L'économie - Boulogne - Billancourt

L’économie
Enquête
L’immobilier de bureaux
redémarre
Touché par les inquiétudes sur la situation économique mondiale, le secteur
de l’immobilier de bureaux boulonnais a connu trois années difficiles
avec une baisse des transactions. Néanmoins, en ce début 2004, les professionnels
perçoivent quelques signes annonciateurs d’un redémarrage.
Quand les entreprises toussent, c’est le secteur
de l’immobilier de bureaux qui tombe
malade. Depuis 2001, et le ralentissement
de la croissance mondiale, Boulogne-Billancourt
n’échappe à cette règle. Comme
l’explique Paul-André Pelloux, PDG de Septime,
société nationale de gestion et transaction
en immobilier d’entreprise dont le
siège est à Boulogne-Billancourt : « Le secteur
de l’immobilier de bureaux est très dépendant
de la situation économique des entreprises.
En effet, dans un contexte défavorable, une
entreprise cherche à réduire ses coûts locatifs
qui représentent le deuxième poste après les
salaires. Elle va hésiter à déménager ou à augmenter
sa surface. » Conséquence : ces deux
dernières années, les sociétés ont majoritairement
opté pour l’immobilisme en matière
de transactions.
périphérie Est-Nord-Sud où les loyers étaient
plus abordables », précise Arnaud Violette,
directeur de DTZ Consulting and Research
Jean Thouard.
Grâce aux constructions,
les entreprises trouvent des locaux
qui correspondent à leurs besoins.
Le marché de l’immobilier de bureaux
est diffus dans la ville.
Le marché des petites surfaces
toujours actif
Installé à Neuilly-sur-Seine, DTZ Jean
Thouard, conseil international en immobilier
d’entreprises, connaît parfaitement
le marché boulonnais. Un marché qui représente,
avec un peu plus de un million de
m 2 de bureaux, 25 % des transactions du
secteur Ile-de-France Ouest. « Nous sommes
notamment mandatés par des promoteurs ou
des investisseurs pour louer des locaux à des
entreprises », précise Adeline Masse, directeur
adjoint transaction Ile-de-France
Ouest. « En 2002, nous n’avons répertorié
à Boulogne-Billancourt aucune transaction
pour des locaux de plus de 5 000 m 2 et seulement
deux transactions pour des locaux
entre 1 000 et 5 000 m 2 . Seul le marché des
petites surfaces est resté actif, dans la mesure
où les entreprises qui utilisent entre 100 à
600 m 2 bougent plus facilement et ont un
processus de décision plus rapide, même en
cas de crise.» Des entreprises se sont envolées
vers d’autres cieux. « Boulogne-Billancourt
appartient au secteur des affaires de
l’Ouest parisien. Or, en 2001-2002, certaines
sociétés ont préféré rejoindre la première
Les prix des loyers diminuent
Et pourtant, en ce premier semestre 2004,
les signes annonciateurs d’une reprise font leur
apparition. Tous les spécialistes – agences
conseil en immobilier, investisseurs, promoteurs
– s’accordent sur ce point. L’offre
devenant supérieure à la demande, les prix
des loyers ont été corrigés. « On observe un
retour progressif des entreprises à Boulogne-
Billancourt. Elles y trouvent maintenant des
locaux qui correspondent à leurs besoins, à des
valeurs acceptables », explique Arnaud Violette.
Une opinion partagée par Paul-André
Pelloux, (Septime) : « L’année dernière encore,
les sociétés qui cherchaient à négocier une baisse
de leurs charges locatives se voyaient opposer
une fin de non recevoir. Aujourd’hui, les investisseurs
sont ouverts à la négociation. Que ce
soit sur les prix, les réalisations de travaux ou
les franchises, c’est-à-dire les exonérations de
loyers en cas d’installation. » En somme, le
marché de l’immobilier de bureaux aurait
atteint une réelle maturité. Désormais, les
entreprises ont le choix. « En 2003, deux transactions
de plus de 5 000 m 2 ont été réalisées :
la Française des Jeux s’est installée dans l’immeuble
Antares et le groupe LDCOM – devenu
neuf telecom – a rejoint l’immeuble Quai Ouest,•••
Boulogne~Billancourt
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avril 2004
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L’économie
••• quai du Point-du-Jour. En ce qui concerne
les surfaces comprises entre 1 000 et 5 000 m 2 ,
nous avons recensé dix transactions », ajoute
Adeline Masse.
L’offre se raréfie
Pour Christian Lefrançois, directeur général
de Coprim, promoteur immobilier installé
à Boulogne-Billancourt, les entreprises
sont actuellement en position de force. « Les
investisseurs, qui attendaient la fin de la crise,
ont lancé peu de transactions en blanc, c’està-dire
sur des immeubles neufs. L’offre neuve
est en train de se raréfier et l’on risque de se
trouver face à une pénurie en 2005. Les loyers
vont donc augmenter sur le neuf. Les entreprises
seraient inspirées de prendre des positions
aujourd’hui, elles ne retrouveront pas forcément
de telles conditions. » Et Arnaud Violette
de conclure : « Nous sommes confiants, le
marché est désormais totalement transparent et
mature. Il ne faut pas oublier que ce marché, le
premier en Europe en matière de consommation
de surfaces tertiaires, s’en sort beaucoup
mieux que ses voisins européens. »
■ Estelle Nouel
Les chiffres (source CBRE-Bourdais)
• Parc immobilier de bureaux : 1 000 000 m 2
• Commercialisations en 2003 : 73 000 m 2
• Stock disponible au 1 er janvier 2004 : 76 000 m 2
• Taux de vacance (pourcentage de bureaux
disponibles par rapport au parc total) :
7,6 % en janvier 2004.
• Valeurs locatives (au 1 er janvier 2004) :
Neuf ou restructuré : 350 à 400 euros (loyers
HT HC/m 2 /an). Ancien : 250 à 330 euros.
Parmi les nouveaux venus en 2003 :
Boursorama, LVMH, le siège de La Française
des Jeux, LDCOM, PlanèteThalassa, Aigle,
France Télécom Marine... Et demain : Canal +...
L’immobilier de bureaux boulonnais
ses atouts, ses faiblesses
Grâce à son dynamisme économique, sa proximité avec la capitale et ses transports en commun,
Boulogne-Billancourt est une ville très attractive pour les entreprises. La commune accueille
ainsi le premier parc d’entreprises d’Ile-de-France après Paris : 11 000 établissements y sont
implantés. Les trois quarts d’entre eux exercent leur activité dans les services et notamment
dans la publicité, la communication ou les médias.
Comme l’analyse Adeline Masse, de DTZ Jean Thouard, conseil international en immobilier d’entreprise :
« En dehors du quartier du Point-du-Jour, Boulogne-Billancourt ne compte pas de quartier d’affaires
identifié. Ce marché diffus est un atout pour les entreprises de communication, elles aiment leur
indépendance. Par contre, cela pose un problème aux banques, assureurs et financiers .»
Ce que confirme Xavier de Malglaive, à la direction centrale utilisateurs de Bouygues Immobilier :
« Notre direction est chargée de trouver des locataires pour les immeubles réalisés par Bouygues
Immobilier comme le siège social de Colas, au Point-du-Jour. En dehors de ce quartier, qui constitue
un micro-pôle d’affaires, les immeubles de bureaux sont disséminés dans la ville. C’est positif sur
le plan urbanistique, moins sur le plan tertiaire car les entreprises aiment se regrouper. » De même,
en dehors des immeubles neufs (Antares, Arcs de Seine, Young & Rubicam...) ou restructurés (LVMH,
Quai Ouest, Renault quai Le-Gallo...), la ville compte une majorité d’immeubles anciens, peu propices
aux restructurations lourdes. Or les entreprises
apprécient de pouvoir réaménager leurs locaux,
en installant par exemple des bureaux paysagers.
Néanmoins, l’avenir proche offre de nouvelles
perspectives. « Les professionnels du secteur
attendent avec impatience l’aménagement des
terrains Renault. Des immeubles “nouvelle
génération” vont voir le jour dans un
environnement très favorable. Cela va apporter
un nouveau souffle au marché de l’immobilier
d’entreprise boulonnais », conclut Arnaud Violette,
directeur de DTZ Consulting and Research Jean
Thouard.
Canal + quitte ses locaux parisiens.
Entre mai et septembre, ce sont 1 200
salariés, soit l’ensemble des plateaux
de télévision et les unités de production,
qui rejoindront l’immeuble construit
par Christian de Portzamparc en bord
de Seine tandis que les services
administratifs de la chaîne seront
accueillis à Issy-les-Moulineaux.
Les adresses
Bouygues Immobilier
150, route de la Reine.
Tél. : 01 55 38 25 25. Fax. : 01 47 12 96 45.
Internet : www.bouygues-immobilier.com
Coprim
159, rue Gallieni. Tél. : 01 46 99 44 00.
Internet : www.coprim.fr
DTZ Jean Thouard
8, rue de l’Hôtel de ville 92 522 Neuilly-sur-
Seine. Tél. : 01 49 64 49 64.
Fax. : 01 47 48 94 72.
Internet : www.dtzfr.com
Septime
101, boulevard Jean-Jaurès.
Tél. : 01 41 22 77 99. Fax. : 01 41 22 77 66.
Internet : www.septime.com
Sorif
66, route de la Reine.
Tél. : 01 46 84 34 22. Fax. : 01 46 05 96 09.
Internet : www.sorif.fr
Boulogne~Billancourt
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L’économie
Quatre questions à...
«Mon plus beau jour»
c’est votre mariage
Mon plus beau jour... Cette petite société boulonnaise est spécialisée dans
l’organisation de mariages de prestige. Rencontre avec sa fondatrice,
Dorothée Gruman.
Pourquoi avoir créé Mon plus beau jour ?
J’ai eu envie de devenir organisatrice de
mariages de prestige en 1994, année où j’ai
été confrontée à la préparation de mon
propre mariage ! J’ai évalué à 250 heures
la somme de travail nécessaire pour planifier
une cérémonie de qualité. Sans compter
le stress, la pression... Je me suis dit que
cela valait la peine d’être aidée. Mais j’ai
longtemps réfléchi avant de créer Mon plus
beau jour. J’ai exercé pendant plusieurs
années comme organisatrice de réceptions
dans le milieu des avocats d’affaires. L’année
dernière, j’ai décidé de me lancer. J’ai
constaté que les organisateurs de mariage
commençaient à faire leur apparition en
France. Cette pratique vient des États-Unis
et d’Angleterre, où il est très courant de faire
appel à un « wedding planner » (consultant
en mariage) lorsqu’on décide de convoler.
Quel est votre rôle ?
S’ils se marient pour la première fois, les
couples sont forcément novices. Je leur
propose de les accompagner et de les
conseiller dans la recherche des meilleurs
fournisseurs qui contribueront à la réussite
de leur mariage. Une première rencontre,
d’une durée de deux heures, me
permet d’évaluer leurs envies et leurs goûts.
Le mariage doit être à l’image des mariés.
En général, les femmes ont une idée plus
précise que les hommes de ce qu’elles veulent.
Elles s’imaginent souvent dans une
ambiance romantique et champêtre avec
une jolie robe. Je suis surprise de constater
que, quel que soit le milieu, la demande
reste très traditionnelle ! Je soumets ensuite
aux futurs mariés une liste de prestataires
– créateurs de robes de mariée et de cortèges,
coiffeurs-maquilleurs à domicile, réalisateurs-vidéo,
musiciens et chanteurs – que
j’ai sélectionnés pour leur sérieux, leur
talent et leur originalité. Je me charge aussi
des démarches administratives et religieuses
pour la célébration du mariage et je suis
présente le jour J pour veiller au bon déroulement
de la fête. Enfin, je peux conseiller
les mariés sur le choix de leur voyage de
noces !
Dorothée Gruman, fondatrice
de la société Mon plus beau jour.
Quand faut-il contacter Mon plus beau jour
et combien coûte un mariage organisé par
votre société ?
Pour certains lieux prestigieux, salons de
réception ou châteaux, il est nécessaire de
réserver un an à l’avance. Surtout si le
mariage a lieu en mai, juin ou septembre,
des périodes où l’on se marie beaucoup.
Mais rien n’est impossible ! Je suis en train
d’organiser un mariage qui aura lieu dans
un mois. Mon plus beau jour peut également
répondre à des demandes a priori
impossibles ! Trouver une Rolls Royce Silver
Cloud 1960 ou une montgolfière, organiser
un lâcher de papillons... Mes honoraires
sont fixes, ils s’élèvent à 2 300 euros. Il faut
compter 23 000 euros minimum pour une
cérémonie « clefs en main » avec une centaine
d’invités. Après, les prix peuvent s’envoler
!
Quelles sont vos perspectives de développement
?
En un an, j’ai organisé huit mariages de
prestige. Pour l’instant, mes clients sont
essentiellement franciliens. Le « wedding
planner » est très peu connu en Province.
J’aimerais développer mon activité dans des
villes comme Lyon, Marseille ou Bordeaux.
À terme, si les demandes augmentent, je
pourrai recruter plusieurs collaboratrices.
■ Propos recueillis par Estelle Nouel.
Mon plus beau jour
17, rue des Pins
Tél. : 01 49 09 05 35 ou 06 08 03 66 82
Site Internet : www.monplusbeaujour.com
La vie des entreprises
Sophie Castagnetti
une mariée sur mesure
Le parcours atypique de Sophie Castagnetti
a de quoi surprendre. Du jour au lendemain,
en 1997, cette architecte boulonnaise diplômée
par le gouvernement décide de devenir
créatrice de robes de mariée. Qu’à cela ne
tienne. À 38 ans, elle suit trois mois de stage
pour apprendre les rudiments du métier de
modéliste... à 39 ans, elle participe à son premier
salon du mariage. Depuis, les modèles
en soie sauvage, organza ou crêpe de soie de
cette passionnée de matières et de formes
cohabitent sur les magazines spécialisés aux
côtés de noms aussi prestigieux que Christian
Lacroix ou Max Chaoul. Pour le prix
d’une robe en prêt à porter (1 500 / 2 000 €),
elle crée des modèles sur mesure, une quinzaine
par an, qu’elle personnalise encore à la
peinture si la future mariée le souhaite.
• Création Sophie Castagnetti,
sur rendez-vous, 97, rue du Point-du-Jour.
Tél. : 01 46 20 05 30.
Créateurs d’entreprise
Créé en février 2000, le Cercle des créateurs
d’entreprise est une association soutenue par
la ville qui aide tout porteur d’une idée de
création d’entreprise. Claude Thomas en est
le président, Catherine Aymonin, la directrice.
15, rue Paul-Bert. Tél. : 01 55 18 48 59.
Fax. : 01 55 18 56 16. www.createurs92.com
Les créateurs boulonnais de ce mois sont :
• Admi Simple. 23, rue des Longs-Prés.
Tél. : 01 46 08 38 11. www.admisimple.com
Conseils aux entreprises.
• Full place. 43, avenue du Général-Leclerc.
Tél. : 01 46 21 21 82. www.fullplace.com
Place de marché sur Internet.
• Anne Nassar. Entreprise individuelle
d’expressions artistiques à visée
thérapeutique. Bateau « Le Bullit », face au
29, quai de Stalingrad. Tél. : 01 46 08 37 45.
Bouygues Telecom
Gilles Pélisson
promu PDG
Succédant à Philippe Montagner qui présidait
aux destinées de Bouygues Telecom depuis
sa création en 1994, Gilles Pélisson (ci-contre),
directeur général de la société depuis
septembre 2001, a été
nommé en février
2004 président-directeur
général. À 46 ans,
ce jeune patron prend
ainsi la tête du 3 e opérateur
de téléphonie
mobile en France.
Diplômé de l’Essec et
titulaire d’un MBA de
Harvard Business
School, Gilles Pélisson
a débuté sa carrière
professionnelle dans
le groupe Accor, en tant que directeur du
marketing des restaurants Seafood Broiler,
puis vice-président pour la zone Asie-Pacifique.
En 1988, il est nommé directeur général
des restaurants Courtepaille, puis co-président
de Novotel. En 1995, il devient directeur
général d’Euro Disney, président-directeur
général deux ans plus tard. En 2000, Gilles
Pélisson prend la direction de Suez-Telefonica
ST3G, puis la présidence de Noos. En
septembre 2001, il rejoint le groupe Bouygues
comme directeur général de la filiale téléphonie
mobile. Pionnier du multimédia mobile
en France avec le lancement en 2002 de l’imode,
qui permet de surfer sur Internet et d’envoyer
des mails à partir d’un téléphone mobile,
Bouygues Telecom a réalisé en 2003 un chiffre
d’affaires de 3,3 milliards d’euros, en progression
de 12 % par rapport à l’année précédente.
Le groupe compte près de 7 000 collaborateurs
dont environ 1 200 au siège boulonnais.
• Arcs de Seine. 1, place Abel-Gance.
Tél. : 01 39 26 75 00.
Christian Bîmes
entre à TF1
Christian Bîmes, président de la Fédération
française de tennis depuis 1993, a rejoint le
2 mars dernier le groupe TF1 où il occupe
désormais le poste de directeur délégué,
en charge des dossiers de stratégie et de développement.
Il continue à exercer ses fonctions
au sein de la FFT et compte briguer un
nouveau mandat en 2005.
Terre de Sienne
à nouveau distinguée
Le Top Com Corporate Business, qui récompense
les meilleures initiatives en matière de
communication, a distingué cette année encore
Terre de Sienne en lui décernant le Grand
prix 2004 de la meilleure édition pour le rap-
Emploi : une amélioration depuis trois mois
En décembre 2003, le tableau de bord de l’emploi à Boulogne-Billancourt, édité par la
direction du Développement économique et de l’Emploi de la ville, fait apparaître un
repli du taux de chômage de 0,1 point sur le dernier mois. Il s’élève à 9,1 % pour 9,7 %
en France. Avec 5 104 demandeurs d’emploi, Boulogne-Billancourt enregistre une baisse
sensible du nombre d’inscrits, pour le troisième mois consécutif. Le chômage des cadres,
en hausse de 9,9 % sur un an, concerne 1 983 personnes en recherche d’emploi. Le
chômage de longue durée (1 702 Boulonnais) enregistre une hausse de plus de 28,4 %
sur un an : le niveau le plus élevé constaté depuis juin 2000. Enfin, 571 jeunes de moins
de 26 ans sont inscrits à l’ANPE, soit 11,2 % du total de la demande d’emploi.
• Direction du Développement économique et de l’Emploi. 35, rue Paul-Bert. Tél. : 01 55 18 48 46.
port annuel Dexia, et le Top Com de bronze
pour celui de S.T. Dupont. L’agence de communication
boulonnaise avait reçu l’année
dernière le Grand prix du meilleur rapport
annuel pour BNP Paribas.
Créée en 1995 par Jean-François Le Rochais,
président-directeur général, Terre de Sienne
est une agence de communication spécialisée
dans le conseil, le territoire de marque, l’édition
et la publicité. Cette jeune agence qui
compte 23 collaborateurs affiche en 2003 un
chiffre d’affaires de près de 5 millions d’euros.
• 79 bis, rue de Paris. Tél. : 01 55 19 19 07.
www.terredesienne.com
France Galop organise
« Les dimanches au galop »
La société boulonnaise France Galop, organisatrice
des courses parisiennes de plat et
d’obstacle, propose des animations gratuites
baptisées Dimanches au galop sur les hippodromes
d’Auteuil (les 18 avril et 9 mai) et de
Longchamp (les 4, 11, 25 avril et les 2, 16, 23
mai). Manège de chevaux de bois, aire de jeux,
poney club amuseront les enfants, tandis que
les adultes pourront découvrir l’univers des
courses et leurs coulisses. Tous pourront assister
aux courses spectaculaires de cracks jockeys
en selle sur les plus grands purs-sang.
En collaboration avec le conseil général des
Hauts-de-Seine, France Galop organise également
samedi 1 er mai sur l’hippodrome de Saint-Cloud
une journée de découverte du monde des loisirs
équestres et des courses de galop, intitulée
Les Hauts-de-Seine au galop. Au programme,
pique-nique, promenades à poneys gratuites,
défilé en costumes à thème et huit courses, dont
deux courses de poneys et la finale du championnat
des Grandes écoles 2004.
• 46, place Abel-Gance. Renseignements :
Tél. : 0 821 213 213 (0,12€/mn depuis un
poste fixe). www.France-galop.com
The Millennium Essence Company
met les enfants au parfum
Dirigée par Frédéric et Priscilla Beaulieu, cette
entreprise de huit personnes nouvellement
installée sur la ville, fabrique et commercialise
dans le monde entier les parfums de la
marque Kaloo, spécialiste des jouets doux
pour bébés. L’export représente 70 % de
l’activité de la société qui prévoit de lancer
en avril les parfums Clayeux.
Coffret Mini Patapouf Lilirose et son eau
de senteur Lilirose.
Ces mêmes dirigeants sont également à la
tête de Wivine Distribution qui s’occupe de
la commercialisation sur le marché français
de ces deux marques. Distribués dans 1 800
points de vente, les Parfums Kaloo se classent
au second rang du marché français en
2003, avec 15,3 % de part de marché. La
société a également pris la distribution de la
marque de parfum italien Fiorucci et des produits
de toilette Hello Kitty, Bang on the door
et Betty Boop.
• 36, rue de Silly. Tél. : 01 41 31 60 60.
Nouveaux venus
• Axitis. 140, rue Gallieni.Tél. : 01 41 10 94 68.
Gestion de l’immobilier d’entreprise.
• 1 er Avril. 28, rue de Solférino. Tél. : 01 47
61 84 81. Agence de communication audiovisuelle
et globale (événementiel, marketing
direct, TV, radio, presse) dirigée par Fabien
Baunay - ancien directeur de M6 Thématiques
– et Bernard du Payrat – ancien président de
FCBi.
• ERM Soft. 42, rue Gambetta.
www.delos.cogisoft.fr. Édition et vente d’un
logiciel de gestion de la relation clients avec
outils Web.
• Affaire de Styles. 19, rue d’Aguesseau.
Tél. : 01 46 05 00 45. Société spécialisée
dans l’analyse et l’évaluation de l’image de
soi. Formations en groupe ou individuelles.
Boulogne~Billancourt
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