1.es Notions votées - Bibliothèque de Toulouse

sEiziEmE ANNEE. N 4.9.35 

ABONNEMENTS 

ose. 12 fr. mois 22 fr. an 45 fr. 

1.es Notions votées 

au Congrès Socialiste 

Les eimonstances ont fait du Parti socialiste 

l'unimie Parti derpoosition corme 

tante et dealaséra au Bloc Natinned. 

En toute matière elles ont justifié ses 

campagnes critiques et vérifié l'exectilaide 

des prenesùions positives que lui 

inspirait la théerle ou la pensée socialiste. 

Ayant seul lett& ayant seul prévm 

!Brant reert sektions renfermes 

bien général, possédant seul, dans sa 

Nnehme, nne rèo'e de vérité ,i llarme 

fer guide.. se sentant seul cohérent et 1 

trA1411 

daserien groupen rets elMtés et 

En tas le Pu so cialime se Leclerc 

"'t à 

.11^lte 

et à animer la bataille 

la réaction. 

aemènera s forms cette bataille avec le Plein 

r Ar em prenant toute les me- 

Zea ce/ms/ses:4, par Ins circonstendes 

i-lutriafirter à remua:ni les noces les plu: 

"lm Mais il entend l'amener. sous 

, 

À 

SOCIALISTE 

Rédaction et Admira...ion eiÇS, Rue Roqueleins - TOULOUSE ,Tel 0-43 C9.P. Clemtes p.uOssss t is-rs 

BUREAUX A PARLa 46. Kne 1m Trévsse. 46 (IX' Arreasiissesast) Lgiipisene ih. 36-to 

NOUVELLE AGITATION -- NOUVELLES GRÈVES -- NOUVEAUX DÉPARTS DE CHEMINOTS 

S l'Union de Vienne qui le précédera. 

Il renvoie à net Conseil National convoqué 

l'étude des propositions qui seront 

mises à l'ordre du jour et la désignation 

de ses délégués, 

etsio ivti Pa-0 C in cmfhy vlagpqdés 

La C. A. P. a mandat. jusqu a cette 

époque, de prendre /es mesures réacsmin, 

pour particiner à /a préparation 

du Congrès Interratonal, 

Le Parti socialiste reste pénétré de la 

corviction que cette réorganisation in' 

terrationale, poursuivie de-s toute la 

mesure où elle est compatible avec la 

distribution actuelle des forces prolétarienres, 

reste le plus sû. moyen de prévenir 

ou de rnaltnses les menaces de 

guerre qui pèsent de plus en plus gravraie, 

sur le monde. 

Le Parti sent assurément J'urgente necerriite, 

de barrer le cours d'événements 

redoutables dont vol ne pourrait prévoir 

et mesurer les consémrances. I/ ne veet 

négliger, aucun moyen efficace pour cette 

ceuvae de sabit. Il adhérera notamment 

A tom les efforts tentées pour utiliser à 

cette fin celle des instirmiems 

existantes cuti incarne de la façon la 

moins imparfaite la conscience //nives- 

sus 

Ir./req'tel, elle ne s'est ',cannée que d'In. 

secengs4.es. Ota d,ne Yen/P.-ha 

cete.c"'eseo" des r'en""^» 

Ino.nelle l'apotieotton treité de Verno,11ee 

ecoonble de tionaer une arduférie? 

fla-ile mate,Perte esetor'sé nommerrurt 

eberes /e Iss,sde des IVnes,es 

ai elle s'en-insrati dur prnbbbne, l'étuest 

à fouet se imposait ses décie'ons eux peut 

en enraie. 

Den., 041,,l, d s,sinsIss enners,re, 

il e,4 ursi, rones bot m'est délicate. la 

eméiédeutq,mirc,,ouuofeeic,releq,ip_,,ulosl 

, des nemdese «na. et entiourd'hoi 

le de lé F-1.,,--Rlbeie est receeesé 

r et le Potos,,,, s,,isesst les 

ennubtim-es édictées à Cerese. 

Terra1eruours ....As de ln coin, taos 

' eean, mine aeol...s tete rlboassslesent les 

c,,es eo-Po eermerreent oui rendrevend 

,fes stSq-nneinsia, tenta erazy-15, *el 

n'ont ...hé/ 

A AAAs s 

fine Ld est 1As vérité. Là est 

étoile*. 

LES AFFAIRES T E LA RUHR 

-: Ce qu'en pense un Socialiste allemand :- 

I3 oolitiolle 

lee principe essentiel qui dirige la vie et 

l'action du S'asti, après iui avoir dicté sa 

condîne dans la crise la plus redoutable 

de son existence, qui constitue non set. 

lourant sa règle de conduite, mais sa cou' 

son 

ottnelirmcot inébran. 

Ishie à ladoctrinl' trae dmonnede du soma. 

hem tefie nue av./ 

définie dès avant 

long, e sxne de Congrès 

* la gua1ree u" e 

internationaux 

et nationaux. 

C est en ce sens qu d est demeuré vrai- 

sociamse unifié, unifié non 

mem m 

seulement en saison de son unité le couvert de la R. P. g juste et logole selle, c'est-à-dire la Société des Nations. 

(Correspond.cc spéciale du ri Midi 01 indimolublement liée 1, l'annulation des 

LE FILON 

et sans que le souci de la victoire in.mé- Il penm, d'ailleurs, qu'il dépend dans Voilà... Il en est du docteur R Hilfer- dettes interalliées, mais sur cette partie 

disse lui laisse porter la moindre atteinte une large mesure des Partis socialistes ding comme de beaucoup d'autres Alle- du problème, l'Allemagne Ma aucune in- 

à l'autonomie de son organisation et à eux-mêmes d'inspirer cette institution mands. Il ne paie pas de mine. Disons fluence. Mais pour le reste on peut dire 

l'intégrité de sa demeure, garanties des gouvernementale de leur esprit code rat- même qu'au premaer anmd, il est plutôt gq,unecle: AI» liés ne précimnt pas /rusa mi- 

viçtoires futures et définitives Ou Protirer de plus en plus vers leur conception antipathique I crâne rasé, mâchoire proélétariat. 

propre de l'organisation internationale. minente. aux grandes dents de carnasgu.,JeydAiesokazd.,e :if/Ltes ,à,,,H.Lfets,drinigévc.e_ 

Dès que le Parti sera fixé sur le régime Mais, de même que, sans la paix, l'Insier, il fait un peu penser à certains mas- 

des prochaines élections, ou au plus tard ternationale ne peut acquérir la gemmie ques chinois ou japonais, horribles à sion à l'étranger des .bénéfices et capi- 

avant la an de l'année 1923, un Congrès d'une existence stable et sûre, de meme, voir. Il y a beaucoup de gens, dans le taux des industriels. Voici sa réponse 

11, Conseil National sera spécialement sans l'Internationale, sans /e rapproche- temps charmant où nous sommes, qm.i, Le gouvernement allemand essaie de 

consacre a l'examen de /a tamique e rruari e g 

ayant vu cet aspect physique de I-111 er- e ro er e commerce importation e 

imalo. D'Ici là, le Parti reste régi par les représentés par loa différents partis sociading, se fient au premier réflexe et di-1 d'exportation, mais ce contrôle est tech- 

décisions des Congrès antérieurs et nolistes, il ne peut exister de paix vérin,. dan r ri C'est un Boche! » 

niquement difficile. A Gênes, nom avions 

tarnroent par la décision formelle du ble. Les risques de guerre diminueront t On comprendra que je n'aie point vos. présenté une propmition de corteôle in- 

Congrès National de novembre 1921, redans le monde à mesure que le contact là m'en tenir à des impressions aussi sons ter/ration/d. Nous nome sommes heurtée à 

prenant dans tous ses tenues la risohr des pro1étmiats sera devenu plus actif mais.. 

Iii résistance de certains pays neutres in- 

inté-1 tion de Toulouse. 

et p/us intime, pour disparaître et s a- Je savais quel rôle Hilferding avait joué téressés. » 

Et pais, ta sais, si on 'nuits nu n'as Liait 

Met n trio l'Ad, Fiançai. I s 

rieur, mais parce que, seul, il assure . Ces dévirons, dont la C. A. P. est némiti. à jan-Pis au sein du socialisme dans le parti socialiste indépendant, quels Quelle es, rimportaece de ces dé- 

laghé du Carea-d Rucha/rai 

runité avec ce 

passé glorieux qu'il con- chargée, conformément aux statuts, d'as- triomplmnt. 

travaux importants on doit à l'econopôts allemands à l'étranger? 

tin' 

. 

et parce que réelle des for surer rexécntion dans l'intervalle des 

miste qu'il y a en lin. Il est memnse du M. Mn'k-nna lm a évalués à un mil- slvetiseteskés-e 

ne pourra se c./amps, le réunions d.., Conseil National, gardent, ; NCLUSIONS 

Conseil économique du Reich, et c'est lion de dollars, mais je crois que c'est un sorte que l'usine travaille h 2 hauts four. 

ces prolétariennes 

se parfaire que. sur la doctrine pour mus les membres du Parti, 'eue va. 

à ce titre, mns doute, qu'il fit Partie de chiffre exagéré. 

qu'il incarne et qu'il défend. 

leur et leur form ci/géras. Le Congrès 

Telles sont les directions principalea 

veaux; l'aciérie Martin et l'aciérie Bom 

la délégation allemande à la conférence 

ines évé.iemems mtraeolinaires, nom'1 inyite tous les militants, dans la cordialité 

que les conditions actuelles de la vie et 

Hilferdirm dit que la première chme à trique mut à feu. 

de Gènes, au printemps dernier, aux cô- faire en Allemagne, ro, conbmer la cm Roderic a éteint lundi dernier un dem 

me ceux qui ont accompagné et suivi la persistame du la vie du Parti, à conser- 

de la lune prolétariennes doivent imeni. tés du pauvre. Rathenau 

guerre, on pu montrer l'insuffisance de ver le plein souci des décisions du Con- 

mer à l'activité du Parti. Deux ans d ef- 

tas:Penh, c'en' de stabiliser le mark. xième haut fourneau. 

On sait que les hôteliers de Lille, cé- Et voici des questions plus gênantes t Pour PArbed, la situation est restée sta. 

romanisation socialiste, mais l'épreuve grès ainsi rappelés, qui restent la rég> 

forts ininterrompus lui ont perds de rédant à une campagne de presse, se sont 

tionnaire. 

Crayervous, lui ai-je demandé. pue 

périlleuse à lanmele ils ont sorimis les de leur activité. Ainsi se times/seront for 

pare./ les pertes eausees par use div.sion refusés à le loger. Hilferding a lindement 

Ajoutons que nuite part des ouvriees 

idées maitresses du socialisme n'a fait tifiés et l'unité de Peson et l'efficacité de 

de ranimer, eli France et dans 

hem choses allant en s'agravant, la guerre n'ont été congédiés. 

été accueilli dans une très modeste sou- 

qu on vésifier, à nouveau, avec une évi- sen action à la fois révolutionnaire et po- surisauta'iège: 

entiere, !rasent d'unité sauta' 

économique actuelle se transforme en 

pente. chez ne camarade ouvrier, députée un ACCOIAS aux armes ett que l'Allemagne IIEGLARATION DE LOBE, 

luroe iste. Il peut aujourd'hui envisager l'endence 

éclatante, l'exactitude et l'effica- sitive. 

et cafetier, habitant dandTan des quar- se jette dans les bras de ln Reessie ? 

PRESIDENT RU RE/CIISTAM 

semble dee la situation politique avec la tiers les plus dévmtés de la vil'e. 

Ausgeschtesert I Impossible, répond 

cité. 

sérénité dc sa force pleinement recou- 

Bries/au, 5 février. 1 

Après les déclarations qu'il avait faites, 

Le président du 

I' rit 

Hilferding. La réeletance de 'a soziel-devré, 

avec une >Anguille assurance dans 

Ileohstag, Lobe, a fait, hier, au congsèo 

au rés rn e:aielli/seeja Ci"' ue sondonc bu; 

assez ému (on le serait à moine). l'ai makratie et des éléments emocrseinees socialiste maioriMire de la Silésie treciyen- 

est rémuncipmen intégrale du trama I.Ja politique ernationale m victoire prochaine. 

voulu poser à Hilesding des questions, aux revandemds et aux é/émanas militaine. les déclarations suivantes, que nous 

1 

par la semialesarMs dm meyens de mes 

En France COMMA dans le reste de ou si vous voulez, des n colles s précises. res esi suffisants nes, les tenir en ma transmet l'agence Havas t 

duction, que sen rende d'amen essentiel 

1 l'Europe, rheuredu socialisme approche, lIn récondu après quelques heures de ecce Quaet à la Rmsie, elle ne bougesa A la En de février, il y a très peu d'al- 

tout La position du Parti, en madère inter convulsions gni secouens aujour- eéflexion, en pesmt bien ses mots. que si la Pologne devient agressive. lemands qui espéreront sortir de la entas- 

L'et pl ero Frlïe, en'u ninPearrntr J ast nations>, est tout aussi clairement dic- ; d'hui le monde ne feront que hàter 

o Les socialistes étant opposés à rocou- Sm une question que ie lui ense, Hiltrophe, actuelle, tandis que /a plupart 

l'oremisaton politisera du prolétr.ariat, tée pur sa doctrine et par l'intérêt intrné- famernent de l'ordre nouveau. Le Parti patim de la Ruhr, comment croyez-vous, ferding nie qu'une miss>, militaire so- d'entre eux s'abandon.neront certainement 

en nerne terme; eu elle est /e moyen uni- 

doit se tenir prêt peur sa tâche. Il &h se ai-je demandé tout d'abord, qu; on puisse viétique soit venue de Moscou à Berlin, au désespoir. La virlation du droit par 'a 

quedu réaliser 1a transformation dm ré- 

La révolution soda> est nécessaire- tenu pret pour empareret acce/.6 sortir de la SellAh0/1 na-relie? 

la semmne derrière. 

France ayant mis fin Ais poli/igue d'exil, 

gime de la ,' 'vilo moven le pins ment un fait international. La théorie beenvs-, dee trensition nécessaire entre le Hilferding répond n ri 11 est devenu très Une question ma bret`e les lèvres. le 

mutin,, il est illusoire de fonder des espé- 

sûr de conquésir, au sein même du ré- 

montre et l'expérience a confirm1 que capitalisme défaillant et les premières difficile de trouver me solution. En Afle. crois savoir 00e 

nences sur l'Amérique et sur l'Ang/eterr. 

a ceilebov6 

gime Actuel les réformes de tout ordre 

la tranufo /notice, du régime de fis Pro- rilulitaines du sonialisme. Il se rendra magne, on croit giméralement que la 

Espérer en la Russie signifierait espérer 

à la rerraration traité susso-allernand voir se déc./nes une guerre saris chan- 

qui, en améliorant la condition des trapriété 

ne pouvait être opérée, d'une fa. digne de sa mission historique en éten- France ne cherche plus une solution éco- do Remdle ri Ce maire ne dna/vent-d ces, g l'Ouest et fi l'Est. 

vaillmes, r me/miment leur Heirêtre çon complète et durable, à l'intérieur dant chmue jour son effort de recrutenomique. mais poursuit une ne/Digue de pas des clauses militaires secrètes ? s 

phmique et moral, déve'impent par là- d'une Anion isolée et par reffort d'un ment, d'éducation, dorgennation, en en- puissance, qui consiste à détacher de 

Parlant de la politique extérieure et in. 

P1Pome Ceetaieement pas. » térienee Con-lamie, Lob5rr a déclaré que 

même lem pro ceci' d'action 

seul proletariat, 

tretenant chez tous ms militants l'ardeur, l'Allemagne des territoires qui sont d'une Muis il y A neutdildir. une autre ronge,. Prettrée- des socialisteo dans le Dain sel 

Le souinlismes tend donc à organiser 1..a.%1 et l'esprit de sacrifice qui les sui- irrortance capitale dans son écrenemie tion que le docteur Hilferding ne connait Cucu n'aurait pas fait modifier sensibletactime 

rbe Parti mcialime involutionLe est tou.1 l'ensemble du prolétaziat international 

générale, et cela pom assurer à la France 

!nen la politique de geltsi-ei. Le Cabinet 

iours claire et franche, car elle est tom 1 en un Parti de classe unierre le &soir 

une suprématie militaire et industriel> 

Louis TIMOR!). Guno, qui a lancé les pareila', de rés.- 

purs cric riront détermine./ par l'appli- de tout Parti national est de travailler 

en Europe. On° s'appuie, pour justifier 

tan. et de non-exécution, devra aussi 

cation rie sa doctrine à tri état donné de Pour son compte et dans /a mesure de 

cette opinion, 8ur es:naines révélations 

/aimer la parole Mn conduira aux négocia. 

econernicue et politique. 

ses forces à cette organisation. 

comme le rapport Darne ou les docu- Les Grèves s'élargissent lions destinetu it clore le contlit actuel. 

Fur sl 

Dans 1 mat actuel de la France et du 

oner tuus leu Pieds de L'Appel des Socialistes ments publiés à Pétrograd, montrant les LES GREVEN DE LA SARRE 

s 

monde, les intérêts immédiats du prolé- 

te de Vien le Parti a s 

tractations entre la France et la Russie, 

LA FIN DES FINS, C'EST UNE FUSION 

tariat, comme le cièveloepement ultérieur cialists de''Fra«nne a pris Aces " et 6anasel, 

en pleine guerre, au sujet de la rive gou- 

Strashicurg, 8 Mysie, L. sr/tests in- CAPITALISTE DU MINEOAI LORRAIN 

de son action de clame, unit ex-posés à puis drcearms, des 1nitiatives réiteseles. Il d la Sociele des Nations rée du Rhin Jusqu'ici, toutes les offres 

dépendants des ouvriers .mineues ont pro- ET DE LA HOUILLE DE LA IIUHR. 

clamé, ce matin, la grève dans la Moselle 

deux dangers particulièrement redouta-1 est meme pacvrnrr a remue, Pour 'étude 

faites par le gouvernement allemand en Les syndicats communistes avalent pris, Auncun indice, poursuit lente, .n'existes 

Ides. 

et la solimon comm./nes de nroblèmes 

matière de réparations ont toujours 6t6 hier, une décision analogue. 

d'après lequel un cabinet social-démocrate 

La paix est menacée par /e retour de 

capitaux.. cornaree ceux du desannement 

reportées par la France comme indiscu- 

plus en plus avemif de l'esprit milita-1 et elexrepreaties, n princimmx partia 

En occupant la Raie, /e gouvernement 

Lm pourparlers reprendront lundi. aurait plus de chance de s'entendre avec 

rnte et il-ne:étirant, Les que/ques pro-1 nuelnh,..tes cle 1 Europe. 11 donnera donc do M. Poincaré a joué sa dernière carte, 

tables. L'intervention d'une autre puise Dans la Sarre, les mines ont été occu- les Français, car le pion des reiliarations 

sance ou de la Ligue des Nations mm depécu irillitaireinent, sa. incident. de la France, avec ses propositions tendant 

grès soc1aux no politiques, si laborieuse. son plein concours à l'entreprise néces- Us mis de longs mois d se décider rnah venue très difficile. Le prestige mtional Les cheminots sarrois demandent une S rendre privés les irone/mies d'Etat. no 

ment menas -eux travailleurs, sont me-1 

saire de la &construction intereavioude. gré les imites pressantra des énergumè- 

racés par l'offensive, d'une réaction bru- 

Il n'ignore pas que cette entreprise ne-, du nationa'isme, il n'eue pas grande 

den mêle. C'est le devoir des partis so- augmentation de salaires immédiat. serait pas influencé par les socialiste. 

tale, et qui devieredrait ples inmlerte demeurera forcément 

cordia,ce en cette mesure de coercition, 

cialistes de créer trie atmesphère plus fa, 

Quand on arrivera à la fin des fins, il 

LES DREVISTES DE LA MOSELLE 

mie 

mrehevée, non 

encore ai une nouvelle erreur du suffrage a:iule/sent tant que des m.hons de 

et jussned présent tout justifie ses hésita- 

vorable à cette médiation. » 

fusion capitaliste du minerai lorrain et de 

Mets. 8 février. 

pro- 

I 

nimmel venait la confirmer dans son 

t 

tions. La kola ne doane pas. 

torepose à la théorie de Hilferding, sur 

Le nombre des gré- la houille de la Ruhr, cela nécessitera cer- 

les buta politiques ou annexionnistes de 

vistes mineur, dans la Moselle atteignait, tains gag.. Le devoir des socialistes est 

Pouvais mal mentis. 

leur devoir et de leur ime111 de .-êt. clame, Et ni M. Poircasé échoue: si la eésis, 

hier api-.-midi, 7.000. 

de faire tout ce qui est en leur pouvoir 

la France, un passage du diamma 

pr,ur que ces gages soient aïs.éo pae 

Le Parti socialiste combattra la réac- 

mais tant que des organisations proléta- tance passice de l'Allemagne, aggravée Poincaré vient de prononcer au banquet LES HAUTS,FOURNEAUX monopolisation d'un partie des val.. 

tion comme i/ combat la guerre. 

riennes de clame demeureront consti- 

de la nearteetise Potoritta de ses cheminots, des journalistes républicains, disant no- DU GRAND-DUCHE QUI SISTEIGNEPTI réelles de l'industrie rheinanom.phs. 

Il n'othlic p. tuéessus lm terrain théorique et tactique de ses ho? tionno'res se pro/once au delà 

que la République et 

tamment tri Nom ne voulons Pas Prendre Luxembourg, 3 février. La situation tienne Les socialistes devront encore lut. 

la démocratie ne ° peuvent se réaliser 

qul n pat celte du socialisme, Mais il . psectsfons que fera-ton; tQueile sens un certimètre carré d- territoire. » dans t'industrie métallurgique du Grand- ter pius qu'avant pour obtenir que let 

plairrarneet que par le socialiere st dnns 

/recueille et salue avec joie toute tenta- la situation morale et matés e e de notre A cela, Hilferding rénend en souriant Duché contMue fi étre très pets satisfai- classes industrielles participent non clud, 

maialisme luimième. Mais il défendra 

ti,vte qui seeir de nature à préparer et à Dénia? 

ei M. Poincaré a soi, de ne pas modernsante. L. arrivages de coke de Westpha. gea de, réparations. 

einem>, son Hm, comice Le parti sorbed° clorai d'apporter en- 

sa chose, les 

ner la constitution d'un Etat rhénan sir lie sont nuls, ceux en provenance d'Es- 

cialmsme 

matinzions républicaines laïques r 

et dés inZicZero're.' intégrales°- crine une sohitian d ce redocrtable pro- toton/rte, qui permettrait au capttedisme 

chweiler ot mie Belgique sont insuffisants 

roseratiques oui ont préparé dans l'ordre Et d Prendra place sans hésitation filés., Les délégués eu eatiares de Lille 

troue ter ir mamuirnie une prudnietiun Et notre répression s'accentue 

tranceis, sans annexion. de conne/a/es les norme. e correspondante aux domandno 

cuir. ne, l'oeuvre qu'il veut accomplir 

dans une organisation fondée sur les de cinq rends.), fneéressé.jes aux sépara- Industries allemandes de la mima/bernée actuelles du marché. Eu cense/prame, tes L'OCCUPATION SISLARGIT 

ba-même dans l'ordre 

enflai/ms traditionnels, groupant sans tions ont adressé d Im Société des Nattons et des nroduits calernetn. La saisie des 

le milieu 

notai, eiti m'émît 

hauts fourneaux bouehés la semelle der- Dussoldorf 8 février. 

le plus favmalsk à son action 

nulle dratinctron nIe personnes, saris nulle la requte ete ramis acons ré/mos/pif° mines fiscales et dm fo-e,. dernanialess nière n'ont pas micore été rallumé,. 

Hie a on l'occupsé 

lion de lu gare de Lenner. 

Pintes, et qui ont dès à pressent assuré pennée de polémique ou de représailles. aun-t-hoer reerein. 

nom armera> comme le premier pas dans Voici, d'après P v &Ro de l'Industrit Ainsi se trouve placée sois le contrôle 

aux travaillems cies droits et des am/ma- 

tom les Partis qui les proclarnîent et les Reepelant que le mcdreterriat Eterooe, cette nénkration useifique. r 

le mémère des haute fourneaux actuelle- français la dernière voie ferrée gel mène 

tes dont ils n'entendent pas être frustré nPPoluent des amourd hut, et demem des le mors de mars 1921. d Amsterdam, A une autre question me je lui pose, 

de la zone angli aise a la région occupée. 

s. 

Il 

remnfit dore eon devoh de socialiste rant largement ouverte à ceux qui vou- et février et ma. 1922 dam les coelésem miet dm >sentine" dlarnandes. Hil- Raidir maintient 4 hauts fourneaux à feu les Français occupent à présent toutes 

en 

poursuivant contre la réaction, repré- draient. dans l'avenir, y chercher ou y ces de Paris et de Franofort, tout récem. ferding rne rénend r s Tontes /es mono. 

(sur 61 à Digerdunge et I (sur 21 à 01- les lignes allemandes de la frontière ho/- 

/aime r1ns spécidermnt per k Bloc Naretrouver 

leur ré-ale d'action. 

I ment au criceres mendiai de 1,0 s'ilions tramactireprallles allernandes,comlandaise 

A la frontière alsacien°. 

l'rs. Terres-Rouges travaillent il 3 hauts L'occupation de 

.,oeal et par la Ligue Il décide en conséquence de 

des Grands Intérêts 

se faire ' a jormitlé ne Programme de recollent, me celle eue ô/ Bessman apporta à Lon, 

Wermelskirehen et 

fourneaux à Fouine de Bel-Val, P.ine d'Obeeratch leur permet d'entourer la 

ace/Io/niques, une lutte mes mireici Il est 

représenter au Congrès ouvrier et socia- «on, les sedolistes réerds èr ,ne décla- tires, ont tomems été Aldtameesement 

Rhénanie d'un cordon douanier sans obit- 

Pr't à associer son éfort en ce sens dans liste d, Hambourg, le 21 mai 1923, ainsi rent on lb sa,bsent la Sn'-tété des No, repoussées. Toute solution definnive est dT'Stehinfciiihr'ôtma'eteint 1 haut fourneau. de er 1. Anglais il sortir de leur attitude 

1111e Pensées de pleine indépendance réci- qu'à la Conférence des Partis adhenents tinte de confiit dont dépend ta paix du 

d'observateurs. 

r;,, , 

organisations oumonde. 

Dantre part nm troupm ont occupe 

1 Cgre,e11","1,1es dans la Confédération 

C'est à cette grande assenddee. cons- 

L'ALLEMAGNE PAIERA 

Hansen sur la lignede Lenner à Elberfield 

elles ont de plus mis la main me le centituée 

Par les repnsentents de trente nos' 

tral télégraphique de Kaiserlautern. 

''`11"*. le% Tu= derel=r:un ttrr-- 

Fluors, mies, rends le min de le résous/se. 

Par ailleurs les autorités françaises ont 

éconorniql/o et il recommande à see 

décidé de dériver, via Dusseldorf, les con- 

à ses sections et à ses adhevois 

ferroviaires à destination de /a Lois 

roV. de diriger leur activité dans cette 

raine et du Luxembourg et via Aix-la. 

Chapelle, mue destines A e/ Belgique et à 

la France. 

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés 

I S CFN't 

Nrrelsi de s Canurd bile/lainé d,. 

YENDRED1 9 FEVR1ER 1923 

DE L'ARGENT QUI REVIENT CHER 

Les douaniers français ont commence leurs operations 

,dans la Ruhr. 

Ils ont rocolté en une junte° 100 millions ne mark. 

papier. C'est-à-dire 40.000 francs. 

Mais l'oacupatton conte, en francs, plus d'un million 

par jour, 

DES CHEMINOTS REJOIGNENT 

LA RUHR 

Paris. 8 février. Un détachement de 

4500 cheminots volontaires, pris Parmi le 

personnel des réseaux français, sera acheminé 

demain vers la 1111nanle et la liuhr. 

MAIN-MISE SUR LES CHEMINS DE FER 

DU PALATINAT 

Ditsseldorf, 8 février. Les autorités 

françaises viennent de protimner la déchéance 

de /a direction des chemins de fer 

du Palatinat. 

Tous les services de ce réseau passent à 

dater d'aujourd'hui, entre les mains de la 

vous-commission des chemins de fer de 

campagne. 

Dès hier soir, des disposai.] ont été 

prise, afin que le tronc redevienne Purent 

sur tout« los ildeara de as ré..

mtiM a r. 

La Poudrerie de Toulouse 

sera enftti utilisée 

A la Chambre 

Paris, 8 février, CharacPre a conti- 

nué, aujourd'hui, la discussion sus la fa- 

brication de l'ammoniaqao synthetSq. 

la Poudrerie de Tuato.e, qui avait été 

surtorcée mardi soir. 

Aérés les diesoum chs rapporteur et de 

Vincent Auriol, prononcés avant-hier, et 

Lapputi du ministre de l'ogriculture, la 

eau. était évidemment gagnée auprès de 

la Chambre. Cepaant, aujourd'hui, quel- 

ques orateurs ont voulu exprimer leur spi 

nain. C'est ai.i que id. Enfile Vii.sot 

examine les divers procédée connais pour la 

fabrication de l'azote synthétique; il in- 

dique les i.onvenients da procède Bakr. 

Puis Il maligne que l'énumération des 

Preduits que Toulonso pourra fabriquer 

semble. d'après le rapport de M. Leducurq, 

très inmmplet 

hl. Ensile VINCENT. L aBadissehe Ara- 

lia se serait-elle dons réservée le droit de 

fabriquer certains produits ? 

id. le counnissaire du gouvernement. 

Il faut lire dans le rapport de M. Lehoneq. 

après les mots « aulfate et cbleshidrate 

d'amsioniaque «, dans la liste des engrais 

qui seront fabriqués, temeri r urée ni- 

trai. et tocs autres produit.. C'est assez 

Smpurtant. 

M. Loucheur vient soutenir le projet. 

Puis Ai. REGAI1D, rapporteur, donne 

l'avis de la oommi.von de l'armé, Le 

proses que volts discutez avait été renvoyé 

S la commission de l'armée qui a laissé 

le smuniseen des finances donner son 

avis. lan entstridtaton de l'ai niée aemande 

il la Chambra rie slintecester su procédé 

de fabrication Haber. 

. I,A DISCUSSION DES ARTICLES 

La diseassion générale est close. On 

passe à la discussion des articles. 

L'article premier est adopté sans dé- 

bat M. CHAI-11141N propose, pour l'article 2, 

l'amendement subrent 

e En vue de Vexée/lion de ladite Cana 

vention, il sera par les soins du ministre 

des finmees et dans un délai maximum 

de six timis A dater de la prionmigation 

de la présente loi créé une société ano- 

nyme a participation ouvrier°, qui fonc- 

tionnera sous les réserves ci-après spé- 

cifiées conforta...mi aux dispositims pré- 

vues par les lois des 21 juillet 1887, 

Are août 1893, 9 juillet 4902, 16 novembre 

19113, 22 novembre 1913, 26 avril 1917. s 

Cet amender.nt est adopté. 

M. LOUCHEUR propose de rédiger ainsi 

le dernier alinéa du paragraphe un de 

l'article 3 r 

e Un délai de deux mois sera accordé 

pour l'exercice de ce droit de souscription 

dans le cas oh la part d'actions attribuiez 

par préférence à une .tégorie de sous- 

eription aux actions ainsi laissées dispo- 

erite Par les ayant-drolts. Le doit de sous- 

cription aux aciens ainsi laissées tape- 

nilsks sera attribué par préférence aux 

autres catégories dans l'ordre où elles smt 

énumérées ci-dessus tune que Puisse Nue 

opposée au souscripteur la /imitation 

enoncée au paragraphe précédent. 

a Un nouveau délai de deux mois sera 

accordé pour cette souseriptian supplé- 

mentaire si à l'expiration de ces deux dei 

lais successifs de deux mois cent mille 

actions au moins n'ont pas été souscrites, 

SI aera fait amdication de l'article 12 Isis 

ci-après. Daai le cas contraire, Ion actio. 

»on souscrits» le seront par liftas. 

L'ensemble de l'article 3 ainsi modifié 

est adopté, ainsi que t'ortie> 4 et l'arti- 

cle 5 avec une légère modification de dé- 

tail proposée par M. Duval Aromld qat 

tait préciser que les quatorze membres 

du Conseil d'administration ne seront Pas 

POrteues des actions de l'Ela% mais quien 

réalité ils reprémnteront eelle-ci. 

On adopte tià article additionnel de M. 

Rocher aiusi conçu r 

« Mica° membre titi Sénat ou de la 

Chambre des députes ne pourra, pendant 

lu durée légale a, son mandat, participer 

et 111.111oe titre que ee soit à la direction 

on à PadatiaistratiM de la sautée créée 

Par lu présente loi ni etre emp/oyé à un 

titre quelconque par cette nucléé. 

LE VOTE DU l'ROJET 

VINCENT AURIOL demande le vote de 

l'ensemble du proict à thimilrité. Ots vote: 

t lit sI promt est adopté Par 360 

aseit. montre 5. 

On décide de reprendre le 23 février 

la suite des interpella-Lima sur l'enseigne- 

ment secondaire. 

BAI1THE insiste pour que la seer,. de 

'nanti prdchain soit réservée au projet sur 

les 'bouilleurs de due. 

, Après Un échange dlehtervothans, le 

maintien de l'ordre du jour est mis aux 

,alc 

Il prévoit pour demain la discussion des 

bouilleurs de mot Perdre du lette 

usait:tenu par 34 tivoin contre 239. 

Prochaine semer demain 10 heures. 

Douineues de ern. 

Séance levée b 19 In 5. 

ddeb..u. Sén.a,t 

Pszi,.Sléeoce.Lasaavesesi ouverts à 

15 h.. sous la présidence de 51. Ratier, 

L'EXPROPRIA F1050 POUR emise 

D'UTILITE PUBLIQUE 

Le Sémt adepte la propontion de loi de M. de 

Jouvenet, nus Mimes do tomette les communee, 

I. &épar-temente et l'Eut ironisons poursui.r 

j'exprneriation pour corse d'utilité publiean des 

propriétés particulières mea barna jugées +Assise. 

ria @ Pétablitsernsnt tas terrains sponr, sans que 

S'expiai:nation puisse aux pecpriSrés 

Unes ni am terrains y attenant aveu déversa». 

LA TAXE SUR LE CHIFFRE D'AFFAIRES 

Le Secnt »menue la discussion da pro'. de 

Io% ayant pour objet de morllher, cer.ines diapo- 

aillons relatives à la taxe eur le chiffre traduire,. 

On adopte l'article 8 fixant les pénelitée nue 

dllndenmités peur les retarde dans les eMiMISM8 

soit des MISIII,See.. Mit riv complément d'impôt, 

mit des Sections Mme/nielles du forfait. 

L'adule 9, relatif sus racla/anion, ma adopté. 

On discute laihlula IO t taxe 0117 las importa. 

Eeene d'objeta. 

M. Dunsas demande par voie d'amendement 

que soient exemptée de cet impôt les imposte- 

nem de enduis egrimies, originenes et en pro- 

ces«nce disesir sis l'Alaisie, eol,eeiee nu des 

ps, d, protestais et des amiennes colonie, d. 

-!ees acteallement pheages soue s mendat 

hi i'made. 

Le [alpiste des h.nces et ie menotte. séné- 

ih, enendement de M. Sodoma, eaonerant de 

AU PARLEMENT 

I. ose d'impondion I.e matière. Wenn.az des- 

thstes 

expoiteee directement pai les miss du lesom 

nier. es sidopté. 

M. CHAPSAL. Je demande. pas an sande 

edditionnet, que n'entrent lasaz es ca,nais ckrsa 

pris serva. de bea. à la mxe de 25 pour tem 

applicalde am cira-de-vie : Is le dron de son. 

mmnistiont 2. les frais de IMMIIMM Peetés aine- 

riment sur la facture et parés pat le d.i.- 

toîte. 

Ea 1920, la Msdatron des vies donne 226200 

Leenna d'alcool; en 1921. 173.000. Le distillation 

des cidres ri mimai duané en 1920, 185.000 hec. 

. d'akod, 158.000 en 1921. 

Cette diminution est dan incomtestablement à 

l'exagération des Impôts. 

En imposant les akar& de plue de 100 esse 

eent de leur .leer. cous tuissee te ...ce de vos 

revenus. Le taxe de luxe. n'est le prime à la or 

met., en le suppnment, vous dormerea un es- 

sor au commerce et dans sot mer voue renom 

amen 'es tommes que vous abeedmneries sa' 

i''d81.1"'DET.LASTETRI E. Je m'applicemisi à 

trouver pour les alcool, tune solution sansfelesinte 

analogue à selle end est inters... PMU les vine. 

j'espère même que no. pennons aboutir pour 

la proch.ne loi des finances. Dans ces condidons. 

je demande aux signsmires de l'amendement en 

discussion de te paa armer nous es adoption s. 

Camendement de M. Chopant est adopté pas 

56 sois contre 124 sur 280 votants. 

Lm articles ta 13 et dernier iront adopta.. 

L'article 4 avec sa nouvelle rédaction résultant 

de l'adoption emérieure de divers amendements 

ce nos en discussion. 

LA TAXE SUR LES AUTOS 

NA H. Roy difmd un eassndersont ainsi COD- 

L. eutoe neuves. serve. an n'empan 

persagnes, leurs chassie. cantes.rie, parer 

tuie et aoceseakes encesittent une tams de 50 esse 

cent s ad velment a, qui sers parée per les 

constructeurs na In chiffre d affames 

quelle que soit la qualité de l'adieteur, exception 

fette dma sentes à l'exportation qui continuent à 

bénéficier de 1.exernpuon Pe,imee Par icuide 72 

de la lui die 25 Min 1920. Les ceitures d, oceasim 

les voitures achetées en vue creesurer un seivice 

peblie de transport, concédé. subventionné eue, 

ploité par t'Et., les département, letmarne 

a les érablim.emento publue hoMmii».°. r, 

alunes détachées, exclusivement destinées eux 

tua que les nsvinvues, fulfle.ars 

dits neufs dont le pua ne dise.. Pro 

5.100 frarce, sorti wumis à ta pore de 1.10 % e. 

L'amendement sommé rer le ministre -des fi. 

.no. cm adopté. 

L'article 4 tes adePtd. 

L'IMPOT A LA PRODUCTION 

Le prOklere met en diewson l'amentenmoint, 

de M. Louis M as 

ichel eici osait eu Pres,. 

ri qui 'y. oie foie ues de la livrai. 

séiasvl 

au bis la mata on' ss'is°'°°' i la'a 'a"a 

ann me.ler. 

Al. DE LASTEYRIE. 

je orsis quit seau 

danzoeux de nosonomemlite:,,,à,l 

dons s" elle. ana Hie adossée. 

peeducCon. SI un seur 

elle ne semait free entew ope Stack 

pliée. Je prie le Sénat de disjoindre I enve d 

disjonction es prortmetre. L'ensemble du 

projet & loi est adopté. ,. 

S.Salas.Seanse 

damais puas lu domo.t 

pats". d. M. Fernand Merlin, se, 

4 

' da snéfet de l'Aime. 

121..anse ne levée à 18 h. 40. 

Angleterre prends garde à toit° 

Berlin, 5 février. L almanach de 

1923. des Sociétés de vétérans Deuts- 

cher Kriegerbund-Kalender fur 1923 » 

publie une fort jolie poésie, bien faite 

peur montrer les vrais sentiments de la 

pacifique Allemagne. Le ,e poète u exal- 

te en termes dithyrambiquea la beauté 

d'un raid d'avions et de disigeabln.e sur 

les 11. Britanniqu.. Le s lied . te ter- 

mine P., Ire deux strophes suivantes 

Voyez là-Ions, camarades, le paye 

ennemi 1 

Eteignex les feux et qu'aucune main 

ne treniSule 

L'éclair jaillit I L'explosion / Le gr.» 

demont du tonnerre 

Ah .rome soudain l'épouvante les 

saisit 

Ils ont peur de l'Allemagne 

Es Angleterre 1... 

Paisibles. les étoiles scintillent. 

Angleterre. Angleterre, prenda garde 

à toi 

Tu es notre ennemie mortelle, tu 

le ser. toujours 

Sacherle bien ; nous reviendrons .e 

fois, la nuit 

De nos ailes d'acier tu entendras le 

bruie. 

Ce sera l'Allemagne 

Contre l'Angleterre... 

Et, paisibles, les étoiles ecintillent. 

la Sasete du Yer de terre 

Un ver de terre est-il capable d'appren- 

dre Parfaitement. Pour s'en eonvaincre. 

un savant américain en a introduit un dana 

une reinuor en forme de T. Dasu ta partie 

droite du T avait été instaRe sis Meurent 

lectrique. Au bout de 00 dkbarges, le pan- 

su être commença ft hésiter. Mais au bout 

de In deux centième environ, son éducation 

était faite r résolument il prenait la gau- 

che et je/mis pins ne se trompait. 

Mais un ver de terre n'a pas decervem. 

Et une sauvette énigme se pose. Il parait 

efue c'est dans /es centres nerveux de sort 

ventre qu'il faut p/acer su menufne. 

CINÉMA CHIRURGICAL 

Au dernier Congrès de chirurgie, le 

eniema a ete la l'ordre du jour. On a (tut 

l'apologie hsi'-'zéed,,ren',:irets,';,,r4,,,,,,,.., 

m°i:rdAmt. 

:Ceid:ii:.:::.rod,ubi:lan:al,,i01;7d.étis,,st-7iblr,,,,i112::71pe.lat.:dleeionne;zot,1;,..ituai:t. 

tilmléh:e4:1..dkétopne16:Fod::::oite:G:.:,1,921",,,,,L 

à 

lion était colovinieuse. A l'audierce, il , % ugus,,. do, ,,,,,,gi,,,,, la coà, te ...,«: 

persiste dans son aocuaefion, 

Le 21 octobre 1921. Eannartensmt de ' De nombreux et précieux objets d',., dit: 

M Gaillard était visité pà, Serge, qui en tonsurent ; pc.ttni eux. deux suPerks 

dsnit parti laurdessent olsnsgti d. - chandeliers en arg-nt maisif et un es,. 

trait de la grandknère de (Wu, ley,,,, 

Atthalin, oeuvre du peintre Horace V, 

net. 

des Liions et olroeta d'art avaient été ers; 

levés. 

Deux diadèmes, provenant do ce vol, 

dit recensé, ont été donnés par moi à 

lielme de Teseancoust. s 

Dkuxièrne ...nbriolnge quoi, sclui-là, 

rie. Le 29 nover/dise, passe-it dans la sue 

Blanche, Mn. Gaillard eut la surprise de 

VIE SPORTIVE 

CeRAND MATCH INTERNA/IONAL 

FR-ANGE-GLAMORGAN 

A l'heure actsro/le, tous les sélectionnés 

ont ronfles/ leur présence pour le grand 

match international du Mardi-Gras. Mal- 

aisé cola et afin de parer a toate éven- 

ta/a/dé de la dernier° heure, la Commis- 

sien de sélection de in F. E. II_a wavoque 

uno équipe de romplàfflts, Pau», Fac- 

euels nous trouvons les toulousains Lubin, 

13ournse, Lac.. le tarbais Cas.bet; le 

perpienames Parnad, le palois Piteu, Ir 

rochetortais Etcheverry. TiMt laissa doua 

prévoir le plus grand mocée. 

La location continue au Secretariat du 

Stade Toulousain. t, place Matabiau. 

STADE TOULOUSAIN 

L'équipe du Stade Toulousain qui mat- 

dimanche, contre PAseloiaton 

Sportive Biterroise sera privée des inter- 

nations. qui Musiont contre bu Gons. 

do Glamorgan. La mromission stadiste va 

mi profiter pour mettra au point ses re- 

serves. qui doivent Ire» prochainement 

jouer en championnat contre le Racing- 

Club de France. En plan de net ré-serves, 

nous aurons d'ailleurs le plaisir d'applau- 

dir les Saverne, Biou.a, Lavedan, Pré- 

vost, Dillen.gos, Pépon. Lait.% Maury, 

Sem., etc.,, 

L'équip5 do l'Association Sport,. Bi- 

tersoiee vient de confirmer na venue au 

grand complet; seul, Mouse. sera absent.. 

Le public toulm.in est doue certain d'ad- 

mirer la belle -équipe hitoceviue. 

Le Stade Touleumm, qui jouera le mer- 

emdi »mire l'équig.e anglaise de Pont).- 

poud, es prèsentsma Osa grand cOmplet. 

Na. reviesalrona d'ailleurs MM 50 match 

qui doit être le seul de la .isen joué par 

le Stark Toulousain contre une équipe an- 

glaise. 

IINE VICTOIRE DES AEROSTIERS 

13ergerce, 8 février. -- En chainpionrat 

de France militaire (fer tour), le le ufvos- 

lieus Cou-Race) a battu le 0060 P. I. (Ber- 

gerac+, par 10 points (2 eiterdi, transformés) 

points (t e.ai transforne6). 

CetOn partM s'est disputée en présence 

de nombreuses notabilités militaires et 

d'un pelle três sportif. Le jeu fut h Se. 

lité durant toute M partie et ce. ri'est que 

sur pmlongatim que le aérostiers réus- 

sit a marques te deutiéme essai. 

CILAMPW745'tAT UNIVOISIT.MO665 

Montauban, 8 février. L'Escale suce- 

501mb do Careassonso bat les Jasmins du 

lysésr d'Agen, par fi poieta Il essai, 1 1001 

ykro. - 

En première rni.408115, 458141 domine 1»- 

&liement en tnek-quarts, 55e lui terrain 

lossAl et glissant et 50110 orne pluie conti- 

nue. 

En deuxième mi-temps. montage très 

socnuédo Garcas.nne h la sautée et h 

la touehe. 

Examens et Concours 

CONCOURS POILE LIDEPLOI 

IlE 

VEM/FICATEUR,11110INT LIES POIDS 

ET MESURES 

Par arrêté du Ministre du corans.or 

et de P)nduatrie en date do 20 janvier 

1829, un coretard sera euvert le mardi 

22 mai 1923, pour vingt emplots sic vérifi- 

osteur-ejoint des poids et mesures. 

Les demandes d'admPasion à se concours 

seront reçues au Ministère Gin cominerce 

et de l'industrie, jusqu'au lb avril 1023 

usclusivernent. Il ne Sera dettssé a.une 

sire as demandes qui parviendront après 

cette date. 

Nota. Loo tralteunts ans vérificateurs 

des poids et °amuses sont flues ainsi qu'Il 

suit vérifleateUrs en ettef, /2.000 à 

13.000 francs; vérificateurs de Ire classe, 

11(100 francs; vérificateurs de 2c. »lasse. 

10.200 le.; wirificateurs de ne classe. 9.100 

fr.; vdrificateurs de Seolntoe, 8.000 fr.; 

vérificateurs de fle classe. 7600 fr.; vdrifi- 

enteurs de fie clame. 0.900 fr.; serai.- 

teursadjmnts, 0.100 fr. 

PETITS FAITS 

SIFIORE 

51Ie-sur-Têt. 13 février. Ce matin, 

9 heures, M. André Fabre, theminet re- 

traite de notre ville, a été trouvé nové 

dans le cana/ d'arrnsag, 1E0 suht.s de 

là pure. is,sg, 88 se jeter a ream, sI à'dtàft 

att.Z-làà une jambe Mee sa ceinture qu'il 

neart liée de /autre bout it une Paroisse 

d'aulne. 

I/ y a un an, le malheureux avait perdu 

sa feraisuc et sa soeur ati, depuis, il se 

oble,ction 

Le Coin des Cordons Mus 

CHOUX AUX MARRONS 

Nous moto généralement le smM de a 

Parler nos lectrices que de mets prud0. 

cuses et peu coûteux, faciles A préparer 

tuut en visant â satisfaire cependant celle; 

qui sont un tantinet « geurinmdes r, non 

pour elles-mêmes, mais pour leur petite 

Cette fois, cependant, je ne puis résister 

lenvie de vous dkrire un mets un peu 

plus compliqué, mais assez peu connu et 

extrêmement agréable au goCit des ph» 

raffines. (I'est le chou eux marrons. 

Prenez un beau chou vert, lavez-le Mu- 

guetnent une première fois la l'eau salée, 

puis à Veau fraiche ; faites-le cuire tout 

entier pendant vingt-cinq minutes dans * 

1%au boulliantc pour le a blanchir n. An 

bout de re temps, retirer-le avec /mem, 

tion mettez-1e refroidir dant un horsin 

d'em froide. Epluchez va marrons grillés. 

limette. votre Mou et pses-le sur la 

pianche à /redissein ou la planche à110. 

eller et mignmeerment, sms les briser, 

épelez les premien,» feuillée tiu chou, 

éta/ez-les sur la planche; pais, petit à 

petit, arrivez au mem et coupez-1e, oterole. 

A sa a/ace mettez une couche d'oignesns 

coupes fin et étuves dans du beurre os 

de la graisse. On peut aussi y mettre en 

rond de petites saucisses puis, par-des. 

us, les marmens en quantité luffisante, 

une pincé, de sel, un peu de poivre o ra- 

battu sur tout cela les feuilles le glas 

douches, bien daso l'ordre qu'elles coup 

paient, puis, toutes les feuilles une à une 

jusqu'à ce que le ehou soit remssi de 

façon à paraître intact. 

S'il est néressaire, pour que les mar. 

rons soient bien recouvert, des le début 

de sa reconstitution, mettez les feuillea 

tInt emnr enlevé au-dessus du dfime que 

vous aurez formé. 

Mettez sur un plat plusieurs gros fils 

croisés, dispos* .mme les rayons d'usa 

roue, posez rorr eux une barde de lard; 

posez délicatement dessus le chm. ems 

le démolie I remettez par-dessus une se- 

mnde barde de lard, nouez les ils en let 

Le Caonsou aux enchères 

LA VENTE EST IMMINENTE 

Nolle9 avons déjà signalé en son temps 

l'incident eurgi entre la ville et le EL- 

nistère des Finances relativement à la 

prochaine vente de l'établissement du 

Caousou. 

Notre camarade Vincent Auriol avait 

demandé qu'il fut enraie à cette vente au 

moins juaqu aux premiers beau, jours par 

égard pour les malades qui t'y trouvent 

hospitalisés et dont la santé pouvait gra. 

vereept pâtir d'un déménagement en 

plein hiver. 

A la suite de cette intervention, notre 

ami a reçu la lettre suivante 

Monsieur Vincent Auric', député 

de la Haut.Caronne, vice-pré- 

sident de la Conarniaion du Brid- 

get. 

Monsieur le Président, 

Vous avez bien muter appeler mon at- 

tention tus l'intérêt qui eattachersit à ce 

qu'il fût sursis jusqu'à la fin du mois 

d'avril 1923 à invente aux enchères pu- 

bhques de f étabhasement du Caou.u. 

Voue redouter, en effet, que l'évacua- 

lion sur la aile d'Azur d'un certain nom- 

bre de maddes de guerre ...mie en ner- 

ternent au Cootssou ne soit, à cette épo- 

que de l'année, particulièrement preste- 

diciable bleue état de santé. 

J' al l'honneur de vo. faire connaître 

giron date de l'adjudicatoin n'est pas 

encore arrêtée, la fixation définitive de 

cette date étant tubordonnee à Faccomr 

plissement d'un certain nomine de for- 

rnalitéa en coma. 

Mais, en tout état de cause, le domai- 

ps.lignidateur ne saurait s'engager à dif- 

férer jusqu'au mois d'avril 1923 la pour- 

suite d'une opération déjà retardée trop 

longtemps pour des causes divers.. 

11 rjsulte d'ailleura d'une communica- 

tion de mon collègue de la guerre que le 

service de santé a pria ses dispositions 

porte transférer dans d'entres locaux les 

services qu'il avait installés au Grouseoo 

et, en particulier, le coutre d'appareilla- 

ge pour les nautiles. Il est marne vraisen. 

bielle que les opérations de transfert, 

dont l'achèvement a été prévu par le clé-- 

portement du ln guerre pour le 31 décem- 

bre 1922 nu plus tard, met déjà com- 

mencées. S'il avait cocu que la mesure 

Hait de nature à nuire aua rrestilée, rAd- 

ministration n'aurd.t pu se iespetéresser 

de cette situation, et elle n aurait paa 

manqulc d'examirefr, de concert avec 

l'autorité militaire, les dispositions à 

prendre pour parer à ces inconvénients. 

Je croie devoir rappeler par ailleurs 

que l'Adminisbation des Damaines a ce, 

eu du législateur la mission stricte de ré. 

Suer let immeubles ayant appartenu aux 

Congrégation,- dissoutes aussitêût que lea 

.tions en revendication ont gré jugées. 

Cette réalisation est d'autant plus urgen- 

te, en ce qui c.encerne le demaine du 

Caousou, qu'il s agit d'un immeuble Crée 

inmortset, évalué avant la guerre, à plus 

de 800.930 francs, ayant acquia depuis 

une plan-value considérable et dont le 

Domaine ne saurait retarder plus long- 

temps la réalisation sans nuire gravement 

aux intérêts dont il a la garde 

j'ajoute que la liquidation a déjà reçu 

des propositions d'achat pouvant être 

considérées comme très aériens.. Toute, 

fois, les amateurs de qui elles émurent 

ont fuit observer sels ne pourraient 

Prendre part à l'adjudication que d elle 

avait lieu à très bref délai, faute de quoi 

Is seraient dans l'impooibilité d'imarnbi- 

lieer plus longtemps les fonds qu'la reser 

rent à cet effet. Il va sens dire, d'ailleurs, 

que si le domaine du Caousou n'était po 

fibre dc toute occupation au moment de 

ia vente, les arnateura eiMéreseent 

actuellement à l'affaire pourraient être 

men s a abandonner Hure projeta ou, 

tout au moins, à porter des enchères 

moins élevées. 

'Don: ces conditions, l'Adminietration 

des Domaines ne saurait autoriser l'autos 

rité militaire à eumeoir à l'exécution de 

Boa engegement d'évacuer l'immeuble ni 

e e-meme la préparation de la 

vente aux enchères. Je vous en expringh 

tons mes repues. 

Agréez. Monsieur le président, l'amas 

rance de ana haute eonsidération. 

buil Muet 

lin 

SEANCE DU 8 FEVRIER 1923 

s....%onseil s'occupe d'abord de lurons 

,..s 

.!;",tee d un magasin au sous-sol de 

ail .2' 

;etede dornrer teautirsil 

t de fiser, au moment de l'adjudi 

lice, au rabai0 mionnum pour déjouer tee 

enntes (modeleuse. MI Mitrriti2ne 

tomme entre soumissionnaires. 

PROLONGEMENT 

DES ALLERS JEAN-JAURES 

La question du prolongement des allées 

Joun.Juoreat une questron Importante 

de la solution de /agnelle dépend dans une ! 

certaine mesure, /a vitalite de la ville. 

Le Conseil municipal donne son and. 

Latina . projet qui est préemté mina. Il 

c .. 

onne de limiter les charme nui ln' 

eombent J la Vi/le et la Société qui Prem 

.[;:ro travaux devra prévoit. la proprets,- 

Ment rapide vers u're'enroeureuertre'r". 

ERECTION D'UN MONUMENT 

AUX SPORTS ET A h/ATM/T.7E1E 

r ' ce municipal do contentieux a 

e question et propose /a cession tant trou ans rin ms prononce do grande 

de nulle métres carrés de ter- discouru là-dessus, ellaeun annonçant 

e subvention de ci. mille ! qu'on va passer à hi réalisation. (Ceel ce 

1 West Pas M. Arni/hcnr qui le dit.) 

e accu, est le triangle qui se ! 1.0 Consell adopte tes cone/redans du 

ameeseen de salies etc Dm,. rapport de m. Fenhe, et lu satiner publi- 

!dard Lascrose.s. Pres do que sot levée aprês l'adpedon des sun- 

nouveau pont sur le canal de Brienne. 

C'est te terrain demandé par le Comité. 

M. le maire objecte que les manifesta- 

tions sportives doivent être encouragees, 

mais quelles ne sont pas passibles da 

drodt des pauvres et que le bureau de 

Bienfaisance n'en tire aucun bénéfice. 

Donc an datera le terrain et on accordera 

la subvention, mais presque â regret et en 

rernarqu.t que H crise des logements 

obligerait peut-être le Conseil à réserver 

ce terrain et cet argent pour la eenetum 

don d'habitations â bon marché. 

D'autre part, le Conseil .finte que la 

magmtte du monument dora Hi être sou- 

mise parce qu'il faut qu'un monument em- 

bellisse le ville et que le Conseil a le droit 

td1,, 'exeerniner Lu maquette nu point de me 

ellosement qui en résultera. 

La subvention accordée ne prélèvera sur 

le budget des dépenses bru:ires-nes. 

MONUMENT AUX MORTS 

DU QUARTIER SA/NT-AUBIN 

Le Conseil est saisi d'une demande de 

serrent/en du président, du Confite du 

monument. 

M. Laporte, rapforteur, expose que si 

le Censeil entre dans la voie de subven- 

fions de cet erdre, tons les quartiers de- 

manderont à la ville de participer â l'érec- 

tion d'un monument. 

L'église Saint-Aubin a rine apparence 

de délabrement et un aspect de ruine cp 

déparent ce quartier. il faut faire un 

erre autour de l'église et planter d. 

lere:r:apporteuir prellseonusdr Proie de dé- 

e/usgr, sen érigera le duo on=aer'St 

milieo 

Le Conseil adopte les eomlusions 

raPPogt. 

RESTAURATION DU GRAND PORTAIL 

DE SAINT-SERNIN 

Rapporteur, M. Importe. 

Le Conseil avait protesté centre ln sup- 

pression d'un balcon du XVIlle 

mais ce balcon ne s'harmonisait pas avee 

l'architecture romane de l'édifice. 

Le grand portail de Saint-Sernin sera 

restauré selon les conelusions du rapport. 

MONUMENT 

A LA GLOIRE DES COMBATTANTS 

DE LA HAUTE-GARONNE 

Cc monument sera érigé mur la place 

A/phonm-Pemat. Il sera remis par le 

Comité à la ville de Toulonee la elorgc 

par elle de veiller à toutes mesures de 

.nservation et d'entretien sans altérer 

l'esprit et le eoraatérede l' 

M. Fenhe& rapporteur, déclare que le 

Conseil ne sachant pas dans quelles con- 

ditionsIn travail acre 

. 

, ra re 

appelé à présenter des observations quand 

on proeèdera â /a réception provisoire du 

monument et, après un an de garantie, 

à la réception définitive. 

M. Porterie objecte que ce n'est pas 

apriio l'érection du monument mais avant 

qu'il faudrait présenter des observations, 

et il estime que le Conseil devrait être 

représenté au sein du Comité car les ob- 

servations qui se feront après l'érection 

arriveront comme la moutarde après le 

dinor. 

M. le maire dit que H Conseil n'a qu'un 

droit de regard an moment ou H monu- 

ment surgira du sol, mais qu'il ne saurait 

intervenir dam les travaux du Comité. 

Le Conseil adopte Inc conclusions du 

rapport de M. Faubec. 

OFFICE PUBLIC D'HABITATIONS 

A BON MARCHE 

Cet office se trouve dans une situ:Men 

difficil& Il a b.oin d'être largement sr.. 

ventionné. 

M. Faub. est rapporteur. Il demande 

au Conseil de s'interesser et cette seusre 

phi/anthropique et sociale qui crée tint 

habitations salubres pmr les familles on- 

Trières. 

C'est par l'habitation salubre et conve- 

nable qu'on arrachera l'ouvrier au caba- 

ret. La loi prévoit pour l'assistance aux ralli- 

ecu d'habitations é bon marché la col/Mora 

tion de l'Eilat, de, départements et des 

Pour l'Office de Toulon., la Ville duit 

consentir une av.ce de 150.000 franos et 

un prêt d'autant. 

L'Etat donnera trois fuis plus et ainsi 

l'office sera doté. 

M. Faubne desire en outre que les attri- 

butions de l'Office soient étendues par 

une nouvelle legslatron et que les Darces 

d'habitations à bon mu.che puissent, var 

exemple, utiliser le concours des particu- 

liers pour leurs constructions et aussi 

prêter aux particuliers pour qu'ils cons- 

truisent eux-mêmes 

11 s'agit doue d'émettre un voeu qui sera 

tranamis â la Fédération nationale d'hsbi- 

tations à bon marché pour quelle agioe 

auprès des PmvoIrs publies en vue de 

faire madifier ta tegidatien. 

M. le docteur Ildy Melare faut 

te presser de construire des habitations 

salubres et appuie fortement leu conclu- 

sions du rapport de M. Faubee. 

Il explique que l'Offid de T./ouse n'a 

pu faire grandtchose parce, qu'il est de 

création encore récente et qu'il n'a pas 

les ressources dont Il aurait besoin. 

Il dit que dés la création de l'Office, 

deux sections se sont occupées l'une de 

l'achat de terrains 131 offres ont été faites 

et il a fallu disenter longuement avee 

les PrePriétaires de terrait a) et Furtre 

d'examen des projets et plans d'habitatione 

L'Office a demandé nide et secours h 

l'Etot. Il ms t hrnnio de ma million& 

L'Etat a répondu t s Je vous préterai 

quatre million et demi si vous trouves 

d'abord un million et demi a Et alter, 

sein de la Communion une voix a pro- 

clamé qu'il suffisait de faire souscrire 

Milo. cent Moyens chacun ponr mille 

fran.. Olt sont /es quinze cent Tou/nu 

same qui voudront se délester chacun d'un 

billet de mille pour les habitations sain- 

lires 

Lf. Maribor demande la parole noue dé. 

durer que. hien effil représente les Pr.- 

pm'létirincn, il entenLdréfene/rel'Offfire des 

bon lance enil feu- 

ra in ces 8.1 3 Ira s peui oda n- 

milles qui seront délogées de leurs taudis 

quand en fera des percées et qffen éven- 

trera leurs baraques où la phlide fuit des 

rayages. 

Brtf, tmt le monde a parié d'or comme 

toujours des actes, néant. I/ v a pour- 

dosions do rapport de M. Salmon rela- 

tives à H transformation de 250 cabane 

de la police en .potes e M. Rouer, tailleur 

à Toulonse, exécutera cette transforma- 

tion pour 5.947 francs. 

Le Conseil se réunit en séance secrète 

Pour l'examen des demandes d'assistance 

aux vieillards. 

Prechaine séance pub/kers dans quel- 

ques jours, à um date qui eern annoncée. 

M. B. 

_ 

La Conférence d'un professeur 

américain 

M. Faut Van Dyke, professeur d'histoire 

européenne A l'Université de Princeton, 

directeur de l'Améric. Universith Unksn 

co Europe o fait avant-hier soir dans 

namphltheirtre de la Faculté des letteas 

une conférence sur Grover Cleveland, prê- 

sident des Ends-Unis de 1885 à 1887 et ne 

1893 à 1897. 

Uheure de la conférence et le lieu 

avaient été esses mal choisis. A la Fa- 

cluté des Lette., il n'y a que les .nte- 

ronces de 5 heures du soir qui attirent 

nombreux public. Quand on fait me 

conférence, il vaut mieux la faire à 5 heu- 

res apr'à 8 h.res, si on veut avoir du 

monde, ot, en Hart ms, si on In fait à 

8 heures, Il vaut mieux la faire dans Pan- 

phith.tre de l'ancienne FenrIte des Let- 

tres, rue de Rémusat, que dans l'amphi- 

théâtre de la Faculté des Letres actuelle, 

rue de l'UnIversite, où on est loin du Ca- 

pitole. 

D'autre part, l'organisation préalable de 

la confércaoc avait été défectueuse en ce 

sens que la publicité des Annonces dans 

les journaux n'est pas suffisante, ln publi- 

cité par affiches devant la compléter. Or, 

la conférence de M. Paul Van Dyke n'avait 

pas été annencee par affiches. 

M. Delarne/le, professeur à la Feenité 

des Lettres. si présenté le conférencier par 

délégation de M. le recteur, retenu à Pa- 

ris. I la signalé que M. Van Dyke était un 

ami fervent de la France, gril avait Pte- 

bila une étude très int/recasante sur Ca- 

therine de 'd'édicte, qu'il connaissait admi- 

ralliement l'histoire de notre pays et l'his- 

toire de l'Em.epe et nul/ avait été pendant 

la guerre, sur le front rem& le cordé:mrr. 

der officiel do amvdnensents des Etats- 

Unis, auprès des troupes angiimines en- 

voyées en France. 

M. Van Dyke a pnis ensuite la parole et 

d'emblée a .nquis l'attention de l'am- 

toire. 

Il 

nereUè'etpgt 

élO- 

quenee. 

C'est un chapitre d'histoire américaine 

qui a été magistralement traité devant un 

auditoire français. Le publie a manifesté 

par ses applaudissements l'intérêt qu'il 

prenait aux choses d'outremer et /a ssm- 

pathique admiration que lui inspirait ce 

représentent illustre de l'Université 'd'Ami. 

rime. 

M. B. 

4-5.-A de O e 

MDMEMMISM 

TREE PARFUMÉE 

Eau de Cologne 

A L'IDEAL 

en In meilleure del eaer 

de micro 

Ad-centrent nenie.r4clanto 

egb A l'Idéal Toulouse 

Cà et L-ià 

LA MOITI DES PAUVRES 

De I'Mquille faite Pm M. lu 'Cut0202220ire 

de police du 

arrondissement, au sujet 

du OHis d'un individu incmnis survenu 

avant-hier soir, vers 22 h. 30, a proximité 

st kis:sq.-vigie do la place Belfort, il ré- 

sulte que le défunt est un nommé Joseph 

Arnim.. dit « le JapOrlaia a, agi de 56 ans, 

commissionmito, de.menrant eu garni, rue 

Denfert-Roeherea. 48. 

.--i Informé, hier snir, vers 18 heur., 

que MIllo Joséphine Cabot âgée de 72 ans 

enVirCM, femme de ménage, volent seule, 

35, rue Saint-Jerome, n'avait pas él.4e 000 

sertir do ehre elle depuis deux jours 

bien que la clé fol à la serrure h l'inté- 

rieur du logeront M. le ConninH.ire de 

police ds, far arrondissement s'est trans- 

porté sur les Mus et a fait ouvrir la 

porte par un .durier. 

Mlle Celmet a été trou,e morte sur le 

jilandrer, prés de lite Rien d'anormal n'a 

été decouvert et la refit est naturelle. Un 

doetcur, meut, aux fins de constat, a at- 

tribua le decen h une cri. d'asthme. 

Un neveu de la défunte. M. 0..., MM de 

gare b Boulogne-sur-dose, a Sté prévenu 

télégraphiquement. 

DES VOLS 

A la suite d'une plainte déposée le 3 féa 

Mid courant, par M. le Directeur de PA- 

taller de- Fahriestion d'artillerie de notre 

ville, qui, du 2,1 décembre dernier au 

ier février courant, avait consisté la Mg 

pardion d'objets de harnachement poser 

une valeur de 4.830 Haires, le Service de 

la Sûreté o .41écouvert, eu domicile du 

nommé Félix Sansas, 37 ans, .durier. 

Mime..ul avenue de Baymne, 98, une 

sellette, un licol avec mors, deux longco 

et deux courroies, qui ont été madame 

comme prévenant dudit atelier. 

fauta: a pratendu avoir aehete ses ob- 

jets â un individu inconnu, sur la place 

Saint-Sernin. I/ a été lais. en liberté et 

le proces-verbd d'enquête rédigé par les 

seins de M. le Commissair ede police du 

7e arrondissement a été tra.mis à M. 

Procureur de la République, 

Le même Commissaire se police 

magie h une enquête relative au vol de 

cmq lapior, comma dans le courant de la 

aol dernêrt, au préluder do M. Paul Ne. 

lat, 

propréAccueil.tair& 

Lafourgu,,tt, 01110 

Ban- 

ACCIDENT ET OBSTRUCTION 

SUR LA VOIE PUBLIQUE 

Ce mata, vers 8 heures. 51 .Charleir Peo 

tris, au service de M. Larreque, entre/O. 

neur demeurant awnue des Minime& 27. 

passait plane th Capitole conduimnt en 

tombereau affalé de deru ehevaus. lors- 

que, h hauteur de la rue de Rernioat, la 

roue durite eeet partie de l'existes et le 

vehieule s'est renversa av. son &range- 

ment, obstruant In circulation des tram, 

ritouvattAss 

Réclamer t 5 hing Moulttle, rm d'Eut- 

berthe, I6, des bas; â M. Feigne fr. eu 

Minimes, 13, une rnentre; â M. Hubert 

Guillaume, rue Saint-Georges, 25, one ont- 

tin d boum', h l'agent Prat, attache au 

bureau da peliet de la rue ROMs, -une 

Faite de eif.UX; h el/le Marie Daim.. 

Fa...g-Bonnefoy. 85. un chape.; à 

l'Administration Ma trannea. mg Paire 

de lertmons; à M. Louis Baille, rue -.14, 

37, une ehrenne da berger; A M. Catastrm-c 

C00 de la Hache. 5, um petite mutante; 

Slim Séguy, Mace du Salin, 23 un billet 

de banque; tire Bureau des épaves, un pe- 

lit fie.; à l'Administration des tram- 

ways t une grammaire française et un li- 

vre anglais, liesoir en fer, mon four- 

rure tour de cou. un marrehon Fourrure, 

une paire de patins b roulettes, deux pis. 

ClieliTIFICA'T DE PitEPARATION 

AU SERVICE MILITAIRE 

Les jeunes gens .ndidate k l'engage- 

ruent dit de devancement d'appel résidant 

à Toulouse, ayant demandé à subir tes 

épreuves en vue d'obtenir le C. P. S. M., 

sont invitée h se présenter, le samedi 10 fé- 

vr. 1.3, h 7 heures très pigeâtes du ma- 

tin. devant la co.niemon qui. Métiers 

Toulouse, au Stand Nid, prés la caserne 

du Mie II. L 

UN CONDAMNE QUI NEST PAS CONTENT 

Sur plointe de Mme recul. Marebours. 

luta Oudot/ie. 48 ans, chiffonnière, de- 

meurant au Serniroire de Lalande, une in- 

formation est ouverte au Se arrondi.e- 

mont 'centre le nomng Dents Bernard, de- 

meurent mena adressa et exerçant la mé- 

mo profession qua hier soir, vers 17 lou- 

res, h la sortie de Paudlenee correction- 

nelle dr !a philgenento avait éte appelée en 

temoignage dans une affaire l'Intéressant 

l'auront giflée, sous prétexte que sa dépo- 

sition 10m ammit été défavorable et aurait 

contribué la sa condamnation. 

CIRCULATION IIE TRAMWAYS 

INTERROMPUE 

som, vers 10 hmres, la roue droite 

st). stamon /0-11rderomnt ehare de fer. 

conduit par M. Jean Loubet, roulier, au 

service de SI. Talayrac, entrepreneur, rue 

Lansefoc, s'est enfoncée nue la chaussée 

Su boulevard d'Arcole. à hauteur de 

nistabl portant le numéro 26, à l'endroit 

minou oh une fouille avait été pratiquée 

par la Compagnie du Gu. 

La circulation des trarr..ar, a été in 

terrompuepandant une dem-h-vete envi- 

rdr, 

VOL D'UN SAC A MAIN 

A 19 h. 30, Mme Chambon, épouse Font- 

vieille, ep alle, institutrice, 45, rue des 

Tournmrs est venue porter plainte con- 

tre X.., pour vol d'un sac à main en argent 

Oaalnnuotoa porteinon.le en cuir Janne, 

lequel renferffed une certaine sem., 

plias une photographie et des carten pos- 

tale& 

Ce vol a été commis, hier soin vers 

18 heur., place Esq.drol. 

ATTENTION AUX TAS DE SABLE 

A la même heure, M. Marcel Latte, 

0-ffencicien-dentiste, otmenont villa Ro- 

serale. Côte-Pavée, s'est présenté à le Per- 

me:mem« pour déclarer que, pas.nt, vera 

19 heurts, rue Duremps. li avait failli etre 

victime d'un accident en se heurtent mn- 

tre deux tae de sable, déposés au milieu 

de la nue, sens éclairage. 

LH agent cycliste envoyé sur 1cr lieux a 

constaH mien effet( den tas Nb sable 

avaient été sielesés rue Dutemps, sans 

éclairage, par le Service de la volde. 

FEDERATION REG/ORALE 

DES RETRAITES 

Les cotiestio.pour l'amide 1923 cernaireçu. 

le dkr,eee ti partir de 

10 heures, au siège de la Fédération, place 

du Capitole, 1, mfe Andras, 

ESCROC DE HAUTE ENVERGURE 

Un escroc de haute envergure, condamné 

par la cour dissebres de la Haute-Garonne 

le 16 juillet 1913 A dix ans de travaux 

forces pour vole qualifiés, vol s'était évadé 

de la Guyane depuis le 25 mars 1919, a 

été arrêté aujourd'hui à midi par le ser- 

vice de H Siert& 

Arrivé à Toulouse le 27 janvier, disant 

venir de Saint-Sébastien, il était descendu 

dans un des meilleurs hôtels de la ville 

sous le nom de Robert Merger. Il te fai- 

sait usai, dans car/aine établiseementnt 

appeler la marquis de Comminges. 

LA VIOLETTE DE LA/MENNE 

C,ette Société donnera, e nillonneur dee 

fêtes du Carnaval, quatre grands bals pa- 

r. et masquas, dimanche 11, et mardi 13, 

à 15 et h 21 heures. .11e Bemsse-Fores- 

tié, avmo un orchestre dilite. 

Le meilleur .eneil nera réservé à tout 

le monde. 

Les km. pour Lerner., partent de la 

place Esquirol chaque q.rt d'heure, 

CHEMINS DE FER DU SUD-OUEST 

Avia 00 publie 

Le public est informé, qu'à noceaslon de 

la foire qui ne tiendra à l'Isle, samedi pro- 

chais 10 février, il ocra mis on marche 

des trains spacieux de voyageurs, s'arrê- 

tant h Paulou lev stations et arrêts entre 

Boulogne t l'Isle. 

Aller r départ des Boningne, à 9 h. 30; 

arrivée à l'Isle, â 10 h. 42. 

Retour ; départ do 1701e. h /G h. 15; arri- 

vée A Boulogne, à 17 h, 29. 

Items les heures de passage ans stations 

interingtiair., eonsulter eu gares. 

L'AMICALE DES POILUS DU FRONT 

17. Ras de Rim.st. 17 

échange les bons de la /Orense Nalsonale 

au taux le pins bas et donne 1ms rensei- 

gnements gratuite concernant l'actaat et 

UN CÉPAGE SENSATIONNEL- 

auge.. 

Cousus-rien' .Artisticlue 

SOCIETE DES CONCERTS 

DU CONSE.RVATOIRE 

La cinquième auditien de la Société des Con. 

certs do Coneervatorre aura lieu lundi 12 fé- 

vrier, à 8 h. 40, au thffitre des Variété., avec 

le concoure do Mile Go,lléteri. premike Ekon 

de l'Orge, ce de la Seuls de Ablon, sollste dee 

Concerte Colonne ct de M. °drame, tasser de 

l'Opéra 

Au progemme arment dea ouvr. de Edeaard 

Lalo. Camille Sainiffax.. Déodat de Sève,. et 

Richred Wagner. De ce dernier, la Société don- 

nera en première audition à Toulouse des frag. 

ments dee scènes I et II du 2: acte de Tristan 

et Imait (Nine Cordés. et M. Dettes.). 

Ordrearre de 00 ssécuisnis, am, la direction 

de M. Aymé Kuno, directete du Coneervatoiee. 

Location dès ee jour, sane augmentation de 

cuba, Maisons MeMs. Rouget et eAu Menes- 

trel r. 

Cours et conférences 

111STOIRE POPULAIRE DE TOC/LOI/SE 

Posramme du sors pubbc municipal qui sure 

lieu aujourd'hm vendredi 9 hé*, à Fm:mienne 

Faculté der scne

5.1 

, doute. 

4 LE MIDI SOCIAL/STE 

uermeres Nouvelles (2 heures du matin) 

4.ame 

Dans la Ruhr 

L'AGITATION GRANDIT 

Itusseldorf, 8 février. - Ou constate 

tue aie:made agitation dans les milieux nationalistes. 

On nous fait savoir qu'il est 

possible qu'un coup de main organisé par 

Otto doit tenté ires prochainement. 

bout a/gemmais de souree sûre que les 

cheminots attendent de Berlin, vers la lin 

de la semaine ou dans les plentiers jours 

de /a setname prochaine, un ordre de grève 

guneralm 

Jusqu'à ce jour. les Allemands pensaient 

fur les grèves sporadiques Mils decinn- 

.mient avec. cesmtion partielle de travail 

suivie de reprise egalement partielle et 

éphémère, étaient de nature a entraver 

l'ac,ion lie l'exploitation française. Maintenant 

la maniere serait cluingee et on en 

reviendrait li l'idée de la grave générale 

des cheminots à laquelle viendrait s'ajouter 

une grève génciale des employés des 

PreSsentis, les employés des P. T. T. ont 

iépotidu qu'ils se conformeraient aux ordres 

de Berlin. 

Min d'a.:suver la généralité de la grève 

des cheminots, Berlin a fait Savoir è Ces 

Se. vivra que tous ceux d'entre eux qui 

auront quitté temporairement leur travail 

1 un moment quelosnque percevraient leur 

salaire complet, ainsi que toutes /es indemnités 

auxquel/es il, ont droit absolument 

tomme s i/s avaient 00011000 le Travail 

Tune Manière constante. 

D'ailleurs, une délégation dro cheminots 

s'est rendue la Berlin pour recevoir confisrèclion 

offirielle de ode asm.iance; et 

effectivement, elle l'a reçue. 

'n général, l'attitude de la population 

n'est plus :misé calme qu'elle Ede, ces 

A /terne, l'autorité militaire a dû intervenir 

en plusieurs circonstances. 

t.,it :e bataillon du 1 72e régiment 

d'infanterie avait organisé des soupev popuinires, 

non seulement Pour Irs enfitnis. 

Mais eneen-e pour les adultes. Or, hier, 

dee policiers de /a Sabin,o s'efforcèrent 

d'empêcher le public de bitiv"ficier de cette 

drluiivotioo,L'on d. pniiviers f. 99 170 

Même de sa canne un enfants qui s'obstinn:t 

è .2.9Theri 

'On reconnait dans ces menus incidents 

Faction continue du Reich. Pour la m'Ibo:rie 

et pour que les policiers en parti- 

Cuiter cessent de considérer /en sanctionS 

itisqu'à ce jour retenues contre eux par 

(Y- 

l'autorité française comme une bonne fortune 

dorénavant, ils seront traduits pour 

manquement aux ordres de l'autorié française 

devant les conseils de guerre. 

Vain un autre acte d'antagonisme de 

Pactorité allemande. 

On s'efforce de faire payer deux foin les 

droits de douane en installant un bureau 

de perception allemand g côté du bureau 

de pereeptIou du cordon douanier. Cette 

ni.ure vexattalre vise particulièrement les 

preneurs de charbons des pays neutres. 

Le gouve-nement de Ber/ in cherche donc, 

par tons les moyens, è irriter ToPinion 

publique. Il a parfois rectales g des procédés 

d'une nature spéciale; c'est airli 

qu'il enroue dans les foyers ouvriers des 

missionnaires protestants qui S0113 te couvert 

de la bonne parole évangélique' dé.. 

mloppement tous /es nrguments susceptibles 

de provoquer un mouvement général 

efficace. 

La main-d'oeuvre étrangère 

agricole en France 

Parie. 8 février - Le loornal Officie/ publie 

un état indiqua.. par nationalité, le nombm 

ouvriers agricoles étrangers nye'0 pénétré en 

France par leo bure.s d'immarattn, de La 

mem-erse-2e agricole du minietNe de l'Agriculture. 

Durant l'année 922. 72.976 arrima « 

1. e - il merle,ns dx bien spécifier qu'il n'est 

qu./on que de cette catégorie datm.sere - 

mot entrée en France. Ile se répartissent en 

t3193 Bols.: 2.078 Portugais: 7.704 Italie.: 

9.077 Polonais: 1.051 Hollandais: 39.773 Espa. 

mole. 

En 92h le chiffre etobal avait Né de 52.922. 

En ce qui cermerne les Eepagnolz, on constate 

qu'en 1921 len, annort weit RI, de 27.266 tra. 

veilleurs. En mr... les Espagnols se mont accrue 

de 12.507 unités. 

Les Espagnole ne se déplacevo pas eeuls. Leur 

famille les accompagne et n'en ainsi one noue 

trowons, soi les 39.773 citée Pus haut 24.059 

hommes, 12.514 femmes et 3.200 enfanta, soit la 

popotation d'une ville de moyenne importance. 

Lee trois département. gui ont acgregli le plue 

grand nombre sont l'Aude 14.122/ r 

lere Pyrénées-0,2.G.. 13.073/1 l'Héragt (2 836). 

Venaient ensuite I. liages-Pyrénées (35.7), 

l'Aube (530), o Loiret (9!0); /a Camcde (3065s 

In . ter:mir-ne (303) et le Ccad (HG 

Ploa loin. no. edevens te Gers (110);tu 

Lotet-Geronne (77): l'Ariège (76)i les Bass.. 

Pyrénéee (75): les Lande. 46.6), le Tarmet.Ge. 

r.ne (41): la Dordogne (37): la Conége (20), 

le Lot (11). 

Dies Ce, totaux ne eont pae compris les yen. 

danseurs. On en e compté 15.499 dans lev Py. 

,i1U191ES DE LI FEUE 

.0 000a...0 voudra este. ies re 'Ore VOmeme reengel gra tour 

mos Aser- eotard 4,5,5 ralre on resta musa., ot 

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LE FILS DE LAGARDERE 

PREMIERE PARTIE 

Le Sergent Belle-Epée 

unairm 

Pa, ate FÉVAL F1'a 

=eu 

- Qu'ai-je done, mon Dieu I se de. de. étres chers pour lesquels il e 

manda-belle - et d'où vient ce que donné cnt fois sa vie et fit voler so 

j'éprouve 7 

âme. jusqu'à eux, les enveloppant da 

C'est. emarne si je craignais an danger II lui semblait que jamais d ne lee c>,. c,,,,, 

rénées-Orentalest 5.987 dans t'Aude: 3.178 da. 

l'Hérault. etc. 

Pour de soi est des Portugais, le Gers - net 

tient hz tête - en pespéde 303. le Vienne. 255, 

I. Haute-Garonne. 176, /a Gooncle, 24. les Hem. 

mePyiénées, 12 ert la Dordogne. II. 

En Tarn...Garonne enèn roat cimes 383 lia. 

L'INCIDENT DE SMYRNE 

Letares. 8 I évger. - Le correepondent du 

Dang Te/egraph à Constantinople télégraphia à 

son journal, à la date di 7 février 

J'ai été reçu, done la journée d'hier. au g.rtier 

général du gouverner.ot turc per Ados, 

Bey. Je lui ai posé des queetione au sujet de l'in, 

aident de Smyrne. qui panât prendre une tournure 

O.. m.", 

Adnan-Bey m'a répondu que l'effane rle 

Smyrne n'était pas sériez.. Je ne pure vous faire 

aucune déclaration officielle. car en ce mornent 

nous worfraes encore en désaccord avec les hauts 

corurnis.ires alliée, mais je vont le répète, l'effaire 

n'aura ma d'importai... 

i/ ne fout jose croire que le gouvernement 

d'Angora n'a remit, aux Alliés pour revecuatiote 

de lama navires nu'es prairie de 36 heure.. 

ir Dep., longtemps, une ordonnance avait été 

pri'e par le gouverneur de la place forts de 

Smyrne interdisant l'entrée dee nyvirea do guerre 

étrengers de la rade de Smyrne, Le -note de 

gouvernement ottoman feulement mondé eette 

diaprait:en. Certainement, le. eiée connaiesalent 

cette interdiction de edjonmer clms la 

rade de Smyrne, mais n'en avaient Lemaire tenu 

compte. 1/ fallait bien que cette eit.tion prit 

Sn. Toumfois, l'incident sera réglé certainement 

O l'amiable s. 

LES FORCES NAVALES ALLIEES A SAIYRNT. 

Parie. 8 férarig. - Ports est earte nourri:Hes de 

Smyrne. 

s. laisse Pee d'étonner. 

La France a devant Smyrne les bâtime.e euh 

'1;e.; 

gnelree. 400 th.. 

L'Angleterre est repréeentée par le Xmiemr, 

combryon, 5.60 tonne.: lm Etats-Unis Pdr guette 

groe met:Regs: Fltolie, per le croise. Verrephin 

de IO. tonne, rs unreude, en, In 

croiseur Arni,l-Tromp. 5.000 tonnes. 

UN NOUVEAU ISOLAI DU GOUVERNEUR 

1-ondres, O. raznde de Constantinonle one le 

immierneir de Smyrne aurait informé le mime' 

de Fiance qu'un neuve.. déni de heare. 

accordé pour le départ dee negiree de inserts, 

afin a permettre 50 

instructions d'Angor., 

mil.lealealts.Mee.0 

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dernes, viennent à l'appui de cette ma- 

Sertion. 

Noua ne roulans pas, bien entendu 

entreprendre lcd l'hiatorique de cm me- 

Outre que let relafion qui s'y attache 

aemblable travail 1-1011$ demanderait dot 

volumes. 

Mais no. croyons devoir dire un mot 

de l'un d'eux, près duquel va se passer 

Mia dos prineipanx faits de cotte lois' 

traire. 

Il s'agit de l'hâte/ des Invalides. 

D'abord, une rectification. Tout le 

monde, ou à pau près, est convaincu que 

ut n c'eut Louis XIV qui, le p entier. ot 

cons im un asile pour les soldats 

infirmes ni. âgés. 

pour Henri avait aimés comme en cet instant, et, il 

Alio. le suis folle. dut smpartient à Flenri IV. lequel 

ne tenni' P." ''' P" rern`.. ." aVant tout 

Rien n'est plus simple que Ca qt, d se'rer dans ses bras. ' 

mitre a seine à hospitaliser les vieux dé 

est allé faire. et dans &ex heures. sans Mais parvenant a dompter cette em 

, 

avant mème il sera revenu là. tion qu il attribua, à une excitation, net: aA, Pee eee "Joins, ils (usseut d'abord caserlarcine 

en attendant mieux. 

dresan mie t'ai Pd. lui qui di. .nd ni 7enne liRevdilime P. t, ennui ...yu" P-,,e, 

aisément inquiète. n'' à ote, iard, lem nombre 

fi-indrn aven Anl'nrn. augmen- 

poaara ntaki.eita raisanaar, il nn nfim" 

Au- plus qu'à aller rejoindre le marquis et à t-nt Bingn.n. chaque iour, 1_,0111.9 XIII leur assigna 

npp,..aana aia; na, aananamer remplir convenablement ses fonctions de c . 

In ou... 

à mesure que le tempe marchait second. 

Ela nen cate Lagardere en metatnt le 

l'Hôte/ actuel des Invalides fut fanda nar 

pied hors de son hôtel, ressentit, COMMENT MEURT UN tIEROS la P.' Soiei/ à Tintigatinn 

lui 

du marquis de 

s 

aunsi un trouble mexptIcable p! s e On peut dire de Paris ce qu'on adit Libéral Bruant. 

am mec, 

Il lai parut que le ciel, bien qu'admis d, Rome : qu'il a écrit Ini-nrâtne se/ 

rablement constellé s'asombriscHt tout à histoire en pierre de tait!. 

Un mu plus tend, Jules Hardauin_maa. 

c,m et prenait une teinte livide. sssd fournisaait la 

Pl. de cent monuments masmette du majes- 

D'un Mouvement inconscient 

célabrne. téeux dôme dont il dirigea la il se I., qu'ils remontent alla premiers âges de tic,. 

constructourna 

vera sa demeure, où étaient les sa formation ou datent des terres mo- Ce Mansard, bâtons-neus de le dire, 

Cousail de Cabinet 

Paris. 8 février. - Lee ministree et a...- 

clEmt a. sont réunis de matin. eu nticréné'nistèredes 

effanes étrangères, en coneeil de cabinet. 

mua M pr2iderge de M. Poincaré. 

Le président du mes.' donné connals..e 

à se, collégues des dernièree nouvelles pmve. 

aoeadn' terattoima cornaée et le. a fait un en- 

- de la situation dam le Proche-Chient. 

Le revte de la Mem. a die conencré a 

dition dez affaires courantes. 

Une grève à Tarbes 

Teibea, 8 février - Queue cents ouvriers des 

seines de emerirtio0.5 élemidnes de Some, se 

mettent en enlise en' no vineieo contre le ace, 

gement d'une dre,...., do suis catnsoade. 

Le pT nier continuent de la classe 

1921 sel reuvoye en avril ? 

Paris, 8 février. 

Le premier contingent de la cl.se 1921 

aura termine' deux ans de xepeice en avril 

prochain. Serai-il, à cette eate, renvoyé 

dans ses foyers comme il en fut pour les 

claérns précédentes, entés deux ana de 

service ,, I 

Nous pouvons dire que quelques cePctas 

au p.aient hier cette question dans 

les couloirs du Palais.Bourgon. Les uns 

se montraient inquiets au sitiet de cette 

libération. D'autre», au contraire, déjà 

jusqu'auboutistes, envisageaient 2t0ec set'élite. 

que lel gouvernement salait toblieé 

do rani tenir le corringent libérable sous 

/es, drapeaux en raison de l'occupation 

de la Ruhr. 

On liqui :e et (ri s'en va 

Paris, 8 M'arien 

En vérité, le parti commtnrsta - 

ce qu'il en reste - est bien qualifié pour 

critiquer notm Parti t alors que celui-ci 

'mol,,: jamais ausei nombantur e" auasi vi- Prague. 8 février - las Tribunr. commentant 

t a d Ise01 td on du 1 eur s offert.u ° "'"'"' rk"`mv. mmm 

peu plus chaque jour, 

domtate un mécontentement crois.nt 

Voici encore de tain de la casu ouvrière 

nouveamrdéparte communiste, contre oetitt 

t le en; la airt,ai. Ove 

citoyen Darrroy, d'puta. de Paris, a en. dan, le fait ove 0 déléguée air 132 ont rosses 

voyé sa démission rue Lafayette. « com- b 

Congréa osant le fin dee tonnent Une nPPed- 

0201,11. Palulen 

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dela Fana» àllierein. a« Pa. 

ROI DES TONIQUES, infuse une c,.e nouvelle à tous veut dont la 

santés, usée par telptasit, les erals, les meladl'actiun dr hilitanteees perschaudsraux 

ANÉMIQUES-NEURASTHÉNIVES-IMPWSSANTS 

Nelebn arTeepayn, dee...d se easmis,- Le ...ms. fr. 70, L0 n.mm, mnm,. 

ameeiWiee »9:1, rIee.U.e'eme:gre;;;',1 - 

était le neveu du célèbre François Mansard. 

architecte de la Banque de Foute, 

de l'hôtel Carnavalet et da Val-de-Grâcet 

1 ixokette cocatruisit le palais et la chapelle 

de Versaillee, altTal que In. places 

Vendôme, et deo Victoires. 

Mas son plus beau titre à la gloire, 

est assurément celui d'avoir servi de par 

an Aces soupentes voisines du ciel. lea 

ourrasurdes. 

Le marquis de Louvoie d'une activité 

fièrement une fois par semaine. 

Ma'n ueét accès de vanité poil eût, 

loI valat une leçon de la part de 

Louis XIV. 

Ce ransnier &tant venu un lote, hiauoai 

VOir el le monument allait Rire biennat 

aebervé. remarqua avec une surprise non 

dissimulée que les armes de son minist. 

3 ituiovl sc ptees n p Unie, 9 nefl,oitn. 

cranblable outres 

c 'idancl, il /es fit sur-le-eh-man, et devant 

lui, briser à coups de maillet. 

Tr l'off robe 0000 mot dire, 

eomprit qu'il eat été imprudent de réstie 

ter - 

Temnfols, il imagina la rue avivons, 

[O.,- faire Savo.T lo murtrirdi am'il avait 

;menine à I odi cation de l'hôtel. 

doe toe-e-dee epti aman:none-. 

facadasIl, cimmièrn. e, entrant dans 

am, d'honneur). il fit olaceor n 

les coites abattue, tsar loceni 

ptdellea entourent, la rgt, restant à moitié 

cachée sous une tolu. de palmes et 

Piétement dégoûté n. Le citoyen Gérard. 

maire et treize conseillers municipaux du 

Kremlin-Bicêtre, un des centres les plus 

prolétariens de la banlieue parisienne, 

viennent a leur tour de ee retirer de ce 

bateau en détresse. Et maintenant, à qui 

le tour --- 

La crise économique en suisse 

Genève, 8 février. - La cieo économique 

qui sévit en Suisse par suite du change 

élevé a atteim une telle ocuita, que le 

nombre des faillites est en forte augmens 

tenon 

En 1922, on en a enreiristri 682 contre 

677 en 1921. et 455 en 1920, Pour lemédire 

au chômage résultant de cetts crise 

des démachns ont été faites en France. 

nous le contrale du département de l'écu'1 

»ortie publique, afin de trouver à cocu- 

pro ln mnind'reuvre agricole. noammant r a.- ÉDITION HEBDOMADAIRE ;99. 

celle provenant d, cantons de Cala/ L'ACTUALITE ILLUSTRÉE 

Friboarg et Neuchâtel Ces -démarches TRAVAIL-SCIENCES-LETTRES-ARTS 

sont sur le maint d'abouti, 

Une coannussion d'experts ment de 

rentrer d'un voyage d'inforirsstion en 

France et a remis sran rapport nu consel. 

ler fédéra' Schulthes3 1 cette commission 

a viaitfi, en compagnie d'un repraaaatant 

du gouvernement français, afx départements 

où il y a ale nombreux domaines et 

fe-men susceptibles d'être exploités. Il Y 

mea d, la place pour plusieurs nen-as 

de familles enti.es. Déjà 200 familtes 

princinalemenr du canton d- Fribourg, 

ont émigré dans ces contré,, notams 

ment dans le Lot-et-Garonne. Oe prévoit 

In création d'atm soniété avec participation 

financière de la Confédération et 

dee cantons iutereetlée. M Poiee,â, 

Bident du conseil, ami déclaré' d'neen..5 

en paincine, avec ce projet. Lee Pottrita, 

lers continuent. 

Le déclin du CoTmvisme 

en Trhumloviquie 

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les yeux dardant en plein sur la cour. 

1:3âne ce lonq oott u c'est l'emblème 

parlant du ministre. 

Le terrain sut lequel cora,t été nonoeetit 

thôtel était une vaste plaine qui servait 

de lieu de ris' ure 

de fête. 

Voici ccm.nnent poire valet de chams 

union aux Parisiens len jo geaient dans l 

Bellocq, dans cntte description, otbfie 

de nous dire nue l'extrémité; de ha plaine 

ea l'émail dee prias roulaient les cerosses 

O100éO liétolt p antee de bo,quets 

d'arbres oui forrnais,t tne Forte de petit 

bois s'étendant depuis presque la 

mine dee Invalida, jusqu'à l'entrée du 

bourg do Gros-Gal/ou. 

/nu, ...as sali- dl ce baie avait été 

abatte noue paamettre la construction 

des calumets et autres mauvais lieux dora 

nOus avons parlé plus haut. 

peur que rneseieurs les duelliste:, puas,ot 

yenir s'y trarsoercev à leur sise a m-.3 

c-dictc d'étra trochlée da. leurs intéressantes 

occupations. 

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c'était encore bien Miette. 

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dee syndicats communistes seront invitée à de- 

du m....'"cderl'urhrreéin7hec égrettionde'ns'l'e.1!:' 

do 'a pedica7u. . ao. 

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vert et a. 

On aurait pu y massacrer un régiment 

sans qu'on son doutât 

Une derri-heure avant que Lagardère 

quittât sa demeureame nuinaaine d'heme 

mes sortant du .ros-C Gaillou s'engaa 

e beee nt se dirigeaient vere 

lapartie qui aboutisasit aux Invalides. 

Peyrolles et Knausa étaie--t à leur tête. 

bre Bellocq dé-rit ce tera.rin et le monte 

ment qui comme:me à e Y élever 

Tous étdient ce qu'il y avait de pia en 

fait oie vires ,clenspans. 

prodigieuse, hâta fort les travaux de nia.) 

las Invalides qu'il venait viaiter 

O. d'os puasse.< sente. ardeur Ichccieusel 

Votai la matas pleine où l'email dee prao 

1 oent tin sil plia tat es cm-esses doré., 

Vol-1 le, mAnnev chines ea 'leo herbes nouvel. 

No peanettoient qu'eux fieur. de s'élever el.. 

Et ro, en r

1.es Notions votées - Bibliothèque de Toulouse

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