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L’actualité politiqueFraternité Matin / Mercredi <strong>16</strong> <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>5Atsé Atsé Jean-Claude, porte-parole du Comité national de la sauvegarde du Pdci-Rda“J’ai le plein soutien du président Henri Konan Bédié”M. Atsé, des cadresdu Rhdp vous accusentd’organiser la casse et lepillage de leurs résidencesà Abidjan…(Il hausse le ton. Ndlr)Fausses accusations!Mensonges! Tout se passe àl’intérieur du Pdci. Laissez leRdr et les autres partis duRhdp hors de ce débat. Jeconsidère qu’ils ne connaissentpas Asté. Mais le Pdci leconnaît. D’abord, l’éducationque j’ai reçue de mon père etde ma mère ne me permet pasde détruire ou d’organiser ladestruction du bien d’autrui.Ensuite, en tant que militant duPdci-Rda, la philosophie demon parti, c’est la non-violence,la paix. Enfin, au niveau dela Côte d’Ivoire, j’ai dit officiellementà la nation que je refused’adhérer à la violence et jeme démarque des actes deviolence du Rhdp parce que jesuis un homme de paix.Comment peut-on prôner lapaix et aller saccager le biend’autrui ? On m’accuse d’avoirorchestré le saccage de larésidence du ministre BanzioDagobert. Je n’y suis mêlé nide près, ni de loin, et je l’ai dità l’intéressé que j’ai appelé autéléphone et à qui j’ai exprimémes encouragements.Pourquoi vous accuse-t-onalors?On veut perturber les étatsgénéraux du Pdci-Rda quenous organisons. C’est unefaçon pour eux de nous combattre,parce que nous disonsque le Pdci créé par lePrésident Houphouët-Boignyne peut pas se renier et s’associerà des partis violents.Mais leurs manœuvres nepeuvent prospérer.Justement, quel est le pointdes préparatifs de ces étatsgénéraux du Pdci-Rdaà quelques jours del’événement?Le 19 <strong>mars</strong> prochain, le Pdci-Rda va vivre un événementexceptionnel. Ce sera la résurrectionde notre parti, sareconnection à ses bases,c’est-à-dire les jeunes, femmes,aînés et adultes. Le 19<strong>mars</strong> sera l’occasion de leremettre dans sa définitionpremière telle que pensée etvoulue par son fondateur, lePrésident Félix Houphouët-Boigny, c’est-à-dire un parti depaix et un parti de masse. Apartir de ce jour, il va rompreavec les attitudes de suffisance,de parti de bourgeois. Cejour-là, le Pdci-Rda va annoncerles couleurs de la reconquêtedu pouvoir d’Etat en2015 par les urnes.Mais où en êtes-vous avecles préparatifs des étatsgénéraux?Pour ce qui est des préparatifs,je peux rassurer les militantsque tout est fin prêt aussibien au plan scientifique, techniquequ’au plan de la mobilisation.Je voudrais surtoutrassurer les militants sur laparticipation effective de nombreuxmembres des instancesde notre parti à ses assises.Je pense aux membres dubureau politique, du grandconseil, des comités de base,mais aussi aux présidents deconseils généraux, députés etmaires Pdci qui ont montré unengouement pour de l’événement.Je voudrais les saluer etles féliciter. Cela montre quetout ce monde tient auxvaleurs intrinsèques du Pdci-Rda original et refuse d’adhérerau Rhdp (Rassemblementdes houphouétistes pour ladémocratie et la paix, unecoalition du Pdci-Rda, du Rdr,du Mfa et de l’Udcpi en 2005).Le 19 <strong>mars</strong>, la fête sera belle.Qu’entendez-vous par larenaissance du Pdci quevous annoncez?Cela veut dire qu’à partir deses états généraux, notre partiva retrouver son entièreté, sonentité et surtout son indépendanceofficielle et effective visà-visde ses alliés du Rhdp.De sorte que désormais, il faudraéviter de faire ou de semerla confusion dans les espritsde nos militants avec cetteaffaire de Rhdp. A partir du 19<strong>mars</strong>, il faudra que ceux quiparlent du Rhdp cessent defaire allusion au Pdci-Rda. Carpour nous, parler du Pdci etparler de ce mouvement, c’estfaire preuve d’indiscipline, dedésordre, de volonté de distraireles militants. Et cela nesera plus accepté. Lesanciens militants du Pdci-Rdaqui parleront du Rhdp serontinterdits de parler de notreparti. Ils sont libres de militerau Rhdp qui est un parti quitue les Ivoiriens. Mais qu’ils nele confondent pas avec lePdci-Rda qui est un parti nonviolent, un parti de paix, dedialogue, comme son pèrefondateur, le Président FélixHouphouët-Boigny, nous l’arecommandé.Vous annoncez larenaissance de votre parti,ce qui signifie qu’il estactuellement mort.A partir de quand l’avezvousconstaté?Dès lors que le président duparti, Henri Konan Bédié, nousa écrit pour dire qu’ils vont augrand rassemblement duRhdp, nous avons comprisque c’en était fini pour le particréé par le PrésidentHouphouët- Boigny. Pournous, il faut le sauver, il faut lefaire renaître, il faut le retirerdu moule du Rhdp qui ne noussied pas et lui redonner sonesprit initial.Comment va se traduire larenaissance de votre parti?Y aura-t-il un nouveauprésident, un nouveausecrétaire général, bref,une nouvelle directiondu parti?La renaissance se traduira parun nouvel esprit et un nouveaucomportement au Pdci-Rda.Nous voulons lui redonner soncaractère de parti de paix etde dialogue. Ce sont sesbases que nous allons jeter ce19 <strong>mars</strong>. Je ne veux pas endire plus. Les membres desinstances viendront décider dece que doit être le Pdci-Rdaqui refuse d’entrer au Rhdp.Ce que je peux dire est que le19 <strong>mars</strong> marquera la naissanced’un parti sérieux, ambitieux,qui n’est pas violent, quirefuse de mourir et qui est surtoutà l’écoute de la base. Apartir de notre rassemblement,le Pdci-Rda ne sera plus unparti de bourgeois, de genssuffisants qui sont au champagneet aux cigares.Vous affirmez aussi que leRhdp est un parti qui tue…Ce n’est pas moi qui le dis.C’est un constat que je fais.Tout le monde a vu à la télévisionivoirienne des lanceroquettespointés sur lesIvoiriens à partir du Golf hôtel,le Qg de M. Alassane Ouattaraet du Rhdp. Et nous voyons cequi se passe à Abobo surordre du Rhdp. Il n’y a pas plusieursmanières de montrerque ceux qui tuent lesIvoiriens sont ceux qui respectentle mot d’ordre de ce mouvement.Ce sont donc destueurs.Quels seront les momentsforts du 19 <strong>mars</strong>?Il y a neuf thèmes qui seronttraités. Cela paraît beaucoup,mais sachez qu’en réalité, cesera un genre de plénière. Carles états généraux ont en faitdéjà commencé depuis aumoins un mois et demi au seindes bases du parti, notammentà l’intérieur du pays.Nous étions récemment àAdzopé pour constater que leschoses se déroulent bien. AAbidjan, les secrétaires desection veillent au grain sur lesréflexions. Le 19 <strong>mars</strong>, ce serala synthèse de toutes lesréflexions. Je tiens à dire quele Pdci-Rda ne va pas mouriret nous sommes heureux desavoir que les vieux du partiont adhéré à notre idée, noussoutiennent. Je voudrais lesremercier et dire ma reconnaissanceaux nombreux élusdu parti qui nous apportentégalement leur soutien.Quelques noms de cesélus et vieux qui voussoutiennent?Non. Je ne vous donnerai pasde nom aujourd’hui. Je vousinvite au Palais de la cultureBernard Dadié de Treichville le19 <strong>mars</strong> et vous verrez devous-même.Depuis le Golf, le présidentHenri Konan Bédié a mis engarde contre la tenue devos états généraux.Monsieur, je vous interdis dedire ce genre de choses. M.Bédié n’a jamais mis en gardecontre la tenue de quoi que cesoit. Ne créez pas de polémiqueentre le doyen HenriKonan Bédié et les militants etmembres des instances quenous sommes.J’ai lu son adresse deM. Bédié à ses militantsdans la presse.Dans le papier dont vous parlez,M. Bédié nous encourageau contraire à travailler à fairevivre le Pdci. Il y a beaucoupde choses que vous allezcomprendre quand le ciel seradégagé. Par rapport au présidentBédié, je ne fais rien auhasard encore moins dans levide.Vous voulez dire quele président Bédié voussoutient dans l’organisationde ces états généraux?(Il hausse le ton et va le garderainsi pendant longtemps. Ndlr)J’ai le plein soutien du présidentHenri Konan Bédié. Jevous répète que mon père estpris en otage au Golf hôtel. Iladhère pleinement aux étatsgénéraux du parti que nousorganisons.Vous affirmez encore queM. Bédié est pris en otage.Mais il a lui-même dit qu’ilest mis en mission par leparti là-bas…Je vous le dis, Monsieur, excusez-moi,je vous l’ai déjàconfié. Le document auquelvous faites allusion qui estparu dans la presse n’a pasété signé par le présidentBédié. Je sais de quoi je parle.Nous voulons savoir dequoi vous parlez.Je connais la signature demon père. Vous avez dû constaterque le document publiédans la presse n’est passigné.D’accord. Mais le présidentBédié n’a pas réagi pourdire que le document n’estpas de lui.Monsieur, je vous dis que leprésident Bédié est pris enotage au Golf et vous voulezqu’il réagisse pour dire quoi ?Savez-vous dans quellesconditions il est là-bas ? Jevous ai déjà dit qu’au Golf,c’est une affaire de lanceroquettes.Au Golf, le présidentBédié ne peut pas parler.Une chose est certaine, j’insistesur le fait que j’ai son pleinsoutien pour organiser lesétats généraux du Pdci-Rda.Vous insistez sur le faitqu’il est pris en otage.Où en êtes-vous avecla démarche que vous avezentreprise pour le fairesortir du Golf hôtel?Cette démarche ne peut aboutirparce que M. Choi, qui estun rebelle (c’est lui qui gère leGolf hôtel) qui contribue à tuerles Ivoiriens à travers tout cequ’il fait comme désordre enCôte d’Ivoire depuis un certaintemps, ne le veut pas. Il estnormal qu’il n’accepte pas quenous rencontrions son prisonnier.Sachez que nous sommesallés, en délégation, àl’Onuci, en vue de rencontrerle président Bédié, mais Choin’a pas accepté. D’ailleurs, leprésident Bédié n’a plus sontéléphone portable. Commentet de quoi voulez-vous qu’ilparle? Nous allons réorganiserle parti et nous pensons qu’avecsa bénédiction, le Pdci-Rda reprendra le pouvoird’Etat à l’issue des électionsde 2015.Avec M. Bédié?Non.Pourquoi pas?Parce qu’il lui-même a dit quesa candidature à l’élection dernièreétait la dernière. Il a ditque c’était son dernier combat.Sur cette base, le présidentBédié est à la retraite politiquedepuis octobre 2010. Il me l’adit. Pour nous donc, il n’a plusde combat à mener sinon celuid’encadrer les jeunes quenous sommes. Vous comprenezpeut-être mieux pourquoiil nous soutient dans l’organisationdes états généraux duparti.Vous prenez donc la têtedu parti le 19 <strong>mars</strong> ?(Il baisse le ton. Ndlr) Non, jene l’ai jamais dit. Cette idée nem’a jamais effleuré l’esprit.INTERVIEW RÉALISÉE PARPASCAL SORO


6Les douanes ivoiriennes s’engagentdésormais dans une dynamiquede survie. Elles ne veulentpas se laisser emporter parles conséquences de l’interdictiond’entrer des navires battantpavillon européen au portd’Abidjan. C’est que l’embargo surledit port frappe durement les caissesde l’État. La direction des douanesne le cache pas dans un dossierde presse : « L’analyse des statistiquesdouanières fait ressortir unetendance baissière des opérationsd’importation et d’exportation auPort autonome d’Abidjan et au Portautonome de San Pedro. Cette baissed’activités constitue une menacepour les industries locales et pourles recettes fiscales ».Circulaire 1474Cette administration a donc décidéde développer une nouvelle approchepour capter des ressources. Sadétermination s’est traduite par laprise d’une circulaire par leDirecteur général (Dg) des douanes,Alphonse Mangly.C’est la circulaire 1474 du 4 <strong>mars</strong>ÉconomieEmbargo sur le port Les importateurs ivoiriens peuvent dorénavant faire venir leurs marchandisespar la route à travers la façade est de la Côte d’Ivoire, à la suite d’une nouvelle circulaire.La douane crée un corridor économiqueLe directeur général des douanes,Alphonse Mangly.<strong>2011</strong>. Les plus proches collaborateursdu Dg ont tenu à l’expliquer àla presse.En effet, la nouvelle dispositiondécidée le 4 <strong>mars</strong> dernier allège partiellementl’interdiction d’importationpar voie terrestre de marchandisesnon originaires de laCommunauté économique desÉtats d’Afrique de l’ouest(Cedeao), contenue dans la circulaire1257 du 26 janvier 2005.Concrètement, il s’agit de permettreaux opérateurs ivoiriens, de pouvoirfaire venir par la route leurs marchandisesdébarquées aux ports deTema, Takoradi et Lomé. « C’estun couloir économique sécurisé,tant pour les opérateurs que pour leTrésor public », a commenté lecolonel Say N’Guetta, directeur dela réglementation et du contentieux.Cette disposition ne concerne que lafaçade est de l’espace douanierivoirien. Par conséquent, les marchandisesne pourront transiter quepar les bureaux frontières de Noé,Takikro et Niablé. Le directeur de lacommunication et de la qualité, lecolonel Idrissa Touré, s’est vouluplus pratique, en dévoilant la procédure.En effet, une fois en possessionde documents attestant de ladestination Côte d’Ivoire (connaissemententre autres), l’importateurpaie par anticipation les droits dePORT AUTONOME D’ABIDJANUne référence internationaleCertifié ISO 9001, version 2008AVIS À LA CLIENTELE DU PAAPour toute <strong>info</strong>rmation, merci de joindre les contacts ci-dessousBP V 85 ABIDJAN, Tel : (+255) 21 23 80 00 ;Fax : (+255) 21 23 80 80- SERVEUR VOCAL INTERACTIF : (+255) 21 21 62 00- LIGNE VERTE : 80 00 88 88- SITE WEB : http// www.paa-ci.org- E-mail : <strong>info</strong>@paa-ci.orgCellule de crise de veille commerciale :- Superviseur + 225 05 100 <strong>16</strong>2- Coordonnateur + 225 05 018 185- Autres lignes + 225 21 23 84 29+ 225 21 23 82 63douanes à Abidjan.Consciente de la situation de crise,l’administration douanière lui délivred’abord une déclaration, pourlaquelle il est exceptionnellementdispensé « de domiciliation bancaireet de bordereau de suivi descargaisons ». C’est avec cettedéclaration que l’opérateur se rendensuite à l’un des trois postes frontièresde douane.ProcédureEt c’est au regard de ce document etdu bon à enlever (pour les marchandisesen détail non soumises à vérificationphysique) qu’il procède àl’enlèvement de sa marchandise. «Le poste se résume en un bureau deconstatation de la marchandise,conformément au pièces fournies,et à leur enlèvement. Aucune taxen’y est perçue», a tenu à préciser ledirecteur des services extérieurs dusud, le colonel Toro Ipaud.L’administration douanière qui veutbien faire les choses prévoit enfinqu’une brigade formée spécialementpour l’occasion, escorte obligatoirementles marchandises versAbidjan. C’est l’affaire des hommesdu directeur de la surveillanceet des interventions, le colonelIdrissa Bakayoko.En offrant ce couloir de transit, ladirection des douanes déclare, parailleurs, apporter une réponse à laforte demande d’autorisation desopérateurs à prendre possession deleurs marchandises. En effet, avantmême la prise de la circulaire, 40dossiers de produits débarqués àTema et Lomé étaient sur la table del’administration, selon le colonelN’Guetta.Fluidité renforcéeL’administration douanière tient àce que les dispositions soient scrupuleusementrespectées pendant letemps que la circulaire sera envigueur. C’est pourquoi, des mesuresd’accompagnement ont été prises.Elles concernent l’assuranced’une fluidité routière. Aussi, a-tellepublié les numéros de téléphoneportables des différents directeursqui peuvent être saisis à toutmoment si un empêchement survenaitdans l’acheminement des marchandises,des bureaux frontièresvers Abidjan. Ce n’est pas tout. Ledirecteur général, AlphonseMangly, veut lui-même mouiller lemaillot. Une mission est en vue auGhana, dans les jours qui suivent.M. Mangly ira peaufiner davantagel’axe Ghana - Côte d’Ivoire pourrendre plus efficace son couloiréconomique.ADAMA KONÉJournée mondiale dudroit du consommateurDemain, notre compte renduFraternité Matin / Mercredi <strong>16</strong> <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>Etat-SibLes négociations avancentpourla réouvertureExtension du port d’AbidjanLe retard du projetinquiète l’autorité portuaireAu-delà des contingences extérieuresqui perturbent sérieusementle fonctionnement duPort autonome d’Abidjan, il ya des difficultés internes quiinquiètent la direction générale. Ils’agit du «très grand retard dansl’exécution» d’un certain nombre deprojets stratégiquement importantspour la structure. Le directeur général,Marcel Gossio, l’a relevé, jeudi,à la cérémonie solennelle de rentréecommerciale. Il s’agit, en premier,de l’extension du port sur l’îleBoulay dont les enjeux, dit-il, sonttrès importants. Dans la mesure oùce projet, une fois exécuté, «permettraau Port d’Abidjan non seulementde réaliser son ambition de devenirle principal hub port d’Afrique, maiségalement de recevoir les importantsflux de marchandises qui arriveronten Côte d’Ivoire après la crise».Aussi, le directeur général pense-t-ilque le pays a intérêt à accélérerl’exécution dudit projet dont les étudesont été achevées depuis desannées.La réalisation du projet d’extensiondu port sur l’île Boulay dont la composanteprincipale est la constructiond’un nouveau terminal à conteneurs,a été concédée à l’opérateur privé,Pierre Fakhoury Organisation (Pfo).La convention a été signée depuis2008. M. Gossio fait remarquer quetoutes les dispositions préalables à samise en œuvre ont été prises. D’oùLes négociations pour la réouverturede la Société ivoirienne debanque (Sib) dont le capital estmajoritairement détenu par legroupe bancaire marocainAttijariwafa bank (51%) sont trèsavancées. C’est d’ailleurs pourquoile ministère de l’Economie et desFinances rencontre encore ce matin,à la Cerrae, au Plateau, l’ensembledu personnel pour le rassurer à ceteffet. Et ce, après la rencontre du 12<strong>mars</strong> dernier au cours de laquelle leministre Désiré Dallo avait <strong>info</strong>rméles 150 agents présents sur les 452que compte cette banque de lavolonté de tout mettre en œuvre, ensynergie avec les actionnaires marocains,pour rouvrir cet établissement.Parce qu’il faut préserver les bonnesrelations entre la Côte d’Ivoire et leMaroc. De fait, de la prise de contrôlede la banque par l’Etat de Côted’Ivoire (détenteur de 49% du capital)dont nous nous étions fait écho(Fraternité Matin du 14 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>,page économie), il faut plutôt retenirqu’elle apparaissait comme l’une despistes possibles mais que rien n’étaitencore décidé en la matière; parceque le gouvernement privilégiedavantage les négociations avec lesactionnaires majoritaires qui nourrissent,dit-on, dans l’antre du ministèrede l’Economie et des Finances, degrandes ambitions en Côte d’Ivoire,à savoir devenir l’une des premièresbanques privées du pays et avoir unrayonnement dans l’Uemoa. Touteschoses qui montrent que la présidencede groupe Attijariwafa bank n’apas envie de perdre ce marché bancaireporteur qu’est la Côte d’Ivoire.D’où la fermeture tardive (21 février<strong>2011</strong> alors que les autres ont ferméentre le 14 et 18 février) de sa filialeivoirienne (Sib) sous de fortes pressionsextérieures, comme l’avaitlaissé entendre vendredi dernier, sonPca, Lambert Féh Kessé.A propos de nationalisations d’entreprise,elles désignent deux typesd’acquisition conventionnelle parl’Etat de titres de capital d’entreprisesprivées qui vont de la simpleprise de participation minoritaire à laprise de contrôle de la société setrouvant alors transférée au secteurpublic. La différence entre la prise decontrôle conventionnelle d’uneentreprise et la nationalisation résidedans le fait que le transfert de propriétépar voie de nationalisations’effectue de manière autoritaire,alors que la prise de contrôle supposele consentement des actionnairesde la société devant passer dans legiron de l’Etat. Certes, ces deux procédésconduisent à rendre la nationpropriétaire d’une entreprise, maisl’aspect obligatoire du transfert depropriété est nécessaire pour caractériserune opération de nationalisation.Même si pour certaines prisesde contrôle conventionnelles, l’Etatfait des pressions auxquelles il estdifficile de résister.GOORÉ BI HUÉson impatience de voir le gouvernement«se pencher sérieusement surce dossier afin que les travaux puissentvéritablement démarrer.». Celalui paraît d’autant une urgence que sile projet n’est pas réalisé dans «unmeilleur délai», le port d’Abidjancourt le risque de se voir surclassépar ses concurrents. Qui, avertit-il,«se donnent les moyens de nousravir nos parts de marchés pendantque nous traînons les pieds».L’autre difficulté intérieure dont larésolution est aussi une urgence pourles dirigeants du port, c’est «ladégradation très avancée» des voiesde circulation à l’intérieur de la zoneportuaire. Compte tenu de ce qu’ellescausent des préjudices aux usagers,la direction générale souhaiteardemment que le gouvernementfasse diligence pour que «ces voiesimportantes pour notre économiesoient rapidement remises en état.».C’est fort de l’exécution pleine deses projets et tant d’autres que «lePort autonome d’Abidjan pourrasortir de cette nouvelle impasse etreprendre sa place dans le concertdes grands ports de ce monde», observeM. Gossio. Qui craint, parailleurs, que les bonnes dispositionsde nouveaux partenaires – asiatiquesnotamment – à l’égard du port soientvaines si ces efforts préalables nesont pas faits.A HALA


Fraternité Matin / Mercredi <strong>16</strong> <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>Académie ivoirienne des langues Samedi, au Plateau-Dokui, le président de l’Ailm a situél’opinion sur les enjeux de la création de son institution.Promouvoirle patrimoine linguistiqueLa culture est le socle de toutdéveloppement et a pourlevier la langue maternelle.Conscient de ce facteur, M.Adoua Kouassi, président del’Académie ivoirienne des languesmaternelles (Ailm), a invité,samedi, au siège de cette structure,tous les promoteurs et spécialistesdes langues maternellesà travailler en synergie en vue deconférer une véritable assise aupatrimoine linguistique ivoirien.Cette rencontre a été l’occasionpour ces défenseurs des languesmaternelles de plancher sur lesactions à mener à court, moyenet long terme pour leur vulgarisation.Au nombre de celles-ci,l’organisation de cours en languespour enfants, jeunes et adultes,l’élaboration de manuelsillustrés en 10 langues maternelles,l’initiation de cours de vacances,de formations des formateurs.L’ordre du jour a égalementporté sur l’intensification de lasensibilisation des populations etdes pouvoirs publics à la nécessitéd’une langue nationale officiellepour le pays. Les participantsse sont réjouis de cette tribuned’expression qu’est l’Ailm. Pourle Pr Jérémie Kouadio, «l’Académie doit sortir les languesde la folklorisation». Le Pr PaulAdoua Kouassi, président de l’Académie ivoirienne des langues maternelles.Aholy, lui, a demandé que lesformateurs soient formés. Pources pédagogues, il faut s’astreindreà apprendre nos langues pourles transcrire, impliquer tout lemonde, l’Assemblée nationale,les Conseils généraux… et, pourquoipas, organiser des débats enlangue. Toutes choses qui permettraientà la Côte d’Ivoire d’amorcerson développement à traversson patrimoine linguistique.Certains participants ont dénoncé,lors de grandes rencontres àl’extérieur, l’inexistence de complicitéentre Ivoiriens, fauteCultured’une langue maternelle commune.Quant au Dr Béhi Dagnesso,directeur adjoint de l’Institut deslangues appliquées (Ila), il a saluél’Ailm qui permettra à chacund’être enraciné dans sa culture. Eta également souligné qu’elle estun partenaire privilégié car ellepermettra l’application sur le terrainsdes études scientifiques.Avant de rassurer les uns et lesautres que sa structure se met à ladisposition des apprenants etenseignants. Notons que l’Ila a encharge l’Assemblée des académiciens,la direction technique etdes projets, les commissionsinscription et belles lettres, dictionnaireet artistiques. Quandl’Ailm regroupe Ong, promoteurset spécialistes des languesdont l’Ong Tagbana de MmeCoulibaly Nahaclan MarieMadeleine qui a doté le Tagbanad’une écriture avec l’existenced’une conjugaison et une grammaire.Le public a été instruit, lors de larencontre, que le président del’Ailm, par ailleurs inspecteur duTrésor et défenseur du patrimoinelinguistique ivoirien, a reçu leprix Safamcom du meilleur promoteurculturel ivoirien.MARIE CHANTAL OBINDÉPhotographie de BamakoUn livre en librairiepourparlerde l’évènementMontrer la richesse de lavie culturelle deBamako, contemporaine,ouverte, métissée, etriche des traditions detout le Mali. Rencontrer lesacteurs de la vie culturelle, lesjeunes artistes, les stars nationales,internationales ou"immigrés", comme le ditGuimba qui vit à Paris, lesartistes venus d'ailleurs et quiont choisi Bamako pour y travailler…C'est le projet que laphotographe Christine Fleurentet la journaliste Valérie MarinLa Meslée vous invitent àdécouvrir à travers rencontres,visites d'ateliers, lieux emblématiquesde la capitale malienne.Des instantanés, des interrogationsque révèle le quotidiende ces artistes dans une ville del'Afrique de l'Ouest regardée àl'aune de tout autre capitale dumonde.Ces séjours et rencontres ontdonné naissance au livre«Novembre à Bamako». Carnetde voyage personnel et sensiblesur l’Afrique de l’Ouest cinquanteans après les indépendances,«Novembre à Bamako»met en lumière la capitale du7Mali sous l’angle de la culture.Au-delà d’un mois de novembreriche de manifestations internationales,souvent importéesd’Europe (la Biennale de laphotographie africaine, de ladanse, ou encore le festivalEtonnants voyageurs), ce livreoffre une vision inédite de lavie artistique malienne contemporaineet de ses enjeux. À traversdes entretiens et portraitsd’artistes célèbres (Amadou etMariam, Rokia Traoré, SalifKéita, Malick Sidibé, MoussaKonaté, Souleymane Cissé,Kettly Noël...) ou méconnus, ilscrute tous les domaines d’unecréation foisonnante.L’écriture littéraire de ValérieMarin La Meslée et les photographieslumineuses deChristine Fleurent nous invitentà un voyage stimulant dans lequotidien d’une capitale africaineen résonance avec la culturemondiale.Soulignons que la biennaledont le thème cette année est«Pour un monde durable» auralieu du 29 <strong>mars</strong> au 10 avril dansla capitale malienne.I.T.YEO(Source Afp)COMMUNIQUÉDE LA DIRECTION GENERALE DES IMPÔTSLe Directeur général des Impôts <strong>info</strong>rme les contribuables qu’en raison de la situation actuelle, les Services des Impôtsci-après désignés sont délocalisés provisoirement dans les conditions suivantes :DIRECTION REGIONALE D’ABIDJAN NORD - 2Services concernéesNouvelles adresses- Cabinet du Directeur régional Cité Administrative - Tour E, 4 ème étage, porte 37 - Tél : 20 21 10 90 / 20 21 70 81- Centre des Impôts d’Abobo 1 Cité Administrative - Tour E, Rez-de-chaussée - Tél : 20 21 10 90 / 20 21 70 81- Centre des Impôts d’Abobo 2 Cité Administrative - Tour E, Rez-de-chaussée - Tél : 20 21 10 90 / 20 21 70 81- Centre des Impôts d’Abobo 3 Cité Administrative - Tour E, Rez-de-chaussée - Tél : 20 21 10 90 / 20 21 70 81- Centre des Impôts d’Ayama Cité Administrative - Tour E, Rez-de-chaussée - Tél : 20 21 10 90 / 20 21 70 81DIRECTION REGIONALE D’ABIDJAN SUD - 2- Cabinet du Directeur régional Centre des Impôts de Zone 4 - Biétry,situé à la Rue Lumière - Tél : 21 34 10 67- Centre des Impôts de Koumassi 1 Centre des Impôts de Zone 4 - Biétry,situé à la Rue Lumière - Tél : 21 34 10 67- Centre des Impôts de Koumassi 2 Centre des Impôts de Zone 4 - Biétry,situé à la Rue Lumière - Tél : 21 34 10 67- Brigade TVA Centre des Impôts de Marcory résidentiel - Tél : 21 26 21 02 / 21 26 71 44- Service du Cadastre technique Centre des Impôts de Marcory résidentiel - Tél : 21 26 21 02 / 21 26 71 44Le Directeur général des Impôts exprime ses regrets auprès des contribuables concernés pour les désagréments éventuels que ne manqueraientpas de causer cette situation.Il tient à les assurer que les dispositions pratiques sont prises afin de faciliter l’accomplissement de leurs obligations fiscales.Les services concernés ouvriront leurs portes dès l’amélioration de la situation.Pour toute <strong>info</strong>rmation complémentaire, les intéressés peuvent appeler gratuitement sur la ligne verte au numéro 800 88 888.Service CommunicationDirection générale des Impôts


8SociétéEna La direction générale ambitionne de faire de l’École nationale d’administrationun pôle d’expertise, d’excellence, de référence nationale et internationale.Le Dg explique les enjeux de la réforme de l’écoleFraternité Matin / Mercredi <strong>16</strong> <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>Abobo-YopougonL’assistance du ministre Christine Nebout aux déplacésLa réforme de l’Ecole nationaled’administration (Ena) doitcontribuer à la modernisationde la fonction publique et endevenir un symbole. Cette réformedoit être étroitement liée à laréforme de l’Etat. Elle doit intégrerles nouvelles missions confiées àl’Etat dans un contexte de crisedémocratique et de déchirement dutissu social : recherche de la cohésionsociale, réponse adéquate etefficace à des demandes de plus enplus exigeantes des citoyens et passaged’une logique de moyens àune logique de résultats axée sur unpilotage par objectif ». C’est lepoint d’ancrage de la vision exposéemardi par Mme Yapo Evelyne,directeur général de l’Ena, pourexpliciter les enjeux du changementdans cet établissement formant l’élitede l’administration publiqueivoirienne, à l’occasion de lasemaine de ladite école. La visiondu management de l’Ena tient autriptyque de la neutralité- l’égalitédes chances et la promotion de l’éthique.En tous cas, Mme Yapo Evelyneveut, dans sa démarche, redorer leblason de l’Ena en en faisant unpôle d’expertise, d’excellence et deréférence tant au plan nationalqu’international. Cela passera parune formation professionnelleYapo Evelyne, directeur généralde l’Ena.initiale et continue performante.Sans oublier d’en faire un pôle deconsultance et d’expertise capabled’accompagner le renforcement descapacités des institutions et administrationsivoiriennes. Les pointsfocaux découlant des enjeuxdemeure le recrutement, le projetpédagogique et la dynamisation dela formation permanente, selon ledirecteur général. Dans sa réforme,elle prend en compte le profil descandidats recherchés, leurs compétencespour leur permettre d’occuperdes fonctions ouvertes dansl’administration à leur sortie.S’il est une chose qu’elle veut sécuriser,c’est bien le concours d’entréeà l’école. La direction entend élaborerun nouveau manuel de procéduresà même d’améliorer le dispositifmis en place récemment pour rassureret crédibiliser le déroulement duprocessus global.Elle appelle à un changement deparadigme pour faire appel mêmeaux personnes - ressources du secteurprivé ou membres de la sociétécivile dans son jury.CISSÉ MAMADOUSanté publiquePrès de 8 000 maladies raresidentifiées dans le mondeLes maladies rares sont des maladiesdont la prévalence est faible,entre 1/1000 et 1/200000selon les définitions nationales.À ce jour, on estime qu'il enexiste entre 5 000 et 8 000. 80 %de ces pathologies sont d'originegénétique. Le nombre de personnestouchées par ces maladies raresdépasse celui de ceux atteints decancers[1]. Les maladies orphelinessont des maladies pour lesquellesil n'existe pas de traitement autreque ceux des symptômes.La maladie d'Alzheimer est à cejour une maladie orpheline, maiselle n'est pas rare et elle fait l'objetde beaucoup de recherche de toutenature. Par contre les maladies raressont très souvent des maladiesorphelines en raison du fait de ladifficulté économique à développerdes thérapies pour un nombre trèsfaible de malades (par exemple,une naissance sur 100 000 - untaux courant pour des affectionsgénétiques rares - ne représentequ'environ huit cas par an enFrance). On rencontre là une oppositionnette entre le désir de soignerdes pathologies souvent graves, etles investissements considérablespour développer une thérapie.Maladies rares en quelques chiffres[modifier]Aux États-Unis, la définition desmaladies rares est toute maladie oucondition de santé qui affectemoins de 200 000 personnes sur leterritoire (définition donnée dans larare Disease Act de 2002), soitmoins de 1/1500 personnes. AuJapon, la limite est fixée à 50 000personnes sur le territoire ou1/2500 personnes. Enfin l'Unioneuropéenne définit une maladierare comme une maladie chroniqueou potentiellement mortelle dont laprévalence est inférieure à 1/2000et qui nécessite un effort particulierpour développer un traitement.Une maladie est dite rare si moinsd’une personne sur 2 000 en estatteinte, soit en France moins de 30000 personnes pour une maladiedonnée. On dénombre près de 8000 maladies rares identifiées, dont80 % sont d’origine génétique.Cinq nouvelles pathologies sontdécrites chaque semaine dans lemonde. 6 à 8 % de la populationmondiale seraient concernés, deprès ou de loin, par ces maladies,soit 4 millions de Français, 25millions d’Européens et 27 millionsd’Américains du Nord.65 % des maladies rares sont graveset invalidantes. Elles sontcaractérisées par :- un début précoce dans la vie, deuxfois sur trois avant l’âge de 2 ans ;- des douleurs chroniques chez unmalade sur cinq ;- la survenue d’un déficit moteur,sensoriel ou intellectuel dans lamoitié des cas, à l’origine d’uneincapacité réduisant l’autonomiedans un cas sur trois ;- la mise en jeu du pronostic vitaldans presque la moitié des cas, lesmaladies rares expliquant 35 %des décès avant l’âge de 1 an, 10 %entre 1 et 5 ans et 12 % entre 5 et15 ans(..)source:wikipédia.orgLe ministre de la Santé et de la lutte contre le Sida a offert aux déplacés,d’importantes quantités de vivres et de non vivres.(PHOTO : PORO DAGNOGO)Dr Christine Nebout Adjobi,ministre de la Santé et de laLutte contre le Sida, a offertvendredi aux déplacésd’Abobo et d’Anyama qui sesont réfugiés à la paroisse SaintAmbroise de Angré et à la Missiond’évangélisation tous pour Jésus-Christ à Yopougon des vivres etnon- vivres d’une valeur de troismillions de Fcfa. Ce sont 35 sacs deriz, 150 de pâtes alimentaires, 350000Fcfa en médicament, 40 lits et25 cartons d’eau minérale.Dans son adresse à cette populationen détresse, la ministre a compati àleur souffrance. Elle a invoquél’Eternel des armées comme étantcelui qui libérera la Côte d’Ivoiredu joug des Nations Unies, desgrandes puissances et de tous ceuxqui lui livrent la guerre. Et indiquécette libération est imminente. DrAdjobi a, à tour de rôle, visité tousles stands des organisations humanitairesprésentes et échangé avecles médecins et les travailleurssociaux s’occupant de l’équilibrepsychosocial des déplacés. Elleleur a rappelé le soutien du gouvernementà travers le Secrétariatd’Etat chargé des Victimes de guerrequi est à pied d’œuvre pourremédier à la précarité de leursituation.Dr Tahi, le médecin coordonnateurde la prise en charge médicale despopulations du site, a relevé que cesont 1.028 individus qui ont étéaccueillis sur la paroisse depuis lesévénements politiques. Il a déclinétout le dispositif médical déployéau profit des 603 déplacés répertoriésdepuis le 07 <strong>mars</strong>. Et expriméun certain nombre de besoins :personnel soignant, matériel médical,véhicules, vivres, vêtements,nattes, tentes…A Yopougon Gesco, le pasteurSoro a relevé avoir enregistré autotal 3.372 déplacés à ce jour.Avant de remercier la ministre poursa visite qui les réconforte.Au nom des enfants déplacésvivant sur le site, Kilo Bi qui s’estinquiété, entre autres, de la reprisede l’école a été rassuré par le DrChristine Adjobi. Cette dernière luia, en effet, indiqué que leurs préoccupationssont prises en compte ausein du gouvernement.CISSÉ MAMADOUPrise en charge des victimes de guerreLa mise en place d’une politiqueefficiente s’imposeDosso Charles Rodel, secrétaired’État chargé des Victimes de guerre.Mettre en place une politiqueefficiente de prise en chargedes Victimes de guerre. Telest l’objectif principal qui aamené les responsables duSecrétariat d’Etat chargé des victimesde guerre qui a sa tête DossoCharles Rodel à organiser, vendredi,au Plateau, un atelier de validationdu document cadre pour la gestionde cette catégorie de personnes.Le Secrétaire d’Etat qui fondede réels espoirs sur l’issue des travaux,a indiqué que «la matriced’action gouvernementale <strong>2011</strong> seveut le creuset de notre vision pourle monde concernant les victimesde guerre». Il a, en outre, mentionnéque «cette matrice privilégie lesactivités permanentes pouvant permettred’aboutir à des résultats enfonction des moyens disponibles».M. Dosso Charles ajoutera cetteannée: «Il s’agit d’un document debase qui servira de boussole à nosactions, tout au long de l’année,en vue de répondre favorablementaux besoins et aspirations légitimesdes victimes de guerre».L’exposé sur la matrice d’action aété fait par Bamssié Roger, directeurde la planification des stratégieset de la documentation, en présencedes membres du cabinet,chefs de service et directeurs centraux.Ce dernier a planché surdiverses actions dont la modernisationdu cadre législatif et réglementaire,le plaidoyer et la mobilisationdes ressources pour la réalisationdes projets et programmes enfaveur des victimes de guerre, l’élaborationet la mise en œuvre de projetsprioritaires pour la réinsertionéconomique des victimes de guerre.ISSA T. YEO


Fraternité Matin / Mercredi <strong>16</strong> <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>Régions9Bouaflé Le Conseil général a dressé, récemment,le bilan de son dernier programme triennal.Des projets en souffrance, faute de financementLa première session ordinairedu Conseil général de Bouaflés’est tenue récemment dans lasalle de réunion de son hôtel. Acette occasion, le budget primitif<strong>2011</strong> a été adopté. Il s’équilibreen recettes et en dépenses à560.605.000 Fcfa, répartis commesuit : 270.605.000 F, soit 48,27 %pour le fonctionnement et290.000.000 F, soit 51,73 % affectésà l’investissement. Le présidentYao Bi Goré a indiqué qu’il y a euplusieurs investissements qui ontété faits dans le cadre du programmetriennal dont les réalisations decentres de santé dans les villages deKonéfla, Diacohou nord, Tibéita,Klan, etc.Sans oublier le reprofilage de l’axeBouaflé-Sinfra, la réalisation depompes villageoises dans les villages,de salles de classe, bureaux deGuitryK.A.D., 9 ans, élève en classe deCE2 à Yocoboué, dans ledépartement de Guitry, n'oublierapas de sitôt la date du 19février, le jour où elle a été violéepar Beugré Daniel ditN'Guessan, 33 ans, peintre domiciliéà Yocoboué. La victime a expliquésa mésaventure à la brigade degendarmerie de Guitry en ces termes:« Je revenais de l'école àmidi, lorsque Dani m'a appeléepour aller acheter sa cigarette.Quand je suis arrivée, il m'a ditd'aller prendre l'argent sur la tabledans sa chambre. Je suis entrée. Ila fermé la porte et m'a fait coucher,maître et logements des agents desanté ruraux. Mais des projets restentencore en souffrance parmanque d’argent, explique Yao Biaprès avoir bandé ma bouche pourm'empêcher de crier. Il s'est déshabilléet s'est couchée sur moi, aprèsavoir enlevé mon caleçon. Il avaitun couteau. Il m'a dit que si je crie,il va me tuer. Je suis restée dans lachambre pendant trois jours. Il acouché trois fois avec moi. Et il m’a aussi sodomisée ». C'est à la suited'une plainte des parents de la victimeque Beugré Daniel a été appréhendépar les éléments de la gendarmeriede Guitry. Après avoirtenté de nier les faits, il a reconnuson ignoble et sadique forfait. A laquestion de savoir comment il aprocédé, il a répondu avoir mouilléGoré. Il faut noter qu’au cours del’exercice 2010, le conseil général ainstallé 515 jeunes déscolarisés etdiplômés dans des activités génératricesde revenus (Agr), à savoir l’apicultureet l’agroforesterie.Concernant le chantier d’insertionpêche (Cip), un centre de formationau métier de la pêche d’unecapacité de 60 places a accueilli 30jeunes qui, grâce à cette activité,gagnent bien leur vie.Par ailleurs, dans le souci d’aiderles élèves sortis des zones Cno,selon le directeur régional de l’éducationnationale (Dren) de Bouaflé,Koffi Konan Dominique, 240 élèvesdu secondaire et du primaireconfondus ont été accueillis dansdifférents établissements scolairesde la ville.GOHORÉ BI ARMANDCORRESPONDANT RÉGIONAL.Àtrente-trois ans, Beugré Daniel viole une fillette de neuf ansYamoussoukroLes prix homologuésdu gaz ne sont pas respectésMalgré l'importante campagnede sensibilisation et lesnombreuses mises en gardeà l’encontre des revendeursindélicats, les prix de ventedu gaz butane indiqués par legouvernement ne sont toujourspas respectés dans la capitalepolitique et administrative. Danstous les points de vente que nousavons visités, la petite bouteille(B6) se recharge à 3000 Fcfa, aulieu de 1800 F comme annoncé.La bouteille moyenne (B12)s’obtient à 7000 F contre 4000Fcfa. Du grand carrefourAssabou, en passant par leChâteau au quartier Habitat, pouraboutir aux 220 lgts, Dioulakroet autres, sont les mêmes prix quisont de mise.Cette situation s’explique par lefait que la demande est forte, euégard au nombre sans cessecroissant de taxis-ville qui utilisentdésormais le gaz butanecomme carburant. Cela se voitlorsqu’il y a une livraison. Le «butanier » est escorté dès sonPHOTO: PORO DAGNOGOLe président du Conseil général,Yao Bi Goré.entrée en ville, par une cohorte demotards et d’automobilistes jusqu’àsa destination finale, dansune cacophonie indescriptible.Qui se solde souvent par des accidents.Parmi les victimes, desconsommateurs, surtout les automobilistesqui veulent s’approvisionneren quantité et se constituerdes réserves afin de se mettreà l'abri d'une éventuelle pénurie,préjudiciable à leur activité.Conséquences, la rupture de gazbutane intervient quelques heuresseulement après la livraison. Etles ménages éprouvent d’énormesdifficultés pour s’approvisionner.Ce qui ouvre la porte àtoutes sortes de spéculations. «Ce n’est pas de notre faute. Vousmêmesvous voyez que le gaz nesuffit plus. Quand c’est commeça, les prix augmentent », noussignifie un revendeur pour justifierces hausses. Sans tenir comptedes déclarations du gouvernement.KOFFI KOUAMÉCORRESPONDANT RÉGIONALson sexe avec sa salive. C'est par ladémarche difficile de K.A.D., quesa mère a découvert l'acte commispar Beugré Daniel dit N'Guessan.Après un examen médical au centrede santé, il a été prouvé que lagamine a été violée. L'auteur de cecrime a été déféré au parquet deDivo le 28 février pour attentat à lapudeur consommé avec violencesur une mineure de moins de 15ans.SOUMAILA BAKAYOKOCORRESPONDANT RÉGIONALOuragahioUne tornade faitdes dégâts à MamaLe village de Mama, dans la communede Ouragahio, a subi d’énormesdégâts matériels dans la nuitde samedi à dimanche à la suited’une tornade. Des câbles électriquesont cédé, plongeant levillage dans l’obscurité totaledurant toute la nuit. Les panneauxde signalisation, de publicité, desarbres et une partie de la clôture dustade sont tombés. Les famillesDjegré et Ouraga Gbek sont lesplus touchées par le désastre. Lestoitures de leurs maisons ont étéemportées. Le corridor de sécuritéà l’entrée du village a été égalementdétruit et des bananiers arrachés.Selon le chef de Mama,Kouassi Ouraga Bertin, il lui estdifficile d’expliquer cette catastrophe.« Seulement, il faut rendregloire à Dieu. Car il n’ y a pasde perte en vie humaine. Toutefois,notre village est devenu sinistré àcause de cette tornade», a-t-ildéclaré.JEFFERSON GNABROCORRESPONDANT LOCALDuékouéLes déplacés se sentent oubliésLes Ong qui avaient plusieurs projets pour ces déplacés ne sont plus visibles, bien qu’ayant obtenu des financementsLa généralisation de la crise dansle pays a fait que les déplacés deDuékoué sont tombés dans l’oublitotal. Les Ong qui avaientplusieurs projets pour eux nesont plus visibles bien qu’ayantobtenu des financements. Le Hcrqui a mis des tentes à la dispositionde ces personnes vulnérableségalement. Laissant tout ce beaumonde aux mains des religieux quine savent plus à quel saint se vouer.Avec les premières pluies, les quartierssinistrés sont couverts debroussailles. Seules quelques personnespensent encore à ces déplacés.C’est le cas de Sonia Gui Dibo,qui a offert, à travers son Ong Food“Fédération des organisations pourle développement de Duékoué”,récemment, des médicaments, desvivres et non-vivres estimés à plusde 5 millions de Fcfa aux populationssinistrées de la cité duGuemon. Cette dame, originaire dela ville, n’est pas restée insensibleaux cris de détresse de ses parents.Ses dons ont soulagé les déplacésdu quartier Diagne Bernard appelécommunément carrefour. Ce 8<strong>mars</strong>, ce fut le tour du collectif despasteurs des églises évangéliquesde Bouaflé d’apporter leur soutienaux victimes des affrontements.Des effets vestimentaires et autresbiens ont été offerts au comité d’aideet action humanitaire en présencedu 5 e adjoint au maire.” C’estle moment de faire connaître Dieuen venant en aide à tous les parentssinistrés. Il faut le faire pour matérialiserce que nous faisons à l’église”,a lancé le pasteur Ba GnombleiDenis, président de ce collectif.Avec le grand nombre de déplacésdans le pays, ceux de Duékouéréapprennent à vivre grâce à laCroix-Rouge, Médecin sans frontièreset des bonnes volontés.SAINT-TRA BICORRESPONDANT RÉGIONAL


10SportsFraternitéMatin / Mercredi <strong>16</strong> <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>Football Les 8 es de finale retour de la Ligue des champions promettent deux bonsmatches ce soir, avec un délicat Real-Lyon et non moins important Chelsea -Copenhague.Les Blues en pole positionChelsea a commencé uneœuvre à Copenhague en surprenantl’équipe locale (2-0)lors de la manche aller deshuitièmes de finale de laLigue européenne des Champions.Ce soir, sur leurs installations, lesBlues vont tenter de la paracheverafin de s’ouvrir les portes desquarts de finale. Salomon Kalou,Didier Drogba, Michaël Essien etleurs coéquipiers, qui semblentavoir repris des couleurs, ont deréels arguments pour franchir cetadversaire. Le représentant danoisn’est pas un foudre de guerre. Ilviendra certes pour jouer son vatout,mais Chelsea, avec le soutiende son public, ne laissera pas passerl’aubaine. Même si le footballest une science inexacte, l’on voitmal les Blues se laisser lamineravec une différence de trois buts.« Nous avons la Ligue desChampions pour sauver notre saison.L’espoir est permis. Il suffitd’y croire », a soutenu le jeuneinternational ivoirien, SalomonKalou, à l’Agence française depresse (Afp).L’autre rencontre qui ne manquerapas d’intérêt, c’est l’oppositionReal Madrid –Lyon. Au matchaller, les Lyonnais n’ont pu créerles conditions pour se mettre à l’abri,coupant la poire en deux avecles Madrilènes (1-1). Pour cettemanche retour, ils sont condamnésLe programme(19h45)Chelsea - CopenhagueReal Madrid - LyonSéisme au JaponL’Ivoirien Kalou Salomon et le Français Karim Benzema,deux attractions des matches de ce soir. (PHOTOS AFP)à l’exploit, à vaincre pour continuerl’aventure. Mais, à y voir deprès, la mission paraît impossible.Car, Cristiano Ronaldo et ses partenairessont difficiles à manœuvrerau stade Santiago Bernabeu. LeReal a le moral haut actuellement,à la suite de son bon parcours enchampionnat. Il a réussi à réduirel’écart de 7 points entre le leader leBarça, et lui après sa victoire surHercules (3-1). Puisque lors de la29 e journée, Messi (la toupie atomique)et ses coéquipiers n’ontramené qu’un point de leur déplacementà Séville (1-1). A l’heureLe championnat suspenduLe championnat du Japon estsuspendu jusqu'à nouvelordre suite au séisme et autsunami qui ont dévasté lenord-est du pays.Après le terrible tremblementde terre qui a secoué le Japonvendredi dernier, le championnatnippon de football a étésuspendu à l'issue d'une réunionde crise qui s'est tenue ce mardià Tokyo. Les explosions qui sesont déroulées à la centrale atomiquede Fukushima ont, eneffet, provoqué la suspensiondu championnat jusqu'à nouvelordre par les officiels. Unedécision approuvée par lesclubs de première et deuxièmedivision du Japon. «Il n'a pasété question d'une date dereprise, a confié après la réunionle président du club desKashima Antlers. La situations'aggrave. La majorité des participantsont admis que reprendredébut avril était tout simplementimpossible». Depuislundi donc, la peur d'une catastrophenucléaire grandit aprèsl'entrée (partielle) en fusion detrois réacteurs de la centrale deFukushima, au Nord de la capitale.L’UEFA, pour sa part adécidé de soutenir le Japon.Les matches de coupesd'Europe disputés cette semainesont précédés d'une minute desilence «en signe de soutien auJapon et de respect aux victimesdu séisme du 11 <strong>mars</strong> suivid'un tsunami », a, annoncél'Union européenne de football(UEFA). «Toute la famille européennedu football se tiendraunie sur le terrain cette semaineavant nos matches afin d'exprimernotre sympathie la plusprofonde et notre plein soutienau peuple japonais, auquelnous souhaitons de conserverL'infirmerie du FCBarcelone affiche complet.Dani Alves (cheville),Adriano (mollet),Maxwell (cuisse), Pedro(hernie) et Lionel Messi(genou) ont tous été blessésdimanche dernier à Séville (1-Le faitdu bilan, Barcelone totalise 75points contre 70 pour le Real.Pour revenir à la ligue desChampions, il faut, toutefois,signaler que ces dernières années,le club français a toujours éliminéson homologue espagnol.Ce sera donc le match de la confirmationou de la revanche.Au moment où nous mettions souspresse, Manchester Unitedaccueillait l’Olympique deMarseille, et le Bayern Munichd’Arjen Robben s’expliquait avecl’Inter Milan de Samuel Eto’o.JEAN-BAPTISTE BEHIla force de régler les problèmescréés par la tragédie», a déclaréle président de l'UEFA,Michel Platini. Les matchesconcernés sont les quatre huitièmesde finale retour de Liguedes champions d’hier soir(Manchester United-Marseilleet Bayern Munich-Inter Milan)et d’aujourd’hui (Real Madrid-Lyon et Chelsea-FCCopenhague), les 8es de finaleretour d'Europa League demain,et les quarts de finale aller de laLigue des champions féminineces mercredi et jeudi.(SOURCE :REUTERS)Cascade de blessures au Barça1). Ils sont tous incertainspour le match contre Getafe leweek-end prochain. Le FCBarcelone dispose de cinqpoints d'avance sur le RealMadrid en tête du championnatd'EspagneFRANCE FOOTBALL


Fraternité Matin / Mercredi <strong>16</strong> <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>Les pays membres du G8,réunis lundi et mardi à Paris,n’ont pas réussi à s’entendresur le principe d’une interventionmilitaire en Libye où lesforces du colonel MouammarKadhafi sont sur le point dereprendre la ville de Benghaziaux insurgés. Cette initiative dela France, qui assure la présidencedu G8, vise à freiner la progressiondes forces de Tripoli quiont lancé une grande offensivedestinée à reconquérir les localitéstombées aux mains des insurgés.Les ministres des Affaires étrangèressont juste tombés d’accordpour demander à l’Onu d’adopterde nouvelles mesures à l’effetd’accroître les pressions sur ledirigeant libyen. « Les ministresse sont réjouis du fait que leConseil de sécurité des NationsUnies examine de toute urgenceune large gamme de mesuresvisant à assurer la protection despopulations libyennes contre lesattaques des forces deMouammar Kadhafi », peut-onlire dans les conclusions écritesde la réunion.Pas une ligne cependant sur lazone d’exclusion aérienne pourl’instauration de laquelle laFrance et la Grande-Bretagne sebattent et qui est censée empêcherle décollage des avions decombat libyens. Ces deux paysproposent soit la mise en place decette zone, soit des frappesaériennes ciblées pour amoindrirles capacités militaires du guidede la révolution. « Pour l’instant,je ne les ai pas convaincus», a confessé le chef de la diplomatiefrançaise, Alain Juppé, parlantde ses homologues des Etats-Unis, de Russie, d’Allemagne, deGrande-Bretagne, d’Italie, duÉtrangerLibye Réunis pendant deux jours à Paris, les Etats membres du G8 n’ont pu se mettre d’accord sur la miseen place d’une zone d’exclusion aérienne, ni sur des sanctions aériennes ciblées, deux mesures proposées par la France.Le G8 divisé surune intervention militaire contre KadhafiLe ministre français des Affairesétrangères n’a pas réussi à rallierses homologues à la position deson pays.Canada et du Japon. Il a reconnu,dans la foulée, que Kadhafienchaîne les succès face à sesopposants.Concernant Benghazi, deuxièmeville du pays et siège du Conseilnational libyen, que Paris areconnu la semaine dernièrecomme seul représentant légitimedu peuple libyen, Alain JuppéBéninYayi Boni et Houngbedji crient victoireau premiertourde la présidentielleLes partisans du Président sortantBoni Yayi tout comme ceux deson grand rival AdrienHoungbedji revendiquent lavictoire au premier tour du scrutinprésidentiel de dimanche auBénin, faisant craindre un nouveaudifférend électoral en Afrique del’Ouest. Boni Yayi, 58 ans, affrontait14 autres candidats, dont sonprincipal opposant AdrienHoungbdeji, 69 ans, qu’il avaitbattu au second tour en 2006. Lacommission électorale nationaledevrait publier les résultats de cepremier tour dans la semaine. Dansl’attente, les deux camps rivaux ontdiffusé leurs propres chiffres, chacunaffirmant être en tête du scrutin.Selon ses partisans, le Présidentsortant arrive largement en tête et ilest peu probable qu’un second toursoit nécessaire, a dit aux journalistesle porte-parole du Chef del’Etat, Marcel de Souza.Yayi, a-t-il ajouté, est en tête danshuit des douze départements dupays, Houngbedji dans les quatreautres. Adrien Houngbedji, dansune conférence de presse, a affirmépour sa part qu’il arrivait largementen tête dans cinq départements etqu’un second tour serait nécessaire- second tour qu’il s’est dit assuréde remporter.REUTERSJaponLe risque nucléaire s’aggrave très sérieusementSelon l’Autorité française desûreté nucléaire (ASN), l’enceintede confinement du réacteurnuméro 2 de la centrale deFukushima n’est plus étanche,tandis qu’un incendie s’est déclarétemporairement dans les bâtimentsdu réacteur numéro 4, laissantéchapper des particules radioactives.A l’heure actuelle, tous lesréacteurs de la centrale posent problème.La société Tepco, qui gèrele site, a demandé l’aide des forcesd’auto-défense et de l’armée américainepour tenter de refroidir sesréacteurs.Ce mardi 15 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>, une troisièmeexplosion s’est produite dansla centrale nucléaire de Fukushima.Après les deux explosions survenuesdepuis samedi dans les bâtimentsqui abritent les réacteurs 1 et3, c’est celui du réacteur numéro 2qui a subi le même sort. L’enceintede confinement qui abrite ce réacteurne serait plus étanche, selonl’Autorité française de sûreténucléaire (ASN). En cause : lessystèmes de refroidissement quisont tombés en panne dans trois dessix réacteurs de cette centrale quidate des années 1970.Par ailleurs, un incendie s’estdéclaré dans le réacteur numéro 4,incendie qui aurait été éteint mais leniveau d’eau baisse et la températureaugmente.RFIa admis qu’en l’état actuel deschoses, la communauté internationalen’est pas en mesure d’empêcherles forces pro-Kadhafi dela reprendre. « Aujourd’hui,nous n’en avons pas les moyensmilitaires, puisque la communautéinternationale n’a pas décidéde s’en doter », a fait remarquerle ministre français des Affairesétrangères.Sur le terrain, l’armée gouvernementalea repris, hier, la ville-cléd’Ajdabiya située à <strong>16</strong>0 kilomètresde Benghazi, leur prochainecible. Quelques heures auparavant,elle contrôlait la ville pétrolièrede Brega située dans leGolfe de Syrte. « Nous avonstotalement perdu Brega. Nous nepouvions pas faire face aux forcesde Kadhafi », a avoué uninsurgé. Les forces du colonelKadhafi ont également reprisZouara, à l’ouest de Tripoli.Dans un entretien au quotidienitalien, Il Giornale, le guidelibyen assure que « les rebellesn’ont plus d’espoir » et que «désormais, c’est une cause perduepour eux ». Opposé à toutenégociation avec ceux qu’ilnomme « les terroristes »,Kadhafi leur offre deux possibilités: « se rendre ou fuir ».CYPRIEN TIESSÉSOURCES: AFP, LE MONDE.FR,REUTERSBurkina FasoLes universités publiquesfermées jusqu’à nouvel ordreLe gouvernement a procédé,lundi à Ouagadougou, à la fermeturedes universitéspubliques du pays jusqu’à nouvelavis, annonce un communiquédu ministère desEnseignements secondaire, supérieur.Selon le communiqué, il s’agit desuniversités de Ouagadougou, deOuaga II, de Koudougou et deBobo-Dioulasso qui sont concernéespar la fermeture.Cette fermeture de ces établissementsd’enseignement publics,explique le communiqué, entraînela suspension de tous les servicessociaux au profit des étudiants etrelevant des universités deOuagadougou, Ouaga II, Bobo-Dioulasso et Koudougou.Un arrêté du ministère desEnseignements secondaire, supérieurprécisera les modalités de fermeture.Selon les observateurs, cette fermeturefait suite aux heurts enregistrés,vendredi 11 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> àOuagadougou entre forces de l’ordreet étudiants au cours d’une marchedite pacifique organisée par lesétudiants.Cette marche de protestation quis’est terminée par une course poursuite,a fait des blessés dans lecamp des étudiants qui avaient promisde revenir à la charge lundi 14<strong>mars</strong>, ce qui a amené le gouvernementà opter pour la fermeture des11universités.Des édifices publics dont le gouvernoratde la région du Nord, larésidence du gouverneur, ainsi quele commissariat de police ont étésaccagés et incendiés le 9 <strong>mars</strong> dernierà Ouahigouya (230 km auNord de Ouagadougou), suite à unemarche des élèves qui continuentde demander justice et vérité pourleur camarade Justin Zongo décédédes suites de sévices corporels dansun commissariat de police.Ces troubles qui se sont propagésau moins dans une quinzaine delocalités du pays, rappelle-t-on, ontfait au total six morts ( dont troisélèves, un écolier, un étudiant et unpolicier) et des blessés gravesparmi les manifestants et les forcesde l’ordre.XINHUANETLe globe tourneRDC. Au procès des policiersassassins présumés de FloribertChebeya, le principal accusé, lecolonel Mukalay, a écopé lundi 14<strong>mars</strong> d’une nouvelle inculpationpour détournement et détentionillégale d’armes de guerre. Maiscela ne fait pas avancer pour autantla vérité sur cet assassinat. Le tribunala entendu ce lundi le successeurde Chebeya à la tête de la «Voix des sans voix », Dolly Ibefo.OFFRES D’EMPLOIS IBI GROUPEUn important Groupe Malien recherche quatre cadres supérieurs :1. lngénieur Génie Civil : Spécialité Travaux Particuliers- Niveau : Diplôme BAC+5- Expérience minimale de 5 ans de travaux de terrassement, deconstruction de routes et d'aménagements spéciaux (constructionde berges, de canivaux, pavage, périmètres agricoles).2. Ingénieur Génie civil : Spécialité Hydraulique- Niveau : Diplôme BAC+5- Expérience minimale de 5 ans de conduite, d'élaboration desoumission d'entreprise et de dossier technique d'exécution detravaux d'adduction d'eau potable.3. Ingénieur Electricien spécialisé en Réseau MT/BT- Niveau : Bac +5- Expérience minimale requise : 5 ans d'étude et de conduite detravaux d'électrification HTA, MT et BT, d'électrification rurale.4. Directeur technique (Ingénieur en génie industriel)- Niveau : Bac+5- Expérience minimale requise : 5 ans dans la gestion d'une usine.Envoyer CV à :ibdiawara@ibigroupe.comCC : kamissa@ibigroupe.com


Infos service12Petites AnnoncesNÉCROLOGIEFraternité Matin/Mercredi <strong>16</strong> <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>Offre d’emploiPOUR SON PROGRAMME DEPRÊT SCOLAIRE structure recrutedes conseillers crédits (h/f) niv tle etplus retrait de pochette 2000 F Ccia13è étage porte 11, contact : 20 21 4458 / 46 59 39 01.LUN 96 313AutosLOCATION DE VOITURES à partirde 25 000F/j tél : 01 11 50 00MER 96 308IN MEMORIAM"Je vous prendrai près de moi afin que là où je suis,vous aussi vous soyez" Jean14, 3<strong>16</strong> <strong>mars</strong> 2010<strong>16</strong> <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>Voilà 01 an déjà qu'il a plu au Seigneur de rappelerà lui sa servante :Geneviève Marie GisèleNoëlle DALLOEn union de prière, sa mère, ses enfants: Anne-Emmanuelle, Karl Yvan, ses frères et sœurs, lafamille DALLO, la famille KAPO, les famillesalliées et amies renouvellent leurs sincèresremerciements à tous ceux qui leur ont apportésoutien spirituel, moral et matériel lors de cettedouloureuse épreuve.Ils les prient de s'unir d'intention ou d'assister à lamesse d'action de grâce qui sera dite le mercredi<strong>16</strong> <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> à 18h à la Fraternité SaintDominique, face à l'école de gendarmerie àCocody.Frat-Mat N° 93 143AVIS DE PERTEDE PASSEPORTMme SALEH SANAA née le21/06/1987 de nationalitélibanaise signale avoir perdu sonpasseport. A toute personne qui leretrouve de nous contacter auxnuméros suivants : Cel: 08 84 8250/ Tel: 21 26 57 85.Frat-Mat N° 93 126IN MEMORIAM17 <strong>mars</strong> 2010-17 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>Il y a 1 an s'endormaitdans la paix du Seigneurnotre bien-aimée etregrettée :Veuve DIAHAElisabeth Cica néeADJANOHO<strong>UNE</strong>n union de prière, ses enfants, petits-enfants,neveux et nièces et toute sa famille vousrenouvellent leurs sincères remerciements et vousprient de vous unir d'intention ou d'assister à lamesse d'action de grâce qui sera célébrée en samémoire le jeudi 17 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> à 19h en l'égliseSaint Jean de Cocody.Frat-Mat N°93046REMERCIEMENTSLe chef de famille BogniniFrançois, Mme et enfants àBassam, M. Mme BogniniMoïse et enfants à Bassam,M. Miezan EdoukouAntoine, frères, sœurs etenfants à Bassam, M. DagniKakou, frères et enfants àBassam, Mme Bomo AnneAcouba, frères et sœurs àBassam et à Abidjan, M.Ediemou Jacob, frères etsœur à Abidjan et Bassam, M. Ehui Edoukou à Abidjan,chef de famille, M. Gnoan Hamilton, chef de village deNguiéme, frères, sœurs et enfants, Mme ElisabethAmichia, cousine et enfants à Abidjan et Nguieme, lesenfants de feu Mensah Talevie à Abidjan, Mme Fayénée Avoaka Marie Thérèse, frères et sœurs, M. et MmeSobo Avoaka Athanase, administrateur des servicesFinanciers au Trésor public à Abidjan, Mme NguessanCamille née Lucie Sobo et enfants, Mme Agnina Agneset enfants à Abidjan, M. Sobo Aman Joachim, Sergentchef de police, Mme et enfants à Abidjan, M. SoboHervé et Mme attaché des greffes et parquet à Abidjan,les familles alliées, les amis et camarades ont laprofonde douleur de vous annoncer le décès de leurneveux, frère, fils, père et ami, cousin et oncle:SOBO Joseph Thomas dit MiezanGérant de l'Hôtel QG à Marcory,survenu le 17 février <strong>2011</strong> à la polyclinique Avicennesà l'âge de 54 ansVous renouvellent leurs sincères remerciements et vousprient de bien vouloir assister ou de vous unird'intention aux obsèques qui se dérouleront suivant leprogramme ci-après:Progamme des obsèques :Samedi 12 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> de 20h à minuit: Veillée audomicile familiale à Marcory Sicogi, derrière bureau dela caisse de Sicogi.Vendredi 18 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> à 17h00: Levée du corps àIvosep Treichville suivie d'une halte au domicile dudéfunt à Marcory quartier GFCI au N° 93620h à l'aube: Veillée religieuse et traditionnelle auterrain Konan Raphaél à Marcory SicogiSamedi 19 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> à 10h30: Transfert de ladépouille mortelle à Grand Bassam11h30-12h: Halte au domicile familiale sis à Grand-Bassam (quartier France) suivi de l'enterrement aucimetière de Grand-Bassam (route d'Azuretti)A partir du 14 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>: présentation descondoléances au domicile familial du défunt sis àMarcory Sicogi lot N°582 derrière le bureau de la caissede la Sicogi.Frat-Mat N° 93144IN MEMORIAM<strong>16</strong> <strong>mars</strong> 2010 -<strong>16</strong> <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>Le temps passe, lessouvenirs demeurent.Voici un an déjà que futbrutalement arraché ànotre affection, comme ilplu au Seigneur,APHING-KOUASSIKAMAN MadeleineEn ce jour anniversaire de sa disparition, son époux,ses enfants, sa famille, ses petits-enfants, ses ami (e)s et les familles alliées renouvellent leur infiniegratitude et leurs sincères remerciements à tous ceuxqui de près ou de loin, leur ont apporté compassionet soutien en cette douloureuse séparation.Une messe d'action de grâce dite en sa mémoire lemercredi <strong>16</strong> <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> à 12h00 en l'église StJacques des II Plateaux.Que tous ceux qui l'ont connue aient une penséepieuse pour elle.Que Dieu vous comble de ses grâces.Frat-Mat N° 93153Sa majesté Nanan BoaKouassi III, Roi de l'Indenié,Mamie Amoikon Assoh,Reine mère de l'Indenié,Mamie Adom AppiahJulienne, Mamie AdomKangah Bernadette, NananEhoué Aka, chef du canton deYakassé Feyassé, NananAdou Koffi, chef de cantond'Amélekia, Nanan KoffiGuillaume, chef de canton deZaranou, Nanan Boa MianPascal, chef de village de Sankadiokro, Nanan Boa Reste,chef de village d'Adonikro, frères et sœurs, la familleRoyale de l'Indenié, l'Ambassadeur Boa ThiémeléAmoakon Edjampa, Président du Conseil Générald'Abengourou, l'Ambassadeur Kabran Eby, Mme AdouChristophe née Boa Thiémelé Ama Anasthasie, la grandefamille Kouadio Amboff, la famille N'guetta Kouao àAdaou, Mme Amoakon Akoua Agnès à la DirectionGénérale des Impôts et enfants, M. et Mme DaillyCharles, la famille Dailly à Abidjan et Onayo et famillesalliées, ont la profonde douleur de vous annoncer le décèsde leur fille, mère, belle-mère, cousine, tante :BOA ADON CATHERINE,survenu le vendredi 28 janvier <strong>2011</strong>.Le programme des obsèques est le suivant:Programme :Début des condoléances:Lundi 21 au mardi 22 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> de 17h30 à 18h30:Présentation des condoléances au domicile de M. DaillyCharles, sis aux II Plateaux cité Sideci (à 100 mètres duCarrefour Banque SIB) Villa <strong>16</strong>2Mercredi 23 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> de 17h30 à 18h30: Veilléereligieuse à l'église Ste Cécile des II PlateauxVendredi 25 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> de 08h 00 à 09h00: Levée ducorps sur le Parvis de Ste CécileDe 09h00 à 10h00: Messe de requiem suivie du transfertde la dépouille mortelle à Abengourou21h à l'aube: Veillée religieuse et traditionnelle àAbengourou à la cour RoyaleSamedi 26 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> de 08h30 à 09h30: Cérémonietraditionnelle à la cour RoyaleDe 10h00 à 11h00: Messe de requiem à la Cathédraled'Abengourou - 11h30: Inhumation au cimetière Royald'Adaou (commune d'Abengourou)Toute personne désirant se rendre à Abengourou est priéede contacter les personnes suivantes:M. Tieya Germain au 07 <strong>16</strong> 65 30 /60 5 44 83Mlle Geneviève au 07 77 55 13 / 60 50 44 88Frat-Mat N° 93145


Fraternité Matin/Mercredi <strong>16</strong> <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>Infos serviceNÉCROLOGIE13IN MEMORIAM17 <strong>mars</strong> 201017 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>" Et tu as changé meslamentations enallégresse, tu as délié monsac, et tu m'as ceint de joie; afin que mon cœurte chante et ne soit pasmuet. Eternel, mon Dieu !Je te louerai toujours ".Psaume 30 : 11,12).Voici déjà un an qu'il a plu au Seigneur de rappelerà Lui notre bien-aimée et regrettée :AGNES BRETT épouse YACÉEn union de prière, les familles Yacé, Brett, Koizanet les familles alliées et amies vous renouvellentencore une fois leurs sincères remerciements et vousprient de vous unir d'intention ou d'assister à lamesse d'action de grâce qui sera célébrée en l'égliseNotre Dame d'Afrique de Biétry le jeudi 17 <strong>mars</strong><strong>2011</strong> à 11h 00.Cette célébration religieuse sera suivie d'un déjeuneret d'un concours de chant choral en la mémoire de ladéfunte à l Résidence Yacé de Biétry.Frat-Mat N° 93 096M. le Premier ministre,Pascal Affi N'guessan, M.le Préfet de la région desLagunes (Abidjan) et sescollaborateurs, M. lemaire Kouamé Oi KouaméBernard, la grande familleIgouan Assié et enfants àParis et aux Etats-Unis, lagrande famille NianzaAmoua à Abengourou, lagrande famille Kreme àAbidjan, Tanda,Dibibango, Iguéla, Téhui, Assafo, Tangamourou et àAgnibilékrou, M. Atta Yao Jean-Marie, époux de ladéfunte à Fraternité Matin, enfants et famille àAbidjan et Paris, ont la profonde douleur de vousannoncer le rappel à Dieu de leur nièce, collègue, fille,belle-fille, épouse, mère, amie et membre :ASSIE BADOU SOLANGE IGOUANEpse ATTA,Ex-agent de bureau à la préfectured'Abidjan Plateau,survenu le samedi 05 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> au Chu de Yopougondes suites d'une longue maladie.Les condoléances sont reçues tous les jours de 18h à21h au domicile familial sis à Yopougon-NiangonBase Cie Canal Horizon.Le programme des obsèques se présente comme suit:Vendredi 18 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>: veillée religieuse ettraditionnelle de 14h à 22h à l'école primaire Sogefiha2 en face de la pharmacie Thérésa.Samedi 19 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> à 09h: Levée du corps à lamorgue de Yopougon suivie d'une escale au domicilefamilial et de l'inhumation au cimetière municipal deYopougon.Contacts: 09 11 10 85 /44 60 04 23 /07474194.Frat-Mat N°8150Veuve Effi Amouzou Jean-Baptiste née Ahoua EbaAgathe et famille à Agnia,N'gohinou, Azaguié,Abobo-Gare (quartierAgnikro) et Abidjan, MM.et Mmes les enfants,petits-enfants, et arrièrespetits-enfants EffiAmouzou Jean-Baptiste àAgnia, Abidjan et Genève,les familles alliées àAbidjan, Abengourou,Agnibilékrou, M'batto, Menou, Sakassou, Tanda etTipadipa, veuve Aka Adjo et famille à Agoua etAbidjan, M. Effi Boni Lambert, frères et sœurs àAgnia, Akpibo et Abidjan, M. Edia Brou Célestin,frères et sœurs à Agnia, Angamakro, Bongouanou etAbidjan, veuve Ahoua Agoh, enfants et petits-enfantsà Agnia et Abidjan, Nanan Anoman Edia Ambroise etfamille à Agnia et Abidjan, M. Kassi N'doua Marcel etfamille à Agnia et Abidjan, M. Abo Ehounou Basile,planteur à Agnia et famille, M. Koutou Ahossi, chefde la grande famille Ahossi d'Agnia, M. Kalif Josephet famille à Abidjan et Paris, M. Eba KaffourmanMichel et famille à Agnia, Tankessé, Abidjan et Usa,M. Becoin Sôblô, planteur à Agoua et famille, M.Kpangni Samba, planteur à Agoua et famille, M.Kassi Kadjo, planteur à Agnia et famille, M. KassiAmouzou et famille à Agnia, Abidjan, Rouen et Paris,M. Kablan Gnamien Edgard et famille à Agnia,Agoua, Abengourou, San Pedro et Abidjan, M. KouaAssemian Paul, frères et sœurs à Agoua, Abidjan etChicago, MM. et Mmes les membres de la famille defeu Koua Kakou Augustin à M'batto, Daoukro etAbidjan, ont la profonde douleur de vous faire part dudécès de leur époux, père, neveu, frère, cousin, oncle,beau-père, grand-père, arrière grand-père et allié:EFFI AMOUZOU JEAN-BAPTISTE,survenu à Abidjan le 17 août 2010 dans sa 82 ème année.Le programme des obsèques s'établit comme suit:Du jeudi 17 au dimanche 20 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> de <strong>16</strong> h à20h : présentation des condoléances à Angré Soleil 3Villa 309 (1ère partie).Du vendredi 1er au mardi 05 avril <strong>2011</strong> de <strong>16</strong> h à20h: présentation des condoléances à Angré Soleil 3Villa 309 (2ème partie).Mercredi 06 avril <strong>2011</strong> de <strong>16</strong>h à 18h: veilléereligieuse en la Paroisse Saint Ambroise Ma Vigned'Angré.Vendredi 08 avril <strong>2011</strong> à 7h30: levée de corps àIvosep Vge suivie du transfert à Agnia (Préfecture deM'batto).A partir de 21h : veillée religieuse et traditionnelle audomicile familial.Samedi 09 avril 08h-10h30: cérémoniestraditionnelles.11h: messe de requiem suivie de l'inhumation aucimetière d'Agnia.Frat-Mat N°93147AVIS DE PRISEDE CONTACTLe Juge des Tutelles de la sectionde Tribunal de Dabou, MmeN'Guessan née Yao Rachel inviteM. Anoman N'Dédé Joseph, pèrede l'enfant mineur Anoman AdjoOnimoyezor Christelle à seprésenter à l'audience dumercredi 23 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> à huit(8)heures pour affaire leconcernant.Fait à Dabou le 9 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>Le juge des tutellesLe GreffierFrat-Mat N° 93 087Nana Ossohou Boka Daniel,chef de terre à Ouanguié s/pd'Agboville, M. Tetchi Félix,chef du village de Ouanguiés/p d'Agboville, les grandesfamilles: Tetchi Bôssô,Kouassi Bôssô, Assoho etAssoma Bôssô à Ouanguié etAdaou s/p d'Agboville, lagrande famille Kama, lagrande famille Ogborou àRubino dans la s/pd'Agboville, la grandefamille Ossohou, Charles,Célestine, Anne Marie, Albert, la grande famille Ahou,Fidèle, Nicaise, Sylvain, frères, sœurs épouses etenfants, la grande famille Tectchi, Marcel, Yavo Dénis,Maxime, Ruffin, frères, épouses et enfants, la grandefamille Djété, Sagoh, Ory, Hermann, frère, sœur,épouses et enfants à Ehouédjé, Abidjan et Paris, VeuveN'cho née N'guessan Anè et enfants à Ery-Mankoudjé 1et Abidjan, les veuves N'dri Chonon Elisabeth, N'gbessoMarie Cécile, N'guessan Yaba Yvonne et enfants àDuékoué et Agboville, N'guessan Tetchi Pierre dit "Italien " et enfant à Agboville et Italie, N'guessan OffoJules et enfants à Alépé, N'guessan N'dri et enfants àAgboville, Abidjan, France et Italie, N'guessan épseAssoko et enfants à Rubino s/p d'Agboville et Abidjan,M. Dessy Hubert, maire de la commune de Rubino etfamille à Kamabrou, Agboville et Abidjan, VeuveN'Gbesso Amon Marcelline et enfants à Abidjan, M.Ogba Chikoi Marcel, épouse et enfant à Kassidjé,Abidjan et Frakfurt (Allemagne), la famille Kouaho:Kouaho Sylvain et enfants à Marseille, Kouaho Patricket enfants à Abidjan et aux Etats-Unis, Kouaho AffoMarie-Hortense épse M'bettié et enfants à Abidjan,Kouaho Simplice à Abidjan, Kouaho Elisabeth Chantalépse Tabi et enfants à Abidjan, Kouaho Cécile Catherineet enfant à Abidjan, Kouaho Viviane Pascale épseKouyaté et enfants à Paris, Kouaho Alain Fortune,épouse et enfants à Abidjan, Kouaho Amélie Rosine etenfants à Paris, Kouaho Sylvie N'guessan épse Gohi àAbidjan, Kouaho Annie Brigitie et enfants à Abidjan,Kouaho Eric Olivier et enfants à Abidjan, Kouaho JeanFrançois Serge et enfant à Abidjan, Kouaho ChristianElysée au grand séminaire d'Anyama, Kouaho GertrudeDorcas et enfant à Abidjan, Kouaho Thierry Stéphane àAbidjan, Kouaho Laetitia Tatiana N'guessan à Abidjan,les familles alliées: Chapon, Komé, Nebout, Sakho,Gohi, Tabi, Tiapani, Kouyaté M'betié, Eponon, Dogbo,Acray et famille Adja, ont la profonde douleurd'annoncer le décès de leur époux, père, grand-père,frère, oncle, cousin et beau-père:N'GUESSAN KOUAO PAUL,Ex-enseignant à la retraite,survenu le lundi 24 janvier <strong>2011</strong> à Yopougon dans sa72 ème année des suites d'une courte maladie.Le programme des obsèques se présente comme suit:Du 20 février au 11 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> de 18h30 à 22h00:présentation officielle des condoléances au domicile dudéfunt sis à Yopougon Sogéfia Sollic 2, quartier Siporex,porte 2825 près de l'église universelle (ex-cinémaKabadougou)Samedi 12 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> de 21h00 à l'aube: veilléereligieuse et traditionnelle à Yopougon Siporex.Vendredi 18 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> de 9h00 à 11h00: levée ducorps sur le parvis de la cathédrale Saint André deYopougon-De 11h à 11h30: escale au domicile du défunt àYopougon Siporex, suivi du transfert à Agboville.-De 14h à 14h30: escale au domicile du défunt auquartier château puis départ pour Ouanguié son villagenatal-De 21h00 à l'aube : veillée religieuse et traditionnelle.Samedi 19 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> de 8h00 à 9h30: cérémonietraditionnelle-De 10h00 à 11h30: messe de requiem, suivie del'inhumation au cimetière dudit village.Dimanche 20 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> à 09h00: messe d'action degrâce à la cathédrale Saint André de Yopougon.N.B: le livre de condoléance est ouvert.Frat-Mat N°928<strong>16</strong>


Infos service14 Fraternité Matin/Mercredi <strong>16</strong> <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>NécrologieNanan Kouakou, chef duvillage d'Amoriakro et sesnotables, M. Brou N'Dri,chef de famille Essan àKouassikro, M. AhouéAssoumou et famille àAmoriakro et Anianssoué,Mme Kra N'Dri et enfants àAmoriakro, les enfantsAhissan Jeanne, AhissanJules, Ahissan Nicole,Ahissan Alain, AhissanConstant, Ahissan Thérèse et Ahissan Olivier, M.Kouakou Yobouet et famille à Séssenouan ( S/PBouaké), la mutuelle de développement d' Amoriakro(Mudam), la Direction et l'ensemble du personnel dela société" Au Parchemin" , les amis et connaissancesont la profonde douleur de vous annoncer le décès de:ESSAN AHISSAN ANTOINEChauffeur de ladite société,survenu le vendredi 25 février <strong>2011</strong> à 7 heures 25mn à l'Hôpital Général d'Abobo.Programme des obsèques:Vendredi 18 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> à 9 heures : Levée du corpsà la morgue de à l'Hôpital Général d'Abobo suivie dutransfert à Amoriakro S/P d'Agnibilékrou-21heures à l'aube: veillée religieuse ettraditionnelle.Samedi 19 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> à 10heures: Messe de requiemsuivie de l'inhumation au cimetière dudit village.Frat-Mat N° 93 142AVIS DEREMERCIEMENTSLa grande famille Adimansanà Ebikro, Sanhoukro, Ayamé,Toliesso, Assomian et Niablé,Nanan Assamoi Tanoh, chefdu village d'Ebikro-N'dakro etsa notabilité; les grandesfamilles Kouassi Goly àLanguibroukro; AssoumanN'dri à Bamoro; M. KassiKoutoua Eugène, chef defamille, Mme et enfants àBassam ; M. Atsè BrouDominique, Mme et enfants à Ebikro ; député Abbé EhouoFranck, Mme et enfants à Abidjan; Amiral Alla Kassi,Mme et enfants à Abidjan; Capitaine (ER) Kassikan AkaLaurent, frères et sœurs, enfants et petits-enfants; Mme N'Guessan Aya Martine, frères et sœurs, enfants et petitsenfants;veuve Sahoua à Apkessekro ; M. Ballo Michel,opérateur économique à Yamoussoukro, les grandesfamilles Kacou à Akpassekro et Yao à Houphouetdjèkroprofondément touchés par les marques de compassion,d'affection et de solidarité qui leur ont été témoignées lorsdes obsèques de leur petit-fils, fils, frère, ami etconnaissance:SOUS-LIEUTENANT AKALAURENT ELOGNE,survenu le vendredi 28 janvier <strong>2011</strong> dans sa 28 e année àAbidjan.Dans l'impossibilité de toucher tous ceux et toutes cellesqui de près ou de loin, leur ont apporté réconfort moral etspirituel, soutien matériel et financier, les prient de bienvouloir trouver ici l'expression sincère de leur profondegratitude et de leur infinie reconnaissance.Ils remercient particulièrement :Son Excellence, monsieur Laurent Gbagbo, Président de laRépublique de Côte d'Ivoire, M. le ministre de la Défenseet du Service Civique, M. le Général d'Armée PhilippeMangou et toute la hiérarchie militaire, M. le Directeur duCommissariat des Armées et les chefs de bureaux, MM. etdames de la 40e promotion des Officiers, PromotionThomas Yayi Boni.Que le Très-Haut les comble de sa grâce.Frat-Mat N° 92 136IN MEMORIAMLa mort n'est rien,L'amour ne disparaît jamais.Pourquoi serais-je hors de toncœur,simplement parce que je suishors de ta vue?Déjà 1 an qu'il a plu auSeigneur de rappeler à lui sonserviteur, notre regretté et bienaimé:MIEZAN FREDERIC.En ce triste anniversaire de sondécès, sa famille, sa veuve, sesenfants et ses amis renouvellentleurs sincères remerciements àvous tous qui leur avez apportésoutien moral, spirituel etmatériel lors de cettedouloureuse épreuve et vousprie d'avoir une pensée pieusepour lui.A cet effet, une messe sera ditele dimanche 27 <strong>mars</strong> à 9 h enla paroisse Saint AlbertLegrand de Cocody.Frat-Mat N° 93 153La grande famille Atchado àAbobo-Doumé, la grandefamille Godouman à Abobo-Doumé, famille Afran Loba,enfants Akré Armel, DadiéRoger, Afran-bié Mireille,Débé Alain-Guy, DadiéMaxime, ont la profondedouleur d'annoncer le décès deleur fille, sœur, mère et grandmère:AFRAN AMALANANTOINETTEsurvenu le mercredi 02 <strong>mars</strong><strong>2011</strong> au Chu de Treichville.Programme des obsèques :Mercredi <strong>16</strong> <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> de 20hà 22h: veillée religieuse aufoyer Harriste d'Abobo-DouméJeudi 17 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> de 08h à08h30 : levée du corps au Chude Yoppougon.Frat-Mat N° 93151La grande famille Quattara etKoné à Gnirtinkaha, la grandefamille Fèdon Baba àNiédiékaha, les famillesQuattara, Coulibaly, Camara etalliées à Longo, Témou,Gnirtinkaha, Nabanakaha,Naguogninkaha, Kafiné,Elathokaha, Sépikaha,Koulokaha, Tafiré et Abidjan,les enfants Ouattara Karidja,Lakoun Quattara, AttioumouOuattara Marie épouse TouréOuattara Minapa Germaineépouse Ouattara, OuattaraJeannine épouse Townsend,Ouattara Jeannette épouseRamson, Ouattara PérignouEdith, Ouattara TekobaEmanuel, Ouattara YétominaCynthia, MM. CamaraNabegué et famille, CamaraBaba et famille, CamaraLassina et famille, CoulibalyAndrée Doulourou et famille,Mme Coulibaly Nalamni etfamille à Abidjan, MmeOuattara Katy d'enfants àAbidjan, ont la profondedouleur de vous annoncer ledécès de leur père, oncle grandpère, frère et ami :OUATTARA KAOUELERIGOBERTEx-agent commercial chezSODIREP à la retraite,survenu le 11 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> auChu de Yopougon à la suited'une longue maladie.Le programme des obsèques seprésente comme suit:Les condoléances sont reçuestous les jours au domicile dudéfunt sis à Yopougon NiangonSud à droite ancien Terminus39.Jeudi 17 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>: veilléereligieuse de <strong>16</strong> h00 - 18 h 00.Vendredi 18 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>: 08h00- 09h00: levée du corps à lasalle B- messe à Ivosep, suiviede l'inhumation au cimetière deWilliamsville.Contact: 09-94-74-64Frat-Mat N° 93099La famille Ohoueu à Danguira,la famille Tsacoe à Danguira età Paris, la famille Angbacou àDanguira, la famille Yatte àDanguira et à Abidjan, lafamille Djougba à Abidjan etParis, ont le regret de porter àvotre connaissance, le décès deleur fille, sœur, mère et cousine:Veuve ANGBACOU néeOHOUEU ApohYvonne,survenu le 25 février <strong>2011</strong> àDanguiraProgramme des obsèques :Vendredi 18 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> à 11 h:Levée du corps à Alépé ettransfert de la dépouillemortelle à Danguira où uneveillée funèbre sera organiséede 21h à minuit.Samedi 19 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> à 10 h :Culte à l'Eglise Méthodiste deDanguira suivi de l'inhumationau cimetière dudit village.Dimanche 20 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> à 9h :Culte d'action de grâce àl'Eglise Méthodiste deDanguira.Frat-Mat N°93150M. Yao Alla, chef central desressortissants de Yakpabo àAbidjan, MM. N'dri N'goh,chef du village de Yakpabo-Sakassou, M. Konan N'goranBobou, chef de familleAttiegoua à Yakpabo-Sakassou,M. Kouadio Agbanhan, chefcentral des Baoulé d'Abobo, ontla profonde douleur d'annoncerle décès de leur frère, ami etconnaissance :N'GUESSAN KOUAKOUBODAChef de ressortissants deYakpabo-Sakassou à AbidjanNotable du chef central deYakpabo à Abidjan.Notable du chef central desBaoulé d'AboboMilitant du Pdci-Rda.survenu le jeudi 24 février<strong>2011</strong> à l'hôpital générald'Abobo à 13h des suites d'unelongue maladie.Le programme des obsèques estle suivant :Samedi le 05 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> de10h à <strong>16</strong>h: 1ère veillée audomicile familiale à Abobo prèsde EPP KouantouéMercredi <strong>16</strong> <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> de 10hà <strong>16</strong>h: 2 ème veillée aux mêmeslieuxVendredi 18 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>: levéedu corps au Chu de Treichvilleà 8h00 suivie du transfert àYakpabo-Sakassou oul'inhumation se fera le samedi19 <strong>mars</strong> à 10h.Frat-Mat N° 92980La grande famille Ettien,enfants et petits-enfants, VeuveOka Viviane, enfants et petitsenfants,M. Marcel Bilé,enfants et petits-enfants, M. etMme Ettien Miézan Raymond,enfants et petits-enfants, lagrande famille Morisson àAbidjan et Assinie, la grandefamille Bossoma à Abidjan etAby, enfants et petits-enfants,M. Kacou N'dabian PaulMorisson, enfants et petitsenfants,Mme MorissonN'dabla Elisabeth, enfants etpetits-enfants, la grande familleMessou, frères et sœurs,remercient tous ceux qui deprès ou de loin leur ont apportésoutien moral, spirituel,matériel et financier lors dudécès de leur fils, frère, oncle,petit-fils, cousin:KASSI PATRICEFORT<strong>UNE</strong>Professeur d'économieEt dans l'Impossibilité detoucher individuellement tout lemonde, ils remercientparticulièrement:La Chorale ImmaculéeConception de la ParoisseSainte Thérèse de Marcory, lesPrêtes de la Paroisse SainteThérèse de Marcory, laDirection et tout le personnel del'I.U.A (Institut Universitaired'Abidjan), le Groupe Instec(Institut National Supérieur desTechniques Commerciales), leGroupe CofeO-Cesa (Centredes Etudes Supérieures et desAffaires), la grande amicale desivoiriens de France, la grandeamicale des français de Côted'Ivoire.Que le Seigneur tout puissantvous rende à tous, au centuple,tous vos bienfaits.Frat-Mat N° 93132IN MEMORIAM12/03/200112/03/<strong>2011</strong>Voilà dix ans que tu nous asquittés, papa tu seras toujoursprésent dans nos cœurs.ZAGADOU ABLIBLAISEEn ce 10 ème anniversaire, sesenfants prient tous ceux quil'ont connu d'avoir une penséepieuse pour lui.Frat-Mat N° 93 092La grande famille Gnêho et sonchef Groundé André àDiourouzon, Abidjan etailleurs, la famille Kôho et sondoyen Nahi Nigbehi Robert àDiourouzon et Abidjan, lagrande famille Kouma et Alliésà Abidjan et Bondoukou, M. etMme Tahé Joseph et enfants àAbidjan et Paris, M. et MmeBigot Thé Paul et enfants àAbidjan, M. et Mme Doh Andréet enfants à Abidjan, M. etMme Douhou Oula André,président de la Mudesdi etenfants à Abidjan, M. et MmeGougnan Blahi Victor, chef desressortissants de Diourouzon àAbidjan, M. et Mme DoumbiaMamadou et enfants à Abidjanet Europe, veuve Akoua ManouHortense et enfants Bigot ont laprofonde douleur d'annonceraux amis et connaissances ledécès de leur frère, cousin,oncle, père, grand-père:BIGO GLALANLUCIEN,survenu le vendredi 25 février<strong>2011</strong> à 23h45mn à l'hôpitalHouphouët-Boigny d'Abobo.Les condoléances sont reçuesau domicile familial àAttécoubé au lot 345 quartierLa paix de 18h à 20h.Programme des obsèques:Samedi 19 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong> de 18h àl'aube: première veillée audomicile familial à Attécoubéau lot 345 quartier la Paix.Vendredi 01 avril <strong>2011</strong> à15h00: levée du corps à IvosepTreichville suivie d'une veilléeàYopougon place CP2.Samedi 02 avril <strong>2011</strong> à 10h00:inhumation au cimetièremunicipal de WilliamsvilleFrat-Mat N° 93 080IN MEMORIAM11 <strong>mars</strong> 200611 <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>Voici 5 ans que le Seigneur arappelé à lui :KESSOGBE ANTOINE,Ex-président de la Chambredes Métiers de Côte d'Ivoire.En ce jour anniversaire, saveuve, ses enfants et petitsenfantsrenouvellent leurprofonde gratitude et leurinfinie reconnaissance à tousceux qui leur ont apportésoutien moral, matériel etfinancier lors de cettedouloureuse épreuve.Que tous ceux qui l'ontconnu et aimé aient unepensée pieuse et affectueusepour lui.Frat-Mat N° 92 979


Infos service15Fraternité Matin/Mercredi <strong>16</strong> <strong>mars</strong> <strong>2011</strong>JEUX : PAR BROU AMAN LOICMOTS À TROUVER N°917Liste des mots N°9<strong>16</strong>Invité/Trot/Saint/Tata/Untel/Rets/Aléa/Ultime/Bestiale/Saut/Crainte/Toast/ Ecrit/Trou/Touer/Selonvous/Selon nous/Tain/Beau coin//.Mot-clef: Intervalle de hauteur entre deux sons.Solution du N°9<strong>16</strong>: LuneMOTS CROISÉS N°917Horizontalement.I. Ennemie de la démocratie. II. Supporte malgrétout. III. Poisson d'aquarium. On le fout à la porte.IV. Article pour le maître. Impôt. V. Ont la mêmemère. VI. Enveloppe de protection. Réfute. VII.Pour toujours.Verticalement.1. Temps. 2. Grand pays d'Asie. Au départ et à la findu transport. 3. A la patrie, est pleine de souvenirspour les ivoiriens. En mémoire donc. 4. Eté <strong>info</strong>rmé.Etre le témoin de. 5. La grande époque. 6. Planète dusystème solaire. 7. Un des douze. 8. Battus à platecouture.Horizontalement. I. Omoplate. II. Norvège. III. Due. Gâté. IV. Edifices. V. Lasers. VI. Salit. VII. Semeurs.Verticalement. 1. Ondées.2. Moud. As.3. Oreille. 4. Pv. Faim. 5. Légiste. 6. Agace. 7. Téter. 8. Essis.Tous les mots placés ici sont des anagrammes de noms.Retrouvez exactement ces mots par le jeu des lettres envous inspirant de l’énoncé.Thème:Maladies* Thasem*Trevina*Brie Brie*TaxaieCabinet Médical leManguier (Face CCIA 44boulevard Angoulvant Plateau)Tél. : 20.21.21.<strong>16</strong>Dr Farran Sallam (CentreMédico-chirurgical MarcoryRésidentiel Rue de la Paix)Tél.21.26.83.23/21.26.04.83Dr Kassi Michelle (CentrePédiatrique Rue Sainte MarieCocody)Tél.22.44.<strong>16</strong>.86/22.44.07.66Dr Bosson N’Goran Michel(Centre Médical Saint LouisVilla <strong>16</strong>6/ près de PhcieHibiscus Marcory)Tél. : 21.26.<strong>16</strong>. 68Dr Safi Camille (CentreMédical Nadine Rue AdjoukrouAdjamé)Tél. : 20.22.44.56/22.44.27.10Espace Médical St Paul (28,Bd Angoulvant Plateau St Paul)Tél. : 20.21.18.27 / 20.21.<strong>16</strong>.52Groupe Médical du Plateau(Rue des Banques AMCI4 ème étage Plateau)Tél. : 20.22.20.29Dr Aly Bourgi (Centre MédicalANACHROSTICHE 917MOTS EN CROIX N°917medecins de gardela Rochelle Résidence Nabil 1 erétage Plateau)T.20.21.95.43/20.22.50.72/05.96.72.02/03.01.04.76Dr Dieng Souleymane(Clinique les Arcades Zone 4)Tél. : 21.24.43.34Dr Farid Haddad (CentrePédiatrie du Plateau 31 Bd de laRépublique Plateau)Tél. : 20.21.95.43/20.22.50.72Dr Aka Pierre-André CDA-CI, Rue des Jardins II Plateauxface à Mobil Imm SogefihaCORMORAN N° 10 VallonTél. : 22.41.60.15/22.41.60.<strong>16</strong>Dy Aly Bdeiri (Centre MédicalAchalme Bd Achalme/faceà Viga Assistance Marcory)Té. 21.26.12.07/05.04.39.39/07.01.33.34Dr Bassit Assad, PolycliniqueInternationale Hôtel DieuAbjan, Treichville-Bvd deMarseille 01 BP 2761 Abidjan01tél : 21.25.79.19/ 21.75.79.20Solutions n°9<strong>16</strong>*Koz*Mtn*Orange*MoovNUMÉROS UTILESPompiers: 180Caserne de l’Indénié:20 21 12 89 / 20 21 10 67Zone 4: 21 35 73 65Yopougon: 23 45 <strong>16</strong> 90Urgences:Samu: 185 / 22 44 34 45 / 22 44 53 53CHU Cocody: 22 44 91 0022 44 90 38 / 22 44 90 60CHU Treichville:21 24 91 55 / 21 24 91 22CHU Yopougon:23 26 64 54 / 23 46 61 70CHU Bouaké: 31 63 21 9031 63 21 91 / 31 63 53 50Police:Police secours: 111 / 170Direction générale de la police: 20 22 20 30Préfecture de police: 20 21 00 22Direction de la police judiciaire: 20 21 23 00Direction de la police économique:20 32 51 44Aéroport: 21 75 79 01 / 21.75.79.02Divers:Dépannage CIE: 179Dépannage SODECI : 175Côte d’Ivoire-Telcom: 120SEMAINE DU SAMEDI 12 AU VENDREDI 18 MARS <strong>2011</strong> (PERMANENCE 24 H / 24)ABOBO1. Phcie du Dokui (GDE) - M.Mohamed Doumbia - Tél. : 24 39 10 30- Au-dessus du Zoo face Station Total -Face Cie Plateau Dokui.2. Phcie d'Abobo Santé - M.Homawoo Kouamé Charles - Tél. : 2439 13 84 - Derrière le Centre de Santé(PMI & Maternité).3. Phcie Tsacoé (Nvlle) - M. TsacoéMaurice - Tél. : 24 39 15 02 - 2 ème Rondpoint autoroute Abobo-Gare près du collègeSt Joseph.4. Phcie Matené - Mme Traoré Matenin- Tél. : 24 39 20 32 - Abobo Nord prèsdu grand Bazar à 30 m de la Cité de laGendarmerie.5. Phcie St Sauveur - M. KouaméDidier Konan - Tél. : 24 48 47 41 -Abobo quartier Clouétcha carrefourancienne boulangerie non loin du marchéde Clouétcha.6. Phcie de la Plaque II - MmeCoulibaly Berthé épse Sanoh - Tél. : 2448 09 90 - Abobo Plaque II - Non loincarrefour du Plaque II.Abobo PK 18 - Phcie Milié Hevié - M.Aka Kouao - Tél. : 24 39 04 00 - Routed'Anyama - PK 18 -Terminus bus 76.ABOBODOUME/LOCODJOROPhcie de Locodjoro - M. Kouadio N.Jacques - Tél. : 23 45 36 83 - après lemarché en allant vers AbobodouméADJAME1. Phcie de la Mairie - Mme AjamiMalack et Mme El Amine Farhat.- Tél. : 20 39 99 99 - Face à la mairied'Adjamé.2. Phcie Sarah - M. Sangaré Lanciné -Tél. : 20 39 03 57 - Adjamé 220 Logts -route Camp Gendarmerie Agban -Centre commercial Carine N. Couture -Face quartier Chicane.3. Phcie Roeddendt - M. KogboWondji - Tél. : 20 37 98 33 - Rue dudispensaire Antituberculeux - Face marchéGouro (ex-locaux Cofruitel).ATTECOUBE1. Phcie Sébroko SARL - GbochoSosthène Edgar - Tél. : 20 37 67 48 -près du grand marché d'Attécoubé.2. Phcie Christ Stella - M. KouakouYao G. - Tél. : 20 37 90 85 - CitéFairmond Attécoubé après nouvellegendarmerie.WILLIAMSVILLE1. Phcie du Progrès - Mme KacouElisabeth - Tél. : 20 37 15 25 - FaceEglise St Kizito.2. Phcie L'Emmanuel - M. AdouAssoikou Alexis - Tél. : 20 38 40 17 -Route Zoo carrefour des II Plateauxentre station Shell et dépôt Sotra.ANYAMAPhcie d'Anyama - Mme Kebé Séréba -Tél. : 23 55 94 18BINGERVILLE1. Phcie Principale - Mme Dablé Gaba- Tél. : 22 40 32 292. Phcie St Sylvestre - M. Mpoué PierreCarlos - Tél. : 22 40 27 88- Cité Palmaface restaurant Coup de Frein.COCODY/RIVIERARIVIERA1. Phcie St Athanase - Mme AllahKouadio Anne Marie - Tél. : 22 43 5587 - Riviera II - Route d'Anono -Carrefour garage face MIESA (Missionévangélique du St Esprit en Action)2. Phcie Riviera III - M. Kangah Félix- Tél. : 22 47 56 <strong>16</strong> / 09 01 01 84 - Routedu Lycée Français - Face LycéeAméricain (Base ONUCI).3. Phcie Ste Marie des Béatitudes - M.Lamine Lachiroy - Tél. : 22 49 11 49/50- Riviera Palmeraie - SCI Les Rosiers1er Programme en face de la barrière 6.COCODY1. Phcie Les 7 Colonnes - Mme SanléYvonne - Tél. : 22 44 02 96 - Cité desArts entre carrefour de la RTI et le carrefourde la Vie face Sodemi.2. Phcie de Cocody - Mme MaregaMaïmouna - Tél.: 22 44 24 95 - CentreCommercial Petit Marché Score - FaceAllocodromeII PLATEAUX1. Phcie Ste Trinité - M. N'GuessanDaniel - Tél. : 22 41 68 88 - CarrefourBd Latrille - Route de Williamsville prèssuper marché Prix Choc - Ligne bus 492. Phcie du Vallon - Mme CoulibalyMayelé - Tél. : 22 41 35 14 - A côté duCASH Center des Deux Plateaux.3. Phcie Les Perles - Mme KonanAnnette - Tél.: 22 42 39 85 - RésidenceLes Perles Aghien - Par BD Latrille -Tourner à gauche après la BHCI &L'OMS - Carrefour Petroci4. Phcie Des Lauréades - Mme BadiaPatricia - Tél. : 22 42 48 10 / 05 79 1403 / 08 19 80 86 - Angré - Routed'Attoban (rue L 155) vers la Djibi -Face terrain de sport d'Angré ou par BdLatrille aux feux tricolores -Commissariat d'Angré tourner à droite -Tout droit à 400 m5. Phcie Fandasso - Mme SidibéAhouré Marthe - Tél. : 21 00 18 <strong>16</strong> -Angré Cité Fandasso.6. Phcie St Christophe - Mme Kadjo A.Angèle - Tél. : 22 42 55 62 / 05 01 21 20- Angré Bd Latrille - Star 5 carrefourPetro Ivoire route d'Abobo.KOUMASSI1. Phcie St Lucien - Mme Ibo OdiCatherine - Tél. : 21 28 84 80 / 07 57 0374 - Koumassi Sicogi - Face dépôt Sotra- Dernier arrêt bus 25.2. Phcie du Soleil - M. Sibailly Arsène -Tél. : 21 36 05 98 - Angle avenue 1 etBd du Gabon, à 200 m des PTT.3. Phcie Mesano - M. Messou Anoï -Tél. : 21 36 21 90 - Derrière l'église deProdomo.4. Phcie du Marais - M. KouassiMichel Séraphin - Tél. : 21 36 06 99/0565 - Port-Bouet II-Progrès, 1ère rue àgauche, après la mosquée et le marchéAdou Assalé en allant vers Prodomo, Bddu Cameroun.5. Phcie St Sauveur - M. Gohean DohoBertin - Tél. : 21 36 69 93 - KoumassiZone CNPS face Eglise " BuissonArdent " non loin de la station Mobil.MARCORY1. Phcie TSF - M. Ahoussou Vincent -Tél.: 21 26 78 12 - Avenue TSFMarcory - Face commissarait du 9 èmearrondissement.2. Phcie de l'Amitié - Mme Nuan-Aliman Elisabeth - Tél.: 21 26 85 06/0767 46 55 - Marcory nouveau marché -Bd du Cameroun - Bus N° 05.3. Phcie Canaan - M. Bobi Serge Eric -Tél : 21 25 96 76 - Zone 4 C - 36, RuePaul Langevin - A 500 m de Mercedes.4. Phcie du Bd de Marseille - MmeAdioumani Rachel - Tél. : 21 25 76 25 -Bd Marseille station Shell face LonaciZone 3.PLATEAUPhcie Saint Lazare - M. DjoukaAmanvi Aubert - Tél. : 20 33 12 68 / 0177 89 97 - 1, rue Colomb, BâtimentCash Center Plateau (face hôtel duDistrict) près station Pride Petroleumnon loin de la Sgbci et de la Brs.PORT-BOUET/VRIDIPhcie Wharf SARL- Mme Séka AtteyMBoya Armelle - Tél. : 21 27 71 31/8781/02 50 32 15 - Quartier derrièreWharf route de Grand Bassam près dudépôt 8 de la Sotra.PORT-BOUET / JEAN FOLLYPhcie Santé pour Tous - M. BrunoBasile - Tél. : 21 58 76 34 / 06 10 88 00/ 01 13 99 73 - Port-Bouët Jean Folly - "Carrefour Casier ".TREICHVILLE1. Phcie Rue 12 - Mme Alloh BenonAlimata - Tél. : 21 24 53 91 - Rue 12Avenue 12 face Bicici et City Sport.2. Phcie des Brasseurs - M. Saraka K.Adolphe - Tél. : 21 25 31 51/17 25 -Face au CHU de Treichville - Entre stationBP et Imprimerie Abidjan Continu -1 rue des Brasseurs.3. Phcie de la Caserne - M. Anoma Joël- Tél : 21 25 45 83 - Treichville entréequartier Douanes par Bd Vallery GiscardD'Estaing face marché de portablesYOPOUGONNiangon 1 - Phcie Beyniouah - MmeDjaya Khyssy B. Florentine - Tél. : 2346 01 02 - Yopougon Niangon Sud -Carrefour du marché - Bus N° 39 & 27.Niangon 2 - Phcie St Hermann - M.Agbassi N'Soua Hippolyte - Tél. : 23 5072 77 - Base CIE - Entrée face stationPetro-Ivoire.Niangon 3 - Phcie Maty - Mme TraoréAïssata - Tél. : 23 46 27 15 / 27 80 -Yopougon Niangon Nord - EntreStation Lubafrique et Collège Anador.Zone PMI - Phcie Bel Fontaine - M.Attoh Ange - Tél. : 23 52 17 90 / 23 5218 65 - Yopougon Sicogi prolongementPâtisserie du Marché.CHU - Phcie Ananeraie - M. GalléAtabli Ansèlme - Tél. : 23 50 87 32 / 0700 75 45 - Ancienne route de Dabou -Carrefour Oasis - Face Institut LKM.Centre 1 - Phcie Keneya - M.Doukouré Moustapha - Tél. : 23 45 3381 / 23 45 44 65Centre 2 - Phcie de la Mairie - MmeN'Guessan Euphrasie - Tél. 23 52 43 06- Yopougon quartier Selmer - 200 m dela mairie - Face maquis Tantie Margot -Ligne Bus 30.Centre 3 - Phcie de l'Antenne - MmeMel Yekpé Marie Nicole - Tél. : 23 5015 27 - Yopougon Lem 2 - FaceCitelcom et Maison des jeunes.Toit Rouge 1 - Phcie Les Béatitudes -Mme Kouassi L. Dominique - Tél. : 2352 27 47/49 - Yopougon NouveauQuartier - 1er arrêt bus N° 37 - FaceStation Sape et Eglise Winner'S Chapel- Non loin de l'Espace Liberté Fpi.Toit Rouge 2 Phcie Tizra - M. - Tél. :23 50 04 47 - Yopougon-Toit RougeRue groupe scolaire Offoumou Yapo -Immeuble ancien BazarPériphérie Phcie Les Ecluses - M.Kouassi Atta Raoul - Tél. : 23 53 23 17/ 03 30 50 89 - Yopougon Andokoi entredépôt Sotra et collège Minerva.ABENGOUROU1. Pchie Providence - M. AdjimiLédjou Jean Luc - Tél. : 35 90 09 00 -Quartier Plateau face station Pretroci(ex-station Oryx).2. Phcie Agnikro - M. Adiéké Ernest -Tél. : 35 91 35 45 - Quartier AgnikroExtensionABOISSOPhcie du Sanwi - M. Aka Bilé Joseph -Tél. : 21 30 43 82AGBOVILLEPhcie de l'Agnéby (GDE) - M.Seumeun Gonlegbé Athanase- Tél. : 23 51 71 47AGNIBILEKROUPhcie Mai - M. Kouassi Eugène- Tél.: 35 91 00 30BONDOUKOUPhcie Nouvelle - M. Agoh KouassiRoland - Tél. : 35 91 52 61BOUAFLEPhcie St Augustin - M. Loukou Judith -Tél. : 30 68 91 83 - Quartier Commerce.BOUAKE1. Phcie Air France - M. AmiahSébastien - Tél. : 31 63 26 82 - AirFrance 1 - Face Foyer féminin2. Phcie El Nissi - Mme Yao Yolande -Tél. : 31 63 26 82 - Koko en face de laPMI Koko3. Phcie du Centre - M. DjiboSébastien - Tél. : 31 63 27 35 - Grandmarché de Bouaké.4. Phcie de la Place - M. DiomandéLassina - Tél.: 31 63 60 63 - Commerce- Face Bicici.5. Phcie Marché de Gros de BouakéSarl - M. Yebouet Jean Pierre - Tél. : 3<strong>16</strong>5 40 56 - Face marché de Gros.6. Phcie Victor Ténéna - M. YéoTénéna Benjamin - Tél. : 01 05 26 57 -Beaufort face hôtel de l'Air route deGonfrevilleDABOUPhcie des Villages - M. Labme MelessJean- Tél. :23 57 45 45DALOA1. Phcie Route d'Issia - M. Blé Valerie- Tél. : 32 78 04 492. Phcie Appaul (Nlle) - M. Olukolo A.Rahimi - Tél. : 32 78 35 783- Phcie Orly - M. Assamoi Alfred -Tél. : 32 78 31 85DIVO1. Phcie de l'Amitié - M. Badia DjonaLéonard - Tél. : 32 76 01 <strong>16</strong>2. Phcie de la Mairie - M. N'DriKouadio - Tél. : 32 76 30 753. Phcie Fatima - Mme AhimonIsabelle - Tél. : 32 76 33 99DUEKOUEPhcie Wahon - Mme Gnakalo GrattiéLéonie - Tél. : 33 70 32 93GAGNOA1. Phcie du Gognoa - M. DakouriGuillaume - Tél. : 32 77 22 92/20 242. Phcie St François d'Assise - MmeZahui Laure Florencia Fidèle - Tél. : 3277 77 933. Phcie Dar-es-Salam - M. Yoho SadiaJules - Tél. : 07 69 47 92 / 32 77 1148/65GRAND-BASSAMPhcie Wassia - Mme Obré ZebéGilberte - Tél. : 21 30 17 94GUIGLOPhcie Nikla - M. Doué NoumandiezDésiré - Tél. : 33 70 53 80ISSIAPhcie de l'Espoir - M. Téhi Kouhon -Tél. : 32 77 01 76OUMEPhcie d'Oumé - Mme Haddad Ismelda- Tél. : 30 68 40 83Phcie Centrale - M. Richmond PierreMarie - Tél. : 30 68 41 78SAN PEDRO1. Phcie Ste Claudine - M. EpononhSerge - Tél. : 34 71 44 35/ 06 72 462. Phcie Do " Sarl " - M. CoulibalyKadodjona - Tél. : 34 71 28 293. Phcie Georges Denise - M. GeorgesDenise - Tél.: 34 71 23 48SINFRAPhcie de Sinfra - M. Dallo Guillaume -Tél. : 30 68 03 38SOUBREPhcie Ste Rita - Mme N'GoranMonique - Tél : 34 72 58 18 /58 17TIASSALEPhcie Ste Marie - M. Bella Didier- Tél. : 01 31 31 72YAMOUSSOUKRO1- Phcie des Lacs - M. Cowpply-Bony- Tél.: 30 64 03 112. Phcie Le Bélier - Mme Kassi Noëlle- Tél.: 30 64 11 073-Phcie des 220 Lgts - M. Kouassi Emil- Tél. 30 64 22 054. Phcie de la Fondation - M. BertéSidiki - Tél. : 30 64 40 40

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