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Catalogue descriptif des familles de déchets radioactifs ... - Andra

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Les points suivants méritent d’être précisés :➤ les <strong>familles</strong> « DIV » (pour « divers ») situées vers la fin <strong>de</strong> la liste correspon<strong>de</strong>nt à <strong><strong>de</strong>s</strong> déchets qui ne se classentpas dans une famille <strong>de</strong> déchets ou <strong>de</strong> colis. Ce sont <strong><strong>de</strong>s</strong> déchets dont la production est faible et/ou pour lesquelsaucune hypothèse <strong>de</strong> gestion ne peut encore être émise ;➤ la fiche CM (Centre <strong>de</strong> stockage <strong>de</strong> la Manche) à été ajoutée par rapport à l’édition 2004 et présente le pourcentage<strong>de</strong> déchets FMA-VC stockés sur le centre, pour chaque catégorie <strong>de</strong> producteurs ;➤ les résidus <strong>de</strong> traitement <strong>de</strong> minerais d’uranium qui font l’objet d’un stockage à proximité <strong><strong>de</strong>s</strong> lieux <strong>de</strong> production,sont présentés sur la fiche RTU. Le lecteur intéressé par ce sujet est invité à se reporter également au rapport<strong>de</strong> synthèse et à la brochure <strong>de</strong> l’Inventaire géographique dans laquelle les sites où sont stockés les RTU fontl’objet d’une fiche détaillée. Il est noté également qu’un récent inventaire <strong><strong>de</strong>s</strong> sites miniers d’uranium a été publiépar l’IRSN (Institut <strong>de</strong> Radioprotection et <strong>de</strong> Sûreté Nucléaire) en avril 2004 ;➤ dans le passé <strong><strong>de</strong>s</strong> décharges classiques ont reçu régulièrement ou occasionnellement <strong><strong>de</strong>s</strong> déchets comportant <strong><strong>de</strong>s</strong>traces <strong>de</strong> radioactivité qui avoisinent le plus souvent le Bq/g. Ces sites ne relèvent pas directement <strong>de</strong> l’inventairemais sont cités pour mémoire. L’origine <strong><strong>de</strong>s</strong> déchets leur nature physique et le volume total qu’ils représententfont l’objet d’une fiche famille nommée CSDU (Centres <strong>de</strong> stockage <strong>de</strong> déchets ultimes) ;➤ les déchets immergés en Atlantique entre 1967 et 1969 (pratique interdite <strong>de</strong> nos jours) ne font pas l’objet <strong>de</strong>fiches <strong><strong>de</strong>s</strong>criptives. Le lecteur intéressé par ce sujet est invité à se reporter au rapport <strong>de</strong> synthèse (sous-chapitre4.12) ;➤ enfin, les déchets <strong>radioactifs</strong> qui sont gérés en décroissance par les centres hospitaliers ou les centres <strong>de</strong> rechercheavant élimination dans les filières classiques, et qui ne sont donc pas envoyés dans un stockage dédié <strong>de</strong> déchets<strong>radioactifs</strong> ne sont pas décrits dans le présent document. Le lecteur intéressé par ce sujet est invité à se reporter àla brochure <strong>de</strong> l’Inventaire géographique dans laquelle sont recensés les établissements utilisant <strong><strong>de</strong>s</strong> radionucléi<strong><strong>de</strong>s</strong>dans le cadre d’activités <strong>de</strong> recherche, <strong>de</strong> diagnostic, <strong>de</strong> thérapeutique, ou d’analyses et au rapport <strong>de</strong> synthèse(sous-chapitres 4.6 et 4.7).21

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