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Secteur : Industries Agroalimentaires A la Une - Tunisie industrie

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Décret N°2010-699 du 05/04/2010, fixant les modalités et les conditions d’octroi et de retrait de l’autorisation auxexportations privés à exporter l’huile d’olive tunisienne dans le cadre du quota accordé à <strong>la</strong> <strong>Tunisie</strong> par l’Unioneuropéenne au titre de l’année 2010Arrêté du ministre de l’agriculture, des ressources hydrauliques et de <strong>la</strong> pêche du 13/04/2010, portant modification del’arrêté du 21/05/2008 re<strong>la</strong>tif à l’organisation de <strong>la</strong> pêche du thon rougeJORT N°31 du 16 Avril 2010Décret N°2010-656 du 05/04/2010, fixant le montant et les modalités d’octroi de <strong>la</strong> prime accordée au titre desinvestissements réalisés dans les activités de recherche-développement.JORT N°30 du 13 Avril 2010Arrêté du ministre de l’agriculture, des ressources hydrauliques et de <strong>la</strong> pêche du 26/03/2010, portant modification del’arrêté du ministre de l’agriculture du 18/08/1992, fixant <strong>la</strong> liste des végétaux et produits végétaux dont l’entrée enterritoire tunisien est interdite.Arrêté du ministre de l’agriculture, des ressources hydrauliques et de <strong>la</strong> pêche du 26/03/2010, portant modification del’arrêté du ministre de l’agriculture du 15/09/1992, fixant les exigences phytosanitaires ainsi que les modalités decontrôle de végétaux et produits végétaux importés en <strong>Tunisie</strong>.Arrêté du ministre de l’agriculture, des ressources hydrauliques et de <strong>la</strong> pêche du 26/03/2010, modifiant et complétantl’arrêté du 19/09/1998, fixant les modalités de contrôle sanitaire et de surveil<strong>la</strong>nce des conditions de production desproduits de <strong>la</strong> pêche et de leur mise sur le marché.JORT N°26 du 30 mars 2010Règlement (UE) n o 254/2010 de <strong>la</strong> Commission du 10 mars 2010 portant approbation d’un programme de contrôle dessalmonelles parmi les vo<strong>la</strong>illes de certains pays tiers conformément au règlement (CE) n o 2160/2003 du Parlementeuropéen et du Conseil et modifiant l’annexe I du règlement (CE) n o 798/2008 en ce qui concerne le statut de certainspays tiers en matière de contrôle des salmonelles (1)http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2010:080:0001:0009:FR:PDFRèglement (UE) n o 242/2010 de <strong>la</strong> Commission du 19 mars 2010 portant création du catalogue des matières premièrespour aliments des animaux (1)http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2010:077:0017:0032:FR:PDF2010/172/UE- Décision de <strong>la</strong> Commission du 22 mars 2010 modifiant <strong>la</strong> décision 2002/840/CE en ce qui concerne <strong>la</strong>liste des unités agréées dans les pays tiers pour l’irradiation des denrées alimentaires [notifiée sous le numéro C(2010)1707] (1)http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2010:075:0033:0034:FR:PDFRèglement (UE) no 238/2010 de <strong>la</strong> Commission du 22/03/2010 portant modification de l’annexe V du règlement (CE)no 1333/2008 du Parlement européen et du Conseil en ce qui concerne l’exigence d’étiquetage applicable aux boissonstitrant plus de 1,2 % d’alcool en volume et contenant certains colorants alimentaires (1)http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2010:075:0017:0017:FR:PDFRèglement (UE) no 206/2010 de <strong>la</strong> Commission du 12/03/2010 établissant des listes des pays tiers, territoires ou partiesde pays tiers ou territoires en provenance desquels l’introduction dans l’Union européenne de certains animaux etviandes fraîches est autorisée, et définissant les exigences applicables en matière de certification vétérinaire (1)http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2010:073:0001:0121:FR:PDF2010/161/UERecommandation de <strong>la</strong> Commission du 17/03/2010 re<strong>la</strong>tive à <strong>la</strong> surveil<strong>la</strong>nce des substances perfluoroalkylées dans lesdenrées alimentaires (1)http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2010:068:0022:0023:FR:PDF2010/147/UEDécision de <strong>la</strong> Commission du 8 mars 2010 concernant un projet de décret de <strong>la</strong> Grèce re<strong>la</strong>tif à l’affichage, sur desproduits <strong>la</strong>itiers en tous genres, d’informations sur le pays d’origine de <strong>la</strong> matière première (le <strong>la</strong>it) utilisée pour <strong>la</strong>fabrication de ces produits vendus au consommateur final, et re<strong>la</strong>tif aux obligations des détail<strong>la</strong>nts en matière deprésentation des produits <strong>la</strong>itiers dans leurs points de vente [notifiée sous le numéro C(2010) 1195] (1)http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2010:058:0020:0021:FR:PDFRèglement (UE) n o 178/2010 de <strong>la</strong> Commission du 02/03/2010 modifiant le règlement (CE) n o 401/2006 en ce quiconcerne les arachides, les autres graines oléagineuses, les fruits à coque, les noyaux d’abricot, <strong>la</strong> réglisse et l’huilevégétale (1)http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2010:052:0032:0043:FR:PDF2010/133/UERecommandation de <strong>la</strong> Commission du 02/03/2010 concernant <strong>la</strong> prévention et <strong>la</strong> réduction de <strong>la</strong> contamination deseaux-de-vie de fruits à noyaux et des eaux-de-vie de marc de fruits à noyaux par le carbamate d’éthyle, ainsi que le suivides teneurs en carbamate d’éthyle dans ces boissons (1)http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2010:052:0053:0057:FR:PDF2


Neosens reçoit le premier prix aux Trophées de l’Innovation CFIA 2010 dans <strong>la</strong> catégorie ‘Equipements &Procédés’Le dernier-né de Neosens, <strong>la</strong>de vos usines et dans vosFS-1000, a été conçu pourchaînes de mesure et de<strong>la</strong> mesure locale, en continusupervision (alimentationet in-situ de l’encrassementdans les canalisations, leséchangeurs et les réacteurs.Fondée sur un principeNeosens a été récompenséeen recevant le 1er prix desTrophées de l’Innovationdans <strong>la</strong> catégorie‘Equipements & Procédés’pour sa solution desurveil<strong>la</strong>nce en continu eten ligne des encrassementsdans le secteur del’agroalimentaire : <strong>la</strong> sondede mesure FS-1000. Mr.Michel Pinel, Directeur dupôle Valoreal, a remis lefameux trophée à LaurentAuret, Fondateur deNeosens, lors de <strong>la</strong> soiréeCFIA 2010.micro-thermique (breveté)et utilisant les capteursMEMS, <strong>la</strong> sonde FS-1000 estdirectement imp<strong>la</strong>ntée sur<strong>la</strong> conduite pour suivre entemps réel <strong>la</strong> formation (oule nettoyage) du dépôt qu’ilsoit de type organique(biofilm) ou minéral (tartre).Elle permet ainsid’optimiser les différentsprotocoles de nettoyage enp<strong>la</strong>ce, d’allonger les cyclesde fabrication de produitsagroalimentaires et deréduire les consommationsénergétiques et d’eau, touten limitant les rejets.Utilisable dans n'importequel type de liquide plus ouhttp://www.blogagroalimentaire.com du 22/03/2010moins complexe (eau, <strong>la</strong>it,soupe, crème, sucre, rhum,produits de raffinerie, eauxb<strong>la</strong>nches de papeterie...), <strong>la</strong>FS-1000 possède lescaractéristiques suivantes :• corps en acierinoxydable (c<strong>la</strong>sse 316L), <strong>la</strong>sonde FS-1000 peutfonctionner jusqu'à 150 °Csous 30 bars en continu,• double gamme demesure (0-1mm, 0-5mm)avec une excellentesensibilité de l’ordre dequelques microns,• sans étalonnagepréa<strong>la</strong>ble, <strong>la</strong> sonde estcalibrée en usine et nenécessiteaucunemaintenance particulière,• destinée auxapplications <strong>industrie</strong>lles etcertifiée EHEDG, elles’intègre totalement dansl’environnement <strong>industrie</strong>len 12Vdc et recopies 4-20mA en standard).« Nous sommes très fiers derecevoir ce trophée,souligne Thierry Brisard, P-DG de Neosens, quirécompense un long travailde mise au point effectuépar l’équipe technique. Lamission de notre sociétés’en trouve ainsi renforcée :fournir à nos clients<strong>industrie</strong>ls des solutionsinnovantesd’instrumentation à base decapteurs MEMS qui leurpermet d’optimiser lesperformances de leursprocédés tout en réduisantleurenvironnemental ».impactEvolva développe de nouvelles voies de production d'ingrédients alimentaires par fermentationbiotechnologiepharmaceutique,vient d'annoncer ledémarrage d'unprogramme derecherche pourQuatre groupes derecherche leader auDanemark participentà ce projet :l'Université deCopenhague,L'objectif est dedévelopper des usinescellu<strong>la</strong>ires dédiées à<strong>la</strong> production de cesingrédients parfermentation. CesEvolva espèrecommercialiser lesproduits issus de cesrésultats derecherche d'ici quatreans.développer denouvelles voies deproduction del'UniversitéTechnique Danoise,Danisco, et lerecherches sontfinancées en partiepar une subventionEvolva, groupe suissespécialisé dans <strong>la</strong>vanilline etd'arabinoga<strong>la</strong>ctane.<strong>la</strong>boratoire LawrenceBerkeley National.du Danish Council forStrategic Research.http://www.blogagroalimentaire.com/ du 15/03/2010Ga<strong>la</strong>ctic propose Promeat Plus pour réduire <strong>la</strong> teneur en sel des viandesPromeat Plus est unsembables au chlorure deingrédient développé par sodium. Lancé lors duGa<strong>la</strong>ctic acid quiFood Ingredients Europepermettrait de réduire <strong>la</strong> 2009, Ga<strong>la</strong>ctic a présentéquantité de nitrites ajoutée une formu<strong>la</strong>tiondans les produits carnés permettant de réduire desans impact sur <strong>la</strong> couleur 40% <strong>la</strong> quantité de selni <strong>la</strong> texture. Cetajoutée dans des saucissesingrédient possède des de Francfort.propriétés fonctionnelleshttp://www.blogagroalimentaire.com du 23/03/2010Cet ingrédient, à base de<strong>la</strong>ctate de sodium et de dediacétate de sodium, seprésente sous formeliquide. Promeat plus peutêtre adapté en fonction desbesoins des clients. Il estactuellement disponible enScandinavie, au Benelux eten France.Wild F<strong>la</strong>vors développe de nouvelles couleurs naturellesWild F<strong>la</strong>vor annonce <strong>la</strong> colorant, destiné àdevrait révolutionnercommercialisation d'uncolorant alimentairenaturel stable enconditions acides bleu. Cel'alimentaire et auxboissons est stable enconditions acides (dans unegamme de pH comprisel'<strong>industrie</strong> agroalimentaireavec de nouvelles palettesde couleurs bleues al<strong>la</strong>nt dubleu-vert au bleu-violet.nouveau colorant vientcompléter <strong>la</strong> gamme deNature®. Ce nouveauentre 2,5 et 8,0). D'aprèsWild F<strong>la</strong>vors, cedéveloppement brevetéhttp://www.blogagroalimentaire.com/?p3 du 29/03/20103


Deinove et Tereos envisagent <strong>la</strong> production de biocarburant à l'échelle <strong>industrie</strong>lle pour 2012-2013–Say) et à deux <strong>la</strong>boratoiresde recherches du CNRS, estdans un premier temps deremp<strong>la</strong>cer les levures parune bactérie Deinococcus,afin d’améliorer le procédéexistant.Les souches ayant lesfermentation serait plusefficace à 45°C. De mêmeles levures sont plussensibles à l'éthanol que lesbactéries.D’autres équipes travaillentsur <strong>la</strong> bactérie E. coli enmodifiant ses gènes pourDeinove prévoit deprésenter son meilleurcandidat Deinococcus dansmoins d’une année, afin dele confier à Tereos pour <strong>la</strong>phase pilote en usinejusqu’à fin 2012 -début2013. Si cette phase estmeilleures activitésobtenir de l’alcool à partir concluante, leDeinove, qui propose unenzymatiques, lesdes sucres ou directement microorganisme passera enprocédé original demeilleures capacités de de l’hémicellulose. Pour le usine.production de bioéthanol,résistances auxDirecteur de Deinove, les http://www.blogagroalimenenvisagent l'utilisationtempératures élevées, aux déinocoques ont l’avantage taire.com/?deinove-et-d'une bactérie qui pourraitvariations d’acidité, àde ne pas être pathogènes, tereos-envisagent-<strong>la</strong>-avoir un potentiel del’alcool sont en cours de de ne pas avoir besoin de production-de-production de bioéthanolsélection. En général, les nombreusesbiocarburant-a-l-echelle-plus important que leslevures sont sensibles à <strong>la</strong> transformations<strong>industrie</strong>lle-pour-2012-levures utilisées dans cestempérature qui ne doit pas génétiques, et d’avoir un 2013procédés. Le projet dedépasser 30°C dans legénome d’une grandeDeinove, associé àfermenteur, alors que <strong>la</strong> stabilité.l’<strong>industrie</strong>l Tereos (Béghinhttp://www.blogagroalimentaire.com du 04/03/2010Genencor Présente Accellerase(R) DUETGenencor, une des filiales deDanisco, propose unnouveau cocktailenzymatique, Accellerase (R)DUET, qui représente <strong>la</strong>dernière générationd'enzymes destinées àconvertir <strong>la</strong> biomasse ensucres, étape essentielledans <strong>la</strong> production d'éthanolcellulosique et d'autresbiocarburants et bioproduitschimiques avancés d'originenon alimentaire.Avec une activitéhémicellu<strong>la</strong>se améliorée,Accellerase (R) DUET reposesur les avancées dans letraitement de <strong>la</strong> bétaglucosidaseet de <strong>la</strong> cellu<strong>la</strong>sequ'avait permis Accellerasehttp://www.blogagroalimentaire.com/ du 28/02/2010(R) 1500. Ces améliorationsadditionnelles permettraientà Accellerase (R) DUETd'atteindre des rendementssucre et biocarburant plusimportants, souvent pour undosage trois fois moinsimportant et d'être flexiblevis-à-vis du stock - et duprétraitement. Accellerase(R) DUET emploie uneformule à base de brouetcomplet qui offre auxorganismes les nutrimentsnécessaires à <strong>la</strong>fermentation et abaisse <strong>la</strong>charge chimique dans lesprocessus de nos clients.<strong>Une</strong> meilleure performancepour une dose moindreconduira à des améliorationssignificatives en termes decoûts d'utilisation desenzymes pour lesproducteurs, un pointcentral au développementdu secteur des biocarburantscellulosiques.CNI World <strong>la</strong>nce Fibregum Clear, pour des boissons fonctionnelles enrichies en fibresCNI <strong>la</strong>nce FibregumClear, une versionhautement purifiéeet c<strong>la</strong>rifiée deFibregum quipermet de préserver<strong>la</strong> limpidité et <strong>la</strong>bril<strong>la</strong>nce desboissons enrichies enfibres. Obtenu grâceà un procédé depurificationspécifique,Fibregum Clearoffre tous lesbénéfices deFibregum, pour desapplications deboissonfonctionnelles.Par sa haute teneuren fibres solubles(minimum 90%),Fibregum présented’exceptionnellespropriétésnutritionnelles,scientifiquementvalidées, dont uneffet prébiotique<strong>la</strong>rgement reconnu.Fibregum permetainsi d'équilibrer <strong>la</strong>flore intestinale, defavoriser ledéveloppement des"bonnes" bactéries(Bifidobacteria,Lactobacilli) et induit<strong>la</strong> productiond'acides gras àchaînes courtes dontles bénéficespotentiels surl'organisme ne sontplus à démontrer.Fibregum est parailleurs très bientoléré : consomméjusqu’à 50g/j, iln’induit pas lesdésordres digestifsrencontrés lors del’ingestion d’autresfibres solubles. Safaible valeurcalorique et plusparticulièrement sonexcellente stabilitéen milieu acide luipermettent d’êtreutilisé sanscontrainte dans desapplicationsboissons, jus defruits, etc.L'ajout deFibregum Clear,http://www.blogagroalimentaire.com/ du 25/03/2010fibre 100% naturelle,aux boissonsfonctionnelles pourrapermettre desallégations du type"enrichi en fibres",ou "source de fibres".4


<strong>Tunisie</strong> - Les fruits de mer passent l’épreuve de <strong>la</strong> certification européenneLes producteurs et exportateurs tunisiens de fruits de mer, La première directive est donc une exigence decontrairement à leurs homologues de pays arabes, ont eule grand mérite d’avoir passé avec succès les épreuves decertification et de traçabilité que l’Union européenne leura fait subir, depuis des années, par le biais de deuxcertification. Elle impose aux exportateurs tunisiens decertifier les fruits de mer exportés conformes aux normesde qualité et aux règles exigées en matière d’hygiène, desécurité alimentaire et de préservation de <strong>la</strong> santé desdirectives sur <strong>la</strong> pêche du poisson exporté vers <strong>la</strong> consommateurs. L’adoption de cette certification, <strong>la</strong>Communauté européenne. Pour mieux comprendre cette première directive européenne adoptée par <strong>la</strong> <strong>Tunisie</strong>, enterminologie technique rébarbative, rappelons que <strong>la</strong> matière d’agroalimentaire, a permis à notre payscertification est une déc<strong>la</strong>ration assurant que certaines d’exporter, en 2008 (année de crise), 20 mille tonnes despécifications, comme par exemple <strong>la</strong> récolte, <strong>la</strong> fruits de mer (-6,5% par rapport à 2007) pour une valeur entransformation ou <strong>la</strong> manutention, ont été effectuées dansle respect de normes environnementales, sociales ou dequalité et salubrité des aliments. La traçabilité est, quant àelle, un processus mécanique qui documente les diversstades de <strong>la</strong> production et de <strong>la</strong> distribution des produitsdevises de 237 MDT (+2,1%). Vient ensuite <strong>la</strong> directive sur<strong>la</strong> traçabilité. Avec l'entrée en vigueur de <strong>la</strong> légis<strong>la</strong>tioneuropéenne sur l'étiquetage et <strong>la</strong> traçabilité, les pays tiers,comme <strong>la</strong> <strong>Tunisie</strong>, sont obligés d'appliquer des règleséquivalentes avant d'exporter leurs produits vers l'UE.alimentaires. Selon <strong>la</strong> définition de l'Organisation Les pays tiers ne pourront exporter vers l'UE que lesInternationale de Normalisation (OIN), <strong>la</strong> traçabilité est"l'aptitude à retrouver l'historique, l'utilisation ou <strong>la</strong>produits de pêche figurant sur les listes établies par <strong>la</strong>Communauté. Ces produits devront être dotés d'étiquetteslocalisation d'une entité au moyen d'identifications indiquant c<strong>la</strong>irement leur appel<strong>la</strong>tion commerciale, lesenregistrées. La mise en pratique de <strong>la</strong> traçabilité supposel'é<strong>la</strong>boration de systèmes qui fournissent des informationsméthodes de production et <strong>la</strong> zone de capture du poisson.<strong>Une</strong> approche restrictive au niveau des listes pourraitsur l'ensemble du cycle de vie des produits alimentaires, constituer une importante barrière non tarifaire aude <strong>la</strong> ferme -ou de <strong>la</strong> mer- à <strong>la</strong> table". Faut-il le rappeler, commerce. Globalement, <strong>la</strong> recherche sur les systèmes deces restrictions exigées à l’importation ont été rendues traçabilité du poisson et l'expérience pratique ont révélénécessaires à <strong>la</strong> suite des multiples crises alimentaires qui l'existence de divers goulots d'étranglement pour leont gravement touché l’Europe : ma<strong>la</strong>die de <strong>la</strong> vache folle,affaire de <strong>la</strong> dioxine. Depuis, le concept de traçabilité desproduits alimentaires est devenue une question d'intérêtspécial pour les décideurs et les scientifiques européens.poisson capturé, le poisson issu des pêches artisanales etles produits de <strong>la</strong> pêche hautement é<strong>la</strong>borés.La <strong>Tunisie</strong>, déterminée à préserver sa part de ce marchéfort rémunérateur, n’a cessé au fil des années à seconformer aux directives européennes. C’est dans cetteoptique qu’elle a institué «le repos biologique» dans deszones hautement stratégiques, tel que le golfe de Gabèsréputé pour être <strong>la</strong> frayère de <strong>la</strong> Méditerranée. Dans cetteperspective s’inscrit, également, l’adoption par leParlement d’un projet de loi visant à limiter le nombre desinfractions commises par les unités de pêche tunisienneset étrangères, lors de <strong>la</strong> période du repos biologique, àdissuader les contrevenants, à travers l’augmentation dessanctions financières et à préserver l’écosystème (13 avril2010). Selon le ministre de l’Agriculture et de <strong>la</strong> Pêche, M.Abdessalem Mansour, les infractions enregistrées durant <strong>la</strong>période de repos biologique (trois mois) sont commises pardes unités de pêche étrangères. A signaler que les amendesexigées varient selon <strong>la</strong> gravité de l’infraction, de mille à100 mille dinars et de 30.000 à 300 mille dinars. Despeines de prison de deux mois à deux ans sont égalementprévues par <strong>la</strong> loi.http://www.webmanagercenter.com/hebdo/article.php?no=0014&id=89172<strong>Tunisie</strong>-Agroalimentaire : Masmoudi se prépare pour <strong>la</strong> FranchiseGardant toujours <strong>la</strong> même passion pour le métier, l’enseigne tunisienne de pâtisserie orientale, Masmoudi, compteaccélérer d’avantage son développement en France. Présent dans ce pays depuis 1997, cette fois ci, le groupe espères’impliquer dans <strong>la</strong> Franchise et ce avec l’ouverture de 3 à 4 points de vente en France et dans le sud de l’Hexagone,indique le magazine français spécialisé de <strong>la</strong> franchise. Plus encore, Masmoudi qui a procédé dés son imp<strong>la</strong>ntation enFrance à l’adaptation de ses produits aux demandes exigées telles que des pâtisseries légèrement moins sucrées, compteégalement ouvrir au printemps 2010 son troisième point de vente dans l’Hexagone, sur le boulevard Sébastopol, à Paris.Masmoudi est une chaîne tunisienne de pâtisseries orientales et autres douceurs (thé, halva, sirop, huile d’olive). Elleaffiche une identité visuelle forte, marquée par une façade tout en b<strong>la</strong>nc et bleu de Sidi Bou Saïd. Maison de pâtisseriefine fondée par Madame Moufida Masmoudi à Sfax, en 1972, l’entreprise doit son succès à un savoir-faire "allianttradition et innovation". Aujourd’hui dirigée par ses trois fils, elle dispose d’une capacité de production annuelledépassant les 350 tonnes grâce à un effectif de plus de 300 employés.http://www.dev-export.com/detailsnews.php?numnews=42985


France/Stabilisation de l’excédent agroalimentaire en janvier 2010En janvier, l’excédent deséchanges agroalimentairesfrançais s’élève à 317millions d’euros. Il secontracte seulement de 4millions par rapport àjanvier 2009. Le déficitdisparaît avec les paystiers, effaçant en grandepartie le recul de l’excédentavec l’Union européenne.Les produits bruts sont enrepli. A l’opposé, lesproduits transformés seredressent. L’excédent deséchanges agroalimentairesfrançais s’élève à 317millions d’euros en janvier2010. Il perd 4 millionsd’euros par rapport àjanvier 2009. Lesexportations reculent deuxfois plus que lesimportations avec l’Unioneuropéenne. Inversement,avec les pays tiers,l’accroissement des ventesest du même ordre que lerepli des achats. Surl’Union européenne,l’excédent baisse de 198millions par rapport àjanvier 2009. Ce sont lestrois quarts de l’excédentqui ont disparu en produitstransformés, et le quartpour les produits bruts.Avec les pays tiers, le solderedevient positif, grâce auxproduits transformés quiretrouvent un <strong>la</strong>rgeexcédent, conjugué àl’allègement du déficit enproduits bruts (- 9 %).L’excédent des échanges enproduits agricoles brutss’élève à 127 millionsd’euros en janvier 2010. Ilcède 88 millions parrapport à janvier 2009. Lesexportations baissent dehttp://www.blogagroalimentaire.com/ du 23/03/2010124 millions d'euros (-12%)et les importations baissentde 36 millions d'euros (-6%). L’excédent deséchanges en produitsagricoles transformésatteint 190 millions d’eurosen janvier 2010, en haussede 80 %. Les exportationsreculent de 79 millions parrapport à janvier 2009. Lesimportations reculent de163 millions par rapport àjanvier 2009.Le prix du sucre pourrait bondir de 36%Des récoltes endommagées en Indepourraient obliger le pays à importerdu sucre. Son prix atteint aujourd'huiun record de 29 ans. Le prix du sucrepourrait bondir de 36% à un plus hautde 29 ans en raison d'une sécheresseen Inde qui a détruit une partie desrécoltes, obligeant le pays à importerpour <strong>la</strong> troisième année consécutive.C'est ce qu'a annoncé ce mercredi <strong>la</strong>société indienne Bajaj HindusthanLtd, premier producteur d'Inde, selonl'agence Bloomberg. L'Inde a étécontrainte de doubler sesimportations de sucre, à 7 millions detonnes, au cours de <strong>la</strong> saison qui s'estterminée fin septembre. Le prix de <strong>la</strong>livre de sucre cote 0,30 dol<strong>la</strong>r, unniveau pas vu depuis janvier 1981. Lalivre de sucre se négociait 12 cents enmai 2009.Rôle de <strong>la</strong> spécu<strong>la</strong>tionL'an dernier, le prix du sucre avaitdéjà atteint un record, en raison d'unesécheresse due au retard de <strong>la</strong> saisondes pluies au Brésil. La hausse desprix a également été alimentée par <strong>la</strong>chute des stocks de matière agricole à<strong>la</strong> fin de <strong>la</strong> campagne 2008-2009. Lasituation est inquiétante et pourraithttp://www.e24.fr/entreprises/agroalimentaire/article156573même empirer, selon certainscourtiers en matières premièresagricoles. D'autres spécialistespensent que les prix pourraientretomber, une fois que lesspécu<strong>la</strong>teurs seront sortis du marché.Rechute ?Selon <strong>la</strong> CFTC, les intervenants "noncommerciaux"représentaient près de26% des positions prises sur lemarché des contrats futures sur lesucre en octobre. Les contrats futurssur le sucre pour 2010 coteactuellement autour de 23 et 24 cents<strong>la</strong> livre. L'Inde est le deuxième paysproducteur de sucre dans le monde,avec 17,3 millions de tonnes en 2008-2009, loin derrière le Brésil (35,8millions de tonnes).La consommation de yaourts explose aux Etats-UnisLe groupe Danone espère Dannon, <strong>la</strong> filialevoir ses ventes croître dans américaine du groupeles prochaines années aux français, anticipe uneEtats-Unis. Le groupe vise croissance à deux chiffresune multiplication par deux des ventes de produitsde <strong>la</strong> consommation de <strong>la</strong>itiers aux Etats-Unis suryaourt par habitant dans le long terme. Actuellementles quatre ans à venir sur <strong>la</strong> consommation dece territoire. De ce fait yaourts aux Etats-Unishttp://www.blogagroalimentaire.com du 16/03/2010serait inférieure de 6 foispar rapport à celle del'Europe. La croissance de15% observée s'expliqueégalement par une baissedes prix des yaourts (suiteà <strong>la</strong> baisse du prix du <strong>la</strong>it) àpartir du second semestre2009.Santé: Actimel et Activia tournent au vinaigreDanone renonce à demander auprès de l'autorité européenne le <strong>la</strong>bel "santé" à ses deux alicaments vedettes. Un reversfinancier et stratégique. Danone ne semble pas persuadé des bienfaits pour <strong>la</strong> santé de ses yaourts vedettes Actimel etActivia.Le numéro un mondial des produits <strong>la</strong>itier a retiré sademande de validation des ces deux alicaments auprès de6l'autorité européennede sécurité desaliments (EFSA) quipeut autoriser ou non<strong>la</strong> publicité lesbienfaits supposéspour <strong>la</strong> santé de cesaliments. L'objectif estde faire le ménageentre les vraies etfausses assertions des<strong>industrie</strong>lsdel'agroalimentaire quimettent de plus enplus en avant lesbienfaits de leursproduits sur <strong>la</strong> santédans leur publicité.Risque de reca<strong>la</strong>geLe retrait de Danone<strong>la</strong>isse entendre qu'il apréféré se retireravant de se fairerecaler. Activia etActimel devaient fairel'objet d'un avis del'EFSA dans les"prochaines semaines".Officiellement, pourexpliquer ce choix, legroupe dirigé parFranck Riboud


dénonce un "manque de lisibilité" et dit attendre une"c<strong>la</strong>rification" des critères d'évaluation de l'EFSA. Legroupe <strong>la</strong>isse entendre qu'il pourrait le cas échéantdéposer un nouveau dossier, sans vraiment convaincre.Danone est donc en train de modifier ses pubs. EnFrance, toutes allusions au renforcement des défensesnaturelles, pour Actimel par exemple, sont passéesdepuis plusieurs mois à <strong>la</strong> trappe. Au Royaume-Uni, legroupe a modifié sa campagne de publicité sur Actimel,jugée trompeuse. Aux Etats-Unis, il a dû faire desaménagements.Un revers financier...Cette décision qui n'était pas attendue a été ma<strong>la</strong>ccueillie par <strong>la</strong> Bourse en dépit de bons résultatsfinanciers du premier trimestre. Le titre Danone a figuréparmi les baisses les plus importantes du CAC 40,clôturant en baisse de 1,56% à 45,86 euros. Pour Danone,l'enjeu est de taille. Activia et Actimel pèsent lourd. Ilsreprésentent 25% du chiffre d'affaires mondial desproduits <strong>la</strong>itiers frais, <strong>la</strong> branche <strong>la</strong> plus importante dugroupe (57% du total). Danone a déjà obtenu le feu vertpour deux autres de ses produits: Danacol, qui luttecontre le "mauvais cholestérol", et les "Petits Gervais"(Danino dans certains pays) qui apportent calcium ethttp://www.e24.fr/entreprises/agroalimentaire/article195162.ecevitamine aux enfants.En revanche, l'EFSA aémis des doutes enfévrier à propos deseffetsdel'immunofortis, uncocktaildeprébiotiques incorporédans les aliments pourbébés et censérenforcer leur systèmeimmunitaire....et stratégiqueCes revers touchent aucoeur de <strong>la</strong> stratégiedu groupe qui s'estorientée depuisplusieurs années sur lethème "<strong>la</strong> santé pourtousparl'alimentation". Il s'estmêmedéfaitd'activités, comme <strong>la</strong>bière, qui nerentraient pas dansson coeur de métier. I<strong>la</strong> aussi consacré dessommes importantes à<strong>la</strong> recherche et audéveloppement dont lebudget est passé detrois millions d'euros àune trentaine de 2005à 2008, selonSébastien Marque,chef des étudescliniques. PourActimel, par exemple,sept études cliniquesont été menées surplusieurs années pourun total de 12 millionsd'euros, dont <strong>la</strong> plusonéreuse a coûté 4,5millions d'euros.Le marché des aliments de santé revigoré par le biomilliards d’euros, selon uneétude publiée par XerfiResearch. Cette croissancecache cependant desdisparités. Ce sont lesproduits bio qui jouerontles têtes d’affiches, ou dumoins les têtes degondoles.Le marché des aliments de LES PRODUITS BIOSsanté n’est pas ma<strong>la</strong>de. Ses tireront l’ensemble desvertus thérapeutiques aliments santé avec desinvoquées à grand renfort taux de progressionde pub ont rendu ce secteur annuels de 10% de 2010 àtrès dynamique. Portrait à 2012, selon cette étude. Lel’horizon 2012 de ce segment pèsera 3,8domaine lucratif de l’agroalimentaire.contre 3 milliardsmilliards d’euros en 2012,Le marché des aliments aujourd’hui grâce à <strong>la</strong>santé est florissant. Il montée de <strong>la</strong>continuera à progresser « consommation engagée »jusqu’en 2012, pour et l’extension des gammess’approcher les huit sous marques dedistributeurs (MDD) pour <strong>la</strong>http://www.usinenouvelle.com/ N°130012grande distributionalimentaire.POUR LES COMPLEMENTSALIMENTAIRES, l’avenirest moins glorieux et <strong>la</strong>croissance plus faible. Maisc’est déjà un retour decroissance après deuxexercices difficiles en 2008et 2009, marqués par unrepli du marché. Grâce à <strong>la</strong>reprise économique maisaussi le vieillissement de <strong>la</strong>popu<strong>la</strong>tion et leremboursement de certainsmédicaments, le secteurdevrait voir l’horizon sedégager. Xerfi table sur unecroissance annuellemoyenne de 2,7% en 2010,2011 et 2012.LESALIMENTSFONCTIONNELS, du typeyaourts au bifidus oucéréales enrichies envitamines et minéraux,risquent <strong>la</strong> panne decroissance. Ce grandsecteur a profité d’uneforte croissance cesdernières années grâce àl’é<strong>la</strong>rgissement de l’offre de<strong>la</strong> part des marquesnationales et des MDD.Mais s’il a fortementprogressé en 2007-2008, lesecteur a commencé àrencontrer des difficultésen 2009. Le marchéprogressait en volume maisuniquement grâce à unepolitique de baisse des prix.Résultat, Xerfi prévoit unepetite croissance annuellemoyenne de 0,9%.7


FOODEXPO EXHIBITION /Salon arabe international des <strong>industrie</strong>s alimentaires et de l’embal<strong>la</strong>geDu 07 au 10 Juin 2010 Damas Syriehttp://www.foodexposyria.com/pkg10/info@foodexposyria.comPAMED : Salon méditerranéen de <strong>la</strong> production animale et des produits agricolesDu 08 au 10 juin 2010 Expo Center Médina - Yasmine Hammamet, <strong>Tunisie</strong>http://www.pamed-expo.com/ salons@medina.com.tnSalon libyen international de l’agriculture et de <strong>la</strong> pêcheDu 21 au 24 Juin 2010 Tripoli Libyehttp://www.agro-libya.com/ info@agro-Libya.comETHIOPIA FOOD & BEVERAGEEXPO/Salon professionnel international del’agroalimentaire et de l’embal<strong>la</strong>geDu 11 au 14 Juin 2010 Addis Abeba Ethiopiehttp://www.africantradefairs.ae/info@africantradefairs.aePROBIOTECH 2010Salon et conférence présentant les dernières avancéesscientifiques, technologiques et réglementaires dans ledomaine des prébiotiques et probiotiquesDu 22 au 23 juin 2010, Pariswww.probiotech.eu contact@event4science.comAGRO/Salon international del’agriculture et des machines agricolesDu 15 au 19 Juin 2010 Kiev Ukrainehttp://www.agro-expo.com/ info@agro-expo.comProFood/17 ème Convention d'affaires des procédés<strong>industrie</strong>ls et services du secteur agroalimentaireDu 22 au 23 juin 2010 - Parc des Expositions de <strong>la</strong>Beaujoire Nanteswww.profoodmeetings.com froos@advbe.com8


http://www.portail-algerie.comL'actualité des <strong>industrie</strong>s agroalimentaires. C’est un sitedéveloppé par Nathalie pour le portail Agrojob.com.Depuis quelques mois, <strong>la</strong> mise à jour est moins régulièreet les articles ressemblent beaucoup à des communiquésde presse.www.processalimentaire.comProcess Alimentaire est un mensuel consacré àl'actualité de l'agroalimentaire. En général, il présentel'actualité des entreprises (investissements, fusions...) etdes marchés de l'agroalimentaire, fait un "Grand Angle"pour présenter une entreprise innovante, puis descahiers "Ingrédients", "Qualité", "Procédés" et"Embal<strong>la</strong>ges" permettent d'avoir une idée c<strong>la</strong>ire sur lesdernières innovations dans ces domaines.www.intelligence-agro.euIntelligence-agro est un blog consacré à l'analyseconcurrentielle entre les grands groupes alimentaires, <strong>la</strong>veille stratégique et l'intelligence économique dans ledomaine de l'agroalimentaire. Ce blog est le fruit d'ungroupe de travail de l'Ecole de Guerre Economique(Paris, 3ème cycle de Stratégie d'IntelligenceEconomique ) qui désir partager sa vision du monde del'agroalimentaire et d'essayer de comprendre pourquoise secteur stratégique n'est pas mis plus en avant dansles media."Il ne faut pas attendre d'être parfait pour commencer quelque chose de bien."Abbé Pierre9

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