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CTR-INFO Numéro 12 - novembre 1998provisoire (carnet à souches) à adresser au siège fédéral.Une participation financière sera demandée pour l’établissement des cartes CMAS N2 et N3 (98/99 :30Frs maximum -établissement de la carte double face FFESSM/CMAS-). Pour les niveauxsupérieurs. les frais administratifs, CTR ou CTN, seront aussi refacturés.Contenus de formations N1 à N4 :L’ensemble des documents. déjà disponible dans le "manuel du moniteur et du responsable de club" (1) seraaussi diffusé dans CTN-INFO.(1) un exemplaire du manuel (édition du 30juillet 98) est remis à chaque représentant CTR présent à laréunion.Objectifs CTN 1999 :MF2 :Stages initiaux : deux stages sont prévus : l’un à Niolon et le second en Bretage et Pays de la Loire(les dates et lieux seront mentionnés au calendrier national).Plongée Jeunes :RIPE : (voir point 2 ci-après).Colloque Plongée enfants : lieu et dates à définir (le projet corse est annulé). Propositions de sujets àtraiter : rappels pour les nouveaux participants, poursuites des réflexions engagées en 1997 et 1998.Nombre de participants prévu : 1 00.T.I.V. : fin Octobre 99 ou début Novembre 99 à Niolon ( ?)Secourisme : à définir.Arrêté du 22 Juin 1998 :Précisions de la CTN :La notion de "fin de formation technique conduisant au niveau 1" (article 12 de l’arrêté du 22 juin 1998, etarticle 13 du même texte) pose de nombreuses questions aux encadrants. Qu’attend-on du Directeur dePlongée ou du Guide de Palanquée pour qu’il puisse considérer que cette fin de formation est acquise etpermettre ainsi à des plongeurs de niveau "débutant" d’atteindre l’espace médian ou à des plongeurs niveau1 d’atteindre l’espace lointain ?Face aux difficultés d’interprétation de ce texte, la Commission Technique Nationale précise que l’évolutionpermise dans le cadre de ces articles a pour objet de développer l’aisance aquatique du plongeur à laprofondeur définie par l’arrêté.Cette possibilité exclut tout exercice particulier non prévu dans les contenus de formation du niveaudébutant, en ce qui concerne la portée de l’article 12, ou du plongeur de niveau 1, en ce qui concerne laportée de l’article 13. Ces évolutions doivent permettre l’accompagnement de la progression technique duplongeur. Le moniteur reste seul juge du niveau de son élève pour lui permettre ce type d’évolution.Divers :Rappels sur le calendrier CTNAGN : 13 et 14 Mars 1999 à Versailles.Prochaine CTN : 16/01/99 à 9heures à Marseille.Stage de formation de formateurs de formateurs de T.I.V. : 14 et 15/11/98 à Belfort.Tables MN90 : (proposition d’un mode unique d’utilisation dans le cadre des examens fédéraux)Après avoir pris conseil auprès du médecin chef du CPISMER Françis Imbert et Jean-LouisBlanchard proposent un document précisant le mode d’emploi des tables en examens. Au nom de laCTR Bretagne et Pays de la Loire, et tout en reconnaissant les compétences des auteurs, Jean-YvesRedureau regrette qu’un tel document n’ait pas été transmis aux CTR pour lecture avant la réunion.(Doc. disponible au niveau des CTD)Calcul du temps de remontée : la division par 15 proposée par Jean-Louis (voir CTN-INFO sur lesMN90) semble poser des problèmes en examen. Une proposition d’abaque sera présentée lors de laprochaine CTN par Jean-Louis Blanchard.Organisation examen N4 : (rappel) les épreuves à 30m et à 40m sont 2 épreuves séparées.Certification NITROX : organisation d’un stage de formation Nitrox : question reportée à la prochaine CTN.6 sur 16
CTR-INFO Numéro 12 - novembre 1998Equivalences éventuelles CFPS avec les diplômes étrangers : le groupe de travail (Côte d’Azur) attendl’information sur les procédures européennes.Equivalences avec l’armée de terre : l’attestation 35 mètres (35m avec incursion à 40m) sera. à l’avenirremplacée par une attestation 40 mètres. Décision votée à l’unanimité des présents. En attendant cettemodification, l’ancien libellé est pris en compte pour bénéficier des conditions d’équivalence.Sommaire du numéroLE MOT D’UN RESPONSABLEDu bon usage des attestations d’aptitude ...Depuis dix ans déjà, les candidats à l’examen de plongeur niveau 4 doivent présenter quatre attestationssignées par un enseignant E3 minimum,aptitude à présenter les épreuves à 40 mètres,aptitude à présenter les épreuves d’assistance et de sauvetage (palmes et/ou gilet),aptitude à présenter l’épreuve de RSE ,aptitude à la conduite de palanquées dans l’espace médian (zone des 20 m).Cette mesure fut adoptée par la commission technique nationale en 1988 pour remplacer la nécessité dejustifier de 30 plongées (dont 10 voisines de 40 m), car il était trop souvent constaté que des candidats nepossédaient pas le niveau minimum de formation pour aborder dans de bonnes conditions de sécurité desexercices nécessitant un minimum d’expérience, notamment dans la zone de l’espace lointain. Cettedécision devait permettre à chacun d’exercer ses responsabilités en améliorant la sécurité des candidats etdes organisateurs.Même si on peut constater encore de trop nombreuses attestations "complaisantes", cette mesure s’estavérée très bénéfique en éloignant des sessions d’examens une grande partie des candidatsinsuffisamment préparés qui se présentaient aux épreuves "pour voir".Naturellement ce principe des attestations d’aptitude a été repris dans la formule de l’examen applicable dès1999 en les classant par compétences définies dans les contenus de formation diffusés à tous les club en1998.compétence n° 1 : démonstrations techniques, (sauvetage palmes et RSE),compétence n° 2 : retours en surface, (acquise si le candidat est titulaire du niveau 3 de plongée),compétence n° 3 : maîtrise de la ventilation, (acquise si le candidat est titulaire du niveau 3 deplongée),compétence n° 4 : réactions et interventions, (dans l’espace lointain : signes et assistance ventilatoire,assistance ou sauvetage à l’aide du gilet),compétence n° 5 : comportement général de guide de palanquée.Toujours pour raisons de responsabilités et sécurité, ce même principe a d’ailleurs été étendu au MF2 parla CTN en janvier 1998 : à partir du 1er janvier 1999 les candidats au stage final et à l’examen devrontprésenter une attestation d’aptitude aux épreuves à 50 m signée par un moniteur E4 licencié.Tout ceci étant rappelé, encore faut-il que nous soyons d’accord sur la définition de ces attestations. Devonsnous attester l’initiation, le perfectionnement, la parfaite (?) maîtrise de telle ou telle technique oucompétence ? Comment l’évaluer ? Quelle est la responsabilité du moniteur établissant par écritl’attestation ?Lors de sa réunion du 14 mai 1998 le collège des instructeurs BPL a émis la recommandation suivante :"Ces attestations doivent garantir que le candidat, dans chacun des domaines définis, a bénéficié d’uneformation suffisante pour s’adapter dans les meilleures conditions de sécurité aux situations qui seront misesen place par le jury de l’examen". En effet, lors de l’examen pratique N4, les candidats sont quelquefoisdéstabilisés par les conditions de réalisation de certaines épreuves définies par le jury, conditionss’éloignant parfois de celles vécues pendant un cycle de formation au contenu "étriqué". Ceci implique quela formation dispensée doit être progressive et permettre l’adaptation de l’élève à toute nouvelle situation;que le moniteur attestant l’aptitude dans l’un des domaines de compétence doit posséder les élémentsnécessaires à ce jugement : soit il dispose in situ de l’avis des autres membres d’une équipe pédagogique,soit il dispose de la description de l’évaluation formative du plongeur à différents stades, soit encore mieux,des deux informations. Pour être tout à fait clair, cela signifie également qu’un plongeur niveau 2 ne peutraisonnablement pas être suffisamment formé au cours d’un stage de 2 semaines (mais qui ne comporteque 9 ou 10 jours maximum de formation précédant l’examen de plongeur niveau 4) et ne devrait donc pasdisposer de ces attestations à l’issue d’un tel stage, sauf si ce plongeur a bénéficié préalablement d’une7 sur 16
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