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<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong><br />
La lettre de <strong>Bull</strong><br />
n°44 I Mars - Avril 2010<br />
<br />
SUCCÈS<br />
Ilion Animation Studios<br />
a conçu Planète 51 avec<br />
un supercalculateur <strong>Bull</strong><br />
La création d’un film d’animation 3D est l’une<br />
des activités assistées par ordinateur les<br />
plus gourmandes en puissance de<br />
calcul et en ressources matérielles.<br />
Ilion Animation Studios, producteur<br />
du film Planète 51, qui remporte<br />
actuellement un succès mondial,<br />
a choisi <strong>Bull</strong> pour concevoir et<br />
mettre à niveau sa ferme de<br />
serveurs de rendu graphique.<br />
(page 7)<br />
<br />
<br />
ÉDITORIAL<br />
TEMPS FORTS, p.3<br />
Nouvelle<br />
dimension,<br />
nouvelles offres,<br />
<strong>Bull</strong> aborde 2010<br />
renforcé<br />
En 2009, <strong>Bull</strong> a confirmé sa bonne tenue dans un<br />
environnement de marché dégradé avec un objectif<br />
de rentabilité dépassé. Nous avons également<br />
démontré la pertinence de nos nouvelles offres.<br />
> LIRE en page 2, l’édito de Didier Lamouche,<br />
Président-<strong>Direct</strong>eur Général.<br />
<br />
<strong>Bull</strong> prévoit 600 recrutements<br />
en 2010, dont 250 en France<br />
Après avoir embauché 650 nouvelles recrues en 2009, <strong>Bull</strong> poursuivra<br />
en 2010 sa politique de recrutement. En France, <strong>Bull</strong> prévoit une<br />
répartition similaire à celle observée en 2009 : 50 % des recrutements<br />
effectués en 2010 s’adresseront à des profils présentant plus de trois<br />
ans d’expérience, 50 % sur des profils juniors.<br />
(page 3)<br />
DSI et Open Source :<br />
de l’usage capitalistique<br />
aux écosystèmes d’innovation<br />
<br />
TEMPS FORTS<br />
PAR BORIS AUCHÉ, BULL SERVICES,<br />
CO-FONDATEUR DE L’OPEN CIO SUMMIT<br />
En octobre dernier, <strong>Bull</strong> co-organisait avec le CIGREF, l’ANDSI et le Club<br />
CIO le premier « Open CIO Summit », dans le cadre de l’Open World<br />
Forum, principal événement mondial rassemblant les décideurs pour<br />
débattre de l’impact technologique, économique et sociétal du<br />
numérique ouvert.<br />
(page 4)<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
• <strong>Bull</strong> prévoit 600 recrutements en 2010.<br />
• Boris Auché – DSI et Open Source :<br />
vers les écosystèmes d’innovation.<br />
• L’Open CIO Summit publie son livre blanc.<br />
SUCCÈS, p.7<br />
• Planète 51 conçu avec un supercalculateur <strong>Bull</strong>.<br />
• L’opérateur Sonatel rationalise ses accès<br />
avec Evidian.<br />
• Le conseil général du Haut-Rhin optimise<br />
son stockage avec <strong>Bull</strong>.<br />
PAROLE D’EXPERT, p.11<br />
• Roger Parrié – Les points de fonctions,<br />
une aide précieuse au pilotage.<br />
SOLUTIONS, p.13<br />
• Nouveaux serveurs Escala performants<br />
et éco-efficaces.<br />
• Centres de solutions StoreWay pour toute<br />
problématique de stockage.<br />
• <strong>Bull</strong> accrédité ASP/APSP NetApp en Europe.<br />
• Evidian rejoint McAfee Security Innovation<br />
Alliance.<br />
EN BREF, p.16<br />
• <strong>Bull</strong> World, la Web TV de <strong>Bull</strong> vous place<br />
au cœur de l’innovation<br />
AGENDA, p.17
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORT SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
<br />
ÉDITORIAL<br />
© Dominique Maître<br />
Nouvelle dimension, nouvelles offres,<br />
<strong>Bull</strong> aborde 2010 renforcé<br />
Par Didier Lamouche,<br />
Président-<strong>Direct</strong>eur Général<br />
En 2009, <strong>Bull</strong> a confirmé sa bonne tenue dans un environnement de marché<br />
dégradé avec un objectif de rentabilité dépassé. Nous avons également<br />
démontré la pertinence de nos nouvelles offres. En effet, sur l’ensemble<br />
de l’année, les prises de commandes de nos offres cœur, qui représentent<br />
désormais 93 % de notre activité, sont en croissance. Portées par l’innovation,<br />
elles affichent des performances supérieures à leurs marchés de référence<br />
qui ont décru de -5 % à -15 %.<br />
L’exécution de notre stratégie s’est traduite par d’importants contrats d’hébergement ou<br />
d’infogérance avec de nouveaux clients du secteur public comme du secteur privé et par<br />
une forte croissance de nos activités « Extreme Computing » et serveurs d’entreprise.<br />
Enfin, nous avons considérablement renouvelé nos compétences pour accompagner la<br />
transformation du Groupe : plus de la moitié des collaborateurs ont rejoint l’entreprise<br />
depuis moins de 4 ans. Confiants dans la solidité de notre modèle économique, nous<br />
prévoyons d’embaucher encore 600 personnes en 2010 (650 en 2009).<br />
En 2010, nous renforcerons encore davantage notre modèle, notre ambition étant de<br />
créer avec Amesys un leader européen des solutions de sécurité et de systèmes critiques.<br />
C’est un nouvel épisode de l’histoire de <strong>Bull</strong> qui s’ouvre. En effet, grâce à la combinaison<br />
inédite de compétences en matière de traitement de signal d’Amesys et les capacités de<br />
traitement massif de l’information de <strong>Bull</strong>, nous consolidons notre nouvelle dimension qui<br />
nous positionne comme acteur européen majeur de l’économie numérique. Sur le plan<br />
organisationnel, l’intégration d’Amesys, se traduira par la création d’une nouvelle division<br />
au sein de <strong>Bull</strong>, nommée « Sécurité et systèmes critiques », dirigée par Philippe Vannier,<br />
patron du Groupe Amesys.<br />
Nos fondamentaux, conjugués à ce rajeunissement et à cet élargissement, nous permettent<br />
d’aborder ensemble le futur de façon sereine.<br />
Par ma voix, l’ensemble des collaborateurs du Groupe vous remercie de votre confiance.<br />
– page 2 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
RECRUTEMENT<br />
<strong>Bull</strong> prévoit 600 recrutements en 2010,<br />
dont 250 en France 1<br />
Après avoir embauché 650 nouvelles recrues en 2009, <strong>Bull</strong> poursuivra en 2010 sa politique de recrutement. En France, <strong>Bull</strong><br />
prévoit une répartition similaire à celle observée en 2009 : 50 % des recrutements effectués en 2010 s’adresseront à des profils<br />
présentant plus de trois ans d’expérience, 50 % sur des profils juniors.<br />
<strong>Bull</strong> recherche essentiellement des collaborateurs dans le<br />
domaine des Services : développeurs, mais aussi ingénieurs<br />
systèmes, consultants, chefs de projet, intégrateurs<br />
d’infrastructure, maintenance… Le renforcement des structures<br />
de R&D conduira à l’embauche d’une quarantaine de<br />
spécialistes. Grâce aux nouvelles orientations prises par<br />
l’entreprise depuis plusieurs années dans le domaine des<br />
Services et de l’Extreme Computing, <strong>Bull</strong> bénéficie d’une<br />
image attractive : pour preuve, le quart des embauches se fait<br />
par réseau ou par cooptation. Le Groupe fait aussi confiance<br />
à la formation interne, puisque 20 % des embauchés sont déjà<br />
partie prenante de l’entreprise au moment de leur<br />
recrutement : apprentis et stagiaires notamment.<br />
À noter que 40 % des embauches auront lieu en province,<br />
principalement dans le Sud-Est, où le Groupe connaît des<br />
besoins en forte progression.<br />
Plus de 50 % de ces collaborateurs sont entrés dans le Groupe<br />
il y a moins de cinq ans. La France représente la moitié de ses<br />
effectifs répartis sur quatre sites en région parisienne (Les<br />
Clayes-sous-Bois, Saint-Ouen, Massy, Bruyères-le-Chatel, et<br />
Issy-les-Moulineaux dans un futur proche) et plusieurs en<br />
régions (Grenoble, Angers, Marseille, Aix-en-Provence,<br />
Nantes, Lyon, Bordeaux et Strasbourg).<br />
(1) Hors Amesys<br />
– page 3 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
OPEN SOURCE<br />
DSI et Open Source : de l’usage capitalistique<br />
aux écosystèmes d’innovation<br />
<br />
PAR BORIS AUCHÉ, BULL SERVICES, CO-FONDATEUR DE L’OPEN CIO SUMMIT<br />
En octobre dernier, <strong>Bull</strong> co-organisait avec le CIGREF, l’ANDSI et le Club CIO le premier « Open CIO Summit », dans le cadre<br />
de l’Open World Forum, principal événement mondial rassemblant les décideurs pour débattre de l’impact technologique,<br />
économique et sociétal du numérique ouvert. L’objectif : créer un sommet de l’Open Source « par les DSI, pour les DSI »,<br />
afin de partager expériences et bonnes pratiques. À l’occasion de la publication des conclusions de ce sommet, Boris Auché,<br />
<strong>Bull</strong> Services, co-fondateur de l’Open CIO Summit, revient sur le niveau d’adoption de l’Open Source par les DSI.<br />
Depuis des années, vous accompagnez des DSI sur leurs<br />
projets Open Source. Quel est le niveau d’adoption <br />
Aujourd’hui, l’Open Source est arrivé à maturité. La plupart<br />
des DSI l’ont déjà essayé sur une maquette ou un projet. Ils ont<br />
pu apprécier ses atouts et ses limites. Ils ont pris la mesure<br />
entre les promesses marketing et la réalité de l’expérience. La<br />
communauté informatique est maintenant sortie des débats<br />
idéologiques, pour entrer dans une démarche pragmatique :<br />
« où l’Open Source pourra-t-il me servir au mieux » Bref,<br />
l’Open Source a définitivement franchi le fossé qui sépare les<br />
pionniers de la majorité des utilisateurs, au moins sur certaines<br />
couches d’infrastructure.<br />
L’Open CIO Summit en est un bon témoin : nous sommes<br />
passés de l’évangélisation à la confrontation des expériences.<br />
L’Open Source s’est installé subrepticement, au cœur des<br />
systèmes d’information. Il est présent et demandé dans la<br />
plupart des cahiers des charges, y compris et de plus en plus<br />
dans le secteur privé. Ce n’est plus seulement le choix du<br />
secteur public. Bien sûr, il se trouve encore quelques DSI<br />
réfractaires, mais la plupart ne le considèrent plus comme un<br />
choix marginal. C’est même le socle du SI. Invisible, mais bien<br />
présent. C’est la raison pour laquelle il se banalise : Il est<br />
embarqué dans le moteur de multiples solutions d’éditeurs,<br />
SaaS ou Cloud Computing. Oracle, WebSphere ou Google<br />
sont truffés d’Open Source. Aujourd’hui chez nos clients, la<br />
plupart des nouveaux projets intègrent des solutions Open<br />
Source.<br />
Ce succès a-t-il une influence sur l’écosystème Open Source luimême<br />
et ses évolutions <br />
C’est même un défi pour la définition du domaine. Parler<br />
aujourd’hui de « 92 % de pénétration de l’Open Source dans<br />
les entreprises » n’a plus vraiment de sens. Que mesure-t-on <br />
D’une certaine façon, il faudrait réinventer la mesure de<br />
l’usage de l’Open Source, comme certains proposent de<br />
réinventer la mesure du bonheur. Comme l’a dit l’un des DSI<br />
lors de l’Open CIO Summit : « l’Open Source, c’est comme les<br />
radios libres : elles font partie du paysage, mais on ne les<br />
appelle plus comme cela ». Les anciennes radios ont réinventé<br />
leurs modèles, en créant elles-mêmes leurs propres radios<br />
libres, et certaines radios libres sont devenues comme les<br />
radios d’origine. Par analogie, c’est aussi ce qui se passe sur<br />
la TNT ou la télévision sur Internet. Ce qui est intéressant, c’est<br />
l’impact sur l’écosystème. Que font les éditeurs propriétaires <br />
Soit ils s’opposent frontalement au mouvement (de plus en plus<br />
difficilement), soit ils s’adaptent en intégrant le libre. Le<br />
meilleur exemple est Microsoft, qui a compris qu’il valait<br />
mieux prendre la vague de travers, voire surfer dessus.<br />
Réciproquement, la frontière Open Source / Propriétaire<br />
s’estompe. Aujourd’hui, certains produits Open Source sont<br />
plus chers que leurs concurrents propriétaires. Ce sera un défi<br />
du modèle Open Source dans les années à venir : savoir gérer<br />
la croissance dans le respect de ses valeurs fondatrices.<br />
Savoir naviguer entre Open Source communautaire originel et<br />
Open Source commercial. Il y a un risque dans les deux cas :<br />
d’une part la capacité des solutions Open Source à satisfaire<br />
aux exigences d’ergonomie et de facilité d’emploi ; d’autre<br />
part le risque de décevoir bien des DSI en termes de prix. Un<br />
juste milieu est à trouver.<br />
Le CIO Summit a mis en avant le rôle majeur de l’Open Source<br />
comme moteur d’innovation et de souveraineté : un moyen de<br />
reprendre le contrôle de son Système d’information. Est-ce<br />
votre perception de terrain <br />
Chez <strong>Bull</strong>, nous en sommes convaincus. C’est pourquoi, nous<br />
avons mis l’Open Source et l’interopérabilité au cœur de notre<br />
stratégie d’Architecte d’un monde ouvert ® . Dans un monde qui<br />
– page 4 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
(SUITE)<br />
leurs offres et séduire. L’écosystème Open Source apporte, par<br />
son effet vibrionnant, une dynamique d’innovation qui se<br />
caractérise par les 4 000 nouveaux projets qui naissent chaque<br />
mois sur sourceforge.net, la matrice des projets Open Source.<br />
Notre enjeu, c’est notre capacité à intégrer et assembler des<br />
composants et des solutions Open Source pour développer<br />
des solutions spécifiques et personnalisées, innovantes pour le<br />
métier, puissantes, sûres, pour permettre à nos clients de<br />
« faire la différence ». Par sa modularité, son respect des<br />
standards, ses multiples briques disponibles, l’Open Source<br />
est un formidable « ouvre-boîte à idées ». C’est un puissant<br />
moyen de faire du sur-mesure de masse, accessible aux<br />
entreprises de toutes tailles.<br />
Avec l’Open Source, le sur-mesure n’est plus réservé au haut<br />
de gamme. Par ailleurs, l’Open Source est aussi un formidable<br />
levier pour le haut de gamme : nous en avons nous-mêmes<br />
l’expérience avec nos supercalculateurs bullx – dont les<br />
logiciels sont basés sur de l’Open Source – classés en 2009<br />
meilleurs supercalculateurs au monde par les américains.<br />
Alors quelles sont selon vous les clés du succès avec l’Open<br />
Source <br />
Pour réussir, deux leviers sont critiques. Le premier est de<br />
n’être pas dogmatique. Il faut savoir mixer Open Source et<br />
Propriétaire, au cas par cas, selon les besoins. Aujourd’hui, le<br />
« Tout Open Source » n’est pas adapté à toutes les<br />
problématiques de nos clients. <strong>Bull</strong> a, dès le départ, choisi<br />
cette voie de savoir « capter l’intelligence du monde », choisir<br />
les meilleurs composants pour bâtir la meilleure solution<br />
propre à chaque contexte.<br />
Le second levier est de contribuer à l’écosystème. Face à<br />
l’Open Source, certains s’opposent, d’autres pillent. Nous<br />
privilégions une troisième voie : la contribution. L’Open<br />
Source n’est viable que si les grands acteurs aussi s’engagent<br />
et investissent, en mettant à disposition leur R&D, leur savoirfaire<br />
technologique, leur réseau de partenaires. C’est ce que<br />
nous faisons chez <strong>Bull</strong> en multipliant les contributions R&D<br />
(Linux, Java, OW2, JBoss /Red Hat...), en généralisant<br />
largement l’usage de l’Open Source dans nos centres de<br />
services (basés sur le principe du Virtual Shore), en aidant<br />
nos clients à intégrer de l’Open Source dans leurs SI, et en<br />
supportant l’usage de l’Open Source au travers de notre<br />
réseau de partenaires : Intel, EMC, Microsoft, Oracle, SAP…<br />
L’Open Source a beaucoup évolué. Pour les DSI, quels sont les<br />
enjeux de demain <br />
Tout d’abord, l’utiliser plus systématiquement ! Ou encore<br />
identifier clairement les cas d’usage dont ils n’auraient pas<br />
connaissance dans leurs services ! L’Open Source est entré<br />
dans les mœurs. Il n’est pas encore généralisé partout ; aussi<br />
y a-t-il là pour eux un vrai levier d’innovation et de<br />
compétitivité dans les prochaines années.<br />
S’il est nécessaire de prendre en compte les questions de<br />
sécurité ou de risques légaux comme dans tout projet, il ne<br />
faut pas surestimer ces risques. A contrario, il faut savoir<br />
prendre en compte d’autres enjeux, notamment ceux liés à<br />
l’exploitation (trop souvent oubliée) ou à l’ergonomie<br />
utilisateur, en accompagnant le changement et en bridant<br />
parfois les fonctionnalités qui pourraient conduire à des<br />
difficultés.<br />
Les DSI doivent aussi développer une expertise du mode de<br />
travail communautaire. Cela les conduit parfois à changer de<br />
visage avec un mode collaboratif plus horizontal que vertical,<br />
avec la prise en compte des collaborateurs « digital natives ».<br />
Pour réussir, mieux vaut s’appuyer sur une bonne expérience<br />
de l’Open Source, mettre en place les méthodologies adaptées<br />
pour déployer des solutions packagées, contrôlées, efficaces,<br />
et savoir gérer le changement. Au bout du chemin, l’usage de<br />
l’Open Source est une question de gestion de risque, comme<br />
tout projet informatique. C’est là qu’une expertise d’intégrateur<br />
est utile, et c’est ce que nous apportons à nos clients.<br />
Enfin, si vous deviez choisir une tendance clé pour l’avenir de<br />
l’Open Source, quelle serait-elle <br />
Aujourd’hui, la plupart des DSI veut simplement utiliser l’Open<br />
Source pour accélérer leurs développements et réduire leurs<br />
coûts. L’un de nos clients a appelé cela « l’usage capitalistique<br />
de l’Open Source », usage fondé sur un rationnel financier.<br />
D’autres veulent aller plus loin, contribuer, voire créer des<br />
solutions ouvertes. Même s’ils sont encore très minoritaires, ils<br />
vont monter en puissance. L’Open Source est un formidable<br />
moyen de mutualiser des développements applicatifs et de<br />
promouvoir des standards. Des acteurs comme <strong>Bull</strong> (OW2,<br />
NovaForge), IBM (Eclipse), Google (Chrome, Wave…), etc.<br />
l’ont amplement démontré. Dans les télécoms, c’est l’effervescence<br />
avec Android et maintenant Symbian et MeeGo.<br />
Pourquoi les acteurs de l’industrie, de la banque, de la santé<br />
ne feraient-ils pas de même avec des solutions métiers Ils<br />
s’épuisent sur leur cœur de métier quand l’usager attend de<br />
nouveaux services, innovants et à coûts compétitifs. Les<br />
initiatives métiers se multiplient, citons BibLibre qui accompagne<br />
les bibliothèques ; Oya, une entente qui regroupe onze<br />
entreprises de l’agroalimentaire autour de la plateforme ERP<br />
Open For Business (OFBiz) d’Apache ; Étude, logiciel de<br />
gestion de cabinets d’avocats, développé par un avocat et<br />
reversé sur SourceForge ; et bien sûr l’Adullact qui a montré la<br />
voie pour le secteur public. D’autres suivront. Les périodes de<br />
crise sont toujours des moments favorables aux idées<br />
nouvelles, auparavant jugées incongrues ou chimériques. En<br />
15 ans, l’Open Source a révolutionné les technologies et les<br />
processus métiers du monde de l’informatique. Sa percée<br />
dans les métiers sectoriels ne fait que commencer !<br />
– page 5 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
OPEN SOURCE<br />
L’Open CIO Summit publie son livre blanc<br />
Êtes-vous prêt pour l’innovation Les vrais enjeux de l’Open Source pour les DSI<br />
Le premier Sommet de l’Open Source « pour les DSI, par les DSI », co-organisé par <strong>Bull</strong> en partenariat avec l’ANDSI, le CIGREF<br />
et CIO-CLUB, bat en brèche plusieurs mythes et idées reçues.<br />
L<br />
’Open World Forum, premier sommet international du<br />
numérique ouvert, avait lancé fin 2009 une initiative<br />
originale : créer l’Open CIO Summit, un évènement organisé<br />
et animé par des décideurs informatiques afin de débattre de<br />
l’impact de l’Open Source dans les Systèmes d’information.<br />
À l’heure où le Gartner recommande aux DSI de « Penser<br />
Extrême » pour saisir les opportunités de demain, les<br />
réflexions des DSI rassemblés lors de l’Open CIO Summit<br />
soulignent que l’Open Source apporte à cet égard des<br />
réponses à considérer sérieusement.<br />
Ce premier sommet de l’Open Source a réuni plus de soixante<br />
décideurs. Son objectif : permettre aux DSI de partager leurs<br />
retours d’expérience et de tracer des lignes directrices claires,<br />
loin des discours commerciaux ou des positions idéologiques.<br />
La synthèse des réflexions de cette rencontre est désormais<br />
disponible sous le titre : Êtes-vous prêt pour l’innovation Les<br />
vrais enjeux de l’Open Source pour les DSI.<br />
Le livre blanc est disponible sur :<br />
http://www.bull.com/p/register.phpid=208&lng=fr<br />
Ce document dresse un panorama des meilleures pratiques en<br />
termes d’usage de l’Open Source : pourquoi, où et quand<br />
utiliser l’Open Source Comment gérer l’Open Source dans<br />
son SI L’Open Source favorise t-il une nouvelle approche<br />
dans le management des SI Il relativise également les mythes<br />
qui planent autour de l’Open Source et révèle les vrais<br />
avantages et freins à son déploiement massif.<br />
1. L’intérêt premier de l’Open Source n’est pas la réduction<br />
des coûts, mais l’innovation ;<br />
2. L’intérêt n’est pas l’ouverture du code mais les standards et<br />
la flexibilité ;<br />
3. Le premier frein à l’adoption de l’Open Source n’est pas la<br />
pression des éditeurs commerciaux, mais la réticence des<br />
utilisateurs finaux ;<br />
4. L’Open Source exige davantage une nouvelle approche RH<br />
qu’une nouvelle expertise technique ;<br />
5. L’Open Source est plus une opportunité qu’un risque pour les DSI.<br />
Dans ce contexte, tous les participants soulignent le rôle moteur<br />
des situations de crise dans le choix de l’Open Source, forçant à<br />
envisager des scénarios techniques ou budgétaires inédits. En<br />
conclusion, ce livre blanc identifie cinq questions clés à se poser :<br />
1. Êtes-vous dans un contexte de rupture <br />
2. La solution souhaitée est-elle, doit-elle être, étroitement<br />
adaptée à votre environnement spécifique <br />
3. Associez-vous vos utilisateurs à vos choix <br />
4. Vos équipes sont-elles proactives <br />
5. Êtes-vous prêt au changement <br />
– page 6 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
– page 7 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
INDUSTRIE DU CINEMA<br />
Ilion Animation Studios a conçu Planète 51<br />
avec un supercalculateur <strong>Bull</strong><br />
La création d’un film d’animation 3D est l’une des activités assistées par ordinateur les plus gourmandes en puissance de calcul<br />
et en ressources matérielles. Ilion Animation Studios, producteur du film Planète 51, qui remporte actuellement un succès mondial,<br />
a choisi <strong>Bull</strong> pour concevoir et mettre à niveau sa ferme de serveurs de rendu graphique.<br />
Grâce à ces serveurs, les dessinateurs et développeurs<br />
d’Ilion Animation Studios ont pu travailler ensemble pour<br />
créer chaque image du film en constituant un énorme système<br />
relié par un réseau à haut débit qui leur a permis d’échanger<br />
des informations.<br />
« Après le lancement réussi de bullx, élu aux Etats-Unis meilleur<br />
supercalculateur au monde par HPCwire, magazine américain de<br />
référence dans la simulation numérique, <strong>Bull</strong> prouve une nouvelle<br />
fois avec cette collaboration qu’il est au cœur de l’économie<br />
numérique », se réjouit Didier Lamouche, PDG du Groupe <strong>Bull</strong>.<br />
« Nous avons pu apprécier la capacité remarquable de <strong>Bull</strong> à<br />
concevoir et à configurer des solutions dans des contextes<br />
particulièrement critiques, avec une multitude de systèmes et<br />
surtout dans des délais très stricts » a déclaré Gonzalo Rueda,<br />
<strong>Direct</strong>eur informatique d’Ilion.<br />
Le projet Planète 51 d’Ilion Animation Studios est né en 2002.<br />
Depuis lors, Ilion a créé tout un univers parallèle autour de<br />
Planète 51 en utilisant des technologies de pointe qui ont permis<br />
d’obtenir un rendu visuel jamais atteint à ce jour par aucun autre<br />
film d’animation. Au total, ce sont plus de 350 personnes :<br />
dessinateurs, développeurs, ingénieurs et autres professionnels,<br />
provenant de plus de 20 pays à travers le monde qui ont travaillé<br />
sur Planète 51, avec un budget d’environ 70 millions de dollars.<br />
les responsables informatiques d’Ilion ont défini la puissance de<br />
calcul nécessaire pour terminer le film à temps. Ils en ont conclu<br />
que la puissance initialement installée devait être doublée et en<br />
fonction du type de processeur utilisé ils ont obtenu le nombre<br />
de cœurs minimum et la mémoire à intégrer dans le centre<br />
informatique. Ils ont défini également d’autres types de<br />
contraintes auxquelles devaient répondre les offres des<br />
fournisseurs. C’est là qu’ils ont fait appel à Tangram, fournisseur<br />
de rendu graphique et à <strong>Bull</strong>, expert en conception de grands<br />
clusters pour le calcul intensif.<br />
La solution Extreme Computing de <strong>Bull</strong><br />
La solution Extreme Computing conçue par <strong>Bull</strong> se compose<br />
d’un cluster associant des serveurs de calcul et un serveur<br />
d’administration, connecté au système de stockage et aux autres<br />
serveurs d’Ilion via un réseau Gigabit Ethernet. <strong>Bull</strong> a fait ses<br />
preuves dans l’Extreme Computing et dans le déploiement de<br />
Windows HPC Server de Microsoft, plate-forme qui se<br />
caractérise par sa capacité élevée de parallélisme et son<br />
système de gestion des files d’attentes.<br />
En un mois à peine, grâce à l’intervention d’une dizaine de<br />
personnes de France et d’Espagne, le supercalculateur de <strong>Bull</strong><br />
était prêt à l’emploi. Il s’agit d’une solution qui a démontré la<br />
maîtrise technologique des équipes impliquées dans le projet.<br />
Parmi les activités assistées par ordinateur, la création d’un film<br />
d’animation 3D est l’une des plus gourmandes en puissance de<br />
calcul et en ressources matérielles. Créer une trame, l’équivalent<br />
d’un photogramme au cinéma, exige non seulement une grande<br />
créativité de la part des dessinateurs mais également une<br />
multitude d’algorithmes complexes pour rendre les textures, les<br />
ombres, les reflets, les volumes, le brillant et autres<br />
caractéristiques des images, qui en définitive donnent la<br />
sensation de réalisme. Chaque trame dont le film est composé<br />
demande un processus de génération graphique géré par des<br />
machines à grande puissance de calcul. En fonction de la<br />
résolution utilisée et de la complexité de la scène, ce processus<br />
peut prendre de quelques minutes à plus de trois heures, et seule<br />
la puissance des supercalculateurs peut l’accélérer.<br />
Ilion Animation Studios a depuis quelques années, une ferme de<br />
serveurs sous une version de Microsoft Windows conçu pour le<br />
HPC, et c’est sur cette plate-forme que s’effectuaient depuis<br />
2002 les rendus graphiques de Planète 51. Planète 51, comme<br />
tous les films grand public, à diffusion mondiale a dû respecter<br />
un calendrier très strict pour le moindre détail. C’est pourquoi,<br />
<br />
À propos d’Ilion Animation Studios<br />
Ilion Animation Studios a été fondé en 2002 pour créer des films<br />
d’animation assistés par ordinateur à l’état de l’art pour diffusion<br />
dans les cinémas du monde entier. Ils utilisent leur propre technologie<br />
d’avant-garde afin d’offrir une expérience visuelle d’animation unique<br />
en son genre. Ilion Animation Studios, Zed et Pyro Studios, ont été<br />
fondés et sont dirigés par Ignacio Pérez Dolset (PDG de Ilion et Pyro)<br />
et Javier Pérez Dolset (PDG de Zed). Le groupe Zed, multinationale<br />
espagnole, développe et commercialise produits et services de<br />
divertissement numérique pour les outils mobiles et Internet. Son<br />
chiffre d’affaires et son implantation géographique en font l’entreprise<br />
leader dans le secteur des contenus mobiles au niveau mondial. Zed<br />
est implanté dans 53 pays et sur cinq continents. Pyro Studios,<br />
producteur de la saga de jeux vidéo Commandos, au succès<br />
international est spécialisé dans le développement de jeux vidéo de<br />
dernière génération destinés au marché mondial.<br />
www.ilion.com<br />
– page 8 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
TELCO<br />
Evidian rationalise la politique d’accès de Sonatel,<br />
opérateur en Afrique<br />
Opérateur téléphonique historique du Sénégal, Sonatel apporte des services de téléphonie mobile et fixe, Internet, télévision<br />
et données à plus de 5 millions de clients en Afrique. Cette filiale à 42 % du groupe France Télécom est leader au Sénégal<br />
et est devenu le premier fournisseur de téléphonie mobile au Mali.<br />
Sonatel intègre régulièrement de nouvelles filiales à<br />
l’étranger pour accompagner sa forte croissance. Les<br />
nouveaux utilisateurs sont gérés sur des annuaires locaux,<br />
mais doivent utiliser les applications Groupe comme le CRM,<br />
le reporting et la compensation inter-opérateurs. Pour ces<br />
raisons, Sonatel a réalisé qu’il devait optimiser sa politique<br />
d’accès.<br />
« En tant que filiale de France Télécom, nous sommes soumis<br />
à de fortes exigences internes en matière de politique de<br />
sécurité » dit Babacar Kebe, chef du projet de gestion des<br />
identités et des accès à la <strong>Direct</strong>ion des Systèmes<br />
d’Information de Sonatel. « Pour rationaliser les droits d’accès,<br />
il est indispensable de lier ces droits à l’identité des utilisateurs<br />
et de centraliser la gestion des comptes applicatifs de toute<br />
l’entreprise. »<br />
Jusqu’alors, les administrateurs devaient mettre à jour les<br />
comptes au cas par cas, soit cinq à sept applications par<br />
utilisateur. Et chaque employé devait donc gérer autant de<br />
mots de passe au quotidien. La <strong>Direct</strong>ion Générale de Sonatel<br />
a donc décidé d’investir dans une solution globale de gestion<br />
des identités et des accès.<br />
Choisir une solution complète<br />
Après avoir présélectionné trois fournisseurs de gestion des<br />
identités et des accès leaders sur le marché, Sonatel a choisi<br />
l’offre d’Evidian. Les critères fonctionnels étaient respectés et<br />
Evidian a su démontrer son expérience concrète du marché<br />
des opérateurs de télécommunication.<br />
« Evidian est sorti du lot car son produit va au-delà du Single<br />
Sign-On : il couvre toute la chaîne de la gestion des identités<br />
et des accès » explique Babacar Kebe. « De plus, la solution<br />
d’Evidian était déployée dans de nombreuses entreprises de<br />
notre secteur, ce qui nous a rassurés pour notre projet. »<br />
Désormais, cette solution permettra à Sonatel de gérer ses<br />
utilisateurs, et de leur attribuer des droits d’accès aux<br />
ressources, de façon homogène, globale et rapide.<br />
Déployer la gestion des identités et des accès<br />
Comme le veut la politique de Sonatel, le projet a démarré par<br />
une semaine de formation générale initiale pour les chefs de<br />
projets et techniciens. La solution d’Evidian a été présentée en<br />
détail dans ses aspects fonctionnels et opérationnels.<br />
La première étape du déploiement a été l’authentification<br />
unique (Single Sign-On ou SSO). Désormais, chaque employé<br />
n’utilise qu’un seul mot de passe, celui du login Windows sur<br />
Microsoft Active <strong>Direct</strong>ory. De façon transparente, la solution<br />
d’Evidian se charge de renseigner tous les mots de passe des<br />
applications, à condition bien sûr que la politique de sécurité<br />
donne le droit à l’employé d’y accéder.<br />
« Le retour est positif ; aucun problème majeur n’a été constaté<br />
lors du déploiement sur le terrain » relève Babacar Kebe.<br />
« D’ailleurs, il a été inutile de former les utilisateurs – nous<br />
nous sommes contentés de courts dépliants d’information. »<br />
Pour parvenir à ce résultat, Sonatel s’est appuyé sur ses chefs<br />
de projet internes expérimentés, qui ont validé les fournitures<br />
d’Evidian et des prestataires intégrateurs. Et ils ont fait<br />
participer les responsables locaux et les chefs de service au<br />
déroulement du projet. La <strong>Direct</strong>ion Informatique et une<br />
agence commerciale ont servi de sites pilotes, suivis d’un<br />
déploiement général fin 2009.<br />
Gestion fine des comptes applicatifs<br />
Pour satisfaire la politique de sécurité d’accès de Sonatel, les<br />
comptes auxquels donne accès le SSO sont définis de façon<br />
centralisée. La prochaine étape consiste à automatiser la mise<br />
à jour des comptes, de façon directe ou par envoi automatisé<br />
de consignes aux administrateurs.<br />
Comme toutes les données des utilisateurs de Sonatel sont<br />
regroupées dans un annuaire fiable, la création, suppression<br />
et mise à jour des comptes des applications sensibles seront<br />
automatisées. Le module User Provisioning d’Evidian effectue<br />
ces opérations en fonction des règles « métier » de Sonatel.<br />
Le provisionnement des comptes permet à Sonatel de connaître<br />
tous les droits d’accès d’un utilisateur, et ceux qu’il a réellement<br />
utilisés, à partir d’un point unique. Cela accélère considérablement<br />
les audits et les diagnostics d’incidents. Et quand un<br />
employé quitte Sonatel, ses comptes sont rapidement supprimés.<br />
« Et comme la solution d’Evidian évolue régulièrement, nous<br />
sommes tenus informés sur ses nombreuses fonctionnalités »<br />
conclut Babacar Kebe.<br />
– page 9 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
COLLECTIVITÉ TERRITORIALE<br />
Le conseil général du Haut-Rhin optimise le stockage<br />
de ses données avec <strong>Bull</strong><br />
Sous l’impulsion du processus de modernisation de l’État, l’action départementale s’étend désormais à de nouvelles missions<br />
notamment en matière d’éducation, de solidarité, de culture, d’infrastructures routières, de développement durable ou encore<br />
de préservation de la qualité de l’eau.<br />
Au conseil général du Haut-<br />
Rhin, plus de 2 400 agents<br />
exerçant plus de 150 métiers<br />
différents déploient les actions<br />
et services rendus par le<br />
Département auprès des<br />
citoyens et de ses partenaires.<br />
L’enjeu : stocker et sécuriser des données en pleine<br />
explosion…<br />
Ces nouvelles missions se traduisent par la mise en œuvre de<br />
projets novateurs, faisant appel aux nouvelles technologies<br />
pour dématérialiser les procédures, promouvoir les services en<br />
ligne, développer le multimédia et aussi répondre aux<br />
contraintes réglementaires et légales. C’est ainsi que le volume<br />
des données à traiter et à stocker explose, conduisant à<br />
l’expansion continue et massive des infrastructures de<br />
stockage.<br />
C’est dans ce contexte que le conseil général s’est fixé dans<br />
un premier temps l’objectif de fiabiliser le stockage, la<br />
sauvegarde et la restauration des données, d’en faciliter<br />
l’administration, de maîtriser les risques d’intervention sur<br />
l’infrastructure actuelle et enfin d’anticiper sur les évolutions de<br />
volumétrie et les nouveaux besoins sur deux ans.<br />
Maisons à colombages dans une rue de Colmar<br />
L’intelligence du stockage avec <strong>Bull</strong> StoreWay<br />
<strong>Bull</strong> a accompagné le conseil général dans son projet et s’est<br />
appuyé à la fois sur ses savoir-faire d’intégrateur de<br />
technologies complexes et sur son partenariat avec NetApp.<br />
<strong>Bull</strong> est en effet l’un des seuls intégrateurs certifiés NetApp<br />
« Star Partner » en France (le niveau de certification le plus<br />
élevé du constructeur). La solution proposée intègre deux<br />
baies de stockage NetApp, soit une capacité de 25 To de<br />
stockage primaire répliqué sur un stockage secondaire de<br />
23 To en Serial ATA , la réplication étant effectuée avec la<br />
solution SnapMirror de NetApp en mode asynchrone.<br />
Au global, ce projet permettra d’optimiser les ressources de<br />
stockage, d’unifier les processus de protection des données<br />
des serveurs de production (grâce à la technologie Snapshot),<br />
d’optimiser les flux de données et de faciliter l’administration<br />
de ce nouveau dispositif. De plus, l’ouverture et la flexibilité de<br />
cette solution permettra d’accompagner les besoins du conseil<br />
général sur plusieurs années, en termes de volumétrie, de<br />
performance et de protocoles.<br />
Le tramway de Mulhouse<br />
– page 10 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
CONSEIL<br />
Les points de fonction, une aide précieuse au pilotage<br />
<br />
PAR ROGER PARRIÉ, DIRECTEUR TECHNIQUE DU CENTRE<br />
DE SERVICES BULL DE PARIS<br />
Responsable des développements des projets NTIC chez <strong>Bull</strong>,<br />
Roger Parrié a mené une carrière d’architecte des systèmes<br />
d’information, toujours au contact des technologies les plus<br />
novatrices (Corba, J2EE…), avant de se consacrer à la<br />
direction de projets. Fort de cette double expérience, il a été<br />
chez <strong>Bull</strong> l’un des artisans de NovaForge et de la mise en<br />
œuvre du PMO (Project Management Office) pour les<br />
équipes de développement.<br />
Dans un contexte économique tendu, où chaque dépense est scrutée à la loupe, tous les moyens permettant de justifier et<br />
d’expliciter les coûts sont particulièrement appréciés. C’est sans doute ce qui explique l’intérêt actuel pour les points de fonction.<br />
Cette technique n’est cependant pas, comme on le croit trop souvent, destinée à évaluer la charge des projets au forfait ou le<br />
montant d’éventuels avenants. Il s’agit avant tout d’une méthode de mesure de la « taille fonctionnelle » des logiciels, dont la<br />
finalité première est l’évaluation du patrimoine applicatif de l’organisation. Cependant, utilisé avec discernement, cet indicateur<br />
rigoureux et objectif peut apporter une aide précieuse au pilotage des projets, et plus généralement à toute activité de<br />
développement.<br />
Une mesure objective<br />
Le concept des points de fonction n’est pas nouveau,<br />
puisqu’il remonte à 1979, lorsqu’un ingénieur du centre de<br />
recherche d’IBM, Alan Albrecht, proposa une méthode<br />
systématique d’estimation de la taille des logiciels. À cette<br />
époque, l’objectif était déjà d’améliorer la productivité en<br />
cherchant à évaluer les tâches de développement. Mais à<br />
mesure que la méthode des points de fonction est sortie du<br />
monde IBM pour se structurer sous l’égide d’une organisation<br />
neutre, l’IFPUG, ses utilisateurs considèrent de plus en plus que<br />
sa vocation première est l’évaluation du patrimoine applicatif.<br />
L’IFPUG (International Function Points Users Group) a peu à<br />
peu formalisé la méthodologie de calcul sur la base d’un<br />
consensus entre ses membres, essentiellement de grands<br />
intégrateurs, dont <strong>Bull</strong>, et de grandes sociétés utilisatrices. Ce<br />
processus de normalisation est assez lent mais il est très<br />
efficace car aujourd’hui, sur le périmètre couvert par la<br />
version actuelle (4.3), les règles sont codifiées, les définitions<br />
précisées et les ambiguïtés levées. De sorte que l’on peut<br />
véritablement parler d’une mesure objective puisque la<br />
variabilité de la taille fonctionnelle d’une application est<br />
inférieure à 5 %.<br />
La méthode des points de fonction se base sur le constat que<br />
tout programme informatique peut, en définitive, se résumer à<br />
des entrées et des sorties d’information. Si l’on schématise à<br />
l’extrême, les actions pour introduire ou extraire de<br />
l’information d’un programme se réduisent à trois types de<br />
processus élémentaires (entrées, sorties, interrogations) et<br />
l’information manipulée en deux catégories de données<br />
(groupe de données internes ou externes). À partir d’une<br />
spécification fonctionnelle de référence de l’application, on va<br />
donc chercher à décomposer ces spécifications en<br />
composants élémentaires irréductibles, les processus et les<br />
groupes de données, puis à les valoriser en « points de<br />
fonction » en fonction de leur complexité et selon un barème<br />
préétabli. Le rôle de l’IFPUG est de définir les règles<br />
d’identification des composants élémentaires et les règles de<br />
comptabilisation. Les points de fonction sont par conséquent<br />
des processus et données métier, liées à ce que fait<br />
l’application et non pas à la façon dont elle le fait.<br />
Un indicateur à manier avec précaution<br />
Pour mieux appréhender le sens de cette approche,<br />
l’immobilier offre une bonne analogie. En France, la loi<br />
Carrez fixe les règles qui permettent de déterminer sans<br />
ambiguïté la « surface habitable » d’un logement mais le<br />
rapport entre la valeur de celui-ci et cette grandeur physique<br />
n’est pas universel : il dépend de la nature du bâtiment, de<br />
son emplacement… bref, d’un référentiel de paramètres qui va<br />
permettre de l’étalonner par rapport à des biens comparables.<br />
– page 11 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
(SUITE)<br />
De même, pour estimer la valeur d’une application, plutôt<br />
qu’utiliser une formule de calcul empirique (type COCOMO<br />
II), on préférera se reporter à une base d’expérience interne<br />
ou au référentiel établi par l’IFPUG. Se confronter à ce dernier<br />
permet en outre de s’étalonner par rapport à la concurrence.<br />
La mesure en points de fonction ne saurait rendre compte à<br />
elle seule de la valeur du patrimoine applicatif (issue de<br />
l’informatique de gestion, la méthode est par exemple peu<br />
adaptée aux programmes de traitement tels qu’un<br />
compilateur). Néanmoins, toutes choses égales par ailleurs,<br />
elle donne une première indication précieuse.<br />
On peut poursuivre la métaphore immobilière au sujet du<br />
développement. De la seule surface d’un bâtiment sur plan, on<br />
ne peut déduire le coût de sa construction. Tout dépend de la<br />
complexité de l’architecture, de la qualité des matériaux qui<br />
seront employés, des normes à respecter, des délais impartis…<br />
En revanche, de cette indication, un professionnel pourra<br />
estimer une charge globale, ou, pendant les travaux, un degré<br />
d’avancement de l’ouvrage, surtout s’il a déjà eu affaire à un<br />
chantier similaire. Il en va de même avec les points de<br />
fonction : on ne mesure que la taille fonctionnelle de<br />
l’application, indépendamment de sa réalisation. On ne tient<br />
pas compte de la qualité du code, on ne cherche pas à savoir<br />
si on paramètre un progiciel ou si on développe un outil<br />
spécifique. La charge de développement d’une application<br />
sera certes liée à sa taille fonctionnelle mais elle dépendra très<br />
largement du contexte, des méthodes et des technologies<br />
employées, des niveaux d’exigence…<br />
Les mesures en points de fonction peuvent donc donner des<br />
indications intéressantes dans le cadre de projets de<br />
développement, mais il est essentiel de les utiliser avec<br />
discernement en prenant soin de toujours les rapporter au<br />
contexte et à l’expérience.<br />
De multiples usages potentiels<br />
Lissés sur l’ensemble d’un projet ou d’un portefeuille de<br />
projets, le coût ou la vitesse de développement d’un point de<br />
fonction sont par exemple de bons indicateurs de la<br />
productivité d’une équipe ou de la rentabilité d’une activité de<br />
service. Savoir que, sur une technologie donnée, un développeur<br />
chevronné produit jusqu’à dix fois plus de points de<br />
fonction qu’un débutant peut être une information pertinente<br />
pour constituer son équipe.<br />
Pour une SSII, de tels indicateurs permettent de se comparer à<br />
ses concurrents. Pour une entreprise utilisatrice, ils peuvent<br />
entrer dans les critères d’évaluation des réponses à un appel<br />
d’offres, surtout si celui-ci est formalisé avec suffisamment de<br />
précision, de façon à réduire la variabilité entre les solutions<br />
proposées. C’est une mesure dont l’objectivité contribue à la<br />
transparence des devis et qui peut servir de base de<br />
discussion entre toutes les parties prenantes du projet.<br />
Cependant, tous ces usages nécessitent la plus grande<br />
prudence : les points de fonction ne fournissent qu’un axe de<br />
mesure, et les comparaisons doivent se faire lorsque les<br />
contextes sont comparables. Par exemple, pour une même<br />
application, le développement d’un point de fonction d’une<br />
évolution coûtera moins cher que lors du projet initial car on<br />
bénéficiera de la présence de l’environnement de développement<br />
ou de la documentation.<br />
Avant de mettre en œuvre l’approche, il faut donc définir ses<br />
objectifs : veut-on évaluer le patrimoine existant, s’en servir<br />
comme d’un outil de gestion de projet, comme d’une mesure<br />
de compétitivité Par la suite, en sensibilisant le management<br />
et en formant les responsables projet, on pourra intégrer<br />
progressivement la mesure aux processus d’avant-vente et de<br />
pilotage (ajustements, contrôle, staffing…).<br />
S’agissant d’une méthode assez aisée à apprendre et à<br />
appliquer (deux jours de formation et une ou deux mises en<br />
œuvre en compagnie d’un expert suffisent en général pour<br />
être opérationnel), il est très simple d’en introduire l’usage au<br />
sein d’une équipe pilote, dont le retour d’expérience permettra<br />
d’en appréhender les bénéfices… et les limites.<br />
– page 12 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
SERVEURS<br />
Avec ses serveurs Escala nouvelle génération,<br />
performants et éco-efficaces, <strong>Bull</strong> confirme<br />
son engagement dans le développement durable<br />
<strong>Bull</strong> vient de lancer une nouvelle génération de serveurs Escala ® destinés aux applications départementales et critiques de l’entreprise.<br />
Les trois nouveaux modèles qui la composent viennent enrichir l’approche Bio Data Center de <strong>Bull</strong> en apportant quatre fois plus<br />
de puissance pour la même efficacité énergétique. Ils démontrent l’engagement de <strong>Bull</strong> dans la mise à disposition de technologies<br />
améliorant le rendement énergétique des centres informatiques et permettant de réduire leur empreinte carbone tout en optimisant<br />
leurs performances.<br />
La nouvelle génération annoncée aujourd’hui est constituée<br />
d’un serveur Escala d’entrée de gamme et de deux serveurs<br />
milieu de gamme tous basés sur la technologie POWER7.<br />
Les serveurs de milieu de gamme bénéficient en outre de la<br />
fonction de puissance à la demande pour les processeurs et la<br />
mémoire permettant aux grands centres informatiques<br />
d’optimiser leurs coûts de façon significative. Comme<br />
l’ensemble des serveurs de la famille Escala, ils disposent de<br />
puissantes fonctionnalités de virtualisation.<br />
Une enveloppe énergétique maîtrisée, des performances<br />
démultipliées<br />
S’inscrivant dans une approche de développement durable,<br />
les serveurs Escala nouvelle génération présentent de<br />
nombreuses caractéristiques visant à réduire l’empreinte<br />
carbone, parmi lesquelles un apport quatre fois supérieur en<br />
performances dans une même enveloppe énergétique, induit<br />
par une architecture fondée sur quatre fois plus de cœurs que<br />
la génération précédente. De plus, l’alimentation du modèle<br />
Escala E5-700 présente la particularité de répondre aux<br />
exigences de la norme 80+ Gold qui signifie qu’au moins<br />
88 % de l’énergie passant par les blocs d’alimentation est<br />
bien utilisée par le serveur.<br />
« Avec l’annonce de serveurs Escala nouvelle génération, <strong>Bull</strong><br />
poursuit sa stratégie d’optimisation du centre informatique et<br />
d’intelligence énergétique dans une approche globale et<br />
durable des infrastructures » a déclaré Olivier Gaumont,<br />
<strong>Direct</strong>eur de la BU Enterprise Servers de <strong>Bull</strong>.<br />
Du Green Computing à la très haute disponibilité : une offre<br />
complète de services<br />
Les nouveaux serveurs Escala bénéficient d’une offre complète<br />
de services d’infrastructures destinés à les déployer de façon<br />
optimale dans les infrastructures les plus exigeantes. Ces<br />
services incluent notamment des offres spécifiques, d’audit<br />
énergétique, de virtualisation, de continuité d’activité et de<br />
Haute Disponibilité avec l’offre HA999, élaborées par les<br />
experts de <strong>Bull</strong> qui participent entre autre à la rédaction des<br />
fonctionnalités de virtualisation dans les Redbooks d’IBM.<br />
Disponibilité<br />
Mars pour l’entrée de gamme, avril pour les autres modèles.<br />
Pour plus d’information sur les serveurs, contactez nous :<br />
info.servers@bull.net<br />
– page 13 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
STOCKAGE<br />
Vos données sont précieuses, votre temps aussi !<br />
Le centre de solution StoreWay réunit sur le site de <strong>Bull</strong> à Grenoble l’ensemble des<br />
ressources nécessaires pour mieux appréhender les problématiques de stockage<br />
Au sein du Customer Briefing Center de <strong>Bull</strong> à Grenoble, l’équipe d’experts du centre de solution StoreWay offre un large éventail<br />
de compétences autour du stockage. Les experts de <strong>Bull</strong> aident ses clients à appréhender les dernières tendances du marché<br />
et à mettre en place des architectures de stockage efficaces, capables de répondre aux exigences métier comme aux contraintes<br />
légales. Basées sur un large catalogue de produits du marché, elles leur permettent d’en évaluer précisément les impacts en<br />
termes de coûts (Capex/Opex) et d’organisation.<br />
Bénéficiant d’une infrastructure complète de stockage,<br />
serveurs et réseau à l’état de l’art, le centre de solution<br />
StoreWay offre des séminaires personnalisés à ses clients, des<br />
ateliers d’architectes, ainsi que des démonstrations à distance.<br />
Il propose d’autre part un programme complet de séminaires<br />
et de prestations autour des solutions EMC.<br />
En 2010, le centre a mis en place deux nouvelles<br />
démonstrations autour des environnements virtualisés VMware<br />
et Escala. Ces deux scénarios de sauvegarde et de<br />
restauration des données construits autour des offres d’EMC<br />
viennent compléter les démonstrations déjà existantes<br />
d’archivage des e-mails et de reprise après sinistre.<br />
Pour toute information sur nos prestations autour des solutions<br />
de stockage, contactez :<br />
storeway_contact@marketing.bull.net<br />
Nouveau centre de solution StoreWay EMC<br />
à Cologne en Allemagne<br />
Inauguré fin janvier, ce nouveau centre de solutions StoreWay,<br />
installé dans les locaux de <strong>Bull</strong> à Cologne, permettra à <strong>Bull</strong><br />
Allemagne de présenter à ses clients et prospects une très<br />
large palette de solutions de stockage via des démonstrations<br />
développées conjointement avec le centre de <strong>Bull</strong> à Grenoble<br />
et basées sur EMC Unified Celerra et VMware servers tournant<br />
sous Microsoft Windows et EXchange.<br />
Durant l’inauguration, trois solutions ont été démontrées :<br />
• Protection des données avec EMC Replication Manager<br />
gérant Snapshots et Clones.<br />
• Archivage de mails avec StoreWay Calypso, Microsoft<br />
EXchange et EMC Centera.<br />
• Reprise sur sinistre pour VMware avec VMware Site<br />
Recovery Manager et les outils de réplication d’EMC.<br />
Pour en savoir plus sur le calendrier des démonstrations et<br />
notre centre de solution, consultez :<br />
www.storewaysolutioncenter.com<br />
Pour plus d’information sur ce centre, contactez :<br />
solutioncenter@bull.de<br />
<strong>Bull</strong> renforce ses services professionnels de stockage<br />
grâce à l’accréditation ASP/APSP NetApp en Europe<br />
En s’appuyant sur les accords internationaux de distribution STAR signés avec NetApp en 2005, <strong>Bull</strong> répond à la demande<br />
croissante du marché pour des services d’architecture et de mise en œuvre de haut niveau.<br />
En 2008, suite au lancement d’un programme étendu de<br />
certification couvrant plus de 200 professionnels du service<br />
et de la vente de <strong>Bull</strong> dans la région EMEA, un premier groupe<br />
de pays a obtenu le statut ASP (Authorized Support Partner,<br />
partenaire de support agréé) et APSP (Authorized Professional<br />
Services Provider, fournisseur de services professionnels agréé)<br />
de NetApp. Ce statut leur permet de fournir de nombreux<br />
services accrédités de mise en œuvre et de support pour toute<br />
la gamme de produits NetApp.<br />
À ce jour, ce programme de formation est le plus important<br />
entrepris par un partenaire NetApp de la région EMEA. <strong>Bull</strong><br />
fournit ainsi le plus large éventail de services de mise en œuvre et<br />
de support parmi tous les partenaires NetApp du marché EMEA.<br />
Jusqu’à présent, l’Autriche, la France, les Pays-Bas, la<br />
Pologne, l’Espagne et le Royaume-Uni ont obtenu le statut<br />
ASP. L’Autriche, la France, l’Espagne et le Royaume-Uni ont en<br />
plus obtenu le statut APSP. Un second groupe de pays devrait<br />
acquérir l’accréditation ASP/APSP dans les mois qui viennent.<br />
– page 14 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
SÉCURITÉ<br />
<strong>Bull</strong> Evidian rejoint McAfee Security Innovation Alliance<br />
et combine son Single Sign-On avec McAfee Endpoint<br />
Encryption<br />
<strong>Bull</strong> Evidian, le leader européen de la gestion des identités et des accès, a rejoint le programme McAfee ® Security Innovation<br />
Alliance, qui lui permet de proposer sa solution d’authentification unique Enterprise SSO avec le logiciel McAfee ® Endpoint<br />
Encryption.<br />
d’accueillir <strong>Bull</strong> Evidian dans la McAfee Security Innovation<br />
Alliance. Nos clients exigent des solutions intégrées qui<br />
simplifient la vie de l’utilisateur, et nous sommes ravis de<br />
travailler avec Evidian pour fournir ce type de solutions ».<br />
Le logiciel McAfee Endpoint Encryption fournit un cryptage<br />
puissant et des fonctions d’authentification pré-boot qui<br />
empêchent l’accès non autorisé aux données sensibles et de<br />
stopper la perte de données et de confidentialité. Les données<br />
sensibles sont protégées en permanence où qu’elles se<br />
trouvent : sur des PC individuels, des portables et appareils<br />
mobiles, ou des fichiers et dossiers partagés sur le réseau.<br />
<strong>Bull</strong> Evidian Enterprise SSO permet aux organisations de faire<br />
respecter et d’auditer leurs politiques d’accès au système<br />
d’information et aux applications en gérant les procédures<br />
liées aux mots de passe à la place de l’utilisateur. Il offre des<br />
fonctions avancées telles que l’authentification forte et<br />
l’authentification unique tout en prenant en compte les<br />
contraintes organisationnelles comme la délégation de droit,<br />
les accès d’urgence ou les connexions à distance.<br />
La solution combinée offre aux organisations une sécurité de<br />
bout en bout, du login avant le démarrage (boot) du PC<br />
jusqu’à l’accès aux applications, assurant une protection<br />
renforcée contre l’intrusion.<br />
Ce partenariat mondial démontre l’engagement de <strong>Bull</strong><br />
Evidian auprès des clients de McAfee Endpoint Encryption. En<br />
particulier, la solution combinée est une excellente façon pour<br />
les établissements de santé et d’autres organisations<br />
réglementées de respecter la confidentialité des données des<br />
patients.<br />
Pour plus d’informations sur le programme McAfee Security<br />
Innovation Alliance et le logiciel McAfee Endpoint Encryption,<br />
visitez : http://www.mcafee.com/sia<br />
« <strong>Bull</strong> Evidian Enterprise SSO complète l’authentification<br />
logicielle pré-boot de McAfee Endpoint Encryption en<br />
fournissant un contrôle d’accès rigoureux du pré-boot au<br />
lancement des applications » a déclaré Ed Barry, directeur de<br />
McAfee Security Innovation Alliance. « Nous sommes heureux<br />
– page 15 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
COMMUNICATION<br />
<strong>Bull</strong> World, la Web TV de <strong>Bull</strong> vous place au cœur<br />
de l’innovation<br />
Nouvelle étape dans la stratégie de communication de <strong>Bull</strong>,<br />
le Groupe vient de lancer sa Web TV : <strong>Bull</strong> World.<br />
Reflet d’un Groupe en plein renouveau, <strong>Bull</strong> World illustre<br />
clairement la nouvelle dimension de <strong>Bull</strong>, acteur européen<br />
majeur de l’économie numérique. Avec cette solution<br />
séduisante, qui lui permet de développer la notoriété de ses<br />
marques et savoir-faire, <strong>Bull</strong> éclaire d’une manière différente<br />
son credo : l’innovation de rupture et sans compromis est la<br />
clé de l’économie numérique de demain.<br />
Sujets d’actualité, focus innovations, coups de cœur,<br />
applications clients : le parti-pris de <strong>Bull</strong> World est de sortir<br />
d’un discours convenu pour proposer un lieu de rencontres et<br />
d’échanges, notamment grâce aux outils Web 2.0 mis en<br />
place en parallèle. Grâce à un format dynamique, percutant,<br />
réactif et interactif, <strong>Bull</strong> World va directement à l’essentiel. Une<br />
découverte, une conversation, un mouvement : tel est le<br />
leitmotiv de <strong>Bull</strong> World, véritable vitrine sensorielle du contenu<br />
<strong>Bull</strong> sur le Web.<br />
<strong>Bull</strong> World se veut un vecteur d’informations en direction de<br />
toutes les parties prenantes du Groupe (clients, prospects,<br />
partenaires, journalistes, analystes et candidats), tout en étant<br />
un puissant relais de cohésion interne : des programmes<br />
spécifiques, diffusés via l’Intranet, s’attacheront à valoriser<br />
métiers, diversité et succès du Groupe, afin de soutenir sa<br />
dynamique actuelle très positive.<br />
<strong>Bull</strong> World sera disponible sur les sites Internet et Intranet de<br />
<strong>Bull</strong>, en français et en anglais, tout en étant relayé via les<br />
réseaux sociaux Twitter, Facebook, Linkedln et Viadeo.<br />
Bienvenue sur <strong>Bull</strong> World ! http://www.bull-world.fr<br />
– page 16 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
Paris, le 12 mars 2010<br />
Séminaire international <strong>Bull</strong> Evidian :<br />
Gestion de l’authentification dans le secteur Banque et Finance<br />
Sécuriser les accès aux applications dans un environnement hétérogène en prenant en compte les spécificités liées aux métiers<br />
du monde de la finance <br />
La sécurité ne doit pas être<br />
assurée de manière générique,<br />
elle doit s’adapter aux<br />
risques fonctionnels. Les cadres<br />
règlementaires sont également<br />
étroitement liés aux métiers. Les<br />
outils doivent intégrer cette<br />
dimension essentielle et<br />
s’adresser davantage aux utilisateurs.<br />
Ainsi, un administrateur<br />
n’aura pas les mêmes besoins qu’un employé d’agence, ce<br />
dernier lui-même nécessitant des fonctionnalités différentes<br />
d’un trader. Par exemple, la sécurisation en salle de marché<br />
porte principalement sur la gestion des identités, les contrôles<br />
d’accès, l’imputation et la traçabilité des opérations, ceci avec<br />
des contraintes bien particulières. Les solutions d’authentification<br />
existantes sont diverses et variées. Parmi ces<br />
dernières, celles reposant sur les notions d’authentification<br />
forte sont à ce jour les plus abouties. De plus, un trader utilise<br />
en moyenne plus de cinq écrans et une gestion complète et<br />
flexible de l’authentification des postes en mode grappe est<br />
alors essentielle.<br />
sur des présentations, démonstrations et retours d’expérience<br />
de ses clients.<br />
Agenda<br />
15 h p Accueil Bateaux Parisiens.<br />
15 h 15 p Evidian dans son contexte, Hassan Maad,<br />
<strong>Direct</strong>eur Général, Evidian.<br />
15 h 30 p Annonce : une nouvelle offre de gestion de l’authentification<br />
dédiée au secteur bancaire – Stéphane<br />
Vinsot, Responsable de l’offre IAM, Evidian.<br />
16 h 15 p Pause café.<br />
16 h 30 p Retours d’expérience utilisateurs avec Alain Bouillé,<br />
RSSI, Groupe Caisse des Dépôts et Alain Bernard,<br />
RSSI, Natixis.<br />
18 h 30 p Gestion des accès distants, du mode SOS et de<br />
délégation, FUS et mode grappe par authentification<br />
forte : démonstration de Stépane Vinsot,<br />
Responsable offre IAM, Evidian.<br />
19 h p Questions / Réponses.<br />
19 h 15 p Cocktail.<br />
20 h p Dîner croisière.<br />
<strong>Bull</strong> Evidian annonce son offre de gestion de l’authentification,<br />
dédiée au secteur banque et finance avec ce programme basé<br />
Pour vous enregistrer : http://www.evidian.com/events/<br />
ev-finance2010.php#inscription<br />
Bruxelles, les 24 et 25 mars 2010<br />
Infosecurity.be 2010<br />
IT security continue d’alimenter les conversations. Le spam, le phishing, le piratage et toutes ces formes de plus en plus avancées<br />
de cybercriminalité forment une réelle menace pour les sociétés.<br />
Aujourd’hui, les entreprises font face presque chaque jour<br />
à toutes sortes d’interrogations dans le domaine de la<br />
sécurité informatique. Le salon Infosecurity.be est là pour<br />
traiter de ces questions. Un must pour chaque professionnel de<br />
l’informatique.<br />
Ensemble avec le salon Storage Expo, les leaders de marché,<br />
les associations, les interlocuteurs et autres professionnels de<br />
l’informatique proposent leurs idées, leurs techniques, leurs<br />
services et leurs visions concernant un des thèmes de sécurité<br />
informatique les plus actuels.<br />
Evidian et <strong>Bull</strong> Belgique présenteront leurs solutions IAM sur<br />
leur stand.<br />
– page 17 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
Paris, Porte de Versailles – Hall 1, Stand <strong>Bull</strong> : C20/D19 – Les 16, 17, et 18 mars 2010<br />
Solutions Linux et Open Source 2010<br />
Avec une affluence record et l’intérêt croissant des grands comptes, Solutions Linux fait preuve d’une dynamique événementielle<br />
hors pair, en phase avec le marché français dont les prévisions des analystes assurent une croissance soutenue. L’Open Source<br />
est une opportunité manifeste dans le contexte économique actuel.<br />
En collaboration avec la FNILL et des contributeurs dont <strong>Bull</strong>,<br />
le Guide Thematic Logiciel libre du Syntec sort en première<br />
au salon. <strong>Bull</strong> accueillera ses visiteurs sur son stand et lors des<br />
conférences organisées dans le cadre du salon :<br />
Keynotes d’ouverture<br />
• 16 mars de11h20 à 11h 35, salle Emeraude<br />
Animateur : Jean-Pierre Laisné, <strong>Direct</strong>eur de la stratégie Open<br />
Source, <strong>Bull</strong> et Président OW2 : Open Source et RSE Le rôle<br />
de l’Open Source dans « l’informatique responsable ».<br />
Atelier d’experts<br />
• 16 mars de 10 h 30 à 11 h 15, salle Rubis<br />
Animateur : Olivier Leal, <strong>Direct</strong>eur de projet, <strong>Bull</strong> : Développement<br />
logiciel collaboratif : bonnes pratiques, premiers<br />
bilans.<br />
Formations/tutoriels (accès payant)<br />
• 16 mars – S3 / Gouvernance des projets Open Source<br />
d’entreprise de14 h à 17 h 30, salle C<br />
Boris Auché, <strong>Bull</strong> et Véronique Torner, Alter Way :<br />
Gouvernance Open Source : la réalité vue par les DSI<br />
Sur le stand <strong>Bull</strong> C20/D19, retrouvez nos experts pour<br />
partager avec eux les dernières innovations middleware,<br />
serveurs et services Open Source :<br />
• Extreme Computing avec bullx, l’offre de Calcul Haute<br />
Performance de <strong>Bull</strong> et avec Serviware, filiale de <strong>Bull</strong> ;<br />
• Libre Energie, gamme de service complète pour une<br />
approche industrielle de l’Open Source ;<br />
• NovaForge, plate-forme collaborative de gestion de<br />
projets de développements ou de rénovation d’applications<br />
;<br />
• Virtual Shore, un nouveau mode de développement<br />
applicatif s’appuyant sur la richesse de l’Open Source ;<br />
• Libre Accès, le support open source industriel ;<br />
• L’approche SOA de <strong>Bull</strong> ;<br />
• Les solutions d’optimisation de l’infrastructure (avec le<br />
Consortium OW2) ;<br />
• Les nouvelles offres d’Hébergement avec la filiale de <strong>Bull</strong>,<br />
Agarik.<br />
Plus d’informations :<br />
http://www.solutionslinux.fr<br />
• 17 mars – S11 de 14 h à17 h<br />
François Exertier, <strong>Bull</strong> : Jasmine, outil de supervision<br />
d’infrastructures SOA.<br />
Sessions OW2 p 18 mars de 9h30 à 16h30.<br />
• 10 h 30 à 11 h : Gestion autonomique des infrastructures du<br />
nuage pour le PaaS (« Platform as a Service ») avec<br />
JASMINe : état des lieux et perspectives avec Benoît Pelletier,<br />
<strong>Bull</strong> ; Frédéric Dang Tran, Orange Labs R&D et Jean-Marc<br />
Menaud, École des Mines de Nantes ;<br />
• 12 h à 12 h 30 : Outils d’audit et diagnostic pour les<br />
développeurs et administrateurs d’applications Java EE avec<br />
Florent Benoit, <strong>Bull</strong> et Mathieu Ancelin, Serli.<br />
• 14 h 30 à15 h : Serveur d’applications à la juste taille pour<br />
les besoins du Cloud Computing et de l’Ubiquitous Computing<br />
avec Benoît Pelletier, <strong>Bull</strong>.<br />
– page 18 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
Paris – 153 Avenue d’Italie – de 9h à 12h30, le 30 mars 2010<br />
<strong>Bull</strong> Formation – Séminaire « Développement<br />
d’applications iPhone »<br />
Les caractéristiques<br />
techniques<br />
de l’iPhone, et en<br />
particulier ses interfaces physiques (écran tactile, magnétomètre,<br />
GPS, accéléromètre…) offrent des possibilités<br />
quasiment illimitées de développements pour les passionnés.<br />
Les entreprises l’ont bien compris et les projets d’applications<br />
iPhone se multiplient : la plupart des grands journaux ont déjà<br />
franchi le pas, les réservations d’hôtels ou de billets de train<br />
se font également sur l’iPhone, etc. L’iPad, bientôt disponible<br />
et s’appuyant sur la même technologie, ouvre encore plus<br />
largement la perspective de nouvelles applications et de<br />
nouveaux marchés.<br />
Le modèle de développement et de validation des applications<br />
mérite d’être bien connu avant d’initier un projet : la maîtrise<br />
des règles de l’App Store, des normes de développement, du<br />
processus de validation est essentielle pour la bonne marche<br />
du projet. Sur le plan purement technique, le langage<br />
Objective-C et l’environnement de développement XCode<br />
permettent une adaptation relativement rapide pour les<br />
développeurs.<br />
Le nombre d’applications disponibles pour l’iPhone vient de passer le cap des<br />
130 000… Qu’il s’agisse d’applications intégrées ou d’applications à télécharger<br />
sur l’App Store, les fonctionnalités sont multiples : depuis l’accès aux actualités, la<br />
consultation de la météo, la navigation en haute mer, jusqu’aux jeux les plus aboutis.<br />
Afin de pouvoir faire le point sur tous ces aspects et de poser<br />
vos questions à un expert du domaine, Pythagore F.D. et <strong>Bull</strong><br />
Formation, vous convient à un séminaire « Développement<br />
avec iPhone » le 30 mars 2010 au matin avec Benoît<br />
Widemann, expert en développement iPhone, développeur<br />
sur Macintosh depuis 1986, et animateur des formations<br />
iPhone chez Pythagore F.D et Pierre Facon, Responsable de la<br />
filière développement au sein de <strong>Bull</strong> Formation.<br />
Le suivi de ce séminaire nécessite un minimum de connaissances<br />
en développement d’applications.<br />
Agenda<br />
• Présentation de l’iPhone et son positionnement par rapport<br />
aux autres smartphones, mais également par rapport à<br />
l’iPad ;<br />
• Le modèle Apple avec l’App Store, la procédure de<br />
validation des développements ;<br />
• Les outils de développement : Objective-C, XCode,<br />
applications Web ;<br />
• Les difficultés auxquelles les développeurs peuvent se heurter<br />
• Quelques exemples de codes sympathiques ;<br />
• Questions / réponses.<br />
Hambourg, en Allemagne, du 31 mai au 3 juin 2010<br />
ISC’10<br />
L’International Supercomputing Conference (ISC) est la plus<br />
importante conférence/exposition européenne consacrée au calcul<br />
haute performance (HPC).<br />
Avec son déménagement à Hambourg, ISC’09 a connu<br />
une participation record : 1 670 grands noms de<br />
l’industrie du HPC, spécialistes en informatique et scientifiques<br />
étaient venus du monde entier. ISC’10 aura lieu du 31 mai au<br />
3 juin de nouveau à Hambourg, et célèbrera cette année son<br />
25 e anniversaire. 2 000 participants et plus de 140<br />
exposants venus de 45 pays sont attendus.<br />
Pendant les quatre jours de conférence, différentes sessions<br />
présenteront les innovations et applications HPC, avec des<br />
thèmes tels que : sciences de la vie et HPC, tolérance aux<br />
pannes dans les systèmes manycore, les briques technologiques<br />
du futur, technologie de stockage flash en HPC, table<br />
ronde sur le calcul à l’échelle exaflopique.<br />
La 35 e édition du célèbre classement mondial des supercalculateurs<br />
TOP500 sera annoncée à ISC’10.<br />
<strong>Bull</strong> est sponsor Gold d’ISC’10. Nos experts seront heureux de<br />
vous accueillir sur le stand <strong>Bull</strong> pour vous faire découvrir les<br />
performances exceptionnelles de nos systèmes bullx les plus<br />
récents.<br />
Plus d’information : http://www.supercomp.de/isc10<br />
– page 19 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
Phoenix – Arizona, du 26 au 28 avril 2010<br />
SUMMIT 2010<br />
Au Summit 2010,<br />
vous verrez<br />
comment d’autres<br />
entreprises ont su faire face à la pression économique tout en<br />
délivrant de nouveaux services et en supportant la hausse des<br />
coûts de l’énergie.<br />
Vous découvrirez également de nouveaux produits, outils et<br />
services proposés par <strong>Bull</strong> et ses partenaires. De nombreux<br />
clients viendront vous expliquer comment ils ont fait face à ces<br />
nouveaux défis. Et des intervenants du monde informatique<br />
seront au rendez-vous pour vous faire partager leur point de<br />
vue. Sur deux jours, les participants auront accès au cycle de<br />
conférences traitant les questions clés des entreprises en<br />
matière de technologie : sur les produits, les solutions et les<br />
services qui peuvent aider les clients de <strong>Bull</strong> à maximiser leurs<br />
investissements et à se préparer pour l’avenir.<br />
Les différents thèmes abordés<br />
• Comment <strong>Bull</strong> aide-t-il ses clients à renforcer leurs<br />
infrastrucutres informatiques et les rendre plus respectueuses<br />
de l’environnement <br />
Durant la crise, la plupart des entreprises sont amenées à rationaliser et améliorer<br />
l’efficacité de leurs centres informatiques. Comment faire plus avec moins Quelles<br />
technologies peuvent contribuer à réaliser des économies Comment améliorer l’efficacité<br />
de son Data Center Comment être sûr de prendre les bonnes décisions en matière<br />
de nouvelles technologies Voici quelques unes des questions auxquelles sont confrontés<br />
les DSI de nos jours.<br />
• Comment exploiter au maximum vos données et votre<br />
capital humain <br />
• Les meilleures pratiques pour rendre votre centre<br />
informatique plus flexible.<br />
• Comment l’infogérance peut-elle vous aider à faire évoluer<br />
vos systèmes tout en rationalisant les coûts <br />
• Comment <strong>Bull</strong> aide-t-il ses clients à mettre en place une base<br />
de données relationnelle <br />
• Développement de logiciels Open Source et intégration<br />
dans vos systèmes d’information.<br />
• Pourquoi la sécurité et la protection de données sont-ils plus<br />
critiques que jamais <br />
• Comment les serveurs <strong>Bull</strong> ont-ils été optimisés pour exécuter<br />
des applications provenant de plusieurs environnements <br />
• L’exceptionnelle compétitivité de <strong>Bull</strong> dans le domaine de<br />
l’Extreme Computing.<br />
• Comment les Managed services peuvent-ils vous aider à<br />
faire plus avec moins <br />
• Présentation d’études de cas sur la façon dont les entreprises<br />
ont surmonté la crise et se sont préparées pour les défis de<br />
demain.<br />
Cannes, les 3 et 4 juin 2010<br />
Assemblée générale du CUBE<br />
L’impact du Cloud Computing sur les modes de gouvernance des Systèmes d’Information<br />
La 25 e assemblée générale du Club des Utilisateurs <strong>Bull</strong> Européens (CUBE) se tiendra en 2010 les 3 et 4 juin à Cannes<br />
avec pour thème « L’impact du Cloud Computing sur les modes de gouvernance des Systèmes d’Information ».<br />
Présidée par Germain Zimmerlé,<br />
l’assemblée se tiendra en présence de<br />
Didier Lamouche, PDG de <strong>Bull</strong> et de Jean-Pierre Barbéris, DG<br />
de <strong>Bull</strong> France qui concluront la première journée.<br />
17 h 30 p Pause ;<br />
18 h p Interventions de Didier Lamouche et Jean-Pierre<br />
Barbéris.<br />
20 h p Dîner de Gala <strong>Bull</strong> ;<br />
Programme préliminaire<br />
Jeudi 3 juin<br />
12 h p Accueil ;<br />
13 h p Déjeuner ;<br />
15 h p Assemblée générale ordinaire ;<br />
16 h 30 p L’impact du Cloud Computing sur les modes de<br />
gouvernance des Systèmes d’Information, avec<br />
Bruno Pinna, <strong>Direct</strong>eur Marketing groupe, <strong>Bull</strong> ;<br />
Vendredi 4 juin<br />
9h30 p Cloud Computing/Orange ;<br />
10 h 30 p CNAF projet 3C/tbc ;<br />
11 h 15 p Pause ;<br />
11 h 30 p Table Ronde animée par Matthew Foxton, <strong>Direct</strong>eur<br />
de la Communication <strong>Bull</strong> ;<br />
12 h 30 p Conclusion ;<br />
13 h p Déjeuner.<br />
Pour plus d’information : www.cube.asso.fr<br />
– page 20 –
<strong>Bull</strong> <strong>Direct</strong> N°44 I Mars - Avril 2010<br />
ÉDITORIAL TEMPS FORTS SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA<br />
Dublin, du 28 au 30 avril 2010<br />
Conférence WCO 1 sur les technologies de l’information<br />
Fusionner les données pour faire évoluer nos pratiques<br />
La conférence mondiale organisée par l’OMD 2 aura cette<br />
année les objectifs suivants :<br />
• Analyser les avantages qu’offre aux milieux commerciaux et<br />
aux autorités publiques l’intégration des informations<br />
provenant d’un large éventail de sources, en vue d’obtenir un<br />
résultat unique englobant l’évaluation des risques.<br />
• Déterminer comment la fusion des données peut contribuer à<br />
créer des solutions nouvelles et passionnantes pour la douane.<br />
• Étudier de nouveaux moyens permettant à la douane<br />
d’interagir avec les milieux commerciaux et les autres services<br />
de réglementation aux frontières, par le regroupement d’informations<br />
disparates.<br />
• Passer en revue les nombreuses sources d’informations<br />
structurées et non structurées potentielles et étudier comment<br />
chaque élément peut être exploité au mieux à l’aide de l’utilisation<br />
efficace de solutions informatiques modernes.<br />
• Mieux apprécier les meilleures pratiques futures en matière<br />
de gestion de l’information, qui exerceront une influence<br />
majeure sur la douane et les autres acteurs aux frontières.<br />
• Rencontrer sur place les principaux partenaires informatiques.<br />
<strong>Bull</strong> a acquis une reconnaissance internationale dans le secteur<br />
public pour son expertise, en particulier dans le domaine de<br />
l’alignement des systèmes douaniers sur les nouvelles exigences<br />
internationales. L’Irlande et le Maroc ont été parmi les premiers<br />
à choisir les solutions de <strong>Bull</strong> pour moderniser leurs systèmes<br />
douaniers. Dans le cadre de leur préparation à l’accession à<br />
l’Union européenne, de nombreux pays ont choisi <strong>Bull</strong> pour<br />
développer des solutions conformes aux exigences européennes.<br />
Il s’agit de la Bulgarie, de Chypre, de la Hongrie, de la<br />
Lituanie, de Malte, de la Pologne, de la République Tchèque et<br />
de la Roumanie.<br />
Nous avons le plaisir de vous convier à la conférence <strong>Bull</strong>, jeudi<br />
29 avril de 15 h 30 à 15 h 45 (salle A avec traduction simultanée),<br />
donnée par Jean-<br />
François Betbeder, Vice-<br />
Président de la division<br />
mondiale de <strong>Bull</strong> dédiée<br />
aux solutions Impôts et<br />
Douanes, sur le thème<br />
« e-biscus sécurise l’écosystème<br />
du commerce international<br />
». Il démontrera<br />
comment e-biscus permet<br />
aux Douanes d’interagir<br />
dans un environnement<br />
mondialisé en toute sécurité.<br />
Ouverte et flexible, la suite logicielle e-biscus de <strong>Bull</strong> facilite<br />
le commerce légal en détectant les fraudes et en accélérant les<br />
processus de dédouanement, tout en faisant respecter les<br />
règlements internationaux dans toute leur complexité.<br />
Nos experts seront heureux de vous accueillir sur notre stand<br />
<strong>Bull</strong> (N° D18) pour vous présenter nos solutions ainsi que les<br />
services associés.<br />
Pour plus d’information : http://www.wcoomdit2010.com/site<br />
(1) WCO : World Customs Organization (OMD en français, Organisation Mondiale des Douanes).<br />
(2) Créée en 1952 sous le nom de Conseil de coopération douanière, l’OMD est un organisme<br />
intergouvernemental indépendant dont la mission est d’améliorer l’efficacité des<br />
administrations des douanes. Regroupant 169 gouvernements membres, elle est la seule<br />
organisation intergouvernementale mondiale qui soit compétente en matière douanière.<br />
Barcelone, du 14 au 17 juin 2010<br />
72 e conférence et exposition EAGE<br />
La 72 e conférence et exposition annuelle de l’EAGE (European Association of Geoscientists and Engineers) est l’événement<br />
interdisciplinaire le plus complet en Europe dans le domaine des sciences de la terre.<br />
Il déroule un programme de quatre jours comprenant une pétrolière et gazière pour accroître son efficacité à remplacer<br />
conférence plénière et une exposition présentant les les sources d’énergie conventionnelles et découvrir de<br />
dernières nouveautés dans les domaines de la géophysique, nouvelles sources non conventionnelles.<br />
de la géologie et de l’ingénierie réservoir. Plus de 6 000<br />
participants venus des cinq continents sont attendus.<br />
<strong>Bull</strong> sera exposant à Barcelona’10 pour présenter les solutions<br />
En 2010 le thème de la conférence, sera « Un nouveau d’Extreme Computing destinées aux acteurs de l’industrie<br />
printemps pour les géosciences » – un thème qui reflète pétrolière et gazière, avec ses partenaires.<br />
l’optimisme de cette industrie face à la reprise économique<br />
après une période extrêmement éprouvante. Cet événement Pour plus d’information : http://www.eage.org/events/index.<br />
sera l’occasion d’évoquer les défis posés à l’industrie phpevp=2954&ActiveMenu=2&Opendivs=s3<br />
– page 21 –