'Travailleurs -- - Bibliothèque de Toulouse

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Travailleurs Socialistes
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Mire trie faisait une 'e' Pour la :Mose
du monde la phis nault Mie. Figurez-vous
que je suis aile muin lare le pied de
un à arroarooe. guettant l'ouverture des
nuneaut, p.tant contre nef animal de._
uhdErteore un interr./Mit doucement 00-
defroy.
Il avait entendu! sapristi !
Je dizain
sh Anie Voue (dier allé à la mairie..
Pour la ri,' ciaration à l'état civil. .e
oh Ah !
Et lorbelle 'prétend_
Que vous am. ardiripe sur mes droits ?
Eh !mon cher nnele, ma heile-men' araison,
comme li ajou". fiai, 11 010 pnohahle que
vous aviez. on matif pour... ni annihiler, et
re moi« doit dire oximIlent.
MOI :sien balbutia, tout, interdit
----Je n'ai fait qu'obéir à la Volonté de Yolande.
m'en doutais, articula M. de Idalvil-
Godefray 1., mon arni supplia Isabelle,
Vous le voyez, sfiadamp, jn ne me fâche
pmu'tant. venn aver foutes Ie3
Primes d'un amour ulcéré, mais profond,
' Léalv c-céninemait à segreller de
netre pas réide art :hier. Il se sentait ers
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. en prie, ne parâmes pas d'argente
rare pas de prix pour les vert-
s d'art. surtout aura
in prix inestimable, puisqu'elle
ces deux charmanten jeunes
ma femme me parle dan; toutes
ot que je ne connais que par ces
Eernandez s'inclinèrent.
oant. de parler d'elles, reprit Ra-
. :mettez-moi de vous rmnercier
s que vous avez bien voulu Pm-
., ma remme pour la
décoration de
noir è bolsi. Je suis eertain que vous nous
incaschef-d'euvre
rayonnait. Et il &luta en "mercis-Merda
chaleureux bersque Ravageur ajou-
/ Jes veux que, désormais, vous considéma
ilememe comme ta V600,
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disait ditja t g Ge sera la
o.
dem 'iii de Lucienne. a Catherine,
noyant traites les difficultés
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o pa° ri dans On
moment de
niante
Thd
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i'cotai,,, En ees
fur, n'aie ons qua approu-
, les femmes.
l'rpr.oif tem vnterege mas »urne.* gal
par tort Mite lin Mg. CannUna Let y, Mit
Rare,
hullp à une animosité sournoise, méchants
CAs hurla, 011yalpreo I, la fer'me avertis avant
lui, out mimai de 1,1 roi la l'o., rie il maritiraient
partispais de tre le rouipier que
taros la nrimmie ois l'on ne pou.« as. dispenser.
Ale. que faisailsil là ?
En autre incident le mit, mir ses gardes.
Ce fut l'arrivée de Français. Ce.M., si mode
qu'un'hii tenait de prea all IsoUr depuis
récent effondrement de sono;, c'était bien
Cet être loyal, généreux, penche en frare sur
sa douleur, frappé lru-même, suais s'oubliant
Pa. tenter de le ...miter. Cependant qu'estce
qui l'a nenni sous un toit où il était plutôt
l'ennemi ? Car François «aimait pas Yolande
et Yolande ..voit souvent ,déelarie qu'il
lui était insiippertab.. Là encore, Oecrefroy
devinait ime machinai. contre lui.
Il semblait, d'aillenrsque Francois eût
une arriere-pensée identique.
suis, à coup sûr, tries flatté,
dit-il, moto., p l'avoue. encore plus surpris
de tant dihonnour. Eire ...mué eorrune
membre de !a famille peau- ! Est-ce vous qui
moudz envoyé eller... ?
Na,, murmura Isabelle, aussi surprise
évidemmenl que l'artis/r.
Depuis .derniéee bévue, puisque, parait-
«, bévue il y avait, Unirent Aléli.ey «en
rnenait pas large. Une OCCO-0011 s'offrait de
rentrer en gra", il la saisit aux cheveux.
ces/ moi qui .t'ai envoyé (chercher, dit-il
â François.
Encore lait cria Isabelle.
Allons! aurait-ne été une seconde bévue ?
Mais certainement, sur l'ordre de Yolande.
Il était entendu entre nous deux
que.
o bernent fait_
dourement à l'épaule
de -l'artiste -:
Mûe ami. peut-être vaut-il mieux que
VOUA Aoyez ici.
A enup Me. cela vaut mieux, ponctua
l'intruigent the/. même
Ira o','.. puisque YAlande veut François
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---Je n'aurai, pas Dut un choix meilleur;
replat. ln marquis si Seseib
Ifitin Mot, Irealvilfiors
indiquait la
Coa ; sur rion on ae iodait. informé 4,!: sua
avis. Il s'approialm de sa bell"mère, lus prit
la. main et la baisa, pour bien inamigner que,
s'il ne se fanait plus «illusions touchani tes
procédés do hainodont les Preuves anonriaient,
il la mettait en debors de toutes nes
combinaisons Muehee.
Isabelle fut. avertie que YObnde la demandait.
Vous permettez ? dit la patins° mère
étrangement troublée.. vais la prévenir de
voire -arrivée,- Crodefroy,.. il faut éviter de
trop brusques emotio....
quand les trois hommes furent seuls, Léalvilliem
emmena l'artiste dans, une emtorisure
de fenêtre, sans plus se s'ourler de Melisey
que gil eut été un -des meubles du na-
Ion. Line pâleur couvrait re visage dis: mar-
.
Vous ne vous étonnez pas, tionsanda-t-11,
de m'avoir trouvé dans re1te maison ?
Je ne m'étonnerai jamais. répondit-
Français, donnas trouver là où Mus appelle
le devoir.
Allons, mon ami, soyez franc. je "mimetu
une lâcheté. Rappelez-vous le5 paroles
prononcées un jour devant un mort.aVeZ-YOUS
enu ?
011! oui.
C'était un mensonge.
Ovaire tour, e croyez-vous
Dm0 fond du eue.. -
Es se lurent.
telle-mère, reprit. Léalvilliers aprFs.
un meurt silence, pense rouir. vous. Et j'ai
failli me nqAAso ronvainere par erle. Ihail-
Ptie serais-je tout à fait eonvaincu si certaines
(Moses, constatées ici depuis mon arrivée,
ne nia'vaii;nt rondo 'h mes dout... C'est
pOurquoi jê me félicitais, mon anii. de votre
pré-ornée. J'ai peur de rnoi, vone nie
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Lises et raites Lire le « Midi socialiste »
Organe du Prolétariat
-- AIl ! la chou; est bien stemm, eilt-elle.
lat mile que je "Matis Lodenne et. Amelia,
j'ai eni bien appris à les aimer que maintenant
je les aune comme deux rifles. Mes enfants
m'ont fait Mura rent/Mme" ; leur
amour s'est «Maré encore plus mile quo le
Lueien adore matleingisele Lerndo,
Tony esi fou de mademoiselle Fernand.. II
Iront done les marier.
Le rude devint tout rouge ; et, faisant un
grand geste, il s'écria o
Your ma part... Il
allait dire p J'accepte I Mari AV-in M. Fernand.
l'arrêtait. Dame voix gi'a", décidée,
il déclara
Mon cher ami, vous avez restes le droit
dorigag,er vois°, parole ; AMOS, il me semble
que orme n'avez pas eneore le droit d'engager
la:parut° de votre fille.
Catherine rut un mouvement dê dépit. Ravagent'
lui-même dévisagea furieusement cet
Espagnol que sa femme lui avait représent.
romane si doux. Fernandm continuait sans se
troubler :
Votre demande, madame, me flaire aussi
vivement qu'elle dalle mon ami Lems..
Mais, si vous av. 'déjà reçu les confidences
de vos enfants. nous tIlles ne nous ont pas encava
fait connaître le secret de- mar.
Malgre la beauté d, vas fils, malgré leur PA-
prit, malgré leur fortune, nous ne
leur don-
nerons nos enfants que si nos enfants les
aimenL
EL sri tournant yes Lerude
Ce55 bien ro que nous avons mayen.
voisin ?
doute. sana doute ! fit Lerude
peu interloqué.
Pantalon,' ,..,:::7:3"9'è %est°, ,,,,,,,,,,, ,, 7 90
, ,
Mais puisqu'ils s'aiment !
Puisqu'ils s'aiment ! s'écrièrent Catherine
cf son mari, irrit4e par la résisianre do
Fernandez.
Celuip., un peu nerveux répliqua
Qu'ers saA.-vous ? Elles ne nons m
encore rien dit qui nous permette de ni
engager I
11 n'y a qu'a les interroger, parbleu 1
fit Lertide, eu jê suis Mr...
nous leur parlerons ce solr.
apprendront de quelle demande flatteuse
Oles ont ide nobjet. Noue ne leur dirons
rien OMO, velte alliance, nous ne bot dirons
rien non plus pour la leur faire arcepfer.
Elles seront libres !
Alors, demain ? hatbutia Catherine.
Oh ! madame, demain Il faut leur
laisser le temps de renée-hic crans huit jouis
NOUS connaltrez leur réponse. Jusque-lit, rien
ne sera change dans notre °lanière de vivre...
Ou moins, tel est mou avis. N'est-ne
s le vôtre, voisin ?
PaFernandez parlait avee tmt d'autorité que
Lerude, impressionné, "pondit en babsont
les yeux
C'est alio sage, en effet, et pour le bonheur
do nes filles ed Pour celui d, 1.1'
vatherine étai/d/out° déeoritérianee'e,i main,
partir de ee moment, Fernandez et Leruct,
se montrèrent si. aimables que bientôt efie
ne vit plus dans leur façon d'agir qu'un esercs
de prudence et de délicatesse.. (Assad p
Ravage., il trouvait len observais°. de M.
Fer..or très naturelles. Il martirentalonn
Ire, rimeur", ne doutant pas «une selution
rap.ide et heureuse de leurs projets.4,,,,d
ri Fernandme avaient fait la conquête de lu-
VageUS. Lerude surtout.
-- Nous travaillerons ensemble.
Il avait meme une petit, faiblesse d'amour-propre
à la pensée que le
tiste allait pendant quelques années. ce_
sacrer hm
Lora.. vers minuit, les deux vieilliards ce
retrouvèrent seuls m'or leurs enfants, Lem,
de prit la parole d'une (nom un peu 301.-
.11. Mea enfants. asseyez-vous, 14, on face
do o.. J'ai cous faire une communication
rez /a force de me retenir d:Ms le cas ori l'épreuve,
devenant trop dure, nie ccraiioutiti.
0100 jo me do,,, à moi-Imbue.
Ab ! Godefroy, "auto vous aunes ! Au
nom., où .v. lèvre> prunouceiff des parades
-do -mertme, vos yeux resplendissent da
possioin
,
Oui. igime, 00011100 le marquis. Et idest
bien. pourquoi Sn nic "doute. ,Sans ainour,
que nie feraient, les polarités de Yolande t
1.belle vint le chercher.
entre femme omis. attend, Co-defrny.
vous suis, ma mère.
Et nef homme, que poignait la douleur, qui
rasait sentie le mordre avec pins eneuitë
chacun de sen pas dans rhert,l, se rua seul
la char.," (manne vara le port d'espéra.,
11 ne ri, souvenait. plus; ses .préventions, an,
craintes élaient »robées, il allait la vair !
- Yolande le regardait appeorher_Lui, sous
les effluves doue' beaux yeux profonds, défaillait,
/I la trouvait hart pale, amer tes
traita un peu tirés, mais si admirable ma-
M'Am ! Quand il fut près du ttl, elle abaissa
les paupières.
mous sais gré (l'être vennt, dit-elle,
maman alssure que c'est avec joie. Je ne mn
représente pas bien de hm joie daou la
constance. cee déjà beaucoup de montrer
de la bonne grume. -
TI essaya de balbutier quelques mots, rémotion
l'étranglait.
Yolande !...
M'av.-vous .amené mon Roger ?
Non, j tenais d'abord.., je ne savais st
vous auriez la force_
Lorre ? 011! je ne suis pas rine hm:mellette.
Gonsntez-vous à ce qu'on aille le
cluaicher ?
Certes.
._ Marnan, vonle,yous bien donner l'andre
?
Ehe s'exprimait." unralme. une sérénité
mervdilleuse. Lorsque Isabelle fut -ortie
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Tous devon etre tut peu nictation,
lict.it-oe :pas, de la vie de folie que je. vo.
fais mener depuig deux Mois ?... Ma. int:nig
un Gui. Je n'ai ra,, berunt de vous dire
que je préfère de beaucoup la /tonne naistenni)
intime douse, quo 50,15 avions auparavant-
Dietilernenl, noies nous étions
mon ami Fernand. e0 moi, que mus avions
(murais nive gros. erreur. Et quanti on s'atimon
gara a cernons uni) grosse erreur, 11
sol la réparer tout de suite. 41est coque
nms avons fait. Co n'est pas en vovant
deus vieux, aussi bourrus, aussi tristes, mas
nriginaux que nons. que vous pouviez
t'Ou, faire une idée du monde._ et dee
nes gons. V003 étiez tram simples, truP nuior'.
pour qu'on VOUA parlât de mariage.... Et
cependant, vous étiez 'ri nie de 00015 mariera.-
-
Luvienne et Amelia eurent un "unir Mutina«.
Ah! ah ! cela ,0113 iniSrAss, mâtines 7
Mais nom'interrompez pas. Nous avons donc
décidé,M. Fernanden 01 0001, que vous verriez
des jeunes gen..beaueoup de jeunes
'Crâ'ire?»J.-Sm4e.ierZ 'nehr Tm%°s"Zindle.Clni
1000. Il nous semble qu'après cette épreuve,
eous ne pouvez plus vous tromper, et que
celui gpe vous choisirra sera bien celui que
vims aimerez réellement._
Lucie... l'interrompit
! mon per', croyeé-vous que nous
ay.ons appris b 'aonuihionreellement tous les
jeunes hommes que vous nous avez présentée,
parce que nous les avons vus au milieu
d'un tourbillon de folies comme vous le disiez
vous-mieme ? Non I.Notre coeur est, comme
avant, tout simple. Nous n'avions pas
besoin de tout eela pour savoir ce que Mest
qu'aimer. Tout- eela ne nous a pas appris à
aimer nos pères davantage.
,Lertide fit unie grisnaced il s'attendait- h un
per, plus tfolatnOuAluArne de Fa part de. Jeu-
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---m---"r2egele*.maaninameinge
Sooi3lige
amerté tons lee maser.. de 9 b,
ln h. du "in au eiège Os PARTI SCb',1,â'41.1E.70ei.lie.,/'''
"'//'/
ABONNEMENT A. LA LECTURE
Ciltaingte des .eroges mis à ta ai.
poet,on dol ebeneêe
/Y
1
HISTOIRE
9 La Républgue 1845 (G. Re,
,e Le Second Empire (Albert
Thomas).
bet,:teL
garree
re:à.eketmL.'d't
il la Troisième RêpubliqUe(John
Lmabus,q).urere et Jaunes).
10. Histoire anecdotique du Tria.
(A. Thomas).
15. On Conainois de Parla (KU'
Ii, Histoire du Sceialisme
êuis Mau: Louis),
17. Meneees d'un Communard
Il, Alemone.
103. Compte- corda du engrés
salle Wagram (dreembre 11901.
1oa. Compte rendu du Congrès de
uommorteff peptembre 1902/.
107. Compte rendu du Congrès de
Reims 'fel:Ombre 19031.
-nes
filins.. Cependant il d'ontinlias toujaurs
Luis)! giatvement, sa eennmunieation
ne s'agit. ttne do nOus, sacrebleu!
ma', de vous ! Aujourd'hui. on a demandé à
Fernandes la main d'Amalia, et on m'a
demandé â umi celle de Lucienne.
Au grand étonnement de ',prude, Ira deux
jeunes 1111e0 ne semblèrent pas émues. Elles
diront très sinsp/ernent
Qui, mon père ?
Lerndr, vexé, s'écria
Comment ! Voua rte devin. pal?
Alais non
Eh bien, dit le sculpteur de plus en
décor:aman", ee5.1. Lucien Ravageur qui
veut Cire ton mari ' et, vous, Amal. l'OUA
ête3 aimée par son frèro Tony.
M. Fernandeo parla alors, mai, aven au-
.° tir ratine que Lerude avait montré d'enhousinsme.
C est vrai, dit-il, ces demandes nous ant
été faites aujourd'hui do la façon la plus délicate
et la plus flatteuse. Lps Ravageur ne
nous ont rnierne pas parlé de Ie. "rte.
J'ai exigé qu'on vous lais,sat huit jours de
réflexion. Nous ne vous dirons pas si nous
appnuvons ou si nous désapprouvons res
mariages. Ce que vous déciderez lame et
l'autre sera bien décidé.
Les jeunc, filles ne répondirent. rien. L'étonnement
seul sr lisait sur leur visage.
Lerude était bouleversé. Clétait, lui qui
tremblait, qui éprouvait l'émotion qui, selon
lui, aurait dO agiter Ine jeunes t-011,0, Le rua -
heureux sculpteur, dans un mouvement de
eolèce, rassa sa pipe, Alors, d'un ton furieux,
il déclara
Vous entendez bien, VOUA n'avez qu'a
dire Oui 1_ Eit
Lucien. se leva Ft vint l'embrasser avnr
une tendresse infinie. Elle s'était presque
mire sur ace genoux et murmura>:
Mon bon .père... mon cher père...
Alors, il la serra rent" 7fii d'un mouvement
brusque eg java
convie., en elle' A
f ort o aütirage... Allufs
Il obéit usarblualmient. Alm touant la
glace durm noir, elle minelocl l'autlin sur
Ies fion." qui earsadraient romrnn d'une
vapeur de lenahres l'albâtre de eu auperbo
tèle (aligné, L'effet, 00,_e 110 Peial atteadfe
elle se "ut it rom erte des flammes qu'allaniait
sa beauté dans les prunelles du mari.
Vous ne vous ennuv-ez pas trop au
Oaer ? demanda-t-elle, en ayant min de pallier
l'imbue de la demande pne le lande coquetterie
et dard.èf qu'elle affecta d'y mettre.
Comment paUrraishhie vivre ail que ce
soit sans vous ?
1101e ne .rne trompe, VOUA ne faites P21
autre chose depuis un certain teroPo
Cela ne s'appelle pas vivre, mais maori,
Vous avez Roger ! moi, j'étais seule.
Yolande, qui l'a décidé de la sorte ?
Oh Mon aber, aval oc-le, j'aurais eu /art
de ne pas prendre les
devants. C'était ma
seule chance de vous épargner le souci dame
determinal ion qui, coûtant peutdetre a
l'homme, reit néanmoins paru indispensable
au Mari.
mari en moi ne se sépare Pas Ue
Tous tês deux a/ors m'auraient
...
congé-
Jamais. non, jamais.
Ce sont choses qui se disent après coup.
Lentement, d'un petit air à la fecis ironique
et soupcoorineux, sn tète Oses:lait de
do 'lin et de gaurhe parim la dentelle des
arrillers. 170100 les lèvres midelo.s
jannin des dents. Une démence gomoit
Codefroy.
Arilande, je vous adoré.
Ne l'aPfirneez pas loup, je finirais par le
t.tis le savons que le m
0008 tsunplu.
Le marquis Se
Eu est-il une meilleure nreuVe- Vu .2
10,4=
boutilaute err Sa5 plaies.
inonde!
Qu'a ct-Aous ? nu. -
/1 espéra quelle n'a,
de Mi faire
_ H,
Oies, Mois écartons.
qui n'est pas. mus et moi. Que rInirammii
mal ignitê publique ?
__ Cous ne tenez pas à la réputa! st,
marquise do Léalvilliers
.1'y tiens. Mais jr tiens ,
ment à ma femme.
Elle eut .x yeux un éclair a
Bien vrai?
Bien vrai.
Vous me pardonnez dee
Je vous pardonne Yolande
derrière nous le passé. 'N'y tom:bons o
Nous consacrerons notre vie it nos: enta
Leur tendresse illuminera nos joue, ,
sourires purifieront noa âmes. AinSi .
reviendra le calme. Ge ne era POulmiIr,.
le bonheur parfait ; c'en sera du
Eima l'image que nos fils, s'Y Irone:oint
rant cpea am,oir têt ott tard un pareil.
Il s'était animé, ses yeux Min:relaie«
loyauté, de résolution virile, de fort,. hI.
dresse. Yolande jugea le moment S'Au.
comme vous êtes toujoure eningelie h,
eher I dit-elle d'un aerent hautain el
Vous allez. vous allez !.....Nos fils? (,
fils ? Je vous en connais un ; /. 7
étendit la main vers le berceau
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Une imprécation déchira Fair, serribm a
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sernoMe. en noyer, seerditait'e nt inanimé,
aralou, pendule, Et rlp rail mu fuit-mils. canapé.
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TouloYn:e, smart etivegeppg afforruoitia.
demeurant è ..........
deolare souserire on abnonent.t de trais atedéi!!
da0r Cou 10 juillm Salt, A Lodi/Made .........
Le "assigné pmera la somme de Ciag
centre Une anntcasaae qui lui sera prame" 0. -
tete. le /à jualet prOChnn.
Signature de liatsentan
1mêireirlex-Itu me faire 1ai p:
d aire plus gaie ? Je n'ai pas envie de OP.
let ,:1:1A:1r::/e0911:se ustr:leljLaviii
Couva,
toussait un peu, son père la "nvoya. -1
Cr: edfi'd't j'a bu as Sed7.
nuit. Dernain, nous reparlerons de /Ou"
Elle,. s'en furent, enture". Ils virent id
robes 'blanc-11os tourner autour dm insisé.,7
PAnt-etOe. On re moment, m échangeai 1'
hes rondidenees qu'elles n'as-ajont
faire aux vieillards? Puis elles 00
adieu et rentrèrent.
t dore, onmasprirzuarritt- ptuose
an
ga,m.,,,e, inesi..m er ,,imulbeimenet
tnaovoir dans I
bout du,,, heure de méditation,
ndoi ut es, _n,o/ :us, yr. tromPOI
'Le-: r'enlnbu, na' ,e'fPeu'4,l'uZee'elrill n'en'
Vous ne soiiff
u12,21, nolis nouS ne savtoan:
izidneoupr.bli,erns..natunelle:
Comptiar sur ni aYhtne t:c1:afity:Cep
Imp. de /a Poe., 15, rue 0oquelaine.j.2--,""
gerent; seinain
1

SENAT
SES»,. ifs tesitis
La romane Su Out5etu à J b. ai,, tala ta ptét,.
douer te M bttdcst
l'y tttttte rtloiaitoes .105 osdgsL dc,' ttaadaLa et
45 bitoS local sdiptr.s,
Itt SAn0Taqu lOtIS Vdttit l'EttttltiM
t!. Outil toteepolte sur te rtbotaot d'o votas
ternIes, li le fait dans titi langage qui Ors te
uupttollvto ami deu geaocden Compagates,
let raspottaobtl titi de faits Stivblabtio rsotrn.
te»t, 000 ati ettrtitjo do ter do lEtat, ma tau
g tOrrOrmrel qui, depoas des mata, latsso div
solos te satin 50, r POOt,vtsto smpvo'vo atout
lotis 'tel l'ioroos itt t' an 'r; au titi dc or pt -
occuper d'assurer la sdrUrttt des Vuqugrurs, In
tiOtavcrrest,'tot ne a,'tr'oroapo quo dà,,ur,ai L,
tO'.flttgratusn dru Olo'outaote rtnoqnt,.
2f t, otl,aetr0 des truossue liutblirci - Isa 5100m
fine la qostclln de sabotage OS javas parte tir
0505e i0200otan; cml la sabotage gai ousvo van.
ItIs aN, ,tiuirtt vaut des autos 05 000 dos ha.
5. iv,. L o rdprisaiav, dat.tl, Pool S'userrsr aoee
Ors tus satvta000a. Il persustsv la lutta sueur la
L'. 0. T,
ri. Attgugrn,vo,. - aS 00000e ntpogar le gou.
tet'eumetot s'a meuh dutavt t" danger du trou'
50e tel 000pabtrs t t ois lits Oit Iro rr050tgnt-
Otiittv noutus pour p0000vtiio tas roinirs rI 0202-
tisa; si re resoetqnrmevt taraI apport., 10 1,50'
5510005 pus 00110e ivtqo'uu 10051, mv p00 la doute
air de faire p0000plo losbte.
Voie O droite, - Quoi b Sv000 do rrohrrobtr
lis 000pObtei.
M, aliiutguuu,', - lot. Asret u domaodai' ou que
seru lcetOtiv si le stria vo nova ParOisloteal pu'
'autgaavtos; ht, 110,5002 0 0201000cv peojot do
lot apdnial.
M. Touera, - Soit pour tau iu'oo ta 000-
M. Jrteueorarr, Le goaurruemeed Cousait
les mroetrs, 51 petit bon appltquor tre arlirtos
fi rI 50 Or volte loti tes m,otstr'u te Serinant
'bu pouvoir 0000talerl tues nobtiir', le
50000 VabIto gus 020,005 l'ortooto sets do Coite
so%.les ronveottOou fout la loa des porltes pots
'birteit bOts bonn! b d,oite.t
Ilu qu000itrol du von-nI oolOtr I dIraI, tOto
lolatedtruemntttv. litron.' La 000tSéq tenir de vrllo
uoerntalitt o'rat qu'il ,t o plus 02' direv,tov'.
';r'eon t searrhtr parfond, Iav'aleosr dans b au'
Corp e tsdeottr.
01. Jetovuvrier parl orrsuite lasqoaeotrvt ev
taosor des 000tpagntos cl petilit pin la lista-
tison trou scout e 000000 scOut.
10 pOilu do lunaIre, u,. bosavelllaoaO cl O' lil,a-
rttts rO domanodo Onvt00000l lu pals vo On respect
alu droit 00 d' lu 555500, (Silo applauttioso'mrotn
b droite
Lu Suit' de la daxcvontoo 001 reavojar b col
Cl" ès-midi.
la Orante est 10500 ornaIt tu,
0020,500 tsr a'otti'ae'uatts
5.550 ocr cil vvo rtv bd b. 510, aittu la prdst-
diltt" lIc VI, bob tes,
Le dciii t orprrod ta sltvrsssioa 000m l'ialnepel-
751(05 Aeoet.
'M. Miltsstet. - L'attestas lIcol 1 est ipsaslice
anses dit prrptru ooec fluo lout,ttetd qui ru 0002'
o rote roecen I' eur001ber OdteOn.
10,025 1 000100, pacte latin te mIme arou que
5r 000201 arltemaui ovo t'ElaO pont luter pave
atu'tt s'a lait jssqo'iei pvue rr0000 In rabolage
anroroSte.
Pittal0006at cl sur lu delvuede du prts,derl
du euttrit, l'urger du jour do M. Combes, tm'
a.ltqssvt la r itoll0000 01 gootoerormrrt, oteqont
00 optttnO 51M. 000001 nO Mt tord, Cal ait t",
.afatt'ltta OC Lsaoaesiba te ocmtoatle
o :1er du tuer rat isimbeavltil
Lenduat, tire oenI 0.10 oIes dt'larabcoa du
uUSl,rsrsteetit rI ecmp0005 for toi louve avsoerr
fa represtitn ataot rupida elOdutegiquc des ut,
tes .erlstafltts de subafagr qol ou aooadcuut ente
tee 0005 forcées 01 0000' ritotamne saut ddtui te
vote dit dis000,eavso lagielstiors cvvve.tloa qui
piertsattett d'atteindre toc PeeOSOateuea touaI cl
t' flips que ara ,ssleuro, pause è l'utr do jase
LitS GttflMI%S 1115 10101% lOb L'ltttndd
00e je ritapaler 02, M. tau tilts citlttiv' t'orgaitt.
lotion Outuelle, LI suodeait Ou ru,ttdtte perpétuel
lii Parlement.
Ot. Jsimvve,re ta' 000ud,a t pas Or mdv ou d'Etot,
et. Aimfvd ddr'ad soc rapport, 55, Le 9000v't
53e Laustan le combat, p,nole,otns tu ehoptoenbt,
et attela tut love tes nOces, e000nettaat la bail'
pat itrs abeoii'a tv rio, sol aatlptro
,Otatsoc trvio b b li. tO.
t'eoobaiar dimmc.
!K PØk1TIQiJI
La R. P. et a Presse
Le Vote etc lundi ave 0.1 rt100r,tv £trrtsrar
rul te cru 002500 ti'assaaase, Tvo,'.c te,stlnaatlnti
rouop001e des serrilloes eropertifs; asuia 2000'
ttbeo si rot jamaIs 50.5015 sOit faut bien qor 0v
blason tIsait peuahm' a bdaene 31151021 duo
rstalé qso de t'aotet. laeon 55050 moetra toton
sdt di
02 Pll t
et se tovt pets t hue prepro piègr. Ils avalent
prse de la eoprdmvtadeo propvraonarUe, et pour
o Ou,r, itu tut uercett' lu ee,pndorniutlru db
ian,vovlèt, qvi cil la eaatc d'eIre al l'hoOosar
si va5èmt 000VmoO. 11e viOl tlono lotIt lu croie
fluor l'noiher. et, ototivtra o d'un otuongement 1'
Sotte, 10000 la lm000e.
Lr tluittned llùtuteetet o
on, jluron et ose olitas cul du tac rttlo
atmrodO ltcoatrultta ors rapsbttoatve antipropee'
t 000m ttluO vrttat'St' ededtiv.t b se mut r duos
roC jnoeoeao son dtutr sur la sisopettt dii 5000
,veeoudaoemrtttlrrs ,. 00 but rotait ne-
es.eaodltoOatto ,es0tCo 'p°ua
5i,tisOaS ecpu'btlrsstto dune pans p peêlee,
1110e vpOrs.mtdu, la eomt000s,on du sutteoge
nt,tVeosnl o eut.euttu leu ddclarattosn Oct repu-
151050210v peoponttosuatiaar000005tpropur0000tse
listes. et elle s oeruuou Irur n010001 1501e ut
lottreiltet lobaI dc auttottcluttrtatotdlOi'due
Eterlsttts.
Le 002000
Qu'va 'oie que la repréroutabutu des stnurttio,
e cto ts 100prtoeiulo loti are p Otto t
ra fermra, tmp000aot pesa 500) 0i paraIt dO
»ut,,Oi4aOl adroit u d9,osdauiomeel £0 qte 100
mir Peu uuraot une part du enpoecmatattiu pea'
pair nt' rlttave pars de n0100apio.
Les antierpéistOs
ru'', 5 jstttat,
Iris àétéguia 02m gocupet de gourbi ovO ru
ire 'soir sur esluotos b la 00105 du lunlvolls ilu
e ndtt erni000 ou t, ivi000er Or t'ioténirOe, où ils
,,oant croas pst ut, CailtauO.
lb. tvi 0,05 poituislt us projet qo'tle quatidtrt
de lea005tivmaosrt.
la peaaitlsoO durons,'t, uptèl aê ne lnagunscnct
panontreu Ocre las ditugoil'., lace a don obi! allai1
oatrtuae Irur projua dssa tous ors 010011».
Le Commission du »sd5et
t°oe'u, 5 jaitel.
usai qo'un l'asile iir'dit Stuc, ter geaupus 110
O butnll,0 ar .ngu etosco sojuord'bai 000e dc
caser leosu omodidato o la a'ooittti,aiourtsungéu
biriuoaiute In prujol da lui anc les qOater 0000e"
atinsO. A refus uomussuiou ours otgatrmsuO sou'
setS te proie0 do trogro it'. luta.
L'imbu titograle s oaaatrau t lilul. Pieu, Islse'
oto000 o Joan1cta M i'sactt.
'f gnaiiee déuoamstqau 'aoi,uteviecO maca
e eu Osa oaamt,rus aaeIuCOo do ver gruspa acre
ouate uodaoaOiuo quotta replIe 0051 cciii ta bod'
uneS SaISI ostur rbttideusabt. C' elSO t bitsl. sOjas,
t' arsmt. tutu, ti3Otr', 'rsv000t lu ri Ttt000eos,
tas grotir'e refi's'a o 000otget 0104. Cuchrrr,
(bek,trss, Elpetroert, P. Iloeid, lino Vtooel, Saisi
,t'eerrr, ta,timo 11,05555 .0 Nautgea,
te oeavls' 0,'totesmt,to solo a'oua MN. J. 110
vFe, 4scin, Tt'.reulsot, Sauge, T bisoet eu 1050'
p051.
1,5 du.o'a cr'.e" M. ii Hatutrt ev raupta'
M. Fail 1ères chez la Reine La OEloire des AiLes
OIoleo loua mol.... dé050oratique uaootuor. Il bail
blaeaioa',beamoer,hucn breerot5 0000CC,
par drame In naams'teE, lu 000aorl, o Ia,ttnllande
esses Ircmsgeo. Eu Il tait dru radrisus b la
pntitu prterrsira Et ton poosun dcc vivote 10
O'tl 0,tlO l't'tuodret. Putt M. DO 0010mo
s es 10 euedues. 10 grotiot e0000s du Ltuo 00e00-
10,dtt., O,'es' pso rtooaaet quO notre toirtaOre
cl estsrieur eut sur dtplaesutit de hure. 001101 ho
r:aa,d'ol asiu'ola ulsuoaée ut'Etata 1 n'Ont 0m-
bougslt pour la tllQe' ota il u viaotd br00000p du
Ctu5500 0 10 musdu de 51r,edap. Lv 00010000 bOp-
t:..lu0 o,vi,'t,O'lbi
LA LIJTTE SOCIAI.
Les crèves
55145 L SATIMENS
Or oc000r rucriilso idovd paris tiaiar o
Otartrou, b jutltob
tinuuad nuvslarr de ovo r'auuoesduu tiro teats
quortu) svesj dais paplio 5000 dru vuot000
plus huspitisl!Oi'u 011, 00 moiov alto loufait-
tond, itt vuv001 qvv dou solaires aduqavésa'
Iror' 1000v noueS cstocyéc,
(ireS 0000 .MviOumoo, o à fmatioo par jsvr l
Ores ve'u bu resvtsta dc 111005510, Svro O CO
O trolles, Croit S Atiai ub l'ue euubuuolle b
o Eea000. Plu0 prbs do evuo, 'u lioust, où te
colore doses euamrodmc val dc O la'a,srs, tir-
round pOnde pritu, Sala,, ours O te. 01 r0000te,
sa'ect-rr ptOmtoO Plt 02e voir 5,000 pu'
modique augmmnlattre do O 00. 10, uo qui
puetoesti ras 0etaierr Os t francs et 5 10. Obl
qoeiqocs_0010 la 't t . 50 celui dro uldor-
1Et°puiu tu vroorsout 000n ehorr quo lot
uvtorprenevru Ors revlrous Irs 0000tooreru'
cens ava.000geuvrmemL Pourtant a'roo leu os.
tatras quo unun dotuamou plou baul, vo oral
p0500 puoeeletu.
Lu vrestd coL nrtte'rl -0000 In dtei000
100rr t Bru000up do OrbI5!, leu g0musatairts
pour Ito nrvrtert, Gero benélloCo pour £150,
Vritb teor otul douprit.
LES (StlSVl0TOO laC ltllLju°lø
50m' dPuudalur di' Midi Oslsatialet,
'cliltuu, S jotIlrl.
'sas propusoOiOos 000 nOrOs lev patrlos 005 laI
ocr rtpousr ttaoltuutn al odocuar, Aoast, opets
tardon000, 00e mooiertaat,nuO dec poIs tmpooas'
10v o ru t,co, Ptos de trois m' le pa000000o Oui
Ootapt,0 les patrons 1irtuoea10000a et uvolaml o
000ran. 1,0 muuneuOcOn cr0 rnlvuutissot, Lev cou'
re,rrs unI décoda lu e000r155teaOutl anus. La
S.t;100cti000 Itou lot,.
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900v, 510,150,
Lus uev,aeto rite la gins tes t'irasa!'ts de
l'OuCOO.IOaSuCt'VctOt 5101, par 02 soapthits 010'
dteatt, tes mlhctatev cOl fol oumprradie aos
goestutes qs'b I se de go ou O n,as,'emeut
mtat doit ruolcb 'e 0000 les t,'aooltlarrv do 0001.
Osent, t lattaI mol ut de 0011 mcm00000i000rot,
1er eevrvdtratiott 000pueittmars poettOtttt000t pose
quc te flou sOiIcO1 0est tOib 00 sut d'ehleete la
tournOI de O hc'oerr Leo tipirra, aprrs btnto dla
- otc s'ab'adovrt putt romme ut
Oser remeot. inc lutte vomI mcnnns000llel -
u 10010 5'mtiut.
£Mus 1'Inerouootiofltife
EN SU15DE
Us look-Ont
Ctt0000 Ira et 'q 'C,,ltaofl cci t r uao, aFO et 'e'
tei'peeurvoo doua in,luattiO dot l,atim'ctto'OrI
alsoutiba,scaortstsluitt et qso Ive piinos u'
SicOIt par treteii Os, t'ptcicu Centrale don sot-
pttpriorunt1000t05000tdt de pro,.t5000C le 000L.
0,15 pea"eut, peu com,mtevereulr te Otattlet leu'
I rill(Let II Ptr6»JI1
SilEovCloW 4s TpØIn
Pv,r., S loiUvt
Leu V'ttc o0rpni.,c'uaeo-pO'o tcdt0ii de
ulOu O,ti'uo doIt' liv tA' t" qv'uuu p0055
luonuad000sptalooua rtIeoliO 01 0005 tin chu'
mtvuts oux-St000s.
Son nons nvtov ado laos sus aCOlite du S u'
't' t etc caal, "u tics sovl't,OiOO t'o' ou mu-
ltraa d ta 0'aivteea ion cjss tc 001tntaru al 000sut-
t'air,, v000 0mo 100 Saurs o' itopmrosios O- dl'
sappouhaboa et tO,'rutOer.
Oéja. ou Ireit et s ss'otc' 0' tu010tital ta
acuité useoc t du ecue5O vies001 tavoit,, ou
do' dS toue soo rrrissoL otusiut, 1Mtri onuame
lt,ar tr ooiupou 1101115, préuidml d' Is t'sOdl'
'e.t,tt,d cor' statico., Vuffuts.e'eoaaant'
Isoee,tl dénIa' t
- It laode,at dure de ta l,los'osi's'aoisoau.
uaio foi poc, talle suit_rOt tv'aio br0000 g'Oo
sen tO,'mrsS I iuovsouso inalirlaf dru ohstattmtv
tarc',mosusit!nd de poens1» rtirnno.
Pilrt,ososrebctae lu droit dr gri, r, aarlau
neeu 10 b01000eu, stria luotete, 50 00050 jaootuio.
.ohtutu.ri, Lo' nt' tttojo d'o S 'o 0t 'u sis;
boueurs parts rotes 0001Cc ta o
L'ho,omo froid qu'est d'ordttsrtr, .me.' 't 55
Tcia's uae'ao peoà1»s
li peolout',
- Vu trtuvrmvoov pas d'sillouru ulraatge que
Ira sabttesm oiruf 50e ptnttdmssae ouamq000 pcui
ta acm y oarnp.sge:e où 1m s-p o, povi s,0ui I t),
ptoo d'resoqu,o b
Ita semSbrcs prmu,bu a Obetio du faveutr auu
000es rvmpagaseu do Ioruddstéra argomeulo
Ouste' bns rébelsslrabsau r
000 p000ae éoatemoal d'bomuisa go, Ont-
nuleul flar - dooa 0v bot 00000v tuaI delum -
arurtrner Saur mort pr 'eqso e'rlsisr, tLshOOtI
000 do lento uuetorodev. te eodesatrire. te
nllautteur 00 te 050.1 un OIson, rt esnoao, nom.
1mo d',v000vntos n,obseoc, h000cous, feOsmm et
hlEi°lItO ET EIEGOL"E r
» 1000, 1m Os ont hou 0501, none 000 otto porno,
uOuu obor015cba, OtOOc 000mpuoo de bI 1011v
do slasoc,
Ont COt nraauieuat 5050O qoe le déestle-
saecl de Pcal-do-Littrolao eus b,sn dS b sise Osa'
ute0500rriavittelto, auuo on pa550tto' avute pour
Ire o,uilvit105 quI nu viol t,,u auteurs qou mt.
peis 05 degeût,
utato 000 quo ot005 or navrsoao a'nO,trr, 01051
le sou d'slouutsr rorivirsiva ra d'nnudeOor alu-
CIras- a5,o boqasl 10 edu)eio 00105 roua,rer rel
000010 o pa0000o, il 010000 useo, daso lu net,
- A r-av qui bomtotovI 055000 sopouer 50e
nom vu 00e. d000 tu rrislc OteaieO do 1000,1-do-
l'Arche, uor Pool de oespvuosbttttd. 50 pabtr uni'
rIte rolsO 4000002 t°p000 pour roua.
50 nuOl-re pas, CO 00000, 1m ugertu do ta
500, ma qoulqor 000500015 qo'do vpp000tm000ut,
qui ont do 1005 100upo. as do miououuv nappurta.
viguuté aux Oa,ob000 oumpél0000 l5c 0000staou,10a
vItro danCu;u do pui000ro '0
oN'lscoe-r000 piso sosdlquo ou p0511011 dautior
qu'ut Coulait sue lOt 050005 1,1000 niaI rohulo.
Et l'un s000root suai e00100000 som les
satmtsuru, aaoume si lviii o'd000rs pou tom PIC'
ooneu itulOI'rraés s ta boime vtarobr du s-eo'lao I
5.10 sI 10 s os somatsu, dabs 00,500 05100 hiiabo,rr,
mn prha posai qatav001 i000iurtasor ut qs'ol oao'
stnnt tsr si pviol uim'e 0s5 qu'ao simme
volt sons qui eteaageuvu le pou-.
110e entueo agilr 10 rttopoio 000010 010,0,0 d'ias
100 orS nu s000rh001 pool euoetub t
Se le dootaor b,eo bons 1 ai osuuo baoivns
qu'il p ail p rue! Ovut dus subuluors. 0005 bes
0110aaorl100 souo.sidmri, aaaa Pibo, ds 000 01'
gamoutsovo f
LE CIRCUIT EUROPEEN
Loridres-Douvres - Encore Vétirines
O
Fl,'O I,LLII SlONlSFotll5
Lundrou, S IvitIol.
Eu dtlaaiorm, u cil liberS ist'r 00 l'hossuuo
duo sanattomo du ouesoit
Cml membeo do tuai IniOrlot Mi bmiouv 1001.
ut' I, o psopn'd do roo"r us ,O,ul 500 bluOas
L'ovloteur Suinunvoat t ru'predr,
Lned laertbohtff, 50 pii'tauO ou Sraot 'u 01)1,
Dou000 rI Thom_o, uegoosaalru'o de ta par0,e
011glaisa du 0100mo, sous dittlael oucnvaa000 qvt
alu pmogosa du I'aeiut,00 ri de ta'nniOsmbit 1000
ou r,'avon s'elstssl quo bu mdnoaltuos vtoblra
d'uro sulablt de tu '001 dola PnaOvt, 54-il diO,
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55sF VOI5OIIST Fbls'COUE I
Lunstem, S julboL
lOto Oslo, lueaumout rt GurCOo uat 000sulé duo
sots la t'Séi'aoL'oust do tt01000,
L'av,ttum' ald!uio Ivall005ru Sol 01001G à 1,000
mtlrev.
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100001,, upIta ialv'cr lait mu p0000 d'osuourr
u l'u000dluoiu, rul nop001l b b b. 17 plus' 110505'
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LISa'iUItluO'lOOUS'iSici. LU EI5OP.\EIO
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OcIloim 5000a0500I sut POOS bOb, pvur 05 005510,
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1. Oeusmoct, t o. 0e 1 0, 051000. 1 h, 115 1.
Oabvtoau, à li. av. lu'; O. Ua"o, 1110, toP,
LU tLisdiEdtPOlT sUOiGt0At,
t. 00000000 sut,, S'ose"; O. lia do Ont 1m' t'.-
'Ou, 1051"' 0». do 't. 50 01, 50' a57 'S, VOoiorr,
te lu. Ut' 111 0. £05010 00 ti. 00,
.0 .0' poslie, cloaque laVe,
ce 'ai0o Cl lb"° 01 u
eau, r001etoua tbo.stiVr,', ruuL0»lt,
ti,o, 1v'thmpt' do lv roc no alt. toi uOaabbtl
Les Rentes des TravaiUeur
SACAI"ltlhOI ESAOE
o lilarOebir, a Uvltlob
L.' mpnoii,o'o , emtslrr 010.,u au P,-
L-01, JoIc' .1,100' I, .,,. 1: b050e,eOrJoi'ato
u,! lialit 00 01010 .0.1 tue 'o otdvnm,o braque,
po'aoul b Auriot, lit: e mulir, s but! 'houons,
10 000001 0515OO ' ova 10 bcu o' 00 tvoomr.
lie, o uombtu 'doc t,. 101 om, qui l,mi b1:a -
dovx jomvbc-. Lé mol 1011 lx t't Itino t 100
apréu m la qere d',bupiol,
511ES EN EBOULEMENT
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5, P 'aO,o-Ae'Mvl o. sou terou.,soupag001,
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nones (o mua tu 0000000 t lou,p5 Luivelu, 50 am,
bmkruasoe, 000m,'"é S hlsrmOlu t Pi,',' Pour,
Oh sou, lntooual'ert 05002

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FEUTISLEMON DU 6 JUILLET 1011 65
MOU COBSAIII1
' Par Edouard DELPIT
Eh regardez-le, regardez mon petit
Chrmtian...
Christ ien ?
C'est, la portrait de son père.
--"MISérable I
tn- Isajuriez ! Que Me font vos injures ?
Mi ! Si VOUS :vous figurez qu'elles m'en,
sortez-vous done, et quel hm,-
'ouz sortit qu'on vous fasse un
signe et vous vous vautrez. Ces!. eget,.
east drecieux, palme que sur des geai
de rot% sep?. on a barre, besoin
de voue unir, je vons tins, parfait, !
vous m'aimez O Ah ! vous avez l'infamie de
m'aimer, ear c'est une. infamie, convenez-en,
après fout ms que je vous ai dit, Et vous vous
imaginiez pent-Ilce. en me voyant scout.,
vos divagations sans frémir, «elles mn
tvembaient. Vrai, monsieur, pour un scélérat
m., êtes encore Men nelf, de voulais m'assurs
7 que Ma vengeance serait comple.g.
iteSn N'OU, bravant le moue, je broient,
Mfelque chose, 'Maintenant, j'en ai la coi:-
Cie/Mn Elio me ravit. Débarrassez-moi de
vitre presence.
Le marquis passa la main File son front,
doutent qu'il fût bien éveillé. Mais il ne revoit
pas ce non/ de Christian donné, inteeit
111000 d'Isabelle par Mélissey au regist, de
1 et aleeiv il. François, l'intime du mort, appeli
pour, serait. do parrain, tout le merde
r'
Reproduction interdite aux journaux nul n'ont
tin truité arec MM. Calmants Léey, és/fleurs
Société Anonyme à Capital variable
de l'Imprimerie de la Presse et du t. Midi Socialiste » gainsianainrcomnalfin
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N'Il 349 campli.lement libérées au vingt-deur avril mil Hely cent onze.
Emission de 500 Obligations
De CENT francs au Porteur
happo,tant 5 pour 100 d'Intérêt
elliSel par décision de l'Assemblée générale du 22 Avril 1911,
Publiée ou Bulletin Annexe du a Journal Officiel e du Huit Mai Mil neuf cent onze.
Remboursables en 20 ans, à partir du 1- Juillet 1915
Le coupon d'intérêt est payable chaque année, le L' Juillet.
Les Souscriptions sont reçues, sans frais, tous les jeun.
A la Caisse du MIDI SIMILISTE o, :438, rue Hoquetante, Toulouse
Les Titres sont remis en souscrivant. On peut souscrire par Correspondance.
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DU O JUILLET 1911 103
71:1=3M11:Z,
Par Pierre SALES
.1 hocha tristement. la tête ; puis,
a uni. tris nat éis
- tem, quo nous n'ayons pas commis
une alatIVniSe aeLiOn
Comment cela ?
Ce& que, si nos filles n'aiment pas les
fils d, niadatne Itimageur, ces jeunes gens
Minent passionnément Lucienne et AMalia
-- 1,1 In adorent fallemént, parbleu
bien, quand un aime ainsi, prononçe
ti,istemeni.61. Fernandes, il faut avoir un
4.14éelMiergie pour resmier à um refuSI
XIX
LE BALISES ItAVACrIll
1.0IIMIdemain, dès l'aube. Lerusle organi-
Men 011, lui, on etelier ale couture. Il avait
résolu de ne plus se laisser attrister par les
raisonnements de Fornandea ; il n'avait plus
en 151e que cette phrase de Cath,ine
%eux que ces enfants soient les mien.
de Mon bal.
répétait sans cesse r
-eLibs reines. petite, ! vous entendez, vous
/serez les ruines /tu Mal.
:Ft il reprochait I Fernand.. .de manquer
tretrateain.
- Ne craignez ne, rien, sarrebhmI lu
l'-ail-i lie vo, réponds que tout marche-
, admirablement.
.Reproduction interdite aux }mena. Pd n'est
frid nr PMU erreregioama hoo, mireur,
Ca Parie
averti rieur ...liement avant, le
intslresse, .premier
faits, autant de
ifun plan pteinedité. preums
Il
face d un maustre, et
recula, tomme
gagna la porte. Au Marnent
dy- atteindre, la r ou dure et menlanto
de 'Yolande le rappela.
Vile de vous 1, dire? pas plus
que vous n'existez pour moi, r.
vous n'exi. -
doive pour ter
Ir sema. de mes fils, por
quoiqu'il
totre nom.
Je le lui arracherai, cria le
-- Pas commode.
meut lit.
Croyez-vous ? rugit Lealvilliers.
bien, vous m'exhortiez timt à lueur arecjrder
ce billera ; A votre tour, regardez.
Godefroy marehe au bcreeau, saisit le nouveau-né
et d'un geste de denten, leva le
bras Clergé du frêle fardeau pour l'écraser
al terre. Yolande poussa un cri d'épouvante,
IsehelM arcourut, suivie de Benutlouin et de
Mois dê.lb le marquis avait recouvré
son sang-froid et rejeté avec dégoût /enfant
sur /e lit,
Emnortez Cshristian, commanda Yolande,
cet homme veut le tuer comme il a tué sa e
P017ii éclat de rire de Godefroy rIt frissonnec
r cs assistants.
Ah (verdie° ! cria-t-ii, si votre emelt
vous voit, madame, il don" être pris de /-
Meus rémords d'avoir pu tomber jusqu'a
vans. Godefroy ! sanglota Isabelle.
Rassurez-vous, le ne tuerai pat votre
fils, le me salirais b le toucher encore. Mais
puisque vous m'axes volé men nom peur ful,
in ajoute ma malédietion.
Faites ! lança Yolande,
Oui je le maudis, je le maudis
rv
En apprenant l'a,onehement de Yolande,
Sibylle, la veuve de Christi. de Payaiprech,
avait ôte singulièrement, émue. Elle
s intéreseaH au neureau-né avec passion.
L'Espagnol se contentait de regard., ne
dirent plus une panda qui pût enrayer la
joie de Lerude ; mais il evait toujours sur
!es lèvres un sourire énigmatique qui agaçait
le grand srulpteur.
Comme s'il en savait plue long que mail
murmurait Lerude en haussant les ôpaules.
Le sculpteur présidait M'en un sérieux
imperturbable h l'essayage des robes.
Si tous les jennes gens ne deviennent
pas fous, Un vous voyant ainsi ! Xéeriait-il
souvent.
Mais, s'il ajoutait.:
Commencer par Tony et Lucien..
Lucienne l'arrêtait brusquement
Pardon, mon (père ; en prononcez aucun
nom. Vous avez fixe une date, attendez I
Vous oubliez donc que nous avons huit
jours pour rnflécitir ? disait linerne. Amal.
Et les jeunes filles s'absorbaient de nouveau
dans le, plMses, les coquillai,, les relevés,
les flous de dentelle. Elles essayaient de
ne pas songer à l'avenir, de tromper leurs
pré...eu:patio, réelles, leurs hésitations par
l'activité, Pagitetion... Mais les soirées
étaient tristes, sile.ieuses. Plus de .musique,
plus de nallanriO3 t.,. Et même plurale continences,
la oint, au moment du repos. Tin
mois auparavote, elles parlaient sans cesse
de ces jeunes genx, dont ellos avaient invonsciemment
deviné l'amour-4 maintenant,
el hm n'osaient manne rio, Pr0tistits,r louis
110rna.
Lo malin du 4 juillet, ô!, Fernand. était
allé h Paris ; Lerude se -trouvait donc seul
ince les jeunes tilles, qui essayeient Mur toil&te
pour la dernière fois. Au milieu sic la
matinée, un donmslitem de madame Racegeur
tamisa it Garches, pertbet rtres paquet
pour chemine ties jeunes tilles avec une lettre
de Catherine.
Yolande n'avai belle pas dit qu'il venait de
Christian ? En l'examinant, en fouillant ces
traits à peine formés, il y aurait chance Py
rencontrer ceux dorure père. Lite sonna,
comm.dati atWler, et partit, derrière ,Beau-
*min et. Gille, un peu tourment., malgré
tout, si' demandmit el M. de Pua allure, ne
la gronlerait pus. C'était. sur.i à cause
delle qu'on ne recevait plus Yobnde au cha_
teau ; aller chez Yolande risquait de paraître
bizarre.
Elle se iit arrêter ii la port, de la maison
qMhabitait rue du Poilu-d'Amour il. Duraland,
son père. Le directeur des douanes
Faccueillll comme on accueille un rayon de
soleil quand on a froid.
Ta apportes tes félicitations, hein O un fils
superbe, parait-E. Ce bavard de Mélissey
m'a réveille presque au point du jour pour
m'emmener I la mairie comme terrien. Sais-
M none flle petit ?Ta ousine a voulu gMil
s'appelât. Christian.
Christian!
Oui, je vois, 15 ne nie trompais pas. J'étais
sile que cela te chagrinerait. Après de
certaines douleurs, il y a des noms qui deviennent
sacrés ; nous éprouvons le besoin
de les enfouir en nons. Il semble qua les
prononeer. d'autres les profanent, que,
soient romme des reliques auxquelles il est
défendu de toucher. Mais. que veux-tu ? te
eousine n'a pas refléelli. Elle a eu le désir de
rendre hommage à un parent mort, /intention
était bonne.
M. Duroland ne soupço...git pas M mal
qu'il l'aime à sa fille. Ah ! certes. non, l'in.
tention n'était pas bonne. L'outrage conténuail
mi delà de ta tornlim
J'y vais. dit Sibylle.
(aura and la prit dans or, bras
Mon trilsor, tien, aine mine qui me
préoccupe. Ta jolie tigure est tirée en diable.
J,' sais bien que dans ton Oint,,, var toi aussi
bientôt tu vas faire comme la m'usine. Quand
j'y songe, celesme produit un effet !... Ma
...--onno.----....---..._.=1-........sro..
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LES MALADIES DE LA FEMME
_LE PMBIEBOINZIE '
SUr cent iemrdés, i/ y en a 96 qui
ont atteintes de Tumeurs, Polypes,
Pibrame, et autres ex/gorger/mu.,
qui gênent plus ou mo/ns la menstruation,
et qui expliquent Ms Hémon
rugies et les Pertes presque continueiles,
auxquelles elles sont sujettes.
La Femme se preoccuPe reudab.rd
de ces inconvénients, puis, tout-acoup
ie ventre commence a grOSsir
et les malaises redoublent. Le FTHHomE se aéra-
IalteirerlUiPs=hiseiU-gv'enniVereUet
malade s'ai/abri et /es pertes abondantes /a fOrcent a
s'aliter presque continueflernent.
QUE FAIRE?
avec ia
Amaltaab
JOUVENCE DE L'ABBÉ SOURY
qui vous guérira sûrement sans que vous ayez LeS0i11
de recourir none opération dangereuSe.
N'hésitea pas car il y va de votre .1110e/sachez/den .
que la JOUVENCE de l'Abbé SOURI( est composée de
plantes specialno sans aucun poisonelle est faire expies
pi/nem/M.1r toutes les Maladies intérieures de la Femme,
Métrites, Famines, Hémorragies, Peler blanches, Règles Moculières
el dautomentes, Troubles de ta circulation du ne,.
Accidents du RETOUR roue, Etourdissements, Chaleurs,
00 erres, Congestion, Varice, Phlébites.
11 esi bon de faire cl aque jour des injeetiOns aVeC
l'Hygiénitioe des Danses lire, 25 la boita/.
LaJouvencedel'AbbéSoury,sevend 31e.50 le flacon
denstoutes leSPharnlaeles,4 10.10 franco gare.
Lel 3 flacons francoconme m.dat-poste de 10 fr. 90'
mires, Pharmacie Mag. DIIMONTIEH, Roum.
(Ne, et eeneeignements confidentiels gratis).
Mes chênes enfants,
e Je veux que, en soir, vous veniez ehez
moi, le diadème au front, comme de véritables
reines. Permettez-moi donc de vous
offrir ces lai 101m, en souvenir des heures exquises
que rai paGeUls auprès de l'Ou,
n Notre stnyère amie,
n Catherine RAVAGEUR
Elles eurent un moment. d'hésitation ; elles
n'osaient pas ouvrir les écrins. Lerude n'hésite
pro, lm, nt il poussa un cri de joie en
voyant deux diediam, de diamants, deus
parures superbes, dont la beauté (blottit un
moment Li:mienne et Amalie.
Hein, petites, hein ?... s'écriait Lerude
uvée Iln aérant de triorm.e.
Elfes souri.nl, xontemplant rua Ioe les
pierres, se laissant aller à un mouvement
bien pardonnable de coquetterie, liuis
voulurent refuser. Pouvaient-elles Lamenter
un si beau eadeau ? N'était-ce pas se lire?
Mais Lerode s'emporta. /I °alma lui-même
les parures des &mins et les plaça sur le
front dee jeunes filles, Puis il ,rivit ce
quelques mots h Catherine
). Madame,
» Ce n'est pas par une simp, lettre qu'on
peut VOU3 remercier. C'est de vive voix que
nous vous dirons ce soir eembien nous vous
aimons et vous admirons.
» Votre humble serviteur,
» Patrice LERTIDF »,
Pendant toute le journée, le Ac ulpter ne
tarit pes sur la bonté, sur la générosité de
la belle tira tome Ravageur.
C'est men ami Fernand, (mi va être
P10000 ! s écria-tell plusieurs fois. Matis que
diable est-il allé faire I Paris ?
ne sais pal, répondait Amatie en
'baissant tes yeuy.
Vers la lin de la journée, enninie Lerude
MbylM, mère Il me semble m que je le vois
encore haute comme ca, trottinant .da, mes
jambes... Tu as eu tort de venir à Boulogne.
Cette m'ai, on voiture t'a toute fatiguée,
L'air do la rue. rafraîchit P iront brûlent
de la jeune femme. Elle traversa lentement
lin ,epareit nralson de son
père de l'hôtel des Lealvilliers. La lourde
port, s'ortirit devant elle sans qu'elle eût
Frappé.
guettais madame, dit le viens concierge.
Je Pavais mie entrer cirez M. Duroland
et j'étais bien sûr s'Ife, ne tarderait
pas à venir,
Ma tante Isabelle cala?
Mcdame trouvera tout le monde, NI, le
marquis, sen grand-pece et son oncle, M. ôtélissey,
Garneau.
Sibylle n'avait entendu tinttn nom, cehe
de Godefroy. Sa presen.ce lui riait nn, sorte
di gag,. serait-il veina s'il avait eru
qu'il s'agît du fils de Christian ? Elle monta.
Franeois était seul au salon. Il poussa une
exclamation en l'apercevant.
Voes Si je m'attendais te. Vous Mêles
(pas raisonnable.
ion m avait laissée à Puyalprech; j'y al
ppir, Sllia venue.
av. à Paya/are:dl ?
Oh ! Dieu !... Mais ne parlons nes de
cela. Godetroy est ici. Alors ce-t bien la
preuve, ne',. peu, Une Yolande avait
menti ?
tin bruit de porte, violemment projetees
arriva jusqu'a eux, DrU hnprecetions montaient
sonores, flagellantes.
Ala! dit,-elle, j'ai op trop tôt.
Elle courut hors du salon, s'arrêta aus
marches de l'escalier. Tétait maintenant la
noiX de sa tante IsaibelM
Retirez votre maledietion, Godefroy.
N.. Du fond du :cur je maudis ce
bâtard.
Gest doue noalu, &est donc vrai ! bal.
butta Sibylle, s'écroulant sur les meiehee.
bihI
el I
navette tous tes MePf redis de 9 h. à à
/0 h. du soir au aie. du PART/ SCcIALIST
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HISTOIRE
La iegpublique d, 1848 (A Re.
nard).
/g Le . Second Empire (Albert
Tboroash
lu, La Guerre franco-allenainde
et ia Commune 10. Jaurès et L. Du.
bre..
12 La Troisième Républigaelohn
Labusquinre et 1 Jaurès).
Histoire anecdotique du Tra.
von (A. Thom.).
IR, La 15smisients
Pans 116001Mara),
Histoire du Socialisme Banrats
(Pau/ Louis/.
17. Menetres (Purs ComInunard
le. Allemane).
e. CONGRES
,103, ÉlinsPlis rendu du &mores,
Salle Wagram (deoembro 1399).
105. Compte rendu du Congrès de
Commentry (septembre 19021.
107. Compte rendu du Congrès de
Reims (septembre 1903).
109. Compte rendît du Congrès
des Elle municipe. (Janvier 1904)
Famiare rendu de Congrès 4e0
gate.dtaand (sepomers 1905).
173. Ootnedv rendu du 3me Con.
ores de 41 Coopérer. seelatHie.
lia, compte rendu du PIM banal.,
national d, la Hoopéletion. sa.
ciatiere.
hi,,Co...Pie rendu du urne Con.
* la Coopérait. 00.
9.4,:e.ReaslAnat
176. Compte rendu do. Grue Con.
grés omionad de-Sa COOpénnni. so.
céalitte.
ETUDES ECONON1QUES
ET POLITIQUES
001,L'apprenSissage (Pierre Mizon).
202, ami pole:toue et morale
Qui. Guesde). es
dorinroo
.200. Mut, de tir philosophie
(Kers Marx).
KG. Essai o.* la propriAlé (Tarbonne.).
2t11, Le Cegeito2 de Earl Mare (Ga.
brin Devilley
ce Produit intégrai du Tes.
rien ém Manger),
L'Etat soelatiee (A. Mener).
lof. Action éoeintiee (d. Jaurès).
209. La eue tragique rira Travail.
Heurs IL-55. tionneM,
110. Le Socialiene d Cancer (G.
Sonars242.Les bonnet thèses da Socialisme.
21v. Q11.1tre ans de tulle rie classe
andes Guesde).
. MS. ItgaMé Sociale (Jérôme S-
em).
217. La Question agraire (Compêremorel).
r 2'1 RPP"t
a Bourse toope lettre d'Albi.
Lisez le « Midi Socialiste »
Organe du Proletariat
célébrait pour la centième fois les qualités
de Catherine, il t'air/Ma tout bouleverse en
voyant Maxime Herbert et Georges Lacaze
traverser le jardin ; Amalie dit alors en rou
gement
crois que mon père a prié ces messieurs
de venir dîner aujourd'hui à ta Maison.
Lermile culas mouvement de colère et
reçut ires brusquement les deux
Vous 0,10 dune, vous ?... Il omit: pu plus de
qiiinze jours qu'on ne vous a vus !...
.Au rrntme instent, Fernandez parut dans
Pernbrau sre Je la :porte avec le journaliste
Lamber, et dit tranquillement :
Excusez-moi, voisin, j'ai pris la liberté
Or ramener ces messieurs ace, moi. 110 dinevont
ici et nous partirons tous ensemble.
pour nous rendre chez madaine Ravageur.
l'ai pensé gue nous nous trouverions un peu
dépaysés dans cette grande fête, si no,
n'avions pas quelques amis autour clonant,
Lerude ne l'écoulait pas ; il était tout saisi
par l'émotion qui avait sen, Lucienne et
Amelia h la vue de Georges et de Maxime.
Lucienne prononçait lentement
Gest vrai, messieurs, voilà bien des
jours que nous ne vous avons vus ici, vous,
nos premier, omis !
Ainalia ajouta en souriant.
/I faut donc que mon père aille l'011é
elmrcher ?
tende, fUrieux, prit M. Fernandes par ie
bras et l'entralna ad, le jardin.
ôtais qu'avez-vous fait, mon ami ?...
C'est de la folie...
C'est de la sagesse, répondit tranquillement
M. Fernandet.
Nous ramener ces jeunes gens dans un
moment aussi décisif !
licol bien &use de cela que je les al
amen..
r-lellenlent, V01.1, voulez omis faire
orriver ove' eux eh, les Ravageur ?
Si je ne les forças pas d nous va.-
François .bondit .jusqu'aux appariements
boire treuvaient Isabelle .et le rimrquis.
Par pitié 1 Sibylle vous entend.
La complet silane, sleenna au bruit, isabelle
rejoRmit ton beau-père & Gille dans
la pie. ou ils l'attendart. /Mn de Yolande.
arroYê ou M'as d!) Fra-offrir.
se dirimu vers /a en, o Chriélielà palem
l'attendrit. Sa grossesse ,asaneee rendait
les émotions d:Inger...es. In instant,
devant l'expression navrée des beaux yeux
si donc, il g oublia lui-même
Vous souffrez ? Pauvre ! mous
soulier pas dû venir. Mais votés êtes une
âme mierricordieuse, VOn5.
lin sanglot titi étreignit la gorge.
François, ramenes-la au salon, elle ne
tient plus debout.
/I beisa la petite main tremblante qui se
tendait vers lm, le posa sur le bras au munivies
et deseendit l'escalier, ouillant peur
toujours la demeure de ses
eu selon Sibylle se pi','.,Rnvenue laissa tomber
sur un cenape. Elle semblait hors de la vie
réelle. .1 pet. percevait-.on h l'ondulation
du eorsage Ir rythme du souffle. En ses long:
habits de deuil, ta fuit blancte prenait des
teintes de cire. La tète lui faisait mal. Le
eceur aumi, surtout le coeur. Oh ! ai elle axai)
pu mourir! sanglot seemia les vffileS
noirs épars anime de..
Calmez-vous, je vous en eoujure, dit
François. Vous vous faites mal.
Je gllin VeDUP ce malin, bég,aya-t-elle,
poer voir si les Ire, l'enMnt me diraient
la vérile.C. je douleis 00001-e, An ! cet enfant,
n'ai plus besoin de le regarder ; j ai
entendit.
Quoi ? des mots.., des mots .rolâ,...
Godefroy quittait Yolande te Yolande, j'en
suis sûr, a joué quelque erimédie, rumme
en jouait uns en se disant la meitresse de
Christian.
Christian l'aimait.
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peoner ee soir, ils ne viendraient pas b cette
Sepristi ! que me dites-vous lb ? fit .Lerude
un peu interloqué.
Je dis que Maxime aime follement votre
Lucienne et que Georges Lenm est passionnément.
amoureux de ma chère Amalie.
Bah ! des amourettes, prononce Lem',
Des amours sériel., profonds, reprit
.M. Fernadez. Et, si ces jeunes gens on1 sem-
.) s'écerter de nous pendant qnelque, jours,
rjesl par un sentiment rlo dei..., exagéré.
Ils savent bien qu'ils ont, pour rivaux
Lueiert et Tony Ravageur', meis, obéissant
.à la reconnaissante qu'ils éprouvent pour la
famille Ravageur, ils s'effarent devant leurs
amis, simplement, noblement. Je s011peOnnais
Put cela ' mais ne voulant pas les interroger,
eraignant.qu'ils ne refusassent de m'ouvrir
Imiter' ., je me loin a:leen.) à ce bnan,
garçon de lareher, qui, lui, n'avait pas les
mômes motifs de discrétion. Et il m'a tout
Oui, leurs désespoirs, .leurs larmes.., et leur
cromage aussi !
Lerude ,f mit à trentbler.
Qu'ai-je fait ? murmure-LH
Avec. sa nature impressionnante, ft voyait
Irai d'un coup ce qu'il refusait de voir depuis
deux mois. Il /m.:mul duos extrême
l'autre.
J'étais done devenu fou ?... Je m'étais
laissé griser per colte forte.?
011 11 revint avec Fernandez dans la maison.
Regardez. lui .dit l'Espagnol.
Lllniennn Innen dans ses maing le, mains
de Maxime ; et Amelia avait fait as,ec;i0
Georges Lange auprès d',IM. Lareher les
obm,ait mer un sourire heureux.
Quand les de, vieillards rai/Ge:rent dans
In maison., le journaliste leur, lança un regard
comme pour .dire » Voyez- si j'avais
raison l»
Lucienne, regardant. fixement Maxime, lut
Imm., nye° solennité r
Maimieur Maxime, j'ai besoin, pour un
ma rhere, lança l'artiste,
ne mime pas falalement aux s denies,
quoi, je sais des homnies...
Bruçounment, 11 se détourna. Bon
que son vi,alen ne IO trdhits que Sibyllin rf,.
lot la réveil., d'un emor indigne de noir SU
..,-%-11.,),/eiLleizr1 une passion par la raiblts,
Feoute,inoi, reprit-il. Christian airp,,.
Yolande, ides!. vrai. Mais Notande ne M
minait pas. Elle lui a demandé e. Vous
po"eraedlo humiliations. il a. relbsi;
Vous-ménm me /avez avote il vous ai.'
attesté sa IirlrIei0rnatm'rilo.'r'apronf
donc que Yolande atteste le contraire p n;
croire Yolande r," phis croire Christi:Ji
douze, Et na dm05 eu-e
pas la aléa;
Peirt,t4ter., tht)'al'!tr:o
& verrai.je ja,), a
me demande ai n mt pas roncier/me enam,
J'ai pan
é.
11 ll-'o;;Id'I'lta seconde fois
n'y a -vu
que vous res
M château
resos ton., rata remarque ales. r
t'Itli- ionmi',nir.isa'%'s voire père... -
A l'évite.). de Pierre Garneau, le me
sentit une sueur lui mouiller les cheveux.
_ D'abord, roi. rUVOI/rrai.jP mn
fiais de sa ml.linitude. Non ondr aine, mec
lequel i/ me censeilie Métre prudente, m'avatt
prévenue contre nui, Mais mon amie
Gille me trompait, Pierre est digne de tsaté
ma contianee. /I aimait tent rien mari.
L'artiste étouffa une exclarnalien d'ho,
neUr.
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LE e 511111 SOCIALISTE
« THOMSON »
mu if que je voue dirai plus tard, de eônnaître
toute voire pensée sur Lac an Parageur.
Maxime répandit très simple/neer:g
Je rennais Lucien Ravageur depuis
trop peu de ternp.a pour me pmairettre de le
juger ; mai, il in a mniblé qu il était bon et
généreux, autan qil u't.. est beau.
Puis, eune voix un peu troublée, il ais),
Je devine le motif dont vous ne me 1/32-lez
pas : Lucien Ravageur est Men oigne
d'étre aimé par une noble jeune MM.
I.e ode pensa, ; o Brave coeur, va! » Et
Or, tannes perlèrent sous ses ghOsSes palle
mères.
Mn la, à son loue, interrogeait Georet
Lanze. Toutes /es de, avaient eu la ...te
pensée : forcer Ceorges et Maxime h
quer enfin leur excessive timidité.
Monsieur Georges, dit Amalie, voubs
vous ron.issez depuis longtemps M. Titi
Ravageur. Dites-moi bien franchement 09
que vous pensez do lui.
Goorgo, répondit avec autant de M'II."
terse que Maxilne
Le plus grand éloge que je puisse voltil
Dire db 'Tony, r est nue je roi t01.I.[01.1nS
coMnle un Here n est bien digne d etc,
aimé
(A suivre)
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