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INTERVIEWSpar Maurice Guillaud, Tunnels et Ouvrages SouterrainsRené Waldmann● Maurice Guillaud : Dans l’éditorialdu n° 100 (Juil<strong>le</strong>t-Août 1990) deTunnels & Ouvrages Souterrains, alorsque vous étiez président de l’<strong>AFTES</strong>,vous formuliez <strong>le</strong> vœu que - lorsqueserait publié <strong>le</strong> n° 200 - notre revue aitmontré une ouverture plus large vers<strong>le</strong>s pays francophones autres que laBelgique. Vous pensiez certainementalors principa<strong>le</strong>ment à la Suisse oùdeux tunnels ferroviaires sont actuel<strong>le</strong>menten construction (Saint Gothard,“Ingénieur Généraldes Ponts et Chaussées (e.r.)Président d’honneurde l’<strong>AFTES</strong>vre dans cette voie, et même de l’amplifiersi possib<strong>le</strong>. Quant à la diffusionde la revue, je ne connais pas la situationactuel<strong>le</strong>, mais je pense que <strong>le</strong>scontacts existent déjà et que la réciproquenous permet de connaître <strong>le</strong>spublications européennes. Evidemment,la question des langues compliquela tâche, même si <strong>le</strong>s résumésen anglais, espagnol et al<strong>le</strong>mand permettentde comprendre l’essentiel.● MG. : Vous avez noté que, officiel<strong>le</strong>mentdepuis 2006, l’<strong>AFTES</strong> est devenuel’Association Française desTunnels et de l’Espace Souterrain,suite à l’accueil en son sein del’Association " Espace Souterrain ",créée par <strong>le</strong> Préfet Maurice Doub<strong>le</strong>t etanimée par Pierre Duffaut. Cet élargissementdu champ d’activités de notreIl faut filtrer et ne retenir que ce quireprésente vraiment une novation“57 km, record mondial devant <strong>le</strong>Seikan et Lötschberg, 34,5 km) et avec<strong>le</strong>quel l’<strong>AFTES</strong> a maintenant deséchanges réguliers au point que <strong>le</strong> GIS(équiva<strong>le</strong>nt suisse de l’<strong>AFTES</strong>) a étéco-organisateur de notre dernierCongrès triennal de Chambéry en2005. Aujourd’hui, alors qu’il y a plutôtmoins de travaux de tunnel dansl’hexagone, diriez-vous que notrerevue devrait s’ouvrir davantage versnos voisins italiens, al<strong>le</strong>mands, espagnols(ce que nous avons déjà fait timidement)soit en publiant des reportagessur <strong>le</strong>s travaux réalisés dans cespays, soit en distribuant plus largementT&OS dans ces pays ?● René Waldman : Il me semb<strong>le</strong> quenotre revue a toujours été bien <strong>document</strong>éeen matière de tunnels enEurope, notamment en Italie et enEspagne et qu’il convient de poursuiassociationvers l’étude d’unemeil<strong>le</strong>ure utilisation de l’espace souterrain– principa<strong>le</strong>ment en site urbain– doit-il – selon vous – se traduire parun changement radical ou plutôt progressifdu contenu de notre revue ?● RW. : L’intégration de l’association" Espace souterrain " au sein de l’<strong>AFTES</strong>doit, à mon avis, se traduire par unchangement progressif, mais non radicalde la teneur de notre revue. Jegarde <strong>le</strong> souvenir de petits désaccordssurvenus lorsque j’étais président, carl’<strong>AFTES</strong> était résolument orientée surla technique et l’économie, tandis quel’association présidée par Utudjian,puis par Pierre Duffaut, était plus axéesur un mode aménagement, architectureet urbanisme, avec de plus unevolonté affirmée de " lobbying " enfaveur de l’urbanisme souterrain. Celadéplaisait un peu à certains…● MG. : En 2006, l’<strong>AFTES</strong> a créé laDélégation Matériels et Equipements,afin de faire participer à ses activités<strong>le</strong>s constructeurs qui, avec la sophisticationde plus en plus poussée desmatériels, jouent un rô<strong>le</strong> majeur dans<strong>le</strong> creusement des ouvrages souterrains.Selon vous, quel<strong>le</strong> part notrerevue devrait-el<strong>le</strong> consacrer à cetteactivité ?● RW. : Il est certain que <strong>le</strong>s perfectionnementsapportés depuis unevingtaine d’années aux matériels intervenantdans <strong>le</strong>s travaux en souterrainont rendu possib<strong>le</strong> la constructiond’ouvrages considérés il n’y a pas tel<strong>le</strong>mentlongtemps comme irréalisab<strong>le</strong>sà un coût acceptab<strong>le</strong>. J’appréciebeaucoup <strong>le</strong>s fiches techniquesconcernant <strong>le</strong>s ouvrages : il me semb<strong>le</strong>que <strong>le</strong>s fiches concernant <strong>le</strong>s matérielsexistent aussi et qu’il convient dedévelopper l’information sous cetteforme, la plus concise possib<strong>le</strong>, avecdes éléments précis en matière deperformances, de domaine d’utilisationet de coût.● MG. : A l’Académie des Sciences,Bel<strong>le</strong>s Lettres et Arts de Lyon, dontvous êtes membre, vous avez récemmentprésenté une " Histoire des tunnels" que nous avons d’ail<strong>le</strong>urspubliée dans notre revue. Les tunnels -en particulier ceux du Métro de Lyonlorsque vous présidiez la SEMALY- ontoccupé une place importante dansvotre vie professionnel<strong>le</strong> et vous enavez certainement visité un grandnombre à l’étranger. Pensez-vous queTunnels & Ouvrages Souterrainsdevrait – comme <strong>le</strong> font d’autresrevues, en particulier anglo-saxonnes– présenter plus de reportages sur destravaux de tunnels à l’international ?T&OS pourrait-il même al<strong>le</strong>r jusqu’àpublier des textes en anglais ?● RW. : Ce que je disais précédemmenten matière d’information dansnotre revue sur <strong>le</strong>s travaux en Europevaut aussi pour l’international au sens<strong>le</strong> plus large du terme. Mais il faut filt-60TUNNELS ET OUVRAGES SOUTERRAINS - N° 200 - MARS/AVRIL 2007


INTERVIEWSrer et ne retenir que ce qui représentevraiment une novation dans tel ou teldomaine, technique ou urbanistique.Quant à la publication d’artic<strong>le</strong>s enanglais, je n’y vois aucun inconvénientcar cela devient de plus en plus fréquentdans <strong>le</strong>s domaines de la rechercheet des entreprises internationa<strong>le</strong>s,et tant pis s’il y a encore beaucoup desusceptibilités chez <strong>le</strong>s défenseurs denotre langue. L’idéal serait, à côté dutexte anglais, un résumé en français,comme c’est l’usage pour la réciproque.● MG. : La sécurité dans <strong>le</strong>s tunnelsest aujourd’hui devenue une préoccupationmajeure : en particulier, el<strong>le</strong>entraîne des travaux importants dans<strong>le</strong>s tunnels existants. Ce thème nemériterait-il pas –selon vous – unerubrique récurrente ? De manièregénéra<strong>le</strong>, l’exploitation des tunnels etdes ouvrages souterrains ne doit-el<strong>le</strong>pas faire l’objet d’une communicationaccrue comparativement à la descriptiondes travaux proprement dits ?● RW. : Une rubrique régulièreconcernant la sécurité dans <strong>le</strong>s tunnels(et <strong>le</strong>s ouvrages souterrains) me paraîttrès uti<strong>le</strong>, sinon indispensab<strong>le</strong>. Ilconviendrait de bien séparer <strong>le</strong>s sousrubriques" ouvrages existants à mettreaux normes " et " travaux neufs ".Quant à l’exploitation des ouvrages, jecraindrais un peu, personnel<strong>le</strong>ment,que l’on ne s’égare un peu trop…Ce qui me préoccupe en la matière,c’est l’application aux travaux de cesinnovations de langage que sont <strong>le</strong>s" principes de précaution " et de" développement durab<strong>le</strong> ". Voilà dequoi remplir des pages de courrier des<strong>le</strong>cteurs !Jean Péra● Maurice Guillaud : Dans une interviewpubliée dans <strong>le</strong> n° 100 (juil<strong>le</strong>taoût1990) de Tunnels & OuvragesSouterrains, vous parliez d’un " handicap" de la revue : celui de ne pascomporter d’artic<strong>le</strong>s en anglais et depar<strong>le</strong>r trop peu des grands chantiersd’ouvrages souterrains à l’étranger.Seize ans plus tard, alors que nouspublions <strong>le</strong> numéro 200, avez-vous lamême critique à formu<strong>le</strong>r? Souhaitezvoustoujours que T&OS – qui estavant tout l’organe de liaison del’<strong>AFTES</strong>, association française - s’ouvreplus à l’international ?“sité de sujets dans l’esprit des recommandationsde la conférence sur <strong>le</strong>stunnels organisée par l’OCDE àWashington en 1960. La revue de lasociété italienne des tunnels (SIG) traduitsystématiquement en anglais tousses artic<strong>le</strong>s. Nous, français, avons lapossibilité de publier en anglais dansTunnelling and Underground SpaceTechnology (TUST), mais nous n’ysommes pas souvent présents.Traduire systématiquement nos artic<strong>le</strong>ssuppose des moyens importants,à moins que <strong>le</strong>s auteurs ne <strong>le</strong> fassentPour vivre, notre revue doit continuerà offrir à ses <strong>le</strong>cteursune grande diversité de sujets● Jean Péra : Lecteur assidu de plusieursrevues, dont la nôtre, je constateque notre domaine n’est traité que pardes publications très techniques.Autre problème, pour être cité à l’étranger,il est nécessaire d’avoir publiéen anglais. Notre association a fait uneffort méritoire en traduisant sesrecommandations. Mais pour convaincre,il convient de donner des résultatsexpérimentaux et des réalisations.Pour vivre, notre revue doit continuer àoffrir à ses <strong>le</strong>cteurs une grande diver-“eux-mêmes spontanément. Nousapprécions tous que la revue T&OSanime notre association, mais nousavons aussi <strong>le</strong> devoir de faire connaîtreà l’extérieur nos méthodes et notrepoint de vue. Pour ce faire, <strong>le</strong>s étudeset <strong>le</strong>s réalisations à l’étranger de nosentreprises sont un bon moyen deconvaincre.● MG. : Aujourd’hui, la revue T&OSdéborde du seul cadre des travaux detunnels et traite de nouveaux sujetsd’actualité tels que : l’utilisation dePrésident d’honneur de l’<strong>AFTES</strong>Ingénieur généraldes Ponts et Chaussées honorairel’espace souterrain en site urbain, lasécurité dans <strong>le</strong>s ouvrages souterrains(notamment vis-à-vis des incendies),<strong>le</strong>s matériels et équipements utiliséspour la construction des tunnels, etc.Nous pensons éga<strong>le</strong>ment aborderprochainement certains sujetscontractuels (code de bonnes pratiquespour la gestion des risquesdans <strong>le</strong>s travaux de tunnels, contratsde partenariat public-privé, etc.) quis’ajoutent aux sujets de même natureétudiés depuis longtemps au sein deGroupes de Travail de l’<strong>AFTES</strong>(Partage contractuel des risques,Maîtrise des coûts et contractualisation,etc.).Quel est votre avis sur cet élargissementdu champ rédactionnel de notrerevue, qui correspond en fait à l’élargissementdes activités de l’association ?● JP. : Bravo! Les activités de nos professionsn’étant pas seu<strong>le</strong>ment techniques,tous <strong>le</strong>s aspects environnementaux,sociétaux ou juridiques sontà considérer. Trouvons des rédacteurset des partenaires dans ce sens.TUNNELS ET OUVRAGES SOUTERRAINS - N° 200 - MARS/AVRIL 200761


INTERVIEWS● MG. : Entre l’austérité d’une revuequi ne serait que tournée vers la techniquepure et la publication de recommandationsdes Groupes de travail etla tendance " actualité " (voire " peop<strong>le</strong>" !) consistant à par<strong>le</strong>r surtout deschantiers, des hommes, des manifestations(visites, conférences, fêtes,etc.), quel est <strong>le</strong> juste milieu qui vousparaît souhaitab<strong>le</strong> ?● JP. : Notre revue T&OS n’a pas lapossibilité de servir de référence pour<strong>le</strong>s universitaires. Donc soyons <strong>le</strong>s plusproches de l’actualité.● MG. : Internet est évidemmentdevenu un moyen de communicationpuissant ; l’<strong>AFTES</strong> a depuis plusieursannées un site qui attire de nombreux" visiteurs " et ce site vient d’être amélioréavec une présentation plus attractive,un cheminement plus simp<strong>le</strong> àtravers <strong>le</strong>s différentes rubriques, unecapacité de stockage accrue, etc. Onpeut y retrouver (et imprimer) <strong>le</strong>srecommandations des groupes de travail,<strong>le</strong>s résumés des artic<strong>le</strong>s techniques,etc.Selon vous, cette communication"numérique", de plus en plus utiliséede nos jours, va-t-el<strong>le</strong> tuer la communication"papier" ? ou bien ces deuxformes d’expression vous paraissentel<strong>le</strong>scomplémentaires et toutes deuxnécessaires ?● JP. : Il est improbab<strong>le</strong> que <strong>le</strong>s supportsnumériques actuels resteront lisib<strong>le</strong>splus d’une génération. Les matérielsde traitement de ces données sepériment rapidement faute de suivipar <strong>le</strong> commerce.Par conséquent <strong>le</strong> support papier resteracomplémentaire des moyens quiviennent d’être cités. Je regrette que<strong>le</strong>s média destinés au grand public restentmuets sur <strong>le</strong> domaine des ouvragessouterrains et sur ses professions.Jean-Pierre PronostIngénieur Généraldes Ponts et ChausséesPrésident d’honneur de l’<strong>AFTES</strong>200 parutions, c’est plus que l’âge deraison pour notre revue qui porte lavoix de l’<strong>AFTES</strong> depuis sa création.Bien sûr, <strong>le</strong>s activités de l’associationne sont pas concentrées sur la seu<strong>le</strong>revue TOS, mais cel<strong>le</strong>-ci est restée <strong>le</strong>support de communication principalavec l’ensemb<strong>le</strong> des adhérents et partenaires.A l’époque où la communicationé<strong>le</strong>ctronique se généralise, l’équilibreentre la revue et <strong>le</strong> site internet del’<strong>AFTES</strong> a, je <strong>le</strong> crois, été préservé,chaque vecteur de communicationayant trouvé sa place.Une des décisions <strong>le</strong>s plus importantesdes années passées a été, à monavis, de développer <strong>le</strong> bilinguisme dela revue, indispensab<strong>le</strong> à son rayonnementinternational. Il faut sans doutepersévérer et accroître cette politique,ce qui ne doit pas conduire à abandonnerla langue française, mais àmultiplier <strong>le</strong>s traductions en anglaisdes artic<strong>le</strong>s ou de <strong>le</strong>ur résumé.La publication des Recommandations,fruit du travail des différents groupesdu Comité Technique, f<strong>le</strong>uron reconnude la production de l’<strong>AFTES</strong>, constitueaujourd’hui un des attraits importantsde la revue TOS aux côtés des autresartic<strong>le</strong>s d’information.L’intégration récente de l’AssociationEspace Souterrain au sein de l’<strong>AFTES</strong>“De même, la création de la DélégationMatériels et Equipements au sein del’Association doit permettre de faireune meil<strong>le</strong>ure place à des artic<strong>le</strong>sconsacrés aux innovations et à l’évolutiondes matériels, vues tant par <strong>le</strong>sconstructeurs que par <strong>le</strong>s utilisateurs.L’avenir de Tunnels et OuvragesSouterrains me semb<strong>le</strong> donc tout tracépour demeurer, en parallè<strong>le</strong> à notresite internet, <strong>le</strong> meil<strong>le</strong>ur support decommunication de l’association. Saqualité et son ouverture justifient sansDévelopper <strong>le</strong> bilinguisme de la revue,indispensab<strong>le</strong> à sonrayonnement internationaldoit aussi être une forte opportunitépour élargir <strong>le</strong> champ des artic<strong>le</strong>s enouvrant la revue aux thèmes relatifs à lavalorisation du domaine souterrain,chers au nouveau Comité EspaceSouterrain de l’<strong>AFTES</strong>.“aucun doute que l’<strong>AFTES</strong> lui consacreun budget important, équiva<strong>le</strong>ntaujourd’hui aux cotisations annuel<strong>le</strong>sde ses adhérents.Bon vent donc à la troisième centainede TOS…62TUNNELS ET OUVRAGES SOUTERRAINS - N° 200 - MARS/AVRIL 2007


INTERVIEWSWilly De Lathauwer● Maurice Guillaud : Quel<strong>le</strong>s sont <strong>le</strong>scirconstances qui ont amené l’ABTUSà se rapprocher de l’<strong>AFTES</strong>, puis dansla foulée, à publier des artic<strong>le</strong>s dansnotre revue "Tunnels et OuvragesSouterrains" ?● Willy de Lathauwer : La premièrecollaboration officiel<strong>le</strong> de l’ABTUS(Association Belge des Techniques etde l’Urbanisme souterrains) date del’époque de la préparation del’Assemblée généra<strong>le</strong> de 1980 del’AITES à Bruxel<strong>le</strong>s, jumelée à unCongrès international (qui s’appel<strong>le</strong>raitactuel<strong>le</strong>ment "Congrès mondialdes Tunnels – World Tunnel“Les relations entre l’ABTUS et la revueTunnels et Ouvrages Souterrainsdatent de 1980Congress") sur la "Sécurité desOuvrages souterrains".L’éditeur de la revue de l’époque avaiten effet proposé au Comité deRédaction, qui avait accepté, deconsacrer <strong>le</strong> numéro 37 (janvier-février1980) à la Belgique, et <strong>le</strong> Conseild’Administration de l’Associationbelge des Techniques et del’Urbanisme souterrains s’était engagéà fournir <strong>le</strong> nombre voulu de pages enartic<strong>le</strong>s, et des annonces publicitairessuffisantes pour financer l’opération.Ce premier numéro " Spécial Belgique "a dès lors comporté 10 artic<strong>le</strong>s, ayanttous pour début de titre " Les travauxen souterrain vus par … ", la fin du titre“ration, ont conduit <strong>le</strong> Conseil, sousl’impulsion de son Président VictorROISIN, à proposer à l’<strong>AFTES</strong> quel’ABTUS s’associe plus étroitement àla revue " Tunnels et OuvragesSouterrains " qui est de la sorte devenuede facto éga<strong>le</strong>ment la revue del’Association belge.Le Comité de Rédaction de la revues’est alors ouvert à un délégué del’ABTUS, et <strong>le</strong> secrétaire général del’Association Willy DE LATHAUWER aassuré cette fonction de liaison de1980 à 2000.La collaboration s’est poursuivie entre1980 et 1985 par quelques autresSecrétaire Généralde l’ABTUSétant remplie successivement par <strong>le</strong>sdifférents intervenants, ingénieurs d’étude,entrepreneurs, constructeurs,architectes etc. Du côté annoncespublicitaires, une dizaine de firmesbelges avaient répondu, ce qui avaitlargement satisfait <strong>le</strong>s attentes, desorte que toutes <strong>le</strong>s parties intéresséesen ont bénéficié et se sont félicitéesde l’opération.En 1980, <strong>le</strong> Conseil d’Administrationde l’ABTUS a commencé à réfléchir auprincipe d’une publication à l’usagede ses membres ; la diffusion limitéequi pouvait être attendue, et la p<strong>le</strong>inesatisfaction de cette première collabonuméros" Spécial Belgique ", essentiel<strong>le</strong>mentpour permettre la publicationdes textes des présentations faitesà l’occasion des journées d’Etudeannuel<strong>le</strong>s de l’ABTUS.● MG. : A quoi attribuez-vous <strong>le</strong> faitque depuis plusieurs années, il n’y aitplus de numéro "spécial Belgique" dela revue TOS ?● WDL. : Dès 1986, d’autres artic<strong>le</strong>sd’origine belge ont été proposés auComité de Rédaction, examinés parcelui-ci selon <strong>le</strong>s mêmes critères que<strong>le</strong>s autres propositions, et ont régulièrementparu dans la revue. Il en estensuite progressivement allé demême des textes issus des Journéesd’Etude, rendant superflus des numéros" Spécial Belgique " tels que préparésantérieurement.Depuis septembre 2000, <strong>le</strong> déléguéau sein du Comité de Rédaction estDidier DE BRUYN, Administrateur del’ABTUS. L’assiduité des deux déléguéssuccessifs aux réunions duComité, une des plus hautes depuisl’origine, montre en suffisance l’intérêtque l’ABTUS porte à la revue " Tunnelset Ouvrages Souterrains " de l’<strong>AFTES</strong>.Félicitations à l’équipe de la rédactionde "notre" revue.TUNNELS ET OUVRAGES SOUTERRAINS - N° 200 - MARS/AVRIL 200763

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