La route des phares en Aquitaine - Bordeaux

Bibliothèque municipale de BordeauxLA ROUTE DES PHARES EN AQUITAINEphoto © Ville de Royan400 ans du Phare de CordouanDocumentation Régionale - 2 ème étagemai 2011

SUGGESTION DE LECTURESChristophe BELSERBiarritz, il y a 100 ans : en cartes postales anciennesPatrimoines et médias, 2008Environ 400 cartes postales datant d’avant 1914 présentées en couleur dans cet ouvrage.Un regard nostalgique sur la ville et un témoignage sur la vie d’autrefois.Véronique BOUYSSOU de la SOTALe phare de BiarritzAtlantica, 2006Le phare, l’un des plus anciens monuments de Biarritz, a été érigé à la pointe du capSaint-Martin et domine la ville du haut de ses 44 mètres.Pierre LABORDEBiarritz : huit siècles d’histoire, 250 ans de bains de merAtlantica, 2008L’histoire de Biarritz des origines à nos jours. Simple village de pêcheurs, le lieu attire pour sesbains de mer vers 1780, devient par la suite une villégiature impériale et donne naissance à unestation balnéaire internationale. L’apogée de ce tourisme aristocratique se situe dans les années1920-1930. S’ensuit une période difficile qui prend fin à partir des années 1960.Bibliothèque municipale de Bordeaux - mai 20112

Julia MUSARDBayonne, Biarritz, Saint-Jean-de-LuzNathan, 2004A travers des photographies contemporaines et des cartes postales anciennes, cet ouvragepermet de découvrir l’histoire et le patrimoine de la côte basque et de ces trois ports.Dominique TARRIDELa Côte atlantiqueFlammarion, 2001Une collection qui propose une promenade en dehors des sentiers battus, au coeur d’une région,à la découverte des petits villages, des habitants et de leurs coutumes, au rythme des saisons etdes activités locales.Georges PIALLOUXLa Côte basque : de Guéthary à HendayeSutton, 1998Une promenade à Guéthary, Saint-Jean-de-Luz, Ciboure, Ascain, Urrugne et Hendaye à travers200 cartes postales et photographies anciennes.Bibliothèque municipale de Bordeaux - mai 20113

Guy LALANNEHistoire de la baie de Saint-Jean-de-Luz CibourePimientos, 2009Réunion de documents oubliés ou méconnus retraçant l’histoire de Saint-Jean-de-Luz qui manquad’être engloutie par les flots aux XVIIe et XVIIIe siècles, comme en témoigne un quartier entieraujourd’hui sous le sable. Reconstitution des étapes d’un sauvetage urbain sans précédent.Jean HINCKERLittoral aquitain, hors saison :rives et dérives de Hendaye à la pointe de GraveAtlantica, 2009J. Hincker invite à découvrir les plages désertées de la côte aquitaine à travers des images quidégagent un certain vague à l’âme et un sentiment d’humilité profonde.Aquitaine LittoraleLe Festin, 2010Un numéro consacré à la présentation du littoral aquitain, le Médoc, la côte basque, l’Estuaire etle bassin d’Arcachon. Il met en lumière des zones sensibles parfois difficiles d’accès mais dont lapréservation est fondamentale pour l’équilibre naturel. Combinant textes et reportages photos, ildonne à voir un ensemble de paysages où l’empreinte de l’homme s’allie au travail de la nature.Bibliothèque municipale de Bordeaux - mai 20114

Luc DUPUYOOAutrefois... Le Cap Ferret : souvenirs d’imagesConfluences, 2004Cet ouvrage retrace toute la mémoire de cette bande de sable au bout de la presqu’île du bassind’Arcachon. Il est construit autour d’une extraordinaire collection de plus de 300 cartes postaleset de documents consacrés à ce haut lieu du tourisme français et européen.Léo DROUYNLes albums de dessins. 3, le Bassin d’Arcachon et la Grande LandeComité de Liaison Entre-Deux-Mers,1998Recueil de dessins de L. Drouyn concernant Arcachon et la Grande Lande, réalisés pour laplupart vers 1850. Ils représentent les premiers documents iconographiques sur cette région.Fabien ROBERTCouleurs du bassin d’ArcachonCairn, 2009Une présentation du bassin d’Arcachon à travers des aquarelles : architecture de la ville, parcs àhuîtres, phare du Cap-Ferret, plages, faune...Bibliothèque municipale de Bordeaux - mai 201155

Jean-François CALLEDEHourtin et CarcansSutton, 2009Description en images du territoire médocain du début du XXe siècle. Son très important pland’eau douce est partagé entre deux entités communales, Hourtin et Carcan. Les photographies etcommentaires permettent de retracer l’évolution des usages sociaux de ce milieu géographique etd’inscrire dans la mémoire les lieux et les activités humaines.Jean BERNARD-MAUGIRONLes passes de CordouanLa Dame-Jeanne, 2008Embarqué sur un voilier de bois qu’il doit apprendre à manoeuvrer, le narrateur raconte une croisièred’initiation sur l’estuaire de la Gironde. Des bassins à flot de Bordeaux au phare de Cordouan, lenavigateur solitaire ira d’épreuves en coups du sort, de rencontres en enchantements.Bibliothèque municipale de Bordeaux - mai 20116

Jean-Yves BOUTETL’estuaire de la Gironde au temps des gabares et du caviarConfluences, 2009Evocation de l’estuaire de la Gironde au début du XXe siècle à travers un ensemble de cartespostales anciennes : gabares, couraux, carrelets, industrie du caviar, stations balnéaires, rivages,îles, phares...Bordeaux : un tour de ville en 101 monumentsLe Festin, 2010Jean CASTETSMédoc insolite : les mésaventures rocambolesques du Mandrinde l’estuaire de la Gironde et de l’homme-écureuilEd. Des Régionalismes, 2010Des histoires de gens du Médoc, notamment de celles de Fernand Janicot et Gaston Fumet, qui sedéroulèrent à la fin du XIXe siècle et au début du siècle suivant.Bibliothèque municipale de Bordeaux - mai 20117

Aquitaine 101 MonumentsLe Festin, 2008Présentation département par département, d’une sélection de 101 monuments qui se veut lereflet de la diversité culturelle de l’Aquitaine : Lascaux II, Saint-Jean-de-Luz, les arènes de Dax, lejardin botanique de Bordeaux, Le phare de Cordouan, la collégiale d’Uzeste...Michel BERNARDLa Gironde : balades aériennesPatrimoines et médias, 2006Tour d’horizon du département en images commentées, depuis le phare de Cordouan jusqu’àSainte-Foy-la-Grande.L’Estuaire de Gironde :La Gironde, la Garonne, le canal de Garonne, la Dordogne, l’IsleEditions du Breil, 2008Présentation de l’estuaire de la Gironde, la Garonne, la Dordogne et de l’Isle, avec desexplications sur les écluses, une cartographie précise et détaillée des différentscanaux, des conseils de navigation et des informations touristiques.Bibliothèque municipale de Bordeaux - mai 20119

GARONNE en pays girondin : de Hure à CordouanLa Part des anges, 2000Evocation de la Garonne.Marie-José THINEYFascinant Médoc : histoire d’un paysSud-Ouest, 2003Histoire du Médoc dans le département de la Gironde, depuis sa formation géologique jusqu’àaujourd’hui. Une grande partie de cet ouvrage est consacrée à ce qui fait la réputation du Médoc dansle monde entier.AtlantiqueActes Sud, dexia, 2009Une promenade écologique et littéraire à travers les sites du Conservatoire du littoral sur lesrivages de l’Atlantique, entre l’estuaire de la Loire et la Côte basque, pour découvrir la richessedu patrimoine côtier et prendre conscience de la nécessité de protéger les rivages.Bibliothèque municipale de Bordeaux - mai 201111

Eric HOLDERDe loin on dirait une îleDilettante, 2008La femme d’Eric Holder souhaitait habiter près de l’océan. Ils se sont installés dans le Médoc, à lapointe de la Gascogne. L’écrivain raconte les aléas de leur implantation dans cette terre rongéepar la mer, placée face à la voracité de l’océan.Wilfried GUYOTDes estuaires : bacs de Gironde ; Des estuaires : bacs de LoireLa Part des anges, 2008Les photographies des bacs traversant la Loire, d’Indret à Basse-Indre et du Pellerin à Couëron, etla Gironde, de Royan à Verdon, de Blaye à Lamarque invitent à la découverte du patrimoine etde l’environnement naturel des rivages estuariens. Elles sont accompagnées de textes poétiques envers libres évoquant les promenades entre les points marquant les embarcadères.Bibliothèque municipale de Bordeaux - mai 201112

ROUTE DES PHARESBibliothèque municipale de Bordeaux - mai 201113

ROUTE DES PHARES EN AQUITAINEPhare de Biarritz : situé sur la commune de Biarritz. Au bord de la falaise de laPointe Saint Martin, au Sud de l’embouchure de l’Adour. Edifié sur un escarpementrocheux, il domine la ville à 73,20 mètres au dessus du niveau de la mer et 44mètres au dessus du sol.Il fut construit de 1830 à 1832, d’après les plans de Viennois, ingénieur.© Biarritz : Ville de Biarritz : Le DoarePratique : avenue de l’Impératrice, visite payante, 248 marches, vues sur le littoralet les Pyrénées, automatisé.Phare de Socoa : situé à l’entrée de Saint Jean de Luz sur la commune de Ciboure,cette maison phare carrée, surplombe la baie à proximité du Fort de Socoa. Cette tourde 12 mètres de hauteur est située à 36 mètres au dessus du niveau de la mer.Il fut construit en 1844.© Socoa : Harrieta 171Pratique : ne se visite pas, automatisé.Phare de Contis : situé sur la commune de Contis / Saint Julien en Born. Appelé« le sucre d’orge landais », sa spirale archimédienne noire et blanche fut imaginéeen 1937 par « Menoune » Bellocq, peintre de l’époque. Cela lui donne un stylebarber’s pole made in USA.Le bâtiment mesure 41,50 mètres et domine le niveau de la mer à 49,60 mètres.Ce phare est unique de par sa situation puisque il est construit sur une dune de sablede 11,60 mètres de haut et à 860 mètres de la côte.C’est en 1862 que la construction de ce phare à commencé, selon lesplans de Messieurs Ritter et Pairier.© Contis : Office de Tourisme de ContisSaint-Julien-en-Born UzaPratique : visite payante, 183 marches, animations, automatisé.Gilles Bodin a ouvert un petit musée parrainé par Titouan LamazouPhare du Cap Ferret : situé sur la presqu’île du Cap Ferret, sur la commune deLège Cap Ferret, à 3,1 kilomètres au nord de l’extrémité sud du Cap, et côté nordde l’entrée du chenal d’accès au bassin d’Arcachon.Ce bâtiment mesure 57,92 mètres de haut.Le premier phare du Cap Ferret fut mis en service le 1 er novembre 1840. Durant laseconde guerre mondiale, il fut dynamité par les Allemands. Un nouveau phare futérigé en 1948, inauguré en 1949.© Cap Ferret : D.R.Pratique : place Souchet Valmont, visite payante, ascenseur, 258 marches,animations, espace muséographique, superbe panorama sur le bassin d’Arcachonet la Dune du Pilat, automatisé.Bibliothèque municipale de Bordeaux - mai 201114

Phares d’Hourtin : situés sur la commune d’Hourtin, à l’ouest de l’étang deCarcans–Hourtin.Les deux tours carrées ont été construites en briques et pierres de taille. Elles mesurent27 mètres de hauteur.Ces édifices visaient à signaler l’intervalle d’ombre entre le Cap Ferret et Cordouan.Ils furent construits en 1863.© Hourtin : Ville de Hourtin :Franc Brunet d’AubiacPratique : à l’occasion d’une promenade, emprunter la piste cyclable. Ne se visitepas, automatisé.Phare de St Nicolas : situé sur la commune du Verdon sur Mer.Il se trouve à 1,550 kilomètres au sud ouest du phare de la pointe de Grave.Il mesure 13 m de hauteur et se situe à 22 mètres au dessus du niveau de la mer.Mis en service en juin 1873.© Saint Nicolas : Association communaledu Phare de RichardPratique : ne se visite pas, automatisé.Phare de Grave : situé sur la commune du Verdon sur Mer, à la pointe de Grave,sur le côté sud de l’embouchure de l’estuaire de la Gironde.Il mesure 29 mètres. Reconstruit en 1860.C’est une tour carrée en maçonnerie lisse, peinte en blanc, avec chaînes d’angle enpierres apparentes. Le haut est peint en noir. Elle est accolée à un bâtiment en formede U.© Grave : Office du Tourisme du VerdonPratique : le phare peut être visité, principalement durant l’été, 107 marches, automatisé.Les Musées du phare de Cordouan et des Phares et Balises se trouvent dans leslocaux jouxtant la tour.Phare de Cordouan : situé sur la commune du Verdon sur Mer : Le Roi des Phares.Début de la construction en 1584 par Louis de Foix ingénieur architecte. Le pharede Cordouan est l’un des plus anciens et le plus remarquable des phares isolés enmer (7 kilomètres de la côte). Il marque l’embouchure de l’estuaire de la Gironde.Il est construit sur un plateau rocheux de 150 hectares, à 9 kilomètres à l’ouest dela Pointe de Grave.Il mesure 67 mètres de haut.Le bâtiment est du point de vue architectural superbe. L’intérieur est aussi impressionnant :au rez de chaussée, un portail gigantesque permet d’accéder à l’escalier composéde 301 marches. Au premier étage se trouve l’appartement du roi et au deuxièmeétage une admirable chapelle. Il fut achevé en 1611.Classé Monument Historique en 1862.© Cordouan : Ville de RoyanPratique : accès en bateau ou par marée basse à pied, visite payante, ascenseur,301 marches, animation, gardien.Bibliothèque municipale de Bordeaux - mai 201115

Phare de Richard : situé dans l’estuaire de la Gironde sur la commune de Jau-Dignac-et-Loirac.C’est un phare cylindrique de 18 mètres de hauteur, construit en 1843.Restauré par l’Association communale du Phare de Richard.En 1870, un autre phare métallique de 30 mètres de hauteur, dont la lumière étaitplus visible, a été bâti. Sa construction est attribuée à Gustave Eiffel. Ce phare a étéen service jusqu’en 1953 puis démoli. La maquette de ce phare est exposée sur lesite.© Richard : Association communale du Pharede RichardPratique : passe de Richard - route Départementale N2. Le phare peut être visité.Son escalier à vis compte 63 marches en pierre. Éteint.Il abrite actuellement le Musée de l’Ostréiculture et de la Pêche ainsi qu’un petitmusée des Phares et Balises.La Tour de By : située sur la commune de Begadan.Construit sur les ruines d’un moulin à blé en 1825, le phare de By devient laprovidence des pêcheurs et des marins qui naviguent sur l’estuaire jusqu’au débutdu siècle.Le phare se situe à 15 métres au dessus de l’eau sur un tertre et à 300 métres del’estuaire.© By : Château de la Tour de ByPratique : promenades et circuits proposés au visiteur dans la propriété du Châteaude « la Tour de By ». Escalier en colimaçon, vue magnifique, éteint.Phare de Trompeloup : situé sur l’Ilot de Trompeloup entre Saint-Estèphe et Pauillac.Mis en service en 1901.Cet édifice de 13 mètres de hauteur est à 2,690 kilomètres en aval du Phare dePâtiras.Il formait un alignement pour remonter la Gironde.Actuellement, il sert de balise pour remonter l’estuaire.© Trompeloup : Alain BégueriePratique : ne se visite pas.Phare de Pâtiras : situé sur l’île de Pâtiras, à l’extrémité nord de l’île sur lacommune de Saint-Androny.Propriété du Conservatoire du littoral.Le premier phare allumé en 1860 était une tour en bois, cette construction futremplacée par une tour maçonnée en 1879. Puis en 1971, elle est surélevée de 9mètres.Automatisé en 1955, éteint en 1992. Haut de 26 mètres. Il sert de balise pour laremontée de l’estuaire.Préservé, restauré, mis en valeur par un magnifique aménagement, endroit àvocation touristique.© Patiras : Conservatoire du littoralPratique : visite, escale, de nombreuses animations, 140 marches, éteint.Bibliothèque municipale de Bordeaux - mai 201116