SOCIALISTE - Bibliothèque de Toulouse

ABONNEMENTS1
rota 18 fr.; fl /noie 34 fr.; / au 85 te.
SOLUTION DE PARESSE
Stabiliser ? Revaloriser ?
Tete sont les deux points de vue qui s'affrontent devant le
diseuesons académiques,
l'a.'', parti socialiste a pris position, comme toujours, nettement-
Il est pour la stabilisation, et cela parer qu'il ne recule
es devant les solutions réalistes imposées par les eirco.tances
actuelles.
On pourra lui objecter qu'il a, naguère, défendu la thèse
contraire. Que ne taq-on écouté ?Nous s'en serions pas aujourd'hui
au franc à vingt centimes.
Car on a, volontairement, laissé passer l'heure où, grâce à
'des mesures énergiques, il était possible de restaurer notre
devise sans rompre l'équilibre écnomique de la nation.
Mais le projet de prélèvement sur le capital a suscité contre
ses promoteurs une absurde campagne de mensonges et de
.lomnies. Les égoïsmes concertés du capital et de la finance
ont dressé une barrière d'union sacrée devant le coffre-fort
intangible. Et les milliards ont filé à l'étranger par toutes les
frontières ouvertes, pour y attendre, en sécurité, le retour au
pouvoir des champions de conservation sociale.
Cette désertion morale, si admirablement flétrie par notre
ami Vincent Auriol, a préparé astucieusement les difficultés
insolubles dans lesquelles se débat le -pays, et que, seul, le
programme socialiste pouvait écarter.
Car il ne faut pas s'y tromper, la stabilisation n'est qu'un
SOCIALISTE
Rédaction et Administration 38, Raz Roque/aine . TOULOUSE . Tél. - Compte Ch&I,. postaux S.s7s
I t BUREAUX A PARES , 3, R5, d'An.L.;ss. 3 (.
QUE SERA LA STABILISATION
La stabilisation. une tors votée par
les deux Chambres, sous fGme de
loi, sera appliquée sans que le pays
S'en aperçoive.
En effet, rien ne sera changé
l'intérieur de la nation, soit dans
la forme de la monnaie, soit dans
son nom, soit dans les contrats, sa.
taises, appointements et prix des
marchandise. Seuls les exporta
teurs ou importateurs commerçants,
industriels ou financiers -s'apercevront
du changement opéré
dans le statut de notre monnaie,
puisque pour ces opérations entérieures,
le billet de 100 Dams ne
vaudra plus que X grammes d'or.
CONTRE-PROJET SOCIALISTE
On annonce dans les couloirs de la
Chambre que le groupe socialiste
aurait- décide de dePoser, sur le bu.
reau'de la Chambre, un contre-pro-
..--ssssaasssrisessngss SIRISMIWIIMUSSIosousi
SAMuDI 18 NIN 1928
Pour accomplir des réformes, il faut dol
ressources nouvelles.
En prévoyez-vous, monsieur le président du
Conseil 7
Non.
Adieu donc Mut eSpoir de réformes Sérieuses.
(Vincent AURIOL, hier à la Chambre).
Vincent AURIOL, interpellant le Président du Conseil
au nom du Parti socialiste,
dénonce l'insuffisance de la déclaration ministérielle
et sur la politique financière, sociale, étrangère
pose des questions précises
et définit notre propre position.
Sa rea es émit ase informgrion d'oe.
rem ded, en mise décernait a Kiev, un
ode demi d des .fillettes de douze
S'ira ans venaient se donner la ame.
Coi trop souvent ami. l'idée d'une sut,
arides du suicide, ',tuella é...P.0
d'abord de le préttanit el, u Ph on, a`
,twemene, rationnellement, 1,i...a nz
rira son,,, p,,, p.f titV pf.'u7se7r.'"2,
apprenant l'anse., du Club des Sulcidds
de Kie.
Cessnd,sj, u est permis se demon-
Zler ei set établissement n'aurait es, Pe
mrjrs, peu phi. sErere sur rage
des clientes.
mfr'hrIbl'anr's'irras5s'ene''cl'e
t'existence pots seoir ciété les amen
Sunreg, g gst sarprenant que des fillette.
de douze on treize a. aient déjà vida jun
MG/ la lie la esalse de l'existence.
Or rilod, den, le Renie actuelle, gue
lira ka fillettes de douze ou treize mu
palliatif. Certes, on a man uvr'e pour qu'elle apparaisse, au
moment de sa réalisation, comme runique solution passible,
capable d'obtenir l'assentiment unanime.
Mais c'est une solution de paresse. On invoque, en effet, en
sa faveur les intérêts supérieurs de l'industrie.
Aussi, M. Pasquet écrit dans Le Journal du 13 juin, les lignes
suivantes
s L'industrie, qui éprouve déjà de grandes difficultés pour
lutter contre la concurrence étrangère, verrait diminuer peu
à peu ses débouchées, non seulement à l'extérieur, mais
aussi à l'intérieur ; la hausse du franc ferait bénéficier
l'étranger d'une prime à l'importation en France. L'industrie
française serait supplantée sur le marché international, ainsi
d que sur son propre marché. »
Qu'est-ce à dire ?
L'industrie française a besoin pour vivre du doping d'un
franc diminué. Cela lui permet de se procurer la matière première
au même prix-or que ses conou,ents anglais, allemands
Ou américains, et de la manufacturer à bien meilleur compte
qu'eux, grâce aux salaires payés en franc-papier.
Que cela soit nécessaire à l'heure actuelle, nous n'y conkredisonS
Otts.leerS ouvriers, en effet, feraient tous les frais
d'une revalarisation.
Mais, d'autre part, qui ne voit là une applimtion
7
soas de vie mènent-dl.
,ecarr. filles ne esnim
a fe'Z rpeaure: oublié de
égoïste
de la loi du moindre effort 7 Bien plus, n'y ml-il pas un aveu
implicite de l'infériorité sinon de notre production du moins
de nos méthodes coinmercialm vis-à-vis de celles de l'étranger?
Anglais, Allemands, Américains out une monnaie intacte.
Matière première et salaires sont payés en valeur-or. Et malgré
ce net désavantage, ils luttent sur les marchés mondiaux presque
victorieusement contre nous. M. Pasquet l'affirme.
Que devient alors le dithyrambe bien connu de l'excellence sons seront avamees dans /a plu
incomparable de nos produits, de notre habileté technique, de
notre goût, etc.
Serait-ce une légende.., qui n'a plus cours que chez nous ?
Si l'on se rappelle les campagnes mémorables menées jadis
si vigoureusemnt par notre camarade Barthe contre le malbusianisme
économique du Comité des forges, peut-être devinera- 0, 'prs,ss ;,ses
1-on la maladie organique qui ronge tout notre système indus- Sen d cabinet ont été appelés, h
soulever la question, et qu'ils en ont
triel.
délibéré avec Ill Albert Sarraut.
Qui vivra, verra I
La plupart des grandes entreprises préfèrent continuer a
dormir sur le mal oreiller des vieilles routines, sans se douter
qu'il faudra, dans un avenir plus ou moins lointain, ou s'adapter
aux besoins de la vie moderne, ou disparaître.
Pour le moment, elles se croient protégées par la trompeuse
sécurité de la stabilisation et la puissante barrière des tarifs
douaniers établis à leur instigation.
Mais l'évolution se fera malgré elles ; et si elles veulent
lutter à armes égales contre les initiatives étrangères, elles
seront bien forcées de ne plus compter sur les procédés factices
et rétrogrades qui leur permettent encore de croire à leur
Par ailleurs, ce n'est là qu'un aspect du problème.
L'esprit de solidarité européenne tend, ru effet, à accentuer,
de plus en pl., l'interpénétration économique des grandes
Puissances. L'une doit fournir ii l'autre ce qui lui manque.
Alors, peut-être, s'apercevra-t-on que la France a négligé
ses richesses agricoles pour se lancer dans une politique d'industrialisation
à outrance, qui ne correspondait ni à ses besoins
ni à scs possibilités.
Et, de ce fait, la stabilisation nécessaire aujourd'hui n'aura
Lait que reporter une échéance plus lointaine, l'inéluctable
rrne. René RENDEZ.
une brada,, eau' les aafee..
AU 30111t LE .SOUS, ne '"clic" p. qu'a Cage du voila blanc
et de la seuenne de roses. elles veuillent
, 1 ta le linceul et le couronne d'immortees. ll
Le Club des suicides do. sei Seanse lie, serait (sien inté.
docte de mss. les raison, qui ose pu
muise, est made. esse. d rem le Sderru
et paee, de l'autre cdté. Fout-ace lem
gt-il manqué mre poupée cltelguee bonbons,
me sr,. ou do simteicosent
pain rt
A treize ans. te vie eppaeall vne ehase
bien peu précieuse, 4 n bien sacs grande
valeur. Cet po...toi, la moindre occe.
sion, on s'en aborrasse S facilement.
André r
!tuteur de la stabill9lion
LES DIVERS PROJETS
Plusieurs projets der stabilisation
ont été étudiés dans les milieux officies,
politiques nt financiers.
Trois ont retenu particulièrement
l'attention des intéressés. L'un de
ce projets prévoit la stabilisation
à 127 fr. 50, l'autre à12a trams, et
le dernier 55cours
actuel, tandis
que, dans les couloirs du Parlernent,
jet de stabilisation, dès que le pro.
emai tdlGerernement
sera remis su
B bon.
LE POINT.' DE VDE -RADICAL
La question a été posée. Le Co.
mit6 exécutif du parti radical-socialiste
sots trouvé en Istneen.
phiSieer's courants.
Les u. voulaient une revalorisa_
tion préalable, les mitres une stabilisation.
La livre comptée à 125,
il y avait des partisans- du dollar
comme Galon à 20 francs.
Le groupe radical de la Chambre
n'a pas non phm fait connaître son
opinion. Il sémble hien gus seul le
beur.
ment évoqué la question eu conseil
des ministres et s'est trouvé appayé
par presque tous, malgré les
désirs de Id. Louis Marin, atterrir
que le parti R plus fort nu Parlenient
soit le parti républicain radi.
.1-socialiste. Seul, disons-nous, M.
Raymond Poincaré prendra samedi
soir la décisinn concernant la stabilisation.
La date des Élections
neileeaks
Voici que le burem du Comité
or:terris/ du parti radical ét ridé
cal-s.ialiste vient d'être strisi d'une
série de protestations de féuérations
departemental., en ce qui comerne
le projet de reculer les itections
pour les conseils généraux,.
Les dotestataires
',anient M que
déjà, la campagne est vivtriellement
commencée, et que le début d'octobre
calice période où les candidats cl'tiendront
difficilement les congé,
pour faire /surs visites ou Murs conerses,.
que pus,
es en plMne reprise, tandis qu'à fin
juilet commencement août, les mais.
Frt eeteutn, Caparrtrel'é' luersu rTeelmet:
partis aux eaux, seront dans leurs
communes
Que décidera le comité exécutif
Nul né peut le dire à l'heure ac-
Reg est réélu rrésreet
dil Relehsti3
Berlin, 14 juin. Le socialiste
Limbe a été réélu aujourd'hui président
du Reichstag, Par MS voix
sur 445 votants. Le communiste
Thabantin n obtenu 46 voix, et un
député raciste 11 voix. Soixante-dix
Milletins ont élit déclarés rote. la
député Esse, du centre, a été elu
e.uite vice-imesident.
La Rassie et t k ni;e
Riga, 15 iaine -- Le gouvernement
soviétiqne a décidé d'orgeniser
une u Semaine militaire n
afin de développer parmi I population
russe l'intérêt qu'il conviera
de porter à l'armée rume et aux
choses militaires.
Des parades, des revues otites
déflés auront lieu ainsi sue des
visites de camps mi asnes, des
concours de tirs: la presse et les
postes de radioffugion fent une
/cbve propagande pour cette semaine
militaire.
L'e°,eetion présidentielle
ainerane
M. HOOVER
en prétend sas
le Gouvernement se.
-
; avez laissé le mouvement des prie
C'est en réalité aujourd'hui lai
aller b la rencontre dcs changes
première grande séance. de la non
/ ml vivant sur un budget alourdi,
velte Chambre.
Vous n'avez pas encore opéré vos
Une grande interpellation et non
ajustements nudgetaires, risquant
pas sur un sujet spécial, mais sur
aiasi, ou bien de laisser sans re-
In politique générale. Tournoi d'éloquence;
duel de techniciens émériméde
certainoa injustices éridentes,
tes; choix à fans pour les indécis
on hien de faire appel h de nou-
entre une politique fiscale favorable
veaux impôts.
Négociateur de la bataille Dnas.
à l'injustice et au privilège et une
Mère, vous avez obtenu un traite do
politiqueplus damera-tique rusai.
rée du socialisme, voilà ce que rom-
poix, entre, crime part, ceux que
voue appelée sans un arias grand
conte la séance d'ajourd'hui,
Aussi la foute Vék grands jou.
souci dm distinclions nécessair.,
aaselle envahi le Palam Bourbon.
les créamims de l'Etat et, dant.
'frayées et tribunes sont combles,
part. Mat, ou, plus exactement
lorsque à 15 heures 00, notre cama-
entre, d'une part, les organtSateurs
rade Fernand Bouisson agite la son-
de panique natio.ux et internationaux
et, d'autre part, l'EUE Ce que
nette.
Décidément Auriol fait le plein 1
saut ce traité de paix, c'est mainteriant
que nous allons le von.
LE PROBLEME DE L'HABITATION
LES CHANCES de DESEQUIL/BRE
Tout d'abord la Chambre aborde
la discussion des interpellations. ,
Comme c'est au Coefficient 5 que
M. Louis ROLLINs La erisadu
sem faite lu stabilisation toutm
Remirent est On des meilleurs au-
Ira dépenses budgétai,as qui nia
xiliaires du coinnumisnre.
sont affecté.- que d'un coefficient
En Angleterre, en Allemagne, aux
de majOration inférieur, aolamment
Etats-Unis, un immense effort de
les traitements et les pensions de
construction a été accompli. Depuis
nombreuses catégories de fraction-
l'Armistice, les moyens de la Franco
naire moyens et supérieurs. En
étaient, il est vrai, plus limités.
même terrips, les rentiers nous di-
L'action du Parlement se marque
sent qu'iks demanderont des corn-
par ee nombreuses lois. On les a crirensations.
Toutes ces dem,srel., si
tiquées,. attitudes faciles, mais le
elles se produisaient, auraient fa-
-Parlement ne prétendait pas, en astalement
une répercussion imméurant
aux locataires la protection
diate sua l'équilibre du budget el,
née.saire. supprimer la cause du
Si l'équilibre était rompu, ta slabijisation
14,,ste serait jIlenledieernent
Le Conseil national économique
can-ennuis° et tout senit h recoin..
avait réclame certaines exoncra-
meccer le lendemain...
tions fiscales, en vue de favorMer lu
Vos ajustements budgétait.. sont-
construction de nouveaux insmcur
ils MOIS comme ils fursnt, faits en
bl.. Lr Parloment les a presme
Belgique, pr.que dans In même
Sautas écartées. La. fiscalité M'icelle
dont prévmerr sur le souri de la
tempe que l'on accomplissait la informe
'monétaire? fl sentsle
santé publique, de la vie même dr
ne le soient. pas. Pour n'av./tir pas
la nation /
demandé â. temps las micrifiees Messrs-aires
b d'e ttieTurrÉ i' rIs'eCê ÎiTnVtle lo fortune soumise, mu,
ed
l'Ourses d'être 'obligé de Sanctionne1
tout un ensemble serait la création
*VINCENT AURIOL
d'une caisse nationale du logement.
d. injustices.
L'orateur sndrque le but precis
qui devrait être assigné à cet or. LA STABHASATION funeste prélèvement. comme il fau- LA REFORME l'ESCALE
nanisme. ainsi que les moyens redidra
dernsin, après la réforme moné-
SERA ILLUSOIRE
t:ion qu'il conviendrait, de mettre à Une question en sur toutes les lètaire, suivre de près son aetion sur
sa dtsposItton. u Lien des études est vres z
le marché et sur les prix.
Que deseennent bu rdformm
maintenant close, il convient de pan Le Gouvernement va_t-ll stabi-
caln et les reformes roaialm t Déjà
ses à l'action. lism I Quand s Dans quelles condi, GE QUE LES SOEIALLSTES
s
vous prévoyez des crédits nouveaux
Rais M Rollin parle au milieo lions 4
ONT PRECON/SE
.
pour couvrir les dépenses prépara-
de l'indifférence et des conversations Ce n'en un mystère pour persod
particulières. .
ne, que dans les Grams mois do
La Mei/Maton de /Vient Pa, toire,r au servier d'an an, tel que
otites les diffteultés; l'ajouterai vous l'avez coneu ; Vous annonces
Dûs qu'il a terminé, le président t926 et surtout en 1927, te, des.in néme que selle que 1. faits Svolle des dépenses nou.vell. Pard dem,
:renonce que /a parole est à Vincent de M. M président di, Conseil Usa l'imposent aujourd'hui, elle risque, dur la frontière de l'Est; vol plus-
de - vivre mus régime de fait, au rontraire, de les prolonger, values suffirent-elies à couvrir tout
Aussitôt un vif mouvement se pro- entoMou .Par la double teelmique
kteld avOneS demandé 'de tous esdemb/s, Ies médits SUCO,pbénIntaiduit
st un silm. impremionnant de la confiance et du prédit et, len- tempe la stabildation de la monnaie; Le.
s'étable:
tement , ala daellenaeat., cheminer afin de prévenir les troubles eh les Aven-vo., d'autre part; chiffré
vers la revalorisMion.
injtistiees caries par la dévaluation. les deperdes budisetsires auxquelles
'apparaît 'arrjeuird'htlE que ..kte leints l'avens demandée, à l'origine, nous obligera l'adaptation inêstilable
V4HCENT AURIOL conception est é,,st niae sur le contre I emprunt à let continu, gr.
mimIl pressant dés, faits, le Gou- d'inflation. Nous preconiSio. Lout dmaP.Ina gptdtsns'it'rruriejf
NECESS/114 DE LA GLAWI:g vernement a renoncé définitiCement à la MM, et la commercialisation de qlii, toucthe aux traitements, ses
Il appartient à cette Chambre qui, à cette ambition d'entrai/ci. Le la dette politique allemande, et mea pensions civiles et militaires, aux
sauble-t-il se cherche, de ne pas Gouvernement, unanime, s'estddéci- prestation, en nature, et cela sous retraitas ouvriern et paysmn.,
tarder à se trouver. ,
d6 pour une stabilisatMu égalrae les rires d une Assemblée presqu'u- auX crédits d'assistance, vous cro-
Des problèmea esdntiels au salut
pide et fixée aux environs du taux t/mune cent. nous I
céder. -à sire datermination- pros
dé la nation oint posés &calot elle; actuel
En 1920, dans un contre-projet grasrive des coefficients, selon l'im-
ils exigent de nous tous un examen, Peut-on douter que vous ne puas- dent on a fait contre nous une si portance d. plus-values. Soit. Mais
raie t. une sfAL1 1011 dé,islos, sies, désormais, revaloriser par pa- large exploitation électorale, nous lue dissimulons pl. alors que lm
M'en de tel n'est possible si dis liers Alors que -vous vous félmi- PutPosiolis 1 aPPel à la mcb.se se- frais de la stabilisation seront sup-
les premiers instantes de ia légats: tan na.grière, de la stabilité, de cense, sous la forme d'un prétûveportes .par les cla.cs dâjû I. plue
taira, chacun des divers partis re- l'adaptation dm pdx. de l'équilibre ment exceptionnel inc le capital (»roide.. et cola parce que, en
présentés dans l'Asnmblée hésite obtenu en toutes-choses, peut-on sd- Vagis proposions en même temps la temps nues, on ne pas d,emandê
trop longtemps à définir, st ce qu'il nmttre que vous vouliez ou que vous réorganisation de /assiette de l'im- rielie.e acquise une juste et né-
paissiez. sans danser rendre à la pôi et la répression de la fraude. cessaire contribution,
oulett 'meut' de clarté es, fluidité une GMtallisaDon de dix_ Nous ne fûmes 1.,a5 écoutes; les Comment, d'au.tre part, pratique-
la condition menée dé l'efficacité de huit mois, iMpo.rpayS une emprunts ii courte echeence détereza, Loe l opmae-10 d cerner le
nos travaux.
adaptation -nouvelle des prik, des miner/rent à la fois l'inflation budgé-
Ils moins, est-ce la conviction budgets, des salaires, c'est-g-dire de taire et l'inflation mmétaire. En fication, de remaniement, de re'Cli-
profonde du parti socialiste, dont nouvelles souffrances 1924 et 1925, nous voulions, vous ne first/Su, et lai admiré comme il
'I
je suis aujourd'hui l'interprète, en
l'avez pas mMie, arrêter convient ces formuleS peu conter,
l'absence tonte momentanée rues Il n qu'a l'heure où vous tant par le recours t, la masse tle Mettante, MaSS ce (111C le pays de-
amis ct moi, nous en sommes cer-
dommdez à votre majorité de maia. manuvre, afin de réduire les mande avant toutes choses, c'est que
tairis de l'homme de haute con- tenir l'union pour maintenir Fermi- changes au niseau dry pris, que par soit réparée l'injustice de la loi du
anglruer aareniri e,1 enei ubre, vous n'alles pi yousaMine la r.tauration Gon équilibre bud- 3 août 1926, qui grève de charges
noir esrhi r °tapas mt équilibre, en précipita
inégalé, j'ai mi:rimé Léon Blum. des mouvements monétaires qui regétaire
établi selon les sema de /a la consommation et la production.
dêmocratie.
Ce qu'il faut avant tout c'est prémettraient
en cause les adaptations
obtenue, ni gonfler vos dépenses
Vous vous souvenez, M. /e prreivenir et traquer lu fraude? Et quel.:
LA DEPLARATION
t plus cher la masse énorme
dent du Conseil, que p/us tard, sur moyens de la prévenir et de la tra-
Me/STEM/OIE ra InlY'devises achetées en ces derniers le principe d'Une sla,bilisation, requer ? Les moyens, c'est le titra no-
N'EST PAS CLAIRE teinps. Vous poumz d'autant moins dressement rapide t la hausse en minatif, ou l'endos, ou le carnet de
que vous nones de Gsmvier la Cham- vue de /a stabilisation, nous éteins coupe., au le bordereau, tout ce
La déclaration du Gouvernement bre à se saMir dms le calme et la d'accord avec vous, d aceord égale- qui toujours servit de prétexte
avelle vraiment favorisé cette db prudence, dm grands problèmes de ment sur les nécessités de renver- panique; autant de mesures sur
termination préliminaire des partis/ réorganisation économique e.
ser la positiOn du marché par un lesquelles on a capitulé. -Mais cette
Sur le programme qu'elle développe, véformes sociales G ou une revalori- acte desdif. C'est sur les moyen,'
capitulation nnst-elle pas le eues
une majorité vigoureuse ou seulesation, même minime, même dans la que nous fûmes en désaccord. essentiel de la confiance, et que deviendrait
la confiance, si Con rd.
meut viable peut-elle vraiment se stabilisation, trmblerait votre vie
sons-Unies
&num/signe et que mus risqueriez de LA SOLUTION QUE M. POINCARE
rionesit endin à Capituler ?
Lu Gouvernement se déclare repu- n'avoir ni certitude Gactivad pro-
A ISSEF'ERIE
Cette nmjorite raluenhcaine da
blioadin , mais où tout, aujourd'hui ducOice, ni certitude de réformes Tandis que nous voulions, nous, 1907, qui, vous vous souvenu, au
lm limites de la liénabliqUe t' -Vo, voulez maintenir l'équilibra une déflation brusquée pour préve- prix de quels effetsle et de quelle
Le Gnevernement est lai jue I Mais présiGnt.. du Conseil 4 Or, nir la montée des prix, /inflation
persévérance, reforma l'impôt per-
elles se sont bien appadées, tes fa_ protégm l'équilibre, c'est stabilism budgétaire et la crise eerinomique, sonnel. Cette bataille, le Gouverne-
ranches passions qui soulevaient /la- au cours actuel 4 revalorimr, c'ee c est-h-dire Inc difficultés mêmes ment la propose-t-il 4: Trouverons-
CANDIDAT nus REPUBLICA1NS nière 'corstre -Perdre laide nca col- R rompre . Qu'alles-vo. faire 1 Élue vons allez trouver devant vous, mus sur ces bancs uns majorité rélègues
de droits.
Nous vous demandons la lumière. Et tandis que nous voulions hbtenir, solue b /a soutenir ? Et pourtant,
Kansas-CitY, 15 isbn. La S'il s'agissait seulement de con. nos la dernandom avec d'autmt um fois pour toutes, d'une contri- m.sieues, lb serait le devoir, eti
Convention nationale républieainé semer République et /Usité, ce plus G foree que la spéculation bution exceptionnelle sur la fortu- est vrai que vous entendu prati-
a, au premier SOM, de scrutin dési- n'est pas rine majorité ,qiu se grou- Massière a Miré/iris non plus dine, les ressOurces néces,sairru qUar Une politique sincère de ré',
gné M. Herbert Hoover. secrétaia perait autour de M. le [dérident du rectement sur notre monnaie, mais l'amortissement partiel de /a dette form. sociales.
Conseil, c'est, on ces s'es sur les titres représentés à notre Publique, au d.serrement du bud-
re au commerce, comme eamidat
à précidence des Finis-Unis, par
l'unanimité des membres de cette monnaie. et ed vrai que depuis geL au dégagement de la production, ET LES REFORMES SOCIALES Fit
Chambre. Vous conviendrez, mes- 192(), par l'efRt d'une politique f,. au maintien de l'équilibre budgétai- Polltiuue 05 logement ? Mais
837 voix.
sieurs. que c'eut trop. et que c'est coupa,s grandeur et sa. prh. re saris dommage extreme pour la avec quelles ressources? Avec quel-
Le président Coolidge n'a pas trou Peu
voyance, eliens,s sa imposé ees consommation, enfin, la consolidales ...ounces calendes-vous rea/i-
été abandonné par ses partisans Aussi, M. le président du Conseil ruineux prélèvement sur le enpital tion de la dette flottante pour conses les autres reformes nodales
t a obtenu 17 voix. M. Lowden, ne s'étonnermt-il pas si nous lui de- que constituèrent aux dommages des tenir PhSinorragie dmi bons de la d'hygiène, d'assurances et de pré.
oui s était retiré de la lutte, n'es mandons de rehausser de quelques rentiers et des producteurs, Cinna.
cosi,. un peu plus vives, l'éven-
a pas moins obtenu 74 voix. De
lion la dévaluation du fram et
défense, vous avez préférd, vous, voyance rêclamées par tous t Ave,
tail si dierêtement nuancé de sm l'aggravation d, charges fiscales, il vous confiance à la mafias.; mus quAles ressources êtondrea-vous au
leur Pot& MM. Curtis, Watson et déolarations premières. Il ne contes- faut au p/us tôt brism mn effort,
aces choisi le recours eux Rivets chômage voire lei des assurances
/e général Dawes ont obtenu restms pas, sans doute, que des préci- afin d'épargnm à la richesse natio.
courants, portant sur la consomma. sociales? Ave, Ut/elles ressources
pectueusement 64 45 et 4 voix. sions son t nécessaire,
nais /o nouamesmalhur d'un ange/ lion et la production; vous, vous restitueres-vours enfin l'égalité dal
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lenmilIMM
Infante devant l'instruction ?
»Meurs, quele sont vos moyens de
réaliser ? Il y a 15 ans de eela, dans
un magnifique meuvernent de es lu-
mineuse éloquence, Jaurès Mima
upperettre retraite relellun des re-
fermes fismiles et des réformes so-
ciales.
Mais que nous dit-ra- aujour-
d'hui ? 0.i. Que tonne reformerà
pes les impôt,' injuetes ear lesquels
tonte la charge de la nidification
s'appesantit sur les plue pauvres
que pour les réformes social., on
an dorandere Men au-daté des re-
ceneeprésentee et que l'on ire len-
tement. Ce que Von veut, en réalité,
c'est ne pue demander aux elass.es
riches, le saerifice d'une part du
peivilège, parce que l'on a peur de
In peur préméditée des capitaux.
Lus gmds imPete eue M fortune et
le capital qu'en tels réclamaient
tous les démocrates ensemble ; on
n'a pas *é les inrartre dans le loi
republicaine.
Sans doute, bien que votre denta-
relira soit eur ce point muette,
nous gardons feelleie que eûtes es-
sure,rez le respect ebsolu de /a loi
de 8 heures et des .men lions in-
ternationales, relatives Tt la pretec-
tion de le femme el de l'enfant.
Nous espérons qu'A 'beurs même
où vous perlez de rationalisation,
d'accroissement et de l'organieetion
de la produetion et des eehanges,
voue ne refuserez pas Plus long-
temps au prolétariat qui ehegee
jour donne des preuves de sa capa-
cité croissante, cette part de con-
tette sur les entreprises, qui lui ma
mettra de sauvegarder l'équité dans
eexéeution des régim éteblina en
colleboration, de connaître le résul-
tat de nos efforts, de déterminer
pour &aman ses responsabilité, et
comme l'indique la C. G. T., de ne
plus laisser au travail aucun came_
tire de la servitude.
La déclaration ministérielle ne
noes dis sien des monopoles détoné,
ni des miesiras de l'Etat, vis-Avis
des monopoles de fait qui muera-
rent si souvent la .11ectivite et
portent atteinte é la souveraineté
netiemle.
ET LES REFORMES AGRAMES ?
Dans l'ordre de -la production
vitalité fançaise, vous avez, Mon-
sMur le Président du Con.il, indi-
qué la née.site de protéger Pagre
eu/tour centre les fleaux naturels
qui trop souveet anéantissent le
Luis d'un labeur ebstine. Vous n'y
parviendrez efficacement eue par
Fessera» netionele oblucateere.
aerez-voue amené à .neevoir
tu reorgem.tion par le monopole
de notre réseau d'essurenee. Alors,
voue trouverez devant voue une gran-
Oe puissance finaneiere qu'il fau-
dra soumettre, et mu savez si le
p toilé1, des Corepegnim est relais.
tant, Vnusaoulrs propeger tees
p/oi des engrais 4 Fort bien. Mais
ici encore, une autre puissance ce
dresse, qui ne toiles pas la muer-
rente. Vous allez voue heurter au
trusts internationaux qui, domi-
nant le mareee. imr.eet leu. Pei..
Nous applaudissons encore é votre
souci de développer l'electrifimtion
des eempeen.. Mais encore eee
fois ici, avec quelles ressour.s,
Monsieur le Président du Conseil
Et devant vous encore, voied des
tres grandoa puissances financières,
auxquelles vous devez disputer le
trésor industriel de nos forces hy-
drauliques. Pourrezavous .idement
leur faire on.pter que le Nation et
les Communre intéressées partici-
pent aux revenue de leurs entrepri-
ses 7
Allez-vous défendre Inc peyeens
eoetre les spécu/ateurs qui leur im-
posent les cours de la halasse à la
Arreeheree-vouri la maîtriue abse.
Inc de nos marchée egrieol.,
grande minoterie, à le grande Bour-
se, à l'Internationale de la epera.
lation
Quelle mesures de salubrité entem
deayoue prendre centre ces Meer-
eheurs de grand chemin qui détrous-
sent l'épargne I -
LE PROBLEME
DE POLIPIQUE D/TEMA/FR/MALE
Vous n'avee rien dit du protocole
de Genève sur le déseemeneut, rien
de le Rhénanie et de la Sarre; vo.
Manifestez un test d'esprit, voua ne
proposes pas une action
Lee dettee
Vous stabilise. t Soit. Mais nase-
vous réglé la qu.tion des dettes in
teralliees 1 Sur ce point, votre dé
c/aretioe se tait, Si ta France de-
vait retafier /es .corde signés par
M. Bérenger è W.hington et pas
M. Caillaux e Londres, ai nous de-
vin. payer sans que soient liées 1es
dettes et nos créances, sans que soit
prévue la clause de transfert qui
.lon le plan Dawes protège la mon
neie dans la limite de la balance
ounmeroiale, More, preaena garde,
et mosidérons la difficulté où noue
.rions de payer en or, Mme sa
riras ne le pouvions pas, paccolée
d'une interrup,tion dans les paie-
mente allemands ou bien, de pare.
ire manquer aux e,ngegemeets pris.
La venté, c'est qu'il faudra s'en-
gager dans la voie d'un règlement
général des dettes mondiales. C'est
lenteret même de tout. les Nations.
11 fendre done en venir laces ao
corde eue des 1000, le eocie,lierue
ternattonal s proposde et definis
jueque /dans le détail à Fremzeort,
A Berlin, à HembourgLen .veniir
In mobilieetiou des obligent:os al-
leu:and., à la fois pour desinter.-
ser l'Amérique et pour reMboire.,
autant que possible é notre paye les
cavera. neeessiteee par la resteuse,
tira du ehamp d, bataille commun,
La Rhénanie
LI le peoblème de la Rhénanie et
de la Sarre 7 lestel possible d'ajour-
ner lo,netonps e,neore te règlement de
ces deuu erevna questions t Une dé-
tente s'est heureerament produite
depuis 1924, soie lempirelion du so-
cialisme et de le denmeratie Inter-
ne/U..1e, ei bien des de/iman. out
été résolurs eux heures où le démo-
cratie française n'avait tee meore
en.enebe aux sOmmatiOns de la pl.-
teeret e, fut d'elord te plen
D/lWee; en fut ensuite le proteeole de
Genève, auquel le Fiance doit reste:
lidble. Ce fut ensuite le lange de-
bromeeill,ement de le route de Lo-
carno. Lorarno, c'est ben, oest e:eou-
onep, meen fie recel nas encore aMes
11 eue liquider enlin la guerre.
Noue devees enviager l'évacue/ion
etc le theranie, non .ne ne un des
termes essentiels eu Probleme erré-
e/d de la eleuree Cette startle de
Poccupatien qui, selon le traite de
Veraattlee, dud emors érhzpper en
1835, some à notre sens, efficace-
men,t &bang. contre talnenotie du
contrôle international,
' En attendent, le respect du statut
de la region deanditsrisée devrait
etre amuré per la Société des Na-
tiras. Un,e telle conception n'est nul-
lement aventure., elle apparaît au
contraire pleinement jusidiee, si
nous c....aérons les resultats aequa
S la sesemn derniers de Ia Société
d. Nene., erece à l'activité per-
rave/ante et elairveyante dent notre
ami Peul-Brame: derme l'exonme
dans le règlement de l'affaire des me
tecelleuees.
Salut au gouvernement allemand
Noue devone d'autant phis anus y
attacner que le pointe allentend
vie. de temogiier reteuene rage ar-
dente volente repireli.ine et puede
que.
Le neuve:. gouverne me. d'AIM-
mamie est dirige par ue représentant
de ria elasse ouvrière socialiste. C'eat
le, je prase, un é /moisent signifie,
ttl, dont à nusu eppeetent de recel-
ter les eeeeequencee h.:meuses puer
1.teuretien europeenne.
Ei ces t pour nous, suant alla do
Frau., na heureux devon- que d'a-
dee..., du haut de celte tara.,
lierre seliet de bienvenue é Flamme
gei Presode aujourd'hui eux desti-
nées de la dello/Melle allemande.
C'est vers la Prame, lidele toujours
à se nueson d'humanité, que se réfu-
gient toujours les e,pezences des Pm
Ple. Elle se duit ue les entreteeir
viventes me Ta rades. Lindtaion cos-
certee des Trament, limitation Peé-
paratoMe l'enivre du deeronemut
tetal, subetilution de le ration orge-
noe-e pour sa de:renne as régime des
casernes, teuiee sont, a 1 exteneur et
Pmer.eue, les mesures Mem..
tze auxquelles it importe dappequer
notre noort et notre eagrase, si l'on
rr vaut pu qze es budgets de mime
akar/large dans les moues Mono,
tien/ qu'avent gimese la plue lunée
port des ressources du paye.
LES PROBLFIMES ECONOMIRUES
INTERNATIONAUX
Il n'est pas moinm neoesseire dem-
geais, ta paix dans dorme eeone-
nuque intern:atonet que te, sou-
vent, est le grend for Ac d.neend.e.
Dois, en 1922, nous demandent:, le
eriseien d'un Indetut eut ope:055 d'é-
miseions, sous l'égide de le Soeiete
des NaLons, conmee une sorte de
MEI/trope pour réglementer les chan-
ges et les Mme., quend, dès 191g,
imue proposions eu en Se 1,r,occo-
pât de le répare/ira ntereat o,nede
de mue é'rt '
sien icaternalegmle dee fennecs Mea.
les, de la questIon des deteuches,
greed raiiteem.
finenee vient de devancer see Etats
eans la voe que noue indiuiens.
Ainsi, peu à peu, . leteolemne et
notre posetto/n net,onale et inte.n.ano.
nate, et les sués mou que, delmis
bientôt du an, noUs rie cessons de
prope.r. Reillees dee 1920, voici
19e8 Ms évèneinents
mee en taupe/sent leip:ptmallen.
LA NOTION DE L'LlfAT
Voois voul. uni Etat fart.
Media ques,t-eequ'un Etart fort ?
Voue, avez, vous, Monsieur le Pré-
sidant du Conseil, une cc/o./Plie. de
IFIet qui Ueet pas la eôtre. La vô-
tre eet une comptera jacobine, na-
poleonienne et, vous ne m'en vou-
dase pas, si je voua rep,peIte que sur
se point vous etm tout e. fait orm-
e/and avec. M. Geilleux. Vous comme
Mi, ce que voue voulee, c'est un
Etet centralisé qat ne supporte en-
tee Pnedividu ml Im-mense aueun
gerapement bleu:médiat/ce.
Vo* estimsu inteeéreel,e que « des
agents de I Etat viennteet tou,rreer
coutre lui Peutorité qu'il leur a
déléguée pae un objet determine
ni qu'ils se .evere de renseigne-
mente recueilles per eux, grâce it
lois fonetion ni quele meneeent de
grecs ou de diminution du travail
lem:quel, n'obtiennent pas de lui la
reelleation inureeliets de leurs
vieUX part dallera a. Je pensa MM
votre oleservetion n.e sappliq,ue
aux pointa Marrlannienre, a. feeteure
aux leen/lames, aux moyeee fonce
tionnairue qui, premier. victimes
de l'inflation, en même tempe que
les alaeass moyennes, ont longtempe
attendu en pro/iraient perfige un
peu imuyemment, mate Bans 1.111711$
seveneueer dans me ineuvement de
grena; quelques evaree adeptetione
de leur traiternent, nu c.frielemt
du prix de la vie. Apperernm.t,
votre sévérité s'en émue centre one
grands direeteurs généraux de F
naneee ou d'aille:ms qui, sans faire
grène, ont Cependant prive l'Aden/.
nistration de leurs eerviee paree
n'elete,neient pas je re-
prends votre expr.sion la réa-
lisa:tien immédiate de leurs voeux
pertiouliere a et que nous avons
terave mm feee de noue à la tete
détablisseenents de médits ou de
nenus industrielle, eéles à la dé-.
feue, des Syndeeete partieulieos
centre l'intérêt de l'Etat, dent
eounaleselent trop bien lee
La loi ne peut ut ne pourrit rian
coelre op,. départs. Me ne peut pas
davantage contre le développernent
des Syndirale. Fin Iode, le Confede-
ration Génerele de Travel.] Mit
memee de dissolution; one ne fut
pas diereute. Et beaueoup de mix-
e memns qui alors s'associaient le
pf 10g volrearela à te melheureu.
Initiative de M. Millerand sont au-
jourd'hui toue lm rentiers é col,
sidérer F,Ve0 evinceteellie le pregrem-
Trie de lei G. et. P.'
le:exemple de cet éohee et de ces
°mem/siens témoigne avec eieet que
la Tes/Murano° de rEtet modennene
peut eneeomplie hi rentre les Syt-
di.te ni sans eue.
Je mie bien qu une pareille con-
ception ne saurait avoir la faveur
de l'Union Nationale.
Plais cette conception est-elle
vraiment eentraire au programme
republicein 7 Je ne le mole pas.
Ille eut du moine confoeme au pro-
gramme /des r.dicaux-eneialistes
' rePeueur mut
ÛTt'SW,de
lierne.
LA MAJOIIITE DE DEMAIN
Aussi, je m'étonne s'ils s'accom-
modent de votre déclaration minis-
térielle.
Les republiestine véritables ae-
capteront-ils d'epp.rouver une dé-
claration qui feurc la perte à toute
eseerame aterieuee de réalisation so-
claie d'approuver mg Rouvernernent
qui nous représente la J.H. nom-
me désastreuse à La Patrie si la
juelice ose frapper ces Privilèges,
/tee M stabilisation consolider& dens
le silence résigné d. Petieeee
Accepteront-ils que Inc sodas
mesures de contrainte envisagees
par le Gouvernement menacent
preetrament et seulement Me [tont-
ines qui servent FITtet. et souvent le
da/fendent contre l'audace des inte-
rets privés 7
Am/lette:rent-11e d'ajoure./ 1/ap-
plication de la loi des assurances
eraleles, de renoncer à. l'assurance
aux chemins ? Démocrates, con-
dainneront-ils la démocratie é se
taire ?
ADJURATION AUX RADICAUX
Tout A l'heure, Bue vote Vs nous
l'apprendre.
Qu ils prennent garde ; n'eus de
l'équivoque parlementai. que /a
legisletture et le pays et le régime
risquent de souffrir oruellement.
Lee jeunes générations sent là qui
s'ap,prêtent â voue juger; ellm ont
le dégoût dUrle politique ambigu,
sans eraraee nI Case Men. Les par-
fis de démocratie Tbmt le sort se
joue devant elle, vont-ils demeurer
reitterrég sur aux -
Mêmes dene Fangoiese et ie steri-
lité ? eadi,caux, au seuil
même de la legieleture illustrer
draloueeuseeneet oe système dfi-
quivoque en proclamant ft le fo.
deux confiera. contre,dictoir. : le
confiaisoo dans votre programme,
la confiance dans le Gouverne-
ment ?
Pour no., socialistes, nous nous
sommas dressés, nous nous dressons
contre l'et-Mon Nationale ; mais, no
contre elle, ni °entre aucun goy-
mmement nous ne pratiquerons
cotte politique d'opposibon fanati-
que, désorganisatrice, où s'aeher-
Ment en 1925 I. amis de M. Mann
contre I. Gouvern.emente reforma
leu.. Nous avons toujours, Mi, don-
né la preuve de notre emei ce/es-
tent dru inter:Me généreux du pays.
En peuvent-ile dire autant ceux qui
de en ceté de la Gham,ere
Migrent b diecréditee, h paralyser,
disloquer le majorité de 1924 ?
COMMENT NOUS .COMPRENONS
L'OPPOSITION
Telle fut hier notre opes.ition,
lr,ltcotoreslorn demain. A vos pro-
fits, nous el/moerena nos projete
tlee ouuu rédigerons selon le pro-
gemme meme que nos étamure
ont appromes. Vous refende. de
nue textes ce q. vOue Gaude.
comme voue lavez deys fait ou
Vrai te pape qui fera la compa-
raison.
D'autre part, quel que soit le
Goevernoment, Virile que soit la
majore, toute mesure que nous
.tirnerone conforme ti Pinteret des
travailleurs du pays et de la paix,
qui constituer« un prowes de Me-
lege, me la voterons. Ainsi, nous
demeurarons, fidèles è cette trace-
eon du groupe eocieliete au Parle-
ment que Semblt définissait lei
même du premier jour de la ligie
Surl'élarpseruent
des défiutés coelomes
Voici les //doublets du eeeutin sur
la queetion preetable opposée à la
metion de Jet. LIhey sur la litem-
lion dee &putes ibecsmvèrla t
Nombre de votante :509.
Pose l'adoption te/ace-A.4We teoalre
In Dee:retient : 342.
Centre t 187, dose lee Rome sui_
Neuf emmunistes. MM. Aurin,
Bacon, Berblion, Beau.geand, 1) no_
Doeble, Freeeeix, Mourer,
Quatre-einete.i. soatalinins,
Aehertin, Andrend, Antonelli, Vin-
cent Auriol, Berme Berthe, Bedon-
., B.rard-Ferron, Blenceo, Bou-
flet, Boute t, Bracke, René Brunet,
Bertin, Cadenet, Oadet, Cialvet, Cam-
boulives, Gapgrae, Gaunagnoll,e, Cas-
teriet, Ohaelenet, flthommeton, Chouf -
flot, Compere-Morel, Peul Comatule.
Deguiete Deleourt, Paul Faure, Fé-
vrier, Fieeeette, Fié, Fro.erd, Frot,
Genmed, Gandiol, Georees Riehard,
Clones., Goutte, C10n80n, Gouin,
Gounin, Arseme Gras, Louis Ge.,
Grumbeele 000iilou, Hymens, Lefeye,
Ernest Latent, Leroehe, Leville, Lé-
bret, Frençon Lefebvre, Looquin,
Le race, Luquel, MM, Marquet ,
hlanrais, Mese., Mieere I, Monis,
Momie, Mcin, Nad', Nicolle,
Mouette, Perey, PaueBoneour. Pau-
lin, Payes, Peirotes, Penseur, Ra-
madier, Rauzy, Havenet, Renaudot,
Auguste Reynaud, Riviere, flirta
coud, Rognon. Hubert-Bouger, Ré.
my Roux, Parle bro Salengro, Sérel.
S ucte - Quenin, p Messe,
Taeso, Tellier, Tbivrier, Thome,
Truoteeux, Uhry, Vassal,
eaTe'soâ.'ele. dee' gr'e.r4 r
13161fi,
Bourrer', Andre-J.-L, Breton, Frédé.
rio Brunet, Cl Chenu. Ghassaing,
Meg., Ennio Faure iledre-et-
Loire), Forcinel, Planche, Pomaret,
Riffaterre, Tribellet.
Quatre républicains seeialieles.
MM. Anterion Besant, Berthézenn
Descubes.
Trente-einq radicaux et radiceux-
sraielistes. MM. Aubaud, Etien-
ue Baron, Bastid, Bellocq, Bergery,
Braet, Brayesou, Catelle eeaneevot,
Courrent, Daladier. Deyris, Dezar-
naulds, Durafour, Fayolle, Férie,
Carat, Guichard, Lelanne, Lamou-
reux, Lassalle Lautier, Le/are/let,
teel
Rend IiieharYdr, Met, To:umaUr'is,
Sem, Sala/nide Vermy.
Six indépendants de emelie
elM. Dalbet, Guernut, Perrin, Re-
naitour, Rouquier, Alexandre Va
renrle.
Quatre députés n'appartenant
aucun groupe. MM. Foulon, Le.
sema, Paul Poncet, Sabiani.
Se sent sont ceistenue
Deus socialistes. Buiseet
Evrard.
Soixante et un redieeux.eoclelis-
tee. MM.. Acembray, Ante,
Amiot, Aro/limbe/id, Aue, Beeuel,
Bernier, Berthod, Antonio Borret,
Briquet, Auguate Brunet, Bespas,
Cana, Carron, Castel, de Cham-
/rte& Chevrier, Colomb, Coponat,
MIDI SOCIALISTE
letton 1914 eux applaudissements de
boutre leo gambes.
Notre bulletin bleu contre le et-
ection notre bulletin blene pour
tend acle de progree et de justice.
NOLre flelien permanente ici et Par-
tout pour notre doctrine de trans-
formation soeiale et pour notre
programme de reeli.dirne imine-
dielee. Pas un moment noue ne
nons coal/Lm:one de celte droite vo-
tonte
Umm opposition neganze qui 3e
borne la railler, censurer ou détrui-
re 7 leon, mais qui, Mut en criti-
quent, propose, et telle, eadin que
le parti qui la pratique puisan n'a-
voir pas à s'oublier bonteueonent
lui-même Iornqu il aseumera les ers-
p u pouvoir.
Je vous ai tout Tt l'heure, M.-
sieurs, convies di vous définir.
Voile qui ncrus soue*.
A vous de dire ceil vous etee
SUSPENSION
Le discours d'Auriol a ete très Peu
Interrompu et par de simptee refle-
x/ras tons anmosde et sans écho,
ce Me prouve Pute lu syonpeth e gee
l'on professe pour l'oraleur et tout
lenteret que Foe Plêtelt e ses Pero-
le. Dés qu'il deseend de M tribune.
une longue aeol malien retentet.
Merle parmi les adversaiies. me-
lote chce les fedi..., beeucoup
applemlissent. C'eet un beau suces
peur notre cama:rade.
Lempreesien eus el rote que les
députée sentent le besoin de se cone
nerequer leurs réflex one et en le
président de ka Chambre, s'en ren-
dant empte, suspend le semoe pen-
dant un quart d'heure.
REPRISE
A le repli., M. Alargaine monte,
A le tribune.
M. MABGALNE. Dams quelles,
eraditions ve Ptr Opérée la etabill.-'
tion ? En 1920 on fit appel g l'union!
de Mus les pertes lieur réaliser l'es-
seommement monetaire On les con-
viet e ou:blier PouT 0e,a les InnaSso-
capelions pulitienee. Mals le stabili.
.tion n'est pes.eine,meere que Mi
pusse prendre isolement. Les ...é-
qmeces ent: Mem depen
dee. nécessairement des SILIUS 9,.e.
tures qui e-roct mens, Ces uiemc
tempe, elle &tei',n.. certainement
une crise epe en lare I s irae. Tout
dépend'e de la politique qu'om
La fixe:tem du teveau osa prix
s'epereeGtettle nermelement comme
event pierre t e
C est, selon Poe/doue la Mincie..ae
question â exmlener es il estima quel
faut y répondre par ha négative. La
etehelleetion ve mAnniner une nneuzse.
Qacf te mes sire le graver...omet
prendea-ted t Quelles qu'ellee ..eet,
il min à faire 5 foete pariee. Noten-
met, sols meteldergi les et aux re-
présentants ers industries eh moque,
qui ont cens:tinte de redoul ,bles or-
gene,setions internat ortelese
bila sulte de ta diseuesion est ren-
voyée S eude
Prochaine sranee iruerdi S 15 heu-
res, pote la nominatien des grandes
Sean. levée H18 h. 20.
Got, Dalimier, Delethere, Delbou,
Due., Dumesnil, Julien Durand,
Even, Palme. Fang., Fays, Fer-
rand, Geidsdeerfee, Cloue George:,
Eleuet, Bérard, Jaequier, Jaubert,
Jouffrault, Lembert, Laumond, Le
Loué:deo, Lorgere, Mareem.bes, Ma.
rie, Masserai, Maupoil, Menem, Mn
yer , Mistler, Montiguy, Negaro,
Ossele, Paganon, Paseaud, Peigne,
Proust, Rodhain, Roy, Ricart. de
Te.an.
Trois républi.ins eeialastee.
MM. Bourget, Brandon, Prame
Deux rnembree de la emehe ru'
di./e Mel. Che-errer. Outrey,
Un republirain de gamelle. M.
rm a.
On independant de gauche.
Gliv de la Chambre,
merabre de la, gaude unie.,
te. M. Augagneur.
Six démocratiespopulair..
MM. Bileer, Brom, Labach, Meek,
Seltz, Welter.
Trois rnembrcs de l'amion démo-
cratique et seciele MM. Frey,
Patur.u-Mirand, Peter.
Cinq membres de l'U. bI D. --
MM. Cadie, de Grendmaison No-
miné, Piéger, Weydmann.
Quatre députés n'appartenant A
aucun groupe. MM. Broca, Hro-
gly. Le Pevedig Schuman et Fer-
nand Braiseon, uni préeideit la
sêellee/
CIng députée étaient ab.nts par
congé. MM. François Albert, Ba-
sile, Cotin, Henn.sy. de Remet,
Cinq eeeetée ne pouriet
d
s
Dos ot Dueloec,o Rieklin, Roser. '4
M. le
Pev.s
edm
su
, porté CODIMP
ârenVOlté'JI'l?Il pour,
101M,
U-
MM. de Chaecum.d, Jaubert, Leu_
mond, Auge, Deleberge, J.-L. Du-
mesnil, de Tessan et Ferren, porree
oomme n'ayent Pas pris part au
vote. déclerent /avoir voulu voter
«antre.
Tous tes autres députes ont voté
pour le gouvernement.
Les grandes commissions
immunes
Paris, 15 juill. "Jnumnel
Officiel mu reproduit ce matin las
listes des candidats aux grandes
' permanentes tellea
qu'elles ont été établies par Inc
1,e,eaes des groupes politiquee et
remises au président de la Cham-
bre le 14 ion, conformément in
l'article 12 du neglement.
Ces comorri.lone sont au nom-
bee de vingt, .voir o la
abri de de l'administration générale
départementale et communale ; la
comm,ssion dee affaires Etrangè-
;es ; la commission de l'agricultu.
te ; la commission de l'Algérie,
des colonies et clee protectorats
/a conerni.ion d'Alsace-Lorraine
la commi.ion de l'armée; la rote-
missioe de d'e.urance et de pré-
voyance eociales la cernm,ission
du commerce et de l'industrie: la
rammieston des comptee définitifs
et des économiew, la commission
des douanes et des conventions
commerciales ; la cotrumsamn de
l'enseignement et des beaux-arta;
la commission des finances ; la
commission de ldwgiène, la
AR -PON
EXI G
mission de la légielation civile et
criminelle ; la commission de la
marine marchande; la commission
de la rnarine militaire la corn:
mission des régions libérees, la
commission des mines et de e
force motrice; la cet/mission du
travail; et la commission des tra.
veux publics et des moyens de
communication.
Nous avons donné hier les nome
des et/armee-quatre députés dee-
gnés peur faire partie de la eom
mission des finances.
Paul Laient sera élu!
Paris, 15 La eous-eone-
miasion du premier bureau char-
gée d'examiner le der.ier de l'é-
laotien de Saint-Girons a tenu au-
jourd'hui deux seences soue la
présidence de M. Paul Marchan-
deau.
L'examen des Procès-verbaux,
en présence de mn Paul Laffont
et Gely-Gasparou, ayant fait ses.
aurais que les résultats eurement
mathérnetiques du scrutin don-
naient le majorité 1M, Fele Lee
font, la sous-commission a décidé,
S l'unanimité, de proposer l'ad-
reieeion provisoire de ce candidat.
Mils, par ailleurs, ele a également
décidé de demander que l'élec-
tion eolt soumise à une enquête,
M. Brandon a éte chargé du rap-
Part
La constat' ion
un fp Op Mule
.Le grimpe viticole s'est reunt
pralin élire son bureau. Lê groupe a
déjà reçu leetheeen de deux cent
quinze membres de la Chambre tir,.
députes.
A I umnimile notre camarade
Berthe a été &lu preeldent. Il .t
deacide que oraque eéglon viticole
de la Irance et otAlgezue seront re-
p.sentees pot' au moims ucri mani-
e, au bureau ounme viee-eresi-
dent ou erareteme. ;lent ainei élus
pour nul régloan r
emeepreedente : Gincliard (Bou-
ehes-duelinere) ; Peyre b000ns 1-
Ion) ; Carton (Hérault) ; Meeratid
(Mem) ; Pen/seer (Aude)
lie (Boelelers) .; Gaxelid lbod-
Gveel Claelans Bezile inerte) ; Du-
c. (Sud-Ou.te ; Henri Tees°
(Bouoh. -Rhône) ; Stzerr e
deelc1i0dtZeeMerv;°'n'Ye;
(Gente& ; Ales (1198,d8ild
80Ptile a prommed ensuite un
dnecoare de reeneeceenents dont
noue déteehone ces passagee
« Noue devons d'atm-rd veiller il le
etriete applioat ion des tous et 0g_
morts quo sont à la base de la ne-
pre.ion dut fraudes, loi mars der-
nier, avant de st séparer, la Cham-
,rs a adepte un texte de loi qui rait
permettre de mieux conduire la lut-
te répressive. Mais 1.1 anse nui pro-
mie que la réforme de Iesperti.
oontredietoire serait reelisée doue
On court délal, go. tiendrons ta
main h ce que O. deux refernies
devi,eneent effectives BD même
temps et e raprdement. Nous aureas
ta continuer I effort utile tendant
a. mieux &foutre eue°oc la ubac; té
du vin el à maintenir cette probité
qul est l'honneur flu commet°
franeets.
La loi sur les appelle:lia. doit -
gine qui a rendu deje. de grands
serviem â notre vignoble a besoin
d'ch. eocupletee. Nous ne devrons
pas seulement enener une /meior
ulâhadiciu pour éviter des agva-
ortions nouvellee due taxes fierai.,
ma. nous devronà agir en vue d ere-
teleir les aménagements indispensa-
tees è 'une des plus graml. ri-
''duMo'n "eaelticril'Oscele"t'fir pet/
net reelemee par le memeree, Elle
est, deeree per 1. vigile:rom. Nues
étudierons de pree oeme qu,e,stion.
Nous Leen..es égelement doble-
nie la réduetiOn dus tarifs de trans-
porte. Nous porterons toute notre
attention sue de deli.cat peuh/Mme
d...nier. NOM nOUS emploierons
solidarises^ Re inteeete de le pro-
duc,tion algérienno avra ceux de le
métropole. Nous enceuregeneres le
développement des eulturrt corn-
plementair., afin de mettre, omet
Men l'Algérie que la ineteopole, d
I abri dru erisee de sinproductien.
Noue veiller°. S ce que les accorde
conenereieux soient de plue en plus
favoriebtes b l'esporialiOn de te pro-
duetto. agricole. Enfin, nous de-
inendertme le vote rapide du régi-
tnn définitif de l'alcool pour com-
pléter Omore un aldtut gut, dePU,S
d9." me ovrol-
ien siinoltafe, Le rectum ne peut
plies être renais en crase. 11 faut
I aumbager. Noue étudierons cette
question sans jamais perdre de vue
le grend intérêt que preeen:te pour
les rAgions betteravier. le pro/M-
me de I ebooml et en acemdent satis-
faction à /eues intérdts Iégottuooes en
c.onfoemité des aecords conclue.
LAVIESO CIALISTE
LE BUREAU SORTANT REELU
Paris. 15 juin, La commission
administrative permanente du par,
si socialiste S.F.I.O, nommée par
le Congrès de Toulouse vient de
tenir ea première réunion. sous la
présidence de Lebars maire de
Roubaix, ancien député du Nord.
Elle s procédé à le nomination
do leureau du Ped,
Paul Faure. Sévérac. et Grand.
valet ont été maintenaa daee lems
fonctions de secrétaire, secrétaire
adjoiet et trésorier du perti.
Pada Mou lin
L'OR AMERICAIN EN
ONCE
Plus de 11 millions de flans
sem un rive' à Péris
Le lue .re, le peu. Le Plieuebot
e Ilede.lereme r est aerivé, ce me.
verant de New-York 1.1 aved à
bord, pour ta Banque de leeeme, 233
bards d'or d'une camer de 11.260.0
dollers, qui ont êté soma, dope par le
leen trensaiientique de 7 h 50.
Let 213 .mrie, ont eé trmsportes
à le Benet. de France au début de
DIX-HUIT ANS DE TRAVAUX
FORCES POUUR TROIS MEUle.
VIOLS
Vienne, le juin. La Cour d'as-
sis. de Kreens condamné dix-
huit ans de travaux forces, erahro-
Paers,i' g'rié'te'v0b0rn el',
tue la femme de celui-ci, ses deux
enfants, âges de sept mois et de qua-
t e ans, et abusa le même jour de
deux jeunes filles. L'accusé, au trio
ment de ces faits, n'était âge que de
dia huit ans.
LE VOTE DES FEMMES
ET LE SENAT
La tentative faite armee du SI
nat pour obmnir la fixation du dé.
bat sur le projet de loi relatif 13.11
vote des femmes n'a pas abouti. La
Haute -Assemblée s'est montrée peu
eeeireunr d'aborder ee deheat pro.
blème avant la fin de la ...ion par-
lementaire. Un des ergurnenM four_
ni dans les couloirs était le prude
pl.e donné S .tte queetton dana
les dernières élections, et l'indiffé-
rence ainsi manifestée par les .n-
didats et les électeurs.
LES NOUVEAUX SOUS.eiAltINS
TURCS
Constantinople. La Turquie ne
cesse de compléter ses armements et
ses munitions, tout en interdisant
ses jour... d'en perler.
Trois nouveaux sous-mas na, cens-
truite recemment mi Hollande, obez
Fijenord, è Rotterdam, velment
d'arriver, portant les -noms de e Bi-
riudji », Tkindji 0 et In Eunu
-Les construetions navales à l'é-
tranger, pour le «mute de la Tur.
raie, continuent.
Un avion frençais
au secours de Itütt
TROIS MEMBRES
DE L'EQUIPAGE
SERAIENT RETROUVES
Londres' 15 juin. Un message
de Kingeeay aux journaux annote
ce que /e navire e Braga,. G qui
vient d'arriver à la terre Dendest,
a signalé avoir appris per des lrels-
peurs que l'expédition partie en
traîneau du vapeur Hobby avait
retrouvé fuis membres de 1 ecim-
page de' Italie », qui mas-
chaient eue la glace.
On croit qu'il s'agit du savant
auédon; Malrnegron et des ofm.
nie, italiens Mariani et Zappi.
Ulrest soos toutes réserves que
nous cloneras ce message.
LES AVLATEURS ITALIENS
mande de Vadsoé que Ba-
viateur anIma Mladdalena partira
pour Kingsbay ce soir.
AVION FINLANDAIS
Helsingrs, 15 min. Sur 1.m-
Mre de l'état-maior général finlan-
dais, un avion est perti eujour-
d'hui d'He/singfors pour King5
boy, afM de prendre part aux ten-
tatives pour secourir le général
Nobile et see compagnons.
LE CONCOURS
DU COMMANDANT GLILBAUD
Paria, 16 La décision de
la participation de 'a France aux
recherches, coeur de retrouver
les passagers de r é Italie », a été
priss hier soir per le ministre de
la marine en accord avec le minis-
tre du commerce.
D'un seul vol de 1.350 kilomè-
tres, le commandant Guilbaud ral-
liera Bergen où il se mettra à la
disposition d'Amundsen.
Le grand exp/oreteur ellait aban-
donner son projet, n'avant pas
trouvé les soutiens financiem né-
mcesairee. quand la France lui of-
frit sa collaboration.
A Bergen, le commandant
baud laisse:a è Amundsen le soin
de terminer Forgan'eation du vo-
yage.
limas fort probable que de
gen "appareil gagnera un point
de /a Mère Nord.
Après s'être ravitaillé, il e'élan-
cera sudessus de la mer de Ba-
cdoentr.0(VgrerlrrnererKingefosy, au
Stitzberg.
PMe, eous les directives d'A-
mundsen l'équipage entreprendra
une série de vols de reconnaiasan-
ce
Il s'agit, en effet, avant toutes
choses, de retrouver les membres
de l'équipage de Fu Italie a
Le lieutenant de vaisseau de
Cuverville a déclaré que son ap-
pareil peut emporter, avec quinze
heures d'essence, LOW kilos de
charge utile.
L'HYDRAVION DE GUILBAUD
L'hydavion du commandant
Guilbaud se tiendra par 1.S.F. en
liaison constante avec Kingsbay et
les postes norvégiens. Il sera mu-
ni de deux hélices métalliques qui
mieux que des hélices de bois ré-
sistent eux intempéries polaires.
CE QUE NOUS DIT GUILBAUD
Coudebec-ermCaux. 15 juin.
Noac avons poe joindre le comman-
dant Gui/band qui, on le conçoit.
Pst ttès affairé et mai atcusia coup
commandent a reçu sa Mulon U
, té/éph.s eue coup de ut
érnos
6 oht do r.
Belette décidée dans le co n .
Ce n'est que ce matin i,
Valette et comme mécanicien le;
la ,,,...,1._
comprendrait le commandant (Pull,
quartier maitre de la marin:
BrIelazoYus demandons au
second maître radio -télégraphier
baud, comone chef de bord ; le
'1'1' Guela'ilsb'eud
nel: sera l'officier 11-4,
numcom )
du
. ,,.: Cu
0 . et silumirvli
qeuueititenir'oilei PeValp.d::
C
:
et'ir vse'ea'cceansodir'ren'Caridnererner
de l'amitié très grande qui.
lie,
enQu'el Ine'sb'Ze'de il rie a'tiroen'is' ura7i tes--
77 'ub
Tréira nn'' l 'n ?
etSadvieéhoees ' I. aos
difieetions ont trait eniquementà.
la carburation, car nous alloes
dans un emys où le refroieresement
'
»Tl' NQux:uag:r
nd
ue:/er,freonl,,ieud,,miotre
ln.7-
P:epnf.ftlirl,e0i,11;re,:e8zhrmreivu,e6ne,s,,,omddirite,,inent,eNrni?,est
Prtrupnroevi7ten, IL' 'o'urdi're'ldr pris S
nous espérons, avec pour base
Berge,:, .,..revtreonuz Nbi
; deo/%.,01,
dm« dN endaarquer Amundsen qui
dirigera notre missions. n
11- Rie de gmeaslique
A LUCHON
Noue eyras annenee, hier, les cou,
titi°iso exeeptionnelles dans lesquele
te, aiment se déroute les :êtes de
XXIII Concoure de l'A/se:te:Tatien d.
Sométés de gyrerastiq e du MITE.
En voici, dene ses grandes lignes,
le programme :
Samedi 16 : etiué des sodetée
11.50e particie.nte) ans flammes de
Beneets; préaeldaldn don soAfet,d,
au (:,s,no, cm du drapeau enterai; feu
d'arefice.
Dimenehe matin c lames de rate.
ttoon; Iépé'iticu m mus tete oies en-
sembles genêt/am; concours spé-
ciaux,
Damne. gprès-midi : g end défilé
de toes tes gemncette fLeeet emee
In concoure aie la mueque
honmmee aux morts, à 15 he r.,
euusa le présidence de M. le délégué
du nen:etre me ta guerre, ens nobles
généraux en mou ion, mec le cou-
cou,v de la musique militaire du
83° Pi. I, reense du drapeau federaile
décurastratioms gYmeageee leo tee lm,
eiens de le Munimpale de Touleusee
fleuras rotions 0,1>én,,,ue,,, par M.
le benenant Larrouy, de te 13
dace de de ,rbes, canzpion de Fran.
5928, delegue français m. Jeux
Olympiques.
Dimanche soir i au Cesine, féeri-
ques de rade p.m piestique/s; bellett
gymnastique relu:nique, et.; cenuert
per la musique mititetee.
Lundi men o championne. MM-
viduel, challenees; concours de
l'athete .mplet; excursion à Super.
lege:la/es pour les nen engagée.
Lund, eme ; présentation d. pro.
dtgeseosu primées, Les ensembles; die-
trime ion den récompenses.
Lundli soir I eu Cestne, féeriques
de nuit, par lo societés leureates,
C'est done un ni:son/ale complet
Prend toute sen envergure, et
de la qualee des am/ Cree engagées et
aussi de leur valeur.
Des freine de nuit SPecirex Parti-
ront de Luchon epees les fêtes, It
0 h. 30.
La location pour inc pleeca est
envoie en Syndic. denitiative
Te...exefieefit..enteeetlelatete..411e
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Tarifs réduits consentis aux habit.. do
Département et des DéparMas, ets voiries ni
Juin et Sereembte
ee -am
te leer Ie Ume tu en jan*
Perte O juin. Uee ...drille dé
quatre avions, appartenant eu sa,* de.
=rn'"'
iodr,deATVZ'
do on. Os eéstl'
ser un mm de France en me aeue
nés élé.S des enelitiene de vitesses et il
régularité eme es
Partis de Thionville, le 13 je, le,
queue eeeteue peeele cor Me secs..
Ceiberr Le Per.. et Jamb,
ayant conune passagers quatre tergerde
Manie:me,00m stem 00 le eiceett
ville, Lrno teose,, Toulouse, Pae, Bee
doeux, Teera, Le Hem., Thionville
me mule ie..5e soir un mem. Ifs
2.200 kilemeerec, effeetué eu 11 h. 30 de
vue 5 le .tea. Moyenne do let Mie
mems à l'heem, ee°000e der,e mule
d elemze de 13 heur.
TIRAGES FINANCERS
VILLE' DE PARIS 1865. Le ...Erie
267.312 eet rembeeree par 100.000
Le mener. 224.917 eat rembouree eer
50.000 franc,
La, quen numéros eue:ente tont Tan-
beueeee chacun per 10.000 fugue u 210.637
310.672, 315.268, 544.771.
Les ci, raméréé m.... tont rem,
houssés chacun par 9.000 lrsum:1 70.816
312.793, 355.831,5,57.82e, 588.409.
Lee dis eumeree nevene sono Te.beer-
46.652, 138.105, 204.322, 246.422, 234.092,
367921, 395.986, 474.572, 540.196.
Six mille trds cent berne -tee. mune.,
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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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PRETS D'ARGENT
i45ecte.
MARFArancerree=
SOCIALISTE,
et eessl uni. racine
si-
Lis enté DA.41.21CAU.
(1821
Je n'y aurai pas grand inertie,
aboz. Vous savez si je l'aime, vous.
tu me le dis plus volontiers
elaM
- - Il m'Intimide... avec ses galons
d'or.
-7 Sois dose plus brave, hasardetoi
un peu... demi. donc bien diffilita
de dire h celui qtrarn aime pardessus
tout.., plus que tout_
- PI. que tout au monde- oui,
c'est ai.i.que je l'ai toujours aimé.
Quand Jetais gamine, je IalinaH delà.
Quand j'ai été plus grande, mee
Me/Mûres coquetteries ont 0.6 pour
lui plaire... Quand il m'a demandé
si je voulais Ore sa 'remue, ah I
larde Yvonne, j'ai cru que j'allais
délicieusement mourir.
- ES bien, ma Jolie chérie, c'est
à lui qu'il faut dire un pou en Mut
Oad. Tu verras eu.er, il sera lino.
LE MIDI SOfflLISTE
eeefeerr-ran .11gagMI 11! an»MM,'n
Société Lyonnaise des Eaux et de l'Eclairage »
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MON FORMUL AIRE
d'actes sous seing privé
Pet Paul ROUÉ U
4* Milton - 230MIU
Propriétaires, Commerçants,
Cultivateurs,
Rentiers, Travailleurs, etc...
Ne fuites pas d'aftatren sane un écrit
Faites vous-mêmes vos actes
TRES GROSSE EGONOMIE
1000 [rafles à gagner
en taisent .8 ace. sopradmo cep. d'autrui
(la profeesten d'actuaire est lie.). aven
PION FORMULAIRE
evvrams de vulgarisation de plue do 400.pareee, grand format, contenant I
(Entrait de la table dee enaliergo)
Tour modeler d' actes d'us«ant. , entr
:irait! d'enregistrement
Continent on rédige nia acte sous seing pried
none Prime, de amati:adent sur torts augeto. rendeursant fenorage
COMMENT éviter ou gagner tin Procès. Syndicat de Jus.
ticiables.
COMMENT passer Bail, Fermage, etc. Acquiescement,
Atermoiement, Bornage, Arpentage.
Contrats do travail : Apprentissage, Certificats, Courtiers,
Gérants, Intéressés, etc.
Contributions : Réclamations, Vérifications, ete.
Assistence judiciaire : Modèle de demande, Appel.
COMMENT on divorce : Doit-on épouser un divorcé? Annulation
de mariage religieux. Séparation de corps et de
biens. Conversion.
Boulangers, Hêteliers, Débitants, Médecins.
Faillite : Peut-on l'éviter? Réhabilitation. Liquidation tudiv
Maire.
effets de commerce : Timbre, endos, aval, chèque. Aras.
longe. Transaction. Ouverture de crédit.
Pouvoirs et Procurations : Plus de 10 modèles.
COMMENT constituer une société anonyme, en nom mure.tif,
participation, coopérative, à responsabilité limitée,
etc.; frais, formalités, etc.
Vent. et achats : Animaux, meubles, immeubles, etc. Ré.
mérés.
COMMENT acheter ou vendre un fonds do commerce : Pré-
cautions à prendre; formalités
11 remplir; nantissement;
Inscriptions; mainlevée, etc.. etc.
Prêta, Emprunts, Hypothèque, Warrants, Mise en demeure.
Successions, Compte :te tutelle, Donations, Contrats de
Mariage, Rentes viagères, Partages, Code des coreruc.
fions (Devis, Marchés, etc.), Tabac-Vin (Gérance et
achat d'un).
Testaments Comment las faire. Nombreux mides et Ber
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