METROPOLIS - Cndp
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<strong>METROPOLIS</strong><br />
CINÉ-CONCERT<br />
1 représentation au Manège de Reims<br />
LE JEUDI 22 MARS 2007 à 20h30<br />
sommaire de ce dossier pédagogique :<br />
Fritz Lang<br />
Martin Matalon<br />
L'Ensembe Modern<br />
Le film / le scénario<br />
Pourquoi un ciné-concert ?<br />
Pistes pédagogiques<br />
Bibliographie / sites à consulter<br />
vos contacts au Manège
FRITZ LANG est né en 1890 à Vienne (Autriche-Hongrie), dans une famille de la grande bourgeoisie<br />
cultivée. Il grandit dans un cercle intellectuel et artistique et commence des études pour devenir<br />
architecte – comme son père – puis entreprend un long périple autour du monde.<br />
Il a 23 ans et s'est installé à Paris lorsque la Première Guerre mondiale éclate, il est mobilisé et rentre<br />
à Vienne. Blessé au combat, il fait de longs séjours dans les hôpitaux de l’arrière. Il écrit alors de<br />
nombreux scénarios, mais peu satisfait des réalisateurs, il passe à la mise en scène dès 1916. Ces<br />
premiers films, muets, seront réalisés avec la collaboration de sa femme Théa Von Harbou.<br />
Ses films de la période allemande seront assimilés à la tendance esthétique dominante de l'époque :<br />
l’expressionnisme. Il y fait preuve d'une singulière pré-science du devenir de la société européenne,<br />
dans ses heures les plus noires : caractères morbides, socialement ambigus… manipulation des<br />
masses… contradictions historiques travaillant au désastre final… défaite de l'individu… En 1933, Le<br />
Testament du docteur Mabuse, qui peut être vu comme une dénonciation des agissements des nazis,<br />
est censuré par le régime. Cependant Fritz Lang est convoqué par Goebbels qui lui propose de<br />
prendre la direction de la UFA, studio de cinéma "officiel" des nazis et outil de propagande. Son refus<br />
le pousse à se réfugier en France puis à émigrer aux Etats-Unis, partageant ainsi le destin de<br />
nombreux artistes et intellectuels juifs de sa génération.<br />
En 1936 commence sa carrière à Hollywood. Il y tournera une quinzaine de films, dans tous les<br />
genres à l'exception de la comédie. Farouchement allergique à la main-mise des grands studios<br />
américains, qui "emploient" les réalisateurs sans leur reconnaître le statut d'auteur, il parvient à<br />
poursuivre une carrière de créateur exigeant.<br />
De retour en Allemagne en 1958, il y tourne ses trois derniers films. En 1963 Jean-Luc Godard lui<br />
rend hommage en lui faisant jouer son propre rôle dans Le Mépris. Fritz Lang est décédé à Los<br />
Angeles en 1976.<br />
FILMOGRAPHIE<br />
Période allemande<br />
1919 Le Métis (Halbblut) œuvre aujourd'hui disparue<br />
Le Maître de l'amour (Der Herr der Liebe)<br />
Les Araignées (Die Spinnen - 1ère partie)<br />
Madame Butterfly (Harakiri)<br />
1920 L'Image vagabonde (Das Wandernde Bild)<br />
Les Araignées (Die Spinnen - 2ème partie)<br />
Quatre autour d'une femme (Die vier um die Frau)<br />
1921 Les Trois Lumieres (Der müde Tod)<br />
1922 Le Docteur Mabuse (Dr Mabuse - 2 parties)<br />
1923 Les Nibelungen (Die Nibelungen - 2 parties)<br />
1925 Metropolis<br />
1928 Les Espions (Spione)<br />
1929 La Femme sur la Lune (Frau im Mond)<br />
1931 M le Maudit (M) Son premier film parlant<br />
1932 Le Testament du docteur Mabuse (Das Testament des Dr Mabuse)<br />
période française<br />
1934 Liliom<br />
période américaine<br />
1936 Furie (Fury)<br />
1937 J'ai le droit de vivre (You only live once)<br />
1938 Casier judiciaire (You and Me)<br />
1940 Le Retour de Frank James (The Retourn of Frank<br />
James) western<br />
1941 Les Pionniers de la Western Union<br />
Chasse à l'homme (Man Hunt)<br />
1942 Les Bourreaux meurent aussi (Hangmen also die)<br />
1944 Espions sur la Tamise (The Ministry of Fear)<br />
La Femme au portrait (The Woman in the Window)<br />
1945 Rue rouge (The Scarlet Street)<br />
Seconde période allemande<br />
1958 : Le Tigre du Bengale (Der Tiger von Eschnapur)<br />
1958 : Le Tombeau hindou (Das Indishe Grabmal)<br />
1959 : Le Diabolique Docteur Mabuse (Die Tausend Augen des Dr Mabuse)<br />
source : http://analysefilmique.free.fr<br />
1946 Cape et poignard (Cloak and Dagger)<br />
1948 Le Secret derriere la porte (The secret beyond the<br />
Door)<br />
1950 Guérillas (An American Guerrilla in the Philippines)<br />
1952 L'Ange des maudits (Rancho Notorious)<br />
Le Démon s'éveille la nuit (Clash by night)<br />
La Femme au gardenia (The Blue Gardenia)<br />
1953 Règlement de comptes (The Big Heat)<br />
1954 Desirs humains (Human Desire)<br />
1955 Les Contrebandiers de Moonfleet (Moonfleet)<br />
La 5e victime (While the City Sleeps)
MARTIN MATALON est né à Buenos Aires en 1958, il a<br />
étudié la musique et la composition à la Juilliard School de<br />
New York et reçu de nombreux prix internationaux, dont :<br />
le Charles Ives Scholarship de la American Academy and<br />
Institute of Arts and Letters, le prix Opéra Autrement, le<br />
prix du Centre Acanthes pour l’opéra de chambre Le<br />
Miracle secret, basé sur le conte homonyme de J.L<br />
Borges, le prix de la Ville de Barcelone pour Metropolis, le<br />
prix de la J.S Guggenheim fondation de New York et le<br />
prix de l’Institut de France-Académie des Beaux-Arts.<br />
En 1993, définitivement installé à Paris, L’IRCAM lui<br />
commande une nouvelle partition pour la version<br />
restaurée du film de Fritz Lang, Metropolis. Après ce travail, Martin Matalon se plonge dans l’univers<br />
de Luis Buñuel en écrivant successivement trois nouvelles partitions pour les trois films surréalistes du<br />
cinéaste espagnol : Las Siete vidas de un gato pour Un Chien andalou (1927), El Escorpion pour<br />
L’Âge d’or* (1931) et Traces II (la cabra) pour Las Hurdes - Tierra sin pan (1932)<br />
Il compose également de nombreuses œuvres de musique de chambre, telles que Formas de Arena,<br />
pour flûte, alto et harpe, ou Lineas de agua pour octuor de violoncelles. Initiée en 1997 la série des<br />
Trames, œuvres a la lisière de l'écriture soliste du concerto et de la musique de chambre et la série<br />
des Traces qui constitue pour le compositeur une sorte de "journal intime compositionnel" et destinée<br />
à des instruments solistes avec électronique en temps réel, forment un pan important de son travail.<br />
Martin Matalon a écrit, entre autres, pour l'Orchestre de Paris, l'Orchestre National de France,<br />
l’Orchestre National de Lorraine, Barcelona 216, Court-circuit, le Trio Nobis, l'Ensemble<br />
Intercontemporain, les Percussions de Strasbourg, l'Octuor de Violoncelles, Bit 20, MusikFabrik…<br />
Il a été compositeur en résidence à l’Arsenal de Metz et l’Orchestre National de Lorraine en 2003-04,<br />
cette résidence a donné lieu à un enregistrement de trois pièces symphoniques par l’Orchestre<br />
National de Lorraine et son chef Jacques Mercier, CD qui sorti chez Universal au printemps 2006.<br />
Source : http://martin.matalon.free.fr/<br />
* Présenté au Manège en avril 2003, dans une interprétation des Percussions de Strasbourg<br />
L'ENSEMBLE MODERN<br />
Fondé en 1980 à Francfort, l'Ensemble Modern (EM) a une particularité qui l'a rendu<br />
célèbre dans le monde de la musique : Tous issus du Young German Philharmonic<br />
Orchestra, ses membres fondateurs ont créé cet ensemble entièrement dédié à la<br />
musique d'aujourd'hui, et possédant une organisation administrative de type<br />
"horizontal" : Les musiciens sont associés (et non pas salariés), ils sont collectivement<br />
responsables du choix des projets à mener et des œuvres a créer. De même que<br />
leurs origines sont extrêmement variées - Argentine, Australie, Bulgarie, Allemagne,<br />
Grande-Bretagne, Inde, Japon, Pologne et Suisse, leur répertoire est riche et unique,<br />
allant de la musique pour la scène et la danse, à des projets vidéo, de la musique de<br />
chambre ou orchestrale (dans ce cas en faisant appel à des musiciens invités de<br />
renom).<br />
L'EM poursuit en particulier des collaborations a long terme avec Heiner Goebbels,<br />
Frank Zappa en son temps, Bill Viola et Steve Reich.<br />
Il joue en moyenne 70 œuvres par an, dont 20 sont des creations mondiales.<br />
www.ensemble-modern.com
LE FILM Metropolis (1927) film muet en noir et blanc, est un drame futuriste, précurseur du genre<br />
cinématographique de "science-fiction", produit pendant la courte période de la République de<br />
Weimar.<br />
Le film connut de nombreux problèmes. Thea von Harbou, la femme de Fritz Lang et co-scénariste,<br />
était déjà proche des nazis et influença le scénario, notamment en l'orientant plus vers une<br />
"collaboration de classes" que vers une "lutte des classes". Puis, le film subit diverses censures et<br />
coupures. Rappelons qu'avant la naissance des cinémathèques, le cinéma étant toujours considéré<br />
comme un art mineur, on se souciait peu du devenir des œuvres cinématographiques, et de la<br />
conservation de leurs supports (pellicule impressionnée par procédé dit "argentique"), lesquels se<br />
révélèrent être extrêmement fragiles. Des 210 minutes initialement montées, il ne restait plus que 80<br />
minutes lorsque le compositeur Giorgio Moroder décida de le ressortir colorisé avec une nouvelle<br />
bande son (et notamment des morceaux de Queen) en 1984. Certains crièrent au scandale devant ce<br />
"massacre" de l'œuvre.<br />
Un grand travail de recherche fut fait, en rassemblant les diverses versions (dont certaines retrouvées<br />
dans des collections particulières), et une version noir et blanc rénovée de 153 minutes, avec une<br />
bande son neuve mais plus classique, sortit en 1995 pour les cent ans du cinéma. Cette version<br />
contient quelques photographies de tournage recadrées pour combler quelques scènes manquantes.<br />
Suite à une nouvelle restauration du film en 2001, à l'initiative de la Fondation Friedrich Wilhelm<br />
Murnau, Metropolis fut le premier film inscrit sur le Registre de la Mémoire du monde de l’UNESCO.<br />
La version utilisée pour le ciné-concert au Manège, d'une durée de 140 minutes, est considérée<br />
comme la plus fidèle à l'originale.<br />
LE SCÉNARIO<br />
Metropolis est une mégalopole divisée en deux : la ville haute où vivent les familles dirigeantes, dans<br />
l'oisiveté, le luxe et le divertissement et la ville basse où les travailleurs font fonctionner la ville.<br />
Maria (Brigitte Helm), une femme de la ville basse, essaie de promouvoir l'entente entre les classes.<br />
Elle emmène clandestinement des enfants d'ouvriers visiter la ville haute.<br />
Le groupe se fait repousser par les forces de l'ordre, mais Freder (Gustav Fröhlich), le fils du dirigeant<br />
de Metropolis, tombe amoureux d'elle. En descendant dans la ville basse pour la retrouver, il voit un<br />
ouvrier défaillir et le remplace spontanément. Mais le rythme imposé par les machines est trop<br />
important et une explosion se produit : le monstre machine dévore les ouvriers.<br />
Freder va voir son père (Alfred Abel), pour l'alerter sur les conditions extrêmenent pénibles dans<br />
lesquelles travaillent les ouvriers. Le père, voyant qu'il ne peut convaincre son fils des bienfaits de<br />
cette société ségrégatrice, fait appel au scientifique C.A. Rotwang (Rudolf Klein-Rogge) pour le faire<br />
changer d'avis...<br />
source www.unesco.org<br />
LE SPECTACLE<br />
Metropolis, 140 minutes, créé en 1995<br />
pour 17 instrumentistes et électronique, musique pour le film de Fritz Lang Metropolis<br />
Commande de l'Ircam<br />
La musique conçue par Martin Matalon pour ce film n'est pas une simple illustration sonore des<br />
images. Le compositeur estime qu'une musique composée de nos jours est tout à fait apte à transcrire<br />
les visions urbaines et futuristes de Fritz Lang et à adhérer au déroulement dramatique du film. Le<br />
langage musical utilisé emprunte des éléments au jazz et au rock dans un contexte de musique<br />
classique contemporaine. La musique est, d'un bout à l'autre du film, aérée, personnelle et inventive,<br />
spacieuse dans le sens où elle réserve à l'auditeur des plages pour la réflexion, l'appréciation des<br />
images et du récit.<br />
Sur scène cohabitent 17 musiciens, leurs instruments acoustiques et un dispositif électroacoustique<br />
(Informatique musicale de l'IRCAM). Pratiquement, cela signifie que le compositeur prépare, outre les<br />
partitions de chaque interprète, des séquences de sons de synthèse qui sont déclenchées par un<br />
instrumentiste au cours de la projection. La synchronisation du film et de ses séquences requiert une<br />
attention particulière, elle est assurée sur scène et en régie. La musique est diffusée à travers des<br />
haut-parleurs disposés sur scène, ainsi que dans la salle, autour du public.<br />
Pourquoi un ciné-concert ? Associer la musique avec l'image en mouvement, c'est évident, limpide,<br />
et pas nouveau ! Cependant L'IRCAM, la Cité de la Musique, et d'autres institutions musicales de<br />
grande envergure développent depuis quelques années une politique de "commande" d'œuvres
musicales associées à des films, le plus souvent muets. Outre le double plaisir, pour le spectateur, de<br />
se "faire une toile" en écoutant de la musique live, l'avènement du genre ciné-concert permet à des<br />
films comme Metropolis, mythique certes mais très rarement projeté (plus de deux heures en noir et<br />
blanc et muet…) de vivre une nouvelle vie en rencontrant un nouveau public. Les compositeurs y<br />
trouvent une source d'inspiration renouvelée, du côté de la transversalité des arts.<br />
PISTES PEDAGOGIQUES<br />
On travaillera sur l’univers des films de Fritz Lang et en particulier le cinéma expressionniste et ses<br />
principaux thèmes comme ceux du tyran, de l’homme déshumanisé ou encore du dédoublement, la<br />
révolte contre les valeurs sociales établies (celles de l'après-guerre sous la république de Weimar).<br />
Dans un souci d’interdisciplinarité on pourra proposer une étude croisée des diverses productions<br />
artistiques dites expressionnistes, contemporaines aux films de Fritz Lang.<br />
A cet effet on abordera en danse Mary Wigman qui met en scène, comme dans les autres arts des<br />
années vingt en Allemagne, des univers de plus en plus clos et oppressants, (cf l’univers noir et<br />
pesant de Metropolis) et surtout Kurt Joos pour qui la chorégraphie joue un rôle politique et dénonce<br />
des réalités économiques et politiques (c.f. La Table Verte) au même titre que les films de Fritz Lang.<br />
En arts plastiques l’expressionnime débute lors des années de dépression et jusqu'à l'explosion de la<br />
seconde guerre mondiale, il véhicule des sentiments d'angoisse et des craintes de violence<br />
engendrées à cette époque par le continent européen. Il est en cela fort proche de l’univers de Fritz<br />
Lang. On abordera notamment la peinture de Kirchner et du groupe Die Brücke, de Pechstein, ainsi<br />
que les précurseurs : Van Gogh, Ensor et Munch.<br />
On fera également un parallèle avec les autres productions cinématographiques de l’époque<br />
expressionniste, notamment le Golem de Paul Wegener, le Montreur d'ombres d'Arthur Robison ou<br />
encore le Faust de Murnau.<br />
On réfléchira sur la relation musique et image, on se penchera à ce propos sur les intentions du<br />
compositeur qui a conçu une partition qui ne saurait être une simple illustration sonore des images.<br />
On analysera comment, selon Martin Matalon, la musique transcrit les visions urbaines et futuristes<br />
de Fritz Lang et adhère au déroulement dramatique du film.<br />
Nicolas Monteil, professeur responsable du service éducatif<br />
BIBLIOGRAPHIE, SITES À CONSULTER<br />
Catalogue d'exposition :<br />
LE CINÉMA EXPRESSIONNISTE ALLEMAND Splendeurs d'une collection<br />
Editions La Martinière / La Cinémathèque Française 2006<br />
Biographie :<br />
Fritz Lang<br />
Par Lotte Eisner, trad. Bernard Eisenschitz<br />
Petite Bibliothèque des Cahiers du Cinéma / Cinémathèque Française<br />
Sorti également en collection de poche : collection Champs / Contre–champs Flammarion<br />
Pour les élèves :<br />
Plusieurs titres dans la collection ACTES SUD/JUNIOR / LA CINÉMATHÈQUE FRANÇAISE<br />
Sites internet :<br />
Centre de Documentation de la musique contemporaine : CDMC.ASSO.FR<br />
Cité de la Musique / Parc de la Villette : CITE-MUSIQUE.FR<br />
IRCAM : IRCAM.FR
Pour votre classe : Les ateliers du regard et de l'écoute (gratuit, dans la limite de la<br />
disponibilité des intervenants)<br />
Destinés aux scolaires (primaires et secondaires) qui viennent assister à un spectacle, les ateliers du<br />
regard désignent une action qui permet d’aiguiser la pratique du regard en cherchant à révéler à des<br />
enfants et adolescents leur propre savoir et à leur apprendre à exprimer un jugement clair. Ces<br />
ateliers se composent de trois moments :<br />
1) Intervention d’1h30 dans la classe, afin de montrer aux élèves un montage d’extraits vidéo de<br />
pièces chorégraphiques à propos desquels il leur est demandé simplement de dire "ce qu’ils ont vu".<br />
Le rôle de l’intervenant est essentiellement de permettre aux élèves de développer une parole relative<br />
à leur regard.<br />
2) L’enseignant emmène sa classe voir un spectacle au Manège de Reims.<br />
3) L’intervenant revient dans la classe pour recueillir les impressions des élèves sur le spectacle, les<br />
aider à formuler celles-ci, à faire travailler leur mémoire visuelle et auditive. Des extraits du spectacle<br />
sont rediffusés et analysés.<br />
Pour vous : Les après-midi POP (gratuit)<br />
A date fixe, des après-midi thématiques pour approfondir un sujet et croiser des expériences. Libre à<br />
vous d'en faire profiter vos élèves par la suite ! L'animation des après-midi POP (Portes Ouvertes aux<br />
Profs) est confiée à des artistes qui, chacun dans leur domaine, font référence. Pour vous il s'agit<br />
donc d'une occasion unique de rencontrer l'expérience artistique "à sa source". Le tout se passant de<br />
façon très conviviale autour d'un café-petits gâteaux, n'hésitez plus ! Réservation indispensable.<br />
Le programme des POP vous sera adressé par la poste.<br />
Les permanences du service éducatif : Les mercredi de 14 à 18h<br />
Nicolas Monteil, enseignant relais au Manège de Reims est là pour répondre à vos questions, vous<br />
aider à monter vos projets, proposer des pistes pédagogiques autour d’un ou plusieurs spectacles,<br />
élaborer un parcours du spectateur, à consulter le fonds documentaire du Manège de Reims qui<br />
contient plus de 200 ouvrages sur la danse, le cirque, les arts vivants.<br />
Vos interlocuteurs au Manège<br />
N'hésitez pas à nous contacter : Marie-France Millerioux, Céline Gruyer, responsables des<br />
relations avec le public : 03 26 47 98 72 mf.millerioux@manegedereims.com ou 03 26 47 97 70<br />
celine.gruyer@manegedereims.com<br />
Nicolas Monteil, enseignant relais : permanence au Manège les mercredis après-midi de 14h à<br />
18h : 03 26 47 97 70 ou au rectorat : nicolas.monteil@ac-reims.fr