Deinove et Tereos envisagent <strong>la</strong> production de biocarburant à l'échelle <strong>industrie</strong>lle pour 2012-2013–Say) et à deux <strong>la</strong>boratoiresde recherches du CNRS, estdans un premier temps deremp<strong>la</strong>cer les levures parune bactérie Deinococcus,afin d’améliorer le procédéexistant.Les souches ayant lesfermentation serait plusefficace à 45°C. De mêmeles levures sont plussensibles à l'éthanol que lesbactéries.D’autres équipes travaillentsur <strong>la</strong> bactérie E. coli enmodifiant ses gènes pourDeinove prévoit deprésenter son meilleurcandidat Deinococcus dansmoins d’une année, afin dele confier à Tereos pour <strong>la</strong>phase pilote en usinejusqu’à fin 2012 -début2013. Si cette phase estmeilleures activitésobtenir de l’alcool à partir concluante, leDeinove, qui propose unenzymatiques, lesdes sucres ou directement microorganisme passera enprocédé original demeilleures capacités de de l’hémicellulose. Pour le usine.production de bioéthanol,résistances auxDirecteur de Deinove, les http://www.blogagroalimenenvisagent l'utilisationtempératures élevées, aux déinocoques ont l’avantage taire.com/?deinove-et-d'une bactérie qui pourraitvariations d’acidité, àde ne pas être pathogènes, tereos-envisagent-<strong>la</strong>-avoir un potentiel del’alcool sont en cours de de ne pas avoir besoin de production-de-production de bioéthanolsélection. En général, les nombreusesbiocarburant-a-l-echelle-plus important que leslevures sont sensibles à <strong>la</strong> transformations<strong>industrie</strong>lle-pour-2012-levures utilisées dans cestempérature qui ne doit pas génétiques, et d’avoir un 2013procédés. Le projet dedépasser 30°C dans legénome d’une grandeDeinove, associé àfermenteur, alors que <strong>la</strong> stabilité.l’<strong>industrie</strong>l Tereos (Béghinhttp://www.blogagroalimentaire.com du 04/03/2010Genencor Présente Accellerase(R) DUETGenencor, une des filiales deDanisco, propose unnouveau cocktailenzymatique, Accellerase (R)DUET, qui représente <strong>la</strong>dernière générationd'enzymes destinées àconvertir <strong>la</strong> biomasse ensucres, étape essentielledans <strong>la</strong> production d'éthanolcellulosique et d'autresbiocarburants et bioproduitschimiques avancés d'originenon alimentaire.Avec une activitéhémicellu<strong>la</strong>se améliorée,Accellerase (R) DUET reposesur les avancées dans letraitement de <strong>la</strong> bétaglucosidaseet de <strong>la</strong> cellu<strong>la</strong>sequ'avait permis Accellerasehttp://www.blogagroalimentaire.com/ du 28/02/2010(R) 1500. Ces améliorationsadditionnelles permettraientà Accellerase (R) DUETd'atteindre des rendementssucre et biocarburant plusimportants, souvent pour undosage trois fois moinsimportant et d'être flexiblevis-à-vis du stock - et duprétraitement. Accellerase(R) DUET emploie uneformule à base de brouetcomplet qui offre auxorganismes les nutrimentsnécessaires à <strong>la</strong>fermentation et abaisse <strong>la</strong>charge chimique dans lesprocessus de nos clients.<strong>Une</strong> meilleure performancepour une dose moindreconduira à des améliorationssignificatives en termes decoûts d'utilisation desenzymes pour lesproducteurs, un pointcentral au développementdu secteur des biocarburantscellulosiques.CNI World <strong>la</strong>nce Fibregum Clear, pour des boissons fonctionnelles enrichies en fibresCNI <strong>la</strong>nce FibregumClear, une versionhautement purifiéeet c<strong>la</strong>rifiée deFibregum quipermet de préserver<strong>la</strong> limpidité et <strong>la</strong>bril<strong>la</strong>nce desboissons enrichies enfibres. Obtenu grâceà un procédé depurificationspécifique,Fibregum Clearoffre tous lesbénéfices deFibregum, pour desapplications deboissonfonctionnelles.Par sa haute teneuren fibres solubles(minimum 90%),Fibregum présented’exceptionnellespropriétésnutritionnelles,scientifiquementvalidées, dont uneffet prébiotique<strong>la</strong>rgement reconnu.Fibregum permetainsi d'équilibrer <strong>la</strong>flore intestinale, defavoriser ledéveloppement des"bonnes" bactéries(Bifidobacteria,Lactobacilli) et induit<strong>la</strong> productiond'acides gras àchaînes courtes dontles bénéficespotentiels surl'organisme ne sontplus à démontrer.Fibregum est parailleurs très bientoléré : consomméjusqu’à 50g/j, iln’induit pas lesdésordres digestifsrencontrés lors del’ingestion d’autresfibres solubles. Safaible valeurcalorique et plusparticulièrement sonexcellente stabilitéen milieu acide luipermettent d’êtreutilisé sanscontrainte dans desapplicationsboissons, jus defruits, etc.L'ajout deFibregum Clear,http://www.blogagroalimentaire.com/ du 25/03/2010fibre 100% naturelle,aux boissonsfonctionnelles pourrapermettre desallégations du type"enrichi en fibres",ou "source de fibres".4
<strong>Tunisie</strong> - Les fruits de mer passent l’épreuve de <strong>la</strong> certification européenneLes producteurs et exportateurs tunisiens de fruits de mer, La première directive est donc une exigence decontrairement à leurs homologues de pays arabes, ont eule grand mérite d’avoir passé avec succès les épreuves decertification et de traçabilité que l’Union européenne leura fait subir, depuis des années, par le biais de deuxcertification. Elle impose aux exportateurs tunisiens decertifier les fruits de mer exportés conformes aux normesde qualité et aux règles exigées en matière d’hygiène, desécurité alimentaire et de préservation de <strong>la</strong> santé desdirectives sur <strong>la</strong> pêche du poisson exporté vers <strong>la</strong> consommateurs. L’adoption de cette certification, <strong>la</strong>Communauté européenne. Pour mieux comprendre cette première directive européenne adoptée par <strong>la</strong> <strong>Tunisie</strong>, enterminologie technique rébarbative, rappelons que <strong>la</strong> matière d’agroalimentaire, a permis à notre payscertification est une déc<strong>la</strong>ration assurant que certaines d’exporter, en 2008 (année de crise), 20 mille tonnes despécifications, comme par exemple <strong>la</strong> récolte, <strong>la</strong> fruits de mer (-6,5% par rapport à 2007) pour une valeur entransformation ou <strong>la</strong> manutention, ont été effectuées dansle respect de normes environnementales, sociales ou dequalité et salubrité des aliments. La traçabilité est, quant àelle, un processus mécanique qui documente les diversstades de <strong>la</strong> production et de <strong>la</strong> distribution des produitsdevises de 237 MDT (+2,1%). Vient ensuite <strong>la</strong> directive sur<strong>la</strong> traçabilité. Avec l'entrée en vigueur de <strong>la</strong> légis<strong>la</strong>tioneuropéenne sur l'étiquetage et <strong>la</strong> traçabilité, les pays tiers,comme <strong>la</strong> <strong>Tunisie</strong>, sont obligés d'appliquer des règleséquivalentes avant d'exporter leurs produits vers l'UE.alimentaires. Selon <strong>la</strong> définition de l'Organisation Les pays tiers ne pourront exporter vers l'UE que lesInternationale de Normalisation (OIN), <strong>la</strong> traçabilité est"l'aptitude à retrouver l'historique, l'utilisation ou <strong>la</strong>produits de pêche figurant sur les listes établies par <strong>la</strong>Communauté. Ces produits devront être dotés d'étiquetteslocalisation d'une entité au moyen d'identifications indiquant c<strong>la</strong>irement leur appel<strong>la</strong>tion commerciale, lesenregistrées. La mise en pratique de <strong>la</strong> traçabilité supposel'é<strong>la</strong>boration de systèmes qui fournissent des informationsméthodes de production et <strong>la</strong> zone de capture du poisson.<strong>Une</strong> approche restrictive au niveau des listes pourraitsur l'ensemble du cycle de vie des produits alimentaires, constituer une importante barrière non tarifaire aude <strong>la</strong> ferme -ou de <strong>la</strong> mer- à <strong>la</strong> table". Faut-il le rappeler, commerce. Globalement, <strong>la</strong> recherche sur les systèmes deces restrictions exigées à l’importation ont été rendues traçabilité du poisson et l'expérience pratique ont révélénécessaires à <strong>la</strong> suite des multiples crises alimentaires qui l'existence de divers goulots d'étranglement pour leont gravement touché l’Europe : ma<strong>la</strong>die de <strong>la</strong> vache folle,affaire de <strong>la</strong> dioxine. Depuis, le concept de traçabilité desproduits alimentaires est devenue une question d'intérêtspécial pour les décideurs et les scientifiques européens.poisson capturé, le poisson issu des pêches artisanales etles produits de <strong>la</strong> pêche hautement é<strong>la</strong>borés.La <strong>Tunisie</strong>, déterminée à préserver sa part de ce marchéfort rémunérateur, n’a cessé au fil des années à seconformer aux directives européennes. C’est dans cetteoptique qu’elle a institué «le repos biologique» dans deszones hautement stratégiques, tel que le golfe de Gabèsréputé pour être <strong>la</strong> frayère de <strong>la</strong> Méditerranée. Dans cetteperspective s’inscrit, également, l’adoption par leParlement d’un projet de loi visant à limiter le nombre desinfractions commises par les unités de pêche tunisienneset étrangères, lors de <strong>la</strong> période du repos biologique, àdissuader les contrevenants, à travers l’augmentation dessanctions financières et à préserver l’écosystème (13 avril2010). Selon le ministre de l’Agriculture et de <strong>la</strong> Pêche, M.Abdessalem Mansour, les infractions enregistrées durant <strong>la</strong>période de repos biologique (trois mois) sont commises pardes unités de pêche étrangères. A signaler que les amendesexigées varient selon <strong>la</strong> gravité de l’infraction, de mille à100 mille dinars et de 30.000 à 300 mille dinars. Despeines de prison de deux mois à deux ans sont égalementprévues par <strong>la</strong> loi.http://www.webmanagercenter.com/hebdo/article.php?no=0014&id=89172<strong>Tunisie</strong>-Agroalimentaire : Masmoudi se prépare pour <strong>la</strong> FranchiseGardant toujours <strong>la</strong> même passion pour le métier, l’enseigne tunisienne de pâtisserie orientale, Masmoudi, compteaccélérer d’avantage son développement en France. Présent dans ce pays depuis 1997, cette fois ci, le groupe espères’impliquer dans <strong>la</strong> Franchise et ce avec l’ouverture de 3 à 4 points de vente en France et dans le sud de l’Hexagone,indique le magazine français spécialisé de <strong>la</strong> franchise. Plus encore, Masmoudi qui a procédé dés son imp<strong>la</strong>ntation enFrance à l’adaptation de ses produits aux demandes exigées telles que des pâtisseries légèrement moins sucrées, compteégalement ouvrir au printemps 2010 son troisième point de vente dans l’Hexagone, sur le boulevard Sébastopol, à Paris.Masmoudi est une chaîne tunisienne de pâtisseries orientales et autres douceurs (thé, halva, sirop, huile d’olive). Elleaffiche une identité visuelle forte, marquée par une façade tout en b<strong>la</strong>nc et bleu de Sidi Bou Saïd. Maison de pâtisseriefine fondée par Madame Moufida Masmoudi à Sfax, en 1972, l’entreprise doit son succès à un savoir-faire "allianttradition et innovation". Aujourd’hui dirigée par ses trois fils, elle dispose d’une capacité de production annuelledépassant les 350 tonnes grâce à un effectif de plus de 300 employés.http://www.dev-export.com/detailsnews.php?numnews=42985