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La clarinette en si bémol majeur

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<strong>La</strong> <strong>clarinette</strong> <strong>en</strong> <strong>si</strong><br />

<strong>bémol</strong> <strong>majeur</strong><br />

Dimitri Louis et Dorian L R.


Une<br />

hanche


<strong>La</strong> <strong>clarinette</strong><br />

<strong>La</strong> <strong>clarinette</strong> est un instrum<strong>en</strong>t à v<strong>en</strong>t de la famille des bois<br />

caractérisée par son anche <strong>si</strong>mple et sa perce<br />

<strong>La</strong> <strong>clarinette</strong> est un instrum<strong>en</strong>t à v<strong>en</strong>t de la famille des bois<br />

approximativem<strong>en</strong>t cylindrique. Elle a été créée vers 1700<br />

caractérisée par son anche <strong>si</strong>mple et sa perce approximativem<strong>en</strong>t<br />

par Johann Christophe D<strong>en</strong>ner (1655-1707) à Nüremberg sur<br />

cylindrique. Elle a été créée vers 1700 par<br />

la base d'un instrum<strong>en</strong>t à anche <strong>si</strong>mple plus anci<strong>en</strong> : le «<br />

Johann Christophe D<strong>en</strong>ner (1655-1707) à Nüremberg sur la base<br />

chalumeau ». <strong>La</strong> <strong>clarinette</strong> soprano (<strong>en</strong> <strong>si</strong>) est le modèle le<br />

d'un instrum<strong>en</strong>t à anche <strong>si</strong>mple plus anci<strong>en</strong> : le « chalumeau ». <strong>La</strong><br />

plus commun.<br />

<strong>clarinette</strong> soprano (<strong>en</strong> <strong>si</strong>) est le modèle le plus commun.<br />

<strong>La</strong> perce cylindrique de la <strong>clarinette</strong> la distingue du hautbois<br />

<strong>La</strong> perce cylindrique de la <strong>clarinette</strong> la distingue du hautbois et du<br />

et du saxophone, tous deux à perce conique, et lui confère<br />

saxophone, tous deux à perce conique, et lui confère une aptitude au<br />

une aptitude au quintoiem<strong>en</strong>t. Son timbre chaud dans le<br />

quintoiem<strong>en</strong>t. Son timbre chaud dans le registre grave, peut<br />

registre grave, peut s'avérer extrêmem<strong>en</strong>t brillant voire<br />

s'avérer extrêmem<strong>en</strong>t brillant voire perçant dans l'aîgu.<br />

perçant dans l'aîgu.


De tous les instrum<strong>en</strong>ts à v<strong>en</strong>t, la <strong>clarinette</strong><br />

possède la plus grande tes<strong>si</strong>ture avec 3 octaves<br />

plus une <strong>si</strong>xte mineure, soit 45 notes <strong>en</strong> tout. Elle<br />

se décline <strong>en</strong> une famille d'instrum<strong>en</strong>ts presque<br />

tous transpo<strong>si</strong>teurs, depuis la <strong>clarinette</strong><br />

ontrebasse jusqu'à la <strong>clarinette</strong> soprano, couvrant<br />

ain<strong>si</strong> toute l'ét<strong>en</strong>due d'un orchestre symphonique.<br />

À l'exception des percus<strong>si</strong>ons, la <strong>clarinette</strong> est<br />

l'instrum<strong>en</strong>t qui possède la plus grande famille.


L'histoire de la <strong>clarinette</strong> :<br />

Le chalumeau europé<strong>en</strong> du Moy<strong>en</strong> Âge fut sans doute<br />

l'ancêtre le plus direct de la <strong>clarinette</strong>. Aujourd'hui<br />

<strong>en</strong>core, le registre grave de la <strong>clarinette</strong> est appelé<br />

registre du chalumeau. C'est à Johann Christoph D<strong>en</strong>ner<br />

(1655-1707) que l'on doit l'inv<strong>en</strong>tion de la <strong>clarinette</strong><br />

lorsque vers 1690, il ajouta au chalumeau français le<br />

pavillon et deux clés d'importance <strong>majeur</strong>e.


'ajout de la « clé de 12e» permit de tirer parti de<br />

l'aptitude de l'instrum<strong>en</strong>t au quintoiem<strong>en</strong>t, que les<br />

mu<strong>si</strong>ci<strong>en</strong>s les plus doués pouvai<strong>en</strong>t provoquer par<br />

ne modification de la po<strong>si</strong>tion de l'embouchure. Le<br />

registre atteint est alors celui dit du clairon et sa<br />

sonorité se rapproche de la <strong>clarinette</strong>, petite<br />

rompette du XVIIIe <strong>si</strong>ècle, qui donna son nom à la<br />

<strong>clarinette</strong>.

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