Novembre 2004 - Bureau virtuel de la CSSMI

Le journal étudiant de l’option journalisme de la polyvalente Deux-MontagnesCaisse d’économieDeux-MontagnesUne force en éducationVOL .13 no. 1 Le journal de la vie étudiante à la PDM Le 8 novembre 2004La PDM encore menacée parAntoine Carrierl’idée du 1 à 5!Le conseil d’élèves lance un appelSauvons notre école!En cette année où l’avenir de notre polyvalente pourrait basculer, un nouveauconseil d’élèves a vu le jour. (À lire p.14) C’est en sachant l’importance des enjeuxque les élèves se sont donné un conseil des ministres dynamique avec comme président M.Antoine Carrier. Encore une fois, la PDM est menacée dans sa vocation. Heureux d’êtreenfin dans une école où l’atmosphère et la structure permettent aux élèves de bâtir leurrêve d’avenir, M. Antoine Carrier prend bien à cœur le mandat de bien représenter les élèvesde la PDM. Déjà, avec le cadre d’organisation scolaire, où les menaces de réorganisationplanent sur nos têtes, il travaille à faire valoir le gros bon sens. La PDM doit resterune école de deuxième cycle! À lire à la page 3.25¢Indignation à la PDMDeux incidents qui nous troublentDepuis le début de l’année, deuxincidents nous ont franchement “fait chier”au journal L’Intrus.Mentionnons le fait qu’un élève immatures’est mis à voler les dépliants pour lacollecte de sang du PEI de la PDM et les aniaiseusement éparpillés sur le terrain de laPDM… Cette publicité était destinée auxstationnements de la gare.Lorsqu’on parle de cueillette de sang,on parle de la vie. Nous espérons que cettepersonne n’aura pas besoin de sang bientôtet qu’elle réalise la portée de son geste.Bague des finissantsUn autre incident nous porte à réfléchir. Lecomité de la bague des finissants est en colèreet ce, après le constat qu'un élève, à quion a fait confiance, est parti avec DEUXbagues privant ainsi toute la PDM de deuxmodèles que l'ensemble de l'école devrapayer. C'est vraiment plate de voirque des élèves se foutent du travail des autres.Les membres du comité investissentbeaucoup de temps et donnent leurconfiance. Et c'est comme cela que certainsindividus les remercient? Franchement, àL'Intrus, on trouve qu'il y a des élèves quin'ont pas de classe. On ose espérer que lesindividus comprendront le message et rendrontles bagues. Tiens, mettez-les doncdans une enveloppe. Pour qu'on les retrouve...Toute l’équipe de rédactionSOMMAIREParoles aux élèves p.2Halloween p.4Les 10 ans d’Hélène Robert p.5Simulation d’accident p.7L’Intrus à Radio-Canada p.10Activité théâtre p.15

La PDM encore menacée par l’idée des écoles de 1 à 5Rachel Nadon& Marie-Eve Chaput-PilonControversé,discuté, flou, le dossierdes écoles de 1 à5 versus les écoles de cycle fait beaucoupjaser. L’Intrus, qui cherche toujours à vousrefléter la réalité des jeunes, a fait pourvous le tour de la question.Origine du problèmeSelon nos sources d’information, lacommission scolaire a proposé, dans lecadre de son organisation scolaire, unchangement de vocation des écoles secondairesdu secteur ouest. On proposeencore que les écoles deviennent de1 à 5 plutôt que de demeurer desécoles de cycles.Pour les élèves de la PDM, leproblème apparaît très rapidementcomme étant catastrophique. Il y a àla PDM une tradition, une atmosphèrequi fait que les élèves ont legoût de se dépasser parce qu'onnous considère comme des individusmatures. L'Intrus a cherché l'originevéritable de ce problème et les raisonsqui motivent la CSSMI à unetelle remise en question.Problèmes à ESPC’est l’École Secondaire desPatriotes qui demeure le centre du problème.Les problèmes de discipline, déjàbien présents -on s’en souvient - semblentdésormais désespérés. Les directeurs desécoles de premier cycle, dans une ultimetentative pour sauver le climat de leurécole, font des pressions auprès des commissairespour que soit réévaluée la questiondes écoles de cycles. Les maquettes,qui sortiront en décembre, présenteraientnotre école offrant de la première à la cinquièmesecondaire avec ou sans P.E.I. Deplus, l’École Secondaire d’Oka manifestele désir de garder ce programme, toutcomme la PDM.Pour ou contre?1 à 5 à la PDM… Une amélioration???Plusieurs en doutent. Cela se feraitau détriment de notre école. Les craintes semultiplient à mesure que le temps file. “Onse demande le bien-fondé de la chose!”déclare Marie Ève Sauriol, finissante etancienne élève de l’ESP. Son commentairerésume assez bien l’opinion publique. Lesoptions, qu’on s’attendait à voir diminuerde 50%, le seraient de 80 à 85%, commenous l’a confirmé M. Christian Giraldeau,directeur adjoint du cinquième secondaire.Cependant, comme le dit M.Alain Laplante, professeur, il y a toujoursdeux côtés à une médaille. Selon lui, lespoints avancés par ceux qui voient ce changementcomme étant une solution, ne pèsentpas beaucoup dans la balance. Notammentsont cités le sentiment d’appartenanceà l'école, le suivi dans les équipes sportivesainsi qu'une meilleure implication dansl'école. Il est toutefois contre cette idée:"C'est sûr, c’est clair, c’est un gaspillaged’argent”.Une décision importanteUn document est présentement enLes options pour les élèves c’est la vie de l’école!consultation du 29 septembre au 15 décembre.Rien n’est encore sûr. On ne sait pasqui va défrayer les coûts, ni si les élèvesvont retourner dans leurs écoles respectives.Une audience publique sera tenue le15 décembre 2004 au Centre Culturel etCommunautaire de Sainte-Thérèse à 19heures. Toutes les opinions seront entendueset la décision sera prise le 25 janvierprochain.CoûtsTout le monde le sait, les écoles desecondaire 1 à 3 ne sont pas organiséespour recevoir une clientèle de deuxièmecycle. Entre autres, il faudrait débourserune somme élevée pour pouvoir aménagerdes locaux de sciences dans ces écoles.Tout cet argent ne va pas à l'élève pendantce temps.En 1992, la PDM a dû investir prèsde 800 000$ pour équiper le bloc sciencesd’un laboratoire pouvant accueillir du cinquièmesecondaire. Chose certaine, si ladécision des commissaires est positive, leschangements devraient être en vigueur dèsl’année prochaine, est-ce que les laboratoireset les règlements seraient adaptés pourune population plus jeune ou dans l’autrecas, plus vieille?.École de 1 à 5Les écoles regroupant du secondaire1 à 5 n’ont pas la cote. Mme Charbonneau,animatrice à la vie étudiante, déclare que:"Pour les élèves, ce n’est pas bon. Avoir du1 à 5 à 2000 élèves, ça va être l’enfer”. LaPDM est, depuis 37 ans, une école dedeuxième cycle et cela avec toute l'expertisequ’elle s’est développée. On ignore lamanière dont va s’effectuer la transformation.Plusieurs points demeurent encoreobscurs, c’est évident.Cas précédentIl y a deux ans, le sujet était pour lapremière fois mis sur la table à la CSSMI.Grâce aux représentants des élèves, auxparents et à la direction qui avaient montéun solide dossier et amené de bons arguments,notre chère école fut sauvée. C’estla preuve qu’en mettant nos énergies à labonne place, tout est possible. Le présidentdu conseil des élèves, Antoine Carrier,a pour sa part clairement assuré saposition dans la lutte contre ce chambardementqui modifierait le climat et la viescolaire. Un comité spécial a été formé levendredi 22 octobre dernier. Ce regroupementd’élèves qui veulent conserver ledeuxième cycle du secondaire à la PDM sebattra pour faire bouger les choses.Écoles spécialiséesLes problèmes d’ESP demeurentcependant réels et il faut absolument trouverune solution. Les écoles à vocationssont envisagées comme remède. À chaqueécole serait attribuée une “spécialité”. Parexemple, si quelqu’un veut une option dansles arts, un seul établissement l’offrirait. Sion désire faire partie d’une équipe sportive,il faudrait s’orienter vers une autre école.Le transport deviendra-t-il un casse-tête.Encore là, rien n'est sûr. Le nouveau"cadre d'organisation scolaire" est-il vraimentapproprié pour régler les conflitsd'ESP? Les projets et les activités pour lesétudiants ne devraient-ils pas augmenter aulieu de diminuer? L'argent ne devrait-il pasjustement être investi dans ceux-ci? Plusieursquestions restent sans réponses.Malgré tout, notre avis est importantnous assure Mme Charbonneau. Il est impératifque nous soyons entendus afin quece qui sera modifié convienne aux besoinsdes jeunes.Notre président d’école fera passerun sondage pour savoir ce qu’on pense ducadre d’organisation scolaire. Participez etparlez-en à vos parents! C’est l’ensemblede notre école qui est en jeu.page 3

L’ HalloweenLe 29 octobre dernier,citrouilles, sorcières et bonbons ontenvahi la Polyvalente Deux-Montagnes.C’était la traditionnelle journée de l’Halloween.Grâce au comité social, ce jour defestivités n’est pas passé inaperçu! Parmi lesquelques activités organisées, nous allonsvous faire part du déroulement du concoursde costumes. Ce dernier a été un franc succès!Selon les élèves, les participantsétaient beaucoup plus nombreux cette annéeque l’année dernière.Les vainqueurs ne sont évidemmentpas repartis les mains vides! De nombreuxest plus sévère que jamais.Contestée, certes, mais aussirisible de par son côté excessif, nous avonsappris que la «gestion serrée des retards etdes absences s’imposait et était là pour rester.»C’est ce que la direction stipule dansson document intitulé “Politique sur la gestiondes absences 2004-2005” Une mesureque les élèves peuvent comprendre jusqu’àun certain point. En juin, les classes étaientvides.Jean Bellavance, enseignant, croitqu’il est simplement question de respectpour le cours que le prof donne.Cela dit, pour une deuxième intervention,il est question de suspension. Personnene comprend l’intention: suspendreaprès deux offenses alors que le but estd’augmenter la présence en classe? “C’estbon qu’ils resserrent, mais ils exagèrent!nous ont indiqué des élèves qui ont dû seprésenter le samedi pour reprendre leurcours séché.Bref, la direction a publié le résultatde la mesure qui indique qu’il y a 20%moins d’absence au mois d’octobre qu’àpareille date l’an passé.L’école étant obligatoire jusqu’àseize ans, la direction pense qu’avec sa mesure,elle encourage la réussite scolaire.L’intrus suit pour vous la controverse, lasuite à la prochaine parution!Page4Karina Dumoulin,Catherine Deslauriers,Maude LemayPolitique d’absence qui ne fait pas le bonheur!!Marie-Ève Sauriolprix en argent ont été remis aux gagnants.Catherine Fyfe et sespartenaires.En effet, CatherineFyfe et sa troupede Kiss ont remportéle premier prix. Cellequi a réussi à se démarqueravec son originalcostume d’autruchea hérité de ladeuxième place.C’était nulle autreque Virginie Proulx.La troisième place a été remise aux garçonsdéguisés en petits soldats. Le prix du publica été décerné à Gabrielle Savoie. Son imitationpresque identique, de la petite fille ducercle, en a impressionné plus d’un. Malgréle refus du port d’arme etde masques, qui n’étaientpas permis, tous les participantset spectateurs sesont bien amusés.Certains d’entreVirginie Prouxl vous, ont sûrement dûremarquer la troupe de danse se déhanchersur la scène juste avant le concours de costumes.Les spectateurs onttrouvé que c'était une excellenteperformance, bravoles filles!!Soulignons quecettemerveilleuse journées'est bien terminée avec unmatch triomphant desCenturions.Gabrielle SavoieTout le monde le sait, tout le monde en parle, la nouvelle politique de gestion des absencesChocolaterie Belge Heyez Père & Fils16, rue Rabastalière estSaint-Bruno-de-Montarville, QuébecJ3V 2A5Téléphone: (450) 653-5616Journal L’Intrus téléphone: 472-3070 poste 251L’INtrus en Belgique dans les Ardennes.Pour nous aider à financer ce projet, il nous fait plaisir devous présenter notre partenaire:la chocolaterie Heyez Chocolatier.Il nous apparaissait tout naturel de nous associer à unechocolaterie belge de renompour nous aider à financer notre projet pédagogique:Journalisme en Belgique.Ainsi, Heyez Chocolatier fournit les élèves de l’optionjournalisme en chocolat de dégustation et en ballotins de pralines dedifférents formats afin qu’ils puissent amasser l’argent nécessairepour que leur rêve devienne réalité. Encouragez-les!Chocolats disponibles au local du journal L’Intrus, E2-130 ouCommandez par Internet: journalintrus@hotmail.comtéléphone: 450-472-3070 poste 251

Hélène Robert fête ses 10 ans de vie politique au service de la populationVanessa Migliacci,Jonathan Veilleux,Chloé BruneaultLe 25octobre dernier,trois journalistesde L'Intrus se sont présentés dansles locaux d'Hélène Robert, situés à St-Eustache, afin de recueillir ses impressionssur ses dix années de vie politique qu'ellecélébrait ces jours derniers.Hélène Robert et les jeunesEn rapport avec les jeunes, nousavons appris qu’elle avait déjà été enseignante,ce qui explique pourquoi elle sesent si préoccupée par rapport à l’avenirdes jeunes. Mme Robert affirme avoirbeaucoup de plaisir à travailler avec eux.Elle le répète constamment: “C’est notreavenir, les jeunes…”Elle s'est beaucoup investie dans legala d'excellence qui a lieu en chaque débutd'année. Pour notre députée, l'histoireest aussi très importante. C'est pourquoielle aura contribué à développer le prixd'histoire qui est remis lors de ce gala.Lorsque nous lui avons demandéce qu'elle pensait des jeunes qui s'impliquenten politique, Mme Robert a affirméqu'elle s'en réjouissait, mais,en même temps, elle déplorele fait qu'il y en ait encore troppeu. Lors de la dernière campagneélectorale, elle aurad'ailleurs eu l'occasion de faire du porte-àporteavec certains d'entre eux.Mme Hélène Robert a égalementformulé le souhait d'organiser une rencontreavec les jeunes de la PDM pour pouvoirparler de quelle manière les élèvespourraient s'impliqueren politique.Ce seraitl'occasion idéalede partager et defaire avancer notrevision desenjeux politiquesactuels tels quel'éducation, lasanté, l'environnementet l'alimentation.La politiciennecroitqu'ainsi elle pourraitêtre encoreplus à l’écoute denos intérêts.Projets d’avenirLa retraite pour Hélène Robert?Non merci! Même si la politique est trèsexigeante, elle lui offre beaucoup de défis.Elle se voit éventuellement faire autrechose, mais elle n’y a pas encore vraimentsongé.Mentionnons, en terminant, qu’HélèneRobert est toujours disponible à recevoirdes idées pour améliorer la situationdes jeunes dans la région.C’est une Hélène Robert bien disponible qui s’est prêtéeà l’entrevue. Ce fut une belle rencontre.Francis MercierLe 6 octobredernier, une sortie,dans le cadre ducours de français etd'art dramatique, aeu lieu. Des élèvesde notre polyvalente ont assisté àune pièce ayant pour titre DonQuichotte de la Mancha au ThéâtreDenise Pelletier à Montréal.De l’avis des organisatrices,il était intéressant de voir quebien des jeunes s’étaient rapidementinscrits à l’activité.Ce spectacle est tiréd’un livre écrit au début des années1600 par Miguel de Cervantès.Cette œuvre a été réadaptéepar Jacques Brel et interprétéede nos jours par Jean Maheuxdans le rôle de Don Quichotte,Sylvain Scott pour Sancho Pançaet Éveline Gélinas incarnant Aldonza.Cela fait plus de cent représentationsque la troupe joue àtravers le Québec.Plusieurs élèves interrogésqui étaient dans l’assistance onttrouvé l’œuvre très fidèle au livreet trouvaient que les artistesjouaient avec brio leur rôle.Cette activité est organiséepar Muriel Desgroseillers, professeurd’arts dramatique, ChantalDrapeau et Mireille Fillion, enseignantesde français. La prochainepièce, les jumeaux vénitiens, estprévue pour le 30 novembre.Avis aux intéressés!Aldonza et Don QuichottePage 5

L’Intrus se souvientMarie-Eve PoirierAu nom de tous les membresdu journal L’IntrusComme plusieurs le sait, Yoannnous a quitté brusquement le 8 août 2004 àl’âge de 17 ans. Bien des jeunes qui leconnaissaient savaient que Yoann était journalisteau journal étudiant. Il y a laissé sa marque. Ainsi, Tous les membresdu Journal L’Intrus s’unissent pour offrir à la famille de Yoann leurs sincèrescondoléances. L’Intrus se souvient.Il y a de cela un an, Yoann débutait au sein du journal commeplusieurs d’entre nous. Le souvenir qu’on aimerait rappeler c’est que bien quetimide, il a apporté au journal une dimension que nous n’avions jamaisconnue: ses fameuses recettes du chef Beaudouin!Simples, mais efficaces, les lecteurs appréciaient ce qu’il leur offrait. Il futd’ailleurs appelé le chef Beaudouin. .Et, à sa manière, celui-ci restera gravédans les mémoires du journal. Yoann L’Intrus se souvient et nous publionsses recettes de noël qui lui donnèrent sa réputation.L’Article qui lui a donné le nom de Chef Beaudoin!!!!Yoann BeaudoinLes êtres aimés qui sont disparus nesont plus là où ils étaient, mais ils sonttoujours et partout là où nous sommeset cela s’appelle le Souvenir.Alexandre DumasPage 6

Une simulation réussie à la Gare de Deux-MontagnesSelina Sforza,Vanessa Migliacci,Vickie LévesqueLe 13 octobredernier, à la garde de Deux-Montagness’est vécue une simulation d'accident surles passages à niveau. C’était une premièreau Québec: deux cent cinquante (250) élèvesdes groupes d'adaptation scolaire de laPDM et aussi des élèves de l'école anglaiseLTM y étaient. L'idée du projet est venuede la ville de Branford en Ontario. Lespoliciers du CN ont invité à la simulationplusieurs corps policiers du Québec dontceux de Montréal, Repentigny, la Sûreté duQuébec et plusieurs autres encore. L'événementétait très attendu de tous.Le scénarioLe scénario était qu’une automobiles'est tragiquement fait heurterpar un train de banlieue. Lorsdu terrible accident, quatrepassagers étaient à bord duvéhicule dont trois adolescentset un bébé. Deux morts, deuxblessés. La cause de cet événementbouleversant était unefois de plus, la conduite en étatd'ébriété.La chronologie desévénementsLa panique entoure leslieux de l'accident. On peutentendre les plaintes des passagersprovoquées par la peur etla douleur. Le Sergent YannickVaillancourt s'avance vers la voiture,pratiquement détruite. Il arrête donc lejeune conducteur en état d'ébriété (MathieuDucharme). Aux alentours de 10h28, c'estl’arrivée des ambulanciers sur les lieux. Ilsemportent les blessés avec eux dans l'ambulance.À 10h44, c'est maintenant à lamorgue de faire son entrée sur les lieux del'impact fatal. Munis de leur civière, lesemployés s'approchent du véhicule et déposentsur celle-ci le corps de la défunte.La simulation tire à sa fin. C'est le départdes ambulances, des voitures de police etde la morgue. Les lieux de l'accident désastreuxsont presque vidés. C’est à 10h50 quela simulation prend fin.Les victimesPour incarner les victimes, 4 comédiensont été approchés. Deux de la PDM(Maude et Mathieu Ducharme) et deux deLTM (Andrew Cormack et AmandaBurke). Ils ont trouvé que c’était une trèsbelle expérience de vie. Leur participationà la simulation les a sensibilisés à laconduite en état d’ébriété. C’est leur professeurd’art dramatique respectif qui les achoisis pour cette simulation. “On n’a paseu de vraies répétitions,” nous disaitMaude, “c’était plutôt comme un oneshot.” Pour des gens qui n’avaient pas eude répétitions, ils étaient extrêmementconvaincants et leur jeu était très touchant.Les ambulanciers sortent Andrew Cormack de la voiture.Mathieu Ducharme a aimé son expérienceau sein de cette simulation, mais iltrouve ça difficile à regarder en face. Ilespère surtout que cet événement va faireréagir certaines personnes. Il envoie aussile message de rester chez vous lorsquevous êtes en état d’ébriété. Amanda Burke,a été extrêmement touchée par la situation.Maude Ducharme qui a été très impressionnéepar l’ampleur de la simulationnous dit clairement “ Soyez prudent! ”.Andrew Cormack qui a trouvé tout ça trèsépeurant et a fait mention de la terriblechose qu’est de consommer alcool et drogueen conduisant.Les comédiens: Mathieu Ducharme,Andrew Cormack, Amanda Burke etMaude DucharmeLe butCette simulation avait des buts bienprécis et un public cible dont surtout ceuxqui, bientôt, obtiendront leur permis deconduire. Les quatre messages importantsque la police du CN voulait donner auxjeunes du secondaire pour les sensibiliserétaient: la conduite en facultés affaiblies, leport de la ceinture de sécurité, lessièges de bébé et surtout le dangeréminent des traverses à niveau.Le tout s’est passé très rapidement.L’inspecteur nous a informésque la simulation était aussipour vérifier la rapidité des servicespoliciers, ambulanciers et d’incendies.Nous avons parlé à Mme HélènePayment, bénévole de sauvetageCanada, qui a maquillé les acteursde la simulation. Elle nous arépondu avec enthousiasme qu'elleest très contente du résultat du projetet du rôle que les acteurs ont joué.Monsieur Frédéric Roussel, policier,est lui aussi très satisfait du résultat, mais ilnous dit qu'il n’a pas eu énormément deplanification et de pratique effectuées pourla réalisation de cet événement.Le sergent Marc Leduc nous a ditque l'équipe policière du CN avait choisi laville de Deux-Montagnes pour y faire lasimulation, car c'est l'un des trains de banlieuequi est le plus achalandé. M. Leducespère que les jeunes seront sensibiliséspour leur propre sûreté.Le Sergent Yannick Vaillancourt,de la police de Deux-Montagnes, (ancienélève de la PDM) nous a fait part de sonSuite p. 8Page 7

Une simulation réussie à la Gare de Deux-Montagnes (suite)Reportage:Selina Sforza,Vanessa MigliacciVickie Lévesqueopinion par rapport à l’alcool. Il a affirmé:“La modération a bien meilleur goût”.Aussi, d'après le témoignage dusergent Caron, les policiers, autant que lesambulanciers, et les pompiers auront toujoursde la difficulté à accepter le fait quede jeunes innocents meurent sans qu'ilsn'aient rien pu faire. Monsieur Caron affirmeaussi qu'après ses 34 ans de servicedans la police il est encoredifficile d'oublier le décèsde certaines victimes.La conférence de presseNous avons par la suite assisté àla conférence de presse donnée dans l'auditoriumde la PDM. On pouvait sentirque la plupart des personnes présentesavaient été très touchées par l'événement.Selon M. Bizier, inspecteur du CN, l'accidentavait pour but d'éduquer le public.Mise en place de la simulationmatismes que les gens qui travaillentaux services de sécurité, tel que lespoliciers, les pompiers, les ambulancierset bien d'autres subissentsuite à des accidents comme ceuxci.Tout au cours decette matinée, nous avonsreçu plusieurs témoignagesassez frappants. Lesgens étaient très émus dela gravité de la situation.La mère d’une des jeunescomédiennes (AmandaBurke) a été très bouleverséede voir sa fille danscet état. Amanda qui s’estprêtée au jeu de la victimemorte, s’est laissée trimballersur une civière quisemblait très inconfortable.Elle était aussi recouverted’une enveloppe deplastique habituellementréservée aux morts.Certaines personnesparaissaient, aussi, choquées à la vue desautres comédiens couverts de sang.Alex Claxton, Yannick Vaillancourt, FrédéricRoussel, Rolland CaronPage 8M. Stéphane Plante représentant du Maire M. Forget, l’inspecteurdu CN, le Directeur National de l’opération Gare au train et unreprésentant du service ambulancier était présent.L'an prochain, il devrait se produirede nouvelles simulations dans différentesrégions du Québec. La plus récentecollision entre une voiture et untrain a eu lieu à Deux-Montagnes. MonsieurStéphane Plante qui était à la conférencede presse pour remplacer le Maire dela ville de Deux-Montagnes, M. Forget, abien démontré qu'il avait été frappé parl'évidence de la boisson, mise en causedans cet accident, car les sièges et leplancher de la voiture étaient remplis debouteilles de bière vides.Le directeur national des opérationsde gare au train nous dit que cetévénement l'a beaucoup touché et queles incidents autour des chemins de ferétaient très dangereux. Selon les statistiques,nous avons quarante fois plus dechance de mourir dans une catastropheferroviaire que dans un autre accidentde voiture. Il faut aussi penser aux trau-À la fin de la conférence,durant la période de questions, unejeune fille de la PDM s'est levéepour faire part de son opinion surlaquelle on devrait aussi viser lesplus âgés et non seulement les jeunes,puisqu’un adulte peut être luiaussi en état d’ébriété et sujet àavoir des accidents de voiture causéspar les traverses à niveau. Parfois,ils possèdent moins de réflexesque les personnes plus jeunes.Tous les gens présents dansl’auditorium semblaient absolumentd’accord avec l’opinion decette adolescente.Effectivement, il a été possiblede constater que cette simulationn’était pas seulement adresséeaux jeunes, mais bien à tout lemonde, malgré qu’elle avait pour but desensibiliser les jeunes conducteurs.Les services de sécurité espèrentvraiment que vous allez réfléchir deux foisavant de prendre le volant de votre véhiculesi vous êtes avec des facultés affaiblies.Ils voulaient aussi vous informer quele nombre de morts causées par la consommationde drogue et d’alcool au volant estconsidérable.Par exemple, seulement en 2003, auCanada, il s’est produit 248 collisions à despassages à niveau causant ainsi la mort de26 personnes et en blessant 51 autres.Un DVD devrait être conçu suite àcette simulation. Il sera disponible dans lamajorité des postes de police et dans lesbibliothèques scolaires afin que les jeunespuissent le visionner en tout temps.

Myriam ProvencherAu mois de septembre,plusieurs élèves de notre polyvalentecomme Tyana Mitchell, Karine Gingras, VéroniqueMarleau et David Marinier ont fait quelquesessais en apportant des chiots de la fondationMira à notre école.Dans quel but réalisent-t-ils ce projet?Ce projet consiste à sociabiliser des chiens pour qu'ilsdeviennent guides d'aveugle. “Il n'y a rien de mieux qu'uneécole pour cela, car il y a énormément d’élèves, donc beaucoupd’actions!” a déclaré un des membres du groupe. L'entraînementde l'animal se fait sur deux ans, mais la socialisation estseulement d’un an. Donc, ces élèves doivent amener leur chiendans leurs cours à tous les jours pendant un an!D'où vient cette idée?Tout a commencé à l'école secondaire d’Oka, il y a environ25 ans. Jean Otis, un enseignant de cet établissement, a étéle premier à adopter ce projet. Depuis ce temps, il est impossiblede le voir sans ses animaux avec lui. Ce professeur a à sacharge environ trois à quatre chiens à toutes les années. Il a expliquéà ses étudiants en quoi consistait l’adaptation des chiensdans la société et a ainsi créé un mouvement dans cette école.Comment le chien réagit-il en classe?“En temps normal, c'est plus les adolescents de notreécole que le chien qui sont excités dans les cours!” nous aconfié Karine. Le chien est très calme et ne nuit pas à l'apprentissagedes élèves. Il n'est pas rare que le chiot s'endorme durantles classes ce qui n’est pas permis aux élèves…Comment s’organisent-ils pour leur nourritureet leurs besoins?David Marinier nous a confirmé que les canins mangeaientavant et après l'école. Durant les pauses, c'est l'heure desbesoins, donc les membres du groupe vont faire une petite marcherapide à l'extérieur.Trois jeunes chiots entraînés de MiraPour plus d’information sur ce sujet ainsi que sur ce projet,vous pouvez visiter le site de Mira: www.mira.caAndréane Raymond et Kathleen Pritchard-TL'année 2004-2005 a bien débutépour la troupe de théâtre L’Entrac. Richede sa réputation, c’est une trentained'élèves, tous bourrés de talent, qui sesont présentés aux auditions. De ce lotseulement 12 futurs comédiens ont réussi à impressionnerle metteur en scène Éric Borredon. Ils devaient réussir lessix auditions planifiées.Voici donc les élèves qui porteront fièrement le flambeaude L’Entrac: Joëlle Nadeau, Caroline Moreau, JuliePlouf-Portant, Mathieu Ducharme, Amy Brouillete,Rachel Nadon, SamuelBlanc-Richer, Pierre-Antoine Pellerin, RobinKittel-Ouimet, MathieuMotard, Guylaine Jacob etMarik Pero.Contrairement auxannées passées, tous cesjeunes talents ont été choisisdans le but d'interpréter uneseule et unique pièce. Lemetteur en scène désiremettre tous ses efforts dans ce spectacle qui sera présentéen avril 2005.Cependant Éric Borredon déclare avoir un projet entête sur des représentations qui seront jouées hors del'école, mais ilpréfère ne pastrop s'étendresur ce sujet àce moment-ci.Dynamisme,un mot quidécrit très bienl’équipe d'impro de la PDM. Ça fait déjà 18 ans que Lesverts performent dans leurs matchs délirants!Les élèves qui font partie de l'équipe ont dû travaillertrès fort pour y arriver. Ils ont été obligés de faire un campde formation après l'école. Les nouvelles recrues ont avouéque ce n'était pas facile et très exigeant! Certains ont mêmevoulu abandonner.Mais ces efforts en ont valu la peine, car ils formentdésormais l'équipe avec les anciens de l'année passée etcela, sous la supervision de Geneviève Couture. Voici laformation de 2004-2005 qui est composée de MathieuLapointe-deraiche, Justine Lauzon, Vickie Daigneaux,Maxime Caron, Alexendre Déslaurier, JulienRemillard, Maude Ducharme et la capitaine de l’équipePascale Renaud-Hébert.L'année s'annonce assez chargée pour ces derniers.Ils vont faire dix matchs pendant l'année à l'école et àl'extérieur. Ils vont également participer à deux tournois etil ne faut surtout pas oublier, le show annuel des Verts: leBye Bye que l’on prévoit le 8 juin à la PDM.Avis à tous, le prochain match à domicile se dérouleradans la semaine du 15 novembre (journée à confirmée).Les verts vous invitent tous en grand nombre.page 9

Une journée sur un plateau de tournageL’Intrus à Radio CanadaCaroline LavoieFrancis GuillouLe régisseur parle à l’animatrice et Fallu danse avecla recherchiste en chefLe21 octobredernier,l’Intrus, par l’entremisede vos journalistesCaroline Lavoie et Francis Guillou,a visité un plateau de tournageafin d’informer le lecteur de ce qui sepasse derrière le petit écran. Nousavons profité du moment pourconcocter un reportage relatant lespoints forts d’une journée sur le plateaude l’émission Têtes @ Kat, surles ondes de Radio Canada, et ainsique servir de substituts à l'émissionTout le monde en parle.L’arrivée à la stationOn nous attendait vers les 8h00pour débuter la journée. Un stagiairerecherchiste nous a conduits du métrojusqu'à cette immense bâtisse brunesituée au pied du pont Jacques-Cartier.Arrivés au niveau C, nous nous sommesdirigés vers le studio 45, où l'émissionTête @ Kat est enregistrée.Cette émission s’adresse auxadolescents. Plusieurs chroniques parlentde sujets touchant les jeunes d'aujourd'hui.Le studio est assez spacieuxet l'enver du décor était différent de ceque l'on croyait! Ensuite, nous noussommes dirigés vers la salle de maquillageet de coiffure.La réunion de productionAux environs de 9h00, le sérieuxde la journée commençait. Toutel'équipe; l'animatrice, les chroniqueurs,le réalisateur, le régisseur, l'assistantetechnique, la recherchiste en chef ainsique nous, les deux élèves invités,avons pris place autour d'une table pourla réunion de production. Le but dePage 10celle-ci est bien précis: faire connaîtreaux autres les enchaînements et s'informerdes choses qui seront dites aucours de l'enregistrement.Nous avons également pu assisterà une discussion sur la beauté enlien avec une future chronique de lasexologue Nathalie Legault. Katerine-Lune Rollet, l'animatrice, avait apportéune photo d’elle à l'âge de 12 ans, cequi a amené à tous la remarque: “engénéral, la plupart des personnalitésconnues aujourd'hui n’étaient autrefoispas du tout représentatives de leurbeauté actuelle et souvent, ils étaientdes nerds.” Aussi, Stéphane Fallu nousa expliqué qu’il apportait à l’émissionune touche d’humour.Après cette réunion nous sommesallés à l'installation des micros pourla répétition.La répétitionPrès de dix minutes après la réunionde production, nous étions tousen place dans le studio 45 pour la répétition.Le but de l'exercice était de sepréparer à l'enregistrement live on tape,comme nous l'a expliqué le régisseurmonsieur Pierre Lacasse: “ C'est lemême principe qu'une émission live,sauf que celle-ci est enregistrée àl'avance.” Cette répétition servait à rectifierles enchaînements et les jeux decaméras.Bien sûr, les chroniques n'étaientpas dites entièrement. De plus, les invitésFrançois Étienne Paré et ClaudeRajotte n'étaient pas présents pour larépétition. C'était donc quelqu’un del’équipe qui les remplaçait.L’enregistrementL'enregistrement a approximativementduré une heure pour une émissiond’une demi-heure. Durant l'enregistrement,on aurait dit que c'était encorela répétition puisqu'on se sentait tellementà l'aise, même devant les caméras.On s'est bien débrouillé!L'invité François Étienne- Parénous a parlé de sa première partie d'improvisationet du fait qu'il est porteparolede la LIS, une ligue d’improvisationdans les écoles secondaires.Claude Rajotte, lui, nous a parléde trois disques compacts qu'il aimeparticulièrement. Sans oublier de direque le premier disque vinyle qu'il s'estprocuré est celui de Michèle Richard.Ensuite, une chroniqueuse, TovaRoy, a parlé jet-set. Sa chronique étaitaxée sur le gala de l'ADISQ et des nominésdans la catégorie meilleur interprètemasculin et féminin.La pauseLe plateau de tournagePendant l'heure du dîner, noussommes allés manger à la luxueusecafétéria de Radio Canada et nous enavons profité pour faire une petite visitede cet immense édifice. Nous sommespassés par les anciens décors du téléroman4. Ce fut une visite très enrichissante!Après le dîner, nous avons eudroit à de nouvelles retouches de maquillage.Puis, nous avons fait le mêmescénario qu'en matinée, à la différenceprès que l'invité n'était pas le même etque les chroniques différaient.Pour finir, nous tenons à remercierdu fond du coeur toute l'équipe del'émission Têtes @ Kat pour son chaleureuxet inoubliable accueil le 21 octobredernier.Nous tenons à vous informer quenotre présence sur ce plateau a permisde créer deux émissions qui furent diffuséesles 27 et 28 octobre.À la fin de la journée, avecl'équipe de Têtes @ Kat, nous avonsvisité le studio 42, là où se préparaitl'enregistrement de l'émission Tout lemonde en parle. Pour la répétition,nous avons servi de substituts pour lesinvités suivant: Andrée Watters et lecommandant Robert Piché, ce qui aterminé notre journée en beauté!

Marie-Eve PoirierQui n’a jamais eu l'idée de sécher un courscomportant peu de crédit tel éducation choix decarrière ou bien enseignement moral? Pourtant, cescours pourraient tellement faire la différence dansun sommaire! C'est l’histoire qu’a vécue Charles-Henri, ancien élève de la polyvalente Deux-Montagnes. Celui-cinous a fait parvenir une lettre pour nous faire réaliser à tous et chacunque ces cours pour le peu banals et faciles peuvent changernotre avenir! Voici donc la lettre de Charles-Henri...«Durant mon secondaire, le français et l'anglais étaient mesmatières les plus faibles. Puisque que mon secondaire 5 comptaitpour beaucoup, je me suis donc donné comme but de réussir cesdeux matières en m'investissant à fond. J'en faisais à l'école ainsiFrédérick LépineMarie-Eve PoirierPour une douzième annéeconsécutive, le projet d’aide humanitairepour la République Dominicaine refait sonapparition. Les deux têtes de ce projet, Fernand Jobin et DominiqueCarrier, s’en sont encore donné à cœur joie dans ce merveilleuxprojet d’aide humanitaire.Au total, 46 jeunes ont participé à ce grand projet qui impliquaitla vente d’agrumes, c’est-à-dire la vente d'oranges et de pamplemousses.Malheureusement, à cause des places limitées, seulementvingt-six jeunes pourront s’envoler. Évidemment, ce sont lesmeilleurs vendeurs qui furent choisis. Remarquons que le nombrede garçons a doublé contrairement à l’an dernier, soit un nombre de8 garçons. Pour le financement, une somme de 500 dollars devraêtre déboursée par ces jeunes méritants, le reste sera financé par lavente d'agrumes. À noter que le profit des ventes d’agrumes estcommun aux 26 jeunes sélectionnés.Puisque ce projet comporte une mission, cette année, ellesera de construire une clinique à El Cercado, une région pauvre dela République. Avec leurs 26 jeunes et quelques accompagnateurs,monsieur Jobin et madame Carrier partiront le 18 février 2005 pouratterrir à Santo Domingo. Par la suite, ils rejoindront la ville dePéravia où ils séjournerontpendant une semainepour ensuite repartirle 3 mars.Pour conclure,l'équipe de l'Intrus tientà féliciter les fondateursde ce merveilleux projet!Nous espérons detout notre cœur que votreséjour sera des plusenrichissant.qu'à la maison. Je savais qu'il me fallait ces deux matières pourentrer au cégep et d'autant plus pour obtenir mon diplôme. Je donnaisle maximum de moi même dans celles-ci, mais de l'autre côté,les matières peu importantes à mes yeux comme qu’éducationchoix de carrière commençaient à traîner de la patte!!J'ai finalement obtenu 19 unités en secondaire 5 alors qu'ilm’en fallait 20. Dès le début, j'en perdais10 pour avoir mes mathématiques436 et mes sciences physiques 430 qui étaient essentiellespour ma technique. Je n'ai donc pas passé les matières nonobligatoires dont éducation choix de carrière qui aurait pu mefaire passer: ce cours qui m'avait tant aidé à trouver ma carrièred'avenir et le cégep où j’étais supposé aller cette année.Avec cette expérience, je réalise que j'aurais dû adopter uneattitude plus sérieuse ainsi qu'une écoute plus attentive lors descours qui me paraissaient peu importants. Je vous recommandedonc de faire attention aux cours qui vous semblent banals, telqu’éducation choix de carrière, car ceuxcipourraient changer le cours de votreavenir,tel que vous faire obtenir votrediplôme d'études secondaires.»Alors à l'avenir quand vous aurezl’idée de sécher un cours ou bien de nepas porter attention aux explications enclasse, pensez-y-bien, car tout votre avenirpourrait suivre une trajectoire imprévue!!!Une fondation à l’écoutedes projets pédagogiquesdes élèves qui s’impliquent à l’école.Aidez-nous à concrétiserleurs rêves de découverte.Envoyez-nous vos donsen appelant au 450-472-3070 poste 240Merci. Un reçu d’impôt vous sera remis.Page 11

Les professeurs d’éducation choix de carrière ont de bonnes idées pour nous orienter !Myriam ProvencherVendredi, le 15 octobredernier, des élèves de lapolyvalente Deux-Montagnesont vécu une activité quiavait pour but de donner uneperspective nouvelle à leurs choix de carrièreéventuels.La quasi-totalité des Cégeps et desUniversités était présente pour répondreaux questions de leurs futurs étudiants. Deplus, des sections d’étude professionnelleavaient des kiosques plus que remarquables.Des briqueteurs faisaient des démonstrationsauxquelles les étudiants pouvaientparticiper dans le but de faire découvrir desmétiers peu communs. Cela amusait et intéressaitla plupart des jeunes.Quelques étudiantes demandant des informationsau cégep MontmorencyUn élève découvrant le métier debriqueteurSelon quelques élèves, il y avaitbeaucoup moins d'information que l'annéedernière, mais en revanche, les animateursdes kiosques étaient plus accrocheurs.D’après un sondage maison, plus dela moitié des élèves veulent reprendre l'activitél'année prochaine. “C’est une activitéqui peut influencer le reste de notre vie” adéclaré un des participants.La gendarmerie royale était présenteCégep—Portes ouvertes !Dernière chance! Pour tous ceux etcelles qui sont présentement en secondaire 5ou pour les élèves qui envisagent un DEPpour l’année prochaine, Beaucoup de Cégepsdu SRAM offrent une journée portesouvertes ainsi que l’activité élèves d’unjour. Plusieurs de ces projets ont actuellementdébuté, dans certains collèges depuisla fin octobre. Pour d’autres, cela se poursuittout le mois. Alors, allez faire un petit toursur Internet, décrochez le téléphone, consultezun orienteur ou bien visitez les sites Internetdes institutions qui vous intéressent.www.sram.qc.cavous donne accès aux sites des écoles faisantparti de votre région!Hélène RobertDéputée de Deux-MontagnesPorte-parole de l’oppositionofficielle en matière de ruralité.“La société compte sur ses jeunes. Vous avez unrôle important à y jouer, dès maintenant. Votreopinion et votre vision originale des choses nousimportent. Vivez à plein cette année scolaire!”Votre députée15, ch. de la Grande Côte, bureau 105 Saint-Eustache (450) 623-4963page 12

Valérie SanscartierAudrey LarocquePrésentement,notre équipe est partiepour la gloire dans le juvénile AA etnous en fait voir de toutes les couleurs. Depuisle début de la saison, ils ont remporté 6matchs sur 7 contre d’autres équipes de différentesécoles, dans la catégorie AA. Lematch qu’ils ont perdu contre le collègeSaint-Jean Vianney n’aurait pas dû arriver,car selon Éric, l’équipe a fait une erreur quileur a été fatale. Mais pourquoi l’an dernieront-ils eu une saison aussi médiocre avec untotal de 0 victoire lorsqu'ils étaient dans lejuvénile AAA? Ce n’est point parce qu’ilsne sont pas bons sur le terrain, mais, à caused’un contrat signé pour une période de 4 anspour faire partie de la catégorie AAA. Cecontrat expirait l’an passé et c’est pour celaqu’ils ont pu parvenir à s’inscrire dans leAA. Mais ils sont déterminés à aller au boutde leur capacité et tous visent les finalespour ensuite se rendre au Bol d’Or. L’entraîneuren chef, Éric Leblanc, nous a rencontréspour faire le point sur l'équipe decette année.HistoriqueDepuis plus de 34 ans, les Centurionsexistent et donnent leur 110% pourépater leurs partisans. Éric Leblanc les entraînedepuis maintenant 12 ans et il estentraîneur-chef depuis 2 ans. “Les joueurssont pleins d'énergie! Ils sont très motivésaux pratiques et ils les prennent très au sérieux,”nous a confirmé Éric. Si un joueurmanque une pratique durant la semaine, ilne pourra pas faire partie des joueurs partants.Ce qui veut dire qu’il ne pourra êtredes 12 joueurs qui débuteront le match. Lebut premier de cette saison était de finir entête au classement des écoles de la LigueL’entraîneur-chefÉric LeblancMétropolitaine deFootball. Ils ontréalisé ce rêve levendredi, le 22octobre dernier.Leur second butétait de remporterla demi-finale pouraller de plus enplus près du butultime,le Bol d'Or.Vendredi passé, lesCenturions affrontaientSelwing house et l'ont remporté aucompte de 35 à 28. À l’heure où nous écrivonsces lignes, nous pouvons donc affirmerqu’ils sont près du but.Joueurs performantsSelon l'entraîneur-chef, plusieursjoueurs ont de l'avenir dans le domaine dufootball. Marc Rivest, nommé joueur receveurde l’année passée pour le juvénileAAA, est un des deux meilleurs receveursdu football AA québécois. Il s’est vu attribuerla bourse Jean-Guy Lafrenière-GuyLincourt en tant que joueur par excellencedes Centurions de l’édition 2003/2004. Parailleurs, Cédrick Dumoulin domine totalement.C’est un joueur très rapide et robustequi pourrait se rendre loin dans le footballquébécois, tout comme Mathieu Dumontqui est un excellent quart arrière et se démarquepar son leadership! D'ailleurs, Mathieua dû quitter l'équipe en raison de sonâge adulte et malheureusement, il ne pourrapas jouer pendant les séries... Il sera cependantremplacé par Derek Dumas. Jean-Alexandre Bernier aide beaucoup l'équipe,grâce à tout ces plaqués et son grand potentiel.Heureusement, il lui reste une autreannée à jouer. Christian Ruxandu est unautre joueur qui se démarque, un défenseurqui a beaucoup de talent. Comme l'entraîneurnous l'a mentionné, il pourrait en nommerplusieurs autres, mais le temps lui manquait.Les EncouragementsOn tient à souligner que les élèves etprofesseurs de la PDM encouragent beaucouples Centurions par leur présence auxmatchs… On observe que les gens à laPDM sont fiers d’eux, car on entend souventparler d’eux dans les corridors. Lors dupremier match de football, les élèvesavaient été libérés de leur dernier cours. “Ily avait une atmosphère magique, nous a ditÉric, tous les élèves étaient là et supportaientleur équipe!”Le journal l’Intrus souhaite lemeilleur des succès aux Centurions Footballet ramenez-nous le Bol d’Or!Samedi le23 octobre dernier,un autobusJessica Del Vecchiodémarrait de laPDM vers 13h30, en direction du StadeOlympique, pour la partie qui opposaitles Renegades d'Ottawa et les Alouettesde Montréal. Supervisés par SylvieCharbonneau, de nombreux garçons etquelques filles de l'école étaient présents.Des élèves tout enjoués à l'idéed'encourager nos joueurs!Mais l'ambiance n'était rien àcomparer à celle qui nous attendaitdans le Stade. Plus de 53 302 supporteursprenaient place: des encouragements,des chansons et des cris résonnaientsur le terrain duquel les Alouettesfurent acclamées haut et fort. Nosjoueurs démarrèrent fort en marquant lepremier touché et en gardant l'avance toutau long de la soirée!Des élèves, contents d’être là!D'après les élèves et les accompagnateursprésents, ce fut une très belle partie!Une excellente victoire pour nosjoueurs qui encaissaient depuis déjà 3 partiesdéfaite sur défaite! Les voilà donc quireviennent en force, comme nous lesconnaissons!Les jeunes de la PDM saventmettre de l'ambiance, étant tous desfans de football, ils ont participé jusqu'àla fin, et avec raison, puisque nosjoueurs ont gagné! C'est donc unesortie à refaire, confirment les élèves.Alors, un gros BRAVO! à nosAlouettes de Montréal, qui ont remportécette partie par la marque finalede 52 à 25!On est avec vous jusqu'aubout! Félicitations à la PDM pourcette belle activité.page 13

Ariane PetitPaméla FortinStéphanie KootLa première assembléedu conseil des élèves dela Polyvalente Deux-Montagnes a eu lieu le6 octobre 2004 au local de l’Escale. C’estMme Sylvie Charbonneau qui a animé cetterencontre.Le conseil des élèvesDifférents élèves de l’établissement, intéressésau poste de député, ont été choisis dansleur classe de français. Ce qui veut direqu’ils auront à rapporter l’opinion, tout aulong de l’année, de leurs confrères etconsoeurs de classe. Dans cette même réunion,plusieurs députés ont donné leur nompour être élus le ministre de leur niveau.Parmi ces ministres, il y aura un président etun vice-président.Les électionsL'assemblée d’investiture, consacrée auxélèves pour faire leur discours et se présenter,n'a pas pu avoir lieu tel que prévu à l'auditorium.Cela dit, les élèves ont dû malgrétout voter pour les ministres de leur niveau.C'est après être passé dans toutes les classespour faire voter tous les élèves de la polyvalente,que les élèves responsables du voteont compté les votes amassés. La ministrequi a été élue en 3e secondaire est ValérieMarquette. En 4e secondaire, les ministrescette année sont Marilou Binette Beïque,Safiyya Laframboise, Jean-SamuelPlante et Olivier Toupin Deshêtres. En5e secondaire, se sont Antoine Carrier,Guillaume Labelle et Pascale St-Onge. Etenfin en adaptation scolaire, le ministreélu est Francis Fleurand Royer. C'estaprès une seconde réunion que les députéset substituts ont voté pour le ou la présidente(e)et le ou la vice-présidente(e) del'école. Celui qui a été sélectionné commeprésident est Antoine Carrier et en tantque vice – président Olivier Toupin Deshêtres.C'est ainsi que le conseil des élèvesa été formé pour une nouvelle année.C'est ce groupe d'élèves qui aura à défendreplusieurs sujets qui seront importantspour la majorité des élèves tout au courantde l'année. Ils parleront au nom de cescentaines d'élèves qui fréquentent la polyvalenteDeux-Montagnes.Les projetsTout au long de l’année, les députés et substitutsauront à assister à des réunions qui lesinformeront sur plusieurs sujets qu’ils devronttransmettre aux élèves de l’école. Il yaura plusieurs projets qui seront mis surpied par les ministres et ce seront les députéset substituts qui auront à choisir parmices projets lesquels ils organiseront. La majoritédes projets de l’école sont mis sur piedpar ces élèves créatifs. Par exemple l e sactivités d’Halloween, de Noël, de la St-Valentin et de plusieurs autres fêtes quiconsistent à faire une animation dans notrepolyvalente. Tous les élèves de l’école sontalors encouragés à participer à ces activitésOlivier Toupin (vice-président)et Antoine Carrier (président)organisées par des élèves de leur école.Parlons budgetLa PDM a un certain montant d’argent réservéaux idées des élèves. C'est-à-dire quele conseil étudiant doit demander aux gensde l’établissement comment ils désirent dépenserce budget. Les élèves peuvent apporterdes suggestions à leur député. Déjà depuisle début des classes les députés ontdemandé entre autres une machine distributricede nourriture… Bien des jeunes restentaprès deux heures dix… Dossier à suivre.Richard LegendreDéputé de BlainvillePorte-parole de l’opposition officielle enmatière de régionsVice-président de la Commission del’aménagement du territoirePrésident du caucus des députés du PartiQuébécois des Laurentides«Vous vivez des années importantes où chaque moment représenteun instant de découverte. Il faut vivre pleinement le présent qui voushabite, c’est-à-dire cette période de votre vie où chacune et chacun vousvous préparez à faire de grands pas vers des professions ou des vocationsqui vous inspirent depuis votre tendre enfance.Prenez chaque moment avec vos enseignants, vos amis, vos parentspour vivre entièrement votre jeunesse et que jamais elle ne s’efface dansvotre avenir.»Richard LegendreDéputé de Blainville28, côte Saint-Louis ouest, bureau 200 Blainville (450) 430-8086Page 14

Vision d’élèves du vingt-et-unième siècleEst-il possible d’agencer l’école et le travail?Alexandre CantinDe nos jours, il n’estpas rare de voir des jeunes de15 ans travailler plus de 20heures par semaine. La plupartdes jeunes qui ne travaillent pas ne comprennentpas comment on peut réussir àl’école avec un emploi à temps partiel.Cette réalité, le fait que des adolescents decet âge travaillent, plusieurs parents lacontestent aussi. Mais est-ce vraiment nuisibleaux études? Nous avons fait une petiteenquête afin de voir une certaine tendancequant à cette habitude des années 2000.Combien d’heures par semaine?Selon des élèves interviewés, lenombre d’heures de travail idéal est d’environ20 heures semaine et cela, sans travaillerles fins de semaine ou, si nécessaire, unjour par week-end. Toutefois, ceux qui sontsans emploi croient que c’est beaucoup tropet ils se demandent même comment lesélèves font pour avoir une vie en dehors dutravail et de l’école. Ils sont d’accord sur lefait que lorsqu’on travaille, on peut se payertoutes nos dépenses personnelles. Cependant,la plupart préfèrent économiser pours’acheter une voiture et cela, le plus tôtpossible.Le travail influence-t-il les notes?Tous les travailleurs affirment que letravail n’a absolument aucun effet sur leursnotes, mais, selon certains parents, ce n’estpas tous les jeunes qui sont capables d’agencerl’école et le travail. D’autres préféreraientque leurs enfants finissent leursétudes avant de faire leur entrée sur le marchédu travail. La raison est très simple, car,selon eux, ils doivent profiter de leur tempsaprès les cours pour les études. Les parentsde ces élèves ne veulent pas les voir dansles statistiques regroupant l’échec scolaire.Les élèves, pour leur part, sonttous d’accord pour dire que les parents nedevraient pas choisir s’ils peuvent ou nontravailler.Pourquoi vouloir travailler?Les salariés sont catégoriques surcette réponse. C’est pour l’argent. Ils veulentpouvoir se débrouiller seuls, pouvoirdépenser sans remords leur argent et, surtout,pour avoir le luxe de posséder unevoiture le plus tôt possible, car tout lemonde veut se “monter un char” pour paraîtrele plus cool de la place. Les nonsalariés,eux, ont moins de dépenses. Laplupart du temps, ils se font payer leursdépenses par leurs parents, et ceux-ci sontmajoritairement d’accord sur le fait quel’élève est mieux de se concentrer sur sesétudes et ils préfèrent payer un peu plus quede voir leurs jeunes échouer leur année.Comment bien économiser sans se priverD’après mon petit sondage maison,en moyenne, un élève de la PDM gagneentre 120$ et 160$ par semaine. Sur cettesomme, vous pourriez mettre un petit 100$ou moins de côtés pour une voiture, un permisou toute autre chose de votre choix. Lereste de votre paye, vous pourriez l’utiliserpour vos dépenses personnelles comme lecinéma, les vêtements, etc. Comme cela,vous ne vous priverez pas de dépenser àvotre aise et vous continuerez à économisercomme vous voulez.Lieu de travail le plus aimé des jeunesVenant de 24 élèves, la majorité deceux-ci, soit 11 personnes, admettent quel’endroit où ils aimeraient le plus travaillerest au cinéma Mathers de Saint-Eustache.Pourquoi? Il semblerait que cet emploi nedemande aucun effort. En deuxième position,avec 8 voix leur choix s’est arrêté surles “Fast foods” parce que, encore une fois,ce n’est pas trop exigeant. En dernier lieu,avec seulement 5 voix, les épiceries commeMétro, IGA. C'est compréhensible parceque comme emballeur, on peut se fairebeaucoup de pourboire.Finalement, les opinions sont plutôtdispersées, mais sentez-vous libre de choisirentre le travail et les études et de négocieravec l’employeur le nombre d'heuresque vous pouvez travailler.Denise BeaudoinDéputée de MirabelPorte-parole de l'oppositionofficielle en matière derégime de rentes et deretraite«Vous êtes partie prenante de notre société. Votre énergieet votre manière de voir et de faire sont enrichissante pour noustous.Bon succès en cette année scolaire remplie de projets!»Denise BeaudoinVotre députée de MirabelManoir Belle-Rivière 8106, rue Belle-Rivière Sainte-Scholastique (Québec) (450) 258-1014Page 15

974-1000Prochainscours:8,17 novembre6 décembre3 janvier187 Boul. Arthur-Sauvé,St-EustacheEn face des arénasCourrier du lecteur - Journal L’IntrusSi vous avez des questions ou des commentaires à faireau sujet de notre journal, vous pouvez nous les faire parveniren tout temps par courrier électronique à l’adresse suivante:journalintrus@hotmail.comMerci! L’équipe de L’IntrusPage 16Fourchette AdoLe restaurant est ouvert pour tout le personnel,mais aussi pour les élèves!Venez déjeuner ou dîner!local c1-408 dans le corridor menant à la cafétériac’est sympathique et super bon!