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Graphisme et illustration: graphisme@constanceclavel.com<br />
Opéra bouffe en 3 actes<br />
Musique de Jacques Offenbach<br />
Livret de Charles Nuitter<br />
et Etienne Tréfeu<br />
<strong>Dossier</strong> de Présentation
La <strong>Princesse</strong> de Trébizonde<br />
Opérette en trois actes de Jacques Offenbach, livret de Charles Nuitter et Etienne Tréfeu.<br />
La <strong>Princesse</strong> de Trébizonde a été représentée pour la première fois à Paris, au théâtre des Bouffes Parisiens, le 7<br />
décembre 1869. Cet opéra bouffe se situe à l’apogée de la carrière de Jacques Offenbach dont les chefs d’œuvre ont<br />
enchanté les dix dernières années du second Empire. Dans un souci de renouvellement, les Tréteaux Lyriques<br />
proposent cette année à leur public fidèle et averti une œuvre peu connue, dans laquelle se retrouvent néanmoins<br />
tous les ingrédients du succès : un livret pétri d’humour, des valses irrésistibles, des galops endiablés, et font le<br />
pari que le public de 2009 la plébiscitera comme celui de 1869.<br />
« Je n'ai jamais bien compris pourquoi la <strong>Princesse</strong> de Trébizonde, une partition pourtant si<br />
réussie d'Offenbach, semble ne plus avoir été reprise dans l'original français depuis 1877<br />
dans un théâtre en France, Belgique ou Suisse, pour ne ressurgir qu'en 2000 et 2001 à<br />
l'Odéon de Marseille pour quelques excellentes représentations.<br />
La <strong>Princesse</strong> préfigure par son style l'évolution que va suivre l'opérette française après 1870 (…) »<br />
Robert Pourvoyeur
Pourquoi Offenbach?<br />
Les Tréteaux n'ont signé aucun contrat avec les héritiers d'Offenbach mais leur fidélité à ce compositeur<br />
s'explique : les opéras-bouffes d'Offenbach (on commençait tout juste à dire "opérettes" à l'époque) ont des livrets<br />
souvent drôles, parodiques et la musique est toujours pleine d'un charme qui agit instantanément sur le public.
L’histoire…<br />
Une jeune fille se fait passer pour une poupée. Cabriolo, chef d'une troupe foraine, exhibe aussi des poupées de<br />
cire. Sa fille Zanetta casse le nez de la plus belle en l'époussetant et doit la remplacer. Raphaël, fils du prince<br />
Casimir, en tombe amoureux. Un billet de loterie donné par lui en paiement de son entrée dans la galerie de<br />
poupées, se trouve être le gagnant d'une loterie dont l'unique lot est un superbe château avec titres, terres et<br />
revenus. Raphaël obtient de son père une invitation pour Cabriolo et les siens, avec les poupées. Casimir découvre<br />
la supercherie, mais ayant fait bien pire autrefois, consent au mariage.<br />
La remarquable partition contient l'air du nez, le boniment, une parodie de l'Asile héréditaire de Guillaume Tell,<br />
les couplets furibonds de la canne, l'étonnante ariette du mal de dents, une ronde, un air à boire et un énorme<br />
galop final.
Note d’intention de mise en scène<br />
Les grandes œuvres sont reconnaissables car elles restent actuelles. Les années et les siècles passent, et elles nous parlent encore. Il en est de même pour La<br />
<strong>Princesse</strong> de Trébizonde.<br />
La <strong>Princesse</strong> de Trébizonde, ou plutôt devrais-je dire, « le royaume des parvenus », est une pièce à tiroir, dans un univers ou tout est faux et vrai à la fois. Ici<br />
les personnages ont deux facettes, les aristocrates sont des saltimbanques et les bateleurs sont de véritables aristocrates. Personne n’est à sa place et tout le<br />
monde joue son rôle.<br />
Pièce ô combien actuelle, à une époque où les fortunes se font et se défont aussi vite qu’un jeu de loto, où les succès se fabriquent et se délitent au gré d’une<br />
émission ou d’un plateau télévisé.<br />
Dans le monde du mensonge sublime que sont les cirques et les théâtres ambulants, là où les difformités font figures de rareté, là où l’homme le plus petit du<br />
monde peut rivaliser de fierté avec les plus grands de ce monde, où les altères sont en polystyrène, une modeste famille de bateleurs marionnettistes va<br />
chercher à s’élever. S’élever dans la société.<br />
Sur fond de critique sociale où les parvenus ne sont pas toujours ceux que l’on croit, Offenbach signe un opéra bouffe détonant, fou, drôle et grinçant. La<br />
partition étant universelle et les caractères des personnages bien trempés j’ai voulu situer l’action dans un décor à la fois réaliste mais où l’imaginaire pourrait<br />
s’évader. Quelques choses d’intemporel!<br />
Le merveilleux monde des circassiens et des bateleurs anglais du début du siècle précédent permettra de donner une pleine place à l’imaginaire et aux<br />
situations des « personnages-marionnettes » du compositeur. Un immense cirque des mirages. Une grande maison de poupée avec des costumes excentriques<br />
dans un décor chaud et coloré, entre « Alice au pays des merveilles » et les films de Tim Burton.<br />
Quoi de plus excentrique et de plus ridicule que nos ambitions! Le bonheur est peut être ailleurs que dans l’idée que nous nous faisons de notre place dans la<br />
société. Il est déjà dans cette folle partition, toujours joyeuse et rythmée comme le fait Offenbach, truffée de références. Voyage imaginaire humoristique et<br />
critique des parvenus et des menteurs!<br />
Une rocambolesque et pétillante aventure dans le royaume du divertissement!<br />
R.P.
L’équipe…<br />
Rémi Préchac metteur en scène chorégraphe<br />
Assisté de Caroline Darnay<br />
Il a reçu une formation de comédien auprès de J-L Cochet, ainsi que de<br />
danseur auprès d’ Alain Ruelle, professeur de l’Ecole de l’Opéra de Paris dont<br />
il a été l’assistant pour la mise en scène des ballets La Vie Parisienne, West<br />
Side Story, Les Mille et une Nuits… Ces dernières années il a, entre autres,<br />
mis en scène l’opéra Cavallera Rusticana, de P. Mascani, un spectacle<br />
lyrique Rires et Larmes avec M. Bellaribi, une pièce dont il est l’auteur Chez<br />
ma Mère créée au Théâtre du Renard, le Bal des Voleurs d’Anouilh au<br />
Théâtre Clavel et des montages poétiques et musicaux, dont Elles de<br />
Montparnasse pour le festival Cocteau et Aspiration . Récemment il a mis<br />
en scène Basile de Caroline Darnay au théâtre du gymnase, et l’opéra Le<br />
tour du monde en quatre vingt minute de J.-P. Lédé au Théâtre Gérard<br />
Philipe à Troyes puis au théâtre du Trianon, ainsi que Lucienne et les<br />
Garçons, Music Hall au XXème Théâtre (Prix SPEDIDAM aux Molières<br />
2006). Il a créé une structure de production de théâtre et de production<br />
audiovisuelle : Adhésive Production dont il est le gérant.<br />
Elle s’est tournée vers le théâtre après des débuts dans la danse et la comédie<br />
musicale. Elle a joué G.B. Shaw, Molière, Shakespeare et Ionesco ainsi que<br />
plusieurs rôles à la télévision. Elle a travaillé au cinéma avec Olivier Assayas<br />
et Mario Monicelli, puis est entrée chez Jean-Laurent Cochet. Elle a depuis<br />
mis en scène La Répétition d’Anouilh, L’Heureux Stratagème de Marivaux<br />
où elle jouait la Comtesse, Le Demi-Monde de Dumas fils où elle jouait la<br />
baronne d’Ange et La Paix du Ménage de Maupassant. Elle a récemment<br />
joué dans Les Facéties de Versailles aux côtés de René Camoin et est<br />
l’auteur des Prisonniers de Thermidor et de BASILE, où elle tient le rôle de<br />
la duchesse de Châtillon dans une mise en scène de Rémi Préchac.
L’équipe…<br />
Laurent Goossaert direction d’orchestre<br />
Chef de chant Jean Bridier<br />
Il est un jeune chef français formé dans la classe de Nicolas Brochot. Demifinaliste<br />
du concours international de direction d'orchestre de Pescara (Italie)<br />
en 2001, on le rencontre désormais aussi bien dans le répertoire lyrique que<br />
symphonique. Il enseigne la direction d’orchestre au CRD d’Evry, ainsi<br />
qu’auprès de nombreux organismes de formation en France, et notamment<br />
les Cefedem, les programmes régionaux de formation professionnelle, les<br />
structures de préparation aux concours, ainsi qu’au sein du pôle supérieur<br />
d’enseignement artistique de Paris. Il est régulièrement appelé auprès de<br />
nombreux orchestres en France et à l'étranger. On a pu le voir ainsi à la tête<br />
de l'Orchestre de Chambre du Luxembourg, l'Orchestre National du Théâtre<br />
de l'Opéra de Iochkar-Ola en Russie, l'Orchestre Symphonique de Séville,<br />
l'ensemble Sine Qua Non, l'orchestre symphonique de Kinshasa (République<br />
démocratique du Congo), l'Opéra de Marseille.<br />
Laurent Goossaert est chef associé à l’orchestre des concerts Lamoureux. Il<br />
dirige cette année la cinquième production consécutive de la compagnie des<br />
Tréteaux lyriques au théâtre Le Trianon à Paris.<br />
Il a étudié la direction de chœur avec Stéphane Caillat et Philippe Caillard<br />
dont il devient le successeur de son ensemble vocal. Pendant 8 ans, il dirige<br />
un chœur d’enfants, La Maîtrise Nationale d’enfants, avec laquelle il donne<br />
de nombreux concerts, notamment le Stabat Mater de Pergolèse, des<br />
cantates de Bach, des motets de Monteverdi et des messes de Haydn. En<br />
1977 il fonde l’ Ensemble Vocal Jean Bridier. Cet ensemble se consacre aux<br />
grandes œuvres avec orchestre : L’Oratorio de Noël de Bach et le Requiem<br />
de Brahms avec l’Orchestre National d’Ile de France, Le Requiem de Durufle<br />
avec l’Ensemble Orchestral de Paris, Le Messie de Haendel, La Passion<br />
selon St Jean de Bach, La Passion selon Brooks de Haendel, avec La<br />
Grande Ecurie et la Chambre du Roy. Il dirige aussi son ensemble et La<br />
Grande Ecurie et la Chambre du Roy dans les Vêpres à la Vierge de<br />
Monteverdi. Il a été l’assistant musical de Vincent Berthier de Lioncourt<br />
pour la réalisation d’oratorios mis en scène par Pierre Provoyeur: Judith de<br />
M.-A.Charpentier et L’anima il corpo de Cavalieri. Il a animé de nombreux<br />
stages de formation de chefs de chœur organisés par les fédérations A.Coeur<br />
Joie et la FNAMU et de nombreux ateliers chorals mis en place par les<br />
délégations départementales à la musique en Ile de France. En 2005, Il a<br />
préparé les chœurs et solistes des Tréteaux Lyriques pour Orphée aux<br />
enfers de Jacques Offenbach et en 2007 pour La Belle Hélène. Il poursuit<br />
aujourd’hui cette aventure «Offenbach » avec la même troupe.
L’équipe…<br />
Véronique Boisel costumière<br />
Décors Eric Destenay<br />
Touche-à-tout depuis son enfance, Véronique Boisel est passée par le<br />
modelage, la sculpture, l'origami, la fabrication de masques... pour arriver à la<br />
couture.<br />
De son voyage dans le monde du masque, lui est resté l'envie d'habiller des<br />
personnages, de traduire les caractères en formes, les émotions en couleurs...<br />
compléter le travail des comédiens, danseurs, metteurs en scène... afin de<br />
donner vie à ces personnages.<br />
Passionnée par la Comédia dell arte, elle s’est naturellement tournée en 2002<br />
vers le costume historique où tout est volume. Elle a prit part à de nombreux<br />
projets, tant dans le cinéma, le théâtre ou la danse, cherchant toujours de<br />
nouvelles contraintes pour attiser sa soif de création, et de nouvelles<br />
rencontres pour nourrir son champ d’inspiration.<br />
Elle revient dans l’univers de l’opéra avec "la princesse de Trébizonde" qui<br />
offre une grande possibilité de création. Ses nombreuses collaborations avec<br />
Rémi Préchac ont naturellement conduit ce dernier à faire appel à elle.<br />
Décorateur scénographe autodidacte, il a fait ses premières armes dans les<br />
compagnies théâtrales brestoises avant d'arriver à Paris ou il a suivi un<br />
enseignement de scénographie et de dramaturgie à l'école Boulle. Bien que<br />
spécialisé dans le décor de théâtre, comme ceux de Couscous aux lardons de<br />
Farid Omri, La biscotte se plie en quatre Antoine Beauville, décor de la<br />
tournée du Clan des Divorcées d’Alil Vardar, Basile de caroline Darnay mis<br />
en scène par Rémi Préchac, Ecoute moi quand je te mens de Thierry Patru,<br />
A fond la caisse avec Séverine Ferrer et Firmine Richard… En comédie<br />
musicale il a réalisé également les décors de Cent ans de Music Hall et Les<br />
aventures de Pinocchio de Gilles Ramade. Il a mis en espace pour le cirque<br />
avec le décor du site de trapèze le Lez art café à Fontainebleau et le spectacle<br />
de la compagnie Envol, pour la télévision et plus récemment le cinéma sous la<br />
direction de décorateurs tels que Christian Siret et la société Déco Prod.<br />
Enfin il a réalisé des décors de clubs ou d’espaces d’accueil notamment chez<br />
Look Voyage et Papagayo à St Tropez. Son investissement va de la<br />
conception du décor à sa réalisation. La confiance artistique partagée avec<br />
Rémi Préchac lui a permis de rencontrer Les Tréteaux Lyriques sur ce<br />
nouveau projet.
L’équipe…<br />
Claire Béchu pianiste répétitions<br />
Violon solo Vincent Bernardon<br />
Issue d'une famille de musiciens, ses études musicales sont récompensées de<br />
premiers prix des conservatoires de Nantes, Versailles et Boulogne-<br />
Billancourt, puis perfectionnées à l'Ecole normale de musique de Paris dans la<br />
classe d'André Gorog.<br />
Sa vie l'a amenée à vivre de musique en France, à Nouméa ou à Djibouti,à<br />
travers des concerts-conférences, concerts-expositions, récitals,<br />
accompagnements de chanteurs, création de spectacle, aux programmations<br />
variées.<br />
Claire Foison Béchu enseigne au conservatoire de Boulogne-Billancourt et<br />
accompagne pour la seconde fois la troupe des Tréteaux Lyriques.<br />
Il commence l’étude du violon à l'âge de 6 ans. Elève de Gérard Jarry au<br />
Conservatoire National Supérieur de Paris et de Michel<br />
Rulleau, premier violon de l'Orchestre de Paris. En 1985 il obtient le 1er<br />
prix de la Ville de Paris, en1987 la médaille d'or de l'Ecole Nationale de<br />
Musique de Créteil.<br />
Il effectue aussi de nombreux concerts au sein de l’Orchestre National de<br />
l'Opéra de Paris, l'Orchestre du Capitole de Toulouse, l'Orchestre Colonne,<br />
l'Orchestre Lamoureux, etc. Il donne comme soliste des concerts dans<br />
diverses formations en France et à l'étranger. Il suit des formations auprès de<br />
Dominique Hoppenot et Régis Pasquier en pédagogie et musique de<br />
chambre..<br />
Il est nommé assistant de Jean-Pierre Sabouret en 1992, 1er violon supersoliste<br />
de<br />
l'Orchestre National de l'Opéra de Paris avec qui il participe à de nombreux<br />
concerts. Il crée le Quatuor Gaggini dont il est 1er violon. Il travaille dans de<br />
nombreux domaines comme le cinéma (Gérard Blain, Tarik Benouarka...), le<br />
théâtre, la variété (Orchestre de Raymond Lefèvre, Téléphone, etc...)<br />
Il est aussi violoniste dans le spectacle « La Périchole » d’Offenbach mise en<br />
scène par Jérôme Savary à l'Opéra comique de Paris, et dirige depuis 1996<br />
l'Ensemble orchestral ADLIB avec lequel il accompagne la compagnie des<br />
Tréteaux Lyriques depuis 1999.
L’équipe…<br />
Premiers violons<br />
Hubert Charpentier, André Pons<br />
et Béatrice Faure<br />
Violoncelles:<br />
Isabelle Ruault<br />
et Pierre-Emmanuel Chartron<br />
18 Musiciens de l’Orchestre AD LIB<br />
Deuxièmes violons<br />
Florence Benoist et Alison Meunier<br />
Altos<br />
Jean-christophe Raffi et Richard Fournier<br />
Flûte<br />
Sandrine Ladjouzi-Boscariol<br />
Contrebasses<br />
Dominique Patris<br />
et Sylvain Courteix<br />
Percussions<br />
David Outtier<br />
Clarinette<br />
Mathieu Franot<br />
Trombone<br />
Serge Boland<br />
Cor<br />
Joel Jody<br />
Basson<br />
Benjamin Elarbi<br />
Cornet<br />
Fabrice Bourgerie<br />
Hautbois<br />
Yan Haym
L’équipe…<br />
Les solistes<br />
Zanetta<br />
Laetitia Ayrès<br />
Régina<br />
Marion Lebègue<br />
Paola<br />
Juliette Hua<br />
Cabriolo<br />
Jean-Philippe Monatte<br />
Raphaël<br />
David Fraggionato<br />
Le directeur<br />
Frédéric Thiriez<br />
Le Prince Casimir<br />
Jean-Philippe Alosi<br />
Trémolini<br />
Rémi Buclin<br />
Sparadrap<br />
Hervé Dupont<br />
Les pages<br />
Christelle Bonnafoux, Jeanne Henry, Géraldine Meilhan, Caroline de Rougé et Caroline Sader
Les Tréteaux Lyriques<br />
Association loi de 1901 créée le 29 février 1968, elle a pour mission de permettre à des amateurs de pratiquer l'art<br />
lyrique, de développer des liens d'amitié dans un esprit de troupe permanente, et enfin de récolter des fonds pour<br />
soutenir des associations charitables.<br />
La troupe est composée de 45 bénévoles (avocats, médecins, chefs d’entreprises, étudiants, retraités …) conjuguant<br />
responsabilités professionnelles, familiales et passion de l’art lyrique. Avec eux, de jeunes professionnels ont choisi<br />
de donner de leur temps et de leur talent à l’association.<br />
Tous les deux ans, depuis 1968, les Tréteaux Lyriques, fidèles à leur tradition, proposent au public de découvrir ou<br />
redécouvrir une œuvre de Jacques Offenbach.<br />
En plus du plaisir d'être acteurs, chanteurs et danseurs, les bénéfices des spectacles que nous donnons et<br />
les sponsors qui encouragent notre action sont entièrement versés à des œuvres caritatives.<br />
www.treteauxlyriques.com/benefices
2005<br />
2007<br />
2003<br />
2001<br />
1999<br />
1997<br />
Les Tréteaux Lyriques<br />
1993<br />
1995<br />
1991-<br />
1992
Dans la presse écrite<br />
LE POINT<br />
« TRÉTEAUX LYRIQUES »<br />
Les choristes de l’humanitaire. Il s’est dépêché de rentrer de Monaco, où il a assisté aux cérémonies<br />
d’intronisation d’Albert II et (bien sûr) au match, « pour ne pas louper la répèt’». Car Frédéric Thiriez, président de<br />
la Ligue de football et baryton basse, tient le rôle de Mars (photo), « un personnage grandiloquent qui emmerde<br />
tout le monde, mais qui, devant sa femme, Vénus, ne moufte pas », dans « Orphée aux enfers » d’Offenbach. De ce<br />
passe-temps le grand patron du foot français ne parle jamais. « Je ne mélange pas, confie-t-il. J’ai toujours vécu dans<br />
la musique : ma mère était chanteuse ; je chante, je joue du piano et du violoncelle. »<br />
Frédéric Thiriez fait partie, depuis six ans, des Tréteaux lyriques. Cette troupe d’amateurs se produit pendant neuf<br />
soirs au théâtre du Trianon à Paris au profit de causes humanitaires. La dernière édition a permis de récolter<br />
60 000 euros. Agés de 18 à 72 ans, les chanteurs sont étudiants, chômeurs, banquiers, médecins… « Un vrai<br />
melting- pot », s’enthousiasme Christelle, ingénieur trentenaire, pendant que le « choeur des mouches » fait « Bzzz,<br />
bzzz ! » et que Mars, en casque romain et costume de papier, morigène d’une voix caverneuse. « Ici, on apprend à<br />
rire de nous, à rire de la vie », conclut un ténor, par ailleurs cancérologue JÉRÔME CORDELIER – nov. 2007
Contact:<br />
www.treteauxlyriques.com<br />
Christian Boeringer<br />
Christian.boeringer@gmail.com<br />
06 72 97 37 25