Page 01-4600CSEAREZKI - La Nouvelle République
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égions<br />
<strong>La</strong> NR 4600— Samedi 6 avril 2<strong>01</strong>3<br />
8<br />
I N F O S<br />
E X P R E S S<br />
Béchar<br />
Pourquoi la mairie<br />
utilise-t-elle le papier<br />
carbone usé à plusieurs<br />
reprises <br />
Beaucoup s’interrogent sur le papier<br />
carbone usé utilisé à plusieurs<br />
reprises. Les bureaux administratifs<br />
de l'état civil de la commune utilisent<br />
le papier carbone de mauvaise<br />
qualité. Ce carbone après une seule<br />
utilisation perd ses propriétés<br />
organiques de calquage, qui est<br />
l'impression par la duplication pour<br />
les formulaires extrait de naissance<br />
simple, fiche individuelle et fiche<br />
familiale. Ailleurs dans le monde, les<br />
administrations se sont développées<br />
dans le domaine de la bureautique<br />
par l’introduction de moyens et<br />
d’outils de l'informatique.<br />
L'administration semble ne pas se<br />
soucier de la capacité d’impression<br />
de ce papier lorsqu’il s'abîme. <strong>La</strong><br />
lecture devient difficile et l'écriture<br />
se fait péniblement. L'écriture sur<br />
une fiche familiale ou bien sur tout<br />
autre document ressemble à des<br />
traces de circulation de fourmis sur le<br />
papier blanc. Notons encore que la<br />
mauvaise écriture favorise dans une<br />
grande mesure la falsification de ces<br />
documents administratifs. On ne<br />
peut pas distinguer et différencier<br />
entre un chiffre et une lettre. Un<br />
employé des guichets nous a<br />
répondu par «Allah ghaleb!», une<br />
formule devenue courante<br />
quotidiennement dans les oreilles<br />
des usagers. Posons-nous<br />
simplement cette question : y a t-il<br />
du papier carbone de bonne qualité <br />
Y a-t-il des imprimantes Où se situe<br />
le problème Toutes ces interrogations<br />
préoccupent profondément les<br />
citoyens qui font face à ce sérieux<br />
problème qui donne envie de ne plus<br />
se rendre à ces bureaux de l'état civil.<br />
<strong>La</strong> belle écriture est un véritable art<br />
qui reflète la vitalité mais aussi et<br />
surtout le sérieux de l'administration.<br />
Mohamed Smail<br />
Relizane<br />
Tiaret<br />
, <strong>La</strong> nouvelle composante<br />
de la commission des œuvres<br />
sociales du personnel de<br />
l’Education de la wilaya de<br />
Tiaret a eu la louable<br />
initiative d’organiser, jeudi<br />
dernier, à l’ITE Ibn-Rochd,<br />
une réception afin d’honorer<br />
les retraités, tous paliers<br />
confondus, de l’année 2<strong>01</strong>1<br />
et celle de 2<strong>01</strong>2 .<br />
, Longtemps décriées par les citoyens<br />
en raison de l'état de déliquescence<br />
auquel elles sont parvenues, les salles<br />
de soins de quelques quartiers<br />
périphériques de la commune de<br />
Relizane vont bénéficier d'une<br />
opération de lifting pour les remettre<br />
à neuf et leur permettre d'assurer aux<br />
citoyens des prestations de santé dans<br />
des conditions plus convenables.<br />
Les retraités de l’éducation<br />
honorés<br />
Cette initiative intervient quelques<br />
jours après la rencontre<br />
ayant réuni les élus et le wali,<br />
M. Bousmaha Mohamed, pour<br />
trouver un terrain d’entente<br />
parmi le groupe suite au conflit<br />
interne qui a gelé plus de 20 milliards<br />
de centimes destinés à la<br />
famille éducative. Le nouveau<br />
président de la commission des<br />
œuvres sociales de la wilaya de<br />
Tiaret, le représentant de la commission<br />
nationale, le wali de Tiaret,<br />
puis M. Bouriah Tahar, président<br />
de l’APW, ont pris la parole<br />
au début de la cérémonie pour<br />
rendre hommage aux retraités<br />
du secteur de l’Education pour<br />
les années de labeur et les efforts<br />
qu’ils ont déployés durant<br />
toute leur carrière. Tous leur ont<br />
souhaité une retraite heureuse<br />
en insistant sur le fait qu’ils font<br />
toujours partie de la famille éducative.<br />
Après une brève collation,<br />
des diplômes à titre honorifique<br />
ont été décernés aux retraités<br />
et ce, dans une ambiance<br />
conviviale pleine d’émotion au<br />
cours de laquelle des photos souvenirs<br />
ont été prises durant cette<br />
cérémonie. En marge de cet événement,<br />
le premier responsable<br />
de la commission a cité les primes<br />
et indemnités dont profitent<br />
2 295 bénéficiaires se répartissant<br />
comme suit : 647 retraités<br />
avec une prime de 250 000 DA,<br />
529 orphelins, 153 veuves non<br />
actives (femmes au foyer), 127<br />
handicapés, 144 circoncis, 42<br />
opérés non actifs, 46 primes de<br />
décès. Le budget global versé<br />
aux différents bénéficiaires est<br />
de 18 milliards 700 millions, a<br />
indiqué le chargé de l’organique<br />
de la commission. Comme prévu<br />
l’étude de 247 dossiers se poursuit<br />
actuellement, avec la réalisation<br />
d’un cercle de l’enseignant<br />
Un programme d'urgence<br />
pour les salles de soins<br />
Rendre hommage aux ainés. (Photo > D. R.)<br />
Dans le cadre du renforcement de ce secteur, les autorités<br />
de la commune ont décidé également de<br />
lancer la construction de trois autres salles de<br />
soins dans les agglomérations périphériques. Les<br />
deux opérations ont bénéficié d'une enveloppe<br />
budgétaire. Selon le cabinet du président de l'APC<br />
de Relizane, ces deux actions sont inscrites dans le<br />
programme d'urgence retenu pour le secteur de la<br />
santé consistant en la réhabilitation et l'extension<br />
des salles de soins et leur renforcement. Le premier<br />
volet vise la réhabilitation de la salle de soins de la<br />
cité Khemisti dans le secteur urbain du village<br />
Prary, l'aménagement extérieur du service des urgences<br />
de l’Etablissement hospitalier public du<br />
centre-ville, relevant du secteur urbain de Relizane,<br />
avec la réfection de la salle de soins de la cité Zergaoui<br />
et celle de la salle de soins réservées à la maternité<br />
et à la pédiatrie. Ces nouvelles réalisations,<br />
assurent les autorités communales, vont permettre<br />
aux populations des quartiers concernés de disposer,<br />
à proximité, de prestations de santé primaire<br />
sans être obligées de se déplacer dans les<br />
grands centres urbains, allégeant ainsi un tant soit<br />
peu la forte pression qui s'exerce sur le centre hospitalo-universitaire.<br />
N.-Malik<br />
et la réhabilitation du centre de<br />
vacances implanté à Mostaganem.<br />
Une convention sera signée<br />
avec le partenaire de la station<br />
thermale de Serguine, dans la<br />
daïra de Ksar Chellala, a ajouté le<br />
B R È V E<br />
Béjaïa : les travaux<br />
de la gare maritime seront<br />
lancés au cours de ce mois<br />
Cela fait belle lurette que Béjaïa attend<br />
sa gare maritime. Les plans sont<br />
achevés, les financement sont réservés<br />
et ses réalisateurs seront connus dans<br />
conférencier.<br />
Cette initiative a été marquée par<br />
la présence de M. <strong>La</strong>laloui, directeur<br />
de l’Education dans la<br />
wilaya de Médéa.<br />
Hamzaoui Benchohra<br />
Djelfa<br />
Un hectare de maïs coûte 114 064 DA et peut<br />
rapporter jusqu’à 450 000 DA<br />
, C’est une étude qui a été réalisée<br />
par les experts de l’ITGC<br />
(Institut technique des grandes<br />
cultures) : le prix de revient<br />
moyen de la culture du maïs sur<br />
un hectare, revient à 114 064<br />
DA. Toutes les dépenses ont été<br />
consignées et totalisées. Même<br />
la main-d’œuvre du propriétaire<br />
a été prise en considération.<br />
Jusque-là les intrants chimiques<br />
n’étaient pas utilisés. Donc c’est<br />
une rubrique non influente pour<br />
la majorité des céréaliculteurs.<br />
Quant au facteur de l’irrigation,<br />
cela dépend de la forme d’acquisition<br />
de l’eau si elle est pompée<br />
à partir de forages devient<br />
élevé obligatoirement. Pour un<br />
hectare il faut 6 000 m 3 d’eau. Le<br />
calcul est vite fait : cela reviendra<br />
à 40.260 DA, à raison de 2DA/m 3 .<br />
Le coût de l’énergie reste faible,<br />
soit l’équivalent de 10.080 DA.<br />
Généralement on ne cultive pas<br />
uniquement un seul hectare de<br />
maïs mais des dizaines, voire<br />
des centaines. Si on exclut l’irrigation<br />
assistée par l’utilisation<br />
de l’énergie, le prix de revient<br />
est beaucoup plus abordable et<br />
moins onéreux. L’ONAB est<br />
tenue d’assister les céréaliculteurs<br />
et de leur acheter leur production<br />
au prix de 4 500 DA le<br />
quintal. Cette mesure a encouragé<br />
les céréaliculteurs et les<br />
éleveurs de bovins pour se lancer<br />
dans la production de maïs.<br />
Djilali Harfouche<br />
VoirsurInternet<br />
www.lnr-dz.com<br />
les tout prochains jours, selon son<br />
directeur général.<br />
Les travaux seront lancés, dit-il, au<br />
cours de ce mois d’avril et s’étaleront<br />
sur 24 mois. Béjaïa, précisera-t-il aura<br />
une infrastructure moderne qui cadre<br />
avec le site de la casbah et de la poste<br />
et disposera de tout le confort à même<br />
de recevoir les nombreux hôtes de la<br />
ville.<br />
B. M.-O.