N° 25 - bimestriel - juillet 2006 - Herblay

Le point de vue
du technicien
L’évolution du réseau de voirie sur la
commune s’est réalisée dans le
temps suivant deux principes :
• dans le cadre d’une urbanisation
diffuse en périphérie du centre
ville
• dans le cadre d’aménagement de
quartier structuré (Buttes blanches,
Bournouviers, Chênes…)
Au cours du dernier trimestre, cette
phase 2006 verra son aboutissement…
en attendant le plan action voirie 2007 !
Sécurité
> sente de l'Avenir (éclairage, barrière)
> quai du Génie (partiel)
> mail des Ombrages (ralentisseur)
> rue Chateaubriand (éclairage)
> chemin des Chênes (barrière)
> carrières quai de Gaillon (aménagement
accès)
> rue des Adages (plateau traversant)
> rue du Val (soutènement talus)
> allée des Fontaines (création aire de
retournement)
> rue des Trois-moulins (amélioration
de l'aire de retournement)
> place de la Halle
Aménagement piétons, trottoirs
> avenue de la Chesnaie
> chemin des Bœufs
> rue du Bol d'air, rue des Ecoles (pédibus
scolaire financé par la SemvHer)
> rue de Franconville
> rue de Conflans
> avenue du Général Leclerc
> rue de Paris
> sente de l'Orme brûlé
> chemin de Chennevières
> chemin de Conflans et allée
des Bournouviers (couche de surface)
> boulevard de Verdun et place de
l'Orme Macaire (empierrement
d'un chemin)
> mail des Ombrages
> rue de Montigny
Réfection chaussée
> rue de Chantepuits (rénovation
complète)
> rue Pasteur (rénovation complète)
> rue de la Croix (rénovation complète)
> rue du Gai savoir (partiel)
> rue des Frères Bolifraud (partiel)
> chemin de l'Emissaire (couche de
roulement)
> rue de Conflans (entre rue Thiers
et école Marie Curie)
> rue de Cormeilles (partiel)
> place du Bois Perdrix
> rue Chateaubriand (aménagement
parking centre de loisirs)
Dans le premier cas, les maisons se
sont construites le long des voies et
chemins existants. La viabilisation
de ces axes a été traitée sommairement
avec une faible structure de
chaussée et parfois juste un revêtement
superficiel. C’est pourquoi
nous connaissons une forte détérioration
de ces voies incompatibles
avec notre circulation actuelle
(explosion du nombre de véhicules
légers, poids lourds, bus). Leur
réfection à engager nécessite bien
souvent, une reconstruction complète
de la chaussée, ce qui a pour conséquence
le coût élevé des travaux.
Dans le second cas, les voies construites
avec l’aménagement du
quartier présentent une structure de
meilleure qualité et souvent seul le
revêtement superficiel est dégradé.
Leur réfection à engager ne nécessite
alors qu’une réfection superficielle.
HERBLAY MAG - JUILLET 2006
13