Rapport de stage - blog.de

NOM : CASELLASPrénom : ClaireGroupe : 41 ère AnnéeLe stagiaireL’entreprise d’accueil :La Dépêche du Midiavenue Jean Baylet31100 TOULOUSE05 62 11 33 00Le responsable du stagiaire dansl’entreprise :NOM : BAUREPrénom : AlainTél : 06.61.63.14.79Date du stage :Du Lundi 5 Avril au Samedi 10 Avril

SOMMAIREINTRODUCTION................................................................................................................................. 1RECHERCHE DU STAGE .............................. 1I ) Recherche de l’entreprise ........................................................................................................... 1II) Ce que j’attends du stage ? ........................................................................................................ 1III) Choix de l’entreprise................................................................................................................. 1PREMIERE PARTIE ........................................................................................................................... 2PRESENTATION DE L’ENTREPRISE ............. 2I) La Dépêche, qu’est- ce que c’est ? .............................................................................................. 2II) Historique de la Dépêche depuis sa création en 1870 ............................................................... 6III) Nouvelle formule pour La dépêche du Midi.............................................................................. 7DEUXIEME PARTIE........................................................................................................................... 8MES ACTIVITES.......................................... 8I) Définition du stage « La Dépêche »............................................................................................. 8III) Les Moyens................................................................................................................................ 8IV) Déroulement journalier du stage ............................................................................................. 9TROISIEME PARTIE........................................................................................................................ 13ANALYSE DU STAGE ................................ 13I) Les aspects positifs de ce stage : ............................................................................................... 13II) Les aspects négatifs :................................................................................................................ 14III) Analyse critique : .................................................................................................................... 14CONCLUSION.................................................................................................................................... 14Sommaire

PREMIERE PARTIEPrésentation de l’entrepriseIdentité :I) La Dépêche, qu’est- ce que c’est ?Groupe : La Dépêche du MidiPrésident : Jean-Michel BayletStructure du capital : 3 577 010 EurosNombre d'éditions : 18Prix de vente : 0,80 EurosLes chiffres clés du Groupe :Diffusion totale :233 486 exemplairesDiffusion Dimanche :246 649 exemplairesAudience totale (LNM) :749 000 lecteursStructure :SA des Journaux La Dépêche et le Petit Toulousain.Famille Baylet (67,3 %), Hachette Filipacchi Média (15 %), Pierre Fabre (6 %) (Source LeMonde)PDG : Jean-Michel Baylet (également sénateur du Tarn et Garonne et président du PRG)DG : Bernard MaffreCA 2002 : 146 millions d'euros (Source Stratégies du 06/11/03)Titres édités :La Dépêche du Midi, Midi Olympique, La Nouvelle République des Pyrénées, Le Petit Bleu(Agen), O Toulouse, Le Villefranchois (Rouergue)SARL Publi : 8 journaux de petites annonces (Publi Toulouse...)Participation dans La Gazette de Montpellier et La Gazette de Nîmes28% d'Hima Media, éditeur du mensuel gratuit Je Paris (octobre 2003).Audiovisuel : La Dépêche TV (édition audiovisuelle/agence de presse), créée en 2003 etprésidée par José Biosca, 22% du capital de TLT.Première partie 2

Organigramme simplifiéde « La Dépêche du Midi »PRESIDENT DIRECTEUR GENERALJean-Michel BAYLETDIRECTEUR GENERALBernard MAFFREDIRECTIONDIRECTIONDIRECTIONDIRECTIONDIRECTIONDIRECTIONDIRECTIONDU DEVELOPPEMENTADMINISTRATIVEINDUSTRIELLERESSOURCES HUMAINESDE L'INFORMATIONCOMMERCIALEDU MARKETING(Multimédia,ET FINANCIEREET COMMUNICATIONPUBLICITEET DE LA DIFFUSIONTélématique et Qualité)Première partie 3

Organigramme de la DiffusionDIRECTION DE LA DIFFUSIONPhilippe CHRISTOPHEASSISTANTE COMMERCIALEMartine ESPARONPROMOTIONSTATISTIQUES / VENTESVENTES ABONNEMENTSVENTES AU NUMERO HORS 31VENTES AU NUMERO 31Patrick ROSAGEOMARKETINGDanielle BOUCHEChristian LACOMBEDenis MONTAUTC. VIEU, P. GRANDASSISTANTE COMMERCIALED. OYARSABALREGLAGE DES SERVICESCOMPTA. DEPOSITAIRESC. LOPEZCOMMERCIAUX TERRAINCHEFS DES VENTESMARKETING DIRECT/VPCPascale ESTIBALSMarie- josée THERONGESTION ABONNEMENTSET SERVICES CLIENTSChef de service : A. JOURNOUDVENTES A DOMICILEJérôme FABREEmployésEmployésASSISTANTE COMMERCIALED. OYARSABALAttachés CommerciauxPremière partie 4

240 000 exemplaires quotidiens avec 18 éditions qui couvrent 10 départements (6 enHaute-Garonne, 2 dans le Tarn, dans l’Aveyron et dans l’Aude et 1 dans le Tarn et Garonne, dans leLot et Garonne, l’Ariège, le Gers, le Lot et la Dordogne). Le journal est composé d’un cahier généralcommun et d’un cahier local propre à chaque édition.1 million de lecteurs1 300 salariés + 1200 correspondants locauxLa Dépêche édite d’autres journaux ou magasines, locaux et gratuits :dont le plus important journal d'annonces classées de la région, Publi Toulouse et également dessuppléments : Femina, TV MagasineLe groupe Dépêche a également diversifié ses activités dans le domaine de la communication : radio,publicité, audiovisuel, multimédia et tourisme.La quasi-totalité du papier acheté provient du recyclage et de coupes de bois d’éclaircie. Lesinvendus, ratés et fonds de bobines de La Dépêche sont également recyclés : cela représente10 % du papier utilisé.17 000 km sont parcourus chaque nuit pour approvisionner 4 000 points de vente dès 6 h dumatin. La Dépêche du Midi est vendue 0,76 euros ; sans la contribution des publicitaires, ellecoûterait le double.Toute personne a le droit de faire passer un communiqué de presse, mais La Dépêche seréserve la décision de sa publication.En Novembre 2003, la société va connaître un nouveau départ avec le changement des 3 rotatives (100à 150 millions de Francs chacune), adopter un nouveau format plus petit (format berlinois comme LeMonde) et étendre la couleur aux pages intérieures.Première partie 5

II) Historique de la Dépêche depuis sa création en 18701870 Pendant la guerre France – Prusse, il est nécessaire d’envoyer des dépêchestélégraphiques dans les préfectures afin d’informer les familles sur le sort deleurs soldats.Le 2 Octobre Joseph Sirven, imprimeur toulousain, édite La Dépêche, quotidien à 4 000exemplaires.1882 Les ariégeois Rémi Sans et Rémi Cousinet rachètent la société et créent legroupe de presse. Ils mettent en place plusieurs projets :développer un système d’édition locale par département donner une dimension nationale au journal (dont la réputation se bâtit surl’intervention de célébrités comme Jean Jaurès, Raymond Poincaré ou JeanGiraudoux…)1900 125 000 exemplaires quotidiens (avec 12 éditions).1924 Jean Baylet est journaliste à La Dépêche.1932 On lui confie la modernisation de la société.1947 Après la guerre, il reprend la société dont il devient le 1 er PDG1979 Les locaux quittent le centre ville pour s’installer av. Jean Baylet. Les machinestypographiques sont remplacées par du matériel offset.20 Janvier 1999 La Dépêche est le premier journal, en France, a avoir obtenu une certificationISO 90022002 Certification ISO 9001 nouvelles normes3 Novembre 2003 Nouvelle formule de la Dépêche. Pour répondre à ces changements. PourRépondre à ces changements, le groupe la Dépêche s’est dotée de nouvelle de 2nouvelles rotatives Heidelberg (les plus modernes d’Europe).Le contenu a changé tout en gardant l’esprit initial et les prises de position duquotidien : maintien d’une formule à plusieurs cahiers, enrichis et mieuxrythmés.Toujours les suppléments : Sport (Lundi), Economie 5mardi), Toulouscope(Mercredi, Week-end (Jeudi), Version Femina et TV Magazine (Dimanche).Première partie 6

III) Nouvelle formule pour La dépêche du MidiCette refondation a nécessité trois années de travail pour les équipes rédactionnelles ainsi que lerenouvellement complet des outils éditoriaux d’impression.Le groupe a investi près de 30 millions d’euros. Cet investissement intègre notamment leremplacement des trois anciennes rotatives. Jusqu’à présent imprimé en grand format, le quotidienrégional adopte ainsi le format berlinois (47x32), déjà adopté par "Le Monde", Le "Midi Libre" et"L’indépendant".La formule en deux cahiers séparés est par contre maintenue, l’un consacré aux informationsnationales et internationales, l’autre aux informations locales. La nouvelle formule est accompagnéepour son lancement d’un slogan simple, « Votre quotidien change, votre Quotidien change aussi »,associé à tout un attirail publicitaire : affichages, publicités, radios et surtout un spot de 15 secondesdiffusé sur Télé Toulouse et France3-Sud, qui fera du quotidien l’un des tout premiers organes depresse écrite à avoir accès à la publicité télévisée après le 1er janvier 2004. Cette campagne decommunication est estimée à 500 000 euros.Ainsi, si La Dépêche du Midi, forte de 200 000 exemplaires quotidiens vendus, ne se fixe pasd’objectif quantitatif, elle compte cependant gagner de nouveaux lecteurs grâce à ce relookage, enparticulier dans l’agglomération toulousaine.. En effet, La Dépêche est "bloquée" à l’Est par Le groupe"Midi Libre", propriété du Monde, et à l’Ouest par le groupe "Sud Ouest".Première partie 7

DEUXIEME PARTIEMes activitésI) Définition du stage « La Dépêche »Action commerciale : Vendre la Dépêche du MidiIntensive : 44 vendeursLimitée dans le temps : du 5 au 10Avril 2004Sur un lieu déterminé : devant le magasin de certains diffuseurs de La Dépêche du Midi du centreville de Toulouse et de sa banlieue.Avec des moyens : outils promotionnelsPour atteindre un objectif bien précis : réaliser par jour une vente supplémentaire de 75 exemplairesII) Objectifs Réaliser une vente de 75 Dépêches supplémentaires par jourSi l’objectif est atteint : Prime de 70 € par binôme pour la semaine Prime meilleur vendeur du jour, 30 € par binômeAu final : Prime pour le 1 er binôme : 2 lecteurs DVD Prime pour le 2 ème binôme : 2 lecteurs DVDIII) Les Moyens Un stand de vente- Table + tréteaux + akilux Dépêche + blouson DépêcheDeuxième partie 8

Tarifs et cadeaux promotionnels- Le Lundi : 0.80 € La Dépêche + Un Pyrénées Magazine- Le Mardi : 0.80 € La dépêche + un stylo en coffret- Le Mercredi : 0.80 € La Dépêche + au choix Un Pyrénées Magazine ou un stylo ou unporte- clé- Le Jeudi : 0.80 € La Dépêche + au choix un Pyrénées Magasine ou un stylo ou unporte-clé- Le Vendredi : 2 € La Dépêche + O Toulouse + une peluche + Un stylo ou un porteclé- Le samedi : 2 € La Dépêche + O Toulouse + Une peluche + Un stylo ou un porte- cléIV) Déroulement journalier du stageDurée du stage : Du Lundi 5 Avril au Samedi 10AvrilHoraires : le matin, de 7h30 à 12h30Lundi 5 Avril 2004Lieu : LabègeNous avions rendez- vous à 7h30 devant l’IUT afin que les formateurs nous donnent les dernièresrecommandations en plus de celles données lors de la réunion du Mercredi 31 Mars 2004. Notreformateur Alain BAURE nous a motivé ce qui nous a permis de partir confiante ma camarade et moi.Nous nous sommes munies des dépêches ainsi que des cadeaux pour cette journée promotionnelle. Lesclients pouvaient aujourd’hui Lundi 6 Avril bénéficier pour l’achat d’une dépêche à 0.80€ d’unPyrénées magazine en cadeauNous sommes parties avec le formateur car nous étions un binôme sans voiture. Nous sommes arrivéessur les lieux. Nous sommes allées nous présenter à la buraliste pour ensuite s’installer en trouvantl’endroit le plus stratégique.Ce jour là il pleuvait nous nous sommes donc placées devant le buraliste en dessous d’un préau. Leburaliste était entouré de petits commerces tels que : une boulangerie, un coiffeur, la poste, unepizzeria et une auto école, ce qui nous a permis d’interpeller des personnes qui n’allaient pasforcément chercher la dépêche.Nous nous sommes rendues compte que pour bien vendre il ne fallait pas qu’on attende que le clientvienne à nous mais plutôt que ce soit nous qui fassions la démarche d’allait chercher le client.Pour attirer l’attention du client je me suis rendu compte qu’il fallait utiliser beaucoup de mots positifstels que : offrir, en cadeau, offre exceptionnelle… et bannir les mots à tendance négative tels que :gratuit, donner…Ce jour là, pour l’achat de la dépêche les clients avaient en cadeau un Pyrénées magazine pour le prixd’une dépêche soit 0.80 €. Les personnes étaient satisfaites de ce cadeau. En revanche des personnesse sont rendues compte que le Pyrénées magazine datait de l’année 2002 et c’est donc pour cela quedes personnes ne nous ont pas acheté la dépêche.Pour ce premier jour je me suis sentis à l’aise et j’ai fait la démarche de me déplacer vers le client poursusciter son attention en faisant attention aux mots que j’employais.A la fin de la vente c’est à dire à 12h30, nous avons rangé le stand, ensuite nous avons rempli la feuilledes réassorts et des invendus pour que le buraliste nous la tamponne pour certifier que nous avons étéprésentes et que nous lui avions bien payé les 109 dépêches vendues par ma camarade et moi- même.RESULTAT : 109 dépêches venduesDeuxième partie 9

Mardi 6 Avril 2004Lieu : St OrensCe matin mardi 6 Avril nous avions rendez vous à 7h30 devant l’IUT. Pour cette journée nous noussommes munies de Dépêches ainsi que des cadeaux prévus pour cette journée. Nous sommes partiesma camarade et moi en compagnie de monsieur Bauré.Pour cette journée nous étions affectées à la ville de St Orens. Nous sommes arrivées sur les lieux,nous nous sommes installées devant le buraliste. J’ai inspecté les lieux pour savoir quels étaient lesautres petits commerces qui pourraient éventuellement nous intéresser.Nous avons constaté l’implantation du fond de commerce était situé aux abords d’une voied’accélération pour véhicules ce qui ne permettait pas un accès facile. Les seuls clients quifréquentaient le magasin étaient vraiment des habitués. C’est pour cela qu’il a été difficile pour nousde prospecter de nouveaux clients, ce qui justifie donc le peu d’exemplaires vendus.De plus lorsque je me suis dirigée vers la boulangerie pour prospecter des éventuels clients, j’étaisplacée hors du stand, donc les clients ont mal perçu ma démarche, ils ne m’ont prêté aucune attention.Découragée, j’ai rejoins ma camarade qui tenait le stand.En plus des difficultés rencontrées avec les clients, le beau temps n’était pas au rendez- vous. Lematin, nous avons été obligées de déplacer le stand car il commençait à pleuvoir. Nous avons appelénotre responsable pour qu’il nous amène un parasol mais il n’en avait plus. Nous nous sommes doncplacées sous un abris afin de ne pas mouiller toutes les dépêches.Conclusion de cette journée : Journée exténuante, forte en émotion car j’ai été plusieurs foisdécouragée et blessée par les réactions des personnes.Cependant j’ai appris ce jour là qu’il faut faire face à la frustration et gérer son stress pour mener sontravail à bien.RESULTAT : 44 Dépêches venduesMercredi 7 Avril 2004Lieu : FonsegrivesPour ce troisième jour de stage, j’ai rencontré une première difficulté en arrivant à l’IUT, puisque macamarade s’est avérée malade à cause du mauvais temps de la veille. Christophe Baurais, un de nosdeux responsables, a remplacé ma camarade pour cette journée. Monsieur Baurais était en stage deformation pour la Dépêche, ce n’était pas un salarié de l’entreprise, cela faisait donc partie de sonstage, puisque les journées précédentes il a était contraint de remplacer également une fille absentedans un des autres binômes.Pour cette journée nous devions vendre la dépêche dans le village de Fonsegrives. Nous sommesarrivés sur place, nous avons installé notre stand comme chaque jour devant le magasin de presse. Cemagasin de presse était un dépositaire puisqu’il vendait essentiellement des dépêches et des cigarettes.A côté du dépositaire se trouvait une boulangerie et un petit Casino. Pour ce troisième jour, nousétions bien placés, puisqu’on se trouvait en plein centre ville du village. De plus les personnes avaientun accès facile et la possibilité de se garer juste devant le dépositaire.Pour cette journée les personnes pouvaient bénéficier pour l’achat d’une dépêche d’un Pyrénéesmagazine et au choix d’un stylo ou d’un porte clés. J’ai constaté avec l’expérience de Mr Baurais quela présentation des produits sur le stand était très importante. Nous avons positionné les produits detelle façon qu’ils soient visibles par le client. Le fait d’en mettre une grande quantité sur la table apermis de susciter l’intérêt du consommateur.Deuxième partie 10

Cette journée s’est très bien passée. Le fait que monsieur Baurais est été là à rendue la vente pluscrédible auprès des consommateurs. Cependant je ne me suis pas assise sur mes lauriers, j’ai tout demême fait la démarche de prospecter les personnes qui entraient dans la boulangerie. Les personnes sesont avérées très satisfaites par les cadeaux. Une personne nous a acheté trois Dépêches pour pouvoirbénéficier de tous les cadeaux alors que celle-ci ne lisait pas le quotidien.La seule difficulté que nous avons rencontré c’est que nous avons constaté que le dépositaire avait uneforte concurrence puisque il était entouré de deux autres buralistes à 100 mètres d’intervalle. Doncbeaucoup de personnes avaient déjà acheté la dépêche dans un des deux autres magasins de presse.RESULTAT : 96 dépêches venduesJeudi 8 Avril 2004Lieu : St AlbanPour ce quatrième jour ma camarade est revenue en pleine forme après son jour de repos, ce qui m’ade suite motivé. Nous sommes allées nous présenter comme tous les jours au gérant du magasin depresse. Nous avons rencontré un problème d’emplacement car le trottoir devant le buraliste était tropétroit pour qu’on puisse installer notre stand et que les gens puissent passés. Nous avons donc trouvéun système afin que ce problème soit résolu.Nous avons commencé doucement la journée car ce village est très calme de 8 h à 9 h. Nous avonsexécutées la plupart de nos ventes dans la période de 9h 30 à 12 h.Nous avions juste à côté du buraliste une boulangerie et un bar brasserie. Nous avons sympathiseravec le patron du bar qui nous a proposé de rentrer dans son bar pour vendre des Dépêches. Macamarade s’en ai occupé pendant que moi je restais au stand. Ma camarade est revenu 5 minutes aprèsavec déjà 5 Dépêches de vendues, elle revenais en prendre pour une autre tournée . Nous n’avons pasrencontré de difficultés particulière. Ce jour là, le beau temps était au rendez-vous.Les clients étaient très sympathiques certains d’entre eux prenaient le temps de discuter avec nous, ilsétaient intrigués par cette offre promotionnelle. Nous avons donc répondu à leur question en leurrépondant que nous étions étudiantes et que nous faisions un stage dans le but d’avoir un diplôme.Très bonne journée, la motivation est revenue je pense à cause du beau temps de cette matinée.RESULTAT : 68 dépêches venduesVendredi 9 Avril 2004Lieu : L’UnionPour ce vendredi, nous avions l’objectif de vendre en plus de la Dépêche le magazine O Toulouse etses cadeaux ( stylo, porte- clés et peluche) pour un tout à 2 €. Nous avons trouvé cet objectif plusdifficile qu’auparavant car beaucoup de clients ne voulaient que la Dépêche.Le buraliste était placé à proximité d’un magasin LIDL, d’une boulangerie, d’une pharmacie, d’uncoiffeur. De plus l’accès était facilité aux voitures car le Liddle était bordé d’un grand parking.Nous avons donc interpeller le client afin de lui communiquer l’offre promotionnelle et don de susciterson envies. Nous avons remarqué que la peluche a beaucoup favorisé l’achat.Nous nous sommes rendues compte qu’il fallait donc adapter notre offre selon la personne qui setrouvait en face de nous. Quand une maman venait avec ses enfants on insistait sur le fait que lapeluche était offerte. Si au contraire c’était un homme qui allumait une cigarette on lui proposait unbriquet en cadeau etc…Deuxième partie 11

Je suis allée offrir la peluche avec un stylo à la boulangère en lui expliquant que nous étions étudiantesà l’IUT afin qu‘elle nous envoie ses clients.Nous avons constater que les clients étaient réticent au prix car les habitués préparaient leur 80centimes d’euros et donc il ne comptaient pas mettre plus. Les personnes abonnés n’étaient pascontentes de ne pas bénéficier des cadeaux eux aussi.D’autres furent agréablement surpris par les cadeaux proposés pour cette journée promotionnelle. Etenfin nous avions eu quelques remarques désobligeantes concernant La Dépêche, nous ne sommes pasrentrées dans le débat.Cette journée a été fortes en critiques nous avons donc essayé de gérer ? de répondre et de rassurer leclient lorsque cela était possible.RESULTAT : 46 dépêches venduesSamedi 10 Avril 2004Lieu : BalmaNos représentants nous ont beaucoup encouragés pour ce jour là car le lieu dans lequel nous étionsimplantées avait la particularité d’avoir un marché dans les environs.Nous nous sommes installées comme tous les jours de la semaine. Nous avons essayé de nouspositionner de telle façon que les personnes nous aperçoivent dés le premier coup d’œil. Nous noussommes décentrées du buraliste car plusieurs arbres nous masquaient la vue et nous n’étions pasvisibles. Nous nous sommes placées aux abords de la route sur le trottoir à 10 mètres à gauche dudiffuseur.Nous avons constatées une demi heure après notre installation que notre place n’était pas stratégiquenous avons donc déplacé notre stand à côté d’une allée qui menait au magasin de presse toujours sur lagauche du buraliste. Nous avons remarqué 10 minutes plus tard que beaucoup de clients venaient de ladroite donc nous nous sommes positionnées à côté de la vitrine du diffuseur.Ma camarade et moi étions très motivées pour cette dernière journée, nous voulions essayées de battrenotre record du lundi (109 Dépêches).Nous nous sommes relayées de telle façon que pendant une heure l’une s’occupait du stand et l’autreallait prospecter les clients dans le marché.Le fait que ma camarade et moi-même nous nous entendions très bien a favorisé le fait que nous étionstrès accueillantes, souriantes et chaleureuses avec nos clients.Ce jour là les personnes se laissaient beaucoup plus tentées par notre offre peut être car le week-endles personnes sont moins pressées et moins stressées. Nous avons étaient très surprises de notrerésultat car généralement les personnes partent en vacances pour le week-end de pâques.RESULTAT : 105 dépêches venduesDeuxième partie 12

TROISIEME PARTIEAnalyse du stageI) Les aspects positifs de ce stage :Ce stage m’a permis de comprendre les bases de la vente et de mettre en œuvre les techniques quej’avais assimilées en cour et de les appliquer en temps réel. Le fait que nos formateurs étaientmotivants, aimables et surtout à l’écoute m’a beaucoup aidé tout le long du stage. Je me sentais enconfiance et préparais pour ce stage. J’ai appris beaucoup de la vente c’est à dire sur les mots àemployer pour faire une vente et surtout les mots à éviter. Au début du stage je ne savais pas tropcomment formuler l’offre mais petit à petit j’ai pris de l’assurance et ma vente est devenue de plus enplus persuasive et convaincante.Ce stage m’a permis également de développer le travail en groupe, j’ai essayé de connaître macamarade de la conseiller, de la féliciter et de la critiquer pour aller de l’avant et elle de même car nousavions des objectifs communs, afin d’avoir les meilleurs résultats possibles.Le fait que nous ayons des primes si nos résultats s’averraient bon nous a beaucoup motivé et nous apoussé à donner le meilleur de nous- même. De plus ce stage était très dynamique ce qui m’abeaucoup plus car il fallait prendre des responsabilités, s’organiser dans notre travail et surtoutcommuniquer entre nous et avec les clients.SAVOIR : Utiliser les mots positifs qui permettent de pousser l’individu à agir Exprimer clairement l’offre de la journée Présenter les produits de telle façon que le client puisse les visualiser dés le premiercouleur Animer un standSAVOIR- FAIRE : Organisation Utilisation de mot simple et direct Etre souriant et poliSAVOIR- ETRE : Résister à la frustration Se dépasser Capacité d’écouteTroisième partie 13

II) Les aspects négatifs :Le principal frein à ce stage fut tout d’abord le temps qui a beaucoup perturbé notre vente d’une partcar ma camarade a était absente une journée car elle était malade et d’autre part car il fallait s’abriter etdonc changer nos plans.Le fait de commencer très tôt m’a posé beaucoup de problème car je n’habite pas à proximité de l’IUTet je n’avais pas de bus pour pouvoir y être à temps je me suis donc débrouillée comme j’ai pu, maisce fut difficile.Nous étions le seul binôme à ne pas avoir de voiture, nous avion donc une totale dépendance desformateurs.Ce stage a été très éprouvant pour moi car d’une part beaucoup de personnes nous ont fait desremarques désobligeantes et parfois même elles ne nous prêtaient aucune attention. D’autre part j’aibeaucoup était découragée dans mon stage à cause de la monotonie des activités et du manque deresponsabilités.III) Analyse critique :J’ai mal vécu le fait que les personnes soient désobligeantes parfois même agressives, ce quidemandait un réel contrôle de soit. Ce problème a été vraiment difficile à gérer. J’ai quelque foislâcher prise surtout la matinée de Mardi où nous étions implantées à St Orens. D’une part nous avionstrès froid, et d’autre part les seuls clients que nous avons croisés ne nous ont porté aucune attention,parfois même ils nous « fusillaient » du regard.De ce fait je ne suis pas resté optimiste et je n’ai donc pas pu réaliser les objectifs fixés.Je me rends compte à présent que la vente est un univers qui requiert beaucoup de caractère, il fautsavoir rester au stress et à la frustration.CONCLUSIONCe stage a été intéressant car j’étais en contact avec le client ce qui est un aspect très important pourmoi, cela m’a permis de me rendre compte que pour le futur je souhaiterai avoir un travail dans lacommunication ou dans la vente.Ce stage a duré une semaine ce qui était amplement suffisant car les activités devenaient trèsrépétitives et parfois même lassantes.Nous étions très motivées ma camarade et moi au début du stage car nous avions pour objectif de sedépasser pour gagner les primes de ventes, cependant la réunion du Jeudi 29 Avril nous a persuadé ducontraire puisque nous n’avons pas eu de primes. Le reproche que j’ai à faire est que durant le stage ilaurait été judicieux de nous dire le matin les résultats de la veille de tous les groupes pour savoircomment on se positionnait par rapport aux autres.Conclusion 14

Annexes 15