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4 jours dans la ‘Baie de la Somme’, une belle aventure indescriptible Encore 4,3,2,1 … nuit à dormir… on comptait les jours avant le meeting à travers la Somme, organisé par Arlette et Lucien. Le jeudi 9 mai, nous étions debout de bonne heure pour pouvoir partir. Nous avions rendez-vous à 8 heures avec Frans et Mieke sur le parking le long de l’autoroute à Kruibeke. En roulant sur le ring d’Anvers, nous les avons déjà rencontrés. Ça fait plaisir de se revoir! Après une courte pause les lions rugissent vers la France, vers Le Touquet-Paris-Plage; selon ce que nous avons entendu le Knokke-le-Zoute de la France… Nous sommes accueillis par les organisateurs et leurs compagnons sur le parking du Touquet. Le drapeau Peugeot flottait au vent, probablement plein d’excitation pour cette aventure. Le soleil était de la partie… plus rien ne pouvait gâcher ce séjour. Après un petit pique-nique, Viktor et moi nous nous sommes bien amusés avec un cerf-volant ‘pirates’ qu’on venait d’acheter. Mais vers 16h30 il fallait se mettre en route vers le sud, direction Abbeville, où se trouve notre hôtel. A l’arrivée il semblait y avoir un problème de répartition des chambres à cause d’une faute administrative (à cause de IBIS). Mais grâce à la bonne organisation, Lucien et Arlette ont résolu ce problème. Pour eux il n’y avait pas mal de stress mais nous, nous avions le temps de papoter dans le vestibule de l’hôtel. Peu après s’être installé dans nos chambres, nous étions attendus dans le restaurant. Selon les ‘optimistes’ le restaurant se trouvait à 200 mètres de l’hôtel, mais en réalité c’était tout de même plus loin … ± 750 mètres? C’est comme certains roadbooks, … c’est toujours la faute du ‘kilométrique’ … Après l’apéritif et ses mises-en-bouche, et les souhaits de bienvenue par notre nouveau président Frank, nous recevions un repas typiquement français. Il y avait beaucoup de bavardage dans une ambiance joviale. Après le dîner la plupart – il y avait quelques exceptions – est retourné vers l’hôtel pour profiter d’un repos bien mérité. Vendredi matin, après le petit déjeuner, il était grand temps de faire connaissance avec la nature extraordinaire de la Baie de la Somme. Cette baie est classifiée comme une des plus belles du monde et sert de source d’inspiration pour beaucoup de poètes et d’écrivains. La baie est constituée du schorre ou mollières, la slikke et des plaines de sable où il y a des moutons, des oiseaux migrateurs et des phoques. Au programme il y avait une randonnée d’une soixantaine de kilomètres vers Saint-Valéry. Nos voitures parcourent ces kilomètres dans un paysage plein de champs de colza. Il y avait une petite pause à ‘L’abbaye et les jardins de Valloires’ où il n’y avait pas de temps pour visiter l’abbaye et les jardins mais le magasin de souvenirs était envahi par les femmes dépensières. De jolies cartes de voeux, des savons et des parfums odorants, du joli service, … tout cela pouvait bien nous séduire. La plus haute priorité de ce séjour était de jouir de l’instant présent. Arrivée à Saint-Valéry, cette charmante ville médiévale a un port de plaisance et une cité maritime authentique avec une 12 vue sur la baie. C’est également la meilleure place pour savourer les richesses que la Somme propose. Malheureusement il n’y avait aucune place de parking et ainsi nous avons décidé de continuer vers Cayeux-sur-mer où nous pourrions manger quelque chose. Après le déjeuner nous nous sommes promenés sur la plage. Elle est constitué de galets. Il y a seulement du sable à la marrée basse. La vue était phénoménale. Viktor a ramassé beaucoup de ‘coquilles Saint-Jacques’ mais alors sans le ‘Saint-Jacques’! Néanmoins, cela me faisait plaisir. La promenade en bois est également la plus longue en Europe (2 km) et pour égayer il y a plein de cabines de plage très colorées. Victor Hugo a écrit : “Celui qui a vu Paris et Cayeux, a tout vu!” Et il a sans aucun doute raison! Petit à petit nous retournions vers Abbeville… avec beaucoup d’arrêts bien sûr pour étancher la soif et assouvir la faim. Johan nous a encore donné une visite en voiture à Abbeville, il nous a conduit vers la jolie façade de l’église Saint-Vulfran avec des portiques gothiques. Encore vite un arrêt à l’hôtel et puis nous nous sommes mis à table au restaurant. La soirée devenait un peu plus long donc la nuit un peu plus courte… samedi matin nous étions attendu au petit déjeuner. Le samedi il y avait un tour vers Amiens au programme où nous pouvions nous garer exceptionnellement sur la place à la fin de la rue commerçante. Le midi il y avait assez de temps pour découvrir tous les angles de la ville. La cathédrale ‘Notre-Dame d’Amiens’ était au programme; celle-ci a des dimensions incroyables et une façade gothique imposante, elle fait partie de la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Nous étions aussi témoins d’un mariage à la française, avec beaucoup de splendeur… devant la mairie d’Amiens. Au beffroi nous avons encore bu un coup avant de se remettre en route. En arrivant à la place, les nuages cachaient le soleil et nous avions droit à de la pluie. Il était temps de retourner ‘à la maison’, direction Abbeville. Malgré la pluie nous jouissons du paysage en passant par des routes pittoresques. Je devais encore recopier le poème que j’avais écrit pendant notre séjour sur une carte… Heureusement nous avions une demi-heure avant de passer à table et de jouir de l’ambiance du groupe et d’un ‘dernier’ repas. Pendant l’apéritif Roland nous a donné une représentation animée pour promouvoir et vendre les habits du club. Il n’a pas raté son job de représentant! Après il y avait encore un mot de remerciement, en forme de poème, pour les organisateurs. Cette soirée passait dans une bonne ambiance et après une boisson offerte par le club, la soirée se rallongeait … Dimanche. Aujourd’hui la plupart s’est levé avec de petits yeux. Pour certain le proverbe suivant s’applique : le soir beaucoup de boucan, le matin monsieur dafalgan! Certains participants voulaient vite retourner et nous disaient déjà au revoir à l’hôtel. Les personnes tenaces retournaient à Le Touquet-Paris-Plage. Là, le soleil apparaissait à nouveau… comme jeudi passé avec une différence : l’aventure se terminait… Bref, la randonnée dans la Somme, un monde de différence! La Somme n’est pas seulement une rivière. La Somme est un
petit département avec beaucoup de petites et quelques grandes villes, avec des énormes bâtiments gothiques, avec une infinie baie brillante, avec des falaises blanches et des dunes de sable, avec des champs à perte de vue, mais aussi la région avec beaucoup de pierres blanches sous lesquelles se reposent pas mal de héros … La Somme : une véritable beauté avec beaucoup de contraste… Merci aux organisateurs pour ces 4 jours fantastiques … et à la prochaine! Viktor, Tom en Kleo Peugeot 1897 (vervolg) De ontwikkeling van de automobiel breidt zich intensief uit. Armand Peugeot neemt de beslissing om het volgende jaar een nieuwe fabriek te laten bouwen in Audincourt om er zijn nieuwe wagens te produceren. En effectief, in april 1896 stelt hij de Société des Automobiles Peugeot voor, die vanaf 1897 zijn <strong>model</strong>len in Audincourt produceert. Om de zakelijke organisatie van Peugeot beter te begrijpen, alsook de afscheuring, is het beter 8jaar in de tijd terug te gaan, bij de start van de familie in deze branche. In 1889, komt Jules te overlijden op de leeftijd van 78 jaar. Zijn zoon Eugène en zijn neef Armand blijven over om de fabrieken van Terre-Blanche te leiden, Valentigney en Beaulieu waar de productie enorm varieert, van veren, gereedschap allerhande, tot de bicyclette. Automobielen zien het licht in de fabrieken van Valentigney vanaf 1891, en in maart 1892 wordt de Société “Peugeot frères” (40 jaar eerder gesticht) omgevormd tot “Fils de Peugeot frères”. Dit omdat Armand Peugeot geen nakomelingen had en Eugène 3 kinderen heeft, Pierre, Robert en Jules respectievelijk geboren in 1871,1873,en 1891. Pierre toont interesse in de familiale zaken vanaf 1891, Robert in 1896; Jules volgt hen in 1903. Vanaf 1897 zijn zij verantwoordelijk voor de fabricatie van de bicyclettes, alsook de motocyclettes en alle andere nevenactiviteiten, behalve de automobiel die het domein blijft van Armand. Wordt vervolgd… Peugeot 1897 (suite) Le développement de l’automobile s’étant intensifié, Armand a décidé dès l’année précédente de faire construire une nouvelle usine à Audincourt pour y produire ses voitures. A cet effet, il constitue en avril 1896 la “société des Automobiles Peugeot” qui vend à partir de 1897 les modèles produits à Audincourt. Pour mieux comprendre l’organisation des affaires Peugeot à la suite de cette scission, il convient de revenier 8 ans en arrière, aux débuts de la famille dans l’automobile. En 1889, Jules meurt à l’âge de 78 ans. Son fils Eugène et son neveu Armand restent seuls pour diriger leurs usines de Terre-Blanche, Valentigney et Beaulieu dont les productions extrêmement variées vont des ressorts et outils de toutes sortes à la bicyclette. Des automobiles naissent aux usines de Valentigney à partir de 1891 et en mars 1892 la Société “Peugeot frères” (fondée 40 ans plus tôt) devient celles des “Fils de Peugeot frères”. Armand n’a pas de descendants mais Eugène a trois enfants: Pierre, Robert et Jules, respectivement nés en 1871, 1873 et 1882. Pierre s’intéresse à l’affaire familiale dès 1891 et Robert y entre en 1896; Jules les suivra en 1903. A partir de 1897, les “Fils de Peugeot frères” se consacrent aux bicyclettes, aux motocyclettes et à toutes les fabrications antérieures, sauf l’automobile qui demeure le domaine réservé d’Armand. A suivre… 13
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