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2011 - IREM de Rennes

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155 (systèmes linéaires) : Cette leçon repose, fondamentalement, sur la notion <strong>de</strong> rang qui doit doncêtre évoquée sans tar<strong>de</strong>r. On doit aussi mettre en valeur l’interprétation <strong>de</strong>s systèmes d’équationslinéaires en termes d’images réciproques par une application linéaire. La comparaison <strong>de</strong> différentesmétho<strong>de</strong>s <strong>de</strong> résolution (y compris les métho<strong>de</strong>s du pivot) est également attendue.157 (arithmétique entière) : Ce sujet est a priori très large et doit être abordé dans un souci d’efficacitéplus que d’exhaustivité, c’est pourquoi l’usage <strong>de</strong>s idéaux <strong>de</strong>vrait être privilégié.158 (actions <strong>de</strong> groupes) : Quelques exemples sont ici indispensables pour donner à ces notions unpeu <strong>de</strong> consistance : théorie <strong>de</strong>s groupes, géométrie, combinatoire, algèbre linéaire. . .159 (algorithme d’Eucli<strong>de</strong>) : Cette leçon n’a pas été un grand succès. Il convient <strong>de</strong> passer assezrapi<strong>de</strong>ment sur la définition du PGCD (comme générateur <strong>de</strong> l’idéal engendré) et d’abor<strong>de</strong>r avecprécision la structure algorithmique proprement dite, avec les questions que cela soulève (nombremaximal d’étapes <strong>de</strong> l’algorithme, applications non triviales).202 (séries positives) : On suggère que les espaces probabilisés dénombrables fournissent <strong>de</strong> nombreuxproblèmes conduisant à <strong>de</strong>s séries à termes positifs.203 (séries) : Des exemples significatifs sont attendus pour concrétiser les définitions et propriétés ;on peut ainsi s’intéresser à l’espérance mathématique d’une variable aléatoire discrète, ou encore auréarrangement <strong>de</strong>s termes d’une série semi-convergente.204 (e.v.n. <strong>de</strong> dimension finie) : La limitation à la dimension finie a sa raison d’être (théorème <strong>de</strong>Riesz), il ne convient pas du tout d’abor<strong>de</strong>r les espaces normés <strong>de</strong> dimension quelconque. En revanche,une interrogation sur les normes issues d’un produit scalaire a toute sa place ici.205 (projection orthogonale) : Certains candidats ont cru qu’il s’agissait d’une leçon centrée sur lanotion d’espace préhilbertien avec un long catalogue <strong>de</strong> définitions sans grand intérêt. Il s’agissait,en fait, <strong>de</strong> mettre en valeur la notion <strong>de</strong> projection orthogonale et <strong>de</strong>s applications qui en résultent(séries <strong>de</strong> Fourier, polynômes orthogonaux, etc.).206 (compacité) : Certains candidats ont cru bon <strong>de</strong> se placer dans <strong>de</strong>s espaces vectoriels normés<strong>de</strong> dimension quelconque, ce qui n’apportait pas grand chose tout en soulevant quelques difficultés,notamment au plan <strong>de</strong>s exemples.208 (points fixes) : La métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> Newton est un exemple intéressant d’application <strong>de</strong>s métho<strong>de</strong>s<strong>de</strong> point fixe, mais il faut penser à donner <strong>de</strong>s conditions suffisantes d’existence du point cherché.210 (séries entières) : Un candidat bien inspiré a pensé à proposer plusieurs exemples <strong>de</strong> séries entièresissues <strong>de</strong>s équations différentielles.212 (séries <strong>de</strong> Fourier) : Le développement ne peut se limiter à la recherche <strong>de</strong>s coefficients <strong>de</strong> Fourierd’une fonction plus ou moins simple et à l’application subséquente du théorème <strong>de</strong> Dirichlet. Parextension, on peut admettre <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> séries trigonométriques mais il faut alors se <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r sice sont <strong>de</strong>s séries <strong>de</strong> Fourier (ou non) et <strong>de</strong> quelle fonction.215 (comparaison série-intégrale) : Le jury a apprécié une très bonne prestation basée sur diversesapplications (séries <strong>de</strong> Bertrand, constante d’Euler, formule <strong>de</strong> Stirling, fonction Zeta. . .217 (fonctions convexes) : Les prestations sur ce sujet ont été assez décevantes, avec peu d’exemplessignificatifs et <strong>de</strong>s développements assez pauvres.218 (formules <strong>de</strong> Taylor) : Peut-être à la suite <strong>de</strong> mentions répétées dans les rapports <strong>de</strong>s sessionsantérieures, les candidats font maintenant correctement la différence entre les formules locales et lesformules globales.220 (calcul approché d’intégrales) : Les métho<strong>de</strong>s probabilistes sont à envisager dès qu’il s’agit d’intégralesmultiples.222 (intégrale d’une fonction continue par morceaux) : Cette leçon peut amener une réflexion sur lelien entre intégrales et primitives.224 (équations différentielles linéaires) : Le développement ne peut se limiter à la résolution effectived’une équation scalaire à coefficients constants ; <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s qualitatives <strong>de</strong> solutions, même simples,– 27 –

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