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C. DIFF QUIK CHEK multilingual 1-2009 pg1.pmd - TechLab

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32aux exigences des réglementations locales, nationales et/ou fédérales et/ou desorganismes d’accréditation.LIMITES1. Le test C. <strong>DIFF</strong> <strong>QUIK</strong> <strong>CHEK</strong> ® est utilisé pour détecter l’antigène C. difficile dans deséchantillons de selles. Ce test confirme la présence de glutamate déshydrogénasede C. difficile dans les selles et ces informations doivent être examinées par lemédecin avec le dossier médical du patient et les résultats des tests de détection detoxines. Un résultat positif au test C. <strong>DIFF</strong> <strong>QUIK</strong> <strong>CHEK</strong> ® NE confirme PASl’existence d’une souche de C. difficile TOXINOGÈNE. Si un résultat positif estobservé en utilisant le test C. <strong>DIFF</strong> <strong>QUIK</strong> <strong>CHEK</strong> ® , il est conseillé de recourir à destests complémentaires afin de confirmer la présence de la toxine. On peut aussiréaliser un essai de cytotoxicité par culture cellulaire pour vérifier la présence de latoxine.2. Les échantillons de selles sont extrêmement complexes. Le test C. <strong>DIFF</strong> <strong>QUIK</strong><strong>CHEK</strong> ® permet d’obtenir des résultats optimaux si les échantillons de selles ont étéprélevés moins de 24 heures à l’avance. La plupart des échantillons non diluéspeuvent être stockés à une température comprise entre 2º et 8ºC pendant 72 heuresavant qu’une dégradation significative ne puisse être observée. Si les échantillonsne sont pas testés pendant cette période, ils peuvent être congelés puis décongelés.Toutefois, la congélation et la décongélation peuvent entraîner l’immunoréactivité del’antigène.3. Certains échantillons peuvent créer des réactions faibles. Ce phénomène peutdécouler d’un certain nombre de facteurs tels que la présence de faibles quantitésd’antigène, la présence de substances anticorps ou la désactivation des enzymesdans les selles. Le cas échéant, tester un échantillon frais. Des testssupplémentaires peuvent être réalisés en association avec le test C. <strong>DIFF</strong> <strong>QUIK</strong><strong>CHEK</strong> ® . Ils comprennent notamment l’isolement de l’organisme dans un milieusélectif, des tests ELISA spécifiques à la toxine ou des essais de cytotoxicité parculture tissulaire permettant de détecter le C. difficile et sa toxine. L’isolement del’organisme ne permet pas de confirmer que l’organisme est toxinogène. Un testsupplémentaire de l’isolat réalisé via la méthode ELISA spécifique à la toxine ou unessai par culture tissulaire permet de le confirmer.4. Les échantillons de selles conservés dans du formol à 10 %, de formol thimérosal,dans du formol d’acétate de sodium ou de l’alcool polyvinylique NE peuvent PASêtre utilisés.5. Le test C. <strong>DIFF</strong> <strong>QUIK</strong> <strong>CHEK</strong> ® est un test qualitatif. L’intensité de la couleur ne doitpas être interprétée en termes quantitatifs.6. Des taux d’infestation pouvant atteindre 50 % ont été signalés chez des enfants. Unniveau élevé a également été signalé chez des patients atteints de mucoviscidose(1,3).7. La précision des résultats sur les patients pédiatriques est peu sûre, les performancesdu C. <strong>DIFF</strong> <strong>QUIK</strong> <strong>CHEK</strong> ® ayant été évaluées sur un nombre limitéd’échantillon provenant de ce type de patients.FOR INFORMATIONAL USEONLYVALEURS ATTENDUESLa maladie Clostridium difficile est principalement une maladie nosocomialedétectée chez les personnes âgées et la fréquence de cette maladie dépend de facteurstels que la population des patients, le niveau d’éducation et l’épidémiologie. Lesincidences de la maladie C. difficile signalées chez des patients présentant desdiarrhées associées aux antibiotiques sont comprises entre 5 et 20 %, les hôpitauxpouvant présenter des taux supérieurs ou inférieurs à ces chiffres. Il est important deconsidérer les résultats des tests en association avec les symptômes cliniques carcertains adultes sains et un grand nombre d’enfants sains (jusqu’à 50 %) présentent desrésultats positifs à la toxine du C. difficile. Par ailleurs, on a pu observer des tauxcompris entre 22 et 32 % de C. difficile chez des patients atteints de mucoviscidose

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