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multiphonies

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37 e saison musicale<br />

<strong>multiphonies</strong><br />

14/15<br />

Samedi 24 janvier 2015<br />

PARIS /MPAA Saint-Germain<br />

AKOUSMA<br />

19h30<br />

– Bernard PARMEGIANI : Immer/sounds (1999)<br />

– Simon ATKINSON : Nocturne aquatique<br />

création, commande Ina GRM<br />

– James O’CALLAGHAN : Empties - impetus,<br />

création, commande Ina GRM<br />

Partenariat/échange avec le vivier de Montréal<br />

– ENTRACTE<br />

– Gilles sivilotto : Cinq matères<br />

création, commande de l’Etat<br />

– eRikm : Draugalimur - membre fantôme<br />

création, commande de l’Etat<br />

www.inagrm.com<br />

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Photo : Didier Allard © Ina<br />

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Bernard<br />

PARMEGIANI<br />

(1927–2013)<br />

Immer/sounds<br />

1999 - 11’24<br />

Photo : Nicole Bouron Flacinet - ©Ina<br />

Commande de Philippe Samartzis pour une diffusion<br />

en concert en sound surround.<br />

Création à la Biennale Immersion Festival<br />

de Melbourne (Australie), en 1999.<br />

« S’immerger dans le son : quoi de plus jubilatoire <br />

Tout comme dans une immersion sous-marine<br />

où défilent sous nos yeux les poissons, signes<br />

d’une partition aléatoire visuelle, muette<br />

mais combien chatoyante. Mais tout comme les<br />

poissons ne sont pas la mer, les sons ne<br />

sont pas la musique. Ils n’en sont que les constituants<br />

selon un ordonnancement, aléatoire pour<br />

les uns, composé pour les autres. Tous deux évoluent<br />

dans un espace qui leur est propre.<br />

Né en 1927, il a passé sa jeunesse<br />

« entre deux pianos », celui de sa mère et celui de<br />

son beau-père : « J’étais effectivement pris<br />

entre deux pianos, c’est le terme exact, car, d’un côté<br />

de ma chambre, il y avait une pièce où mon<br />

beau-père, pianiste virtuose, s’occupait des grands<br />

élèves du Conservatoire qui étaient très<br />

avancés ; et de l’autre côté, il y avait ma mère qui<br />

faisait « dorémifasolasido » avec les petits<br />

auxquels elle enseignait Scarlatti. C’est elle qui<br />

m’a fait travailler pendant plusieurs années.<br />

En1959, Bernard Parmegiani, alors ingénieur du son<br />

à la Télévision française, rencontre Pierre Schaeffer<br />

qui, peu de temps après, lui proposera la même<br />

fonction au Groupe de Recherches Musicales.<br />

Il y assiste alors I. Xenakis, L. Ferrari et F.B. Mâche.<br />

En 1962, il participe au “Concert collectif” qui allait<br />

réunir dix compositeurs du GRM.<br />

Devy Erlih,violoniste, ayant assisté à ce concert,<br />

lui propose la composition d’une pièce<br />

pour violon et bande. Ce fut Violostries créée en 1964.<br />

Ce fut aussi le réel point de départ de son<br />

oeuvre musicale qui, quarante ans après, comprend<br />

plus de 80 opus auxquels s’ajouteront<br />

de nombreuses musiques de films et de télévision,<br />

musiques pour la danse, musiques de scène<br />

et design sonore : génériques pour Paris Inter,<br />

France Culture, Stade 2, France Musique,<br />

ainsi que le Sonal de l’Aéroport de Roissy Charles<br />

de Gaulle (1971-2005).<br />

En leur absence totale, toute vie semble<br />

apparemment oubliée.<br />

« L’espace pour s’identifier a besoin de repères.<br />

Toute vacuité visuelle ou sonore pouvant<br />

devenir insupportable dans le « courant de la vie »,<br />

à moins que cette vacuité extérieure aide<br />

à en créer volontairement une en soi. C’est donc en<br />

fonction de cet espace que j’ai choisi les<br />

sons-repères qui constituent Immer/sounds :<br />

éclatements, écoulements, micro-sons,<br />

cellules rythmiques...<br />

Certains d’entre eux ont leur propre trajectoire.<br />

Entendue sur un seul haut-parleur,<br />

cette trajectoire serait déjà perceptible.<br />

Elle le devient davantage lorsque le son<br />

évolue à travers plusieurs haut-parleurs.<br />

S’immerger dans le son, pour tout dire,<br />

c’est passer de l’entendu à l’écouté. »<br />

(B. P.)<br />

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simon<br />

ATKINSON<br />

Nocturne aquatique<br />

2014<br />

Création commande Ina GRM<br />

Photo : DR<br />

Simon vit et travaille à Leicester, où il est conférencier<br />

principal pour la Montfort University<br />

et membre du Music, Technology and Innovation<br />

Research Centre.<br />

Son travail principal, celui de compositeur,<br />

est rendu possible grâce aux technologies numériques.<br />

Il s’est également engagé à apporter<br />

sa contribution pour une plus large compréhension<br />

et appréciation de la musique contemporaine,<br />

en particulier des musiques électroacoustiques et<br />

électroniques-expérimentales.<br />

Cela influence également son approche académique<br />

et donne une impulsion à ses diverses activités,<br />

du travail de production et de promotion de concerts,<br />

aux collaborations transversales entre les<br />

formes artistiques en passant par des projets<br />

d’arts communautaires.<br />

Il a été l’un des membres fondateur du Scottish<br />

acousmatic group invisibEARts, co-dirige le AHRC,<br />

ainsi que le projet, financé par l’UNESCO,<br />

Electroacoustic Resource Site (EARS).<br />

Parmi ses travaux récents, on peut citer une commande<br />

musicale de la Society for Electroacoustic<br />

Music en Suède, un cycle de pièces, interiorities,<br />

qui explorent l’esthétique Lowercase<br />

(ambient minimaliste), et une commande de Dirty<br />

Electronics avec une musique créée pour<br />

le prototype d’instrument Mute Synth II (un mouvement<br />

apparaît dans un récent CD du label Mute<br />

qui accompagne l’instrument).<br />

Il collabore depuis longtemps avec le chorégraphe<br />

Kerry Francksen avec qui il a présenté<br />

une série d’évènements intermédias.<br />

Deep in liquid<br />

turquoise slivers<br />

of dilute light<br />

quiver in thin streaks<br />

of bright tinfoil<br />

on mobile jet :<br />

pale flounder<br />

waver by<br />

tilting silver :<br />

in the shallows<br />

agile minnows<br />

flicker gilt :<br />

grapeblue mussels<br />

dilate lithe and<br />

pliant valves :<br />

dull lunar globes<br />

of bulbous jellyfish<br />

glow milkgreen:<br />

eels twirl<br />

in wily spirals<br />

on elusive tails :<br />

adroir lobsters<br />

amble darkly olive<br />

on shrewd claws :<br />

down where sound<br />

comes blunt and wan<br />

like the bronze tone<br />

of a sunken gong.<br />

Sylvia Plath<br />

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7<br />

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James<br />

O’CALLAGHAN<br />

Empties–impetus<br />

2014<br />

Création, commande Ina GRM<br />

Partenariat/échange avec LE VIVIER de Montréal<br />

Photo : DR<br />

Empties-Impetus est la dernière œuvre d’une trilogie<br />

de pièces acousmatiques qui imagine<br />

les corps des instruments de musique comme des<br />

espaces sonores intérieurs.<br />

James O’Callaghan est un compositeur et un artiste<br />

sonore basé à Montréal.<br />

Sa musique croise des médias acoustiques<br />

et électroacoustiques, utilisant des enregistrements<br />

de terrain (field recording), l’amplification<br />

d’objets trouvés, la transcription assistée par ordinateur<br />

de sons environnementaux et des<br />

conditions et contexte de présentations uniques.<br />

Il a également reçu le Grand Prix de la SOCAN<br />

Fondation, le premier du prix de Jeu de temps/Times<br />

play Awards et une nomination aux prix JUNO.<br />

Il est titulaire d’un Master de musique obtenu<br />

à l’université McGill de Montréal en 2014, a étudié<br />

avec Philippe Leroux et est titulaire<br />

du Baccalauréat des Beaux Arts obtenu à l’université<br />

Fraser en 2011 après avoir étudié avec Barry Truax.<br />

À la suite de Objects-Interiors (2013) consacré<br />

au piano, et Bodies-Soundings (2014) pour guitare<br />

acoustique et piano-jouet, Empties-Impetus<br />

examine les instruments d’un quatuor à cordes<br />

comme des espaces résonants.<br />

La pièce tente de piloter les instruments comme<br />

porteurs de sens notamment en luttant<br />

contre le poids historique de leur idiome propre<br />

et le caractère reconnaissable de leur timbres,<br />

mais également en subvertissant leur significations<br />

en les réévaluant comme objets selon<br />

leur construction physique, leur propriété spatiale<br />

et leur mise en contexte.<br />

Comme pour les deux autres pièces de la trilogie,<br />

il existe une version où le son est partiellement<br />

diffusé sur scène, à l’aide de transducteurs et à travers<br />

les instruments de musique utilisés comme<br />

corps résonnants.<br />

Sa musique a été jouée en Amérique du Nord,<br />

en Europe, en Nouvelle-Zélande et au Japon.<br />

www.jamesocallaghan.com<br />

Il a reçu des commandes du Groupe de Recherches<br />

Musicales, du National Youth Orchestra<br />

of Canada, de l’Ensemble Paramirabo et du quatuor<br />

de saxophones Quasar.<br />

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Gilles<br />

SIVILOTTO<br />

Cinq matères<br />

2014 - 17’<br />

Création, commande de l’Etat<br />

Pour sons fixés<br />

Compositeur et interprète sonore,<br />

Gilles Sivilotto partage son temps entre écriture<br />

d’œuvres de concert, musique de scène<br />

(théâtre et danse), et musique pour les arts visuels<br />

(télévision, cinéma et jeux vidéo).<br />

Photo : Aude Paget- ©Ina<br />

Merci pour sa participation musicale<br />

à Margot Cache (contrebasse) ainsi que, pour leurs<br />

furtives interventions vocales, à Gabrielle,<br />

Marcel, William et Léa Brui.<br />

Il a étudié la composition au CIRM (Nice),<br />

au California Institute of the Arts (Los Angeles),<br />

et à l’IRCAM (Paris), institutions où il a suivi<br />

les cours de Michel Pascal, Mel Powel, Barry Shradder,<br />

Morton Subotnick, Tristan Murail et Brian Ferneyough.<br />

Il développe depuis 2011 un projet d’improvisation<br />

sur dispositifs électroniques interactifs<br />

dans des espaces publics tels que l’esplanade<br />

de la Grande Bibliothèque, le parc de Belleville,<br />

le Parc de Bercy et le Quartier de l’Horloge à Paris.<br />

Outre ses créations personnelles, il travaille<br />

en collaboration avec des artistes de tous horizons,<br />

parmi lesquels Mathilde Monnier, Jacques<br />

Roubaud, Reinhold Friedl et l’ensemble berlinois<br />

Zeitkrazer, Laurent Chambert,<br />

Alain Mollot et la compagnie théâtrale La Jacquerie...<br />

http://gilles-sivilotto.over-blog.com<br />

Le titre de cette pièce renvoie à sa genèse procédurale:<br />

un ensemble de séquences génératrices que,<br />

par commodité, pour des raisons de classification<br />

informatique j’appelle des « matères ».<br />

Ce terme est un aggloméré de plusieurs mots :<br />

matière, matériaux, matrice, et aussi,<br />

complémentairement, pattern, souvent utilisé dans la<br />

musique répétitive ou l’univers du Jazz.<br />

Une matère est une séquence sonore, en quelque<br />

sorte un prototype, un canevas pouvant<br />

aboutir à des réalisations de tous genres : musique<br />

acousmatique, pièces instrumentales,<br />

musique mixte, etc…<br />

À la fois forme d’onde en perpétuelle évolution<br />

et modèle de comportement (dynamique,<br />

harmonique, etc..), cette séquence initiale peut<br />

consister en un montage de sons de la réalité,<br />

un artefact d’origine purement synthétique, ou bien une<br />

combinaison des deux. Elle peut aussi être<br />

directement tirée d’une prise de son sans retouches,<br />

comme une sorte de “ready made” sonore.<br />

Comme il s’agit d’un point de départ à la composition,<br />

ce type de séquence a nécessairement<br />

un caractère incomplet, appelant à ce titre plusieurs<br />

opérations de remodelage et d’enrichissement<br />

de ce qui n’est encore qu’un matériau brut.<br />

Cinq matères entrelacées constituent donc à la fois<br />

la base structurelle et la plupart des textures<br />

de cette pièce, elle-même divisée en cinq parties<br />

enchaînées les unes aux autres sans interruption,<br />

intitulées Membrane, Roulette 1 et 2, Beauté<br />

brune, Gaine et chair.<br />

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eRikm<br />

Draugalimur/Membre fantôme<br />

2014 - 17’50<br />

Création, commande de l’Etat<br />

Musique concrète<br />

Soutenu par le Groupe de Recherches Musicales de L’Ina<br />

Photo : ©m&m<br />

Depuis 1992, eRikm étend son terrain d’expérimentation<br />

artistique sur les scènes internationales.<br />

Attentif au maintien de la fusion entre pensée,<br />

instinct et sensibilité, il ose la simultanéité des<br />

pratiques et la mise en tension de différents<br />

modes de composition, dans et avec tous les langages.<br />

Textes :<br />

Móðir mín, í kví, kví / Ma mère dans le parc, parc<br />

Contes et légendes du folklore islandais<br />

transmis oralement<br />

Auteur inconnu, source: Jón Árnaso<br />

Svofðu unga ástín mín / Mon tout petit<br />

Poème de Jóhann Sigurjónsson<br />

Dominique Poulain : conteuse<br />

Haraldur Jónsson : conteur<br />

Natacha Muslera : voix et souffles<br />

Merci à Dominique Poulain, Natacha Muslera,<br />

Arnlín Óladóttir, Haraldur Jónsson, Magnús Rafnsson,<br />

Jean Cristofol<br />

Depuis son expérience première de guitariste,<br />

jusque dans ses recherches plastiques<br />

et visuelles, ce « virtuose des platines » prend<br />

le risque d’échapper à toute tentative<br />

de catégorisation hâtive.<br />

Il développe une approche ouvertement prospective<br />

du médium technologique, à la fois comme<br />

outil de développement d’un modèle économique<br />

et comme instrument de création, de production,<br />

de diffusion.<br />

L’attraction qu’exerçait la science-fiction et le cinéma<br />

de genre sur moi dès l’enfance, a refait surface<br />

à l’annonce du prequel (1) d’Alien par son réalisateur,<br />

Ridley Scott.<br />

Lors de la projection de Prometheus, je fus complètement<br />

absorbé par les images du prologue,<br />

filmées dans un décor naturel du nom de Dettifoss.<br />

Depuis les années 90, il multiplie les rencontres<br />

et les collaborations : Luc Ferrari, Christian Marclay,<br />

Akosh S, Mathilde Monnier, Bernard Stiegler,<br />

Fm Einheit…<br />

eRikm est basé à Marseille, Friche La Belle de Mai.<br />

www.erikm.com<br />

Dettifoss est la chute.<br />

Elle plonge dans le canyon de la Jökulsá á Fjöllum<br />

en plein milieu d’un désert de roche volcanique.<br />

Cette chute d’eau, de plus de quarante<br />

quatre mètres de hauteur, sera le point de départ<br />

de mon périple en Islande.<br />

La puissance des éléments naturels,<br />

voire surnaturels, constituée par les «Pays’ages»<br />

monumentaux de cette île monde, fait écho<br />

à une décennie de voyages que j’ai réalisés au dessus<br />

de 60° latitude nord et 30° sud .<br />

Draugalimur est une traversée allant de l’intime<br />

aux grands espaces, à travers les éléments<br />

en mouvement. Les glaces, l’air, les gaz et le feu sont<br />

en perpétuelles activités dans ces lointains<br />

chaotiques et primitifs. Cela ressemble à la surface<br />

de la terre, il y a plus de cinq cent millions d’années.<br />

À Reykjavik, je fis la connaissance de Haraldur<br />

Jónsson (2) , il me narra un conte islandais,<br />

lequel me troubla profondément « Ma mère dans<br />

le parc, parc » . Je ne savais pas encore<br />

à quel point ce texte allait jouer un rôle prépondérant<br />

pour la composition de cette pièce et créer<br />

une résonance symbolique dans ma propre vie.<br />

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contacts<br />

Institut national de l’audiovisuel - Ina GRM<br />

19 avenue du général Mangin 75016 Paris<br />

Tél. : 01 56 40 29 88 - Fax : 01 56 40 49 88<br />

Email : grm@ina.fr<br />

www.inagrm.com<br />

Membre fantôme est un travail avec les<br />

éléments, acoustiques et sonores :<br />

débâcles glaciaires - intérieurs gigantesques des<br />

tanks d’huile de morue en ruines - anciens<br />

quais d’abattages à baleines et autres cétacés.<br />

Isolé sous un pont en acier, traversant un désert<br />

désespérément revêtu de cendre noire,<br />

des icebergs à la dérive se font aspirer de leur lagon<br />

par l’océan Arctique, un leurre à la marée basse.<br />

J’ai vu à l’aplomb d’un sandur (4) , quatre soleils<br />

diffractés ou lordose (5) de la terre qui furent à cet<br />

instant, vert de gris, orange couchant à blanc létal.<br />

À l’ombre des écorces chaudes ou dans les boues<br />

pestilentielles d’un jaune soufré,<br />

les soufrières à la rose glaise, n’attendent que<br />

l’éruption d’un geyser angoissé.<br />

La fluorescence effondrée des horizons de lichens,<br />

à la chute définitive d’un serak millénaire,<br />

seule la sterne rieuse peut faire face à tant de complexité.<br />

Draugalimur est un essai, une tentative de faire lien<br />

entre la puissance des éléments et l’imaginaire<br />

de ses habitants. Une affection à travers l’agencement<br />

et les diverses articulations de matériaux<br />

concrets et oniriques de cette île (encore) fantastique.<br />

eRikm 2014<br />

crédits<br />

Direction du département Recherche : Daniel Teruggi<br />

Direction artistique : Christian Zanési, François Bonnet<br />

Responsable technique : Philippe Dao<br />

Régie technique : Emmanuel Richier, Renaud Bajeux, Luca Bagnoli<br />

Création lumière : Pierre Gallais<br />

Chargé de production : Jean-Baptiste Garcia<br />

Chargée de communication : Marie-Josiane Rouchon<br />

Administration : Valérie Lallour, Valérie Gauffreteau<br />

Accueil et vente : Elisabeth Perrin<br />

Photographes : Nicole Bouron-Flacinet, Aude Paget,<br />

Didier Allard, René Pichet<br />

Maquettiste programme : Aude Paget<br />

(1) . Un prequel est un film reprenant l’univers et une partie des personnages d’un autre film existant,<br />

mais racontant une autre histoire, s’étant déroulée avant le film ayant servi de modèle.<br />

(2) . Haraldur Jónsson est un plasticien islandais.<br />

(3) . Conte islandais recueilli par Sigurðuer Guðmundsson, de Reykjavik.<br />

Texte en français issu : la géante dans la barque de pierre et autres contes d’Islande aux éditions José Corti .<br />

(4) . Un sandur, au pluriel sandar, est en géologie une plaine de piémont formée par les alluvions glaciaires charriées<br />

et déposées par les eaux de fonte de glaciers.<br />

(5) . La lordose définit une courbure au niveau de la colonne vertébrale.<br />

CD, livres, programmes<br />

radios, infos…<br />

Retrouvez tout l’Ina GRM<br />

sur www.inagrm.com<br />

Photo : Didier Allard © Ina<br />

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<strong>multiphonies</strong><br />

14/15<br />

23+24+25 janvier 2015<br />

PARIS /MPAA Saint-Germain<br />

6+7+8 mars 2015<br />

PARIS /Le Centquatre<br />

25+26 avril 2015<br />

PARIS /Maison de Radio France<br />

PRÉSENCES<br />

électronique<br />

AKOUSMA<br />

LIVE<br />

electronic<br />

Photo couverture : Didier Allard / dos : Aude Paget © Ina<br />

En partenariat avec<br />

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