la direction 

du sud, termina le coltine] Mo- 

ddeuxesx 

Mune part, pour être massés à pied 

d'aeuvre, immédiatement avant faction 

et pour opérer droit devant eux. 

sur /e terrain de cette action proprement 

dite. Leur but est, seer con.quent, 

l'enfoncement et leurs dimensions 

et moyens font discerner le dessein 

de tenter cet enfoncement contre 

les fortifications les Pl. robuste, 10 

sont done à l'adresse ale notre ligne 

maginot. 

cet inclice n'aurait, nous /avouons. 

Qu'une valeur de détail si 1m donnéro 

d'ordre stratéggme que présente la 

situation ne ve.ient nous montrer qua 

/es Allemands n'ont pas beaucoup 

d'autre choix. 

D'aucuns envisagent la violation pat 

eux de la Hollande et de la Belgique, 

voire de la Suisse. Si des le 30 août, 

En effet, nous savons bien qu'une les Allemands au lieu de se Jeter aveu 

bbnne cinquantaine de communes une grande partie de feurs Mmes sur 

ont été conquises mais nous ne sa- la Pologne s'étaient bornés à établir are 

vons pas leur nom. Alors comment rideau défensif, relativement léger, de 

voulez-vous que nous vous disions ce Cté et avaient len00 la grande 

si l'une est perchée sur une piton, masse de leur armée sur les territoires 

l'autre appuyée sur 0m balcon, la hollandeà et belge, do auraient PU. 

troisième calfeutrée au fond d'une tournant notre grande fortification par 

gorge, la quatrième à plat ventre le nord, pénétrer en France et no000 

sur une plaine ? 

surprendre avant que notre mobilisa, 

Ça sonnerait quand même bien tIon ne fût terminée, notre dispositif 

que de pouvoir de temps en temps mis en place et toutes noaprécautione 

citer un nom tonitruant à la sar- prises. 

roise. Nous n'avo. même pas ce Aujourd'hui, cet effet de S.M.s 

plaisir. Mais parlons sérieus.a.t. leur est interdit et encore davan- 

Pourquoi ne pefit-on pas dire qsm tage du côté suisse. 

Sol patelin est pHs ? 

Hollande et Belgique sont sur /eure 

Parce que parait-il ça renseigne- gardes. Elles ne se Bissettmt pas enrait 

l'ennemi. 

vahir sans résistance. En ce qui concerne 

les Lieea particulièrement. 

Or donc, si nous comprenons bien, d'importantes mes.m defensivm ont 

quand on lui prend un patelin, l'en- été pris00 par eux ils ont merne 

nemi ne s'en aperçoit pou et Pour exécuté des travaux hien avant l'ou- 

s'en rendre compte il loi faudrait verture des hostilités. 

lire les journaux français ? Allons, 

allons l ce n'est pas sérieux I De notre côté, nous avons, au cours 

des dernières seinain., établi, au 

Nord, d'Importantes organisotiom. 

Il suffira que le défense des Efollendais 

et des Belg. contraigne 1m tilles 

mands à mettre rune huitaine de joues 

traverser leur pays pour que, lorsque 

abordera le territoire français, 

no05 ayons eu plus que le temps non 

seulement de faire face m. ce nouveau 

front, mais d'y faire face de façon 

recevoir I. assaillants à peu pr. missi 

solidement que me la /igne MaghlOt. 

Leur tent/Ive aurait donc comme 

effet de 000 50 pMsenter devant nos 

fore. 11.4aPrès avoir plm ou moins 

usé les leurs en. Hollande et en Belgique, 

pour aboutir finalement à allonger 

leur front dime façon assez considérable 

et pour retomber, en fait, dans 

la guerre de siège, devant dus 000001. 

50000m de camr/0,gne, certes, mars 

d'une solidité te/le que la manoeuvre 

VERS LE FRONT 

libre qu'ils espéraient relrouver sera 

impossible. 

Pièces diestillerie lourde tractées Visa censure n. 

Alors pourquoi ne pas aller au Plm 

simple et attaquer directement la /ligne, 

si puis.n00 fût-elle, qu'ils ont mente- 

Le coin 

nant devant eux t Es pensent, nous 

rayons déjà dit, et ils ne sont pas 

les seuls qu'aucune fortification 

n'est Invulnérable, surtout en y mettant 

des stratèges le pnx, et leurs possibilités ser.t d'autant 

pls gra.. qu'Ils auront évité 

Fallongement de leur front. 

POURQUOI LES ALLEMANOS En bourrant, en profondeur, an sec- 

TENTERAIENT L'ENFONCEMENT teur d'une étendue déterminée, devant 

DE LA LIGNE MAGINOT 

notre ligne Maginot, en entassant dans 

. secteur des effectifs et un matés/. 

Hier, nous posions la qu.tion ; les .nsidérable, 110 peuvent cheneher à 

Allemands méditent-iLs l'enfoncement asséner lln grand coup de bélier. Ce 

de la, ligne Maginot s Et nous diSions genre d'opération est, au dememant 

que ce n'était pas du tout invraisem- assez dans leur mentalité, et les perblable. 

Nom ajouterons aujourdlaui 1.., dans .s sortes d'entreprises, ne 

qu'une telle tentative est la meilleure les préoccupent guère. 

UN VAPEUR HOLLANDAIS 

COULE DANS LA MANCHE 

De Le vapeur Hollandais 

a Dinnenditk n jaugeant 

rendrait mois, nos ennemis construisent d'énorh.o.,..,imbiemoIt,,,,,,i,plus, 

Icer-e:,,erriazs. 

tanks, dépassant en tonnage /es Inclus 

no.mes 

benne heure ce matin dahu In Man- plm forts en service dans les autres bel des procédés 

elle. et dotés d'un canon de 150 mil- fouit la réalisation 

d'inforrtations rou- 

Les quarante et un survivants ont limetres, cm engins ne peuvent 0000- Près impossible. de ce projet à peu 

P110 

été ramenés à terre dass un canot faire au principe de /a rapidité, cher exigerait, da. 

,nt.reeotqn,,oaueter.:einsr.,:ufedseiislt.....,:ls 

de ns.lils:u: 

' t 

à l'état«major du Reich et leur poids pourraient échapper à no.,rne.,,i0y5etre comormis- 

« Binnenmijk s appartient à leur interdirait l'usage de beaucoup sauce. 

En dehors des 

la n Hollande America fine ri et est ii ses soaluLes,c., r et renseignements 

leaLe 

enregistré à Rotterd.n. 

duos,s. rs'sondt' dlaoncr'ulaPiatsrt, 

Et puis, cessons donc de voir les 

Allemands partout à la fois. 

ni les eff.tifs ni le 

Ils n'ont 

res pour grouper des 

matériel nécessaibles 

dans phisleurs 

masses formida- 

directions. 

Cependant il faut (mals fassent quelque 

chose, pour /eur moral intérieur 

comme pour leur situation 

naleinternatio- et notamment 

produire sur les neutres Pour l'effet à 

ils ont besoin 

que l'on ne puisse ph0 dire que 

nom ne combattons qu'en territoire alle/nand, 

le so/ français restant partout 

Ils feront tout pour faire cesser cet 

état de choses. Et, répétons-ie, il y a 

bien des chances pour que ce soit sur 

la ligne Maginot que leurs tentatives 

soient dirigées, coûte que leur coûte 

Mals vers quel secteur Nous co, 

tinuons à penser que ce sera le long, 

de la frontière luxembourgeoise, entre 

Moselie et Sens comme point de dé- 

Part et en dffeeti. de Thionville. 

Mais cette offensive-là n'aura, sans 

cloute lieu qu'après l'offensive dite 

DANS LA ZONE DES ARMEES 

paix e. 

s de 

do,, ballon de ami... verra. à lv défeeseerifeérienne. 

S DE GIVET. 

Visa cen,ure n. itt60. 

(Dune In Ordre e/. 

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ittiele_e 2 RiiguluallgallallIgglitalilltStIMMID111114, 

Ceux qui gouvernent le Reich 

cas où ce régime sombrerait avant 

l'heure prévue, que si lui et son Fire- 

rer se voyaient contraints à émigrer 

précipitamment, ils trouveraient des 

fonds partout où ils iraient. 

Ceci explique pourquoi il a jugé 

nécessaire de conserver des capitaux 

dans les villes comme Budapest Bu- 

carest et Belgrade, bien que la legs- 

' Ecrit par Ladislas Farago, Parti 

Me suivant paret en mars dernie 

dans la revue américaine Kea, 

J'assistais, g y a de cela tan 

ans, à l'un des plus grands sucre 

oratoire d'Adolf Hitler., ale,ts qu'a 

mal d t th lra 

ses auditeurs g confessait, avec un 

accent dramatique : 

Je suis demeuré un homme du 

peuple, un pauvre type... En vérité. 

je agis le seul homme d'Etat du 

monde entier qui ne possède pas de 

compte en banque ! 

Trois années de patientes recher 

chru m'ont permis de m'assurer qu 

le e modeste et pauvre Hitler e es 

l'un des hommes les plus riches 

d'Allemagne, tant dans le Reich 

qu'à l'étranger. Et cette fortune, le 

le répète, l'une des plus considéra- 

bles d'Allemagne, fut accumulée 

durant sa carrière d'homme polit' 

que. 

La Majeure partie provient de ses 

droits sur Mein Kampf, car aprês 

son ascension au pomoir, il renon- 

, non sono OateltatiOti, annulaire 

3.800 livres sterling qui lui étai' 

ofluaé par le Reich an titre de 

chancelier. J'ajoute quclautrarne, 

première clavée d, a ileule 

lecteurs allemands ne manifeste 

rent qu'un intérêt plus que moder 

pour ce qui allait devenir, par 1 

suite, la bible du régime naZi. 

May Am.n nommé dès 192 

agent financier d'Hitler et mana- 

ger du trésorier du Parti naZi, 

1922, fut le principal instrument du 

succès de vente de Mein Rompt. 

C'est lui qui suggéra au Fiihrer 

d'offrir, en cadeau de noces, à tous 

les nouveaux mariés allemands un 

exemplaire du livre. Aujourd'hui, 

l'état lui-même oui achète 

Mein Kampf, avec l'argent de 

contribuables, naturellement, e 

l'offre à titre de Mir.. Ainsi, le Mi- 

nistre de l'Education le fait-il dis- 

tribuer gratuitement aux enfants a 

la fin de leurs études. 

Malgré mn incroyable vente, le 

prix initial de 8 marks 50 151 fr.) 

ma jamais été diminué. Hitler tau- 

che environ 20 te, sur chaque exem- 

Caire vendu. En 1934, cette vente 

lui rapporta la coquette somme de 

110.041 livres sterlh1g, pour attein- 

aire, en 1937, celle de 140,000 livres I 

Bien q. I. précisions manquent 

noue évaluer exactem.t le revenu 

muet fourni par Mein Rompt, 

uslieu. 

sans risque de se tromper, 

estimer à 170.000 livres environ, 

c'est-a-dire un peu plus de 30 mil- 

Pons de francs. 

Dés 1936, Max AMann dérida de 

lacer les énormes sommes en am 

'ont liquide dont il disposait. A cet 

effet, il acheta la plus Importante 

cars imprimeries bavarois., Mueller 

et fils, ainsi Cille Presietsts usines de 

Papier. PoliS il s'assura le Contrôle 

dé Haasênstebi et Vogler, la plus 

Sache des agences de publicté d'AI- 

>magne Ave. la maison Ullstein, 

Emann acquit pour la .mme de 

sollltoasu de nombre.es cons- 

tructions usines et maisons ouvrie- 

ses, dans tous les quartiers de Ber- 

lin. A Munich, il possède la plus 

grande partie de la rue Thiers., 

ainsi que de vastes terrains dans la 

tue MaximPian. 

En 1937, Arnann plaça des capi- 

Saoul, considérables dans les entre- 

prise. industrielles du maréchal 

Gcering et, comme aucune banque 

ne lui semblait assez rare ni assez 

solide pour se voir confier la tota- 

lité des gains d'Adolf Hitler, le pru- 

dent Amann les répartit entre plu- 

sleur établi.ements de crédit. C'est 

ainsi que la Bayerische Gemeinde 

Wechselbank, sa succursale de 

Munich, la Deutmhe Bank, la Gin:- 

yentraie et /a DisConto Gesellschatt 

te partagèrent ses ronds, 

Cependant, Amann n'était pas 

»émolument certain de la solidté de 

ees etabissements allemands. C'est 

pourquoi une grande partie de la 

fortune d'Hitler fut placée à l'étron- 

aer, La plus importante, trmsfon- 

/née en francs suies., fut confiée a 

Jar Suisse Bank Corporation j.qu'en 

1937, au moment où le fr.c eulsse 

fut dévalué. Et ce fut pour éviter 

de futur. pertes que Herr 

donna l'ordre de transférer l'argent 

k Londres dans la succursale d'une 

banque étrangere, ou d Ilugura en 

/ivres sterling au nom d'un nomme 

air paille, 

D'après les fiches conservées au 

bureau mémo de Max Amann et ve- 

rifiées quelques mois avant la gare- 

or, les autres capitaux d'Hitler 

étaient répartis dans neuf pays 

d'Europe, et sous trois noms Off 

rente. 

A Berne (Suisse), au Bandes 

Postscheskamt, compte numéro 

111-7-205 au nom de Max Amanu; 

A Paris (France), au Bureau 

Central des Chèques Postaux, rue 

p 'a 

_ avo_tes, compte nmer° 

190-066, au nom de Amann; 

A la Haye (Hollande), au Post- 

-.que en GIrOrlOrlat Speeineplen. 

cmpte n° 211-846, au nom de 

A Bruxelles (Belgique), Zn Bu- 

,cau des Chèques Postaux, compte 

350-797 au nom de Amann 

A Prague (Tchéco-Slovaquie), au 

Posidovni SporileIns compte n° 77- 

au nom de Franz Eher Verlag ; 

A Vatrevie (Poke,e), à la Pars- 

i 

Rosa OSSerednosci, Jas., romp- 

lu .104-121, au nom de Franc Eher 

t'arlag 

A Buddapest (Hongrie), au Magyar 

Postatakereek-Penztar, remp- 

li ri° 13-532, au nom de Philip Boula 

A Belgrade (YougolalavieLau Ce- 

bodni Ured, compte le 68-237, au nom 

Philip Troubler ; 

S. Bucarest (Roumanie), li la Casa 

'

Lettre d'Angleterre 

111111111111 lllllllllllll 111111111111/1 lllllllll 1111111111151 lllll 1151,11S 

L'EFFORT DES DOMINIONS 

Canada L'entrée au Canada dans 

guerre sauéoté,, teiâleon.t_ 

pane de deux divisions. L'entrain. 

ment aérien est intensifié, de maniere 

augmenter le nombre des pilotes et 

des ti,Mteurs disponibles pour le service 

actif. Le Canada a également entrepris 

la construction d'un grand 

oomore de vaisseaus anti-submersiblrs 

et de, dragueurs de aunes. 

Depuis La dernière guerre, la Polni- 

>tien du Canada a augmenté et son 

industrie s'est dévelopnée considérablement. 

Enfin, le Canada est b l'abri dea 

attela. aériennes. 

Australie. L'Australie est en train 

de lever une diviskas complète et des 

trqupes auxiliaires neurones de l'équipement 

et de l'armement modernes. 

Ceci en surplus des cinq divisions pour 

!esquelles on enrôle actuellement des 

>Muses par fournées de 40.000 dans 

camps d'entrainement. Ce Dominion 

a mis en outre à notre disposition 

immédiate le personnel de six escadrilles 

de la Royal Air Fores. L'Australie 

fabrique des armes et des munitions de 

toures sortes et sa production est accélérée 

rie manière S pouvoir répondre 

à toute demande éventuelle. 

Nouvelle-Zélande. La totalité des 

ressources du DenliniOn est actuene, 

ment mobilisée. De nombreux /géo- 

Zélandais résidant en Angleterre ont 

offert leurs services. Le jugement sur 

et prévoyant des hommes d'Etat de la 

Nouvelle-Zélande leur a montré le 

danger qui menaçait le coeur de l'EM, 

pire et ils ont compris que sans le 

cur, le corps ni peut vivre. Une unité 

rAc.zélandalse est en formation en 

Angleterre. 

Union de l'Airtque du Sud. 

L'Union de l'Afrique du Sud a déclaré 

la guerre a l'Allemagne le 6 septembre 

et l'on prépare activement la levée et 

L'entraînement de plusieurs divisions. 

L'Afrique du Sud est POUr la Grande- 

Bretagne un grand fournisseur d'ail' 

meurs. Le maire de Johannesburg a 

ouvert une souscription d'un million de 

/ivres pour l'achat d'un stock de vivreS 

qui sera offert aux démocraties alliées. 

Les Sud-Afri.lns sont de remarquables 

aviateurs et rendront d'inapprécia- 

Iges servl.s dans la Royal An. Force. 

Ils ont déjà commercé et le récent 

bombardement ,d'os sous-marin allemand 

par en avion est clé g un Pilote 

sud-africain. 

Inde. La déclaration dg guerre a 

mis fin aux querelle, politiques. Tous 

Inc partis se sont unis dans un supré. 

me effort pour la cause commune. Les 

Princes ont immédiatement mis leurs 

appréciables ressources a notre dupesition 

et nulle part il n'y a eu le moindre 

flottement. Pourvue elleméme rie 

vastes fr'oritières, l'Inde doit faire face 

aux problémes de sa propre défense, 

mais elle a déjà étendu une main se- 

.urable hom de ms frontières. 

Sapai, Amor la générosité qui est 

le propre de cet Plat de guerriers, le 

Renais placé la totalité de ses ressources 

à notre disposition. Ce concours 

s'est révélé d'une valeur incalcula.ble 

dans la dernière guerre et ne Sera 

&dB &Ne pai inférieur cetâe. Mis-el. 

Palestine. D'un manie mouvement, 

les Juifs clin majorité des Arabes ont 

proclamé une trêve et offert leur aide 

matérielle à l'Empire. A reheeption de 

cas isolés de violence ou de sabotage, 

In Palestine est calme et s'organise 

contre l'ennemi cornmun, °hâlant pour 

le moment ses querelles raciales et rehgle.es. 

Nigeria. A la première session tenue 

depuis la guerre par le Conseil 

Législatif de la Nigeria, la résolution 

suivante a été adoptée â Eimainimité 

« Le conseil ayant suivi avm une 

intense sympathie les efforts patients 

et obstinés accomplis par le gouvernement 

impérial pour maintenir la paix 

mondiale, et cm efforts n'ayant Pas 

réussi fi obtenir une réponse positive 

de l'Allemagne, tiretré la résolution de 

renouveler, au nom du Peuple de Nigeria, 

l'expression de sa fidélité envers 

Sa Majesté le Roi Empereur et dêelare 

sa ferme résolution d'aider 10 gourernement 

impérial h poursuirve jusqu'à 

viCtoire la guerre qui a été imposée 

à 15 nation britannique n 

UN MESSAGE ou GlireKli DE osas' 

REIN A LA GRANDE-BRETAGNE 

Le cheikh de Bahrein, principauté 

du golfe PerSique, vient d'adresser le 

me.age suivant gouvernement 

ttsnique . 

a Depuis près d'un siecle et demi /es 

cheikhs du califat de Bahrein ont entrete. 

des lient d'amitié avec le gonvernemont 

britannique. La Grande- 

Bretagne a protégé Bahrein et assuré 

sa prospérité en protégeant le cons- 

Mer. et faisant régner la paix sur le 

Sesseems,,..m 

FEUILLETON DU MIDI 

Fdle . sentit soudain environnée 

e menaces. 

Allons dit Eloi en dardant sur 

a Jeune fille un singulier regard. 

La nuit tombait rapidement. Le 

iel, où voguaient de petits nuages 

cages, s'obscurcissait. Plot et Flore 

Marcheront sans dire un Mot Peu- 

ant une vingtaine dg minutes, 

ans l'ombre denes des arbres. Le 

buis jusqu'à /a clairière fut vite 

ranchi. Es longèrent une mare gis.e 

rose par le cM1. 

Une bâtisse en ruine se dressa 

uns le soir, Flore recula, effrayée 

Da cette masse sombre qui Surgistout 

à. coup deVant ses Yeux. 

Ru frissonna. 

LLE L 

; 

golfe persique. Nour sommes reCormaissa>nrttot 

lzmOr.rattefrceitagno%,,o 

entrepr.e .ntre I. forces mauvaists 

du nakisme sont av. la Grande- 

Rretagne. Si nous possédions une armée, 

nous l'aurions offerte au Rom., 

liement britannique, mais nous m'en 

avo. pas. Connue témoignage de notre 

sympathie, nous désiro. offrir 

38.800 livres au gouvernement britann, 

que pour ses dépenses de guerre. N.a 

espêroas que te gouvernement britannique 

acceptera ce présent nomme une 

faible preuve de notre admiration et 

de notre .time. » 

Le gouvernement britannique a exprime 

a, Sa Hautesse ses remerciements 

chaieureux pour cette manifestation 

d'amide et ce génére. présent. 

UN APPEL DE L'AGA KHAN 

A SES reDELES 

L'Aga Khan vie. d'adresser /e message 

suivant U ses fidèles 

< A tous mes frères de l'Inde et des 

autres Dominio. britanniques ; 

» Une guerre cruelle nous est aujourd'hui 

imposée et c'est pour nous un 

devoir de .opèrer de cur et d'anse 

au suCcés de Sa majesté le Rot Empereur. 

Cette .opération sincère et complète 

sera aussi /a meilleure maniere 

5e mocalr 

» Je prie instaminent i mes ferres en 

islam de comprendre que soit drestr 

séculaire et le meilleur moyen qui noas 

soit offert de servir les intérêts musulmatis 

est de collaborer loyalement 

av. /e gouvernement de Sa Mai... 

Mon fils aine et mol-mème avons mus 

personnellement nos services à la Msposition 

du vice-mi. » 

DES OBUS PAR MILLIONS 

Dés la première semaine de guerre, 

dinnombrablrs usines anglarves lut 

avaient travaillé jusqu'a/o. pour les 

besoins de la paix mit transformé leur 

outillage pour t'adapter aux nécessites 

de la refense nationale. 

Le criresponclant du a Tunes » dans 

la i9gion industrielle des Midlands ta 

rendu visite, tout récemment, â /âme 

de ces usines où l'on fabrique dm obus 

pour la défense contre avions. Cette 

usine est aujourd'hui en mesure do 

produire a .nfortabiement » tin Million 

d'obus par an et ce n'est la ou'une 

des nombreuses fabriques qui mut delà 

en plein rendement, Sans compter toutes 

celles qui sont en cours d'aménagement 

en Grande-Hretagne et dans tout 

Un membre du ministère du Ravitaillement, 

qui accomPagnalt les journalistes 

dans feue visite, déclara que les 

progrès de la fonderie et de /a tnécant, 

que permettaient de fabriquer des obus 

à la cadence sis fois supérieure à cenc 

des péri.. Inc plus actives de le 

Grande Ouerre. 

La réduction de la main-Tin.rc par 

les méthodes modernes permet de fabriquer 

le même nombre d'obus avec 

40 ou 50 ouvriers, la où il en fallait 

airiamvans 70 ou fle Le travel/ est 

Mire plus soigné, étant Mus nipide et 

moins, pénible. 

A dette occasion le rédeteur du 

Times,mend hommage au .éle des 

ian7tr.:.eir eigetzennr, 

Pm MM les voiteurs dorent 

'prendre pas mal de précautions pour 

. garer deS tours et des courroies est 

pleine action, ce travail ne requiert 

I n'ailleurs aucun entrainement protes- 

i Manuel particulier et il mffit d'une on 

deux semaln. pour former un ouvrier. 

Les visiteurs remarquèrent une équipe 

de mural-mode qui travaillaient au 

poli.age intérieur de rob., parfaitement 

insensibies au vacarme ambiant, 

ces ouvriers avaient Olé recrutes dans 

une ecole de sourds-muets des environs 

et s'acquittaient de leur tâche à la sausfaction 

génerase, heureux de mouroir 

.sf, rendre utUes en Pm.. leur Pm, 

de l'effort 

CHURCHILL 

AUX TRAyAILLEURs 

< Je ne sous-estfine pas ce qui nous 

entend », disait M, Winston Clunichdl, 

Premier Lord de /Amirauté, dacè un 

régent discours a mais je tiens à dlio 

ceci Je suis certain que nous aurons 

la Mrce de mener, bien une bonne 

cause. Noon brisrrons les barriêrcs 

s'interposent entre les masses labri 

rieuses de tous /es nays et ime vie 

quotidienne plus libre et plus lurons, 

.../KUNI,.46,..11wereyirealeefe, 

1ili lit t?le. ri t 

Abonnervore 

Midi Socialiste 

C'est un devers impérieux. 

emE 

©OX DU CH 

par Mme Eve PAUL-MARGUERITTE 

Les maks/us, comme les êtres, ont 

leur physionomie, et celle-ci scat 

un aspect sinistre. L'humidité cou- 

lait des moisissurm de la pierre. 

Une vitre cassée s'ensanglantait du 

reflet d'un nuage pourpre. Lé sol 

humide se tapissait de Mousses ve - 

datres. La maison du crime ! annon a 

Elor 

Ba voix surprit la jeune fille. Elie 

lut sur son visage une expreesion 

sournoise qui lui déplut. 

Flore ayant buté sur une racine, 

Plot lui saisit le bras et tint la jeune 

fille serrée contre lui. 

Prise de panique, elle n'osait se 

degager. 

1T 

(9) 

î 

gill',./11101e',1111111/ 

WC:Nia UN (AlIDIEAU 

Le MillOSille 

du MIDI SOCIALISTE . 

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La presse earigeelle 

oans r uvre s, sur le discours 

Palmier, la politique de MM., le 

mair.mise de la Russie sur les Etats 

balles.. 

F.as général, les milieux bien informés 

de Paris et de Londres ont été 

SUrpriS pan le discOUrs du Fuhrer. 

fis Ta/tendaient a nes ProlioSitio. 

smsationnelt...giu tout au moms pre- 

, 

Or, ce discours est gris os le Führer 

En nrononee en grande partie, dOine 

voix comparable à cèle sain fonalonnotre 

blasé lisant un rapport quelconque. 

sur une question quelconque. 

On était loin des discours elYnandoues 

et triomphants d'd y a quelqhes 

mois. 

Vers la fin de son discours. le Führer 

a donné un accent plus permnnel et, 

en particulier, en parlant de Staiine, 

qu'il a fait applaudir par te Reichsrvg 

tout entier. 

Une fois de pius, :es splieres bien 

informées de Paris et de Londres constatent 

que ce discours ne change rien. 

Il ne contient aucune de ces menaces 

extraordinaires que certains croyaient 

qu'il comporterait. 

En réalité, en estime que le ton gêné 

av. lequel Hitler a Momieié ce d'émou. 

corre,nOnd bien à /a situation 

datis lamelle le Führer se trouve actuellement. 

Il n'a pas osé faire des ProPosi.ons 

précises, car il savait qu'elles étafi,n, 

-.fusées d'avance. 

Il n'a pas osé ne pas y faire ail. 

Won, puisqu'il s'y était encagé vis-Assis 

e mn peuple. 

1155 pas osé menacer carrément 

les démocraties, c. 11 tin plus d a/liés 

et, évidemment, Staline ne l'a OU 

autorisé a faire état des moindres pow 

hbilites d'alliance militaire avec OU. R. 

S. S., puisqu'il n'a d'ailleurs rien obtenu 

de ce genre. 

Le ton avec lequel il a exposé ce plan 

constructif de l'Europe, manquait de 

vigueur. 

I Las milieux diplomatiques de Paris 

Croyez-vous me faire peur ? 

demanda-t-elle. 

Telle thee pas mon intentionl 

affirma film. 

fils guida vers la maison blême, 

al s'enflammait au contact de ce 

jeune corps pressé contre le sien. 

Tu es seule avec moi en pleine 

forêt ! dit aloi, tutoyant tout à remP 

LE MIDI SOCIALISTE 

et de Londr. en ont été parti... 

data 

ministre des Affaires étrangères sont 

repartis pour Moscou. 

Les bruits les plus contradictoires 

courent à ce sujet. /I minale que 

l'U. Ft. S. S. réclame deS bases aériennes 

et Une sorte de Gratte militaire qui 

ne halerait qu'au cas où /a Lituanie 

serait attaquée par une 

ment frappes. 

étrangère. Comme on e voit, OU. R. 

S. S. se préoccupe toujours dee dê, 

'nn'rni nédn'nnnt ce-n1 

Parait difficile d'admet ne MEM.. oc fense des pays baltes contre lemag 

-11,aqueurs'u[nlo'rrorn't doéese riciergeles 

M./naines. 11 leur apParalt plutôt qUe le 

rtihrer ne ferait Pas d'offensive se. ExAmENs Ei onctions 

ric.e, se bornerait à. de opérations de 

détail, et tous les deux ou tmie mois 

renouvenerait ses offres de paix. 

que, et s'arrêtant, elle le toisa avec 

froides, 

Perdez-vous l'esprit I demanda...elle 

d'une vola calme, avec cependant 

une horrible contraction 

du coeur. suis fou d'amour, Mora. Je 

Seras 

cos lecless.1 

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Ivre de toi, Mora! reprit-il 

avec ardeur. Nous Sommes destinés 

l'un à l'autre, continua-t-il avec 

une exaltation croissante. J'ai envie 

de toi depuis longtemps, tu sais, 

. , 

noua marierons ensuite. Tu verras 

comme c'est bon d'être aimée! C'est 

toi ensuite, comme les autres, qui 

me supplieras ! Tu exfolieras ta au- 

Perbe et tes dédains... 

Je vous ordonne de vous taire I 

Binnendijk a, jaugeant 6.800 tonn., 

se rendant de New-York a Amsterdam, 

a été coulé de bonne heure hier matin 

dans /a Manche. 

Les quarante et un survivants ont 

été ramenés à terve dans un canot de 

sauvetage. 

Le a Binnendijk a appartient à la 

O Hollande America Line » et est enregistré 

à. Rotterdam. 

Osa sursaut horrifié et lui glissa 

des mains. Il la saisit à nouveau 

orutalement, exaspéré Par cette re- 

sista.° qui déchaînait en lui le 

fauve. Cette fois, il enserrait Flora 

dnns sa e 

Elle vit contre le sien le vreage 

me suis juré que tu rerals à mot. 

Quand je Veux qUeMue chose, j'en 

d'aloi contracté par la fureur. 

blesse fille et serrant un peu plus viens toujours à bout. 

Ses regards flamboyaient.. Désir 

fort son braS. 

et haine se .nfondaient chez lui en 

Je vous avais Prié do ne Is55 

Nosa sommes seuls, en effet, me parier une envie de meurtre et de viol; 

de vos sentiments. Le 

dit Flers en le regMdant dU Coin moment et l'endroit sont mal ohm- 

une frénésie sauvage l'animait. 

dit-elle en e.ayant de le dompter 

de nes. 

is 

Elle crut qu'il allait l'étrangler. 

u regar . 

Je peux faire de toi ce 51.1 me Il eut un rire disCorelant qui af- 

L'épouvante, un instant la 

L'expression qu'elle lut sur son 

Para- 

p lalt ! 

fecta péniblement /es nerfs de la 

lysa. Mais l'instinct de la co.erva- 

visage la terrifia. 

Flers tourna 

tion fut le plus fort. 

la tète, effrayée Jeune fille. Un éclair meurtrier Tu seras mienne, Flore, que tu 

tale sentait son lialeise avre e passa dans son sourire 

D'un sursaut désespéré, elle tenta 

le veuilles ou non; je te posséde- 

voyait rougir 

de se libérer, 

ses pommettes, Lloi ELMand ramona' grande, renras t Tu ne m'échapperas pas!... 

devenait-il 

En vain I I/ la tenait solidement. 

fou ? Se r.sentait-il dre% Importe peu. Et PourgUoi ce- Vois, le beau lit de mousse que nolsa 

encore des libations du déjeuner? 

De ms doigts, elle le griffa au vilui-ci 

ne conviendrait-il par? Des aurons pour nos caresses ! 

Allait-il se /ivres à quelque excen- êtres se sont aimés à la 

sage, mais il ne fil qu'en rire. Lm 

frénésie Avant qu'elle mât l'esquiver, il fut égratignures sanglantes, 

tricité ? Que rnéditait-11? dans cette demeure delabrge. Nous centre elle, lui ceintura la taille, es- 

la sueur 

Un rictus déformait la bouche du en ferons autant ! La maison du sayant de la renverser à terre. 

Oui ruisselait de Son front le ren- 

jeune homme, accusant la COurbe rrime, disais-tu tout à l'heure ? Mais Flora, en fille sportive, éledaient 

hideux. LOI vrai démon La 

de son grand nez en 

Flans frémit. A sa frayeur 

bel d'aigle. Bien plutôt la maison de l'amour... vée à la campagne, était agile et 

se mêlait 

une intense 

Dans ses yeux luisait une lueur Son lourd regard s'appuya, Sur le musclée elle se débattit farouche- 

répulsion. L'idée que 

équivoque. Il eut un ricanerneut 

cet homme pût la Violenter décupla 

visage de Mora, nese su7 Ies berent ment. Un corps à corps sauvage 

rauque. 

rvux pailletés d'or, sur ,les jooe, 

ses forces. Elle se baissa d'un 

s'engagea. 

mou- 

Tu me plais, Flers; le t'aime Pleines et fralzhes. Ce regard fut si Elle sentait dans son cOu, sur ses vement brusque et le mordit au poi- 

malgré tus mépris. Je ferai de toi expressément brutal qu'elle rougit, 

gnet. Eloi poUSsa un cri de 

jeMeS, le souffle chaud de l'homme. 

douleur 

ma femme et ma maîtresse... 

I Vous êtes ivre, dit-elle avec Ans moment, il plit Prendre ses inet 

lâcha aussitôt Sa proie. 

Elle . dégagea d'un geste brus- 

D'un bond. Mora fut hors 

mépris 

Vies. Mals elle se dégagea aussitôt 

de sa 

portée, Déjà., il centrait sur elfe. 

Mais où est 4000 0e pot d'allumettes qui figurait si bien la cavalerie 

en 1914 ? 

La cavalerie est motorisée mais j'ai remplacé le pot d'allumettee 

par un allumoir électrue. 

un engagement volonaire pour la durée 

de la guerre au titre du personnel 

naviguant de l'armée de l'air 

dans les basco de rattachement de 

l'école de pilotage élémentaire do 

leur choix. 

Les jeunes gens ayant un début 

d'i.truction de S. A. P. mais n'ayant 

pas de diplôme ou en ayant 

d'inférieur is 'celui du brevet élémentaire, 

peuvent demander à êtsc 

torisés à passer tut concours en vue 

d'être admis dms une mole de pilotage 

élémentaire de la 3` Région 

3 

tes arrestailons 

lie COM11111111SIOS 

DANS LA SO/REE 

TRENTE-CINQ DEPUTES 

ETAIENT ARRETES 

De Paris. A 18 heures on alla 

nonce que trente-ohm députés communistes, 

sous le coup d'un mandat 

d'emmener, ont Sté arrêtés. 

As.en:Cerltcoerenmnia:'m.vsartdlaeg:10:eocdtelo7nt br,oeinPrd'r P o_ét net 

de pilesda lap.réigieson.ipa.ffaseienne juûretévin.e. et 

tage élémentaire la plus proche de tic,,ee. 

I eur résidence. 

Le bureau de reerutemere rensel- Parmi I. députés communistes 

gnera plus complètement les inter- ,c,...I.07,..soêizt,,détà,,,cronirroefol.êiv,BeeB..,:mainii:iz,,c_,,tTenpm.,,ora:Ihtarnl.ed: 

r essès. 

En mer - 

naud Jean, Midol, Ceste, Cornavin, 

Piginnier, Gresa, Henri Martel, Bue. 

tolini, Gaou, Georges Lévy, Loseray, 

Pillot, Petit. 

N'ont pas encore été arrêtés: MM. 

UN vAPEuR--HoLLANDAIS GOULE J.Joecetqt:,Anst,ofrmeaxartsr,?..MrimoxolfinodusseBoa.tité.,MRan; 

DANS LA MANCHE 

De Londres. Le vapeur hoUandais 

UNE MUNICIPALITE 

SUSPENDUE DANS L'ALLIER 

Vichy. En application du démet 

suspendant les conseils municipaux 

communistes, la municipalité 

du Vernet (Allier) a été remplacés 

hier soir par une délégation déléguée 

par le préfet. 

Ce remplacement n'a donné lieu 

à aucun incident notable. 

GOMMENT PUT ToRPILLE 

FACULTE DES sem/sic-Ès 

LE e BINNENDIJK s 

a ET FACULTE DES-Lekritts 

De iionsatb â» dels les ni rel ITINTIVFRSITE ' De Londres. Le capitaine W. Mod- 

DE TOULOUSE ne, résidant - Rotterdam, patron du CA ET LA.. 

plus en plus marquée de l'Italie à Sou- Les épreuves écrites du baceallatl- 

a Sinnendijk » coulé par les Allemands, 

regarder sa liberté d'action dans te. réat de l'en-seignement a déclaré aujourd'hui quai se trouvait 

les domaines, secondaire, 

certains dipoinates 

session d'octobre 1939, auront lieu, 

sur le pont au moment où une ore., LE COUP DE GRISOU 

italiens affir- h Toulouse, dans I. locaux dési- sion fonnidaMe sort produiteDE St-ETIENNE FAIT 

ment que l'Italie menait invoquer gués ei-après 

< Les moteurs et la radio ont cessé NU MORTS ET TRENTE 

VINGT 

BLESSES 

ET 

deim faits essentiets pou se considérer Série A de fonctionner. Le navire, a.441 dit, a 

n au Lycée de garçons 

Imuro do certa'ns ...gement. commencé à couler très lentement 

ting (entrée par la rue Lakanal) 

De Saint-Etienne. Le terrible 

,Lu'd in Parie ger...orna., eahore et Série A' r à la Foottit& don Lettres 

Nous avons envoyé des signaux à fusée COUP de grisou soi s'eut produit 

conclu sans l'acquiesçons. de ruelle. auxquels on a répond.. 

4, rue d.e l'Université 

hier, b plus de 600 mètres de proet 

purs l'ouverture des hostilités contre >, puoo ales on vars,ns coins/eget.> 

Série II 

a Fol.er eu pamam outre aux Mn- m à la Faculté des SM.- 

fondeur, dans l'une drs galeries du 

seils et à l'avis de 1:Hal e. 

ces, allées Jules Guesde 

a accosté notre navire et nous a pris Mâts de la Loire de la Compagnie 

re7d 41 officiers et hommes. Nous ne des mines de la Loire, 

Série Philosophie 7 PI diplomate itrisen Ala Faculté 

à Saint- 

affrimct ct; 

transportions aucun paso.rr et notre 

souriant ces ionien, h Râ., cube Is 

des Lettres, 4, rue de l'Université 

Etienne, a provoqué, malgré Purvoyage 

de Nerevork s'est eV:érine sans g.Me des secourS, la mort de vingt 

Série MathématiOUes u à la Fa- ,ncidoots. mou., n0000ns 'rien wr sn ap- 

P?lifieric 

ricton anglais 

Du e0 et ce le du fnicenn culte et un mineurs. Trente autres ont 

dos 

Wall and see attends d Sciences, allées Jules Gu... ...nt de la côte anglaise. Nous nous été blessés. Les travaux de déblaie- 

es regarde... 

dirigions vers /e fort, pour enir notre ment continuent. (Havas). 

Dans certains milieux italiens on a Ces éPreuvoo commenceront le navire Mt examiné, lorsque l'explosion 

été frappé ces joum derniers par le fait mercredi 11 octobre (appel à s'est produite. » 

UNE AUTO HEURTE UN ARBRE 

que les agents aie l'Allemagne ont dé- 7 h. 30) Pour les sérieS A, A', B; 

UN MORT, TROIS BLESSES 

dosé à Budapest que déSormais la po- et le vendredi 13 octobre (aPPol DEUX YAPEuRS SUEDOIS SONT 

Utique de la Hongrie ele7a être dite, 7 h. am .pour les sérl. Philosophie ARRAISONNES ET AMENES o KIEL 

De Foix. Dans la nuit de samedi 

à dimanche, vers 2 heures du 

nuire d'orovrmi snm Berlin, ri Mslhcdatmqueo. 

De Stockholm. -- Selon des informa- matin, à l'entrée de Taramon-sur- 

Corinne. depuis de longues années, le 

tions parvenues aux armateurs les va- Ariège, une auto conduite 

cabinet hongrois se consultait, avant 

peurs su éden e Freden » et a Sian- 

Par M- 

chaque opération diplomatique, avec le 

gen 0001 été captures et emmenés à 

Emile Soutasse, de Tarascon, cl où 

gouvernement de Rome, cette démarche 

na,zie a Budapest est Avis Officies Kiel pour subir une visite. 

se trouvaient M. Courent, limonadier 

à Sabart, sa femme et un ami, 

interprétée 

M Duques, a par suite de l'éclate- 

dans les cercles fascistes daller. rommm 

on tndidele Rin pourautu RECRUTEMENT 

ment d'un pneu, heurté violemment 

dans les Balkans une politique parti- DES ELEVES PILOTES m. mus« a parle un arbre. 

Culière, sans apprécier a leur juste l'a' 

D'AVIATION 

MM. Courdi/ et Soupasse, atteints 

Imite les droits acquis de Malle. Les élèves pilotes civils inscrits IL N'A FAIT AUCUNE ALLUSION de blessures à la fam étaient les 

aux sectioos d'aviation préliminai- A LA SITUATION plUs grièvement blessés, Mais leu00 

res possesseurs du brevet de touris- INTERNATIONALE jours ne paraissent pas en danger. 

LeS nOuvelles qui Parviennent des me du I' et du P degré ou dont De Rome. M. Mussolini a Pro- Cependant, 'dimanche, EL Corurdil 

pas baltes sont .mz intéressantes. 'entraînement aérien est suffisamnoncé an nouveau discours, et cette succombait, tors probabement 

Tout d'abord. ii ermblr Mie le mement avancé et qui possèdent une fois devant les chefs fascistes de la une crise cardiaqUe Prov.tuée Per 

dia< vivendi pour la Lituanie mit assez i.truciton générale justifiée par la 

'émotion et la commotion plutôt 

a trouver, puisque le chef de possession d'un diplôme, au moi., Le chef du gouvernement n'a fait qu'a ses blessures. 

l'armée lituanienne, le général Ras. équivalent au brevet élémentaire, 

kM, le vic.président du Conseil et le 

aucune allusion à la situation inter- Le parquet de Foix s'est trame- 

peuvent immédiatement contracter nationaie.porté 

sur /es lieux 

Eperdue de terreur, elle .iSit à 

terre une souche de bois, la lança, a 

toute volée contre son adversaire. 

Atteint E. la tête, Eloi chancela ; 

les mains étendues devant lui, en 

aveugle, il battit l'air et s'écroula à 

terre. Etait-il blesse sérieusement ? 

Moi pouvait se relever d'un mo- 

ment a l'autre et s'élancer à sa 

POursuite. La terreur lui donna des 

ailes. Elle se jeta dans un sentie 

au hasard et partit comme une aeche. 

Autour d'elle, s'étendait fi perte 

de vue la grande forêt landaise aime 

son enchevêtrement de pins et de 

chênes-lièges, de ronces ot da fougères, 

res tapis de bruyères, ses nones 

arrondies a la vegétation lump 

Mante, ses ajoncs rébarbatifs étoilés 

d'or, 7a forêt que le efir 'enVe- 

MPPe de ses voiles. 

Flore, d'habitude, aime Cette forêt, 

étrange et belle u force de solitude, 

d'austérité, de si/ence. Ce soir, 

elle en a peur. Un vol de corbeaux 

noirs la fait tressa/Mg Un cri lugubre 

troue le sfience de /a nuit. Mora 

tend l'oreille, inquiète, mais le crl 

ne se renouvelle pas ; sans doute un 

oiseau de nuit, chouette au hibou, 

a poussé ce cri affreux. (A misse>. 

DE 7EPARGNE EN CARAFES EST PUR, SAIN,' 

CACHETÉES HYGIÉNIQUE 

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

conseil municipal 

Réunion du Conseil municipal, en 

séance officielle, aujourd'hui lundi 

9 octobre courant, à 18 heures, salle 

habituelle des réunions. 

Ordre du jour 

Affaires diverses. 

,B 

Nous croyons savoir qu'a cette oc- 

casion le maire prononcera une im- 

portante allocugon. 

1111111111111111111111111111111111111111111111111 

Le paiement 

des indemnités de 

réquisition 

Il .t des évidences sur lesquelles 

l'accord ne peut manquer d'être unam- 

me. Parmi ellm figure, en prennes lieu, 

celle qui concerne la nécessité de mai00 

tenir son élan à Factivite de la praluc- 

tion et des affaires dans le pays. 

Dans bien dm cas, il serait facile 

d'obtenir ce résultat sans trop de dif- 

ficulté. On sait, par exemple, que de- 

puis le début de la mobilisation, de 

nombreux objets et marchandises ont 

été réquisitionnés notamment des 

chevaux d. mulets, des camionnettes, 

des camions, des voitures automobile. 

L'objet de ces remarques est relatif au 

paiement des indemnités correspondant 

g la valeur de ces réquisitions. 

L'autorité supérieure a précisé que 

ces paiements devaient être effectue 

par les receveurs municipaux. Mats elle 

s'est bornée à cette précision. Les re- 

ceveurs municipaux ii,nt pas été Co- 

tés des moyens qui leur Permet.' 

d'assurer cos règlements. Et malg 

tout led a0.11 vouloir, Ils se trouven 

dans l'obligation de répondre Par la 

négative toutes les demandes qui leu 

sont adre.ssées par les Mteresses. C' 

d'autant plus regrettable que cet é 

de choses, auquel, dans l'intérêt gen 

pal, 1/ suint urgent de porter remede, 

est seulement imputable à im jeu de 

Jormalités. 

Pour que les receveurs .municIpaux 

puissent payer, il faut qu'ils en aient 

reçu l'autorisation et les moyens du 

ministère des Finances. Or, ce minis- 

fere ne peut délivrer 1m délégations 

utiles et verser les fonds que lorsque 

l'intendance lui a transmis les pièces 

ritessa2,rtetse. Ett, c'est,,Lretel aappoonrutée 

effet de "rétaigier la liquidation des ré-. 

guisitions. Le préjudice qui en résulte 

est certain, et ses répercussion.% se fônt 

lourdement sentir sur le rythme des 

affaires.- 

On conçoit qu'au début de la mobili- 

sation, les tâches multiples de l'Inten- 

dance ne lui aient permis de payer les 

objets et les marchandises en même 

temps qu'elle /es réquisitionnait. Mais 

+tenu]is, le mouvementrot a pou 

normalisé. Les complications des pre- 

'Mères heures inhérentes à mise en 

train d'aussi importants services, ont 

peu près entiérement disparues. Rien 

ne s'oppose donc plus à ce que les in.. 

tractions soient données pour que ceux 

a qui ont été enleves leurs moyens 

de travail, reçoivent le pl. raPidemmt 

passible l'argent qui leur est eld en 

compensation. C'est même indispensa- 

ble, si l'on veut, comme il le faut, que 

se continue le tircvail fécond qui doit 

permettre au pays de fournir le néces- 

saire effort saMtaire, et de se trouver 

à /a hauteur des dums nécessités pré- 

sentes. 

LITS, SOMMIERS, Matelas, Divans, 

Meubles neufs à de tres bons prix 

A la Trouvaille, 39, rue du Ta.. 

Lu voix de nos lecteurs 

UN PEU DE LUMIERE, S. Y. P. 1 

Nues recevons S lettre suivante 

Nous sommes heureux de l'effort 

de Toulouse, la nuit... Mais 1. allées 

louable qui a été fag pour l'écrairage 

Jean-Jaurès, sur lesquelles aboutissent 

de nombreuses rues mal famées, sont 

plongeas dans la Plus complète obscu- 

rité. 

Pourquoi cette r.triction pour nos 

allées, encombrées de tranchées ?.. 

Travailleurs de nuit, nous empruntons 

ce chemin pour rentrer chez nous, et 

nous devons traverser les tranchées, 51 

est presque impossible de trouver les 

escaliers, quant la pasSmelle Mique 

oui les enjambe, elle est, surtout en ce 

moment, entourée de flaques de boue 

gluante... 

Sur les boulevards, on a placé une 

lampe blanche, a éclairage réduit,. à 

côté de la lampe bleue._ On y volt, 

insi assez 000e pouvoir se conduire. 

Pourquoi ce mode d'éclairage n'est-il 

Pas mis en pratique sur les allées ? 

J'ajoute que /. femmes, obligées, 

comme nous, de passer par cette voie, 

dans le noir absolu, ne sont guère 

l'assuréus et hésitent, chaque nuit, en 

guittant leur trayait, â s'y magagrv. 

C'est en /eue sont, 05m celui de mes 

camarades, que j'adresse cette réclama- 

tion, espérant que, grâce au v I 

satisfaction nous sera donnée. 

Un (raval/leur de nuit. 

U1111111 llllll 111111 llllll IC111111111111111111, 

Les souliers 

phosphorescents 

« paris-Soir , n'a pas hésité à irise 

rer 

D'Amsterdam. 

la 0 O E. am 

Mittag, s, de Berl., la petate nouvelle 

suivante . 

O Un Berlimis a été reinarqué ces 

soirs derniers se promenant avec des 

souliers enduits d'une couleur phospho- 

rescente. Ainsi on le voit de loin et 

os as peut e heuoiro, 

« Nous recommandon.s ce système à 

tous les promeneurs nocturnes. » 

Ces Allemands, quané même, ils en 

ont des tructs éPatanrc 

Des souliers phosphorements D/ 

C'est simple, mais il fallait y songer, 

Pardi I 

Aussitôt que j'ai su ta l'as comman- 

dé deux douzaines douera luisants loue 

je poserai aussitét reçus sur mes go- 

dillots, plus grands que des fortifica- 

tions. 

Et tomes ça, la Défense passive pour- 

ra si elle le veut éteindre la nuit tous 

ses feux, qu'ils soient jaun. ou bleus. 

J'y verrai clair en regardant mes pieds. 

PISTOULAIRE. 

L'ECOLE VIDAI., 9, virés Mots, en- 

trée 12, rue de l'Echarpe, (en face glif, 

tel d'Asségat). dirige avec sauces Vers 

tous emplois administratifs et commèr- 

e/am. 

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Francais, cours complet de Secrétariat 

Commercial et Administratif, Anglais, 

Espagnol. Cours du noir ri par corres- 

pondance. Téléphone 201-77. 

LES MOBILISÉS 

ide la Poudrerie 

Me reste plus qu'a Volts souhaite 

. . , 

qu'à votre serviteur den 

avoir d'importantes liasses dans vos 

porte-billets et dans votre coffre- 

fort ! V. M. 

Cet article était terminé, lorsqu'a 

paru une note disant que l'Admq 

nistration des monnaies était auto- 

risée, par décret, a fabriquer des' 

pièces de 5 franos en bronze Tolu- I 

minium destinées à remplacer les( 

billets actuels de même valeur. 

Bienvenue au nouvel mu et con- 

doléances au billet de cent sous 

pour son éphémère réapparition. 

SIUN lllllllllll llllllll 1111 lllll I lllll 

VETOS A BON COMPTE 

A la suite d'une enquête et d'une 

surveillance relative aux vols de bi- 

cyclettes, M. le commissaire de poli- 

ce du 6e arrondissement a été appe- 

lé a appréhender Amroum Mak- 

foud Ben Gi-Gaadi, 42 ans, maçon, 

rue Denfert-Rochereau qui se trou- 

vait en possession d'une bicyclette 

dérobée le 25 septembre à. M. Massé 

Maurice, mécanicien, 39 rue Mu 

Récollets, 

Cet Algérien a déclaré avoir 

acheté cette machine pour la 

résumé 10 000oul. , me de 50 francs a un de ses comna-1 

M. R. Dautry, ministre de l'Arme- 

t a recu meecredl dernier, notre 

;camarade Vincent Aursol, tua ra entre- 

Itenu 

des trois questions dont sa de, 

nière lettre fiasse robées et dont nous 

00 en qui' 

qs een;.0, triotes nuit désignait sous le sobri- 

dnistre a déclaré qu'al étudiait les 

immens pratiques de réaliser l'idée de 

Ila construction de 'baraquements 

;Adrian avec couchage convenable et 

chauffage dans un rayon à la fois O- 

U et dispemé pour éviter les incon- 

quel qa pu être en 

tifé comme étant le nommé Ben-1 

douis Mohamed dit Bendrisse, dit 1 

- 

Mostefa, 37 ans, manuvre, demeu- 

rant rue de l'Industrie 58 

Bendouis entendu, a preendu 

lents qui résulterment à o évéirylelut a un 1 

installations provisodes actuelles. h1e9fInu Pm.' ta somme de 30 fr., 

srneyee. le minsesre a 1,, 000,o, 1 Mais au cours d'une perquisition i 

n Interlmuteur que dès la dans sa chambre, une demdeme bi- 

de sa lettre il avait donné /es ans- cyclette de provenance suspecte a., 

serle neeree peu. été découverte. Bendoes a préte.! 

jee rie°, du Pavois' achetée au marché de Sté 

avec la production. Tout, a-t-il dit, l'avait acquise d'un individu M- 

100, te prequeges, eparalea;, ; geant même adresse et connu sous , 

conime il fa fait observer que le rerieryeLd: Iereiol%;.;.,!!,.; or, 

fractionnée,s dans la mesure compatible 

ernin, mais l'enquête a révélé qu'Il 

lreeruntrde nvembrened'hoommeis ,/,yourvant 

identifié Martin comme étant le! 

!Modique des permissionsg7dr51 nem.' AUp'ein, âge de 25 

ites besoins de la production industrieUe 

demeurant 58 rue de l'Indus- 

n 'é.Pproduction 

sret,e..,t Dant Appréhendé à son tour, J:an A%. 

' 

! 

isese'n 'Tcue 

nue con odérzlmrde 

anPrvüenI iri ssang'tia 7:onn ct 

nu evu'x' bicyclettes, ,aux 

chefs de meut.. seuls, de décider 

p0, ern iej" Celle dérobée à M. Massé reven- 

dans cet esprit. 

mervuelle des sous-officiers' s.Uri dae 

5 

1 

joutritaliere, Dautry a gépd,,,,, Algérien fravaillant'ar0. V. L'A 

r9Jiet ldàaiinerquzsiont det,,e drve0ee à M0 VilleneUve Albert, d 0e- 

FOIRES DE LA SEMAINE 

Lundi 9 octobre. Carcassonne, 

Niort, Pexiora, 

r oc o re. . 

Jeudi 12 octobre. Belvis, Mo- 

landier, Labécédee-en-Val. 

Samesi oetobre. Montfort, 

r,e a reconnu ëtre l'auteur de sept au- St-Micheldde-Lanès. 

t 

y 

coeeen On ce/le trouvée lors de la perquisi- 

ns ou. ss es mn es. ; 

De meme, Vincens Auriol a saisi /es ti''' i 

a. . .., de ,a AU COUrs de lterrogatoire, Jean 1 

Md de réduire les effectifs de Tarriere tees Machines .vendues à. cinq négo- 

afin de libérer certafnes vieilles classes . . - .. . 

____,,_ 

0 

I Monts de la ville pour des sommes 

! diverses, pretendant que, mobalme, CARCASSONNE 

et de faire également sur 

des cadres . 

Tisonnais inutilisés. des économies ap- il voulait reanser des fonds pour 

préciables. 

11111111111111111111111/1111111111111111111111101 

!KU, les Diens L.. 

Ainsi, nos pièces de 5 et 10 francs, 

quoique relativement jeunes, vont 

disparaître de la eirculatio. Les bil- 

lets, de valeurs respectives, vont 

faire leur réapparition, puisque ce 

sont les mêmes qui avaient éte rem- 

placés par les populaires o bedou- 

cettes a qu'il ne faut pas confondre 

avec les récipients à couvercle du 

même nom qui stationnent le ma- 

tin, sur les trottoirs toulousains... 

Il faut reconnaître que les billets 

qua circulent déjà, sont neufs.., ou 

presque ! On a certainement da fe- 

re un autodafe des coupures from- 

sees, sales, ou dechirves.., que nous 

importe la vignette, pourvu que les 

billets soient propres et que l'on en 

C p 

Certains, satisfaits de ce troc, di- 

ront que les pièces étaient lourdes 

dans les poches et qu'ils préfèrent 

les billets ; d'autres, dont je SuiS, 

regretteront les pièces, plus faciles 

à manier et qui ne s'encrassent pas... 

Et puis, la pièce de 5 francs, pou- 

vait servir de palet pour jouer au 

bouchon, voir pour caler le pied d'un 

meuble boiteux ! Et comment nos 

Harpagons modernes et le Père Gas- 

pard, de corvevillesque mémoire, 

pourront-ils faire tinter /eurs écus 

et entendre ce bruit métallique qui 

Ive remplissaient de joie enivrante ! 

Il est vrai qu'ils pourront stocker 

1on pièces de 20 francs, si toutefois 

on nous les laisse ! 

On ne venn pas partir sans re- 

gret, la pièce de 5 francs, le popu- 

laire écu d'argent ou de nickel, que 

l'on retrouve dans les roman d'Eu- 

gène Süe et de Ponson du Terrail, 

sous les noms argotiques de « roue 

de derrière r et de o thune, !... 

Savez-vo., comment on appelait, 

Indic, une pièce d'or de 10 francs 

posée sur un écu ? Tout simplement, 

un « nul sur le plat O ! 

Le retour des coupures, maudit 

par certain, fera cependant le bon- 

heur des maroquiniers, panique, dé- 

jà, l'on s'amache les porte-ballets- 

Mais il est dus gens qui mettront 

leurs billets au fond de Mur poche 

comme ils y mettaMnt les pièces... 

Ils en perdont quelques uns, en sor- 

tant leur mouchoir, étant donné = 

eat.teP:leL,Ierlitet,d,e!.7ue 

ne 

fait pas de bade comme une parce, 

en tombant sur l'asphalte ou sur le 

pave ! 

Au fond, les coupures, artistique- 

ment gravées, d'allure bien fran- 

lai., ne sont pas si Mal que ça! 

Et, puisque, provisoirement, esPe- 

rons.-le, les pièces de 5 et 10 francs 

font place aux billets bleus et vio- 

lets de la Banque de France, il ne 

partir au front 

Ces commerçants en cycles ent 

été invités à tenir les bicyclettes 

achetées à la disposition de la 

tice, l'enquête se poursuivant pour 

en retrouver les propirétaires. 

AIIIMMI dont la bonne foin été 

établie a été remis en liberté, quant 

à Bendouis et Jean, ils ont été de- 

feras au Parquet, 

le poste d octroi M. Maudret Jean- 

Marie, 19 ans, pilotant mi camion 

o Berliet u lui appartenant, venant 

de Cintegabelle 015e rendant à Tou- 

louse, est allé, par suite d'une cau- 

se inconnue, vers la gauche, dans /e 

fossé ois le véhicule s'est renversé. 

M M adret transportait dans 

Pierre et Lescat René. Les trois en justice. I/ est procédé 

par la suite 

de l'accident ; ils étaient atteints de ,aa 

hommes sont sortis sans grand mal liquidation de certain. Pm, 

TE II/D/ SOCIALISTE 

CHEMINOTS DE TOULOUSE 

L. 

membres do l'ancien bureau du Syndicat 

de Toulouse, ainsi que ems du nouveau 

bureau sont priés d'assister à la =émis,. 

du lundi 9 octobre, à 21 heure, au siège 

2 ter, rue de rEcluse-Matabiau. 

IOrdre 

du jour 

Parcation des nouvorrs. 

Iaannualauniumainguallimunna 

EPOIITIVE 

A VIE 

Le husean de la cornsircs'a des arlds 

use des Pyrénées ade ae un salve amical 

à tms 

camarades mires,. es aux men, 

es d. nsim des Parentes et ses 

joue.. mobilisés. 

It Midi« les mesmes propms i mam- 

.enis te à frege peedant la durée 

d, /s gume. D'autre Visnial, 

préside. de la comm.-ma des arbior s, 

libéré de toute obligation mdtaire se tien- 

dra à la aisposition des perscones dosti- 

ves ifshgnient collaborer tant somme 

arbitses n',, comme dirvisors, dc lavon à 

c1 

meure mr pi, commnitiac que I.. 

nommeras. (.0000 de EEmrcanse d, m. 

sacs., tom cu régional à rayon limée, le 

Prograrn.o. sera mis nu neha itsercans_ 

LA GREI.E 

Au cours d. violents orages qu 

ont éclaté jeudi soir sur les vign 

blas du Minervois, le grêle est tom 

bée avec abondance, faisant des dé 

gats conedérables particulièrernen 

dans les tènements de Villeneuve 

de Bedons, de Saie-Frichoux et d 

Rustiques. 

Les raisins ont été /lâchés et ion 

citent le sol lamentablement. 

On signale aussi, une dévastatio 

analogue dans la région de Limoux 

Les vendanges contrariées déj 

par 1m pluies et par un marin gras 

portant avec lui la pourriture, s'ef 

fectuent très' péniblement. 

Le ciel participerait-il à la mé- 

chanceté des homsnes ? 

CONSEIL MUNICIPAL. Le 

Conseil municipal s'est réuni sous 

pprésidence de M. Tomey, maire, 

mercredi après-midi. 

Les travaux de transformation du 

Lycée d. Jeun. Filles ayant été 

divisé en pl.ieurs tranches, chacu- 

ne donnant lieu à des marchés dis- 

tincts, l'assemblée décide de libérer 

la arntie de la 10epartie en réglant 

g 

ACC/DENT 

une tranche de 22.000 francs. 

DE LA CIRCULATION 

.Le 

hune do 

de l'internat est augmen- 

210 f t - 

d eHier,M 0V,M.51) 0110 rahè et ru envie na p 

re, e 'u eIa après t 

conte 1cr 

n 1 

s ide 012 d'era enr. 

ip.pso 

par os,s 

s* Lear au g Sono 

e mancs. 

Au sujet des fournitures des éco- 

Ira maternelles, le Conseil accepte 

que les fourni.eurv dinainurvt le 

rabais de 35 .30*7c. 

La location des chalets de néces- 

mte est renouvelée. 

Le Bm.0 de Bienfaisance coton- 

mn°ami°. deux amis, MM' MasPas tanisé, sur sa demande, de rester 

plaies ou contusions diverses sans Le'ree, offre 10 f oyer 

M. le Commissaire a ouvert une &demie pot. y faire les classes. 

enquête. La maison Renaud s'est oc- 

tte ofre, est-il précisé, n'.t faite 

qu'a titre de prêt étant bien entem 

dupée de dépanner camion. du que la ville repr.dra possession 

COLLISION ENTRE DEUX PIETONS de ce foyer lorsque les ecol. que 

ET UNE AUTO l'on projette de construare dans ce 

05,0esem, uses 20 00,0 m, jârth, hameau seront édifiées. 

Debailleul, 37 ans, demeurant 347, En hommage à la vaillance et an 

route de Revel, cheminait sur cette courage d. Polonais, l'assemblee 

dernière route, en compagnie de sa communale décide à Fmanimité de 

fille /Bene, âgée de 11 ans. M. Debail- donner le nom de Boulevard Verso- 

leul conduisait sa bicyclette par la vole, à l'ancien boulev.d du Canal, 

main gauche, tandis que sa fillette Plusieurs conseillers s'élèvent con- 

était a sa droite. tee le manque d'éclairage de n. 

1,05 deux piétons cheminaient à mur rues, la nuit venue. M. le maure, 

dmite lorsqu'ils ont été heurtés à l'ar- constate à son tour las difficultés 

dere par l'autrybile peugeot » nu- qui résulte de Oct état de elltiM..r% 

tion, 

a mp, 

gravité apparente,, nana c'mPlks- gale de Grè. à M. d'inspecteur d A- 

demeurant 127 route de Revel em- fonctionnera comm 

eiye, 17/.1,1 atai.., 

mélo 

55: Rosé Pas veutés" flis 

bien 

l'allto 

Pk0'ê à rné.iisi< après que tous les globes auront été 

M. tsebaillem a Olé contus1onné dans recouverts d'me nouvelle peinture 

la région des reins, tandis que sa bisse agréée par l'Etat. Aprirn avoir 

fillette avait une piMe au genou Moit. donné cette assurance, M. le maire 

Leurs blessures ne paraissent pas grm adresse un ntruve appel a la dises- 

yes, tous dem ont é. transportés Par pluie du public, le priant de se Plier 

l'auteur de l'accident a motet-Dieu aux exigences de la défense passive 

Pour y étre m'erses Les bicyclettes ont au poMt de vue éclairage intérieur, 

été en partie détruites. 

M. le commissaire s'est rendu sur les 

TRIBUNAL CORRECTIONNEL. 

peqx. ung.00 Inoa. Audience du 5 octobre 1939. 

Ur les responsabilités de Pacddmt. Fr&idcntt RfFlue mini'tère Pu- 

AUTRE ACCIDENT 

oit M M Ili M Marty 

Eseudéra Martina, 46 ans, sa. 

Hier. vers 10 ta. 45, Aille dulielte Del- profession, est arrivé d'Espagne 

moi demeurant rue Helloc, à Tou..e, sans pièces d'identité. Un mois de 

circulait sur le Pont-Neuf, en direction prison, 200 francs d'amende. 

d'Esquirol au votant de l'autonyobile Venue Pierre, 45. ans,sseans pr,,o- 

'Jr00,eTor?:.'re.n Ler ,i'elv,,.'un. speesr cfeusesig ?nit noun; 

vol etc dum 

élees , m 

cer a or on, 

qUne 

enquête est ouverte. :que tenter d'éviter les coups qui lut .99e+ 

TILLOLSE FER,A-CHF.VAL 

Annome du match on 8 cousant reçue 

le 8 dans noue salle de e'acti.m, 0s5 5v"- 

séque. trop rvd Par,',a opPa 

mile. N. D. L R. 

111111111111111111111111111111111111711 lllllll ID 

A VIE DES 

OCIETÉS 

FEDERATION DES LOCATAIRES. 

Du Mit des différents décrets Pesai...a 

actallonent concerna. la législation des 

lois sur les loyers, is Fédération des Laar 

Mires et Commerçants locataires se tient 

à la disposition de ses adhérems cl de 

tous les locatemes vu ,,énéral po. tous 

,.0,a.nts jusidismn 

vsisol avoir ire... tant pour les 

d'habitation me professsonnela ou coin- 

frcfense devant mus tril;tnaug 

En des eirconstenges se,glies, les 

bo'aaonecsenO ouverts de 15', C 59 h . 

ecce I,', jours, au siège social de la Féd, 

sot,,.'12 bis, à aMig,,a teirimde 

tIulIIlIIlIIS 1511151 IIIIIIlflhuI!IIIINIIIIIIIIII 

CINEMAS 

GAUMONT.PALACE. Pesmaneus 

de 141,300 19 heures, soirée à 20 h. 30 

L'Enctaineum » avec Miohète Morgan 

et Tramel. Un documentaire. Un dessin 

animé, les nettetés de dernière heure. 

Les elub, et les persanes einté.essa 

nrsugohrry,,v..,,,T,Lenirce szef s'ES« d'adsr. 

2trst'; 

VOX. !Immanent de 14 à 19 L, oh 

s,!.., Me à 20 h. 30 r « Tarzan l'Intrépide 

: 16f,)1 440 J,,,ta h fi, 10, n. Les dernière: 

aolnsl,lts do la nuosto. 

KenIteas iztuntsé.,Baemment: etfrra.el,a; 

d'amende avec sursis et à 400 Ors 

«IC11-11111L (fele» tit 

de dommages. Son père est déclaré 

civilement responsable. Défen- 

tour Me Soum pour Nome ; Me 

Castel peur Eellemarre. 

Une litière d'un village voisin, a 

vendu du lait écrémé à 66 %. Pour 

fraude alimentaire, 100 Or, d'amen- 

de. -é--Défenseur Me Castel. 

y , 

d'usine à Carc.sonne, a frappé sa 

femme, qui, après avor porté plain- 

te, retire cette plaMte à la barre. 

Le délit n'est pas moi. établi. Ri- 

vière est condamné à 16 fr, d'amen- 

de avec sursis. 

NAI2BONNE 

P.T.T. - La correspondance. 

Pour permettre d'effectuer un tri péalm. 

Ede dès le dépôt de la corcesPondsnee, 

ce, en vue d'accélérer son acheminemem, 

E public est pré. 

i de vouloir bien déposer 

son courrier dans la boîte qui lut ex assi- 

gné - 

Dei avis placardés .0 dessus des boite. 

. . 

Pour ailleur, il est rstrce/é que 105 001- 

dire, postaux mnt ouverts de 9 h. à 18 h. 

celui du télégraae et téléphone, de 8 h. 

à 19 h 

St-Laur, de la Cabrerisas 

...fruitier 13 h. 1 f. travailL) 

BAISSAS, Senti-eurent baud, 

HORAILES. Nous croyons utile de 

sameler à nos lecteurs et arma les ami- 

rl des rtzizr,àda:er du 2 courent, dire.- 

Qulian (déesse), 4 h. 15. 14 h. 15. 

Carcassonne (arrivée), 6 45. (0 L 45. 

Carcassonne départ), 8 h., 18 h 

Quilles, (arrive.), Il h., 21 h. 

La ligne Quillan-Rivemites (Perpi- 

gnan) est assurée par autobus à da 

mlit, Cas autobus partent de Qu'ion 

arrivent même endroit vers 9 h. 45 et 

17 h. 45. 

II/D1111111 llllll 1111 lllll /111111111111111111111 

%.7CfkileglOnd 

MONTAUBAN 

VOL D'UNE BICYCL Sa- 

me Iteerrrs 

sut oeurz05,, 

,/ey briagmadiem; de- 

/ne voulait vendre une bicyclette un 

mécanicien de Montauban 

Le brigadier se rendit sur les lieux 

Mun .de s'assurer 00 10 proVenance de 

ette machine. 

Il se trouva en pMsence de la femme 

Raymonde Declem, épouse Rolls qui, 

pressée de questions, avoua avoir volé 

cette bicyclette. 

Elle fut appréhendée immeTatement 

et conduite au commissariat pour en- 

quête. 

TROUVAILLES Réclamerr à AI 

Louis Porta, 38, boulevard Msace.Lor- 

raine, une montre-bracelet ; e M. 

Gaillard, 3, boulevard Montauriol, une 

enuede0000ursl àté,500erOnot 

Eas-Pays, un portemonnaie, à M. mas- 

Mime Coulat. Cercle de l'Industrie, 2, 

rue de ta Republique. un vélo. 

TROUVALLLES. Rée/amer r à M. 

Sean Delpech, à Labastiolle, m bou- 

chon de radiateur r 

à PL Mascarade, 

rue clo l'Horloge, m vdo a PIM Bru- 

nel. 37, Grand-Rue VIllenouvello. une 

feuille à dessin; au Credo 000.0,001,31, 

rue de la Comédie. un chapelet ( à 

M. P.... villa de Nice. route de Cas- 

telsarrasin une roue de secours ;à M. 

Chambard, 5, rue Gillaqu0. une clef ( 

au cinéma Royal-Palme une clef un 

tour 05 000, une paire de gants et un 

parapluie r à Mme Bervaal. club Nauth 

rose, etg,Iteettparaidis,bée loin,* avec 

rue de la Réttoliquue,''Ufs' n'a'reapldr. 

elle a renversé M nommé Simon Dal- m re 

la peste. Pou vagabondage, il 

Col. 44 ans, demeurant rue Domunque- fera un mots de prison. 

. 

Boyer a Toulouse, lequel, suivait â Bellemarre Paul, 18 ans, et Nouer ore,s,{ a 

sa droite. avec sa bicyclette duemmt Georges, 18 ans, tous deux cultiva. 

éclairée, ta même directmn. Le cycliste teurs à Alairae, sont prévenus de 

éest contusionné sans gravité MM.- coups volontaires. Il résulte des de- C.CIAL,1,.S-1-8 

rente à la Umbe droite. candis que . bats que Nouée Grvrges a fr.-PPé ... 441l.a. par me atm,. .r.,, , 

ma arrière et le garde-boue du vélo Bellemarre qui était immobilisé par 

Qin.* aF 

TA 

BREVET D'ENSEIGNEMENT 

PR1MAI11E SUPERIEUR 

(Section générale) 

(2e session 1939) 

Sont admissibles 

Aspirants M. Mas Jean. 

Aspirantes I 

MIle.3 Assié, Aug.- 

tin-Viguier, Bertrand, BOyer Alber- 

tine, Bruyère, Cousi, Doses, Lue-- 

boy, Marietti, Montet, repris, 

Richir, 

BREVET ELEMENTAIRE 

se.ion 1939) 

Sont admissibles 

Aspirants t MM, Barreau, Berri, 

135010s, Couveignes, Esta., Gayrard, 

Gobait, Jamme, Landes, Mouysset, 

Ray.eiguier, Terré., 

Aspirantes Mlles Alibert, An- 

drieu Rose, Bénézech Yvette, Ber- 

trand, Hesse, Bou, Boudou, Bonis- 

set Yvette, Boulet, Doper Albertine, 

Doper Yvonne, Brissebrat, Bruyère, 

Cathala, Comi, Duchêne, Enjallyert 

Gabrielle, Enjalbert Marie-Antoi- 

nette, Esplé, Fabre Simone, Flourac, 

Fort, Frérvuls, Isidore, Jansou, 

Oayrard, Gleyzes, Goulignac, 

raud Marthe, Lacroix, Lagorsse, 

Lombry, Maffre Antoinette, Mora- 

va/ Marietti, Marty Jacqueline, 

Mazars, Moing, Montet, Mornand, 

Gales, Pasturel, Peyrin Prat, Richir, 

Rodière, Roques Limette, Rossignol, 

Roumagnac, Saulière, Séguy, :Board 

Paule, Pinot, Teysseire, Toulon, Vi- 

dal Suzanne, Augustin-Viguier. 

n 

ALBI 

ECOLE SUPERIEURE PROFES- 

SIONNELLE DE GARÇONS D'ALBI. 

Rentrée des classes. Cours 

préparatoire u Lundi 9 oetobre à 7 

heures 45. 

Ire, 2e, Or et 4e années ; Vendredi 

13 octobre. 

Sections du Brevet supérieur a 

Lundi 16 octobre. 

CONSULTATION GRATUITE 

DES NOURRISSONS. Mercredi 

prochain 11 octobre 1913 à 15 heu- 

r., au Dispensaire Municipal cghy- 

giène sociale, boulevard Général- 

Sibille au. lieu une séance gra- 

tuite de vaccination. 

Tous les enfants en 49 d'être 

vaccinés (bénéficiaires ou non des 

lois d assastance) peuvent etre 

présentés. 

(Médecin de service D.teur Ca- 

huzac). 

Nota. Les mères sont potées de 

ne pas présenter leur enfant à la 

consultation lorsque ceux-ci sont 

atteints Tune affection côntagieuse 

(coqueluche, etc...). 

LYCEE DES GARÇONS. Le 

Proviseur du Lycée d'Albi informe 

famillm que toutes les classes du. 

Lycée se feront au Patronage laïque 

de la Jeunesse Albigeoise, rue Fon- 

vieille. 

La rentrée des classes se septiè- 

me, huitième, neuvième, dixième, 

onzième et enfantine s'effectuera 

aujourd'hui lundi 9 octobre à 8 

heures 30. 

Les classes de mathématiques, 

philosophie, premières, secondes, 

troisièmes, quatrièmes, cinquième, 

sixièmes, rentreront /e /und' 16 oc- 

tobre à 8 heures du matin. 

M. le Proviseur du Lycéedemande 

instamment aux parents des élèves 

anciens internes de surseoir jusqu'a 

nouvel avis à l'achat des /ivres né- 

. . 

ANCIENS COMBATTANTS ET MU- 

TILES. Line réunion commune de 

l'AseOOlOhoc des mutiles de garre 

de EAmociation des anciens combat- 

tants. de /a régfm d'Albi IV. F.) aura 

Albi le dimanche 15 octobre, 

Cette réunion se tiendra dans la 

salle du otnéma F0011, lices du Norcl, 

oui est mise gracieusement a la dist, 

sition des A. O. pour la eirconstanhe. 

ECOLE FRIMAIRE SUPERIEURE 

DE SEUNES FEULES. La directrice 

de l'Emle supérieure de jeunes filles 

informe les familles qu'en raison de 

l'aménagement des locaux scolaires la 

rentrée est fixée peur toutes les elas- 

ses ou lundi le octobre 

CARMAUX 

MARCHE DU 6 OCTOBRE. Cours 

pratirctés 

Poulets, Il francs; Pou/es, Il francs ae 

mot le Mid; Pigeons, de 8 à /4 fracs, 

ufs, de 9 à 9 frf. 50 la domaine' Ca- 

nards muscats, de 70 à 75 fraum la mi- 

re; Oies Mvante., d-00 4140 hem. la 

Bise: Lapins, d. 10 à 18 hams /a pièce, 

Pommes de ernse, 8 à 9 âmes le comble; 

Pommes fruits, de 8 à 12 francs le com 

Mer Poires de 8 à 14 ban,. In comb'er 

Soin, de 4 à 5 francs le miser Amibe :00 

francs l'hectolitre: Porcs grae, d. 420 à 

430 francs les 50 kilos: Porcelet, de /80 à 

230 Same pièce, Veau, 5 frau,s le kilo. 

TROUVAILLE. M Rammud, 

que à journaux' Beim avoir :mec, uu 

immolas. 

CASTRES 

ETAT CIVIL DU 12 AU 25 SEP- 

TEMBRE 1939. Naissances. Averous 

Georges, avenue Saint-Pons. Po Me- 

nrdins, 49, me Maeoulol Oésn,lbo Clam 

de. 65, tue Maillot Remo. Christian 

RO, rue MarceBrigulboul. Tabarly Ci; 

061e, 39. boulevard AlsacesLormine. 

hbsnse Monique, /4, rue Flenry-IV. 

Crusse Michnl, 37, boulevard Patte-d'Oie 

Richard Mate, me Lavoisier. 

rie Michel, 40, me Erniès. Cariveue 

Scsmm, au Sauts0,5 Smee Christian, 

21 mem, da imam Berce Robert: 

19 ree Tolosana. Dumnd Evelyne. à 

Lauresié-Basse Maure/ Ose.. 89, ma- 

na de Lam.. Lonerle Cilles, 41, 

tue Chambre de l'Enns Pane Andrée 

33. Ercanade d. Mou, _ Ronanet 

mem, 8. me do Case]. Ohebbers Jo- 

sette. 23, boulevard Cmot. Pmet Jean, 

19 sue Tolosa.. Caseellato Reine, 23. 

boulevard Cam., 

Mariage. Alcalet Isidose et Toulon 

Made, IL rue d, ITIBeldleVill- Si 

sel Joseph et Red.. leanne. 31. rée Chem 

bre de Ils Planques René es Va. 

Ietie Auvustie, H sue Bodel. VaMete 

Henri et Soder Yann, 52 avenue du 

Sidobre. 

OHM r Ravailhe Octevie, 69 ans, Il. 

avenue d. Navé, Albert François 59 

ans, 13, boulevard Carco, edime 

Elodie, 40 ans, en Causse de St-Martial. 

Cm Marie, 72 arn. 7, bonievasd de 11-16- 

pita/. Arnaud Pierre. 58 sus, 34. rue 

lem,A I C , 17 23 

boulevard Carnot. Léon Memel, 28 ms, 

ARIEGE 

DIRECTION DEPARTEMENTALS 

DU RAVITAILLEMENT GENERAL 

Les propriétaires de presses â /ger- 

mé. et enarePreneum 01 Pmeeage, dé- 

sireux do presser le fom destiné sur 

armées, sont priés d'adresser leurs of- 

fres de service, et de faire connaltra 

leurs prix à nntenclant niiitooq f. 

recteur départemental du ravitaille- 

ment général à Foix. 

Il s'agit d'un prix forfaitaire OU 

comprendra toutes les déPenses allés 

mutes au fonctionnement de la PM. 

(déplacement deS PreSses, dm' 

Personnel spécialisé, rie manutentic. 

nulles, de carburants et lubrifiants, da 

fil de fer, etc...) et au transport da 

Soin pressé, des lieux de PreMage sUi 

pares d'expédition. Ces lieux Imams; 

soit âtre distants de ces gares de pl> 

sieurs kilomêtres, soit se trouver / 

proximité immédiate de ors 

Les transports de foin ste des testes 

aller eOrebunrsvpdelvueso 29 Idiome, 

tres donneront toutefois lieu 0 avons. 

loration. 

it pourra d'ailleurs être fait des of- 

fres pour le seul prmsege entendit 

comme ci-dessus, les transports étant 

assurés à la diligence den présidents de 

commissions de re.ption. 

11111111101111M1111111/11111151111111111111111111 

ffllt le; IO 

VIC-FEZENSAC 

ÂPRES LA TRAHISON SOVIETS. 

QUE. Pmquisieion dhez urt communie 

se notoire. 

Nov. mons inséré en eon temps ave6 

terve dé démission nicrtieIi que eirmi 

membres iefluems de la écelluls yiso04 

adressaient à M. Maurice Thom% 

taire général du parti S. F. I. Ch 

Il secte emme malgré tout, à Vic-F, 

z' usa, quelques mes communistes, du 

intaiqués, des incurables oui ,,,eàà, 

penser qu'en poignardant dans le tins 1. 

ma/heureuse Polo., SmIre, a acaule 

pour la pais et que l'accouple... mune 

1110005 de la moi. gammée avec lé faus 

cille et le marteau sert la lutte anticapi's 

ta. istet 

Pmmi ceus-là m 05005 0v notable ei 

taro... commerçant viçoi, propMs 

mirc d'immeubles et de 4 ou 5 sueur, 

les dans diverses localises du départst 

mem. 

Mercredi 28 septembre, un capitaine Je 

gendarmerie escoste de rcrclones suborn 

donnés et assisté de deu. adjoints de la 

municipalité viçoise, tomoInu505 In maire 

Inbmul, se sont Prercntes, vos mrch, au 

e'''c 

pso2ddeZ1 rze 

Evidemment j..è comme les fameux on 

rabiniers, ces messieuss arc arrivés LE 

tard. 

L'eau chaude 

ar l'électricité 

Name., tards da se OI.s rada 

SO6Itlé %kik 

NO. Qum St-Pierre 

3211.21 

Nos Portraits 

Nes 

lecatteur. 

peuvent obtenir M1 

latjae,rn,b1. 

d'us 

srseem,:a:10t' 

555 nous 

fiant l'exécmion de ce genre de P. 

agrendisstramts, fa. 15erv40 

co.etencie., sont livrés avec ut 

ro'fiessrrit'lecde l'epo'rrralte elitgu'iisiésnent f51. 

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mpo 

ée,!rn, trvet: mdo 

francs par personne au-dessm de 

Quenes que soient as dimersions 

iAOItono in.:;:i0.1:7:c::?,i0:13:t a. »lx:: 

Pr,. dans nes sureaux, ss francs. 

oevebies d'avance. 

liCOELE DE COMMANDE 

t 05 

. VO. 

/moisie pour agrsndissemem avec 4..2: 

taa vous voudrsn-rien 

Olt exécuté ft radresse, suivante t 

es-sumo un mandas no 

free. 

33 ans, 5, boulevard de ltHggitd. te/9 

hen Marie, 79 ans, veuv. Albert 70 

nue de SaimPons, Gaffarif - 

MERCE. L. Ministère de l'Ais - 

Un mus faire parvenir la comnunicZ,Z0, 

Io, n,e

L'ENNEMI HESITE - Bibliothèque de Toulouse

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