icones

More documents

Recommendations

Info

4 > A C T U Alger Arrestation de 350 personnes en novembre Les services de la police judiciaire relevant de la wilaya d'Alger ont procédé durant le mois de novembre dernier à l'arrestation de 350 personnes inculpées dans 286 affaires, dont 209 ont été mises en détention provisoire, a indiqué hier un bilan de la Sûreté de wilaya d'Alger. Ces services ont procédé à l'arrestation de 350 personnes dont 209 ont été mises en détention provisoire et 3 autres placées sous contrôle judiciaire. 54 individus se sont vu adresser des convocations directes, alors que 70 autres ont bénéficié d'une liberté provisoire et 14 transférés, selon le bilan. La police judiciaire a en outre enregistré durant la même période 286 affaires dont 13 vols de tous types, 138 affaires de détention et trafic de drogues, 11 affaires de faux et usage de faux, 89 affaires de détention d'armes blanches prohibées et 27 autres affaires diverses. Par ailleurs, le bilan mensuel de la Sûreté d'Alger fait état de 4 morts et 164 autres blessées dans 149 accidents de la route. Les services de la police judiciaire ont enregistré, par ailleurs, 8 830 contraventions établies, 415 délits de conduite, 208 délits de taxis et véhicules transporteurs de voyageurs en coordination avec la Direction du transport et 2 157 retraits de permis. Boumerdès Deux ports secs et trois entrepôts dès 2012 La wilaya de Boumerdès renforcera ses capacités de stockage durant l’année 2012 par la mise en service attendue de deux ports secs et de trois entrepôts. Les études techniques afférentes aux deux ports secs sont déjà achevées, dans l’attente du lancement de leurs travaux, en 2012, dans les communes de Boudouaou El Bahri et Corso. Prévues sur des surfaces de trois hectares chacune, ces deux structures, qui seront dotées de scanners et d’un bureau pour les agents douaniers, seront réalisées par des opérateurs privés, suivant les critères internationaux en vigueur en vue, a précisé ce responsable, "de faciliter des procédures de dédouanement des marchandises d’importation dans les délais légaux qui leur sont impartis". S’agissant des trois entrepôts, relevant également d’opérateurs privés, leurs projets sont en attente de l’agrément des autorités compétentes pour le lancement de leurs travaux début 2012 sur des surfaces d’un hectare chacun, dans les communes de Corso, Boudouaou et Khemis El Khechna. A leur mise en service, l’ensemble de ces projets devraient générer près de 1 300 postes d’emploi directs, en sus de milliers d’autres postes indirects, selon les prévisions de leurs promoteurs. Medelci aujourd'hui à l'Assemblée française Une occasion pour mettre les points sur les « i » Le chef de la diplomatie algérienne est attendu de pied ferme, aujourd'hui, à l'Assemblée française. Mourad Medelci qui doit d'abord présenter un rapport sur la batterie de réformes politiques en cours en Algérie ainsi que sur la situation dans la région du Maghreb et du Moyen- Orient, répondra aux questions de ses hôtes. Le ministre évoquera avec son homologue français les perspectives des relations bilatérales, des sujets en relation avec les mutations intervenues sur la scène internationale et régionale, à commencer par la situation au niveau de l'espace maghrébin et au niveau du Sahel. Considérant le dialogue avec les parlementaires, comme « vecteur important de la diplomatie», Medelci réfute dans un entretien accordé à TSA que le fait de s'expliquer devant la chambre basse française dénote «un caractère intrusif ou attentatoire à la souveraineté nationale ». Avant d'ajouter que «cette audition n'est pas une première comme vous l'affirmez, car j'ai déjà été invité par la Commission des affaires étrangères de l'Assemblée nationale française en novembre 2007 et c'est un exercice normal pour porter la voix de l'Algérie auprès des représentants du peuple français». Pour Medelci, « de très nombreux ministres des Affaires étrangères interviennent devant les Commission pour la prévention du crime et la justice pénale L’Algérie élue membre pour un mandat de trois ans a été élue lundi soir à News York, membre de la Commission pour L'Algérie la prévention du crime et la justice pénale, pour un mandat de trois ans, prenant effet en janvier 2012 et expirant à la fin de l'année 2014. «Suite à la démission du Nigeria, et agissant pour pourvoir un poste au nom du groupe des Etats d'Afrique, le Conseil a élu aujourd'hui, par acclamation, l'Algérie, comme membre de la Commission pour la prévention du crime et la justice pénale, pour un mandat de trois ans, prenant effet en janvier 2012 et expirant à la fin de l'année 2014», lit-on dans un communiqué, rendu public par les Nations unies. C'est à l'occasion de la reprise des travaux de la session de fonds de 2011, du Conseil représentations parlementaires de pays partenaires pour expliquer et défendre les positions et les intérêts de leur pays, loin de toutes supputations erronées sur de prétendues ingérences étrangères. » Au sujet de l'éventualité d'une réouverture des frontières avec le royaume chérifien, le ministre a mis en avant les visites croisées entre les ministres des deux pays dans différents domaines. Une «dynamique constructive» qui, aux yeux de Medelci, «permettra de rehausser le niveau de notre coopération pour la mettre à la hauteur des aspirations de nos deux peuples qui sont unis par l'histoire et interpellés par les défis de l'avenir». En définitive, Medelci, qui dit œuvrer à la réactivation des structures de l'UMA, fait savoir que la question de la réouverture de la frontière sera, en quelque sorte, le point d'orgue de ce travail déterminé que nous avons engagé ensemble. Evoquant le dossier libyen, et plus précisément les derniers appels à la rébellion de Aïcha Kadhafi, le ministre des Affaires étrangères, tout en rappelant que l'Algérie a officiellement déploré les propos de la fille de l'ex-dirigeant libyen, affirme que son département «tirera pleinement les conséquences de cette transgression des règles de l'hospitalité qui lui est accordée, à titre humanitaire, en Algérie». Pourraiton comprendre par là qu'à la moindre autre infraction, Aïcha Kadhafi risquerait d'être expulsée d'Algérie ? Concernant la sempiternelle question de la visite attendue d'une délégation du CNT libyen en Algérie, Medelci indique que «les contacts sont permanents et qu'il y a un échange constant entre les autorités algériennes et libyennes». Avant d'affirmer que «de hauts responsables libyens sont attendus prochainement en Algérie». Au chapitre libyen, le chef de la diplomatie algérienne, tout en privilégiant une solution dans le cadre du plan de la Ligue arabe, souligne que l'Algérie continuera «à fournir des efforts pour que les autorités syriennes signent le protocole qui organise la mission des observateurs arabes et régit la mise en œuvre du plan arabe dans ses différents volets afin que s'engage enfin un dialogue national entre les différentes parties prenantes syriennes…». La présence du ministre des Affaires étrangères devant la Commission des affaires étrangères de l'Assemblée française constitue une opportunité pour lever les équivoques sur certains dossiers et mettre les points sur les «i» concernant d'autres. Salim H. économique et social (Ecosoc) qu'il a été procédé à des élections pour occuper les postes vacants au sein de sept de ses organes subsidiaires dont la Commission du développement social, la Commission pour la prévention du crime et la justice pénale et le conseil d'administration de l'Entité des Nations unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes (ONU-Femmes). Notons que la Commission pour la prévention du crime et la justice pénale est née d'une réunion ministérielle tenue à Versailles en 1991 est un organe subsidiaire du Conseil économique et social. Elle fut précédée par une conférence plus technique, le Comité sur la prévention et le contrôle du crime, fondé en 1971 pour prendre en charge les dossiers des Nations unies en lien avec les politiques de justice pénale. Le Conseil économique et social (Ecosoc), sur recommandation de l'Assemblée générale (Agnu), créa la Commission par sa résolution 1992/1, intitulée «Etablissement de la Commission pour la prévention du crime et la justice pénale», et précisa les mandats et priorités de la Commission dans sa résolution 1992/22, intitulée «Mise en œuvre de la résolution de l'Assemblée générale 46/152 concernant les activités opérationnelles et la coordination dans les domaines de la prévention du crime et de la justice pénale», selon les mandats. Younès Saâdi ALGERIE NEWS Mercredi 7 décembre 2011
Loi sur les partis politiques adoptée Le FLN et le RND saluent le texte, le MSP non satisfait Le parti du Front de libération nationale et le Rassemblement national démocratique ont salué le projet de loi sur les partis politiques soumis hier au vote de l'Assemblée populaire nationale, alors que le MSP s'est dit "non satisfait" par les amendements de la commission juridique. Deux délégations de l'opposition syrienne sont arrivées, hier, à Alger pour une mission d'une semaine. Il s'agit du Conseil national syrien et de l'instance suprême de la révolution. L'objectif de cette visite d'après Djaber Achouafi, président des deux délégations, s'inscrit dans le cadre du travail de lobbying que mènent les révolutionnaires syriens auprès des pays arabes. «Nous sommes ici en Algérie, pour rencontrer les partis politiques, les organisations de la société civile, les étudiants et les journalistes. Nous transmettons le message suivant au peuple algérien : le peuple syrien meurt sous les balles et la torture du régime d'Al Assad et sa famille. Vous voulons plus de pressions de la part de la Ligue arabe pour assurer une protection aux populations civiles», a-t-il déclaré au siège du journal Echourouk, lors d'une rencontre-débat. Il ajoute : «Nous demandons aux ministres des Le député du parti du FLN, Abdelhamid Si Afif, a qualifié le projet de loi d'"importante avancée" dans la pratique politique, soulignant que sa formation est pour un "Etat fort et neutre, ne s'ingérant pas dans les activités des partis qui activent dans le cadre de la loi". Pour sa part, Saïd Bouhadja, a estimé que cette loi "répond profondément aux aspirations de la majorité des parlementaires", relevant une "flexibilité" dans les procédures de création des partis politiques, élaborées conformément à la Constitution. Le porte-parole du RND, Miloud Chorfi, a salué lui aussi le projet de loi sur les partis, qu'il considère comme un "axe fondamental" des réformes initiées par le président de la République. Il a noté que ce projet de loi, "plus précis", est venu pour "enrichir la scène politique à travers l'agrément de nouveaux partis". Toutefois, le député et président du conseil consultatif du MSP, Abderrahmane Saïdi, a exprimé la "non satisfaction" de son parti de la façon dont ont été examinés par la commission juridique de l'APN les amendements proposés. "Nous ne sommes pas satisfaits du travail fait par la commission juridique", a-t-il affirmé, appelant à "prendre en considération" les amendements présentés par les partis non majoritaires au sein de l'APN. La commission des affaires juridiques, administratives et des libertés de l'Assemblée populaire nationale a Affaires étrangères des pays arabes d'être plus rigoureux avec le pouvoir syrien. Dans ce cadre nous voulons que l'Algérie prenne une position plus ferme.» Les accusations du régime syrien ne sont pas passées inaperçues. En effet, l'orateur a indiqué que la révolution est pacifique et le restera. «C'est le pouvoir qui utilise la force contre les manifestants pacifiques et non pas l'inverse», a-t-il répondu. Il a également nié tout lien entre la révolution et les forces étrangères. «La théorie du complot étranger est tombée. Le pouvoir n'a plus de prétextes pour justifier ses crimes», a-t-il indiqué. Pour l'après-révolution, Djaber Achouafi s'est montré rassurant : «Nous voulons fonder un Etat civil démocratique et pluriel.» Des jeunes victimes de la torture ont témoigné de la terreur qu'exercent les services de sécurité. Notons que des personnalités algériennes ont pris part à cette rencontre. retenu une série de conclusions après examen des propositions des députés concernant le projet de loi organique sur les partis politiques soumis mardi au vote dont:refus du droit de création de partis politiques ou de participation à la création à toute personne ayant participé à des actes terroristes et ne reconnaîssant pas sa responsabilité. Au final, la loi organique relative aux partis politiques a été adoptée à la majorité absolue par les députés de l'Assemblée populaire nationale (APN). Les députés avaient entamé le vote article par article, de ce projet de loi, lors d'une séance plénière présidée par le président de l'APN, Abdelaziz Ziari. R. N. Ils veulent une position officielle plus rigoureuse Des membres de l'opposition syrienne depuis hier à Alger Entre autres, l'écrivain Amine Zaoui, l'ex-chef du gouvernement Ahmed Benbitour, et l'ex-ministre de l'Information Abdelaziz Rahabi. Benbitour a salué les révolutionnaires syriens. «Nous sommes avec vous. Nous devons vous aider comme vous l'aviez fait pour nous pendant la guerre de Libération nationale. Puisque la révolution est en marche, vous devez penser à l'après-révolution», a-t-il dit. Par ailleurs, le commandant de l'ALN Lakhdar Bouregaâ, n'a pas été tendre avec les hôtes de l'Algérie, il a refusé de les qualifier de «révolutionnaires». «Une révolution se passe une fois dans l'histoire d'une Nation. On ne peut pas qualifier les soldats de l'Otan de révolutionnaires», a-t-il rétorqué. Notons que cette rencontre s'inscrit dans le cadre du festival de soutien au peuple syrien. Younès Saâdi D. News Journée décisive pour les travailleurs de l'éducation et les syndicalistes de ce secteur qui procéderont aujourd'hui au vote du mode de gestion des œuvres sociales. Lors de cette opération qui va se tenir dans tous les établissements scolaires, tous paliers confondus, au niveau national, les enseignants devront choisir entre deux options : Le bulletin (n°1) porte sur la centralisation de la gestion des œuvres sociales, ce qui sousentend la création de commissions de wilayas et une commission nationale, qui s'occuperont de cette gestion. Le deuxième bulletin (n° 2) prévoit la décentralisation des œuvres sociales, c'est-à-dire que chaque établissement va gérer ses œuvres sociales d'une manière autonome. Mais depuis l'annonce de cette élection, une guerre ouverte oppose les partisans des deux options. Entre ceux qui veulent la centralisation de la gestion, en justifiant leur choix par le renforcement du sens de la solidarité entre les employés du secteur de l'éducation. Il s'agit de l'UNPEF et du CNA- PEST, le deuxième groupe est constitué des syndicats qui soutiennent la décentralisation des œuvres sociales, à savoir le SNAPEST, le CLA, le SATEF, le FNTE, et le SNTE. D'après eux, c'est le seul moyen pour que les travailleurs du secteur puissent bénéficier de leur « part ». En somme, tous les syndicats essayent de faire campagne pour convaincre le maximum de travailleurs du secteur, même au détriment des autres syndicats, puisque Près de 165 000 divorces ont été enregistrés en Algérie pendant les trois dernières années, a-t-on appris hier auprès du ministère de la Solidarité nationale et de la Famille. "Au total 164 988 cas de divorce ont été enregistrés durant la période allant de 2007 à 2010, passant de 34 123 divorces en 2007 à 49 839 en 2010, selon un document du ministère rendu public lors des travaux d'une journée d'étude sur la médiation familiale. Détaillant ces données, le document fait état de 52.687 > A C T U 5 Gestion des œuvres sociales de l'Education Les syndicats face à deux options nous avons constaté que les deux courants s'échangent des accusations et des insultes graves lors de leurs conférences de presse et à travers des communiqués. Dernier à avoir animé une conférence de presse, Abdelkrim Boudjenah, président du Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE), qui n'a pas hésité à accuser les deux syndicats qui soutiennent le mode de centralisation des œuvres sociales d'être à la solde d'un parti politique dont il ne citera pas le nom. « La majorité des membres fondateurs et sympathisants de ces deux syndicats appartiennent à un parti politique, c'est ce dernier qui décide et gère ces syndicats » confirme-t-il. M. Boudjenah a expliqué la position de son syndicat vis-à-vis du vote d'aujourd'hui : « Notre choix est en faveur de la décentralisation de la gestion des œuvres sociales qui consacre la transparence de la gestion de œuvres sociales des travailleurs du secteur de l'éducation… » déclare-t-il. Pour le conférencier, « la centralisation des œuvres sociales est sy-nonyme d'un retour à la bureaucratisation de la gestion. Ce qui fera qu'une minorité des travailleurs vont bénéficier des œuvres sociales, au détriment de la majorité » explique-t-il. Un communiqué du Syndicat autonome des travailleurs de l'enseignement et de la formation, SATEF, rendu public hier, affirme que les syndicats qui soutiennent la centralisation des œuvres sociales sont un « pur produit de l'UGTA. Aziz Sethi Près de 165 000 divorces enregistrés en 3 ans 15 226 Algériennes se libérent par le khol'a divorces par consentement mutuel des deux époux et 81 319 par la volonté de l'époux". Ce chiffre global comprend également, pour la même période, 15 226 divorces à la demande de l'épouse" et 15 756 autres cas ont été recensés dans la catégorie du khol'a, a précisé la même source. Par ailleurs, 4 203 jeunes filles et femmes agées entre 10 et 18 ans, ont été victimes de violence durant le premier semestre 2010 contre 9 010 durant l'année 2009. R. N. ALGERIE NEWS Mercredi 7 décembre 2011
Page 1 and 2: Frantz Fanon et le Printemps arabe
Page 3: A L A U N E 3 Lamine Bechichi évoq
Page 7 and 8: ENTRETIEN > E N T R E T I E N 7 Akl
Page 9 and 10: C U L T U R E 11 Dans un numéro sp
Page 11 and 12: Sept ans depuis la disparition de M
Page 13 and 14: S E L E C T I O N Avant-premières
Page 15 and 16: N O T R E V I S I O N D U M A G H R
Page 17 and 18: Coupe du monde 2014 Sepp Blatter di
Page 19 and 20: Nouvelles technologies New York veu

icones

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

Delete template?

Save as template?