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Historia - IES Alquibla

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<strong>Historia</strong><br />

Es una región muy vinculada a la monarquía<br />

francesa, desde que en 1418 la familia real se<br />

instaló en la Touraine. Los castillos de Amboise y<br />

de Blois fueron residencias de Carlos VII, Luis<br />

XII y Francisco I. Éste último encomendó a<br />

Leonardo da Vinci la construcción del castillo de<br />

Chambord. Numerosos nobles decidieron también<br />

trasladarse allí, por lo que se construyeron<br />

numerosos castillos cerca de los ríos Loira, Cher e<br />

Indre. Destacan los de Chenonceau y Azay-le-Rideau.<br />

Demografía<br />

Es la decimotercera región más poblada de Francia. Las tres principales áreas urbanas<br />

(Tours, Orléans y Bourges) concentran un tercio de la población regional,<br />

mayoritariamente rural. En 1999, Tours era la vigésima área urbana más poblada de<br />

Francia con 376.377 habitantes y un crecimiento del 0,69% durante el periodo 1990-<br />

1999. Actualmente el área más próxima a la región metropolitana de París experimenta<br />

un fuerte crecimiento debido a esta proximidad.<br />

Economía<br />

Es la primera región de la Unión Europea productora de cereales. También tienen gran<br />

importancia los cultivos de remolacha azucarera, colza y girasol.<br />

Región de gran tradición agrícola, la descentralización industrial de los años 1950 hizo<br />

surgir sectores industriales modernos, como el sector farmacéutico.<br />

Actualmente, es la segunda región francesa en producción de energía, debido a las<br />

cuatro centrales nucleares situadas en la orilla del río Loira.<br />

Asimismo, en Orléans destaca el sector de la banca, el de los seguros, y el de la<br />

investigación científica. En Tours predominan la sanidad y la educación universitaria.<br />

2


Tours se halla situada a una hora de París, a cinco de Londres y a tres<br />

horas y media de Bruselas.<br />

Clasificada como ciudad de arte y de historia, Tours es una ciudad de<br />

dimensión humana que se puede recorrer a pie y disfrutar del encanto de<br />

sus calles antiguas, sus museos, sus tiendas y sus mercados. Tours es una<br />

ciudad segura, dinámica que atrae a más de 30 000 estudiantes.<br />

En la región, donde se habla “el mejor francés” del país, vivieron<br />

escritores como Rabelais, Ronsard, Balzac y Bergoson.<br />

3


L'orientation au Lycée Grandmont<br />

Dans un parc de 13 hectares<br />

En 1176, le roi Henri II<br />

Plantagenet fit don du "Bois Rahier"<br />

situé au sud de Tours aux moines<br />

de l'ordre de Grandmont qui y<br />

demeurèrent jusqu'en 1774 et laissèrent<br />

leur nom au Parc.<br />

1959 Ouverture de la cité<br />

1961 Destruction du château<br />

1963 Le lycée devient autonome<br />

1977 Cité scolaire scindée en trois établissement<br />

Lycée Grandmont (général et technologique), Collèg<br />

Jean-Philippe Rameau, Lycée professionnel Victor Lal<br />

1998 Fin de la cité scolaire Grandmont.<br />

Les trois établissements deviennent<br />

autonomes.<br />

9 sections post-bac<br />

24 classes de terminale<br />

25 classes de première<br />

20 classes de seconde<br />

2300 élèves<br />

4


Esta región se conoce como la de los<br />

Castillos del Loira, debido al gran<br />

número de castillos que duermen en sus<br />

orillas.<br />

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Azay-le-Rideau<br />

Cheverny<br />

Moncontour<br />

Chaumont<br />

Chambord<br />

Blois<br />

Chenonceau<br />

Saumur<br />

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Ville d’Indre et Loire, Amboise est édifiée<br />

au confluent de la Loire et de la Masse, à<br />

24 km à l’Est de Tours. En 2000, Amboise<br />

compte 11 968 habitants qu'on appelle des<br />

Amboisiens.<br />

Son château résulte de la reconstruction<br />

fastueuse par Charles VIII d’une<br />

forteresse antérieure (médiévale) qui<br />

s’élève sur un escarpement propice à la<br />

défense.<br />

Des origines à la Renaissance<br />

Les origines du château remontent au VIIIème siècle. Dès l’époque gallo-romaine, Amboise fut<br />

un site défensif. Au début du Moyen-age, un pont sur la Loire est construit et permet de<br />

renforcer les défenses stratégiques de la ville.<br />

Avant d'être rattaché à la couronne, le Château d'AMBOISE appartenait à la famille<br />

d'AMBOISE. Louis d'Amboise fut en effet condamné à mort par le Roi Charles VII le 8 mai<br />

1431 pour avoir essayé de l'enlever en compagnie de son favori Georges de La Trémoille au<br />

château de Chinon. Le château et la seigneurie d'AMBOISE ainsi que le château de<br />

Montrichard lui furent confisqués et rattachés à la couronne par lettres patentes le 4<br />

septembre 1434. Au milieu du XVème siècle, le roi Charles VII reprit la ville à ses<br />

envahisseurs. Louis XI, son successeur, commença les travaux de reconstruction du château.<br />

8


Ce fut Charles VIII qui décida de reconstruire la forteresse. Il ramena alors d’Italie un<br />

certain nombre de meubles et fit appel à Pacello de Mercogliano – horticulteur italien – afin<br />

d’aménager les jardins de la demeure royale. En 1495, il demande l’aide à deux maîtres<br />

maçons, Dominique de Cortone et Fra Giocondo pour donner une allure royale à cette<br />

demeure: le style Renaissance.<br />

À la demande du roi, le bailli d'Amboise - Raymond de Dezest - et les architectes - Colin<br />

Biart, Guillaume Senault et Louis Armangeart - vont faire renaître le château à l'aide de pas<br />

moins de 250 maçons. A force de travail acharné, le château sera composé de plusieurs<br />

nouveaux bâtiments : l’aile du logis du Roy, la grosse tour des Minimes avec sa large rampe<br />

hélicoïdale, la tour Hurtault (ou tour de César) et la chapelle Saint-Hubert en gothique<br />

flamboyant. En l’espace de six années – de 1492 à 1498 - le château devint magnifique. Dès<br />

lors, le château fut composé de deux logis : l'un face à la Loire, orienté au nord ; l'autre<br />

orienté vers l'Amasse. (Seul le premier subsiste aujourd'hui.).<br />

Charles VIII y décède accidentellement en 1498. Louis XII lui succédant, les travaux<br />

continuèrent toujours avec la même ardeur. François 1er passe sa jeunesse, ainsi que les<br />

premières années de son règne, au château d’Amboise. Le jeune monarque invita - en 1516 -<br />

le plus grand des génies de l’époque, Léonard de Vinci, à résider à Amboise, au Manoir du<br />

Clos-Lucé. Ce sera une période fastueuse pour la ville. Louise de Savoie, mère du nouveau roi,<br />

vivra dès lors, au château. En mars 1560, le comte de Guise découvrit un coup d’État<br />

protestant monté par les Calvinistes : c'est la conjuration d'Amboise. Le 12 mars 1563,<br />

Condé signa avec la Reine Catherine de Médicis la paix ou traité d’Amboise. L’édit de<br />

pacification autorise le culte protestant aux seigneurs et justiciers. Les autres réformés,<br />

peuvent dans une ville par bailliage ou sénéchaussée, fréquenter le temple à condition que<br />

celui-ci soit situé hors des murs.<br />

L’époque moderne<br />

Au début du XVIIème siècle, le château devient la propriété de Gaston d’Orléans, frère de<br />

Louis XIII. C’est alors que le château royal perd de sa noblesse en devenant une prison. Louis<br />

XIV, son successeur, en fera d’ailleurs usage en y détenant prisonnier Nicolas Fouquet et le Duc<br />

de Lauzun.<br />

En 1762, Louis XVI fit don du château au Duc de Choiseul. Peu de temps après, ce dernier se<br />

trouva en disgrâce. En effet, ministre de Louis XV, il fut remercié en 1770. Exilé à Amboise, il<br />

en profita pour faire édifier, entre 1775 et 1778 – dans le parc même du château de Choiseul -<br />

un monument haut de 40 mètres, la Pagode de Chanteloup. Dès lors, la Cour se précipite à la<br />

Pagode. Napoléon donne le château à l'ex-consul Pierre-Roger Ducos. Son nouveau propriétaire<br />

n'ayant pas les moyens financiers de l'entretenir en totalité, il en fit détruire - entre 1806 et<br />

1810 - les deux tiers. L'église, la Collégiale Saint Florentin, les Logis des Reines et au-delà<br />

disparaissent.<br />

9


En 1815, le château change de propriétaire. C’est à Louise Marie Adélaïde de Bourbon-<br />

Penthièvre, Duchesse d’Orléans, qu’on le restitue. A sa mort, en 1821, son fils, le futur Louis-<br />

Philippe en hérite. En 1848, l’État reprit possession du château et en fit à nouveau une prison<br />

d’État. De 1848 à 1852, Abd El Kader y est emprisonné. En 1873, le château est à nouveau<br />

restitué à la famille Orléans qui le transforma en maison d’accueil pour les personnes âgées. Puis,<br />

au début du XXème siècle, Monsieur Ruprich-Robert et son fils, restaurèrent avec beaucoup de<br />

soin, le château.<br />

De nos jours, le château a toujours la même allure qu'il avait au XVème et XVIème siècle, du<br />

côté de la Loire. À l'intérieure, un grand nombre de bâtiments n'existent plus. Il ne reste<br />

environ qu’un cinquième de ce qu’était la forteresse au temps de sa splendeur. Nous pouvons<br />

admirer la Chapelle Saint-Hubert (où repose Léonard de Vinci), la tour Hurtault et la tour des<br />

Minimes, le logis du Roy et les salles du rez-de-chaussée du logis des Reines.<br />

Léonard de Vinci<br />

1452 - 1519<br />

Léonard de Vinci, un des grands hommes de la Renaissance, peintre, ingénieur, architecte,<br />

dessina des monuments, des machines qui ne furent réalisées que dans les siècles futurs.<br />

Léonard de Vinci a observé la nature en peintre et en scientifique. Léonard de Vinci a compris,<br />

ou cherché à comprendre tous les phénomènes qui l'entouraient. Il a imaginé des inventions<br />

telles que le parachute,le char d'assaut, l'appareil photo, le bateau à aubes, les machines<br />

volantes, l'hélicoptère, bien des siècles avant leur existence.<br />

Amboise : le Château Royal<br />

Le Roi François 1er, pendant les guerres d’Italie (1515) a été séduit par l’art italien, la<br />

sculpture, la peinture, l’architecture, l’art des jardins ...: «La Renaissance». François 1er pour<br />

introduire ce nouvel art dans son royaume, invite le plus grand artiste de son temps à le<br />

rejoindre en France et lui confère le titre de «premier peintre, ingénieur et architecte du<br />

roi». En 1517 Léonard de Vinci, à 65 ans, accepte l'invitation de François 1er. Le Roi lui offre le<br />

Manoir du Cloux (Le Clos Lucé). Là, il avait, dans sa jeunesse, joué au ballon, à l'arc et aux jeux<br />

guerriers avec ses amis. La seule contrepartie demandée à Léonard de Vinci, par le Roi est de<br />

pouvoir philosopher, converser avec l'artiste, qu'il viendra voir tous les jours souvent<br />

secrètement, empruntant un sous terrain reliant me Château Royal d'Amboise et le Château du<br />

Clos Lucé. le manoir du Clos Lucé: découvrez les maquettes des merveilleuses machines<br />

imaginée par Léonard de Vinci, ce génie qui vécut cinq siècles auparavant.<br />

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Découvrez la collégiale des Roches Tranchelion et de traverser la pittoresque vallée de la<br />

Manse, ainsi que celles de la Vienne et de l'Indre. Les villages d'Azay le Rideau, Richelieu,<br />

Candes St Martin, St Epain et Avon les Roches méritent aussi le détour.<br />

Chinon offre à ses visiteurs un site<br />

incomparable, avec ses forteresse médiévale.<br />

Ses promenades ombragées, ses venelles, sa<br />

rivière et la forêt sont des atouts appréciées.<br />

Chinon, riche de son histoire, de sa culture, de<br />

ses édifices... a bien mérité son label Ville d’Art<br />

et d’Histoire, du même que son inscription au<br />

patrimoine mondiale de l’UNESCO.<br />

Ancien lieu où se dressait une forteresse, le village conserve son château, ses logis, ses<br />

jardins, et deux lavoirs bordant la Manse qui serpente sous les peupliers. Situé au coeur<br />

de la Touraine, dans la pittoresque vallée de la Manse, le village est plein de charme. Les<br />

maisons sont magnifiques, notamment celles de la place des XVe et XVIe siècles. Construites<br />

en tuffeau, cette belle pierre blanche de Touraine, elles ont conservé des fenêtres à meneaux<br />

et de beaux toits d'ardoises agrémentés de lucarnes ouvragées. On peut ensuite, en passant<br />

sous la poterne, grimper jusqu'aux ruines du château du XVe siècle. A droite, l'église date de<br />

1527. Crissay saura vous séduire avec le charmant désordre de ses rues, ses jardins, ses petits<br />

murs fleuris. C'est un adorable village campagnard qui a su garder toute son authenticité.<br />

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Candes St Martin : blanches du tuffeau de<br />

Touraine, la collégiale et les maisons du village,<br />

bâties à flanc de coteau, se mirent dans les eaux<br />

de la Vienne et de la Loire. Le village est d'une<br />

homogénéité rare, ses maisons sont superbes,<br />

certaines datant du XVe siècle. Construites en<br />

tuffeau blanc, leur décoration semble inspirée par<br />

les châteaux des alentours, leur empruntant mille<br />

détails. Avant de remonter jusqu'en haut du<br />

village pour découvrir les habitations troglodytes creusées dans la falaise, il faut s'attarder<br />

rue du Bas, c'est là qu'habitaient les mariniers de la Loire, lorsque Candes était un port de<br />

pêche et de batellerie actif, également admirer l'église collégiale des XIIe et XIIIe siècles.<br />

Les rois de France et d'Angleterre y séjournèrent, rendant à cette occasion visite aux<br />

archevêques de Tours. Enfin, les adeptes de la marche pourront gravir le petit sentier de<br />

pierres de la colline surplombant le village : la vue sur les toits d'ardoise et sur les deux<br />

rivières y est très représentative du charme de la Douce France.<br />

Loches constitua durant tout le Moyen Age une<br />

place stratégique de premier ordre. Sise aux<br />

confins du Poitou, de la Touraine et du Berry,<br />

plantée sur un long éperon rocheux, elle attira<br />

d’abord la convoitise des ducs d’Aquitaine, des<br />

comtes de Blois-Chartres et de ceux d’Anjou. Elle<br />

fut ensuite l’enjeu d’une âpre lutte entre<br />

Capétiens et Plantagenêts, servit longtemps de<br />

résidence au « Roi de Bourges » (le futur Charles<br />

VII) et ses murs abritèrent les jeunes années de<br />

la vie de Louis XI.<br />

Cité Médiévale d'exception, offre un panorama historique grandeur nature, du Moyen-Age à la<br />

Renaissance. La visite chemine à travers les portes et les ruelles de la ville basse pour<br />

atteindre le promontoire fortifié de la Cité Royale : Tour Saint-Antoine, Porte des Cordeliers<br />

et Porte Picois, Hôtel de Ville, Chancellerie, Maison du Centaure, Collégiale Saint-Ours, Donjon,<br />

Logis Royal, Fort Saint-Ours...<br />

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LES SITES HISTORIQUES<br />

Cette plate forme, parfaitement conservée, est entourée d’une triple ceinture de remparts<br />

enserrant le donjon, le logis royal, la Collégiale Saint Ours et la Maison Lansyer.<br />

La Porte Royale<br />

Unique issue permettant l’accès à la citadelle, cette porte date des 12 ème et 13 ème siècles.<br />

Elle fut complétée au 15 ème siècle par un corps de bâtiment central et une terrasse à canons.<br />

La Collégiale Saint Ours<br />

Edifiée au 11 ème et 12 ème siècles, c’est selon Viollet le Duc « un édifice étrange et sauvage<br />

beauté, unique dans le monde ». Son architecture romane est marquée par son exceptionnel<br />

portail polychrome sculpté de personnages et d’animaux tirés du bestiaire du Moyen Age et par<br />

les deux pyramides de pierre, appelées « dubes », élevées vers 1165.<br />

Le Logis Royal<br />

Bâti sur la pointe de l’éperon rocheux dominant la vallée de l’Indre, le Logis Royal est l’une des<br />

résidences favorites des Valois, pendant la guerre de cent ans. Trois femmes illustres ont<br />

marqué l’histoire du Logis Royal : Jeanne D’Arc, Agnès Sorel, favorite de Charles VII et<br />

première maîtresse royale officielle et Anne de Bretagne.<br />

La Maison Lansyer<br />

Au cœur de la cité royale et accrochée aux remparts, la maison Lansyer occupe la demeure<br />

familiale du peintre Emmanuel Lansyer (1835 – 1893). L’artiste est considéré en son temps<br />

comme l’un des meilleurs peintres paysagistes. Le musée présente également de façon vivante<br />

une collection d’art japonais, ainsi qu’un ensemble rare de gravures originales de Piranèse,<br />

Canaletto, Doré, Millet, Victor Hugo et Corot, ainsi que des esquisses de Delacroix.<br />

La Tour Saint Antoine<br />

Ancien clocher d’église, elle faisait office de beffroi de la ville. Elle culmine à 52 mètres.<br />

Construite entre 1529 et 1575, elle est le seul beffroi de la Renaissance en Touraine.<br />

L’Hôtel de Ville<br />

Accolé à une très remarquable porte médiévale, la porte picois, cet édifice Renaissance a été<br />

construit entre 1535 et 1543 sous l’impulsion de François 1 er, qui a donné ses premières<br />

franchises à la ville. Le bâtiment abrite depuis lors les services municipaux.<br />

La Chancellerie<br />

Au cœur de la cité médiévale, la chancellerie ouvre ses portes à l’un de ses plus vivants projets<br />

patrimoniaux et culturels. Autour du label « Ville d’Art et d’Histoire », au rez-de-chaussée de<br />

ce bâtiment exceptionnel, récemment restauré, s’ouvrent cinq salles qui racontent l’histoire de<br />

Loches depuis son origine à nos jours. Cette exposition permanente gratuite constitue le cœur<br />

d’un dispositif qui comprend une cour, véritable décor de théâtre et des communs devenus lieu<br />

d’expositions et d’événements. Un jardin traité en amphithéâtre complète cet ensemble.<br />

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D'après une légende pittoresque, le jeune roi Gontran, fils de Clotaire Ier et petit-fils de<br />

Clovis, endormi au bord d'un murmurant ruisseau, sur les genoux de son gentil écuyer, rêve<br />

d'un trésor caché dans la grotte... Bientôt l'écuyer voit passer sur le visage de Gontran un<br />

petit lézard qui court vers le coteau voisin et en revient tout brillant comme l'or... Informé de<br />

cette vision, le roi s'empresse de faire fouiller le coteau qui recèle d'immenses richesses.<br />

L'histoire est ici intimement liée aux monuments. On a retrouvé dans la vallée des restes galloromains,<br />

une étuve romaine, ce qui prouve que Montrésor fut habité très tôt.<br />

En l'an 887 on trouve le premier seigneur de Montrésor... Au début du XIe siècle, Foulques<br />

Nerra fit construire par son capitaine Roger "le petit-diable", sur ce promontoire rocheux<br />

dominant le val de l'Indrois, une forteresse ayant pour mission d'interdire l'accès des<br />

plateaux. Le double mur d'enceinte et les massives tours d'angle et tours d'entrée du XIIe<br />

siècle impressionnent encore par leur puissante architecture féodale. Au pied du château, le<br />

long de l'Indrois, il s'est constuit au fil des siècles un pittoresque village. D'abord rattaché à<br />

la paroisse de Beaumont-village, Montrésor devint une paroisse indépendante en 1700. En<br />

1493, la châtellenie de Montrésor, en entrant dans la famille des Bastarnay, va devenir le<br />

rendez-vous de tout ce que la fin du XVe compta de distingué et de séduisant...et cela grâce à<br />

Imbert de Bastarnay, "monseigneur du bouchage", qui fut le confident et le conseiller fidèle de<br />

quatre de nos rois de France : Louis XI, CharlesVIII, Louis XII, François Ier .Imbert fit<br />

construire, dans l'enceinte de la forteresse, une agréable résidence et il fonda la collégiale. Ce<br />

château est donc une demeure de plaisance entourée du système de défense du château<br />

féodal. À la mort des derniers descendants d'Imbert, en 1621, le château fut vendu à Henri de<br />

Bourdeilles, puis, à la fin du XVIIe, à Paul de Beauvilliers. Pendant plus d'un siècle, jusqu'à<br />

1831, Montrésor restera propriété de la famille de Beauvilliers. C'est en 1849 que le Comte<br />

Xavier Branicki, gentilhomme polonais qui se lia d'amitié avec Napoléon III, acquit ce château.<br />

Mécène et grand collectionneur d'art, il dota le château de nombreux meubles, tableaux et<br />

14


objets d'art de grande valeur. À l'heure actuelle, le château est toujours la propriété des<br />

descendants du Comte Branicki.<br />

La visite du château est à compléter par la collégiale Saint Jean Baptiste.Elle fut<br />

bâtie de 1519 à 1541 dans le style gothique. Cette collégiale fait partie d'un groupe de<br />

chapelles à vocation funéraire, avec celle d'Ussé et des Roches-Tranchelion. Au bas de la nef,<br />

trois magnifiques gisants de marbre blanc, abritent les dépouilles d’Imbert de Bastarnay, de<br />

son épouse et de leur fils. Dans la chapelle du choeur, se trouve l'Annonciation peinte par<br />

Philippe de Champaigne au 17ème siècle. Consacrée en 1522, la collégiale offre un très beau<br />

décor Renaissance. La porte sud est notamment encadrée de deux colonnes dont le fût est<br />

coupé par une large bague moulurée. De belles chutes ornent les colonnes baguées. Ce motif<br />

décoratif qui se lit de haut en bas, commence par un anneau auquel s'accroche un fil qui porte<br />

toute sorte d'objets suspendus. Dans la partie inférieure de l'un des fûts, un bucrane - ou<br />

tête de boeuf - orné de feuillages se cache dans l'enchaînement des objets. L'écoinçon de<br />

l'arc de la porte est orné d'un grand squelette qui tient une faux, représentation peu<br />

fréquente de la mort dans la sculpture ornementale de la première Renaissance.<br />

Si Montrésor est, par son étendue, la plus petite commune de Touraine avec moins de un km2<br />

de superficie, c'est aussi un des plus beaux villages aux rues pittoresques bâti à l'ombre<br />

protectrice de son puissant château qui domine de haut la coquette vallée de l'Indrois. Le<br />

village de Montrésor est classé parmi « Les Plus Beaux Villages de France ».<br />

15


Villandry, achevé vers 1536, est le dernier des grands châteaux qui furent bâtis sur les bords<br />

de Loire à l’époque de la Renaissance. Villandry fut construit par un ministre des finances de<br />

François 1er, Jean le Breton, dont les armoiries figurent sur le galbe de la lucarne de gauche.<br />

Pour le compte de la Couronne, il avait surveillé et dirigé pendant de longues années la<br />

construction de Chambord auprès duquel il fit édifier une réplique "en miniature" de Villandry :<br />

Villesavin. Auparavant, il avait été ambassadeur à Rome, où il avait pu à loisir étudier l’art des<br />

jardins. Jean Le Breton, pour construire l’actuel château, avait fait raser une vieille forteresse<br />

du XIIe siècle dont il ne reste que les fondations et le donjon que l’on devine derrière la cour<br />

d’honneur. Ses descendants conservèrent Villandry jusqu’en 1754, année où il devint propriété<br />

du marquis de Castellane, ambassadeur du Roi et issu d’une très illustre famille de la noblesse<br />

provençale. Ce dernier fit construire les dépendances de style et réaménagea l’intérieur du<br />

château en l’adaptant aux normes de confort du XVIIIe siècle, qui sont beaucoup plus proches<br />

des nôtres que celles de la Renaissance. Au XIXe siècle, on détruisit le jardin traditionnel pour<br />

créer un parc à l’anglaise autour du château (dans le style du parc Monceau à Paris).<br />

En descendant au coeur de la Touraine, vous<br />

découvrirez des draperies, des stalactites, un<br />

lac souterrain, des cascades pétrifiantes et<br />

une originale reconstitution de la faune<br />

préhistorique.<br />

16


Au cœur du Val de Loire, berceau de la Renaissance Française, le Château de Chenonceau, le<br />

Château des Dames, est l’un des monuments les plus aimés, les plus connus, les plus visités.<br />

Construit sur le Cher, dont les eaux reflètent la beauté de son architecture Renaissance, le<br />

château de Chenonceau est la merveille du Val de Loire. Ses jardins sont le témoignage<br />

éclatant du goût et du raffinement de leurs inspiratrices : Diane de Poitiers et Catherine de<br />

Médicis. Le château de Chenonceau a appartenu à six femmes au nombre desquelles Diane de<br />

Poitiers et Catherine de Médicis. C'est Catherine qui fit construire la galerie enjambant la<br />

rivière. A la fois château et pont, Chenonceau doit à cette ambivalence le privilège d'avoir<br />

survécu à la Révolution (les paysans de la région l'utilisaient pour traverser le Cher) et à la<br />

Seconde Guerre mondiale (où on lui reconnut son caractère exceptionnel). Pendant la période<br />

d'occupation allemande, le château-pont servit à la Résistance puisque son côté nord se situait<br />

en zone occupée alors que le côté sud était en zone libre.<br />

Le commanditaire de Chenonceau, Thomas Bohier, épouse Catherine Briçonnet, issue d'une<br />

illustre famille tourangelle, puis il construit un château digne de son ascension sociale. En<br />

1513, il achète un château médiéval, construit par la famille de Marques à proximité du Cher.<br />

Il entreprend immédiatement la démolition de la vieille forteresse et décide d'édifier son<br />

nouveau logis dans le lit du fleuve, sur les fondations d'un moulin qui dépendait de l'ancien<br />

château. Thomas Bohier ne conserve de la forteresse médiévale que la tour dite tour de<br />

Marques, qui témoigne de l'ancienneté des lieux et fait symboliquement fonction de "donjon",<br />

signe féodal indispensable au nouveau possesseur de Chenonceau. Le château de Thomas Bohier<br />

17


et Catherine Briçonnet n'a pas l'ampleur du château actuel, rendu célèbre par la galerie sur le<br />

Cher édifiée ultérieurement. Le premier édifice se résume à un élégant petit château carré,<br />

parfaitement régulier, où se répètent partout les mêmes mesures ou leurs multiples, et<br />

cantonné de tourelles aux quatre angles. La régularité du plan est un signe d'excellence dans<br />

l'architecture des années 1510-1520. L'originalité de Chenonceau se remarque dans d'autres<br />

dispositions. L'entrée s'ouvre sur un large vestibule aux voûtes complexes dont les clefs<br />

s'alignent alternativement sur deux axes différents. Dans sa première version, le vestibule se<br />

termine par une baie et un balcon dominant le Cher qui donnent lumière et clarté. L'escalier<br />

droit occupe une position presque centrale et perpendiculaire au vestibule, signe étonnant de<br />

nouveauté. Le répertoire ornemental de la Renaissance envahit la façade et s'étend à la tour<br />

de Marques, remise au goût du jour. Thomas Bohier meurt en Italie en 1524, une fois le<br />

château achevé. La succession faisant apparaître des dettes importantes, son fils, Jean<br />

Bohier, cède le château à François 1er en 1535. En 1547, Henri II l'offre à sa favorite Diane<br />

de Poitiers qui prolonge le château par un pont sur le Cher et prévoit de construire une galerie<br />

sur ce pont. Il ne s'agit pas de relier les deux rives mais d'ouvrir la vue sur le Cher, de lier le<br />

château et le paysage où l'eau joue un rôle important. En effet, le pont élevé par Diane ne<br />

rejoint pas l'autre rive et la galerie qu'elle projette d'édifier doit se terminer par une fenêtre<br />

et un balcon.<br />

La mort du Henri II en 1559 ne permet pas à Diane de Poitiers de mener à bien ce projet.<br />

La reine Catherine de Médicis l'oblige à échanger Chenonceau contre Chaumont dont le cadre<br />

est nettement moins enchanteur. Il faut attendre 1580 pour que survienne la troisième<br />

campagne de construction de Chenonceau, celle où Catherine de Médicis fait édifier la galerie<br />

sur le pont, selon un nouveau projet. La galerie, plus lourde que celle prévue par Diane de<br />

Poitiers, écrase quelque peu l'édifice primitif mais, paradoxe de l'histoire, c'est elle qui a<br />

immortalisé l'image du château. Depuis 1913, est propriété de la famille Menier.<br />

18


París, capital de Francia, surcada por el Sena. Es centro de un área metropolitana de<br />

11.174.743 habitantes (2004), una de las mayores de Europa y que corresponde a la Región<br />

parisina o "Isla de Francia" (en francés Île-de-France).<br />

Lutecia fue el nombre con que se conocía en el siglo I AC a la villa afincada en la isla de la Cité,<br />

Francia, ocupada por la tribu de los parisii; 150 años después ya se la conocía con su actual<br />

nombre: París.<br />

<strong>Historia</strong><br />

En el Siglo III adC un pueblo celta llamado parisii, fortificó la isla de la Cité, que constituye el<br />

corazón de la ciudad. De este pueblo se deriva el actual nombre de París.<br />

En la época del Imperio Romano la ciudad tenía el nombre de Lutecia. Los romanos ampliaron<br />

los límites de la ciudad, especialmente sobre la ribera izquierda del río Sena.<br />

En la fortaleza de la Bastilla, que se encontraba en el oriente de la ciudad, se inició<br />

oficialmente el movimiento que se conoce como Revolución Francesa. Con Napoleón III la<br />

ciudad sufrió su transformación urbana más significativa. Se demolió gran parte de la ciudad<br />

antigua y medieval y se dio paso a los grandes bulevares y a los edificios modernos, el más<br />

destacado de los cuales fue la Ópera Garnier. Se construyeron canalizaciones de aguas y otros<br />

importantes adelantos en obras públicas. Este periodo llegó a su fin después de la caída del<br />

emperador como consecuencia de la derrota sufrida por su ejército en la guerra francoprusiana.<br />

19


París albergó durante la segunda mitad del siglo XIX varias exposiciones. La más destacada<br />

tuvo lugar en 1889 con motivo de la conmemoración del primer centenario de la revolución. Para<br />

este evento fue construida la Torre Eiffel, que, aunque debía ser desmontada una vez<br />

terminada la exposición, continúa en su emplazamiento original El siglo se inició con la<br />

construcción del metro de París. En 1940 la ciudad fue conquistada por el Wehrmacht (ejército<br />

alemán) de Adolf Hitler en la Segunda Guerra Mundial. París estuvo administrada por las<br />

fuerzas de ocupación, que la abandonaron después de cuatro años, sin causarle destrozos de<br />

consideración, en comparación con los daños sufridos por otras ciudades europeas en esa<br />

guerra. Con el presidente François Mitterrand, en la década de los 80 y comienzos de los 90,<br />

la ciudad recibió un renovado impulso en su urbanismo e infraestructura. Se renovaron<br />

sectores deprimidos de la ciudad, en particular barrios de la rivera izquierda y la Villette; se<br />

levantaron nuevos edificios emblemáticos, como la biblioteca, el arco de la Defensa y el Museo<br />

de Orsay; y se renovó radicalmente el Museo del Louvre.<br />

París tiene un lugar privilegiado en el ámbito artístico y cultural a nivel mundial en los últimos<br />

siglos. Aquí han nacido movimientos artísticos como el expresionismo, el surrealismo y el<br />

fauvismo e importantes figuras del arte y el pensamiento como René Descartes, Voltaire,<br />

Victor Hugo, Émile Zola, Alexandre Dumas (hijo), Edgar Degas, Claude Monet,<br />

Jean-Paul Sartre, Jean Renoir. También ha acogido a numerosos artistas extranjeros<br />

como Leonardo da Vinci, Vincent van Gogh, Pablo Picasso y a escritores como Ernest<br />

Hemingway, Gabriel García Márquez… Además la ciudad cuenta con la mayor aglomeración<br />

de obras de arte, repartidas en sus múltiples museos y colecciones privadas. Dentro de estos<br />

tesoros el más destacado es la famosa Mona Lisa, una pintura de valor incalculable. Por otra<br />

parte el patrimonio arquitectónico de París no tiene parangón en el mundo, ninguna otra ciudad<br />

ha levantado tantos y tan valiosos edificios de los más destacados arquitectos universales.<br />

La construyó el ingeniero francés Gustave Eiffel para la Exposición universal de 1889 en París.<br />

Tiene una altura de 324 metros con un peso (recién construida) de 7.300 toneladas, si bien hoy<br />

en día se calcula su peso en más de 10.000 (debido al museo, restaurantes, almacenes y tiendas<br />

que alberga en la actualidad). Estaba previsto que la torre alcanzase los 350 metros, pero los<br />

vecinos se asustaron (por la amenaza de que un edificio tan alto y construido sin apenas piedras<br />

pudiera caerse) y se manifestaron, provocando un cambio de planes. Los 24 últimos metros<br />

corresponden a una antena de televisión que fue añadida mucho después. Construida en<br />

controversia con los artistas de la época, que la veían como un monstruo de acero, es<br />

considerada como el símbolo de Francia y de la ciudad de París en particular. El color original<br />

de la torre fue el amarillo, aunque hoy en día no quede nada de él. Según la temperatura<br />

ambiental, la cúspide de la Torre Eiffel puede acercarse o alejarse del suelo unos 8<br />

centímetros, debido a la expansión térmica del metal que la compone. Para alcanzar la cima hay<br />

que recorrer 1665 escalones (y no 1792, número que algunos toman por cierto en alusión al año<br />

20


de la Primera República). El mantenimiento de la torre incluye la aplicación de 50 toneladas<br />

métricas de pintura cada 7 años, para protegerla de la corrosión. En ocasiones, el color de la<br />

pintura se cambia, aunque actualmente (2005) la torre muestra una tonalidad marrón. En el<br />

primer piso, hay consolas que permiten votar en la elección del futuro color de la estructura.<br />

La estructura fue construida entre los años 1887 y 1889 para que sirviera como arco de<br />

entrada para la Exposition Universelle, una feria mundial organizada para conmemorar el<br />

centenario de la Revolución Francesa. La torre se inauguró el 31 de marzo de 1889, y se abrió<br />

al público el 6 de mayo de ese año. Cerca de 200 obreros unieron 18.038 piezas de hierro,<br />

usando dos millones y medio de bulones, y siguiendo el diseño estructural de Maurice Koechlin.<br />

El riesgo de accidentes en la construcción era alto, ya que a diferencia de los rascacielos<br />

modernos, la torre es una estructura abierta sin pisos intermedios, con la excepción de las dos<br />

plataformas. Sin embargo, y gracias a las precauciones de Eiffel para con sus operarios (que<br />

incluían el uso de arneses), solo uno de ellos falleció durante la instalación de los elevadores.<br />

Como anécdota, cabe anotar que el ingeniero francés Gustave Eiffel presentó primero su<br />

proyecto de torre a los responsables del Ayuntamiento de Barcelona, para que la torre se<br />

construyera en Barcelona con motivo de la Exposición Universal de Barcelona (1888). Pero a los<br />

responsables del ayuntamiento barcelonés les pareció una construcción extraña y cara, que no<br />

encajaría en la ciudad. Tras la negativa del consistorio barcelonés, Eiffel presentó su proyecto<br />

a los responsables de la Exposición Universal de París, que se haría un año más tarde, en 1889.<br />

Éstos aceptaron contruir la torre, pese a que en un principio pensaron que la tendrían que<br />

desmontar una vez acabada la exposición. Sólo la voluntad popular evitó que se desarmase.<br />

Los Campos Elíseos, Les Champs-Elysées, es la mayor avenida de París. Mide 1880 metros de<br />

longitud, y va desde el Arco del Triunfo hasta la Plaza de la Concordia. En la parte alta de la<br />

avenida, se encuentran cines, tiendas de lujo y grandes almacenes. La parte baja la avenida, que<br />

desemboca en la Plaza de la Concordia, está rodeada de jardines y se encuentran varios<br />

edificios públicos majestuosos: El Palacio del Descubrimiento («Palais de la Découverte»), el<br />

Pequeño Palacio y el Gran Palacio, así como la Universidad París IV. Los Campos Elíseos son<br />

parte de eje histórico de París, que se prolonga por el Jardín de las Tullerías hasta llegar al<br />

Museo del Louvre. Por el lado opuesto del Arco de Triunfo la avenida de la Gran Armada y la<br />

Avenida Charles de Gaulle prolongan los Campos Eliseos. En los años noventa se construyó en<br />

este mismo eje el Gran Arco, en el barrio moderno de «La Défense», una especia de versión<br />

moderna del Arco de Triunfo, visible desde este último. Los franceses suelen apodarla la más<br />

hermosa avenida del mundo («la plus belle avenue du monde»).<br />

Su nombre, Campos Elíseos, viene de la mitología griega, que denominaba así a la morada de<br />

los muertos reservada a las almas virtuosas, el equivalente del paraíso cristiano.<br />

21


Vocabulario útil para el viaje<br />

(francés / español)<br />

Mots élémentaires / Palabras básicas<br />

EXPRESIONES DE TRATAMIENTO<br />

Sí<br />

No<br />

Gracias<br />

Muchas gracias<br />

De nada<br />

Por favor<br />

Discúlpeme<br />

Hola<br />

Adiós<br />

Hasta luego<br />

Buenos días<br />

Buenas tardes<br />

Buenas noches<br />

Buenas noches<br />

Encantado de conocerle.<br />

¿Cómo estás? ¿Qué pasa?<br />

Para pedir o preguntar<br />

Por favor, quisiera<br />

Perdón, disculpe<br />

Lo siento mucho<br />

Oui<br />

Non<br />

Merci<br />

Merci beaucoup<br />

De rien, je vous en prie<br />

S'il vous plaît<br />

Pardon, excusez-moi<br />

Bonjour<br />

Au revoir, Adieu<br />

À bientôt<br />

Bonjour<br />

Bon après-midi<br />

Bonsoir<br />

Bonne nuit<br />

Enchanté (de faire votre connaissance)<br />

Comment allez-vous? Ça va?<br />

Est-ce que je peux avoir… ?<br />

S’il vous plaît je voudrais…. ?<br />

Pardon, excusez-moi<br />

Je suis vraiment désolé(e)<br />

NECESITO COMUNICARME<br />

No entiendo<br />

¿Cómo se dice esto en francés?<br />

Habla usted ...<br />

inglés, francés, alemán, español<br />

¿Cómo se llama usted?<br />

¿Cuál es su nombre?<br />

¿Dónde está el baño?<br />

Je ne comprends pas<br />

Comment dit-on ca en français?<br />

Parlez-vous ...<br />

Anglais, Français, Allemand, Espagnol<br />

Comment vous appelez-vous?<br />

Quel est votre nom?<br />

Où sont les toilettes?<br />

23


La esposa<br />

El esposo, el marido<br />

La hija, el hijo<br />

La madre, el padre<br />

El amigo (m), la amiga (f)<br />

EN LA FAMILIA<br />

Une femme,<br />

Ùne épouse, le mari<br />

La fille, le fils<br />

La mère, maman ; le père, papa<br />

Un ami (m), une amie (f)<br />

Loisir<br />

El televisor<br />

La pantalla<br />

El mando a distancia<br />

El canal<br />

Enchufar, conectar<br />

¿Puedo poner la tele?<br />

No olvides apagar la tele<br />

Baja el sonido<br />

Zapear<br />

El telediario<br />

El periodista<br />

El periódico<br />

La revista<br />

La película<br />

La serie<br />

Dibujos animados<br />

El documental<br />

La radio<br />

Emisora de radio<br />

Grabar<br />

Reproductor de CD- DVD<br />

Los altavoces<br />

El casete<br />

La pletina<br />

el (la) cantante<br />

el ordenador<br />

El ratón<br />

Dirección electrónica<br />

Chats<br />

Un e-mail<br />

Sitio<br />

Vamos a dormir<br />

La cama<br />

La manta<br />

La toalla<br />

Loisir<br />

Le téléviseur<br />

L’écran<br />

La télécommande<br />

La chaîne<br />

Brancher<br />

Puis-je allumer la télé ?<br />

N’oublie pas d’éteindre la télé<br />

Baisse le son<br />

Zapper<br />

Le journal télévisé<br />

Le journaliste<br />

Journal<br />

Magazine (revue)<br />

Le film<br />

La série<br />

Le dessin animé<br />

Le documentaire<br />

La radio<br />

Une station de radio<br />

Enregistrer<br />

Le lecteur de CD- DVD<br />

Les enceintes<br />

Le magnétophone<br />

La platine<br />

Le(la) chanteur (se)<br />

L’ordinateur<br />

La souris<br />

Adresse électronique<br />

Chats<br />

Un mél<br />

Site<br />

Nous allons à dormir<br />

Le lit<br />

La couverture<br />

Serviette (de toilette )<br />

24


Acostarse<br />

Dormirse<br />

Tener sueño<br />

Estar agotado<br />

Estar hecho(a) polvo<br />

Estar cansado<br />

Es tarde<br />

Es temprano<br />

Corre las cortinas<br />

Cerrar las persianas<br />

Mañana por la mañana<br />

Apagar – encender la luz<br />

¿A qué hora tengo que poner el<br />

despertador?<br />

¿Puede usted despertarme a la siete y<br />

media?<br />

Se couche<br />

S’endormir<br />

Avoir sommeil<br />

Être épuisé(e)<br />

Être crevé (e)<br />

Être fatigué(e)<br />

Il est tard<br />

Il est tôt<br />

Tirer le rideaux<br />

Fermer les volets<br />

Demain matin<br />

Èteindre – allumer la lumière<br />

Á quelle heure dois-je mettre le réveil á<br />

sonner ?<br />

Pouvez-vous me réveiller à sept heures<br />

et demie?<br />

ESTOY ENFERMO/JE SUIS MALADE<br />

Estoy pachucho<br />

No me siento bien<br />

Me voy a desmayar<br />

Estoy fatal<br />

Me da vueltas la cabeza<br />

Tengo (un poco mucha) fiebre<br />

Me duele todo el cuerpo<br />

Me duele la cabeza<br />

Estoy mareado<br />

Tengo ganas de vomitar<br />

Tengo diarrea<br />

Me he hecho daño<br />

Me he herido<br />

¿Duele ? sí, mucho<br />

El dolor no es fuerte<br />

Me he cortado<br />

Estoy sangrando<br />

Está hinchado<br />

Me torcí el tobillo<br />

La ampolla<br />

Me he quemado la mano, el dedoMe<br />

ha picado una avispa<br />

Tengo catarro<br />

Me duele la garganta, la barriga<br />

Estoy constipado (a)<br />

Me duelen las muelas, los oidos<br />

Je suis patraque<br />

Je ne me sens pas bien<br />

Je vais m’évanouir<br />

Ça ne va pas du tout<br />

J’ai la tête qui tourne<br />

J’ai (un peu, beaucoup) de la fièvre<br />

J’ai mal partout<br />

J’ai mal à la tête<br />

J’ai mal au cœur<br />

J’ai envie de vomir<br />

J’ai la diarrhée<br />

Je me suis fait mal<br />

Je suis blessé (e)<br />

Ça fait mal ? Oui, beaucoup<br />

La douleur n’est pas forte<br />

Je me suis coupé<br />

Je saigne<br />

C’est enflé<br />

Je me suis foulé la cheville<br />

L’ampoule<br />

Je me suis brûlé la main, le doigt,<br />

J’ai été piqué par une guêpe<br />

J’ai un rhume<br />

J’ai mal á la gorge,le ventre<br />

Je suis enrhumé€<br />

J’ai mal aux dents, aux oreille<br />

25


Manger / comer<br />

VAMOS A COMER<br />

JE ME LÈVE ET JE PRENDS UN BON PETIT DEJEUNER…<br />

Los cubiertos<br />

La cuchara<br />

El cuchillo<br />

El tenedor<br />

Una taza<br />

La servilleta<br />

El vaso<br />

Les couverts<br />

La cuillère<br />

Le couteau<br />

Le fourchette<br />

Un bol<br />

La serviette<br />

Le verre<br />

PERO, ¿QUÉ DESAYUNO?<br />

El café<br />

El café con leche<br />

Un cortado<br />

Un sobre de azúcar<br />

El Colacao o Nesquick<br />

La mantequilla<br />

La mermelada<br />

Las galletas<br />

Los croissanes<br />

Bollos pequeños<br />

El zumo de naranja<br />

La tostada<br />

La rebanada de pan<br />

Le café<br />

Le café au lait<br />

Un café noisette<br />

Le sachet de sucre<br />

Chocolat en poudre<br />

Le beurre<br />

La confiture<br />

Les biscuits<br />

Les croissants<br />

Les brioches<br />

Le jus d’orange<br />

Le pain grillé -toast<br />

La tranche de pain<br />

LE REPAS – LE DÉJEUNER<br />

¡Que aproveche! / Bon appétit !<br />

El primer plato<br />

Patatas fritas<br />

Ensalada mixta<br />

Tomate<br />

La aceituna<br />

La cebolla<br />

Atún en aceite<br />

Huevo<br />

Aceite<br />

Vinagre<br />

Sal<br />

La pimienta<br />

El pimiento<br />

La mostaza<br />

L’entrée<br />

Frites<br />

La salade (composée)<br />

La tomate<br />

L’olive<br />

L’oignon<br />

Le thon (à l’huile)<br />

L’œuf<br />

L’huile<br />

Le vinaigre<br />

Le sel<br />

La poivre<br />

Le poivron<br />

La moutarde<br />

26


El queso<br />

El salchichón<br />

El jamón (serrano)<br />

La sopa<br />

Los fideos<br />

El ajo<br />

Las judías blancas - verdes<br />

Los garbanzos<br />

Las lentejas<br />

Los guisantes<br />

La col - la coliflor<br />

La berenjena<br />

Los calabacines<br />

La zanahoria<br />

Espinacas<br />

Habas<br />

Tortilla<br />

Pizza, pasta<br />

La comida<br />

La carne<br />

… de vaca<br />

de ternera<br />

de cerdo<br />

de cordero<br />

La chuleta<br />

El solomillo<br />

El bistec<br />

El filete empanado<br />

El lomo de cerdo<br />

Las albóndigas de carne<br />

El pollo (asado, a la plancha)<br />

La oca<br />

El conejo<br />

Filetes de ternera gruesos<br />

Los mariscos<br />

Las gambas<br />

Las cigalas<br />

Los mejillones<br />

El pescado<br />

La merluza<br />

El lenguado<br />

El bacalao<br />

Le fromage<br />

Le saucisson<br />

Le jambon (du pays)<br />

La soupe<br />

le vermicelle<br />

l’ail<br />

les haricots blancs – verts<br />

les pois chiches<br />

les lentilles<br />

les petit pois<br />

le choux<br />

l’aubergine<br />

les courgettes<br />

les carottes<br />

les épinards<br />

les fèves<br />

l’omelette<br />

Une pâte<br />

Le diner<br />

La viande<br />

…de bœuf<br />

… de veau<br />

… de porc<br />

… d’ agneau<br />

la côtelette<br />

Le filet<br />

Le beefsteack<br />

L’escalope (panée)<br />

Le filet mignon<br />

Les boulettes de viande<br />

Le poulet (rôti,grill )<br />

L’oie<br />

Le lapin<br />

Le tournedos<br />

Les fruits de mer<br />

Les crevettes<br />

Les langoustines<br />

Les moules<br />

Le poisson<br />

Le colin<br />

La sole<br />

La morue<br />

27


La sardina<br />

El atún<br />

El calamar (rebozado)<br />

La trucha<br />

El salmón<br />

El salmonete<br />

La caballa<br />

El rape<br />

Los boquerones<br />

Les desserts et les fruits<br />

Las frutas<br />

La naranja<br />

El limón<br />

El pomelo<br />

La clementina<br />

La manzana<br />

El plátano<br />

La pera<br />

El melocotón<br />

La fresa<br />

La ciruela<br />

El albaricoque<br />

El melón<br />

La piña<br />

El higo<br />

La sandía<br />

Las uvas<br />

Frutas en almíbar<br />

Macedonia de frutas<br />

Nata<br />

Helado ( de vainilla, de chocolate)<br />

Natillas<br />

Flan<br />

Tarta<br />

Arroz con leche<br />

Bombón helado<br />

La pepita<br />

La piel<br />

Yogurt natural, de fresa<br />

La sardine<br />

Le thon<br />

Les calamars (frits)<br />

La triute<br />

Le saumon<br />

Le rouget<br />

Le maquereau<br />

La lotte<br />

Les anchois<br />

Les desserts et les fruits<br />

Les fruits<br />

L’orange<br />

Le citron<br />

Le pamplemousse<br />

La clémentine<br />

La pomme<br />

La banane<br />

La poire<br />

La pêche<br />

La fraise<br />

La prune<br />

L’abricot<br />

le melon<br />

l`ananas<br />

le figue<br />

la pastèque<br />

le raisin<br />

fruits au sirop<br />

Salade de fruits<br />

Crème fraîche<br />

La glace (à la vainille, au chocolat)<br />

Crème anglaise<br />

Le flan<br />

Le gâteau, la tarte<br />

Le riz au lait<br />

L’esquimau<br />

Le pépin<br />

La peau<br />

Yaourt natural, à la fraise…<br />

ES QUE SOY...<br />

Vegetariana/ Végétarien<br />

28

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