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MAG - Boulogne - Billancourt

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17CE N’EST QU’UN AU REVOIRÉdouardD’UN CÔTÉ ELIANE DUVERNE, DE L’AUTRE EDOUARD BALESDENS16ELLE A OUVERT LE PATHÉ BOULOGNE EN JUIN 2001 ET A,JUSQU’À FIN NOVEMBRE 2007, ASSURÉ L’ÉCLOSION,LA CROISSANCE, L’ADOLESCENCE DE CE COMPLEXEDE SEPT SALLES.IL A OUVERT LE GAUMONT TALENCE (GIRONDE) ENJUIN 2002 ET A JUSQU’À FIN JUIN 2007, ASSURÉL’ÉCLOSION, LA CROISSANCE ET L’ADOLESCENCEDE CE MULTIPLEXE DE 11 SALLES. ENSUITE, IL S’ESTATTARDÉ QUELQUES MOIS AU SEIN DES DEUXCOMPLEXES DU GAUMONT OPÉRA.ELLE EST PARTIE POUR VALENCE. IL EST ARRIVÉÀ BOULOGNE-BILLANCOURT.ELLE A ÉTÉ CO-CRÉATRICE DU FESTIVAL1 ER REGARD. IL SERA CO-ORGANISATEURDE CET ÉVÉNEMENT.UN REMPLACEMENT ? NON, UNE SUCCESSION !LE MÊME AMOUR DU CINÉMA LES RÉUNIS.ET C’EST TOUT NATURELLEMENT QU’ELIANE PASSELE TÉMOIN À EDOUARD.NOUS LEUR AVONS LAISSÉ LA PAROLE.: En arrivant à <strong>Boulogne</strong>je me suis rapidement immergédans le festival. Première indication :son âge. Six ans. Quelles imagesgardes-tu en mémoire ?Éliane : D’abord celles de merveilleusesrencontres. Armelle MORENO et PhilippeTELLINI, co-fondateurs du Festival, et detous les membres du jury depuis 6 ans.Des professionnels du cinéma qui ontpermis de transmettre leurs savoirs auxjeunes en apprentissage des métiers del’audiovisuel, et, pour le coup de mettreen avant la première des valeurs des sallesde cinéma PATHÉ-GAUMONT : la passiondu cinéma.Édouard : Deuxième indication : sonsuccès. Un festival qui présente un silarge panel de techniques, de formes,de nationalité est la preuve de sonintérêt auprès des jeunes professionnelset donc de sa vigueur.Comment l’équipe d’organisationen est-elle arrivée là ?Éliane : Il a été clairement définidès le départ que les “métiers de l’ombre” ducinéma et de l’audiovisuel seraient mis en valeur.De grands techniciens (J.P. RUH, C. VARINI, Y. AGOSTINI,T. DESJONQUERES, N. MUSE, E. PAQUOTTE)… nous ont fait confianceet se sont réellement investis auprès des étudiants, acceptant avecenthousiasme de passer le relais. Il y a eu des moments magiques et je penseque les participants primés ou non ont vécu intensément ces rencontres.Édouard : Troisième indication : sa reconnaissance. Dans l’univers des festivals, se démarquern’est pas évident. Les festivals sont nombreux et variés. Pourtant le Festival 1 er Regarda rapidement trouvé sa place auprès des institutions et des professionnels. Comment avezvousfait ?Éliane : Nous ne souhaitions pas être un festival de courts métrages de plus. Il a donc été orientéde suite sur les écoles de cinéma et notamment les BTS audiovisuel. Nous n’avons jamais eu l’ambitiond’être comparés ou comparables à CLERMONT-FERRAND, ou d’autres festivals. Juste unlieu de rencontres et de partages. Et personnellement j’ai été comblée. Et toi, Edouard, quecomptes-tu faire de ce rendez-vous ?Édouard : Continuer sur la lancée. Continuer à tisser les liens entre ces étudiants qui participentaux festivals et les professionnels. Faire de ces quelques jours de présentations au publicun véritable moment de découverte et de partage. C’est vital pour la garantie dela création. Il ne faut pas oublier que les courts métrages sont essentiellement vus lorsde festivals, et non en exploitation “classique”. C’est triste car, pour moi, le court n’estpas que l’antichambre du long : c’est une forme d’expression à proprementparler, avec ses codes, ses rythmes. De par sa courte durée, le courtmétragepeut s’autoriser d’avantage de dérision, de prise de risques.Il est moins engoncé que le long. Bref, à bien des égards, je letrouve plus ambitieux, au sens noble, que le long-métrage.Le soutenir me semble essentiel.PremieRe g ard , Ma

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