'Travailleurs -- - Bibliothèque de Toulouse
'Travailleurs -- - Bibliothèque de Toulouse
'Travailleurs -- - Bibliothèque de Toulouse
Create successful ePaper yourself
Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.
FEUTISLEMON DU 6 JUILLET 1011 65<br />
MOU COBSAIII1<br />
' Par Edouard DELPIT<br />
Eh regar<strong>de</strong>z-le, regar<strong>de</strong>z mon petit<br />
Chrmtian...<br />
Christ ien ?<br />
C'est, la portrait <strong>de</strong> son père.<br />
--"MISérable I<br />
tn- Isajuriez ! Que Me font vos injures ?<br />
Mi ! Si VOUS :vous figurez qu'elles m'en,<br />
sortez-vous done, et quel hm,-<br />
'ouz sortit qu'on vous fasse un<br />
signe et vous vous vautrez. Ces!. eget,.<br />
east drecieux, palme que sur <strong>de</strong>s geai<br />
<strong>de</strong> rot% sep?. on a barre, besoin<br />
<strong>de</strong> voue unir, je vons tins, parfait, !<br />
vous m'aimez O Ah ! vous avez l'infamie <strong>de</strong><br />
m'aimer, ear c'est une. infamie, convenez-en,<br />
après fout ms que je vous ai dit, Et vous vous<br />
imaginiez pent-Ilce. en me voyant scout.,<br />
vos divagations sans frémir, «elles mn<br />
tvembaient. Vrai, monsieur, pour un scélérat<br />
m., êtes encore Men nelf, <strong>de</strong> voulais m'assurs<br />
7 que Ma vengeance serait comple.g.<br />
iteSn N'OU, bravant le moue, je broient,<br />
Mfelque chose, 'Maintenant, j'en ai la coi:-<br />
Cie/Mn Elio me ravit. Débarrassez-moi <strong>de</strong><br />
vitre presence.<br />
Le marquis passa la main File son front,<br />
doutent qu'il fût bien éveillé. Mais il ne revoit<br />
pas ce non/ <strong>de</strong> Christian donné, inteeit<br />
111000 d'Isabelle par Mélissey au regist, <strong>de</strong><br />
1 et aleeiv il. François, l'intime du mort, appeli<br />
pour, serait. do parrain, tout le mer<strong>de</strong><br />
r'<br />
Reproduction interdite aux journaux nul n'ont<br />
tin truité arec MM. Calmants Léey, és/fleurs<br />
Société Anonyme à Capital variable<br />
<strong>de</strong> l'Imprimerie <strong>de</strong> la Presse et du t. Midi Socialiste » gainsianainrcomnalfin<br />
Capital s So,Ooce francs en Boo Actions<br />
N'Il 349 campli.lement libérées au vingt-<strong>de</strong>ur avril mil Hely cent onze.<br />
Emission <strong>de</strong> 500 Obligations<br />
De CENT francs au Porteur<br />
happo,tant 5 pour 100 d'Intérêt<br />
elliSel par décision <strong>de</strong> l'Assemblée générale du 22 Avril 1911,<br />
Publiée ou Bulletin Annexe du a Journal Officiel e du Huit Mai Mil neuf cent onze.<br />
Remboursables en 20 ans, à partir du 1- Juillet 1915<br />
Le coupon d'intérêt est payable chaque année, le L' Juillet.<br />
Les Souscriptions sont reçues, sans frais, tous les jeun.<br />
A la Caisse du MIDI SIMILISTE o, :438, rue Hoquetante, <strong>Toulouse</strong><br />
Les Titres sont remis en souscrivant. On peut souscrire par Correspondance.<br />
Enius<br />
perfalioneis<br />
garantie<br />
<strong>de</strong>pU;S 25 francs<br />
/vaut d'acheter vos Meubles se Para Lit<br />
1isile, les GUERRES do 11011111E6<br />
2 places<br />
DAROLLES Frères "e"<br />
45 francs<br />
51-57, budlov. <strong>de</strong> SIMMtl,<br />
Magasin d'Exposition, 21, Rue Saint-Bernard<br />
la M suivre<br />
LE MEILLEUR MARCIIE DE LA VILLE<br />
Choio considérables <strong>de</strong> Chambres à Coucher, Sulla à Manger, Glaces,<br />
Salas, Sièges, Tentures. Ganitures <strong>de</strong> themieées. etc., etc.<br />
st-<br />
OUT ACHAT PIC !ARUMS INICSE-YOUS AUX « SALUREBU NOBILIER »<br />
CONFECTION DE LUXE<br />
Puer HOMMES, GARÇONNETS, FILLETTES<br />
Inglehert Braun Grandjean Cie<br />
TAILLEURS ANGLAIS<br />
TOULOUSE -- Rue Alsace-Lorraine, 57 --,TORILOUSEO<br />
VÊTEMENTS sur MESURE (Grand tailleur)<br />
Coutils Alpaga %mente <strong>de</strong> Voyage saine et Sport:<br />
RHUM AMÉRICAIN<br />
DU O JUILLET 1911 103<br />
71:1=3M11:Z,<br />
Par Pierre SALES<br />
.1 hocha tristement. la tête ; puis,<br />
a uni. tris nat éis<br />
- tem, quo nous n'ayons pas commis<br />
une alatIVniSe aeLiOn<br />
Comment cela ?<br />
Ce& que, si nos filles n'aiment pas les<br />
fils d, niadatne Itimageur, ces jeunes gens<br />
Minent passionnément Lucienne et AMalia<br />
-- 1,1 In adorent fallemént, parbleu<br />
bien, quand un aime ainsi, prononçe<br />
ti,istemeni.61. Fernan<strong>de</strong>s, il faut avoir un<br />
4.14éelMiergie pour resmier à um refuSI<br />
XIX<br />
LE BALISES ItAVACrIll<br />
1.0IIMI<strong>de</strong>main, dès l'aube. Lerusle organi-<br />
Men 011, lui, on etelier ale couture. Il avait<br />
résolu <strong>de</strong> ne plus se laisser attrister par les<br />
raisonnements <strong>de</strong> Fornan<strong>de</strong>a ; il n'avait plus<br />
en 151e que cette phrase <strong>de</strong> Cath,ine<br />
%eux que ces enfants soient les mien.<br />
<strong>de</strong> Mon bal.<br />
répétait sans cesse r<br />
-eLibs reines. petite, ! vous enten<strong>de</strong>z, vous<br />
/serez les ruines /tu Mal.<br />
:Ft il reprochait I Fernand.. .<strong>de</strong> manquer<br />
tretrateain.<br />
- Ne craignez ne, rien, sarrebhmI lu<br />
l'-ail-i lie vo, réponds que tout marche-<br />
, admirablement.<br />
.Reproduction interdite aux }mena. Pd n'est<br />
frid nr PMU erreregioama hoo, mireur,<br />
Ca Parie<br />
averti rieur ...liement avant, le<br />
intslresse, .premier<br />
faits, autant <strong>de</strong><br />
ifun plan pteinedité. preums<br />
Il<br />
face d un maustre, et<br />
recula, tomme<br />
gagna la porte. Au Marnent<br />
dy- atteindre, la r ou dure et menlanto<br />
<strong>de</strong> 'Yolan<strong>de</strong> le rappela.<br />
Vile <strong>de</strong> vous 1, dire? pas plus<br />
que vous n'existez pour moi, r.<br />
vous n'exi. -<br />
doive pour ter<br />
Ir sema. <strong>de</strong> mes fils, por<br />
quoiqu'il<br />
totre nom.<br />
Je le lui arracherai, cria le<br />
-- Pas commo<strong>de</strong>.<br />
meut lit.<br />
Croyez-vous ? rugit Lealvilliers.<br />
bien, vous m'exhortiez timt à lueur arecjr<strong>de</strong>r<br />
ce billera ; A votre tour, regar<strong>de</strong>z.<br />
Go<strong>de</strong>froy marehe au bcreeau, saisit le nouveau-né<br />
et d'un geste <strong>de</strong> <strong>de</strong>nten, leva le<br />
bras Clergé du frêle far<strong>de</strong>au pour l'écraser<br />
al terre. Yolan<strong>de</strong> poussa un cri d'épouvante,<br />
IsehelM arcourut, suivie <strong>de</strong> Benutlouin et <strong>de</strong><br />
Mois dê.lb le marquis avait recouvré<br />
son sang-froid et rejeté avec dégoût /enfant<br />
sur /e lit,<br />
Emnortez Cshristian, commanda Yolan<strong>de</strong>,<br />
cet homme veut le tuer comme il a tué sa e<br />
P017ii éclat <strong>de</strong> rire <strong>de</strong> Go<strong>de</strong>froy rIt frissonnec<br />
r cs assistants.<br />
Ah (verdie° ! cria-t-ii, si votre emelt<br />
vous voit, madame, il don" être pris <strong>de</strong> /-<br />
Meus rémords d'avoir pu tomber jusqu'a<br />
vans. Go<strong>de</strong>froy ! sanglota Isabelle.<br />
Rassurez-vous, le ne tuerai pat votre<br />
fils, le me salirais b le toucher encore. Mais<br />
puisque vous m'axes volé men nom peur ful,<br />
in ajoute ma malédietion.<br />
Faites ! lança Yolan<strong>de</strong>,<br />
Oui je le maudis, je le maudis<br />
rv<br />
En apprenant l'a,onehement <strong>de</strong> Yolan<strong>de</strong>,<br />
Sibylle, la veuve <strong>de</strong> Christi. <strong>de</strong> Payaiprech,<br />
avait ôte singulièrement, émue. Elle<br />
s intéreseaH au neureau-né avec passion.<br />
L'Espagnol se contentait <strong>de</strong> regard., ne<br />
dirent plus une panda qui pût enrayer la<br />
joie <strong>de</strong> Leru<strong>de</strong> ; mais il evait toujours sur<br />
!es lèvres un sourire énigmatique qui agaçait<br />
le grand srulpteur.<br />
Comme s'il en savait plue long que mail<br />
murmurait Leru<strong>de</strong> en haussant les ôpaules.<br />
Le sculpteur présidait M'en un sérieux<br />
imperturbable h l'essayage <strong>de</strong>s robes.<br />
Si tous les jennes gens ne <strong>de</strong>viennent<br />
pas fous, Un vous voyant ainsi ! Xéeriait-il<br />
souvent.<br />
Mais, s'il ajoutait.:<br />
Commencer par Tony et Lucien..<br />
Lucienne l'arrêtait brusquement<br />
Pardon, mon (père ; en prononcez aucun<br />
nom. Vous avez fixe une date, atten<strong>de</strong>z I<br />
Vous oubliez donc que nous avons huit<br />
jours pour rnflécitir ? disait linerne. Amal.<br />
Et les jeunes filles s'absorbaient <strong>de</strong> nouveau<br />
dans le, plMses, les coquillai,, les relevés,<br />
les flous <strong>de</strong> <strong>de</strong>ntelle. Elles essayaient <strong>de</strong><br />
ne pas songer à l'avenir, <strong>de</strong> tromper leurs<br />
pré...eu:patio, réelles, leurs hésitations par<br />
l'activité, Pagitetion... Mais les soirées<br />
étaient tristes, sile.ieuses. Plus <strong>de</strong> .musique,<br />
plus <strong>de</strong> nallanriO3 t.,. Et même plurale continences,<br />
la oint, au moment du repos. Tin<br />
mois auparavote, elles parlaient sans cesse<br />
<strong>de</strong> ces jeunes genx, dont ellos avaient invonsciemment<br />
<strong>de</strong>viné l'amour-4 maintenant,<br />
el hm n'osaient manne rio, Pr0tistits,r louis<br />
110rna.<br />
Lo malin du 4 juillet, ô!, Fernand. était<br />
allé h Paris ; Leru<strong>de</strong> se -trouvait donc seul<br />
ince les jeunes tilles, qui essayeient Mur toil&te<br />
pour la <strong>de</strong>rnière fois. Au milieu sic la<br />
matinée, un donmslitem <strong>de</strong> madame Racegeur<br />
tamisa it Garches, pertbet rtres paquet<br />
pour chemine ties jeunes tilles avec une lettre<br />
<strong>de</strong> Catherine.<br />
Yolan<strong>de</strong> n'avai belle pas dit qu'il venait <strong>de</strong><br />
Christian ? En l'examinant, en fouillant ces<br />
traits à peine formés, il y aurait chance Py<br />
rencontrer ceux dorure père. Lite sonna,<br />
comm.dati atWler, et partit, <strong>de</strong>rrière ,Beau-<br />
*min et. Gille, un peu tourment., malgré<br />
tout, si' <strong>de</strong>mandmit el M. <strong>de</strong> Pua allure, ne<br />
la gronlerait pus. C'était. sur.i à cause<br />
<strong>de</strong>lle qu'on ne recevait plus Yobn<strong>de</strong> au cha_<br />
teau ; aller chez Yolan<strong>de</strong> risquait <strong>de</strong> paraître<br />
bizarre.<br />
Elle se iit arrêter ii la port, <strong>de</strong> la maison<br />
qMhabitait rue du Poilu-d'Amour il. Duraland,<br />
son père. Le directeur <strong>de</strong>s douanes<br />
Faccueillll comme on accueille un rayon <strong>de</strong><br />
soleil quand on a froid.<br />
Ta apportes tes félicitations, hein O un fils<br />
superbe, parait-E. Ce bavard <strong>de</strong> Mélissey<br />
m'a réveille presque au point du jour pour<br />
m'emmener I la mairie comme terrien. Sais-<br />
M none flle petit ?Ta ousine a voulu gMil<br />
s'appelât. Christian.<br />
Christian!<br />
Oui, je vois, 15 ne nie trompais pas. J'étais<br />
sile que cela te chagrinerait. Après <strong>de</strong><br />
certaines douleurs, il y a <strong>de</strong>s noms qui <strong>de</strong>viennent<br />
sacrés ; nous éprouvons le besoin<br />
<strong>de</strong> les enfouir en nons. Il semble qua les<br />
prononeer. d'autres les profanent, que,<br />
soient romme <strong>de</strong>s reliques auxquelles il est<br />
défendu <strong>de</strong> toucher. Mais. que veux-tu ? te<br />
eousine n'a pas refléelli. Elle a eu le désir <strong>de</strong><br />
rendre hommage à un parent mort, /intention<br />
était bonne.<br />
M. Duroland ne soupço...git pas M mal<br />
qu'il l'aime à sa fille. Ah ! certes. non, l'in.<br />
tention n'était pas bonne. L'outrage conténuail<br />
mi <strong>de</strong>là <strong>de</strong> ta tornlim<br />
J'y vais. dit Sibylle.<br />
(aura and la prit dans or, bras<br />
Mon trilsor, tien, aine mine qui me<br />
préoccupe. Ta jolie tigure est tirée en diable.<br />
J,' sais bien que dans ton Oint,,, var toi aussi<br />
bientôt tu vas faire comme la m'usine. Quand<br />
j'y songe, celesme produit un effet !... Ma<br />
...--onno.----....---..._.=1-........sro..<br />
iEaux<br />
bicarbonatées, salies, gazeuses<br />
I1flflU:I fil i<br />
té<br />
FoltraisSeura <strong>de</strong>s Ministêres<br />
i <strong>de</strong> le Guerre, <strong>de</strong> fa Marine, <strong>de</strong>s Colonies<br />
1<br />
%ladies /mitées avez maki po las DM Da BOOLO1/<br />
Maladie, <strong>de</strong> l'estomac, du foie, ara'intestin.<br />
rie la sesee, te paludisme cbronione, le diabète, ka *<br />
longues convalescences, rememie.<br />
0.<br />
Mtablimement ouvert toute l'année<br />
Chapelle Chemin <strong>de</strong> fer<br />
Salies-du-Salat<br />
EAUX SALÉES, les plus richement minéraliséeSdu mon<strong>de</strong>.<br />
Guérison <strong>de</strong> lymphatisme, <strong>de</strong> l's/Gunie et <strong>de</strong> la faiMesse<br />
<strong>de</strong>s Enfante,<br />
Amélioration rapi<strong>de</strong> <strong>de</strong> la scoliose..<br />
Guérison <strong>de</strong>s maladies <strong>de</strong> /a femme (Fibrânes, Métrites).<br />
Climat doux et sédatif. Ligue <strong>de</strong> Oaumaiu,ie SainkGinels,<br />
une heure et <strong>de</strong>mie do <strong>Toulouse</strong>.<br />
LES MALADIES DE LA FEMME<br />
_LE PMBIEBOINZIE '<br />
SUr cent iemrdés, i/ y en a 96 qui<br />
ont atteintes <strong>de</strong> Tumeurs, Polypes,<br />
Pibrame, et autres ex/gorger/mu.,<br />
qui gênent plus ou mo/ns la menstruation,<br />
et qui expliquent Ms Hémon<br />
rugies et les Pertes presque continueiles,<br />
auxquelles elles sont sujettes.<br />
La Femme se preoccuPe reudab.rd<br />
<strong>de</strong> ces inconvénients, puis, tout-acoup<br />
ie ventre commence a grOSsir<br />
et les malaises redoublent. Le FTHHomE se aéra-<br />
IalteirerlUiPs=hiseiU-gv'enniVereUet<br />
mala<strong>de</strong> s'ai/abri et /es pertes abondantes /a fOrcent a<br />
s'aliter presque continueflernent.<br />
QUE FAIRE?<br />
avec ia<br />
Amaltaab<br />
JOUVENCE DE L'ABBÉ SOURY<br />
qui vous guérira sûrement sans que vous ayez LeS0i11<br />
<strong>de</strong> recourir none opération dangereuSe.<br />
N'hésitea pas car il y va <strong>de</strong> votre .1110e/sachez/<strong>de</strong>n .<br />
que la JOUVENCE <strong>de</strong> l'Abbé SOURI( est composée <strong>de</strong><br />
plantes specialno sans aucun poisonelle est faire expies<br />
pi/nem/M.1r toutes les Maladies intérieures <strong>de</strong> la Femme,<br />
Métrites, Famines, Hémorragies, Peler blanches, Règles Moculières<br />
el dautomentes, Troubles <strong>de</strong> ta circulation du ne,.<br />
Acci<strong>de</strong>nts du RETOUR roue, Etourdissements, Chaleurs,<br />
00 erres, Congestion, Varice, Phlébites.<br />
11 esi bon <strong>de</strong> faire cl aque jour <strong>de</strong>s injeetiOns aVeC<br />
l'Hygiénitioe <strong>de</strong>s Danses lire, 25 la boita/.<br />
LaJouvence<strong>de</strong>l'AbbéSoury,sevend 31e.50 le flacon<br />
<strong>de</strong>nstoutes leSPharnlaeles,4 10.10 franco gare.<br />
Lel 3 flacons francoconme m.dat-poste <strong>de</strong> 10 fr. 90'<br />
mires, Pharmacie Mag. DIIMONTIEH, Roum.<br />
(Ne, et eeneeignements confi<strong>de</strong>ntiels gratis).<br />
Mes chênes enfants,<br />
e Je veux que, en soir, vous veniez ehez<br />
moi, le diadème au front, comme <strong>de</strong> véritables<br />
reines. Permettez-moi donc <strong>de</strong> vous<br />
offrir ces lai 101m, en souvenir <strong>de</strong>s heures exquises<br />
que rai paGeUls auprès <strong>de</strong> l'Ou,<br />
n Notre stnyère amie,<br />
n Catherine RAVAGEUR<br />
Elles eurent un moment. d'hésitation ; elles<br />
n'osaient pas ouvrir les écrins. Leru<strong>de</strong> n'hésite<br />
pro, lm, nt il poussa un cri <strong>de</strong> joie en<br />
voyant <strong>de</strong>ux diediam, <strong>de</strong> diamants, <strong>de</strong>us<br />
parures superbes, dont la beauté (blottit un<br />
moment Li:mienne et Amalie.<br />
Hein, petites, hein ?... s'écriait Leru<strong>de</strong><br />
uvée Iln aérant <strong>de</strong> triorm.e.<br />
Elfes souri.nl, xontemplant rua Ioe les<br />
pierres, se laissant aller à un mouvement<br />
bien pardonnable <strong>de</strong> coquetterie, liuis<br />
voulurent refuser. Pouvaient-elles Lamenter<br />
un si beau ea<strong>de</strong>au ? N'était-ce pas se lire?<br />
Mais Lero<strong>de</strong> s'emporta. /I °alma lui-même<br />
les parures <strong>de</strong>s &mins et les plaça sur le<br />
front <strong>de</strong>e jeunes filles, Puis il ,rivit ce<br />
quelques mots h Catherine<br />
). Madame,<br />
» Ce n'est pas par une simp, lettre qu'on<br />
peut VOU3 remercier. C'est <strong>de</strong> vive voix que<br />
nous vous dirons ce soir eembien nous vous<br />
aimons et vous admirons.<br />
» Votre humble serviteur,<br />
» Patrice LERTIDF »,<br />
Pendant toute le journée, le Ac ulpter ne<br />
tarit pes sur la bonté, sur la générosité <strong>de</strong><br />
la belle tira tome Ravageur.<br />
C'est men ami Fernand, (mi va être<br />
P10000 ! s écria-tell plusieurs fois. Matis que<br />
diable est-il allé faire I Paris ?<br />
ne sais pal, répondait Amatie en<br />
'baissant tes yeuy.<br />
Vers la lin <strong>de</strong> la journée, enninie Leru<strong>de</strong><br />
MbylM, mère Il me semble m que je le vois<br />
encore haute comme ca, trottinant .da, mes<br />
jambes... Tu as eu tort <strong>de</strong> venir à Boulogne.<br />
Cette m'ai, on voiture t'a toute fatiguée,<br />
L'air do la rue. rafraîchit P iront brûlent<br />
<strong>de</strong> la jeune femme. Elle traversa lentement<br />
lin ,epareit nralson <strong>de</strong> son<br />
père <strong>de</strong> l'hôtel <strong>de</strong>s Lealvilliers. La lour<strong>de</strong><br />
port, s'ortirit <strong>de</strong>vant elle sans qu'elle eût<br />
Frappé.<br />
guettais madame, dit le viens concierge.<br />
Je Pavais mie entrer cirez M. Duroland<br />
et j'étais bien sûr s'Ife, ne tar<strong>de</strong>rait<br />
pas à venir,<br />
Ma tante Isabelle cala?<br />
Mcdame trouvera tout le mon<strong>de</strong>, NI, le<br />
marquis, sen grand-pece et son oncle, M. ôtélissey,<br />
Garneau.<br />
Sibylle n'avait entendu tinttn nom, cehe<br />
<strong>de</strong> Go<strong>de</strong>froy. Sa presen.ce lui riait nn, sorte<br />
di gag,. serait-il veina s'il avait eru<br />
qu'il s'agît du fils <strong>de</strong> Christian ? Elle monta.<br />
Franeois était seul au salon. Il poussa une<br />
exclamation en l'apercevant.<br />
Voes Si je m'attendais te. Vous Mêles<br />
(pas raisonnable.<br />
ion m avait laissée à Puyalprech; j'y al<br />
ppir, Sllia venue.<br />
av. à Paya/are:dl ?<br />
Oh ! Dieu !... Mais ne parlons nes <strong>de</strong><br />
cela. Go<strong>de</strong>troy est ici. Alors ce-t bien la<br />
preuve, ne',. peu, Une Yolan<strong>de</strong> avait<br />
menti ?<br />
tin bruit <strong>de</strong> porte, violemment projetees<br />
arriva jusqu'a eux, DrU hnprecetions montaient<br />
sonores, flagellantes.<br />
Ala! dit,-elle, j'ai op trop tôt.<br />
Elle courut hors du salon, s'arrêta aus<br />
marches <strong>de</strong> l'escalier. Tétait maintenant la<br />
noiX <strong>de</strong> sa tante IsaibelM<br />
Retirez votre maledietion, Go<strong>de</strong>froy.<br />
N.. Du fond du :cur je maudis ce<br />
bâtard.<br />
Gest doue noalu, &est donc vrai ! bal.<br />
butta Sibylle, s'écroulant sur les meiehee.<br />
bihI<br />
el I<br />
navette tous tes MePf redis <strong>de</strong> 9 h. à à<br />
/0 h. du soir au aie. du PART/ SCcIALIST<br />
26. boulevard <strong>de</strong> Stem Ste.<br />
bourg, à TOULOUSE,<br />
.bourg,<br />
ABONNEMENT A LA<br />
d...rages mis 1,55155ECatalogue à la alla'<br />
position <strong>de</strong>s Abonnés<br />
HISTOIRE<br />
La iegpublique d, 1848 (A Re.<br />
nard).<br />
/g Le . Second Empire (Albert<br />
Tboroash<br />
lu, La Guerre franco-allenain<strong>de</strong><br />
et ia Commune 10. Jaurès et L. Du.<br />
bre..<br />
12 La Troisième Républigaelohn<br />
Labusquinre et 1 Jaurès).<br />
Histoire anecdotique du Tra.<br />
von (A. Thom.).<br />
IR, La 15smisients<br />
Pans 116001Mara),<br />
Histoire du Socialisme Banrats<br />
(Pau/ Louis/.<br />
17. Menetres (Purs ComInunard<br />
le. Allemane).<br />
e. CONGRES<br />
,103, ÉlinsPlis rendu du &mores,<br />
Salle Wagram (<strong>de</strong>oembro 1399).<br />
105. Compte rendu du Congrès <strong>de</strong><br />
Commentry (septembre 19021.<br />
107. Compte rendu du Congrès <strong>de</strong><br />
Reims (septembre 1903).<br />
109. Compte rendît du Congrès<br />
<strong>de</strong>s Elle municipe. (Janvier 1904)<br />
Famiare rendu <strong>de</strong> Congrès 4e0<br />
gate.dtaand (sepomers 1905).<br />
173. Ootnedv rendu du 3me Con.<br />
ores <strong>de</strong> 41 Coopérer. seelatHie.<br />
lia, compte rendu du PIM banal.,<br />
national d, la Hoopéletion. sa.<br />
ciatiere.<br />
hi,,Co...Pie rendu du urne Con.<br />
* la Coopérait. 00.<br />
9.4,:e.ReaslAnat<br />
176. Compte rendu do. Grue Con.<br />
grés omionad <strong>de</strong>-Sa COOpénnni. so.<br />
céalitte.<br />
ETUDES ECONON1QUES<br />
ET POLITIQUES<br />
001,L'apprenSissage (Pierre Mizon).<br />
202, ami pole:toue et morale<br />
Qui. Gues<strong>de</strong>). es<br />
dorinroo<br />
.200. Mut, <strong>de</strong> tir philosophie<br />
(Kers Marx).<br />
KG. Essai o.* la propriAlé (Tarbonne.).<br />
2t11, Le Cegeito2 <strong>de</strong> Earl Mare (Ga.<br />
brin Devilley<br />
ce Produit intégrai du Tes.<br />
rien ém Manger),<br />
L'Etat soelatiee (A. Mener).<br />
lof. Action éoeintiee (d. Jaurès).<br />
209. La eue tragique rira Travail.<br />
Heurs IL-55. tionneM,<br />
110. Le Socialiene d Cancer (G.<br />
Sonars242.Les bonnet thèses da Socialisme.<br />
21v. Q11.1tre ans <strong>de</strong> tulle rie classe<br />
an<strong>de</strong>s Gues<strong>de</strong>).<br />
. MS. ItgaMé Sociale (Jérôme S-<br />
em).<br />
217. La Question agraire (Compêremorel).<br />
r 2'1 RPP"t<br />
a Bourse toope lettre d'Albi.<br />
Lisez le « Midi Socialiste »<br />
Organe du Proletariat<br />
célébrait pour la centième fois les qualités<br />
<strong>de</strong> Catherine, il t'air/Ma tout bouleverse en<br />
voyant Maxime Herbert et Georges Lacaze<br />
traverser le jardin ; Amalie dit alors en rou<br />
gement<br />
crois que mon père a prié ces messieurs<br />
<strong>de</strong> venir dîner aujourd'hui à ta Maison.<br />
Lermile culas mouvement <strong>de</strong> colère et<br />
reçut ires brusquement les <strong>de</strong>ux<br />
Vous 0,10 dune, vous ?... Il omit: pu plus <strong>de</strong><br />
qiiinze jours qu'on ne vous a vus !...<br />
.Au rrntme instent, Fernan<strong>de</strong>z parut dans<br />
Pernbrau sre Je la :porte avec le journaliste<br />
Lamber, et dit tranquillement :<br />
Excusez-moi, voisin, j'ai pris la liberté<br />
Or ramener ces messieurs ace, moi. 110 dinevont<br />
ici et nous partirons tous ensemble.<br />
pour nous rendre chez madaine Ravageur.<br />
l'ai pensé gue nous nous trouverions un peu<br />
dépaysés dans cette gran<strong>de</strong> fête, si no,<br />
n'avions pas quelques amis autour clonant,<br />
Leru<strong>de</strong> ne l'écoulait pas ; il était tout saisi<br />
par l'émotion qui avait sen, Lucienne et<br />
Amelia h la vue <strong>de</strong> Georges et <strong>de</strong> Maxime.<br />
Lucienne prononçait lentement<br />
Gest vrai, messieurs, voilà bien <strong>de</strong>s<br />
jours que nous ne vous avons vus ici, vous,<br />
nos premier, omis !<br />
Ainalia ajouta en souriant.<br />
/I faut donc que mon père aille l'011é<br />
elmrcher ?<br />
ten<strong>de</strong>, fUrieux, prit M. Fernan<strong>de</strong>s par ie<br />
bras et l'entralna ad, le jardin.<br />
ôtais qu'avez-vous fait, mon ami ?...<br />
C'est <strong>de</strong> la folie...<br />
C'est <strong>de</strong> la sagesse, répondit tranquillement<br />
M. Fernan<strong>de</strong>t.<br />
Nous ramener ces jeunes gens dans un<br />
moment aussi décisif !<br />
licol bien &use <strong>de</strong> cela que je les al<br />
amen..<br />
r-lellenlent, V01.1, voulez omis faire<br />
orriver ove' eux eh, les Ravageur ?<br />
Si je ne les forças pas d nous va.-<br />
François .bondit .jusqu'aux appariements<br />
boire treuvaient Isabelle .et le rimrquis.<br />
Par pitié 1 Sibylle vous entend.<br />
La complet silane, sleenna au bruit, isabelle<br />
rejoRmit ton beau-père & Gille dans<br />
la pie. ou ils l'attendart. /Mn <strong>de</strong> Yolan<strong>de</strong>.<br />
arroYê ou M'as d!) Fra-offrir.<br />
se dirimu vers /a en, o Chriélielà palem<br />
l'attendrit. Sa grossesse ,asaneee rendait<br />
les émotions d:Inger...es. In instant,<br />
<strong>de</strong>vant l'expression navrée <strong>de</strong>s beaux yeux<br />
si donc, il g oublia lui-même<br />
Vous souffrez ? Pauvre ! mous<br />
soulier pas dû venir. Mais votés êtes une<br />
âme mierricordieuse, VOn5.<br />
lin sanglot titi étreignit la gorge.<br />
François, ramenes-la au salon, elle ne<br />
tient plus <strong>de</strong>bout.<br />
/I beisa la petite main tremblante qui se<br />
tendait vers lm, le posa sur le bras au munivies<br />
et <strong>de</strong>seendit l'escalier, ouillant peur<br />
toujours la <strong>de</strong>meure <strong>de</strong> ses<br />
eu selon Sibylle se pi','.,Rnvenue laissa tomber<br />
sur un cenape. Elle semblait hors <strong>de</strong> la vie<br />
réelle. .1 pet. percevait-.on h l'ondulation<br />
du eorsage Ir rythme du souffle. En ses long:<br />
habits <strong>de</strong> <strong>de</strong>uil, ta fuit blancte prenait <strong>de</strong>s<br />
teintes <strong>de</strong> cire. La tète lui faisait mal. Le<br />
eceur aumi, surtout le coeur. Oh ! ai elle axai)<br />
pu mourir! sanglot seemia les vffileS<br />
noirs épars anime <strong>de</strong>..<br />
Calmez-vous, je vous en eoujure, dit<br />
François. Vous vous faites mal.<br />
Je gllin VeDUP ce malin, bég,aya-t-elle,<br />
poer voir si les Ire, l'enMnt me diraient<br />
la vérile.C. je douleis 00001-e, An ! cet enfant,<br />
n'ai plus besoin <strong>de</strong> le regar<strong>de</strong>r ; j ai<br />
entendit.<br />
Quoi ? <strong>de</strong>s mots.., <strong>de</strong>s mots .rolâ,...<br />
Go<strong>de</strong>froy quittait Yolan<strong>de</strong> te Yolan<strong>de</strong>, j'en<br />
suis sûr, a joué quelque erimédie, rumme<br />
en jouait uns en se disant la meitresse <strong>de</strong><br />
Christian.<br />
Christian l'aimait.<br />
Prix défiant toute Concurrence<br />
Facilités <strong>de</strong> Paie rot<br />
Les Bicyclettes L<br />
MODELES 1911<br />
Sont les plus Rigi<strong>de</strong>s<br />
Sont les plus Roulantes<br />
Sont les plus Elégoirtes<br />
Voir /es divers Modèles<br />
10, Boulevard Carnot, TOULOUSE<br />
G. MIQUEL<br />
THOMSON » 3' » - 1' » - 3' » -- Gros: BAIFOT, <strong>Toulouse</strong> TOUTES MAISONS D'ALIMENTATION RHUM AMÉRICAIN<br />
<strong>Bibliothèque</strong> municipale <strong>de</strong> <strong>Toulouse</strong> - Tous droits réservés<br />
peoner ee soir, ils ne viendraient pas b cette<br />
Sepristi ! que me dites-vous lb ? fit .Leru<strong>de</strong><br />
un peu interloqué.<br />
Je dis que Maxime aime follement votre<br />
Lucienne et que Georges Lenm est passionnément.<br />
amoureux <strong>de</strong> ma chère Amalie.<br />
Bah ! <strong>de</strong>s amourettes, prononce Lem',<br />
Des amours sériel., profonds, reprit<br />
.M. Ferna<strong>de</strong>z. Et, si ces jeunes gens on1 sem-<br />
.) s'écerter <strong>de</strong> nous pendant qnelque, jours,<br />
rjesl par un sentiment rlo <strong>de</strong>i..., exagéré.<br />
Ils savent bien qu'ils ont, pour rivaux<br />
Lueiert et Tony Ravageur', meis, obéissant<br />
.à la reconnaissante qu'ils éprouvent pour la<br />
famille Ravageur, ils s'effarent <strong>de</strong>vant leurs<br />
amis, simplement, noblement. Je s011peOnnais<br />
Put cela ' mais ne voulant pas les interroger,<br />
eraignant.qu'ils ne refusassent <strong>de</strong> m'ouvrir<br />
Imiter' ., je me loin a:leen.) à ce bnan,<br />
garçon <strong>de</strong> lareher, qui, lui, n'avait pas les<br />
mômes motifs <strong>de</strong> discrétion. Et il m'a tout<br />
Oui, leurs désespoirs, .leurs larmes.., et leur<br />
cromage aussi !<br />
Leru<strong>de</strong> ,f mit à trentbler.<br />
Qu'ai-je fait ? murmure-LH<br />
Avec. sa nature impressionnante, ft voyait<br />
Irai d'un coup ce qu'il refusait <strong>de</strong> voir <strong>de</strong>puis<br />
<strong>de</strong>ux mois. Il /m.:mul duos extrême<br />
l'autre.<br />
J'étais done <strong>de</strong>venu fou ?... Je m'étais<br />
laissé griser per colte forte.?<br />
011 11 revint avec Fernan<strong>de</strong>z dans la maison.<br />
Regar<strong>de</strong>z. lui .dit l'Espagnol.<br />
Lllniennn Innen dans ses maing le, mains<br />
<strong>de</strong> Maxime ; et Amelia avait fait as,ec;i0<br />
Georges Lange auprès d',IM. Lareher les<br />
obm,ait mer un sourire heureux.<br />
Quand les <strong>de</strong>, vieillards rai/Ge:rent dans<br />
In maison., le journaliste leur, lança un regard<br />
comme pour .dire » Voyez- si j'avais<br />
raison l»<br />
Lucienne, regardant. fixement Maxime, lut<br />
Imm., nye° solennité r<br />
Maimieur Maxime, j'ai besoin, pour un<br />
ma rhere, lança l'artiste,<br />
ne mime pas falalement aux s <strong>de</strong>nies,<br />
quoi, je sais <strong>de</strong>s homnies...<br />
Bruçounment, 11 se détourna. Bon<br />
que son vi,alen ne IO trdhits que Sibyllin rf,.<br />
lot la réveil., d'un emor indigne <strong>de</strong> noir SU<br />
..,-%-11.,),/eiLleizr1 une passion par la raiblts,<br />
Feoute,inoi, reprit-il. Christian airp,,.<br />
Yolan<strong>de</strong>, i<strong>de</strong>s!. vrai. Mais Notan<strong>de</strong> ne M<br />
minait pas. Elle lui a <strong>de</strong>mandé e. Vous<br />
po"eraedlo humiliations. il a. relbsi;<br />
Vous-ménm me /avez avote il vous ai.'<br />
attesté sa IirlrIei0rnatm'rilo.'r'apronf<br />
donc que Yolan<strong>de</strong> atteste le contraire p n;<br />
croire Yolan<strong>de</strong> r," phis croire Christi:Ji<br />
douze, Et na dm05 eu-e<br />
pas la aléa;<br />
Peirt,t4ter., tht)'al'!tr:o<br />
& verrai.je ja,), a<br />
me <strong>de</strong>man<strong>de</strong> ai n mt pas roncier/me enam,<br />
J'ai pan<br />
é.<br />
11 ll-'o;;Id'I'lta secon<strong>de</strong> fois<br />
n'y a -vu<br />
que vous res<br />
M château<br />
resos ton., rata remarque ales. r<br />
t'Itli- ionmi',nir.isa'%'s voire père... -<br />
A l'évite.). <strong>de</strong> Pierre Garneau, le me<br />
sentit une sueur lui mouiller les cheveux.<br />
_ D'abord, roi. rUVOI/rrai.jP mn<br />
fiais <strong>de</strong> sa ml.linitu<strong>de</strong>. Non ondr aine, mec<br />
lequel i/ me censeilie Métre pru<strong>de</strong>nte, m'avatt<br />
prévenue contre nui, Mais mon amie<br />
Gille me trompait, Pierre est digne <strong>de</strong> tsaté<br />
ma contianee. /I aimait tent rien mari.<br />
L'artiste étouffa une exclarnalien d'ho,<br />
neUr.<br />
tA miterel<br />
_Pni4I.ea1<br />
AU PETIT PÉRIS<br />
TOUOLSE f6, Raeilsacelorraine, 16 TOMME<br />
MISE EN VENTE DES<br />
Sol<strong>de</strong>s <strong>de</strong> Pin<strong>de</strong> Saison<br />
Avec RABAIS <strong>de</strong> 30 à 80 "j,<br />
Sur tous les Arti-cles Défraîchis<br />
ou susceptibles <strong>de</strong> se démo<strong>de</strong>r<br />
Ml`NIP°W-mose'spNIP+11,1cruaagpaguraetteSji.a0.-ver-apip/aariiii»<br />
Chapellerie <strong>de</strong>s -6-8<br />
Laplus Importante<br />
leHIPON fi<strong>de</strong>lQUE DE 1100E5<br />
n6 LI amen<br />
vaA<br />
ND HALOS<br />
e tlierseiot<br />
Ch. BURT IN<br />
nnSMIEn. MlAgnE9<br />
Frange*,<br />
et Anglaises<br />
BLOWEAPTIM<br />
tura/sur<br />
,<br />
,u, Roa Alsace-Lorroae 8, TOULOUSE mea.<br />
oureau rayon, Gr.d Choix <strong>de</strong> Parapluies r t frd 95, G fr. 95, 10 fr. 95, 15 Ir<br />
d'em Iiirtordinvire astutiiprit à Eligtiox dama? mâle<br />
!CULES - SIÈGES - GLACES<br />
Pritiques par la Consécutive<br />
LA FRATERNELLE <strong>de</strong> Robastens<br />
MAISON SUCCURSALE<br />
7, avenue <strong>de</strong> Carmaux, ALBI<br />
&rail HURDOfilSTBRIll MODEM<br />
Plare ne La Vielle/ Mn ot rue <strong>de</strong> Clef/use, il<br />
ral fere In Mogateri Aie Capitole, Tgalétise<br />
Assortiment erg Palmer,.<br />
Pharin<strong>de</strong>e. Bandage; Ceintures, ait a<br />
arire,. 'Pro/teillent <strong>de</strong> toutes r, nialali par<br />
les plant,.<br />
Défetsse eu Justice<br />
S'adresser, BOUSQUET, défenseur. 12, rue<br />
Travailleurs Socialistes<br />
SfEffeilDIQUÉS<br />
Prévenu vos fournisseurs <strong>de</strong> Capesal<br />
que, désormais, VOLIS n'accepterez plue que<br />
Ses chapeaux nortmt la marque <strong>de</strong> I.<br />
Prolerarienne<br />
Chapellerie Ouvrière inspéraza<br />
LISEZ ET COITES LIRE<br />
LE e 511111 SOCIALISTE<br />
« THOMSON »<br />
mu if que je voue dirai plus tard, <strong>de</strong> eônnaître<br />
toute voire pensée sur Lac an Parageur.<br />
Maxime répandit très simple/neer:g<br />
Je rennais Lucien Ravageur <strong>de</strong>puis<br />
trop peu <strong>de</strong> ternp.a pour me pmairettre <strong>de</strong> le<br />
juger ; mai, il in a mniblé qu il était bon et<br />
généreux, autan qil u't.. est beau.<br />
Puis, eune voix un peu troublée, il ais),<br />
Je <strong>de</strong>vine le motif dont vous ne me 1/32-lez<br />
pas : Lucien Ravageur est Men oigne<br />
d'étre aimé par une noble jeune MM.<br />
I.e o<strong>de</strong> pensa, ; o Brave coeur, va! » Et<br />
Or, tannes perlèrent sous ses ghOsSes palle<br />
mères.<br />
Mn la, à son loue, interrogeait Georet<br />
Lanze. Toutes /es <strong>de</strong>, avaient eu la ...te<br />
pensée : forcer Ceorges et Maxime h<br />
quer enfin leur excessive timidité.<br />
Monsieur Georges, dit Amalie, voubs<br />
vous ron.issez <strong>de</strong>puis longtemps M. Titi<br />
Ravageur. Dites-moi bien franchement 09<br />
que vous pensez do lui.<br />
Goorgo, répondit avec autant <strong>de</strong> M'II."<br />
terse que Maxilne<br />
Le plus grand éloge que je puisse voltil<br />
Dire db 'Tony, r est nue je roi t01.I.[01.1nS<br />
coMnle un Here n est bien digne d etc,<br />
aimé<br />
(A suivre)<br />
et3Efidi<br />
ScociA.1,1s-r.-à<br />
I'. 1TiTciiI<br />
eet<br />
t componé paru,, Cri&P.<br />
d'ouvriers syndigné<br />
---<br />
componé tarmac/line,/ linotypes MeaoLunute<br />
lmp <strong>de</strong> la Presse, au, rue Roquelainelmllones<br />
Le gérant: sexe=<br />
î