TEE CIRQUE - Bibliothèque de Toulouse

ABONNEMENTS
s mn. M Ir., 8.5s 13 Ira I es 83
ruonew
IIMS1111111101111111mmll
IULES GUESDE
DOIIT LE PARTI A CELEBRE HIER A PARIS, L'ANNIVERSAIRE EN
mEmE TEMPS QUE CELUI DE MURES, AU COURS D'UNE GRANDE
MANIFESTATION DONT NOUS DONNERONS DEMAIN UNE REL.4.
TION DETAILLEE.
e la loi, détroussent l'épargne.
Ce n'est point un _régime civiliséirae
celui qui, soin le prétexte d'aller
' PPrendre à rame aux peuples d'Asie
t d'Afrique, s'installe ch. e. -à
Coups de canon, s'empare des riches-
00s privées et naturelras et gauverne
Par le fer et par le fera
Ce n'est point un régime civilisé
e celui qui durant quatre années.
cons.rd toutes ses ressoe tes, ses
découvertes, le génie de ses savants à
massacrer en âérie quinze à vingt millions
d'hommes.
La civilisation, la vraie, celle
que le soemhuue apporte dans son
et dans sa raison, est outre chose.
On peut même dire que c'est tout
Fe contraire.
PAUL FAURE.
ALGERIE, eu ESPAGNE, as MAROC,
EM A. O. F. et es AMÉRIQUE DU SUD
pe
Senterent. GÊNÉRALE nEnneosTALIS
a, A.nee Friedieed, PARIS (el
.s LireS. Se.2g et
rtlloan: leslrtffs'eng."''
Si ses forces. dans /es dernier. années,
avaient iiiminuè et trahissaient
lile000i, Il e.gAgreal:g.g,g2.1-pr1i:
Faction de plus en plus eohntente
do-
tredereàu.r:."
sa droiture, sa probité, se 01%.
giig'711 1005 00 000 rOiolriirnll pour
VêTérage'dee9'inUehenughhe
écoutait toutours Bei conseils avee une
ru Oineer.. conne da. ma
tempe nut commencent h ouraltre re-
S O CIALISTE
Les grèves du Nèrd
prennent une nouvelle ampleur
atm
La mauvaise volonté patronale
100.000 ouvriers du textile en grève
L. ouvriers du Consortium textile
de la région de Roubaix, Tourcomg,
Lanno et Kalluin ont voté la grève
générale du textile a une majorité
importante :
Voici le texte de la motion qui a
été adoptée :
Les ouvriers ot ouvrières du textale
de Denumix et des environs adhérents
do bandleatt confédéré du textile
4 wbala, réunis le dimanche
soid. 8 la aune des fêtes de la rue
1Katnee, apsta avoir entendu le
compte rendu de la .mmission syndicale
sur d'entrevue du ministère du
travail, à propos de la mime de fidélité
et de la question de l'augmentation
des salaires, déclarent 0051 n'est
pas possible d'accepter la prime de
fidélité inetituée par /e Consortium
dans /a forme et avec les conditions
imimSe sans accepter par cela
même une atteinte b leur dignité et à
".
Décident, dans ces conditions, qu'il
y a lieu de cesser le travail dès demain
lundi 4 août, au matin, dans
toutes les usines où cette prime de
&tete est maintenue, et mante les
ouvriers des usines qui ont obtenu
sahsfaction à continuer le travail,
mais à s'engager verser, chaque semaine,
leur obole pour leurs camarades
des autres usines en grève;
Font confiance aux eommisstons
des syndicats de la C. G. T. de Rou-
I. LEBAS
maire de Roubaix, gut présenta jeudi
la délégation ouvrière 5 M. Pierre Laval.
atteetalattecentetaesestalteffleeteStstate.
lois R,ocrms os anus Orlon croIes, uons
ne senllmenc O, noue, nets
gnerr;su
I stase daoaiit,
l'exuresslon de nos eentlmente
fraternele nondulé... nnuil gan
ton, e
00 an deei ignent"I'lg ' t1atir"'"' 4
la eonstante
"
280011E Dearousseautd-
l'unanimité la plus complète règne,
0. ce point, entre taus I.' industriels
textiles de notre région. Nous
déplorons que les éléments raisonnables
de notre population ouvrière,
Ont, depuis plusieurs années, nons
avaient fait confiance, aient cru devoir,
dans no mouvement d'impatience
et sa., attendre d'avoir pu
éprouver les bienfaits que la loi leur
réserve, rendre les percepteurs, que
la loi e fait de nous, comptables de
leur propre contribution.
« Vous saurez user, monsieur le
Préfet de votre haute influence Pose
leur faire comprendre que, contrairement
à ce qui peut se passer pour
des commerçants ou des industriels,
qui ne.n'oenet rélte,1,1terreu
edLtter do la 000-
patronale que la loi nouvelle vient
de nous imposer, sans aucune atm-
Pensait., ne tom que rendre Plus
Précaires t'équilibre de nos entreprises
ct le maintien de leur activité.
< Il nous a semblé opportun d'appeler
l'attention de M. le président
du conseil sur la situation de nos industries
et sur la gravité de la menace
que font peser sur elle /a mise
en application de la toi des assurances
sociales et le pénible conflit
qu'elle a Prevoqeé.
L'AFFAIRE CUVÉLIER
Le nageur
fait appel
Palabres
imissermsewasea
Rédaction et Administration t SS. Rue Roquelalue .- TOULOUSE TéL 043 C. C. postaux s 2.277
BUREAUX A PARIS 28. rue Feydeau 12 Arrondissement) Téléshone s Gatenhera 70.28 01.21
TEE CIRQUE
AU VILLAGE
D'immen.it affiches violemment coloriées
venaient d'etre apposé. sur les
murs de 14 mairie du village non loin
Os l'église. Impossible de ne point les
voir. Je m'approchai. Le Cirque International
annonçait son pas.ge le soir
même.
La voiture de l'agent de publicité, un
Ors personnages les plus importants de la
compagnie, le précédait de plusieurs
heures et allait repartir dans quelque
autre hs,calité allécher la curiosité publie..
Une seule représentation précisaient
es quadruple colombier. Excellent
mores de faire cirque comble.
l'admirais, cependant qoos se formait
un rassemblement dont j'avais constitué
A PARIS
Hier, comma il avait été annoncé,
Paris, dans l'immen. salle Japy,
los soCia/istes de la Seine Se sont
réuni% pour mag.nifi. Jules Ou.de
Hier 31, Tardieu à Belfort; et Jean Jaurés b Poecasion de l'an-
Roui, à ; M. Ricolfi àNice; niversaire de leur mort.
M Ferry en Savoie; M. Paul Rey- La manifestation tt Commencé h
naud h Epinal ont cru bon de d. 13 beur.. Elle a été imposante et
.urir.
marquée de quelques incidents.
Rien entendu ils ont tous fait Des orateurs ont notrebé la vie de
l'epologie de leur règne et avec une nos doux grands artisans de t'unité.
plati,ude d'argumenta qui fait rite Une partie artistique êtaitepte
es pinurer tout anerambla . cette d...trek/Mûe
température. Et l'on est . plein air 'I
La foule dense, bruymre, grouillante, révar.
autour du mn!un et sur laquelle
tons un épais halo de fumée, évoque
l'image d'une gigantesque cuve bouit.
tonnante. Les conversations engagées
demi-ton emplissent fair de murmures
eut se tondent dans un bourdonnement
de guépe géante.
De temps d etre, le cri aigre et strident
d'un bébé auquel on vole son sommeil
fait dans ce va. ronronnement
une brève trouée.
Les quolibets, les Mzzis s'échangent
de plam à place, se succèdent, . pou.
suivent, se mêlent, s'entrecroisent. On
est au cirque. Une attitude compassée
nbst ries de rêgle. 1,es gens s'aban-
LEUR
CIVILISATION [SI MOU
Hélas I c'est un de nos plus vieux
ET LA NOTRE camarades qui disparaît encore I
La maladm. plus que tes années,
evatt depuis assez de temps affaibli t
pris l'exemple extrême, souli. Itatennientes Crlauleil de ai sot an sr,rir,
gré par M André Tardieu lui- ment son,,nom comme «Pané des Bou-
Troacin no.
rne dans sa confirmation innoion- 1Poeiriclue'snnsetrice's'70e'yg
ViJ'el
re du marxisme, d'un ratel/alla,me 'donnier avait rendus. pendant plus'
aboutissant à priver de moyens nor-
d'un denni.siele, h l'organisation du
Prolétariat; tant syndicale que
maux d'existence, neuf millions
hommes, artisans de sa prospérité, Né ti Pextora. dans VAT/e, le 2 jan-
neuf millions de producteurs de ses
ficiresses.
; Mais en temps ordinaire, sans me"
ces crises de surproducion
et de chômage devant lesquelles
'économie politique bourgeoise perd
rattendre Ion latin, est-ce que la ciailisation na-
1,italiste ne devrait pas être condamnée
par tous ceux qui ont de l'intelligence
et du bon sens, et un peu de
Sentiment?
; Ce n'ut point an régime ciOilisé
ceint qui permet à une classe dois
Fie et de parasites de faire main
?basse sur les fruits du travail de la
Masse des producteurs; qui fait que
',pus les progrès et les applications de
' ja scierme et do _génie de l'homme
n'ont d'autre but que_d'augrnenter _les
profits atlas jouissances des Possédants;
où des millions de malades
pentue périssent, faute de sains, où
es marchands de canons s'enrichissent
fabuleusement de la vante 'des. v'er 1Bee, il gagnait sa vle Marseill
armes à tocs les pays riva., et du dan 1 GeOnlie =tenté
Pillage du budget _de la notion; où
Sol enfants des écoles publiques meniront
dans la rue pour les laboratoires;
où l'Etat ne disposa pas d'hôpitrax
et de sanas pour les inberculeux,
mais où des milliers de chtdeaux et de
véritables palais,: parmi des parcs et
des bots demeurent Port. le. m. d
vele'os m d ; oit les financiers, a l'abri
toi
baix,
etc;,.
'Tourcoing, Lannoy, Halluin,
, pour continuer les négociations
rès des pat. et des pouvoirs
Ims, afin de faire nboutir les justes
revendications des travailleurs;
Se séparents aux cris de : e A bas
la prime de la fidélité I Vive l'organisation
syndleale I y
On estime que la décision prise Par
les ouvriers confédérés intéresse environ
cent mille ouvriers.
LA LETTRE DES PATRONS
DU TEXT/LE
AU PREFET DU NORD
En présence d'une telle situation,
Ire patrons du textile n'ont pas trouvé
d'antre solution que de prier le président
du conseil d'user de son influence
pocr faire cesser un mouvement
qui leur porte évidemment un
grave préjudice.
Voici le texte de la Ictire
t I p 'f t ri N d, 1
priant de la transmettre à M. Tardieu
e Matis avez bien voulu nous trans,
mettre les demamics d'entrevue qui
vous ont été adressées par le Syndicat
régional des travailleurs du tex..
lite, C. F. T. C., et par la chambre
syntlic,ale ouvrière de l'industme textile
de Lille, et insister auprès de
nons pour qu'il soit donné une suite
favorable.
e Nous vous avons fait connaltre
que nous avions reçu, entre temps,
d'on certain comité central de grèr,
une demande semblable et l'avis que
re comité déniait à la dé/égation
Le naeur CUVELIER
Syndicat confédéré du textile de
tille le pouvoir de discuter au nom Berlin. n août. Dis qu'il a euro.
naissance du verdict de Weissenfels le
des grévistes.
ministre de la justice de Prusse a
te Dans ces conditions, et malgré mandé au tribunal de Naumburg un
notre vif désir de vous être agrée- rapport détaillé sur Ms débats et, o-
Nie ct de répondre à votre obligeente Somment sur le cas du fonctionna re
intervention, nous avons déridé de Hauck qui avait mis au eouram es
renoncer à 10011 échange de vues aven témoins socialistes-nationalistes de ce
une délégation miel.... qui, dace qM se passait dans la salle des se
ces.
Sec eirconstences économiques pré-
Heu.. qui Malt en congé, s ra
s.pendu de ses banc.. à sa
sentes, ne sevrait aboutir S aucune Méo.
coneIri400 Pratiune
Le nageur Cuvette-, laIsse en dbe té
ttn'e i e Nous avons en l'hOnneur de verso Une On autorités allemandes, est 0
c Morio. -P. derMer, le eingliantenMre.
Deelors;Il n'y a Oint de lutte
exposer, dons notre lettre du 25 du Parti pour Parie Si a Interjeté al. el
loi e 000m oie COngrO courant, et au cours da nos divers et l'affaire sera examinée prochai
ment par un tribunal supérieur, L'arn.
Oil'Won.
entretiens, la situation très critique hassade de France veillera a ce lie
O loi loi, On, coin nop erse t de nos industries et de noms Prouve, tous Ira moyens de défense soient 5.
par des arguments et des chilTres sures u Cuvelier Mrs de la prochaine
getg. .ng'dego eal.:1riseÎeet5i0e'
nourquot II nous Malt unnossible audience.
s ,,orlêgn - d'envisager ancur. modification de
riait la prison, il connaît plus Our salaires. No. anus Confirmons que
e mor I norsetaition 0101 le frapp
Presq. dans '90n gagnepain se che
A la mémoire d'Hume Dollet
eb le reclu re par Ia ml sers .
En vai15. 00 0soit dalla I. greves
Paris, 3 août. Diverssn déléga-
me eéte r gl'erqstente
tions des groupements de gauche
noce entee. r per. disloquer le
avaient répondu, ce tutti, pluie
'::1"liettgitei tlerecr.nr.1? crm-
Maubert, à l'appel de la Fédération
e von cite Aussi. lorsqu'ennee
nationale dru libres-penseurs,
la ors enclell te
Fgri eere's itêe.
C den. est parmi les élus, et II est ad
o lot au inaire. Il était preerûleinment
O là entré au Conseil municipal
I 86. lorstme Marseffi, volait par sacfion.
nommé par lee travailleurs de I
011 d Mn '
Depuis. saut en ISM chaque. Men-
"o vo m"''"" o irs guI ton
O ni In mains o arts
Mais c'est 21 la chambre que le
'C'leicit':rrIls 'Mea ve
1.1002,.; en 1906, 'en 1910, en 1914,
Pour la première fois, n échoue en
/n24. mais c'est pour reprendre sa
afin
de saluer la mémoire du maltre-imprimeur
Etienne Dolet.
Après qu'une gerbe eut été déposée
Nntre 110110 montre le lion a Prince oui, dans l'Ontario, sauva le dompteur
Clodo Beatty en assommant d'un coup de patte un tigre qui s'était jeté sur
son maitre et Eavait blessé.
l'embryon, la science publicitaire des di- do.ent à leur naturel qui est vite re-
recteurs de l'établisseme. vagabond. venu après it peine un tour de piste,
Ouelle connaissance exacte de le psycho. Insensiblement, ces milliers de person-
1001e du public qui, presque toujours, nes qui ont payé à l'emrée le droit de
se laisse prendre a la réclame savante, s'éloulr glissent de la gateté t l'hilarité.
Prometteuse, astucieuse, hyperbolique I De baigner dans cette atmosphère colle-
Aux ours blancs, lions, tigres, panthêtive de grands goanost la recherche du
res. boas, éléphants, chevaux, danseurs, rire. leur prédisposition à des joies sim-
sauteurs, acrobates, équilibristes, chanules et sainos gagro encore en facilité.
teurs. clowns, artistes centaines » Les hommes ont par moments une psy-
et négresses à plateaux était dévolue la chologie d'.fants. Et le spectacle inc
mission de réjouir et de distraire la po- Pal sous les yeux me confirme dans
pulation.
cette conviction que non seulement le
L'arrivée de . cirque au programme oeunle n'est pas .rnolloué, eu end ne
bien fourni prenait les emportions d'un souffre aucune contestation, mais est
événement considérable e venait rom- d'une santé morale, d'une pureté de senore
les habimdm des villageois qu'une timents qui devraient lui mériter une
existence repliée et monotone rendait vie autre que celle que lui dispense une
friands d'imPrévu.
civilisation dite supérieure, mais qui
Cela allait etre l'occasion de revêtir plonge ses racines dans l'inégalité st
le complet de confection récemment Perversion.
acheté à la Belle jardiniere au la robe 000
en provenance directe des soldes de' la
Des martèlements d'impatience, des
samaritaine.
quelque chose comme un tour
réclamations scandées dans une berme-
Os fête.
j A ma moi, le ca/culais qu'un tel proa
, p e t t Op :0,
demandait prés 000e ioure, mais j°
ne doutais point que la directi., selon
un vieil usage, se fût réservé le droit
Os le modifier. -
le décidai d'assister à le reptéseu-'
nation.
0 0 0
Ici. une confession, dût-elle entredner,
511100 égard un lugement sévére'et
maire
le n'aime 'guère le théâtre, et c'est un
Peu la faute des entr'actes. Encore moins
le music-hala os la perfection es rarement
atteinte L'opérette 0 ntente
Des davantage, car j'a/ cette exigen. de
vouloir comprendre oe que les aeeurs
chantent.
l'ai, par contre, pour le cinéma, en
dépit du r, parlant a et du « chantant a,
un penchant qui va s'accusant et je le
considère comme un art merveilleux mil
tiendra dans l'avenir plus qu'il ne parait
promettre dans le présent.
Et le cirque ? 1m étais aile lima
plusieurs années. Aussi ne me rappelais-le
plus guère mes Impressions trop
lointaines. Je ne saurais donc dire si celes
QUe l'ai ressenties l'autre tour rejetm'aient
les anciennes. Mais je dois ma> Le maitre de Eaaar et troli
quer que trois heures durant l'al connu, de ses gma-ieuses girls.
bien rate. .mme prudemment prévu, te
sur I. soele, la .crétaire de la Fé- programme eat été assez sensiblement nie oui souligne l'exigence unanime condération
do la Seine, M. Albert Le élagué, un agrément soute..
traienent la direction O PréciPitet les
Erasseur, rappela le martyr de ...Sur les gradins circulaires, plus de opérations. Les derniers clients sont ha-
oc Dolet, dont Puvre, dit-il fit une trois mille personnes dont l'haleine chantivernent placés par de gentils boys, qui
braies dans l'obscurantisme MOyende fait monter de plusieurs degrés le ne sont antres que /es danseuses vétuee
nageux
Puis, au nom de la Fédération
nationale M. Ernale Noel, évoquant
lino foule énorme y assistait.
tout le passé de la pensée libre, ex-
C'est un su.. pour /a Fédéraposa
tout qu'on attendait d'elle. En l'honneur tion de la Seine qui, peu b pou re-
Les groupes, auxquels s'étaient
monte le courant bolcheviste.
jojints de nombreux curieux, se
A demain des détails circonstan-
de nos maîtres vénérés
dispersèrent sans incident
ciés.
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
25 CENT.,
L'HIVER EN AOUT
L'OCEAN INTENABLE
On sisnale de Lorient qu'une v.'ente
...a. do Sud-Ouest a soufflé. cens
nuit et ce mahn, sur Ms cat., sud de
Bretesne. nevisation e dû être inter.
rompue. Le. patrons de thon.... chalutier.,
qui rentrent ter port. dielment
qu'au lests lame, set eu.si houle,,s que
pendant les grande. tempêtes d'hiver. Ce
phénomène en tout à UR et...tate...g tu
tette «set, .
cour la circonstanne en er.me, et le
premier cheval ceracole sur la piste.
A partir de cet instant, le programme
va se dérouler sans répit.
l'applaudis au succès du dresseur qui
obtient de ses chevaux qu'lle ne come
promettent pas sa réputation.
le bisse, comme tout le monde, leo
sauteurs dont l'ai apprécia Pagilite di
eue., j'éprouve quelques émotions d,
voir les cyclistes acrobates prendre l'aie,
pour 100001e et se livrer it des tarifai,
sies qui n'ont de rapports avee le Sfiort
de la pédale que ceux de l'imagination
et de la témérité. Ea.omPlie eI.e.
« voyage aux Indes o au cours duquel
des éléphants placides donnent /a preuve
de leur docilité, cependant que de
eracieuses ballerinet au ryti.e eng..
dl d'une musique nostalgique, complètent
l'ambiance par les mouvements alanguis
de leurs corps ondoyants. Et le danseur
hindou, dans le cadre simule de son paye
ee mystûre, Dein faire admirer son torse
nu et son art chorégraphique lait tout
ensemble de force, de lenteur et de
souplesse.
Mes bravos vont aussi au dompteur qui
sait imposer sa volonté aux lions à la
e.ule menaçante et aux rugi.ements
féroces, en ayant recours tour e tour 1
la caresse qui persuade ou à la viole.°
.1 domine. Le combat du prtnce de /a
Mule, contraint de maîtriser en 101 ses
instincts sauvages pour faire sa soumis.
alun à l'homme, me parait symbolique
Or la puissance de ce dernier. Que n'ap-
Mieued.fi ses facultés à terrasser
justice comme il discipline la Bête.
l'accorde à Arlequin, d Pierrot et e te
Bene qu'ils se disputent tout l'intérêt
auras méritent dans leurs exercices
équestres, mais non sans regretter qu'ils
aient cru devoir y osier des fsntaisiea
mièvres qui énervent l'attention du spec,
teeur.
Amuser n'est pas un art facUe. je bet
donc des mai05 pour remercier les Au,
euene de leurs efforts méritoires. Oh
le ne dirai certes pas d'eux, comme Andersen
de son Polichinelle, que elaa,
cun de leurs gestes est une comédie. SI
les clowns de génie sont rares, les bons
clowns ne sont pas très nombreux. Charlot,
gui eût pu etre aussi bien un grand
treeedien que In Roi du Ers, s'est Ira
Morinme du nUe de « Molière de Técran,,.
OS est le clown génial dant on
pourrait dire qu'il est le tt Molière, de
leriarem. ?
Les clowns que j'al encouragés de mes
applaudissements sont de braves bougres
de travailleurs qui font ,conkiencienset
ment leur besogne, gagnant honnêtement
leur vie et qui, rentrés dans leur roulotta
retrouvent sous le fard qui parachève
leur déguisement burlesque le masque de
mélancolie qui recouvre souvere le vb
saae de ceux dont le métier est de faire
rire.
La représentation ne s'est pom ache-
'Ma sans l'habituel numéro apothéotique.
soi cemmémorait le Centenaire de l'AU
Rétie. Entendez qu'une trentaine de gille
divisées en trois grenues et costumées en
5050m firent irruption sur la piste. Les
burnous, dans chaque groupe représentaient
une des trois couleurs du drapeau
franeais. AU commandement discret
du maitre de ballet, la gracieuse
troupe s'égaillait, s'alignait, se déployait
muttipliait les formations sans que lamais
fusse. séparées I. couleurs de
l'emblème national dont on avait Pimpression
de voir les plis ,s'ouvrir et se
refermer.
Ces mouvements, apparemmeM si.
pl., mais qui décelaient une longue étu.
de. de l'ingéniosité et une mise au point
patiente produisaient un tel effet en.,
mollie et l'ensemble de ces girls jeunet
et souriantes formait un tableau si fra,
que le public éclatait en bravos nourri.
Sans nous attarder à son inspiration,
convenons que oe .naére avait été et'
clé avec goût et que le côté spectaculaire
n'avait en rien porté tort au côté artis-
Le maitre de ballet, M. Loismark,
venait ainsi de nous promener en Algérie.
Des Indes en Afrique du Nord, la
distance est grande. Nous l'ayons vite
parcour.. Nous ha prédisons que 10
aussi fera du chemin. Visiblement,
possède un talent qui ne demande qu'a
prendre an essor. Aprés la piste, la
scène. Le succès se conquiert. Nous lui
souhaitons bomie chance.
...Vous le voyez, It condition évider.
ment que vous m'accordiez quelque cre
dit. le cirque forain a droit O votre sym.
rethie. Je lui connais des rivaux instab
les demeure et grands frais, it Parti
et dans telles autres villes, end parfois,
pourraient jalouser son programme. Mak
il m'a semblé que le discrédit Vattel.
Ruait ini.tement.
l'en ai donc tente comme la reluite
Muon.
Marcel HTLIOUTC.
Royan. 3 août. -- Le mauvais tem>.
sévis.snl depuis hier sur la région, les
navires de la demdème escadre, mouillé.
sur rade, ont dû sonateiller
sier au Verdon.
LA FOUDRE
Sommières. 3 août A Avère, sa
coma eu. violeul orage, le foudre e.,1
tmulnée sur une maison habitée tate le
famille Pouiol. Ls Reida en entrée Pias
la fenêtre, a tué la mère et la fille et
commotionné le Pêre et le Me'
VIOLENTEM,GiLLIIt LE GARD
Montpellier. 3 août.
Un oiage d:uns
violence extrême s'est lastm sur I Hérutin
et le Tond. Le foudre est tombés
sur la aere d. Lunel, provoque. nee
commencement
LUNDI I AOUT 1991 1
lamais été ne fut plus saturé d'ao.
quence gouvernementale.
Pas étonnant qu'il pleuve.
d'incendie dan. la salle
des pas perdu. L. feu été rapide...a
éteint pur I. tstreennel d. la ter.

Nonvelles Internationales
r.as.rasemwsrorwarArermermArdssrarosonsrwartrarwinsureseurnsmrmrerrusraneesrarse
EN ANGLETERRE
EN ALLEMAGNE
Le "front unique
;de la bourgeoisie
contre le socialisme
l Berlin, 2 août (Dép. Hat.).
;
r. Stol, cher du parti populiele, le
Fans Une lettre mn] a adreeSée au
' r Foch, chef du nouveau parti de
1.'Etat déclare que si sa personne
1 résente e
un attacte à la fusion du
/ asti populiste avec le parti de FE-
'
ut, il est prêt à. se retirer de la dl.
eation du nouveau parti, afin d'en.
ltmlner tout ce qui pourrait empêcher
'Oette fusion, attendant du Dr Ste/.
'lieu fasse de même, laissant ainsi
la direction du parb de l'Etat A
,Irl'auGes, C'est le tau/ moyen, asti'
:Me le Dr Roch, permettant de ram
pembler en un .111 grand parti, tous
es électeurs d'une même opinion
l re posSible la formation d'une mmt
Our la lutte électorale, afin de rem
Mité au nouveau Reichetag.
A la suite de cette lettre, hi Dr
Roth S'est retiré du comité d'action
Du parti de l'Etat et a été remplacé
tar /e Dr. Floepker-Aschoff, Mais-
re des Financee de Prusse.
La lettre du Dr. Koch a été an-
tienne avec un grand intérêt dans
es milieux politiqués. Sa proposition
ernasdant me le Dr Stol. se retire
gaiement de la direction du parti
rencontre ime opposition unanime
mu sein du parti populiste. On eut
d'avis que le Or Koch qui avait été
i'Vernent an tiqué ces derniers temps
. an.e son propre parti aurait, de tout-
e layon été obligé de se retirer,
Pour le moment, on eetirne qu'il
.8c y a aucune raison que le Dr.
etole abandonne son poste de chef de
m'IL Par contre, on estime dans
etti milieux populistes qu'A la toits
e la /Mt. du Dr. Koch, il est nos-
/cible qu'eue entente entre tes deux
/partis puisse être réali8ée ; mais
que la formation d'un nouveau parti
!comprenant le parti populiste et le
Marti de l'Efat ne serait poire pas-
/Mb/a avant les élections,
Cl ne resterait donc an parti de
eEtas qu'une seule possibilité, celle
de s'entendre avee les quatre autres
daartis du milieu, en vue d'erse an-
1Mon commune pour /es éiections.
i Les prolets financiers du Reich
/Berlin, 2 août (Dép. information).
On Ls rappelle que ,dans /es pro-
ets financiers du gouvernement, il
. tait prévu une action pour l'abat-
ement des prix de vente des pro.
fulls industriels.
Des négociations dans ce sens cern-
;Imencerost lundi entre le chancelier
t. les chefs de Pindimtrie allemande.
On considère, dans les milieux mu-
Mernernentaux, qu'il n'y a pas ed-
lquivalenee équitable entre les prix
Me revient et les prix de vente.
Le gouvernement serait décidé, en
*fts d'échec des pournarters qui vont
'engager, & décréter la dissolution
Mes calais pour établir le lare cor-
[Mal de /a concurrence.
1 Des entremises de travaux publics
n Perlin, 2 août (Dép. hiformatêon).
.-e Une société allemande de travaux
leiblics vient de se collent.r. Le bi-
rean d'ouverture comporte des reser-
letes liquides de 105 millions de marks
'le, un capital soûla/ de 150 minions.
II s'agit de créer, dans le Reich,
Le Ir une série d'entreprises desti.
'rifts â employer une partie de Cd-
Meurs.
La diminution des salaires
' Berlin, 2 août (Dép. in(ormation).
.. On mande de Breslau que les in.
ehistriels de la Basse-Silesie ont fait
>avoir aux organisations ouvrières
qu'ils denonement tee tarifs en st-
emm et la date du so septembre.
lis ont l'Intention d'appliquer un
>battement de salaires de 10 p, cent
et justifient cette mesure par la gra-
!vit,. de la crise économique.
L'article 48 en Rsviére
. Berlin, 2 mût (enferma/ion).
'On monde de Munieb que le goaver-
devient bavarois, impumeant à faire
ndopMe par le Landtag les Mesuras
neeolee ProPree te équilibrer le bud-
,get, vient de «eider la mise en vi-
ligueur de Pardele 48 de la Censtite-
rtion de Weimar, relatif aux décrets-
..,,..
Les rapports sino-rustes
Chanel., t août. Dans une In.
teeview relative it la conférence sine.
eovenique, une personnalité des Anal-
' mre:e?n,geee.. ee..àéce:
s'occupera effleurent des questions fer-
lie"%preceonredûlrotofeOrle"e"deS
Khabarovsk.
Cette declaratfon contredit les «cela
rations récentee d'autres poilu 00e
noie qui annoncent que Nankin accep-
tereit l'extension de /a competence de
/a conférence.
Ces divergenCes caractérisent les hese
talions du ministère chinois, tiraille en.
Ce les russophiles et /es soviétophobes.
Elles soulignent aussi les difeculte
particulières ft Nankin, dont les proble
mes interieure aflaiblissent M position
extérieure. Il serait prudent de prévoir
un nouveaù- tetard pour l'ouverture
etee négociations.
De partout
La situylioel en dlahanistan. L'd-
geRee /Muter apprend que, dapres les
/Diagrammes officie. reçus Mer a
Londres de Caboul, le calme est com,
NI.IZIRM0r111.C.Itneunv.ee:
tneni &la 51100 ion bien en maina
F....les contre un député Ugyp-
tku. On croit Mie le gouvecoeovet
enyieage Pmrsulêrtt /re--"'
cuisina.aatsss000 auMate
Purt.Said, dânt
el-tu,c leodL
oe
pohétesance te l'injonction meddliai de
tion.palement des Mue.
PUconverte «arums en élicmadne,
L tel snt2e,lere 21'1=1
ti`e: de la relie le Lelpele. SiOu le
arrotaastratte, ces armes aurarent Olé
dissimulees par des membres du parti
GoinmimMt, Plusleues arrestatiene ont
eue °per.*
LA MORT D'UN APOTRE
Camille
Prampolini
se poursuivent Camille Prampolini, l'ancien dépu-
té de Regg;o-Emilie, dont nous avons
hier annoncé 0 mort, était le plus
aimé
le pl. tendrement et religieu-
sement idolâtré, si je puis dire des
leaders du mouvement socialiete
Il était issu d'une modeste famille
bourgeoise ; hu même, pendant son
adolescence, était coneervateur et raya-
liste, lorsque étudiant en droit
i/ conemença t obserVer et à réfléchir.
Il fut profondément touché par le
spectacle de la misère, de rabjectMn,
de l'abrutissement dans lesquels Del-
Laient leur vie lei pauvres paysans de
son Emilie natale ; et aussi de la ré-
mgnation et de la servitude intellec-
t'elle que leur imposait une prédira-
bon catholique qui n'avait rien de
chrétien, qui lui semblait, au centrai-
re, la négation la plus flagrante de la
DANS L'INDE
Les négociations
avec Gandhi
Poona, t août. M. Sayaker ueu
Sine un entretien d'utte heure avec
Gandhi. A l'issue de cette conversa.
tua, teL layakar a déclare qu'il atc
tendait la décision du vice-roi sur
la proposition quo sil Tel Salent et
loi mimefreinent &tannise, suggé-
rant une réponse des truie chefs du
congrès te Yerod.
Condamnations
Calcutta, 2 aval. MM. Iugalt.i.
Shore Dar, rédactestr du journal lei-
berty, organe du congrès de Ben-
gale, et Brojendrana Gupta, napels
moue et éditeur du journal Advan.
ont été condamnés chacun à une
amende de 1.000 roupies pour incha,
lion à la campagne d'intimidatiOne
Ca caution de 2.000 roupies, &po-
ete par liMprimeut du journal L
berty a êté confisquée Une nouvella
mut. de 4.000 roupies lui a ét6 doctrme du Clirist r servitude à la-
demandée. quelle ils ne ne soustrayaient parfois
Arrestations
que par l'inanité de quelques acte de
rébellion fugitive et ineonsciemment
Bombay, 2 août.
On a arrêté ce
matin AL Valla.bhal Patel, le pandit anarchiste.
Malavya et quatre autres venge.- Ces constatations qui, cime la plu-
cistes. part des jeunes gens de cet âge, pas'
Tif. Vallubhal Fatal et /e pandit sent sa. bisser de trace, aVeient
Malavya s'étaient matée hier soir à creusé un sillon profond dans son es-
une manifestation organise° a la mé- rit ase6ff' de ist'n'et nb.êt é d''
moire du leader nationaliste Tliaie.
Les manifestante s'étant vu interdl, jeung,ernce en de Pan' .gn.2nnne
re l'eMrée du quartier de Fort Par uvrliva. n dêy . te/la rtwia.
des cordons de police, s'étaient d."., lin demi-siècle, 'lê non p. un da épe-
croupis dans la rue et avaient refusê erre, mais l'apôtre le plus vrai, le
dues diSperarr. plus haut ri le plus humble à la
fois encratisme italien.
La boycottage s'étend
Londree, 2 août Bleu. Information). n .ygit nomPrls dane S'hh,élé
D'apr. lee dernieres nouvelles pare" evitaliste, 0 est difficile d'attribuer
sektee,,,
iL:%Ltieres les_eveta aux individus r.ponsabilité des
I
i
peu,. erjenneeeeee; torts faits a 1 homme par l'homme ;
Lee, eqvsrtiee 9pggpggp, es se sont que, forcés comme on estde choisir
installés au milieu de la route et n'ont entre le rôle d'oppresseur et celui
Feee%71. ter& 'le
d'opprimé, personne n'est vraiment
Lresponsable de l'iniquité sociale: c'est-
ellement.
Jusqu'ici, la police n'a Lee essaye à dire qu'il y a une responsabilité mi-
di) disperser les manient/As. mais des lective et historique, ceertre laquelle
ambulances cidre medecins sont sur rien ne peut, ni la hante aveugle, ni La guerre civile
les /ieux. violenre éphémère.
Trois Matures de Bombay ont ferme
leurs portes hier ; trente autres, do M
L'hebdomadaire La Giustisia, dont
correspondent du Daity Deratd, sui- e! fut le directeur et D'âme pendant
mont cet exemple avant la fin du mois.
d, qua,,, ans _ et ini res,a
ttir begiZerrtr,.' eje; ennne no mnde'e 'l'Il de Pr'n'gannnne
maMtenant. Ms voitures transportant t Pusage des plus uéshérités pan'
use étoffes des entrepôts & la gare et tait la manchette Drivante :
on repend retire II socle chemin 0mb. v La anse, ores pas le prodeit
es voloutaires. cherees de cette bes. la méchanceté des .pitalistes, mais
de la mauvaise organisation sociale.
C'est pourquoi nous ne prêchons pas
la haine cOntre /es personnes ni contre
D classe des rich., mais la nécessité
el une réforme sociale qui place à la
Violentes manifestations à Bombay
Londres. 2 août. Des telegrammes
de Bombay amen.. 9.0 le Police
dispersé plusieurs milliers de maintes. base de D société D propneté collec-
tants qui s'étaient assembles depuis jee
nier en operant plusieurs charges. ll y "'"' -
a 200 blesses et les arrestations sont
nombreuses. On signale spécialement
celle de M. Peel, présrdent du congres
national Indou, et de sa filbs.
En signe de pretestation, tous les
ouvriers filateurs de Bombay ont dé-
clare la grève.
LE PROGRAMME AGRICOLE
du gouvernement travailliste
Londres, ê vont Commentant le
projet de loi agricole expose Mer, dans
inc grmdes irgt,es. Per nrmwden eue.
la clôture de la session parlementaire,
'ugis 0',12 'tige l'i;rfrelgrarM.' s
de
iger.nr"ts
Pas de libre-echange et pe de pro-
tectonnisme, Meute ce Journal, mam
un contrôle sévère des importations et
es achats en masse. Le monus doit
rationaliser ses aperooconnemen,e .
maeetes prenteres et en vivres si l'on
veut la es des progrès..
L'ENTENTE AGRICOLE
DR LA ROUMANIE
ET DE LA YOUGOSLAVIE
Bucarest, 2 août. La conference
de Senala a clos ses travaux. Un corn-
munimal reniait l'issue de la dernière
séance, déclare que les délégua ont di-
dût de Mire des efforts en vue d'alla.
rer sus produits agricoles de Rouma-
nie et de Yougoslavie un traitement
préférentiel sur les marchés de l'Euru
pe, non seulement dans l'avenir, male
même avant l'expiration des accords
coi/momie. de ces deux pays avec les Cette probrté jamais dément te
autres natMns. reflétait dans le style et dam l'art ore.
tous de noue mmarade, dans la cha-
leur, dans la simplicité 0000e la pro-
fonde.. Il était en quelque sorte
l'orateur le p e personnel et le plus
mliversel à la fois.
Le fascisme, qui - devait détruire
brutalement toute l'oeuvre du soda-
lierne, ne pouvait épargner Insu puis-
MM adversaire. Il fut forcé de quitter
Elle a décIdé de confier aux minis.
Ires du commerce des deux pays, la di-
rection des travaux ayant pour but
l'application du programme sali.
Des experts commenceront lIndlédi.
tement e travailler à la réalisation de
on
ies P'ileZ.= =u; pro-
va. entrer en vigueur avant le ler sep-
tembre. De examineront également les
yeetucevu'ougnncrng
tvInree,ce.U. "`e, la Y-g°-
Le conflit économique
russo-américain
Washington, 8 août Le décret In.
tors de
lu CulePlgr
doure.
d'hut. Les navires transportant de la
pâte de bots de Russie, déjà arrivés
aux Etats-Unis, ceux actueilement
ge"'n'eneets %Tt er
le 'Pr,
ennemi, seront admis e &charger leur
.rgaison. Cette modification affecte
soixante-dix-neuf navires.
Les vacances de MacDonald
Munich. 8 août. Lu Pretaler 01015-
Ire de Grande-Bretagne. MacDonald,
est arrive hier à Munlen. Cornme
voyage t titre prive, elacrionakl n'a Me
eame ie la gare que par M consul d'As.
MacDonald est l'hôte du presIdent du
Conseil bavarois n 11 poursuit son 50105-
se ce matin sur Oberammergau ou
Assistera avee sa fille an drame de la
rassi°,
Modeste et pénétré d'une probité
intellectuelle sans égale, Prampolini a
été dohc surtout un éducateur des fou-
les. Jamais, pour amiae de popularité,
sus concéda-t-il quoi que ce fid à la
phraséologie démagogique, qui flatte
Ira p.sioes vulgaires. A la Chambre
Ors députés, comme à la Bourse du
Travail, comme aux réunMns des pay-
sans, Il parlait toujours le même lan-
gage qui semait des flots de bonté et
donnait de l'émoDon même am ad-
versair. I. plus arharmês. /1 conce-
vait le scciallune comme une oeuvre
parlote de tous les jours, se tradui-
sent en efforts et en institutions qui,
peu à peu, devamnt é ruer le proléta-
riat à la capacite intellectuelle, mo-
mie, technique, politique qui lui est
nécessaire pour remp/acer les classes
dominantes dans la direction de la so-
ciété. Sous son influence la prOvinCe
de Reggio-Emilie était devenue une
oasis merveilleuses, où le socialisme
s'ânriOnçait, de façon embryonnaire,
dans toute la vie prolétarienne, dens
la résistance, dans la coopération,
dans la lutte jenitique, dans la psy-
chologie de tout ce peuple, pour lequel
il avait pris la place même de la reli-
gion des aïeux.
Sapropagande, &rite ou parlée,
avait tout. Ds vertus et aucun des
vines de la propagande ord,inaire. On
pourrait dire qq.., si chaque province
d'halle avait eu un Prampolini,
fautes qui sans dmite n'ont pas été les
causes, maD- peut-être ont donné quel-
que prétexte au triomphe du fascisme,
eussent été Aidées.
ME MIDI SOCIALISTE
LES COMMUNES
se sont ajournées
an 28 octobre
Le discours du roi
Londres, .,, août (Dép. 1100051..;
A l'occasion de la prorogation du
Parlement le roi a prononce un dis-
cours dans lequel i/ a conetate tout
d'abord que les relations avec rr-
tranger demeuraient arnitale, Il a
exermé sa eatistactDn de la vue 15
du prince Takamatsu et s'est &clm
té heureux due résultats de la Con-
férence de La Raye qui, en réglant
la questinn des réparations, a per-
lots l'évacuation de la Rhénanie, ce
qui marque une étap.e décisive sur
la voie de la reconstruction et de
l'epaisement de l'Europe.
// a rappelé les résultats de la
Conference navale qui fut ajournée,
en de permettre A la France et à
l'UMM d'adhérer aux Manses non
encore ratlfieee du traité. Le .1 a
souligne le fait mm l'Angleterre
avant ratifié le statut arbitral de La
Baye, Padbeeion universelle à ce
sis utest presque ;mouise.
Il a rappelé l'accueil cordial réser-
ve à MacDonald, h Washington, au
mois d'octobre dernier et mis en re-
lief l'importance ee la mission de
Lord d'Abernos en Areér1qm du Sud
en 1020. 11 a dit. la déception ernmee
par l'éehee dec negocintions avee
PEgypte et etest réjoui de la reprise
des relatiens diplomatique; avec les
Soviets et l'Afghanistan, aDsi Mie de
la conclusion du traité avec Inlrak.
Le souverain a fait des ereux pour
le sucoee de /a Gûnférence impériale
et de la Conférence de l'Inde ; 11 a
conclu en exprimant la grande an-
eleté que lui causent Paument.
col du chômage et le développe-
ment de /a criee emmmilue aux-
quelles il esnere qu'une solution sera
donnée, grâce aux moyens envisa-
gés.
La Chambre des Communes est
ajournée 00 28 octobre.
en Chine
Hankeou.,, août (Dep. Ratier).
La situation devin. grave g Hankéll.
Ils ChlrldiE se réfuglent dans les con-
resslone etransteres. Les nationalistes
reniement leurs défenses autour de la
ville en vue d'II. attaque possible des
Bougess, Ces derniers ont fan sain
Ire les ponts de chemin rte ter n moins
de 48 kilometres 111501, ou,
e
Pékin, ate. Les lemlere du
letionninteng ont IMMié. hier cymes.
e u
e-
m, n message declarant que Chais
>Jerne.. ue,t,re.rreInt7i
Or la Chine mégalionale des troupes
qu'il a employe. a MM.. ses Meer-
entre, politiques.
Le m ge
essa conclut en demandant un
effort national pour supprimes' les
eiermristes et renverser Chang-
Une nouvelle secousse
sismique en Italie
Mais elle n'a .usé aman dégât
Rorae. août. On mande de PI-
gnerol à 'la TM.. qu'une légere se-
'Unir ElernrcattelurceunertgliC
Une camionnette
tombe dans un ravin
DEUX BLYSSES
Allen% QUorLeaam, nneet
iioaeist pclreèl.1vdreer desme
dans un ravin d'une hauteur d:
polo ûs du viaduc de Caramee,
sar la
Deux ofttcuiee e
rs du 3tr> Pe ,railleurs séné-
galais qui y avaient pris Ma, Ont
été serieueement blesser. Ce sont le
lieutenant Le Rumeur et le soue-lieu_
tenant Gourreelon,
la terre qu'il aimait le plus, celle qu'il
avait remplie de sa pensée, de son
âme. A Milan, cil il se réfugia la pios
atroce des maladr. le Ma. Il étau à
soixantedixième année. Mais la dé-
votion des pasans qu'il avait mera-
lement rédimés, et l'amour des cama-
rades, ont trouvé le moyen en dépit
des tracasseriee policières de lui
faire sentir leur présence, même aux
derniers jours de sa eie.
Lorsque l'Italie sera restituée à /a
civilisation, ID.., qui recueille les
cendres de 1 apereriego retté, un
de autels du prolétenat italien. .
Quatre mille métallurgistes '
LEON BLUItPI'
' à Villeurbanne
sont congédiés Berlin ,
Lyon , août. Notre anet Léon
Le gouvernement s'émeut
DiuP1005a lait hier soir. ad Theatre de
-
de l'attitude da patronat !iif001l. mol'
iterl enuf -"-""
us
req'tw'
rcongedies.
ont étns7r1 rin+eta I11.nuerl'Eue: 73'u:a tt'elO
On
beinl
tt
Les Pouvoirs publics ont &ci& clun- n.nMer'ere'.enilY"
rloe01ftervenir
dans ce conflit. ler munIcipal de s0L qui parlait le
Voici le texte du communiqué oin.
del publié te ca sujet
Les événements des temps derniers
ont amené le ministre du Travail
aviser les départements fut ont Ose
teaeauaaine
do'p e'Veie re qcVim'enleti .
sociétés 021, danse mu:relations avec
leurs employa, font preuve d'une at, rn0a171-5.: s5o1n01oerimeinedajltmemeennut s'is'ounrta-'n
titude entisociale solt par des licen-
ném' n au se ansme d rit d
' eve
elements non justIliPs, soit par la pra- Btrele ''
grandanimatêdnr. Léon Blum
MI. d'hemss eePplementa,es non en air bons que la
raPPort avec ieur situation économb ptiae 'iCenree ee205.
miques du mom"ent pour leulênjnier l'.-
q?Cette attitude, en effet, va l'en-
contre des intentions qui animent le
ritablement le sort des travailleur&
m ro
00005e du
pnsmbee. a leur ,op
marades et le utile se chargèrent de
lus esaolsue r
n
Blum put ainsi parler plus d'ans heure,
'en,L°P ji:aialgmr%n,tio.fin2nresueggnal."Cleelgnâ
lemanalso
bards s dm 05. Tandisa eue
e>%1/01,1u.an magnifique demenstretal
IS DERNIER EXPLOIT LEST. TARDIEU
Le professeur italien
Bernieri
a été expulsé
J! était velu de lai-asime se présenter
a la justice e son procès devait venir
à Paris le octobre
M. Tardieu se surpasse. Il était
grotesque. Le voici odieux. Encore
de quel adjectif doit-on qualifier son
dernier exploit, celui qui ne date qUe
M. Tardieu a fait, en effet, expu/-
.ser de France, le professeur italMn
Bernieri. Deux policiers se sent pré-
sentes au domicile de celui-ci de la
part du président du Conseil, hier
apres-m1di. Ils ont obligé le protes-
seur Bernieri à prendre le train su,
le-champ et Pont reconduit cette
nuit à la frontiere d'Allemagne.
Or, le professeur Bernieri est cette
victime des dénonciations de l'espion
Itmciste italien Menapace, exécuté
par /es juges parietens et qui n'eut
q,uaLlr., tempe de s'enfuir en IMlie
afin d'échapper b la justice fran-
Le professeor Bernieri qui avait
été condamné par contumace, était
venu de lui-même se constituer prie
sonnier en Fra.nce Le Parquet de
Parie n'avait pae cru devoir l'empli.
sonner. La liberté provisoire lui
aeDit été accordée, Mérne la Me
chambre correctionnelle it ren.
cops10 proue au 15 octobre. Il eût
été certamement aoquItté.
Male M. Tardieu redoutait Pinde-
pende,. des juges parisiens, Ils
eussent refusé d'exécuter les ordres
de Mussolini et de condamner un
honnête homme innocent. Aussi,
ma/gré Pinstance Judiciaire en cours,
M. Tardieu a préféré faire expuher
ce proscrit italien qui avait cru
pacreir compter sur la justice Iran-
Le président du Conseil a voulu
etre agreabie O Musso/init
Mais la mesure qu'il a prise
deshonere notre paye. P. L.
déshonore notre payse
P. i-
LA SPECULATION SUR US IRES
tlymans interpellera
sur l'arrete du 31 juillet
Notre ami Mua Hymens, député de
l'Indre, a déposé, hier, une demande
d'interpellation au ministre du Cam-
merce, d propos de l'article o de Par-
colt blés. 35 juillet concernant le marchedes
anormale des cours de Benetton au
gene'Jite d
s cetfitirc
aleU'rnIUntgtedua dl'
,e,,,z21,1eirtre..qu'id a adressée d M.
ternellatio,
BrouIs mt.toiltet, les loure
la Bourse du Commsbea
do nu
5001sa
LUtereta des cultivateure maintenus
Par 0011ee ,15.1e dalero,",CPT.55.,?1,1:
missioanaires du Marche de Paris.
Leur but était de sauver les aisée.
Meure, qui depuis un an ont gagné,
es 000501 Ii la balsas lu blé, des soc,-
ml, eassllloablcs eue 1, lrssaei ans
Par l'article 2 de l'arrête du EL Millet
le Gouvernement vient d'homologue'
ces agissements en rendant obtignivles
In necillstbon et la IlmidatM
rations our la Mme de 160 fr
le cours offlatel et aimera oka palor
les
uue
cou rtiere assermentés est de lit 5e,
Vans comprendrez la
producteurs de blé. en'11"1" des
mels le Gouvernement rt,st'ûrIn'ersn
;nelenejlenr ûrrêter speCuletlep'lore".
Osa louneun''stl'n.lee lonsqu Ils
gegeeeoe c=7.
d'smrsn Intlnei. les risques 10115 nus
grreee. 000s 155001e l'an
S111)...
le gril
le ne voudrais pas me faire attraper
da nouveau par quelque lecteue indigné
mais il es1 des scandales qu'on ne peul
11000055pas laisser passer sans protes-
tation.
dde oser n7,10:sreo: dus 0m-
merdier 1
A 0001 bon alors, que chaque diman-
che. M. André Tardieu pulvérise le
marxisme. Si s'est pour laisser ensuite
Ms forte...Yes se livrer à d'odieuses
manifestations antimilitaristes, l'heure
même où la défense nationale néieseile
la surpression des permissions agricoles.
El Quels fonctionnaires 1 Le général
commandant l'Ecole polytechnique el
toute une kyrielle de ses subordonnés.
Oui, ce sont ees éducateurs, qui ont
mission d'enseigner que la discipline fait
Il force principale de t'armée, qui insti-
gnr,,,/,:n; e=,,g";eit17'7,`,
I assaut a. casernes avec les revolittiort.
er,s;rdaa lieu de participer le défense
le
Car le y mérite ei de ce Verneau, amiet
pooefee imn ,,,dmotzs ?te
Scier tourle donnant gassauf à La caserne
de Babylone le se Milet 18,o. Essayes
maintenant une petite opération de
Peurs et vous verrez de quel ton le
One' crisP-tre,' conseil:ex' sole.sentent.t, dans
na tract que vo. irez dlstribuer aux
reifi-C? etieyou'r e'r coder;T;e':rpêterl'e
trois ans de prime, en verte des lois qui
mterdisent de precher la désobéissance
aux soldats.
Le
eTar'la" meure s' C'est' ," sr; Inmrrres";
avait violé la Charte. Mais alors, les sol-
dats ont isolai de juger la notifia. des
de I'ntdismoone rasoirs, ils îtf:'
cuité d'amie...
Tel gouvernement respecte la loi r
on lai obéit. Tel autre s'asseoit dessus
on lève d'abord la crosse en l'air, puis on
attaque ses caserne
C'est-à-dire tel gouvernement parait
ans soldats respecter le loi, tel autre
tarait la violer. Car c'est Dumanet sot.
dat aboyer, autant one Vaneati, mili-
taire professionnel, gut doit avoir le
droit de dire que l'insurrection, dans
telle conjoncture, est le phis sacré *s
devoirs.
Eu lira, no05 entons une époque bi-
zarre u les pasteurs et les curés sont
même côté des barricades, les royalistes
sont anticléricaux. M. Louis Rollin 51'
Clams les lois talques, M. Lé. Daudet
flétrit le divorce et le général comman-
dant rEcole Polytechnique est antimili-
twist° I
TARIAILLB. I
La plainte de Léon Blum
contre 1"Ami du Peuple"
ei.Veamlege getructlon, a
enPr "
iournm et hi,
la mort de Cadenat
Les condoléances du Parti
.008 igla01 a ta eu connaissance de ta
olme te de mort de notre regretté
camarade Cadenat, Paul Faure, sec.-
ire général du Peint'
a adressé
ment, secrétaire de la Fédération
s Bourhes-du-Rhéne, le télégramme
51. desloes r
Douloureusement ému par 55 ell-
en5 de la mort du vieil et devouem1-
1505 qu'était ncrvred
s BouchesduLM endope-
é du groupe soci ;ente-
s,?etàJndo"eti ° ereee74"
n'" Oumin1strative
permanent Cn°
d'étre leur Inierprêt
elzecee.o.
LES INSTITUTEURS A NIMES
LE CONGRES A EXAMINÉ
le problème des traitements
Il a été précédé d'une ample
manifestation pour la paix
nistre. Les instituteurs reclament une
005005 0e début et les traitements de fin
'
AFFAIRES CORPORATIVES
fane aux instituteurs quant aux traite-
ments. Elle signale la carence de mi-
diminution de l'écart entre les
Par 280 &lege. et plus de 600 audi-
,ee'dlsparusaremercie les oreanisateure
aml Hubert-Rouger 501 10 /paire.
de discuter d part l'incident Mayne.
Mo et Mis clos.
teurs. Roussel, secrétaire gênerai, eve-
eigu7 Celeeennvjelre'a mole P.i.,*
e la municipalité nimolse dont nOtre
grès minimal des institeteius est suivi
martbe oictlorel expose la situation
Vive. Marone° que la C. P. Pragem
Mmes, 2 août ,
Le con-
RAPPORT MORAL
arrivent ainsi & 22.500 Mme. 20 a. de
.n.
rant l'année et de remain de la ferlera-
lion postale pour rupture des pante.'
kreee.adjoints sans changer d'emploi et'
ee sujet. Inde résistances Ministère
de. Finance, commis et hornmee poil,
I ique, Le mirdere P111.1.11.1 pu-
Mique 05 nous &fend pas et noue I.
Mil more renyoye te me commission.
pas me question de budget, mals une
question suciale. C'est prittrquot rien.
travail.
'reMege=renbir'ev:nd=o P"Unn
voulons aller vers la souveraineté du
G/ay rend compte des &marcha du-
Dlay rappelle l'activité, du bureau &
Le G P. propose un ordre du Jour
syndiCaiisme allmeMalre. Ce n'en
Gerrnaln-MartIn n'est pas partie
Les comnds deviennent conte&
servIce
geerf'Îire's1.r-alienrL'clerne'reegelae '
eo'n't Les commis ne s'occupent pOs dell
battements de début. Nous deVOEIS sur.
nettement insuffisants. Us touchent
SOuis travailler â l'augmentatim des
moine que les facteurs rime.
traitements de Mut et de la cadence
Les parités sont plus appareMes que
d'avancement.
réelles cause des débouches nombre.
Pour Brun.ellere (Morbihan), nous
Mie5 lespostierede la classe exception-
e.500ne p09 me parités. Nous n'am.
s l'ai
em'ainée
pus falt esses attention aux change,:
10b15
les Imlemnilés des directeurs terrils. d'aripelMttvet (102%,aurea cons.
'0'0171c1 Zelre 001,rèreli
contre l'avis du syndicat.
Le gouvernement veut Inférioriser mal a repousse la classe exceptIonneilag
l'Institution talque elle-même.
Nous voulons, dlt-il, une rêvai., Brimellere cite un article de Gley1
sation des parités, nous ne faisons pas qui ne lui donne Mie eetnefention.
5 Roussel sIgna/e la contradiction entre
le maintien des parités 51 15 dminution
, de l' ecart entre Sr traitemente de &MI
!et les traitements de fin de carrier.
Auriaux (Indreet.LoIre) demande etn
le bureau a été reçu par le groupe sa,
ealiste. Laurent répond que 1. parle,
171011.1.8 n'ont pas e .prendre
pour une catégorie, Mais O demanderj
avec la lederation, une commission de
cl assement.
Croisilles (Loiret) bleuie le bureau eD
vote le rapport moral avec de feeted
' réserva. u . renie b la motion de la(
Loire.
Brun (Loire) fecite Rous.1 de son
action en laveur des jeunes, mals re-
mette que le bureau ait miel la Ude
ration dOs fonctionnaires dans 10005.
000des Areu et n'ait pas mem; l'ac-
tien nece.aire pour l'accélération
la csl500e
II vIle 08e 51110115 uet
d rgeo/e
elles à l'appui de ses dires. minet/
;des articles de Glay contre /es postiers.
111 ne faut pas dresser les catégories,
les sols contre les autres. Ce n'est quel
Faction syndicale Oui Peut non.
Préparons cette action énergique.
La disoussion se poursuivra lundi.
Charles PIVE.
LE MEETING agr
contre la guerre
Aimes, 2 août _ A NI.
eues, le ler août, âne-haires, avant
l'ouverture du congres les nistAutours
ont organisé une manifestations nad-
Dela au Majestic Cinéma, soin la me.
sidence dl Glay. Dee camaradee de
'Saxe assistaient te la ...Men et de.
d'entre e. siégeaient aux côtés rte
Glay.
MeV raPpelle met Rem. le syndl-e
cat .meuemorait la mort de Jaurese;
En 1914, le congres des amicales devait' !
se tenir à Aimes, Il ata lutter contraLt
la guerre dans rordre moral et cana
Cueille économique.
Ginemi% de .Ligte:, ilee,MseiT,êtri2
InjrÎe'rele de ginsfitutehr et .141c'its
cent mille instituteurs da. une Ude-
Lapierre et Dumas d'avoir groupe six
ration en.riamionaie. . Lit haine est
infeemele; l'amour est seul fécond
a dit Jaurès. Voua travaillerez pour le
rapprochement des peuples.
Lapierre, secrétaire de la Fédération
Internationale des instituteurs, déclare;
ensuite No. veillons la paix par
la Justice..
La paie est on effort 1100001 vs.
En face de l'internationale des gow
vernenmnte, nous dressons les inter.;
nationales teinetituteurs, de fonction.'
naira, de prolétaires. Nous sommes
Internationaliste, Noue croyons à ras.'
cension de l'humanité vers un monde
Meilreur.
. Mêrat, de la Fédération de l'Ensei-i
gnement, trouve que trop de gens .
...tarent pacifistes mais osent parler
guerre. Les gouvernenente demandent
de noUVcauX armements en se dee].
rani pacifistes. Il ne faut pas souscrie
ce A la définition de neutre/1M donnée
par F0,5 soi et approuvée par le
T001p8. On doit montrer le but cour-
suivi empecher le retour de la guer,
re. Nous les éducateurs, ne tolererons
PIS qu'on parle cle nouveau de gume
.0, qu'on justifie la guerre. (Vils an.
ploudissements.)
Hahn, instituteur saxon, apporte la
salut de ses eamarades. Les Institue
teurs veulent faire Pedueation de le
Paix Ln derniere guerre a fan dix
ruilliens de tués. Le défile des mol.
eurt's,"nsta''PL:iUn'ineg% La plu-t
sa
France et l'Allemagne seront capantS5
de s'entendre. Les educateure alle-
manda font le serrnent de réaliser,
ers pjmuesses de pain 51 115 sant
de lu
çais. (Vifs apptaudissements. ,
.d.,frUnt. de la Fédération des fene,e
alres, suullmte plus de compré-,
heuelm eut/a Français et 0115l151115.I
Les hummee doivent aller g l'étranger
Po. chasser les préjugés dont Ils sûrit
petris. Les eentliques auraient resoin
d aller eetrauger pour savoir que
c'est que lee fortes cotisatione et lee
solidee oreamsations. L'entente interii
nationale doit empêcher le retour d
la guerre.
Bracops, du secretarrua pr0feS5IO52,
neletérnaliona), tut nue. les institmi
la go:oerrere ezn,ueeli,
iti.e's.ennsidiitrloter luna
^Pz°1e2:
classe des travailleurs, seulç force se-el
claie luttant pour lapais L'union Éreen
travailleurs fera la paix du monde,
l'ès alliMadtssenientsl
moi, de la C' G.T , rappelle que
guerre a enrichi scandaleusement tly
d'hommes. Les travailleure doivent
Denter leur volante de paix Des édu-
ateurs sont Indispensables pour ohne.;
nie des générations pacifisteo. Noue
avons le droit d'espérer. Les resPone.1
'rte sir: a or.cieeg_ercr,:, Are
travel/mirs voulaient, fl n'y &malt ra
fbnf
t
jUtl4 contr notre e
Un désastre en Roussillon
brio édarir un peu partout en Rano/110a
Perrin/na.. 3 angt. De violente oraDli
505i5 sIs ...ins endroits, et particulièrs.
mem d.. le vallée de PAsly, Is 104:
set tombée en eliondance. Les de*
Le eecrétaire 0000e 5'
eateimeat la grosse. 51as FOls.ellee
Panes-
général antimilitariste
La guerre civile
en Chine
LO'n'hallneFe 'reeténerle ankin
I
eo'r ge,erg
les troupes rouges A ey
att nst
Des fusiliers :lutrins n
capent matritena lifta. Les rom
rivée de nomme eur marc. sur
Û la sltut,ttneit
uvoslOémOaroe0js 'te gg:ir Mme le
noie se
quartier européen
Les troupes nationalistes tortillent le
ville Conte one attaque des rouges am
marchent également sur Nanchang,
dans le 1Dangsl.
Les troupee rebelles, dit lineorrescpa
gdean'ti tonut"teleri;ep_lla,ge
Pon
letton en 'veut Ô.
Tchang KaY
qu'elle accule de sacrifMr trois pro.
vMcesOn
pour sauver sa dictature,
s'attend it ce qu'un autre générai
nationaliste, Lia-CiremNien, qui con-
trôle la 0S 0100 stratégique de Chefou,
passe teavolOara l'ennemi.
'La situation no Plaire du gouverne.
nmnt de Tchang 051 Chek est conside-
Me comme Ires précaire. weng chine
wei, le leader de l'aile gauche du 00,0'
1000015v, actuellement
Kinn, a de.
dere que les troupes nationalistes ne
resisteralent pas Mem% la fin du
moi, Les legatMns êtrangeres para,
SeM partager cet avis.
L'inquiétude du Japon
Le cabinet 10000515, d'erra le Cor-
respondant du 'lady Telegraph à Te-
e., a examine hier, dalle une remion
spécM/ement convoquée A cet effet, la
situation en Chine. Le gouvernement
lapones protestera amies de Min ne
sujet des destructime perpetreee 0
Changsha.
Menaces en Mandchourie
Le Japon s'alarme Également de la
passe.rrli d'une révolte en Mandchou.
rie. On ors di que les commue-dotes de
eslle
eca"serelruppet1e5seetn =eu.-
aise lus
.pee meeee 010m, les provinces du gli>
nan, du Hmen 01 00 Kiangsi ne Orly.
ment, à leur tour, un soulèvement. /I
y a des milliers de -Coréens parmi les
communiates et le Japon craint pour la
sécurité de ses norniereril nehmen]; en
Mmdchourie.
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Chronique de Toulouse
-- 'appel à l'Eminence
ier.I.eorterZoiette...;,,,rtviut
nen sca aaauatrea. e
s été tout anima& ofiert,
pouvait s'y attendre, par
Gironde ,
frère Ha., dont la vid-
ait Jamais en défaut, s'est
l_ei d'en détacher trente ll-
re't qui sont à monter en épingle et
notamment 11V00
S-Ci
'ils, parti est comme une armée.
« eut W./V.9er sur les deux ailes,
avoir manuvré sur raite gau-
e, les radicaux 110 as sont jamais
eue de manuvre sur la drot-
Baacanah,aaena canirtd de
null nous qui cordrecli-
Arthumr Iiiter.,alloduasatsolitin pmeerslade,
- e at, même dee républicains plus
,témirés que nous, mais adhérant
se gjo, yu programme laïque, na-
GOnal et social du parti radical, qui
poinnion utilement venir grossir les
de la s concentralan e sou-
I. Roc. Souhaitons que
.t tonfrère, qui veut la
on dans l'ensemble do
raer également à Tou-
l'heure du ralliement
If, de t'Emin.. à M.
cUrer , M. Bah, sait très hies
quelle griserie montera .au cerveau
da directeur de ti La Dupa,loe o, et
quels iloriZotis'pleins d'a,grément
Ourler/nt les perspectives Moquées.
Pour être d'une taille un peu pl.
que misonntaabale,iaralàaa rfilaatitziaegranal
u'I'mpaUstmede notre temps.
Il se peut que M. Rue feigne l'in-
e en homme blagé Sur les
efei's'"Zidricur.
e s M. Bach, croit avoir quelques
bonnes raisons d'espérer que, le mo-
ment venu, le radielisme de M.
lue, encore que de /a plus extrême
fabrication d'une bonne petite ces-
linon, qui liguera Contre la Réta-
blie, uniquement rePrésentffe Par
les socialistes, les radicaux, les mo-
des. et... Ies autres 7
Quel magnifique et curieux atte-
lage que celui cemposê par le e Té-
légrarnMe o, /' Express r, la a re-
tire Gironde s, avec, comme Brno_
nier, ou plutôt comme limoniere,
l'hippopotame de la rue Bayard. Le
Met conduit aven une gracieuse
-mon ep opuoms e, Jud oduesie
guette.
Le Petit Bal.
am
Pour les vieux
LA MUNICIPALITE PORTE
DE 20 à 80 FRANCS
L'ALLOCATION MENSUELLE
Au nom d. /a Commiaion des
Finanees, M. Donnez donne lecture
du rapport suivant
Mesieuts,
Dane un rapport en date du 29
juillet In30, M, te Chef de service
de l'Assistance nous adresse, pour
être soumis le l'approbation du Con-
seil municipal, un projet de relè-
vement des allocatio. accordées
MIT vieil/amis.
Aux termes de l'article /71 de la
loi definanees d, 16 avril deo, mo-
difiant celle du h Millet 1905, R
taux de ces allocations à.

LIY!..M._ LEMIDI SOCIALISIE
Journée sanglante
UN AVION DANS UN CHAMP
Harbour-Grace, 3 août. Le
City of New-York h qui avait pris
le dopait ce matin, h /a pointe de
jour, pour l'Irlande, avait déjb atteint
une altitude de 500 mètres environ
et filait à la vitesse de 60 milles
4 l'heure quand une explosion
an produisit h bord, L'appareil ptema
du nez et, s'abattant sur le
fiord deun ohamp, parcourut une
dist.ee d'environ 30 mètres h travers
les brou.ailles. Moteur, ailes
et fuselage furent considérablement
endommagés.
Par miracle, les aviateurs Mines
et Brown s'en tirèrent sans une
égratignure, mats furent fortement
secoués. Mears se montre, en outre,
profondément affecté de la fin prématurée
de son audacieuse tentative.
On sait que les d.eux aviateurs
américains, partis hier matin de
Roosevelt-Field, avaient l'intention
de faire lo tour du monde et de
lettre le record du « Graf Zeppelin
rb qui était de vingt et un jours
T h. 34 minet..
UN AUTRE DANS UNE VIGNE
La Peyrade (Hérault), 3 août.
Vers 19 h. 30, un avion monté par
le pilote Casteran a capote dans
um vigne, h 300 mètree environ de
La Peyrade. L'appareil est complûtement
Attrait et le pilote a été tué
sur le coup.
Origineire de Toulouse, il habitait
La Poyeade, où il était .mptable
h l'usine Saint-Gobain. L'appareil
appartenait au camp d'aviation
de l'Orb. On e découvert dans
le portefeuille de l'aviateur la sable
d'une lettre qui établirent que
Casteran se serait suicité. S'adressant
h une nommée Louisette, il lui
dit en substance
« Tu ne douteras pas maintenant
que je t'aime. Dim.ehe, h 103 mètres
de La Peyrade, tu verras mon
corps défiguré, tombé d'un avion. »
UN AUTRE DANS LE LAC
Lausanne, 3 août. L'hydraviontaxi,
gni fait Le servies régulier entre
Ouchy (port de Lausanne) et
Evian, au-dessus du lao de Genève,
s'est retourné, /lier soir, et a fait
une chute dans le lac.
La section de sauvetage d'Oueby
et tm +repente de la Compagnie de
navigation se sont portés immédiatement
eu secours des naufragée.
On a pu, alors, retirer le pilote Val-
Dg et le méeanicien Bilgot Qui, assiz
sérieusement blesses, ont été
mâles â l'hôpital de Lausanne.
On ri retiré également une passagère,
Mrne Madeleine Cartier, egee
de 42 ans, en villégiature b Evian.
Celle-el, qui était grièvement etteinte
et avait le bras droit et le
sein droit arrachés, est morte, ce
matin, h l'hôpital de Lausanne.
Dans l'impossibilité de retirer
deux autres paesagers restés dans
In .r/ingue, l'épave a été remorquée
vers le rivage. Mais les travaux
ont dû être abandonnes pour
cette nuit ils seront repris ce matin.
Tee deux personnes, qui sont en-
core sous l'eau dans /a carlingue,
dont M. Crelier, représentant de
gommer. h Lausanne, et sa femme.
Ce service entre Lausan.n.e et la
Haute-Savoie avait été, organisé i/
3" quelques jour, .11/e/rient.
UNE EXPLOSION DETRUIT
UNE USINE
Parie, 3 août. Cette nue, à
3 h. 55, une violente explosion se
produisit dans une fabrique de bon-
Chens détonnants pour pistolets
d'enfants, 44, av.rm Faidherbe, à
Montreuil.
L'usine est exploitée Par MM.
Barbotte et Sarrois.
Quarante mille bouchons détonnants,
déposés sur un séchoir expl.èrent
; un petit bâtiment en
briguoa et en ciment fut complètement
déteint
Troie pavillons d'habitation voisins,
construits en bois et fibreciment,
furent grevement endommagés.
LA MORT DRAMATIQUE
DE L'HOMME-OBUS
Atlantic-City, 3 août. Elaevey
Pervers, « l'homme obus s, qui,
tant de fois, cotoya la mort dans
dcc exercices périlleux, n'a pas
FEUILLETON DU « MIDI s
échappé, hier, â son tragique destin.
Il an propo.it da donner, devant
50.000 admirateurs, un epeetaele
sensationnel et de faire connaltre
e la foule un frisson de crainte
qu'elle n'oublierait Pm...
Jusqu'à present, Powers s'était
contenté de Se mettre dans la gueu-
le d'un canon et de se faire propulser
par une decahrge d'air rompeut,
pour retomber, au milieu
des applaudissements sur la terre
lemme
Mais cette fois, aimant luierneme
le péril et voulant surtout ajouter
h Da gloire, il imagine de sortir de
la guetHe d'un canon, placé sur un
aéroplane, évaluant art.deems de
l'Atl.tique. Et, de fait, dans le sitlage
lumineux des Projecteurs, la
foule put voir un homme, projeté
en Pair, décrire un are dans l'espace
et opérer une descente vertigmeuae
au-dessus de la mer.
L'angoisse était h son comble. Les
amis de l'opérateur savaient quel
attendrait jusqu'A /a dernière minue
pour déployer son paraehute.
La foule anxieuse attendait. Mais le
parachute ne s'ouvrit pas et Powers
ce vit pas l'horreur qui se peignit
sur I. visagus quand son corps disparut
dans l'eau.
Greco aux .projecteurs qui Pavaient
suivi dane sa chute, on put
assez rapidement retrouver sOn
eOrps.
LES AGRESSIONS A MARSEILLE
Marseille, 3 août. M. Jean Ceseul.,
attaché au ceetre d'aviation
maritime de Diserte, passait sur le
quai Ma Port avec le guartier-maltee
Lobait. Les deux hommes furent
attaqués pur des malfaiteurs
qui 1es rouèrent de coups, leur volèrent
211011 fr., puis s'enfuirent en
automobile.
UNE AUTO SUR LE TROTTOIR
Un mort, des blessés
Madrid, 3 août. A la suite d'un
dérapage, ore automobile est montia
sur un trottoir où se trouvarent
do nombreuses personn., L'une de
W.2,7erete
erre
lrgere
ment bleseees et trais d'entre elles
seraient dans /e coma.
Tnors ENFANTS CARBONISES
Paris, 3 août. Un effroyable I
accident s'est produit, cet aprèsmidi,
à Vitry-sur-Seine, près de
Paris, h l'endroit dit « Voie de
Tblais
Trais petits enfants ont Md brûlés
vifs dans une maison en bois.
A cet endroit, de nombreuses cabanes
s'échelonnent, orS vivent des
ménages d'ouvriers. L. émets
Broussin, père et mère de quatre
enfants, avaient cru pouvoir sciaventer
aujourd'hui, en laissent, dans
leur maisonnette bien close, leur
quatre enfants.
Les Exploits de Vincent Crapotte, détective
ON A "IARCHÉ
DANS LE MUR
Par Edmond ROMAZIERES
-
Vous croyez quo ce sont eux,
abest-oe pas
-- A quoi bon voushe cacher ? Et
jê préfère savoir quels sont à, l'Iflût.
Ils se feront prendre... Ayez
confieme, àlademoiselle, je vous en
Il la quitta vite. Sa tête bouillait,
Il se rappelait lee insinuations du
maître d'hôtel... Evidemment
ri cherchait à, ménager ses complices,
et à égarer les soupçons. Afars que
do ponds troublants I...
Justement, Musebe était daims le
jardin. Laurent s'erretn devant lui.
-- Vous avez trop parlé pour gent
eette maintenant, dit-il fermement.
Je veux savoir, 4- juste, ee rom voue
penses de Aime Branque.
Monsicure. Vous le eaven
Mme Braegue aime plaisanter-.
A moins quelle ne soit ana-
- Trêve de balivern. Que
vouliez-vous dire, tout à l'heure 1
Rien que de tres naturel.. Les
pas de M. Branque et de sa femme
n'atteignais pas la grolle. Ils s arrêtent
I. dix mètres de oelle-ei, et reviennent
en arrière... Je constatais,
voilà toute. Et que diraie-je de plus,
Monsieur? Vous n'avez pas confiance.,
moi 1... ST pourtant vons vouliez
toujours suivre mes avis.. Puesque
notre prix est farte. Maris dabord
moi eus. je demande une confidence.
N'aimez-vous pas Mme
Branque
tes, i
fer I
e rrgra' ? Nul ne le sait
armure. Quoi qu'Il en soit, des voisins
apercevaient, tout-h-coup, de
la fumée et des flammes s'echappant
de la petits maison. lia se pr -
(M'aèrent et frappèrent à la porte.
Mais celle-ci était fermes à clef.
De l'intérieur parvenaient des gémissements
et les flammm cent.
touaient de jaillir.
Les pompiers alertés amener,rem,
Itéras I Quand ils furent sur
les lieux, h ne mutait plus men ou
presque de la maisonnette et le premier
pompier qui pénétra reporteda.
les bras rainé des enfants. Lm
seul était encore vivent. Les trois
autres, Vietor sept mois, Gabriel
deux ans, et la petite Marguerite
quatre ans, avaient péri dans les
flammes. On ne trouva d'eux que
quelques pauvil. rest.
eés.
UNE TERRIBLE EMRARDEE
UN MORT, TROIS BLESSES
Montpellier, 3 août Samedi
soir, vers 18 heures, sur /a roule de
Paleves, un accident d'automobile
s'est produit, faisant quatre victimes,
dont trois sont doua un état
grave.
Al. Louis Rave, 18 ans, pilotait une
puissante voiture rentrant de la
mer aveu sa mère et deux de ses
jeunes cousins. Sur la route goudronnée,
mouillée par une abondante
pluie, les roues dérapèrent et
la voiture alla s'écraser contre un
arbre. Les quatre voyageurs, violemment
projetda sur la chaussée
luron t releves peu après par un
automobiliste de passage, M. Fredkin,
mécanicien h Montpellier, qui
transporta Ion blessés â l'hôpital.
Trois d'entre eux se trouvaient
dans un état alarmant. Mme liane,
42 ans, femme du negeciant en
meubles de notre ville, est b..ée
gravement à la tête et au bras gauche.
Son neveu, Pierre Brun, t ans,
a une fracture du crâne, et sa nièce
Rayrnonde Brun, 10 ans, a Également
une inguietante bl.sure h la
tête. Le jeune Brun, qui avait Olé
trépané est décédé dans /a matinée.
Quant au Conducteur, M. Louis
Rane, il s'en est tiré aveu quelques
blessures léger. provoquées Par
des éclats de verra
La gendarmerie Ceet rendue sur
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Laurent n'eût sans doute Pa. répondu
à une telle question posée par
un domestique, et quel domesti-
eue mais la supposition qu'il
pouvait aimer une autre femme que
Lucite lui parut si odieuse que ce
lassa reflexe qui lui fit jeter
Vous êtes fou I
Donc vous us l'aimez pas...
Comme vous venez ici pour une des
deux dames, je suppose, mieux vaut
que are soit...
Assez I
1Chronique de la LU
RADIO-TOULOIJSE
De 13 heures 13 h. 30, chmmonnettes
Le.
(Lee.. ; a Partout.
Partout (Léojec); s Cassai. (Peyre.-
..) e «Dans sa manda Yeutt Gan
(Rico).
Tan.. chantée r
. Marqués. (Pallia): riCiel d'am.
(Germ...); Florecill. (C..); DO-
(Bhuco).
De 13h. 300 13h, 45, information..
De 18 heures à 18 h. 25, musique de
dame.
De 18 h. 15 à III,. 25, émission photographique
par la belinoemehe.
De 18 h 25 à 18 h. 50. .harraons rusres
Le Rosaienol Non.
non. i. ne vuez pas (Uvale); Groia
rant de I... (Thernoyaroti); de
dan. cancasieen. IThemoraroff/
. &tee de I. Comorin.. (Mouseereakilr
Scee. du Clotire (Mo...orge/ri).
De 18 h. 50 à 19 heures, Boume du
commet.. de Parre.
De 19 heurea à 19 h. 15, soli de pieno
Première arabesque D (Debussy) (
Deueème arabesque (Debussy) tr
dis la pluie /Debussy):
ru s IDebmatli Fantaisie 1.10...1100
(Chopin/.
D. 19 h. 15 à 19 h. 30, émission pito.emphieue
paz le beihrogna...
De 19 h. 40 à 20 heures, orchestre
. En Silencio Eoureul; . Mdoom ana
vagetion (Gatraro): . Rodriguez ee.
(Grecco) t Asi es el rnondo s (Cenarol(
Don Esteban (Ber.): Jale Nase...
rCsrarab.
De 20 heures à 20 h. 14, Bourse des
valeurs.
De 20 h. 15 20 h. 55. orchestre viens
Pen.eatu encore à moi .; Les
yen. de l'amour voiem tour Trois
bouquets « (Se...); Premier. salsa
(Robreol. I . Deuxième valse
Nos Portraits
Posséder un superbe agrandisse.
ment, reproduisant les traite d'un
être cher, est un plaisir sans pareil.
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de lignes, s'harmonise avec
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dessus de la première, est demandé
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au s' as OMM..
radlASSe la
Sem bousin du Inatle
19. eus, sena tueur rem.eirs
vint rouge. La oolère et la peur ae
partagèrent son .rveae.
Déja Inlragoccito ordonnait d'arrêter
sautait a tuera'.
Id. Vayr. 1 Vous, à .Canses
Quelle surprise...
Laurent, qui ne pensait qua La'
cula et dont e naturel ne contenait
aucune fatuité, n'avait pas remarque
la passion naissante, laquelle
letechtl Trohième val.. (Robre.0.
A20. 55, chronique da la modo.
A 21 heures, Theme *mem.
Opéra r
« Guillaume Tell h auverture 1Tta-
Duit; Le Jongleur de NmohDame
Massenet) r Romanes de la Sauge: Si'
omet ( Andin, dieu farouche:
UT'
Aired.etréo
PorrAi:
daChé'rul2i'LL-z L
., a tzu:: L.
Pro yole..., ouverture (Rossini).
Accordéon t
Clown, clown (Eblenger). Rosa.
la gitans a (Eb/enger) Séduction
(Capes); Mexico (Peyronnet/.
A 22 h. 15. le journal sms papier de
l'Afrieue du Nord.
TOULOUSE-PYRENEES
A 12 h. 45, concert symphonique Paf
Torchesiss de la station.
Promemme r s El Capitan s. marche
(Sou.); . Le Barbier de Seeille h ouverture
(Roesini-Nerdon), 11,1, s.
talsia (Planeeetterfevere; s Violette. D.
grande valse (Waldteufel)( . Guillaume
Tell h grande sélection (Romini-Tavanlr
Jeu de Polo y, introdmtion (Fétras)
François les brie bleus D, fmtaisie (Mes-
Bayer-Tavant: « Once more D, foxdrott
Thomassin).
A 17 heures, revue de la Po.1...
A 17 h. 30, concen de muarque ente_
aimée.
A 18 h. 30, diffeaion du « Redio-jour,
t da F
A 20 hem., revue de le et..., chronique
du Bureau internationed du naval!
: Le plu. ;grand France. ; Desurte.
A 20 h. 20, demième nouvelles; cour.
de. chaneee; bulletin météorologique.
A 20 h. 35, coure den vulenm de ,a
Bourse d. Tordouse: courue. dee lettr.,
pa, M. Yvea Pétreaé, avocat à la cour
d'orrsl,
A 20 h. 45, informations diverses: cornozuniques
officiels.
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IV
CHANSON D'AMOUR
ASSOCIATION
APRES LE CILIMIMONNAT
MONDIAL DE FOOTBALL
Dee manifestations contre t'équipe
urugeeeer.
Montevideo, 3 abat. Des dépêches
de Buenos-Ayree ont annoncé
qu'apr. /a victoire des Urugeyens,
dans le championnat mondral de
football, des manifestations se sont
produites contre le triomphe de
l'équipe de l'Urugay.
Dans les milieux sportifs urugayens,
on tient it déclarer que la
partie s'est déroulée d'une façon tout
A fait normale, deva.nt les Mega-
Seecétl'Onch'eet"l'ii
qui nul dr:ler la
ebampio. de 1924 et de 1538.
La manifestation sportive, d'autre
part, qui a eu /ieu devant /00.0D0
personnes, a été en spectacle admirable
d'ordre et d'impartiallle de /a
part du Imblk
AVIRON
LES CHAMPIONNATS DE FRANCE
Paris, 3 août. La Fédération des
sociétés d'aviron a fait aujourd'hui
disputer, à Suresne, les championnats
de F'rance.
Les épreuves, auxqueVes assistait
une nombreuse assistance, ont donne
les résultats suivants
Course quatre (barre), Mempine.nat.
ler. Société nauhque
soissonnalre, 6 m. 32 s.; 2e. Regates
remoises, 6 nu. 34 s. 1/5; 30, Aviron
grenoblois, 6 m. 47 h 2/5; 4e, SP.ting-Chdr
dunkerquois (arrêté).
Course Pair-Oar (deux rameurs,
sans barreur). ler, C. N. de Cc.
pour (Vandernette-Fernand Maréclud),
en 6 m. 59 s. 1/5; 2e, C. A. de
Mantes (Caillat-Lefeuvre), en 7 min..
1 s. 2/5; 3e, S. N. d'Enghien
R. Lecuyer-de Ryck), en 7 m. 24 s.
ATHLETISME
L'EQUIPE DE FRANCE
BAT L'EQUIPE D'ANGLETERRE
Stambord-Brid.ge, 3 août. Hier
après-midi, sur le stade de Stamford-Bridge,
pour le huitième fois,
l'équipe de France d'athlétisme était
opposée û l'équipe d'Angleterre.
Vainqueurs 0 ring reprises différer.
tes, nos adversaires d'outre-Manche
Partaient légèrement favoris et Pee
nombreux étaient enor qui croyaient
aux succès des tricolores. Ceux-ch
deje victorieux à Brighton en 1925
et à Colombes en 1929, viennent ce-
pendant de triompher de leurs adversaires
d'une manière tris nette,
puisque c'est mirons marge de
10 pointe que /es Français gagnent
In match : 65 à 55.
Environ 20.000 spectateurs assistaient
à bette rencontre qui fut très
intér.asete à suivre. On pensait bien
qu.e les Français opposeraient une
sérieuoe resistanee aux hommes de
la a rose a et ni comptait beaucoup
sur les concours pour voir les nôtres
prendre l'avance. Ce fut, en effet,
grâce à ces concours, sauts et lancera,
que /es tricolores purent arracher
la victoire. Dans cette partie
du match, ils totalisèrent, en eget,
45 points contre 5. Ce qu'il y eut de
PeuS surprenant. ce fut le classement
des Français dans /e saut en
longueur : les nôtree, en effet, prirent
les trois premières Pleees et
c'est presque un inconnu, le Belfortain
Barlier, gin se clame en tête
grâce à un bond de 7 m. 10.
Avec les seeteurs en longueur,
faut citer Noet; ou lancement du
poids et du disque, Ramadier; dans
le 100 yards, Auvergne eut raison
I des Britanniques de brillante ma-
' nière et Ladoumègue surreasse Thomas
do.ns le mille.
A Peur etion des victoires d'Auvergne
et Ladoumègue, les Anglais
triomphèrent dans /es autres épreuves
pédestres. Dans le demi-mille,
Hempson prit le meilleur sur Martin,
et dans le quart de mille, Bragwm.
se montra supérieur e Feger, mais
le trois et sure les haies, nos représentants
se montrèrent nettement
inférieurs à leurs adverse...
Comme â l'habitude, les spectateurs
se montrèrent très sportifs et
acclamèrent souvent nos représentants,
Voimi les résultats t.hniques
150 yards t ler, /marge, (Fran-
oie), 0 s. 4/5; 2e, Page
2e, Engelhart (Anglais);
dec Iger'4'P)atil "
5 points; Angleterre, 4 poi
880 yards : ler Itee,
Walsh 1 m. 53 s.
(Français), 1 m. 55
(Français); 4e, Gutterid
Sr, Townend (Anglere
abandonne. Angleterre,
France, 4 points.
120 yards t ler,
(Anglais), 14 s. 9/10;
glais); 3., H.P.
Marchand (Français);
Max (Françaie); 6e, Adelh
çais). Angleterre, 9 poin
gIrr) r4/15e..,Sm'eee
çais),.â 1 Indre; 3e, Maur
ça.); 4e, Henlein (An
(An.g/ais); 0e. Hem
ngieterre, 5 points; Fi
225 yards : ler, sér
(Français), 22 s. 8/1
(Français); 3e, Hu
2e série r ler, Engerlh
2 2s, 7/15; 2e, Leigh Wood
3e, Parrain (Français).
Finale m 1m, Engelhart (
21 s. 4/5; 2e, Auvergro
O une poitrine; Se, Beigbe
puis); 40, Leigh Wood
Angleterre, 5 points ;
points.
Saut en hauteur le
(Français), 1 m. 90; 2e, ie,0
(Fra.nçais), 1 m. 88; 3e, Boue- rooe
(Aeglais), 1 m. 88, après barrage.*
Gordon (AllglelA) ; 5e, Sairiiie
(Français).
Un mit 01cc, Ladoumègue (p)
4 m. 15 s. 1/5; 2e, Thomas (AIsi
10 mètres; 35, Ellis (AI; 4e, fer,'
(E); Maisonneuve et Cornes, eter';
donné. Fran., 5 pointu; AnHeterie,
4 points.
Laneement du disque
(F.), 44 m. 15; 2e, Winter (
33; 3e, Lasserre (F.), 39
France, 9 points; Angleterre,
Deux milles steeple r 1er 0111A,
(.5A), 10 m. Si a. 3/5; 2e Maem
3e, Morgan (A.); 4e, Oliver (A.); 5a
Cléau (F.); Le Guyader abandon.
Aegieterre 6 points; France, 3.
Saut en blagueur : ler Berner uo,
7 m. /0; 2e, Heim (F.), 7 m. 07;
Robme Peul (FI, 7 m. 07; 3e, Rotel
Peul (F.), 7 m. 02. France, 9 potei
Angleterre, 0.
Trois mines o 1,, Winfield (Ah
14 sq,. .1.517ili.s. Saeordieriedb)
jette.. (F.); Gingeet abandonnt
An.gleterre, 9 points; France, O.
eau, à le perche o ter Ramadier
(FI 3 m. 87; 2e, Bond (.1, 3 m. th
3e brepin (F.). Franoe, 6 peinte
Angleterre, 3.
Relais un Mille cm y., 220 T.13
y., 440 y.) o I. équipe Angleterre,
3 m. 32 s. 2/5; 2, équipe de Fran.
Angleterre, 3 points; France, 0.
Classement total u France, 65 a
Angleterre, 55 p.
NATATION
0'111116
çam,
CHALLENGE
DES NAGEURS NARBONNAIR
La course de natation oeganie
par les hegeurs rbocaeouevern
Ina
rlea'ne,gel,astrrveiern'vilan ,Nada 2.500 mètreh
West couru dimanche après-midi.
Le signal du départ a été donné à
52 coureurs, dont 49 hommes et troR
dames.
Les Clubs représentés etaient Col.
lioure, 3 ; Cerberes, b ; Sète, à
Montpellier, 4 ; Narbonne, 10 ;Tour
Muse, 5; etc...
L Maneegillannee do Cercle de
Nageurs learbonnam va 3E2" ;
Germain Montargis, de Collioure, à
vil mètres ; 3. Bataille, de Cerbère
4. Bertrand jeune, de Narbonne
Biesvech. de Sète ; I. Tartre,
Cerbère.
Du côté dames s 1. Mlle Paule/
Mode ; 9. Mlle Lallemand; Ming
deux de Croix-Daurade ç'foulouseg
O. Mlle Chayla, de 1 Emulation,
Noutique Toulousaine.
Tout le long du pare.ra une fus'
lb nombreuse encourageait les ne
O
La distribution dee prix s'.t
tau Casino. Le challenge est attribué
Cerele des Nageurs Narbowsis
ras
ANIS MATADOU
Exilez la Marque (1MATADOR/P
C. emmure MU A
ce des magasins de luxe, et des im- choient exactement le maître riliM4
menses hôtels I
Vayres connaissait
A Aetead, Orvieto et d Gravelle IF?
le besoin do apparaissait plus rarem.t t PM,
rasta qui tourmentait Orvieto. Ce qu il y avait,
bandit odorait le monde
tout le démontrait:
; 41 avait deux trames qui enserraient Lê
besoin de se rouler doua I. endroits cite_ R-.Tee., en tout état de canter
tait av. Astead ee trouvaient au peuvait s'en servir
Un m.. d°usées e to WU à. lo mode. Quand .11. qu'il guet- étagt étranger à Pune d'elles et eu
Iii.,aien.t dilarLA 1,e'escp.%titurl.eitLtaauje,,âtidValey;
discutait houle, fin de fuir
n'aurait pas-éehappe à un don Juan amour . sa suffrance. Car il soufson
loin,
venir à la Ceoi.tte, de . cacher penser aux insinuations du ma t.°
Mais lorsque Pierre s'approeha de Osait comme il ne rasait jamais
très loin i Laurent était sûr d'hôtel, Laurent était eene eusse ,F.T..
ai vollai sac las traits de l'av.al craint Chacune de ses de le reconnaître tout de suite, . ment vers Marguerite Brangue. Tc,
Le ton do Vayres arrêta la phra.. une haine subite, une révolte, Pins- avec Lue. . Courment 1111 rencontres depit du maquilles° et du déguise-
Bon I bon I maugréa Eusebe.
Hnet et la désir de la violence. Il
dé- ment lea plus parfaits.
point resta. tout A fait ebeeurii
montrait plus inexorablement qu'al.
A quoi bon me poser des questions, fronça lea sourcils, en garde contre le le détesterait toute sa vie n'y avait plus . temps a
et que dr, il per- pproi.uvrequM'iaienguIZitteame seri
alors P... Vous pourrica peut-être bout ce qui concernait le couple. . ellu l'avait appelé â son &allait agir... Il était anssi ce testament qu'on avait ch
voua enquérir vous-même chez Me J'en oyais assez, de Pa, c'était dans secoure, tiraillé . sene clivera por des
'affolement d'un être
Tiffauges s'il a vu le ménage hier ris I ments, senti- vain, se trouvaibil cher
répondit-il... Jasons monté traqué, qui n'ose plus . confier A d'ailleurs absolument illosoir...
pour parler à votre soeur.
gigues. Pourquoi bas pgreri des paMers aaummaeiao
loi à mort mp
cet Devaiteil, malgré tout en
Voue croyez done-
Elle lui jeta un regard reconnais- plan: ,
. même à . Astead qui menaçait Lucile, et
soeur, . disejt- n'en voulait-11 une complicité nouv le 4 Non. ,,,
pas autant à
el
- Parbleu il... L'instinct...
Os
I rieena Eusèbe. A Pu-
vieto 4 Pourqu.. méfiaitel A. semblait donner tort à cette sigre,
p'anrtl'er 'tieuldrtifIne"jUle olatefr'"re unIlpsuedeironee,ourlolapiCuriit,tec,
jus- aition. C'était sans doute le 10E1
'Aistrdrl'alzaayn%rrordot..ii't' eit vrais sentiments le.
i76''
Lu. 8, ou avare eu heu Mai flgtue z.laaunt,d 1 appara-
ente: nie a plus choisi de toute la
'le ef,etlialere.neil"r% l'ut 12%13'e: Mlei,ere Irirtee g'elf,'10
jouissait de la plue belle
Riviera., ducteure qui pourraient
promenade t
dénouer cetsen
terrible était du cetééde la b
Une automobile
drai vous présenter mes respects, que poseede la Côte.
franchissait la
Car Lucite était menacée de
Madame.
deux
05500505
grille.. Elle pausa près de Laurent et
Cannes, en effet, est la Reine du rôtir, et par des ennemis qui
d'Eusèbe. Dans la voiture étaient Il deicentlit à pied. Il ne se dou- SCiA obéis-
Laissant à Nice le va et vient saient h des buts distincts...
Marguerite et son mari. Ce fut elle tant pas q' ans sorte de presmence de ses touristes de passage, à Monte- Des ennemis
qui aperçut l'ingénieur. Elle jeta un
avait poussé Alarguerite A inter- Carlo, la fièvre,
Ie. Alors.... Mo.rguequarante
degrés,
eri de surpri.. Pierre regarda, mode rompre l'erreurs:on et à, revenir sans de ses roulettes, Cannre à, mono-
ses yeux, avant de voir le jeune avoir dépassé Nice.
polisé, dans le site le ides prenant,
l'hivernage le plus ehoMie
homme, rencontrèrent I. jolis traits Il se répétait, en marchant, les
le plue
*t'and&
et ils y lurent une telle joie qu'il paroles d'EusAbs :
harmonieux et le tees riche. (pelle
eut l'intuition d'un malheur. Il ser- Mme Drangus vue merveilleuse du port et SOCIALISTE
n'est-elle pas Croisette e la
1 Quelles
ra tee poings puissants. Se face de. somnambule
journées idéa"efles,
dans les fauteuila d'o.er, en fa-
roarearae
Là, il ne savait plus que penser.
Lee insinuations d'Eusèbe I Une
fausss piste, sana doute I Peut-être
des semblants de Mem,sa e.rimuléea
par le maitre d'hôtel pour ége,
rer les recherches.
Quels liens de complicité ace.-
i.,_..mmemerimigierremerimiramemffieleet Fuca suelcoune LyEpARGNE fvaolist
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