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'Travailleurs -- - Bibliothèque de Toulouse

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FEUTISLEMON DU 6 JUILLET 1011 65<br />

MOU COBSAIII1<br />

' Par Edouard DELPIT<br />

Eh regar<strong>de</strong>z-le, regar<strong>de</strong>z mon petit<br />

Chrmtian...<br />

Christ ien ?<br />

C'est, la portrait <strong>de</strong> son père.<br />

--"MISérable I<br />

tn- Isajuriez ! Que Me font vos injures ?<br />

Mi ! Si VOUS :vous figurez qu'elles m'en,<br />

sortez-vous done, et quel hm,-<br />

'ouz sortit qu'on vous fasse un<br />

signe et vous vous vautrez. Ces!. eget,.<br />

east drecieux, palme que sur <strong>de</strong>s geai<br />

<strong>de</strong> rot% sep?. on a barre, besoin<br />

<strong>de</strong> voue unir, je vons tins, parfait, !<br />

vous m'aimez O Ah ! vous avez l'infamie <strong>de</strong><br />

m'aimer, ear c'est une. infamie, convenez-en,<br />

après fout ms que je vous ai dit, Et vous vous<br />

imaginiez pent-Ilce. en me voyant scout.,<br />

vos divagations sans frémir, «elles mn<br />

tvembaient. Vrai, monsieur, pour un scélérat<br />

m., êtes encore Men nelf, <strong>de</strong> voulais m'assurs<br />

7 que Ma vengeance serait comple.g.<br />

iteSn N'OU, bravant le moue, je broient,<br />

Mfelque chose, 'Maintenant, j'en ai la coi:-<br />

Cie/Mn Elio me ravit. Débarrassez-moi <strong>de</strong><br />

vitre presence.<br />

Le marquis passa la main File son front,<br />

doutent qu'il fût bien éveillé. Mais il ne revoit<br />

pas ce non/ <strong>de</strong> Christian donné, inteeit<br />

111000 d'Isabelle par Mélissey au regist, <strong>de</strong><br />

1 et aleeiv il. François, l'intime du mort, appeli<br />

pour, serait. do parrain, tout le mer<strong>de</strong><br />

r'<br />

Reproduction interdite aux journaux nul n'ont<br />

tin truité arec MM. Calmants Léey, és/fleurs<br />

Société Anonyme à Capital variable<br />

<strong>de</strong> l'Imprimerie <strong>de</strong> la Presse et du t. Midi Socialiste » gainsianainrcomnalfin<br />

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happo,tant 5 pour 100 d'Intérêt<br />

elliSel par décision <strong>de</strong> l'Assemblée générale du 22 Avril 1911,<br />

Publiée ou Bulletin Annexe du a Journal Officiel e du Huit Mai Mil neuf cent onze.<br />

Remboursables en 20 ans, à partir du 1- Juillet 1915<br />

Le coupon d'intérêt est payable chaque année, le L' Juillet.<br />

Les Souscriptions sont reçues, sans frais, tous les jeun.<br />

A la Caisse du MIDI SIMILISTE o, :438, rue Hoquetante, <strong>Toulouse</strong><br />

Les Titres sont remis en souscrivant. On peut souscrire par Correspondance.<br />

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RHUM AMÉRICAIN<br />

DU O JUILLET 1911 103<br />

71:1=3M11:Z,<br />

Par Pierre SALES<br />

.1 hocha tristement. la tête ; puis,<br />

a uni. tris nat éis<br />

- tem, quo nous n'ayons pas commis<br />

une alatIVniSe aeLiOn<br />

Comment cela ?<br />

Ce& que, si nos filles n'aiment pas les<br />

fils d, niadatne Itimageur, ces jeunes gens<br />

Minent passionnément Lucienne et AMalia<br />

-- 1,1 In adorent fallemént, parbleu<br />

bien, quand un aime ainsi, prononçe<br />

ti,istemeni.61. Fernan<strong>de</strong>s, il faut avoir un<br />

4.14éelMiergie pour resmier à um refuSI<br />

XIX<br />

LE BALISES ItAVACrIll<br />

1.0IIMI<strong>de</strong>main, dès l'aube. Lerusle organi-<br />

Men 011, lui, on etelier ale couture. Il avait<br />

résolu <strong>de</strong> ne plus se laisser attrister par les<br />

raisonnements <strong>de</strong> Fornan<strong>de</strong>a ; il n'avait plus<br />

en 151e que cette phrase <strong>de</strong> Cath,ine<br />

%eux que ces enfants soient les mien.<br />

<strong>de</strong> Mon bal.<br />

répétait sans cesse r<br />

-eLibs reines. petite, ! vous enten<strong>de</strong>z, vous<br />

/serez les ruines /tu Mal.<br />

:Ft il reprochait I Fernand.. .<strong>de</strong> manquer<br />

tretrateain.<br />

- Ne craignez ne, rien, sarrebhmI lu<br />

l'-ail-i lie vo, réponds que tout marche-<br />

, admirablement.<br />

.Reproduction interdite aux }mena. Pd n'est<br />

frid nr PMU erreregioama hoo, mireur,<br />

Ca Parie<br />

averti rieur ...liement avant, le<br />

intslresse, .premier<br />

faits, autant <strong>de</strong><br />

ifun plan pteinedité. preums<br />

Il<br />

face d un maustre, et<br />

recula, tomme<br />

gagna la porte. Au Marnent<br />

dy- atteindre, la r ou dure et menlanto<br />

<strong>de</strong> 'Yolan<strong>de</strong> le rappela.<br />

Vile <strong>de</strong> vous 1, dire? pas plus<br />

que vous n'existez pour moi, r.<br />

vous n'exi. -<br />

doive pour ter<br />

Ir sema. <strong>de</strong> mes fils, por<br />

quoiqu'il<br />

totre nom.<br />

Je le lui arracherai, cria le<br />

-- Pas commo<strong>de</strong>.<br />

meut lit.<br />

Croyez-vous ? rugit Lealvilliers.<br />

bien, vous m'exhortiez timt à lueur arecjr<strong>de</strong>r<br />

ce billera ; A votre tour, regar<strong>de</strong>z.<br />

Go<strong>de</strong>froy marehe au bcreeau, saisit le nouveau-né<br />

et d'un geste <strong>de</strong> <strong>de</strong>nten, leva le<br />

bras Clergé du frêle far<strong>de</strong>au pour l'écraser<br />

al terre. Yolan<strong>de</strong> poussa un cri d'épouvante,<br />

IsehelM arcourut, suivie <strong>de</strong> Benutlouin et <strong>de</strong><br />

Mois dê.lb le marquis avait recouvré<br />

son sang-froid et rejeté avec dégoût /enfant<br />

sur /e lit,<br />

Emnortez Cshristian, commanda Yolan<strong>de</strong>,<br />

cet homme veut le tuer comme il a tué sa e<br />

P017ii éclat <strong>de</strong> rire <strong>de</strong> Go<strong>de</strong>froy rIt frissonnec<br />

r cs assistants.<br />

Ah (verdie° ! cria-t-ii, si votre emelt<br />

vous voit, madame, il don" être pris <strong>de</strong> /-<br />

Meus rémords d'avoir pu tomber jusqu'a<br />

vans. Go<strong>de</strong>froy ! sanglota Isabelle.<br />

Rassurez-vous, le ne tuerai pat votre<br />

fils, le me salirais b le toucher encore. Mais<br />

puisque vous m'axes volé men nom peur ful,<br />

in ajoute ma malédietion.<br />

Faites ! lança Yolan<strong>de</strong>,<br />

Oui je le maudis, je le maudis<br />

rv<br />

En apprenant l'a,onehement <strong>de</strong> Yolan<strong>de</strong>,<br />

Sibylle, la veuve <strong>de</strong> Christi. <strong>de</strong> Payaiprech,<br />

avait ôte singulièrement, émue. Elle<br />

s intéreseaH au neureau-né avec passion.<br />

L'Espagnol se contentait <strong>de</strong> regard., ne<br />

dirent plus une panda qui pût enrayer la<br />

joie <strong>de</strong> Leru<strong>de</strong> ; mais il evait toujours sur<br />

!es lèvres un sourire énigmatique qui agaçait<br />

le grand srulpteur.<br />

Comme s'il en savait plue long que mail<br />

murmurait Leru<strong>de</strong> en haussant les ôpaules.<br />

Le sculpteur présidait M'en un sérieux<br />

imperturbable h l'essayage <strong>de</strong>s robes.<br />

Si tous les jennes gens ne <strong>de</strong>viennent<br />

pas fous, Un vous voyant ainsi ! Xéeriait-il<br />

souvent.<br />

Mais, s'il ajoutait.:<br />

Commencer par Tony et Lucien..<br />

Lucienne l'arrêtait brusquement<br />

Pardon, mon (père ; en prononcez aucun<br />

nom. Vous avez fixe une date, atten<strong>de</strong>z I<br />

Vous oubliez donc que nous avons huit<br />

jours pour rnflécitir ? disait linerne. Amal.<br />

Et les jeunes filles s'absorbaient <strong>de</strong> nouveau<br />

dans le, plMses, les coquillai,, les relevés,<br />

les flous <strong>de</strong> <strong>de</strong>ntelle. Elles essayaient <strong>de</strong><br />

ne pas songer à l'avenir, <strong>de</strong> tromper leurs<br />

pré...eu:patio, réelles, leurs hésitations par<br />

l'activité, Pagitetion... Mais les soirées<br />

étaient tristes, sile.ieuses. Plus <strong>de</strong> .musique,<br />

plus <strong>de</strong> nallanriO3 t.,. Et même plurale continences,<br />

la oint, au moment du repos. Tin<br />

mois auparavote, elles parlaient sans cesse<br />

<strong>de</strong> ces jeunes genx, dont ellos avaient invonsciemment<br />

<strong>de</strong>viné l'amour-4 maintenant,<br />

el hm n'osaient manne rio, Pr0tistits,r louis<br />

110rna.<br />

Lo malin du 4 juillet, ô!, Fernand. était<br />

allé h Paris ; Leru<strong>de</strong> se -trouvait donc seul<br />

ince les jeunes tilles, qui essayeient Mur toil&te<br />

pour la <strong>de</strong>rnière fois. Au milieu sic la<br />

matinée, un donmslitem <strong>de</strong> madame Racegeur<br />

tamisa it Garches, pertbet rtres paquet<br />

pour chemine ties jeunes tilles avec une lettre<br />

<strong>de</strong> Catherine.<br />

Yolan<strong>de</strong> n'avai belle pas dit qu'il venait <strong>de</strong><br />

Christian ? En l'examinant, en fouillant ces<br />

traits à peine formés, il y aurait chance Py<br />

rencontrer ceux dorure père. Lite sonna,<br />

comm.dati atWler, et partit, <strong>de</strong>rrière ,Beau-<br />

*min et. Gille, un peu tourment., malgré<br />

tout, si' <strong>de</strong>mandmit el M. <strong>de</strong> Pua allure, ne<br />

la gronlerait pus. C'était. sur.i à cause<br />

<strong>de</strong>lle qu'on ne recevait plus Yobn<strong>de</strong> au cha_<br />

teau ; aller chez Yolan<strong>de</strong> risquait <strong>de</strong> paraître<br />

bizarre.<br />

Elle se iit arrêter ii la port, <strong>de</strong> la maison<br />

qMhabitait rue du Poilu-d'Amour il. Duraland,<br />

son père. Le directeur <strong>de</strong>s douanes<br />

Faccueillll comme on accueille un rayon <strong>de</strong><br />

soleil quand on a froid.<br />

Ta apportes tes félicitations, hein O un fils<br />

superbe, parait-E. Ce bavard <strong>de</strong> Mélissey<br />

m'a réveille presque au point du jour pour<br />

m'emmener I la mairie comme terrien. Sais-<br />

M none flle petit ?Ta ousine a voulu gMil<br />

s'appelât. Christian.<br />

Christian!<br />

Oui, je vois, 15 ne nie trompais pas. J'étais<br />

sile que cela te chagrinerait. Après <strong>de</strong><br />

certaines douleurs, il y a <strong>de</strong>s noms qui <strong>de</strong>viennent<br />

sacrés ; nous éprouvons le besoin<br />

<strong>de</strong> les enfouir en nons. Il semble qua les<br />

prononeer. d'autres les profanent, que,<br />

soient romme <strong>de</strong>s reliques auxquelles il est<br />

défendu <strong>de</strong> toucher. Mais. que veux-tu ? te<br />

eousine n'a pas refléelli. Elle a eu le désir <strong>de</strong><br />

rendre hommage à un parent mort, /intention<br />

était bonne.<br />

M. Duroland ne soupço...git pas M mal<br />

qu'il l'aime à sa fille. Ah ! certes. non, l'in.<br />

tention n'était pas bonne. L'outrage conténuail<br />

mi <strong>de</strong>là <strong>de</strong> ta tornlim<br />

J'y vais. dit Sibylle.<br />

(aura and la prit dans or, bras<br />

Mon trilsor, tien, aine mine qui me<br />

préoccupe. Ta jolie tigure est tirée en diable.<br />

J,' sais bien que dans ton Oint,,, var toi aussi<br />

bientôt tu vas faire comme la m'usine. Quand<br />

j'y songe, celesme produit un effet !... Ma<br />

...--onno.----....---..._.=1-........sro..<br />

iEaux<br />

bicarbonatées, salies, gazeuses<br />

I1flflU:I fil i<br />

té<br />

FoltraisSeura <strong>de</strong>s Ministêres<br />

i <strong>de</strong> le Guerre, <strong>de</strong> fa Marine, <strong>de</strong>s Colonies<br />

1<br />

%ladies /mitées avez maki po las DM Da BOOLO1/<br />

Maladie, <strong>de</strong> l'estomac, du foie, ara'intestin.<br />

rie la sesee, te paludisme cbronione, le diabète, ka *<br />

longues convalescences, rememie.<br />

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Mtablimement ouvert toute l'année<br />

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Guérison <strong>de</strong>s maladies <strong>de</strong> /a femme (Fibrânes, Métrites).<br />

Climat doux et sédatif. Ligue <strong>de</strong> Oaumaiu,ie SainkGinels,<br />

une heure et <strong>de</strong>mie do <strong>Toulouse</strong>.<br />

LES MALADIES DE LA FEMME<br />

_LE PMBIEBOINZIE '<br />

SUr cent iemrdés, i/ y en a 96 qui<br />

ont atteintes <strong>de</strong> Tumeurs, Polypes,<br />

Pibrame, et autres ex/gorger/mu.,<br />

qui gênent plus ou mo/ns la menstruation,<br />

et qui expliquent Ms Hémon<br />

rugies et les Pertes presque continueiles,<br />

auxquelles elles sont sujettes.<br />

La Femme se preoccuPe reudab.rd<br />

<strong>de</strong> ces inconvénients, puis, tout-acoup<br />

ie ventre commence a grOSsir<br />

et les malaises redoublent. Le FTHHomE se aéra-<br />

IalteirerlUiPs=hiseiU-gv'enniVereUet<br />

mala<strong>de</strong> s'ai/abri et /es pertes abondantes /a fOrcent a<br />

s'aliter presque continueflernent.<br />

QUE FAIRE?<br />

avec ia<br />

Amaltaab<br />

JOUVENCE DE L'ABBÉ SOURY<br />

qui vous guérira sûrement sans que vous ayez LeS0i11<br />

<strong>de</strong> recourir none opération dangereuSe.<br />

N'hésitea pas car il y va <strong>de</strong> votre .1110e/sachez/<strong>de</strong>n .<br />

que la JOUVENCE <strong>de</strong> l'Abbé SOURI( est composée <strong>de</strong><br />

plantes specialno sans aucun poisonelle est faire expies<br />

pi/nem/M.1r toutes les Maladies intérieures <strong>de</strong> la Femme,<br />

Métrites, Famines, Hémorragies, Peler blanches, Règles Moculières<br />

el dautomentes, Troubles <strong>de</strong> ta circulation du ne,.<br />

Acci<strong>de</strong>nts du RETOUR roue, Etourdissements, Chaleurs,<br />

00 erres, Congestion, Varice, Phlébites.<br />

11 esi bon <strong>de</strong> faire cl aque jour <strong>de</strong>s injeetiOns aVeC<br />

l'Hygiénitioe <strong>de</strong>s Danses lire, 25 la boita/.<br />

LaJouvence<strong>de</strong>l'AbbéSoury,sevend 31e.50 le flacon<br />

<strong>de</strong>nstoutes leSPharnlaeles,4 10.10 franco gare.<br />

Lel 3 flacons francoconme m.dat-poste <strong>de</strong> 10 fr. 90'<br />

mires, Pharmacie Mag. DIIMONTIEH, Roum.<br />

(Ne, et eeneeignements confi<strong>de</strong>ntiels gratis).<br />

Mes chênes enfants,<br />

e Je veux que, en soir, vous veniez ehez<br />

moi, le diadème au front, comme <strong>de</strong> véritables<br />

reines. Permettez-moi donc <strong>de</strong> vous<br />

offrir ces lai 101m, en souvenir <strong>de</strong>s heures exquises<br />

que rai paGeUls auprès <strong>de</strong> l'Ou,<br />

n Notre stnyère amie,<br />

n Catherine RAVAGEUR<br />

Elles eurent un moment. d'hésitation ; elles<br />

n'osaient pas ouvrir les écrins. Leru<strong>de</strong> n'hésite<br />

pro, lm, nt il poussa un cri <strong>de</strong> joie en<br />

voyant <strong>de</strong>ux diediam, <strong>de</strong> diamants, <strong>de</strong>us<br />

parures superbes, dont la beauté (blottit un<br />

moment Li:mienne et Amalie.<br />

Hein, petites, hein ?... s'écriait Leru<strong>de</strong><br />

uvée Iln aérant <strong>de</strong> triorm.e.<br />

Elfes souri.nl, xontemplant rua Ioe les<br />

pierres, se laissant aller à un mouvement<br />

bien pardonnable <strong>de</strong> coquetterie, liuis<br />

voulurent refuser. Pouvaient-elles Lamenter<br />

un si beau ea<strong>de</strong>au ? N'était-ce pas se lire?<br />

Mais Lero<strong>de</strong> s'emporta. /I °alma lui-même<br />

les parures <strong>de</strong>s &mins et les plaça sur le<br />

front <strong>de</strong>e jeunes filles, Puis il ,rivit ce<br />

quelques mots h Catherine<br />

). Madame,<br />

» Ce n'est pas par une simp, lettre qu'on<br />

peut VOU3 remercier. C'est <strong>de</strong> vive voix que<br />

nous vous dirons ce soir eembien nous vous<br />

aimons et vous admirons.<br />

» Votre humble serviteur,<br />

» Patrice LERTIDF »,<br />

Pendant toute le journée, le Ac ulpter ne<br />

tarit pes sur la bonté, sur la générosité <strong>de</strong><br />

la belle tira tome Ravageur.<br />

C'est men ami Fernand, (mi va être<br />

P10000 ! s écria-tell plusieurs fois. Matis que<br />

diable est-il allé faire I Paris ?<br />

ne sais pal, répondait Amatie en<br />

'baissant tes yeuy.<br />

Vers la lin <strong>de</strong> la journée, enninie Leru<strong>de</strong><br />

MbylM, mère Il me semble m que je le vois<br />

encore haute comme ca, trottinant .da, mes<br />

jambes... Tu as eu tort <strong>de</strong> venir à Boulogne.<br />

Cette m'ai, on voiture t'a toute fatiguée,<br />

L'air do la rue. rafraîchit P iront brûlent<br />

<strong>de</strong> la jeune femme. Elle traversa lentement<br />

lin ,epareit nralson <strong>de</strong> son<br />

père <strong>de</strong> l'hôtel <strong>de</strong>s Lealvilliers. La lour<strong>de</strong><br />

port, s'ortirit <strong>de</strong>vant elle sans qu'elle eût<br />

Frappé.<br />

guettais madame, dit le viens concierge.<br />

Je Pavais mie entrer cirez M. Duroland<br />

et j'étais bien sûr s'Ife, ne tar<strong>de</strong>rait<br />

pas à venir,<br />

Ma tante Isabelle cala?<br />

Mcdame trouvera tout le mon<strong>de</strong>, NI, le<br />

marquis, sen grand-pece et son oncle, M. ôtélissey,<br />

Garneau.<br />

Sibylle n'avait entendu tinttn nom, cehe<br />

<strong>de</strong> Go<strong>de</strong>froy. Sa presen.ce lui riait nn, sorte<br />

di gag,. serait-il veina s'il avait eru<br />

qu'il s'agît du fils <strong>de</strong> Christian ? Elle monta.<br />

Franeois était seul au salon. Il poussa une<br />

exclamation en l'apercevant.<br />

Voes Si je m'attendais te. Vous Mêles<br />

(pas raisonnable.<br />

ion m avait laissée à Puyalprech; j'y al<br />

ppir, Sllia venue.<br />

av. à Paya/are:dl ?<br />

Oh ! Dieu !... Mais ne parlons nes <strong>de</strong><br />

cela. Go<strong>de</strong>troy est ici. Alors ce-t bien la<br />

preuve, ne',. peu, Une Yolan<strong>de</strong> avait<br />

menti ?<br />

tin bruit <strong>de</strong> porte, violemment projetees<br />

arriva jusqu'a eux, DrU hnprecetions montaient<br />

sonores, flagellantes.<br />

Ala! dit,-elle, j'ai op trop tôt.<br />

Elle courut hors du salon, s'arrêta aus<br />

marches <strong>de</strong> l'escalier. Tétait maintenant la<br />

noiX <strong>de</strong> sa tante IsaibelM<br />

Retirez votre maledietion, Go<strong>de</strong>froy.<br />

N.. Du fond du :cur je maudis ce<br />

bâtard.<br />

Gest doue noalu, &est donc vrai ! bal.<br />

butta Sibylle, s'écroulant sur les meiehee.<br />

bihI<br />

el I<br />

navette tous tes MePf redis <strong>de</strong> 9 h. à à<br />

/0 h. du soir au aie. du PART/ SCcIALIST<br />

26. boulevard <strong>de</strong> Stem Ste.<br />

bourg, à TOULOUSE,<br />

.bourg,<br />

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d...rages mis 1,55155ECatalogue à la alla'<br />

position <strong>de</strong>s Abonnés<br />

HISTOIRE<br />

La iegpublique d, 1848 (A Re.<br />

nard).<br />

/g Le . Second Empire (Albert<br />

Tboroash<br />

lu, La Guerre franco-allenain<strong>de</strong><br />

et ia Commune 10. Jaurès et L. Du.<br />

bre..<br />

12 La Troisième Républigaelohn<br />

Labusquinre et 1 Jaurès).<br />

Histoire anecdotique du Tra.<br />

von (A. Thom.).<br />

IR, La 15smisients<br />

Pans 116001Mara),<br />

Histoire du Socialisme Banrats<br />

(Pau/ Louis/.<br />

17. Menetres (Purs ComInunard<br />

le. Allemane).<br />

e. CONGRES<br />

,103, ÉlinsPlis rendu du &mores,<br />

Salle Wagram (<strong>de</strong>oembro 1399).<br />

105. Compte rendu du Congrès <strong>de</strong><br />

Commentry (septembre 19021.<br />

107. Compte rendu du Congrès <strong>de</strong><br />

Reims (septembre 1903).<br />

109. Compte rendît du Congrès<br />

<strong>de</strong>s Elle municipe. (Janvier 1904)<br />

Famiare rendu <strong>de</strong> Congrès 4e0<br />

gate.dtaand (sepomers 1905).<br />

173. Ootnedv rendu du 3me Con.<br />

ores <strong>de</strong> 41 Coopérer. seelatHie.<br />

lia, compte rendu du PIM banal.,<br />

national d, la Hoopéletion. sa.<br />

ciatiere.<br />

hi,,Co...Pie rendu du urne Con.<br />

* la Coopérait. 00.<br />

9.4,:e.ReaslAnat<br />

176. Compte rendu do. Grue Con.<br />

grés omionad <strong>de</strong>-Sa COOpénnni. so.<br />

céalitte.<br />

ETUDES ECONON1QUES<br />

ET POLITIQUES<br />

001,L'apprenSissage (Pierre Mizon).<br />

202, ami pole:toue et morale<br />

Qui. Gues<strong>de</strong>). es<br />

dorinroo<br />

.200. Mut, <strong>de</strong> tir philosophie<br />

(Kers Marx).<br />

KG. Essai o.* la propriAlé (Tarbonne.).<br />

2t11, Le Cegeito2 <strong>de</strong> Earl Mare (Ga.<br />

brin Devilley<br />

ce Produit intégrai du Tes.<br />

rien ém Manger),<br />

L'Etat soelatiee (A. Mener).<br />

lof. Action éoeintiee (d. Jaurès).<br />

209. La eue tragique rira Travail.<br />

Heurs IL-55. tionneM,<br />

110. Le Socialiene d Cancer (G.<br />

Sonars242.Les bonnet thèses da Socialisme.<br />

21v. Q11.1tre ans <strong>de</strong> tulle rie classe<br />

an<strong>de</strong>s Gues<strong>de</strong>).<br />

. MS. ItgaMé Sociale (Jérôme S-<br />

em).<br />

217. La Question agraire (Compêremorel).<br />

r 2'1 RPP"t<br />

a Bourse toope lettre d'Albi.<br />

Lisez le « Midi Socialiste »<br />

Organe du Proletariat<br />

célébrait pour la centième fois les qualités<br />

<strong>de</strong> Catherine, il t'air/Ma tout bouleverse en<br />

voyant Maxime Herbert et Georges Lacaze<br />

traverser le jardin ; Amalie dit alors en rou<br />

gement<br />

crois que mon père a prié ces messieurs<br />

<strong>de</strong> venir dîner aujourd'hui à ta Maison.<br />

Lermile culas mouvement <strong>de</strong> colère et<br />

reçut ires brusquement les <strong>de</strong>ux<br />

Vous 0,10 dune, vous ?... Il omit: pu plus <strong>de</strong><br />

qiiinze jours qu'on ne vous a vus !...<br />

.Au rrntme instent, Fernan<strong>de</strong>z parut dans<br />

Pernbrau sre Je la :porte avec le journaliste<br />

Lamber, et dit tranquillement :<br />

Excusez-moi, voisin, j'ai pris la liberté<br />

Or ramener ces messieurs ace, moi. 110 dinevont<br />

ici et nous partirons tous ensemble.<br />

pour nous rendre chez madaine Ravageur.<br />

l'ai pensé gue nous nous trouverions un peu<br />

dépaysés dans cette gran<strong>de</strong> fête, si no,<br />

n'avions pas quelques amis autour clonant,<br />

Leru<strong>de</strong> ne l'écoulait pas ; il était tout saisi<br />

par l'émotion qui avait sen, Lucienne et<br />

Amelia h la vue <strong>de</strong> Georges et <strong>de</strong> Maxime.<br />

Lucienne prononçait lentement<br />

Gest vrai, messieurs, voilà bien <strong>de</strong>s<br />

jours que nous ne vous avons vus ici, vous,<br />

nos premier, omis !<br />

Ainalia ajouta en souriant.<br />

/I faut donc que mon père aille l'011é<br />

elmrcher ?<br />

ten<strong>de</strong>, fUrieux, prit M. Fernan<strong>de</strong>s par ie<br />

bras et l'entralna ad, le jardin.<br />

ôtais qu'avez-vous fait, mon ami ?...<br />

C'est <strong>de</strong> la folie...<br />

C'est <strong>de</strong> la sagesse, répondit tranquillement<br />

M. Fernan<strong>de</strong>t.<br />

Nous ramener ces jeunes gens dans un<br />

moment aussi décisif !<br />

licol bien &use <strong>de</strong> cela que je les al<br />

amen..<br />

r-lellenlent, V01.1, voulez omis faire<br />

orriver ove' eux eh, les Ravageur ?<br />

Si je ne les forças pas d nous va.-<br />

François .bondit .jusqu'aux appariements<br />

boire treuvaient Isabelle .et le rimrquis.<br />

Par pitié 1 Sibylle vous entend.<br />

La complet silane, sleenna au bruit, isabelle<br />

rejoRmit ton beau-père & Gille dans<br />

la pie. ou ils l'attendart. /Mn <strong>de</strong> Yolan<strong>de</strong>.<br />

arroYê ou M'as d!) Fra-offrir.<br />

se dirimu vers /a en, o Chriélielà palem<br />

l'attendrit. Sa grossesse ,asaneee rendait<br />

les émotions d:Inger...es. In instant,<br />

<strong>de</strong>vant l'expression navrée <strong>de</strong>s beaux yeux<br />

si donc, il g oublia lui-même<br />

Vous souffrez ? Pauvre ! mous<br />

soulier pas dû venir. Mais votés êtes une<br />

âme mierricordieuse, VOn5.<br />

lin sanglot titi étreignit la gorge.<br />

François, ramenes-la au salon, elle ne<br />

tient plus <strong>de</strong>bout.<br />

/I beisa la petite main tremblante qui se<br />

tendait vers lm, le posa sur le bras au munivies<br />

et <strong>de</strong>seendit l'escalier, ouillant peur<br />

toujours la <strong>de</strong>meure <strong>de</strong> ses<br />

eu selon Sibylle se pi','.,Rnvenue laissa tomber<br />

sur un cenape. Elle semblait hors <strong>de</strong> la vie<br />

réelle. .1 pet. percevait-.on h l'ondulation<br />

du eorsage Ir rythme du souffle. En ses long:<br />

habits <strong>de</strong> <strong>de</strong>uil, ta fuit blancte prenait <strong>de</strong>s<br />

teintes <strong>de</strong> cire. La tète lui faisait mal. Le<br />

eceur aumi, surtout le coeur. Oh ! ai elle axai)<br />

pu mourir! sanglot seemia les vffileS<br />

noirs épars anime <strong>de</strong>..<br />

Calmez-vous, je vous en eoujure, dit<br />

François. Vous vous faites mal.<br />

Je gllin VeDUP ce malin, bég,aya-t-elle,<br />

poer voir si les Ire, l'enMnt me diraient<br />

la vérile.C. je douleis 00001-e, An ! cet enfant,<br />

n'ai plus besoin <strong>de</strong> le regar<strong>de</strong>r ; j ai<br />

entendit.<br />

Quoi ? <strong>de</strong>s mots.., <strong>de</strong>s mots .rolâ,...<br />

Go<strong>de</strong>froy quittait Yolan<strong>de</strong> te Yolan<strong>de</strong>, j'en<br />

suis sûr, a joué quelque erimédie, rumme<br />

en jouait uns en se disant la meitresse <strong>de</strong><br />

Christian.<br />

Christian l'aimait.<br />

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peoner ee soir, ils ne viendraient pas b cette<br />

Sepristi ! que me dites-vous lb ? fit .Leru<strong>de</strong><br />

un peu interloqué.<br />

Je dis que Maxime aime follement votre<br />

Lucienne et que Georges Lenm est passionnément.<br />

amoureux <strong>de</strong> ma chère Amalie.<br />

Bah ! <strong>de</strong>s amourettes, prononce Lem',<br />

Des amours sériel., profonds, reprit<br />

.M. Ferna<strong>de</strong>z. Et, si ces jeunes gens on1 sem-<br />

.) s'écerter <strong>de</strong> nous pendant qnelque, jours,<br />

rjesl par un sentiment rlo <strong>de</strong>i..., exagéré.<br />

Ils savent bien qu'ils ont, pour rivaux<br />

Lueiert et Tony Ravageur', meis, obéissant<br />

.à la reconnaissante qu'ils éprouvent pour la<br />

famille Ravageur, ils s'effarent <strong>de</strong>vant leurs<br />

amis, simplement, noblement. Je s011peOnnais<br />

Put cela ' mais ne voulant pas les interroger,<br />

eraignant.qu'ils ne refusassent <strong>de</strong> m'ouvrir<br />

Imiter' ., je me loin a:leen.) à ce bnan,<br />

garçon <strong>de</strong> lareher, qui, lui, n'avait pas les<br />

mômes motifs <strong>de</strong> discrétion. Et il m'a tout<br />

Oui, leurs désespoirs, .leurs larmes.., et leur<br />

cromage aussi !<br />

Leru<strong>de</strong> ,f mit à trentbler.<br />

Qu'ai-je fait ? murmure-LH<br />

Avec. sa nature impressionnante, ft voyait<br />

Irai d'un coup ce qu'il refusait <strong>de</strong> voir <strong>de</strong>puis<br />

<strong>de</strong>ux mois. Il /m.:mul duos extrême<br />

l'autre.<br />

J'étais done <strong>de</strong>venu fou ?... Je m'étais<br />

laissé griser per colte forte.?<br />

011 11 revint avec Fernan<strong>de</strong>z dans la maison.<br />

Regar<strong>de</strong>z. lui .dit l'Espagnol.<br />

Lllniennn Innen dans ses maing le, mains<br />

<strong>de</strong> Maxime ; et Amelia avait fait as,ec;i0<br />

Georges Lange auprès d',IM. Lareher les<br />

obm,ait mer un sourire heureux.<br />

Quand les <strong>de</strong>, vieillards rai/Ge:rent dans<br />

In maison., le journaliste leur, lança un regard<br />

comme pour .dire » Voyez- si j'avais<br />

raison l»<br />

Lucienne, regardant. fixement Maxime, lut<br />

Imm., nye° solennité r<br />

Maimieur Maxime, j'ai besoin, pour un<br />

ma rhere, lança l'artiste,<br />

ne mime pas falalement aux s <strong>de</strong>nies,<br />

quoi, je sais <strong>de</strong>s homnies...<br />

Bruçounment, 11 se détourna. Bon<br />

que son vi,alen ne IO trdhits que Sibyllin rf,.<br />

lot la réveil., d'un emor indigne <strong>de</strong> noir SU<br />

..,-%-11.,),/eiLleizr1 une passion par la raiblts,<br />

Feoute,inoi, reprit-il. Christian airp,,.<br />

Yolan<strong>de</strong>, i<strong>de</strong>s!. vrai. Mais Notan<strong>de</strong> ne M<br />

minait pas. Elle lui a <strong>de</strong>mandé e. Vous<br />

po"eraedlo humiliations. il a. relbsi;<br />

Vous-ménm me /avez avote il vous ai.'<br />

attesté sa IirlrIei0rnatm'rilo.'r'apronf<br />

donc que Yolan<strong>de</strong> atteste le contraire p n;<br />

croire Yolan<strong>de</strong> r," phis croire Christi:Ji<br />

douze, Et na dm05 eu-e<br />

pas la aléa;<br />

Peirt,t4ter., tht)'al'!tr:o<br />

& verrai.je ja,), a<br />

me <strong>de</strong>man<strong>de</strong> ai n mt pas roncier/me enam,<br />

J'ai pan<br />

é.<br />

11 ll-'o;;Id'I'lta secon<strong>de</strong> fois<br />

n'y a -vu<br />

que vous res<br />

M château<br />

resos ton., rata remarque ales. r<br />

t'Itli- ionmi',nir.isa'%'s voire père... -<br />

A l'évite.). <strong>de</strong> Pierre Garneau, le me<br />

sentit une sueur lui mouiller les cheveux.<br />

_ D'abord, roi. rUVOI/rrai.jP mn<br />

fiais <strong>de</strong> sa ml.linitu<strong>de</strong>. Non ondr aine, mec<br />

lequel i/ me censeilie Métre pru<strong>de</strong>nte, m'avatt<br />

prévenue contre nui, Mais mon amie<br />

Gille me trompait, Pierre est digne <strong>de</strong> tsaté<br />

ma contianee. /I aimait tent rien mari.<br />

L'artiste étouffa une exclarnalien d'ho,<br />

neUr.<br />

tA miterel<br />

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mu if que je voue dirai plus tard, <strong>de</strong> eônnaître<br />

toute voire pensée sur Lac an Parageur.<br />

Maxime répandit très simple/neer:g<br />

Je rennais Lucien Ravageur <strong>de</strong>puis<br />

trop peu <strong>de</strong> ternp.a pour me pmairettre <strong>de</strong> le<br />

juger ; mai, il in a mniblé qu il était bon et<br />

généreux, autan qil u't.. est beau.<br />

Puis, eune voix un peu troublée, il ais),<br />

Je <strong>de</strong>vine le motif dont vous ne me 1/32-lez<br />

pas : Lucien Ravageur est Men oigne<br />

d'étre aimé par une noble jeune MM.<br />

I.e o<strong>de</strong> pensa, ; o Brave coeur, va! » Et<br />

Or, tannes perlèrent sous ses ghOsSes palle<br />

mères.<br />

Mn la, à son loue, interrogeait Georet<br />

Lanze. Toutes /es <strong>de</strong>, avaient eu la ...te<br />

pensée : forcer Ceorges et Maxime h<br />

quer enfin leur excessive timidité.<br />

Monsieur Georges, dit Amalie, voubs<br />

vous ron.issez <strong>de</strong>puis longtemps M. Titi<br />

Ravageur. Dites-moi bien franchement 09<br />

que vous pensez do lui.<br />

Goorgo, répondit avec autant <strong>de</strong> M'II."<br />

terse que Maxilne<br />

Le plus grand éloge que je puisse voltil<br />

Dire db 'Tony, r est nue je roi t01.I.[01.1nS<br />

coMnle un Here n est bien digne d etc,<br />

aimé<br />

(A suivre)<br />

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