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Les nouvelles technologies vous offrent plus de ... - Cortal Consors

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n° 18octobre 2010couleurs épargneTous les conseils <strong>de</strong> <strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong> pour vos placementsBanque : du guichet à l’iPhone<strong>Les</strong> <strong>nouvelles</strong> <strong>technologies</strong><strong>vous</strong> <strong>offrent</strong> <strong>plus</strong> <strong>de</strong> liberté :profitez-en !Internet et la téléphonie mobile révolutionnentla relation entre les banques et leurs clients.Ça bouge• <strong>Les</strong> perspectives<strong>de</strong> l’or• L’impact fiscal<strong>de</strong> la réforme<strong>de</strong>s retraitesTechniques<strong>de</strong> placementComment choisir <strong>de</strong>svaleurs <strong>de</strong> ren<strong>de</strong>mentInfos <strong>Cortal</strong><strong>Consors</strong>Nouveau : découvrezles formationsen lignewww.cortalconsors.fr


PRODUITS NON GARANTIS EN CAPITALwww.cortalconsors.frSommaireL’OR EN BOURSETOUT SIMPLEMENTAccessibles et transparents, les Certifi cats 100% Or suivent pas à pas l’évolution <strong>de</strong>s cours du métal jaune.Un moyen effi cace et économique <strong>de</strong> diversifi er votre portefeuille simplement sur un actif unique : l’Or.Cotation en continu - Commission : 0,30%/an - Liquidité assurée par Société GénéraleFrais habituels <strong>de</strong> votre intermédiaire financierCertificat 100% Or - Mnémo 8631S - Isin FR0010638494Certificat 100% Quanto Or - Mnémo 9202S - Isin FR0010673350 (avec couverture <strong>de</strong> change euro/dollar)0 810 30 20 20www.sgbourse.frProduits non garantis en capital.Ces produits s’adressent à <strong>de</strong>s investisseurs avertis et ne <strong>de</strong>vraient être achetés que par <strong>de</strong>s investisseurs disposant <strong>de</strong> connaissances spécifi ques. Société Générale recomman<strong>de</strong> aux investisseurs <strong>de</strong> lireattentivement la rubrique « facteurs <strong>de</strong> risques » du prospectus. Risque <strong>de</strong> marché : Société Générale attire l’attention <strong>de</strong>s acheteurs potentiels sur le fait que, <strong>de</strong> par leur nature, les produits sont susceptibles <strong>de</strong>connaître <strong>de</strong>s variations <strong>de</strong> valeur considérables, pouvant aboutir, dans certains cas à la perte <strong>de</strong> la totalité <strong>de</strong> l’investissement initial. Risque <strong>de</strong> crédit : En acquérant les Certifi cats, les investisseurs prennent unrisque <strong>de</strong> crédit sur l’Émetteur. <strong>Les</strong> supports d’information (Prospectus <strong>de</strong> Base, Suppléments et Conditions Défi nitives («Final Terms»)) sont disponibles sur le site <strong>de</strong> l’émetteur (www.sgbourse.fr) et sur le site <strong>de</strong>l’Autorité <strong>de</strong>s Marchés Financiers (www.amf-france.org).Réalisation : NSL Studio | www.nslstudio.com - 101001éditorial<strong>vous</strong> faire proFIter<strong>de</strong> nos innovationsCes <strong>de</strong>rnièresannées ont étémarquées parl’avènement <strong>de</strong> latechnologie liée àInternet. lesépargnants ontadopté <strong>de</strong> nouveaux comportements avecune utilisation accrue <strong>de</strong>s <strong>nouvelles</strong><strong>technologies</strong>.59 % <strong>de</strong>s internautes français ont en effetdéjà activé leur espace client bancaire,comme le souligne nathalie léauté,directrice du département Finance<strong>de</strong> Tns sofres, dans notre dossier spécialsur les <strong>nouvelles</strong> <strong>technologies</strong> et larelation clients.Depuis sa création, cortal consors atoujours innové en <strong>vous</strong> proposant <strong>de</strong>nouveaux services. <strong>de</strong>rniers en date, notreapplication iPhone – la 1 re application <strong>de</strong>Trading mobile en streaming et en tempsréel –, suivie en septembre <strong>de</strong>sWebinaires, nos formations interactivessur internet !Vous trouverez également dans ce numéroun point sur les modifications fiscalessusceptibles d’accompagner la réforme<strong>de</strong>s retraites, ainsi qu’une présentationd’investissements <strong>plus</strong> attractifs qu’il n’yparaît : les Fcpi et les Fip pour défiscaliser.Enfin, nos experts font le point sur <strong>de</strong>uxmarchés porteurs en termes <strong>de</strong>croissance : les marchés émergents et l’or.Bonne lecture !Benoît GommardDirecteur Général, <strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong> Francep. 4ça bougep. 8dossierp. 15techniques<strong>de</strong> placementp. 19infos <strong>Cortal</strong><strong>Consors</strong>l’aCTualITé économique<strong>Les</strong> perspectives pour l’or ;quel impact fiscal pour laréforme <strong>de</strong>s retraites ?dossier spéCIal<strong>Les</strong> <strong>nouvelles</strong> <strong>technologies</strong><strong>vous</strong> <strong>offrent</strong> <strong>plus</strong> <strong>de</strong> liberté :profitez-en !nos conseils d’expertsChoisir <strong>de</strong>s valeurs <strong>de</strong>ren<strong>de</strong>ment, le « Time scaling »…nos spécialistes détaillent <strong>de</strong>stechniques <strong>de</strong> placement.à votre servICe<strong>Les</strong> innovations <strong>de</strong> cortal consorspour vos investissements ;les réponses aux questions<strong>de</strong>s lecteurs.couleurs épargne est une publication <strong>de</strong> cortal consors. la rédaction <strong>de</strong> ce numéro a été achevée le 05/10/2010. isBn n°1151-2660. impriméà 80 000 exemplaires. Directeur <strong>de</strong> la publication : Benoît Gommard. Responsable <strong>de</strong> la rédaction : michel Jouve. Comité <strong>de</strong> rédaction : cécileDantan-Michoulier, laure Bernet, Hélène ciekanski, Thibault Hache, Fabien vrignon. cortal consors : sa au capital <strong>de</strong> 57 552 960 e, 327 787 909RCS Paris. intermédiaire en assurance n° orias 07 023 527. prési<strong>de</strong>nt-Directeur Général : olivier le Grand. siège social : 1, boulevard Haussmann,Tsa 14000, 75318 paris ce<strong>de</strong>x 09. Bureaux : 24, rue <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux-Gares, 92855 rueil-Malmaison ce<strong>de</strong>x. Tél. : 01 47 38 93 00 –Tél. service commercial : 01 47 38 95 55 - internet : www.cortalconsors.fr. crédits photo : Getty images. conception et réalisation :New Robinson Creapress. impression : la Galiote-Prenant.<strong>Les</strong> avis et opinions émis notamment sur les marchés et/ou les instruments financiers ne peuvent engager la responsabilité <strong>de</strong> cortal consors, ni celle <strong>de</strong> BnpParibas. ces informations sont données à titre indicatif et ne sauraient en aucun cas constituer une incitation à investir ou à conclure tel ou tel type <strong>de</strong> transaction,l’investisseur étant seul juge <strong>de</strong> l’opportunité <strong>de</strong>s opérations qu’il pourra être amené à conclure. les investissements sur les marchés financiers sont susceptibles<strong>de</strong> variations fortes, à la hausse comme à la baisse, sur <strong>de</strong>s durées <strong>plus</strong> ou moins longues. cortal consors n’a aucune influence sur ces variations. les performancespassées ne préjugent pas <strong>de</strong>s résultats futurs et ne sont pas constantes dans le temps. <strong>vous</strong> êtes invité à consulter votre conseiller pour bénéficier d’un conseil sur leplacement envisagé et <strong>vous</strong> assurer <strong>de</strong> l’adéquation <strong>de</strong> celui-ci avec votre profil.> couleurs épargne n°18 octobre 2010 > page 3


ça bougeMarché <strong>de</strong> l’or« On redécouvre les atouts<strong>de</strong> l’or pour investir. »Sa valeur n’en finit pas <strong>de</strong> grimper… François <strong>de</strong> Lassus, spécialiste <strong>de</strong> l’or sous toutes sesformes, nous explique les raisons <strong>de</strong> cet engouement chez les investisseurs.François <strong>de</strong> LassusDirecteur <strong>de</strong> la communication externe,activité Or, CPoR DevisesQuelles sont les perspectivespour l’or aujourd’hui ?L’or est sur une tendance haussière : savaleur a augmenté d’environ 300 % en dollars<strong>de</strong>puis dix ans. <strong>Les</strong> fondamentaux du marchéfont que les perspectives sont favorablespour l’or : au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong>s facteurs exogènes(conjoncture économique incertaine, criseChiffresclésfinancière), on fait face <strong>de</strong>puis <strong>plus</strong>ieursannées à une croissance ferme <strong>de</strong> la<strong>de</strong>man<strong>de</strong> et à une relative contraction <strong>de</strong>l’offre. La <strong>de</strong>man<strong>de</strong> pour l’or dépend <strong>de</strong>trois facteurs : la bijouterie, avec 61 % <strong>de</strong>la <strong>de</strong>man<strong>de</strong>, notamment en provenance<strong>de</strong> l’In<strong>de</strong> et <strong>de</strong> la Chine ; l’investissement(produits or, pièces et lingots), qui s’estaccéléré <strong>de</strong>puis six ans ; et les applicationsindustrielles (puces électroniques,nano<strong>technologies</strong>, etc.).L’offre repose également sur troiscomposantes : la production minière, étale<strong>de</strong>puis six ans ; la vente d’or <strong>de</strong>s BanquesCentrales, encadrée par <strong>de</strong>s quotas annuels<strong>de</strong>puis 1999 ; enfin, le recyclage <strong>de</strong> l’or.Comment les particuliers peuvent-ilsinvestir sur le marché <strong>de</strong> l’or ?Il y a <strong>plus</strong>ieurs formes d’investissement surl’or. Depuis six ans, la tendance haussière <strong>de</strong>l’or conjuguée aux problèmes économiqueset à l’existence <strong>de</strong> nouveaux produitsrelatifs à l’or fait que les particuliers et leursconseillers redécouvrent les atouts <strong>de</strong> l’or en}Top 5 mondial <strong>de</strong>s réserves d’or• états-Unis8 133 tonnes• Allemagne3 407 tonnes• FMI2 967 tonnes• Italie2 452 tonnes• France2 435 tonnesSource : World Gold Council, juin 2010.}tant que véhicule d’investissement. Depuisl’affaire Madoff et la crise <strong>de</strong>s actifs toxiques<strong>de</strong>s subprimes, les investisseurs recherchent<strong>de</strong>s actifs sans contrepartie, sans risqueémetteur : l’or sous forme <strong>de</strong> pièces et lingotsa ainsi retrouvé tout son intérêt.De <strong>plus</strong>, les Trackers or, ou ETF, sont apparusen 2003. Ces fonds indiciels sur l’or, in<strong>de</strong>xésà 100 % sur <strong>de</strong> l’or physique, ont favorisé la<strong>de</strong>man<strong>de</strong> pour l’investissement, malgré lerisque <strong>de</strong> contrepartie, car ils permettent <strong>de</strong>disposer d’un produit valant 1/10 d’once d’orque l’on peut échanger comme une action.Le fameux SPDR américain, coté à NewYork, Hong Kong, Singapour et Tokyo, estl’un <strong>de</strong>s ETF sur l’or qui a le <strong>plus</strong> importantvolume d’échanges. En Europe, il existe uneobligation à coupon zéro qui fonctionneexactement comme un ETF : le Gold BullionSecurities, échangé sur les Bourses <strong>de</strong>Londres, Paris, Milan et Francfort.Valeur refuge, l’or n’est pas un actif <strong>de</strong>ren<strong>de</strong>ment, même s’il rapporte <strong>de</strong>puisdix ans ; c’est avant tout un actif pouvantcontribuer à préserver la valeur contrel’inflation. Ainsi, l’or joue un rôle importantdans une stratégie <strong>de</strong> diversification : unebonne recommandation consiste à investirjusqu’à 10 % d’or dans son portefeuille, quece soit <strong>de</strong> l’or papier (actions <strong>de</strong> mines, fondsminiers, Trackers…) ou bien entendu enpièces et lingots.Plus d’informations : www.cpor<strong>de</strong>vises.comFranck BernardResponsable Politique d’Investissement,<strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong>(avec la participation <strong>de</strong> Franck Feignant,gérant <strong>de</strong> portefeuilles, B*capital)« La divergence <strong>de</strong>s économiesmondiales <strong>de</strong>vrait perdurer. »<strong>Les</strong> pays dits « émergents »s’affranchissent progressivement <strong>de</strong>séconomies occi<strong>de</strong>ntales. la conclusion durapport <strong>de</strong> l’oc<strong>de</strong> intitulé Le Basculement<strong>de</strong> la richesse (16 juin 2010) est sanséquivoque : « la crise financière a accéléréla transformation structurelle <strong>de</strong>l’économie mondiale », déplaçant le« centre <strong>de</strong> gravité <strong>de</strong> la planète […] versl’Est et le sud, <strong>de</strong>s pays <strong>de</strong> l’oc<strong>de</strong> vers lespays émergents ». si les chiffres <strong>de</strong>croissance récents confirment cettetendance, la croissance du piB sera aumieux <strong>de</strong> 3 % pour les états-Unis et <strong>de</strong> 1 %en europe, alors qu’elle sera en moyennesupérieure à 6 % dans les économies endéveloppement pour les <strong>de</strong>ux ans à venir.Quels en sont les éléments structurels ?Dettes et consommateurs américainsTout d’abord, les finances publiques <strong>de</strong>séconomies émergentes présentent <strong>de</strong>ssituations radicalement différentes <strong>de</strong>celles <strong>de</strong>s économies développées ! Cettenouvelle orthodoxie monétaire estillustrée par la politique monétaireactuelle. Pour lutter contre les risquesd’emballement <strong>de</strong> l’économie, <strong>de</strong>s payscomme l’In<strong>de</strong> ou le Brésil n’hésitent pas àaugmenter leurs taux d’intérêts.Ainsi, les agences <strong>de</strong> notation soulignentl’amélioration structurelle <strong>de</strong>s économieset relèvent leurs notations, alors qu’ellesavertissent les pays <strong>de</strong> l’oc<strong>de</strong> sur lesniveaux excessifs <strong>de</strong> leurs <strong>de</strong>ttes publiques.D’autre part, les chiffres récents <strong>de</strong> lacroissance soulignent la moindredépendance <strong>de</strong>s économies émergentes auconsommateur américain. Faut-il pourautant parler <strong>de</strong> découplage ? la chine,« usine du mon<strong>de</strong> », ne pourra pas êtreimmunisée contre le ralentissement <strong>de</strong> lapremière économie mondiale. mais sansdoute pourra-t-elle y être moins sensibleen développant une consommationdomestique durable, ce qui bénéficieraégalement aux économies développées.De <strong>nouvelles</strong> politiques sociales etenvironnementalesLa divergence <strong>de</strong>s économies mondiales àlaquelle nous assistons <strong>de</strong>vrait perdurerdans les années à venir. au-<strong>de</strong>là du risque<strong>de</strong> surchauffe actuel qui conduit lesbanquiers centraux à augmenter les tauxd’intérêts, les pays émergents vont êtreconfrontés à <strong>de</strong>s défis auxquels le pouvoirpolitique doit répondre, au risque <strong>de</strong> voirces nations rester uniquement « l’usine dumon<strong>de</strong> ». ainsi, le développementdémographique offre un extraordinairepotentiel mais également un défi majeur.Ces pays ne pourront éviter <strong>de</strong> mettre enplace <strong>de</strong>s politiques sociales etenvironnementales au regard du rôlecroissant qu’elles jouent sur l’échiquiermondial. l’importance que prend le G20sur la scène internationale l’atteste.www.cortalconsors.frBaromètre> Actions françaises : indice CAC 40(du 26/03/10 au 28/09/10).> Actions européennes : indice Dow JonesEuroStoxx 50 (du 26/03/10 au 28/09/10).> Actions américaines : indice Dow JonesIndustrial (du 26/03/10 au 28/09/10).L’analyse <strong>de</strong> <strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong><strong>Les</strong> marchés européens enregistrent <strong>de</strong>sperformances assez disparates <strong>de</strong>puis ledébut <strong>de</strong> l’année, un phénomène qui estrelativement nouveau.<strong>Les</strong> investisseurs prennent désormais encompte le différentiel <strong>de</strong> croissance et le« risque <strong>de</strong>tte pays ».Plus que jamais, soyez sélectif sur vosinvestissements.> page 4 > couleurs épargne> couleurs épargne n°18 octobre 2010 > page 5


ça bougeUp & downMarchés actionswww.cortalconsors.frInvestissez différemment !<strong>Les</strong> valeurs bancaireseuropéennes<strong>Les</strong> valeurs bancaires européennesretrouvent <strong>de</strong> la vigueur <strong>de</strong>puis que les stresstests ont prouvé leur robustesse.Par ailleurs, les évolutions réglementairesseront moins contraignantes qu’envisagé, cequi limite le risque d’augmentation <strong>de</strong> capitalen série dans le secteur.les servICes auxcolleCTIvITés et lesinfrastruCTuresLe secteur <strong>de</strong>s utilities (services auxcollectivités et infrastructures) <strong>de</strong>vraitsous-performer dans les mois qui viennent.La croissance attendue est faible et lavisibilité sur l’évolution <strong>de</strong>s prix estinsuffisante. Nous attendons beaucoup<strong>de</strong> concentrations et <strong>de</strong> restructurationsen Europe, ce qui ne conduira pas à undéveloppement du secteur à court terme.« Quel impact fiscal pourla réforme <strong>de</strong>s retraites ? »Le projet <strong>de</strong> loi relatif à la réforme <strong>de</strong>sretraites contient <strong>de</strong>s mesures visant àmodifier la fiscalité <strong>de</strong>s personnesphysiques. Parmi elles, les cinq pointssuivants <strong>de</strong>vront être surveillés :1. Soumettre les foyers les <strong>plus</strong> aisés àune contribution supplémentairequi pourrait se traduire par une haussed’un point (41 % au lieu <strong>de</strong> 40 % aujourd’hui)<strong>de</strong> la tranche la <strong>plus</strong> élevée <strong>de</strong> l’Impôtsur le Revenu (IR). Cette augmentations’appliquerait uniquement aux revenusannuels supérieurs à 69 783 € (barèmeen vigueur en 2010). Cette impositionsupplémentaire ne <strong>de</strong>vrait pas entrerdans le calcul du bouclier fiscal.2. Taxer davantage les stock-optionspour contribuer au financement <strong>de</strong>smesures <strong>de</strong> solidarité <strong>de</strong>s régimes <strong>de</strong>retraite. Le Gouvernement envisageraitaussi <strong>de</strong> taxer davantage les retraiteschapeaux.3. Majoration d’un point <strong>de</strong>sprélèvements sur les revenus du capitalet du patrimoine :• le taux d’imposition <strong>de</strong>s <strong>plus</strong>-values<strong>de</strong> cessions mobilières serait relevé<strong>de</strong> 18 à 19 % ;• le Prélèvement Forfaitaire Libératoire(PFL), que les ménages peuvent choisirIon Floarea ,Responsable <strong>de</strong> l’équipeAffaires Fiscalité,<strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong> Francepour l’imposition <strong>de</strong>s divi<strong>de</strong>n<strong>de</strong>s,intérêts et autres revenus mobiliers,serait augmenté <strong>de</strong> 18 à 19 %. Lamesure ne concernerait que les foyersles <strong>plus</strong> aisés, qui ont seuls intérêt àopter pour le PFL ;• le prélèvement forfaitaire applicableaux <strong>plus</strong>-values <strong>de</strong> cessionsimmobilières serait augmenté <strong>de</strong> 16 à17 %. <strong>Les</strong> exonérations actuelles,notamment celles concernant la vente<strong>de</strong> la rési<strong>de</strong>nce principale, seraientmaintenues.4. Suppression du crédit d’impôt sur lesdivi<strong>de</strong>n<strong>de</strong>s (115 € ou 230 €) perçus parles actionnaires.5. Taxation <strong>de</strong>s <strong>plus</strong>-values <strong>de</strong> cessiond’actions et d’obligations à l’IR dèsle 1 er euro <strong>de</strong> bénéfice perçu, quel quesoit le montant <strong>de</strong>s cessions réalisées.Actuellement, ces <strong>plus</strong>-values ne sontimposables que lorsque le montant <strong>de</strong>stitres vendus dépasse 25 830 € par an ;sous ce seuil, les <strong>plus</strong>-values sontexonérées. Le gouvernement proposerait<strong>de</strong> supprimer ce seuil et d’assujettir les<strong>plus</strong>-values <strong>de</strong> cessions d’actions etd’obligations à l’IR, quel que soit lemontant <strong>de</strong>s cessions réalisées. Ce projet<strong>de</strong> loi est susceptible d’être modifié avantle vote définitif.Expert en produits <strong>de</strong> Bourse, Bertrand Alfandari évoque une métho<strong>de</strong> peu connuepour investir sur les marchés actions.Auteur :Bertrand AlfandariFonction :Responsable marketingvente<strong>de</strong>s produits <strong>de</strong>Bourse chez Bnp paribas.Peut-on invesTIr sur le potenTIel d’uneaCTIon sans acquérir le TITre coté ?Oui, grâce aux Certificats Bonus et CertificatsBonus Capés lancés il y a <strong>plus</strong> <strong>de</strong> quatre anspar BNP Paribas. Leur principe est simple :ils <strong>offrent</strong> une alternative au placementen direct sur les actions, en permettant <strong>de</strong>viser une performance potentielle attractive,même si l’action sous-jacente stagne oubaisse modérément sur la durée <strong>de</strong> vie duCertificat (<strong>de</strong> 12 à 24 mois).En effet, ils garantissent un ren<strong>de</strong>mentconnu à l’avance (remboursement à hauteurdu Niveau Bonus) si, en cours <strong>de</strong> vie duCertificat, le cours <strong>de</strong> l’action sous-jacente nefranchit pas un certain niveau appelé « BorneBasse » et défini à l’émission.En revanche, si le cours <strong>de</strong> l’action atteint laBorne Basse au moins une fois, l’investisseurest remboursé au cours <strong>de</strong> clôture <strong>de</strong> l’action(dans la limite du Niveau Bonus pour unChiffresclésBonus Capé). <strong>Les</strong> volumes échangés sur cesproduits <strong>de</strong> Bourse listés en continu ont étémultipliés par <strong>de</strong>ux ces 18 <strong>de</strong>rniers mois,un succès lié aux avantages qu’ils procurentaux investisseurs souhaitant investir surcertaines actions, mais sceptiques quant àl’évolution <strong>de</strong>s marchés à moyen terme.comment cela fonctionne-t-il ?Prenons l’exemple d’une action FranceTélécom qui cote 18 € et d’un CertificatBonus France Télécom d’échéance 18 moiscotant également 18 €. Ce <strong>de</strong>rnier disposed’une Borne Basse à 13,50 € et d’un NiveauBonus à 20,70 €. Ce placement offre doncà l’échéance une performance minimale<strong>de</strong> 15 % (Niveau Bonus) si l’action FranceTélécom n’a pas baissé <strong>de</strong> <strong>plus</strong> <strong>de</strong> 25 %(Borne Basse) en cours <strong>de</strong> vie du Certificat.Si l’action clôture au-<strong>de</strong>ssus <strong>de</strong> 20,70 €dans 18 mois, le Certificat profite <strong>de</strong> toutela hausse <strong>de</strong> l’action (par opposition à unCertificat Bonus Capé qui serait rembourséà 20,70 €). à l’inverse, si le titre FranceTélécom touche les 13,50 € d’ici à 18 mois,cette barrière est désactivante : le Certificatest remboursé à l’échéance au cours <strong>de</strong>}43 000 : le nombre <strong>de</strong> transactions effectuéessur <strong>de</strong>s Certificats Bonus et Certificats BonusCapés en 2010 à la Bourse <strong>de</strong> Paris.51 % : la part <strong>de</strong> marché <strong>de</strong> BNP Paribas surces Certificats en France.142 : le nombre <strong>de</strong> Certificats Bonus etCertificats Bonus Capés actuellement cotés parBNP Paribas à la Bourse <strong>de</strong> Paris.}clôture <strong>de</strong> l’action quel qu’il soit. Notonstoutefois que, dans le cas d’un CertificatBonus acquis à un cours supérieur à celui <strong>de</strong>son sous-jacent, l’investissement en Bonusprésentera un ren<strong>de</strong>ment inférieur à celuidu sous-jacent à l’échéance si la barrière <strong>de</strong>sécurité a été touchée.à qui ces produits sont-ils <strong>de</strong>stinés ?<strong>Les</strong> Certificats Bonus et Bonus Capés sont<strong>de</strong>stinés aux investisseurs dynamiqueset avertis, acceptant un risque <strong>de</strong> perteen capital. Ils sont tout à fait adaptés à unscénario neutre, voire modérément baissierou haussier, sur une action ou un indice à unhorizon <strong>de</strong> moyen terme (<strong>de</strong> 1 à 2 ans). Encontrepartie, les divi<strong>de</strong>n<strong>de</strong>s éventuellementdistribués par l’action sur la durée <strong>de</strong> vie duCertificat sont utilisés pour la constructiondu produit, et ne sont donc pas redistribués àl’investisseur. <strong>Les</strong> commissions <strong>de</strong> courtageapplicables aux opérations sur les marchésboursiers s’appliquent et varient selon latarification dont <strong>vous</strong> bénéficiez.Comment choisir un CerTIfICat Bonus ?La diversité <strong>de</strong> la gamme émise par BNPParibas permet <strong>de</strong> trouver facilementun Certificat adapté au potentiel <strong>de</strong>performance et au <strong>de</strong>gré <strong>de</strong> risquerecherchés. Pour cela, il faut gar<strong>de</strong>r àl’esprit le principe suivant : <strong>plus</strong> la BorneBasse d’un Certificat Bonus est éloignée ducours <strong>de</strong> l’action, <strong>plus</strong> la sécurité procuréepar le produit est importante.Une fois votre stratégie élaborée, <strong>vous</strong>pourrez sélectionner le produit <strong>de</strong> Bourseadapté, en contactant nos experts auN o Vert 0800 235 000, ou sur les siteswww.produits<strong>de</strong>bourse.bnpparibas.fr etwww.cortalconsors.fr, rubrique Infos &Marchés > Certificats.> page 6 > couleurs épargne> couleurs épargne n°18 octobre 2010 > page 7


dossierwww.cortalconsors.frL’application iphonecortal consorsinterview <strong>de</strong>lucile mathe,Marketing Tra<strong>de</strong>r,<strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong>page 11la révolutioninternetinterview <strong>de</strong>alexan<strong>de</strong>r hesse,Analyste,Forrester Researchpage 12le renouveau <strong>de</strong> larelation clientinterview <strong>de</strong>franck bereTTa,Directeur relations clientèle,<strong>Cortal</strong> consorspage 13Du guichet à l’iPhonePlus <strong>de</strong> libertégrâce aux <strong>nouvelles</strong><strong>technologies</strong>Nouvelles <strong>technologies</strong>, nouveaux consommateurs, <strong>nouvelles</strong> attentes<strong>de</strong>s clients… <strong>plus</strong> rien ne sera jamais comme avant.texte <strong>de</strong>nathalie léauté,directeur dudépartemenT Finance,Tns sofres<strong>Les</strong> propos <strong>de</strong>s personnes qui s’expriment n’engagent pas<strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong>. L’attention <strong>de</strong>s clients est attirée sur le risque<strong>de</strong>s investissements en actions, qui ne peuvent pas êtreassimilés à un investissement sécuritaire.<strong>Les</strong> investissements sur les marchés actions sont susceptibles<strong>de</strong> fluctuations à la hausse et à la baisse, elles ne sontpas constantes dans le temps. <strong>Les</strong> performances passées nepréjugent pas <strong>de</strong>s résultats futurs.le mon<strong>de</strong> bancaire a longtemps eu la réputation d’être ununivers statique ou faisant preuve, tout du moins, d’unegran<strong>de</strong> inertie. encore récemment, en février 2010 (1) , nousavons pu constater que le secteur bancaire, en Francecomme chez nos voisins européens, était perçu commelargement moins innovant que d’autres secteurs (parexemple, la téléphonie mobile et l’automobile, bien sûr, maisaussi les produits laitiers ou les boissons non alcoolisées).Parallèlement, les mêmes personnes interrogées déclarentque l’innovation est cruciale pour l’univers bancaire : lesecteur arrive cette fois en 3 e position, juste <strong>de</strong>rrière latéléphonie mobile et l’automobile.Naturellement, l’innovation attendue prend un sensspécifique dans chaque secteur d’activité : innovationproduits dans l’alimentaire, innovation énergétique dansl’automobile, innovation relationnelle dans l’universbancaire. voilà qui ouvre <strong>de</strong> <strong>nouvelles</strong> perspectives pour lesacteurs bancaires les <strong>plus</strong> dynamiques…Le moBILe, puis Internet, et enFIn l’Internet moBILeL’arrivée d’Internet a déjà permis une montée en puissanceimportante <strong>de</strong> la gestion <strong>de</strong>s comptes en ligne et <strong>de</strong> larecherche d’information <strong>de</strong>puis <strong>plus</strong>ieurs années. oncompte aujourd’hui <strong>plus</strong> d’un Français internaute sur <strong>de</strong>ux(59 %) qui a activé son espace client en ligne proposé parsa banque, et 40 % qui reçoivent leurs relevés <strong>de</strong> compteen ligne (2) . <strong>de</strong>s pratiques qui se sont largement diffusées<strong>de</strong>puis quelques années. <strong>plus</strong> récemment, au cours <strong>de</strong>s<strong>de</strong>ux <strong>de</strong>rnières années, <strong>de</strong>ux événements nous font croire> couleurs épargne n°18 octobre 2010 > page 9


dossierwww.cortalconsors.frque rien ne sera jamais <strong>plus</strong> comme avant. primo, unenouvelle révolution technologique : après l’arrivée dutéléphone mobile il y a déjà près <strong>de</strong> 20 ans, puis d’Internet<strong>plus</strong> récemment, c’est l’Internet mobile qui bouleverseaujourd’hui les comportements. après <strong>de</strong>s débutsbalbutiants, l’Internet mobile a véritablement pris sonessor <strong>de</strong>puis quelques mois, en particulier grâce aux offresillimitées <strong>de</strong>s opérateurs et au lancement <strong>de</strong> l’iPhone.Secundo, la crise financière : <strong>plus</strong> que la crise économiquequi a suivi, c’est la crise du mon<strong>de</strong> financier qui a ébranléla confiance <strong>de</strong>s clients. si ces <strong>de</strong>rniers continuent le <strong>plus</strong>souvent à s’en remettre à leur conseiller, ils se montrentnéanmoins <strong>plus</strong> exigeants, moins patients. Jusqu’alors, êtrenon seulement entendus mais écoutés, être reconnus dansleur individualité, étaient <strong>de</strong>s souhaits émis par les clients.à présent, ce sont <strong>de</strong>s exigences.la technoloGIe donne <strong>plus</strong> <strong>de</strong> pouvoir aux CLIentsNous observons <strong>de</strong>puis <strong>de</strong>ux ans une accélération <strong>de</strong>stendances déjà en marche auparavant mais qui peinaient àémerger : le rapport à sa banque <strong>de</strong>vient véritablement unrapport client–fournisseur où l’on n’hésite <strong>plus</strong> à s’informerpar soi-même pour approfondir son point <strong>de</strong> vue ou mêmeremettre en cause les préconisations <strong>de</strong> son conseiller.Si <strong>de</strong>s freins existent encore (et perdureront sûrement) àchanger <strong>de</strong> banque comme on change d’opérateur mobileou <strong>de</strong> marque <strong>de</strong> voiture, on observe une montée <strong>de</strong> la miseen concurrence, <strong>de</strong>s comparaisons entre les services etprestations proposés par les banques. le développement<strong>de</strong>s banques en ligne et leurs discours orientés sur lemoindre coût, les taux promotionnels proposés à grandrenfort <strong>de</strong> communication pour les comptes sur livret,le relevé annuel <strong>de</strong>s frais bancaires peuvent sans douteexpliquer cette tendance.Pour autant, ils n’expliquent pas tout. les Français,comparativement aux anglo-Saxons notamment, secaractérisent par une moindre connaissance <strong>de</strong>s notionséconomiques et financières, par un intérêt globalementen retrait pour les thématiques financières et par uneaversion au risque marquée. c’est là que la crise financièreet « le coup <strong>de</strong> massue » ressenti en septembre 200859 %C’est le pourcentage <strong>de</strong>Français internautes qui ontactivé leur espace client enligne proposé par leur banque.« <strong>Les</strong> clients veulent désormais <strong>de</strong>s servicesadaptés, réactifs, proactifs et pertinents. »interviennent. installant fortement une défiance jusqu’alorspassive, ils ont réveillé le consommateur actif et exigeantqui sommeillait en chacun <strong>de</strong> nous. ne brûlons pas lesétapes : tous les clients <strong>de</strong>s banques ne sont pas <strong>de</strong>venus<strong>de</strong>s experts avertis. pour autant, on a assisté à une prise<strong>de</strong> conscience générale qu’il est important – urgent ? –d’agir. s’ensuivent ces nouveaux comportements évoquésprécé<strong>de</strong>mment : on s’informe, on s’intéresse, on compare,on exprime ses besoins et ses attentes. nous sommes tous<strong>de</strong>s clients, nous voulons être considérés comme tels : êtrereconnus, être informés à bon escient sur les offres quinous correspon<strong>de</strong>nt et non pas indifféremment sur tousles produits ou services proposés par notre banque. onveut <strong>de</strong>s services adaptés, réactifs, proactifs et pertinents.Une <strong>de</strong>man<strong>de</strong> somme toute basique dans un mon<strong>de</strong> oùle marketing fait loi <strong>de</strong>puis <strong>de</strong>s années. et, cette fois, onen a les moyens : la technologie nous donne <strong>de</strong> <strong>nouvelles</strong>possibilités, une force que l’on compte bien exploiter.Certes, tout le mon<strong>de</strong> n’est pas aujourd’hui internauteaverti ou utilisateur d’un iPhone. mais le phénomène esten marche. les <strong>plus</strong> jeunes ont adopté les applications quicorrespon<strong>de</strong>nt à leur mo<strong>de</strong> <strong>de</strong> vie. en avançant dans la vie,ils changeront leurs applications préférées, mais rien neporte à croire qu’ils feront machine arrière…(1) étu<strong>de</strong> Tns menée en février 2010 dans six pays d’Europe auprès <strong>de</strong> 1 000personnes âgées <strong>de</strong> 18 à 65 ans par pays. (2) étu<strong>de</strong> Tns sofres–BearingPoint : « le podium <strong>de</strong> la relation client – la relation client digitale », menéeen avril 2010 auprès <strong>de</strong> 4 000 Français internautes âgés <strong>de</strong> 18 ans et <strong>plus</strong>.« L’AppliBourse propose une expérienceinteractive innovante et utile ; c’est uneréelle valeur ajoutée pour nos clients. »Interview<strong>de</strong> Lucile Mathe,Marketing Tra<strong>de</strong>rIl y a 25 ans, cortal consors a été l’une<strong>de</strong>s premières banques « en ligne ». après le téléphone,le minitel et le Web, nous poursuivonsaujourd’hui une évolution logique :l’Internet en mobilité grâce auxsmartphones. <strong>plus</strong> <strong>de</strong> 30 % <strong>de</strong> nos clientsen sont déjà équipés, et 15 % souhaitents’équiper prochainement. nous avonsainsi lancé en juillet <strong>de</strong>rnier notreapplication iPhone gratuite, l’AppliBourse.une révoluTIon au quoTIdien<strong>Les</strong> applications pour smartphones,particulièrement celles pour l’iPhone,révolutionnent véritablement notre vie <strong>de</strong>tous les jours. leur nombre a doublé en un an, avec <strong>plus</strong><strong>de</strong> 200 000 applications disponibles aujourd’hui. Toutes ontpour point commun <strong>de</strong> simplifier nos tâches quotidienneset <strong>de</strong> nous assister dans leur réalisation. on trouveainsi <strong>de</strong>s applications très variées, qui permettent parexemple <strong>de</strong> tester son audition, <strong>de</strong> recevoir les <strong>de</strong>rnièresinformations, <strong>de</strong> traduire 52 langues ou <strong>de</strong> s’informersur la météo. Toutes ne sont cependant pas gratuiteset n’<strong>offrent</strong> pas le même niveau <strong>de</strong> technicité dans lesservices proposés.<strong>de</strong>s fonCTIonnalITés inédITes et… gratuITesDe notre côté, nous souhaitons apporter à nos clients uneréelle valeur ajoutée, en leur proposant une expérienceinteractive innovante et utile. l’ergonomie d’uneapplication développée pour un smartphone constitue déjà3,5millionsC’est le nombre <strong>de</strong>smartphones vendusen France en 2009 selonle cabinet d’étu<strong>de</strong>s GfK.en elle-même une satisfaction importantepour les utilisateurs, notamment si on lacompare aux sites habituellement utiliséspour les mobiles. ces sites se révèlent eneffet pauvres en termes <strong>de</strong> fonctionnalitéset leur présentation est peu attrayante. ilsnécessitent par ailleurs le téléchargementd’une partie <strong>de</strong>s éléments composant lespages à chaque utilisation. nous avons doncdéveloppé <strong>de</strong>s fonctionnalités inédites pource type <strong>de</strong> service, comme la possibilité <strong>de</strong>passer <strong>de</strong>s ordres en direct même en cas<strong>de</strong> conditions dégradées <strong>de</strong> réception réseau. et tout celagratuitement !les contrainte d’horaires disparaissentAvec l’AppliBourse, nous participons ainsi aux changements<strong>de</strong> relations entre clients et banquiers. <strong>vous</strong> n’êtes <strong>plus</strong>contraint par les horaires d’ouverture : <strong>vous</strong> accé<strong>de</strong>zaux outils et aux informations dont <strong>vous</strong> avez besoinquand <strong>vous</strong> le souhaitez, où <strong>vous</strong> le voulez. c’est une <strong>de</strong>smanières que nous avons choisies pour accompagner nosclients vers <strong>plus</strong> <strong>de</strong> liberté et <strong>de</strong> service.> page 10 > couleurs épargne> couleurs épargne n°18 octobre 2010 > page 11


dossierwww.cortalconsors.fr« Internet et les sites sociaux ai<strong>de</strong>ntles investisseurs à prendre<strong>de</strong> meilleures décisions. »Interviewd’Alexan<strong>de</strong>r Hesse,Analyste chezForrester researchDepuis quand Internet est-il <strong>de</strong>venu la premièresource d’informaTIons pour les invesTIsseurs ?Notre étu<strong>de</strong> montre qu’en europe, entre 2005 et 2006,Internet a pris le pas sur les sources d’informationstraditionnelles comme les conseillers, les amis, la famille,ou les journaux. il y a toujours <strong>de</strong> gran<strong>de</strong>s disparités entreles pays : dans les pays nordiques, comme les pays-Bas oul’Allemagne, le canal web s’est développé <strong>plus</strong> rapi<strong>de</strong>mentque dans les pays du sud <strong>de</strong> l’Europe, comme l’Italie et laFrance. par exemple, seulement 7 % <strong>de</strong>sinvestisseurs français ont souscrit à un produitfinancier en ligne ces <strong>de</strong>rnières années, contre17 % <strong>de</strong>s investisseurs allemands.Qu’est-ce qu’Internet leur a aPPorté ?L’avantage majeur d’Internet pour lesinvestisseurs est qu’il leur fournit la mise àjour et l’accessibilité aux informations 24h/24et 7j/7. il leur permet aussi d’effectuer leurstransactions eux-mêmes alors qu’unconseiller était auparavant nécessaire. c’estaussi un canal qui permet aux courtiers enligne, comme cortal consors, d’offrir <strong>de</strong>s solutionsd’investissement à moindre coût. le réseau a pour ainsidire permis la « démocratisation » <strong>de</strong>s placements en lesrendant disponibles à un public <strong>plus</strong> large. en outre, lessites sociaux – blogs, forums et sites <strong>de</strong> comparaison <strong>de</strong>prix – favorisent désormais la transparence et ai<strong>de</strong>nt lesinvestisseurs à prendre <strong>de</strong> meilleures décisions. ilspeuvent comparer les produits, les services, et échangerleurs « tuyaux ».63 %C’est le pourcentage <strong>de</strong>sinternautes européens âgés <strong>de</strong>16 à 24 ans qui entretiennentleur profil sur un réseau social.Quel avenir pour les réseaux soCIaux dans lasphère boursière ?Investir est souvent une activité sociale. lescommunautés <strong>de</strong> clients sembleraient donc être <strong>de</strong>sinitiatives évi<strong>de</strong>ntes pour les courtiers en ligne.Cependant, mis à part quelques-uns dont cortal consors,peu d’entre eux ont d’ores et déjà créé <strong>de</strong>s communautésd’investisseurs. les sites sociaux se développentpourtant <strong>de</strong> manière considérable, <strong>plus</strong> particulièrementauprès <strong>de</strong>s jeunes investisseurs. à titre d’exemple, 63 %<strong>de</strong>s internautes européens âgés <strong>de</strong> 16 à 24 ans mettent àjour et entretiennent leur profil sur un réseau social.Notre étu<strong>de</strong> montre que les clients <strong>de</strong>s courtiers en lignesont en moyenne davantage impliqués dans les réseauxsociaux que l’ensemble <strong>de</strong>s internautes. nous nousattendons donc à ce que <strong>plus</strong> <strong>de</strong> courtiers en lignedéveloppent <strong>de</strong>s réseaux sociaux pourai<strong>de</strong>r leurs clients à prendre <strong>de</strong>meilleures décisions d’investissement.Interview <strong>de</strong>Franck BereTTa ,directeur relationsclientèle,cortal consorsLa relaTIon client-banquierLa relation entre clients et banquiers a beaucoup évoluéau cours <strong>de</strong>s 15 <strong>de</strong>rnières années. Traditionnellement, lebanquier disposait d’un accès quasi exclusif à l’informationet prescrivait. l’offre <strong>de</strong> placements pour les particuliersétait peu étendue et le client ne pouvait que suivre lesrecommandations, un peu comme on suitl’ordonnance d’un mé<strong>de</strong>cin.Avec la démocratisation <strong>de</strong>s <strong>nouvelles</strong><strong>technologies</strong>, on peut aujourd’hui accé<strong>de</strong>r àune multitu<strong>de</strong> d’informations financières :le client peut <strong>de</strong>venir <strong>plus</strong> « actif » dansses échanges avec son banquier. certainsclients se sont même déjà affranchis <strong>de</strong>la relation avec leur conseiller et passent100 % <strong>de</strong> leurs ordres directement surInternet. le succès <strong>de</strong> Hopee, la premièrecommunauté boursière que nous avonslancée il y a quelques mois, témoigne ainsi<strong>de</strong> l’engouement <strong>de</strong>s particuliers pour leséchanges entre pairs.Pour les autres, moins à l’aise sur le sujet, l’accès encontinu à l’information, l’élargissement sans précé<strong>de</strong>nt<strong>de</strong> l’offre et l’accélération <strong>de</strong>s cycles financiers ne leuront pas vraiment simplifié la tâche. avec la famille et lesproches, le conseiller reste une <strong>de</strong>s premières sourcesd’informations.s’adaPTer aux aTTentes <strong>de</strong> chacun<strong>Cortal</strong> consors forme donc tout particulièrement sesConseillers pour répondre à ces nouveaux mo<strong>de</strong>s<strong>de</strong> consommations <strong>de</strong> l’épargne. à l’écoute <strong>de</strong> leursclients, ils savent avant tout s’adapter à chaqueinterlocuteur. ainsi, pour les clients autonomes,leur rôle est <strong>de</strong> les accompagner et <strong>de</strong> les formerà mieux maîtriser les outils d’analyse mis à leurdisposition. ils ai<strong>de</strong>nt également à vali<strong>de</strong>r une décisiond’investissement. Qui, si ce n’est un professionnel, peutlire à travers les lignes <strong>de</strong> la performance <strong>de</strong> <strong>plus</strong> <strong>de</strong>16 000 fonds, par exemple ? pour les clients moinsaguerris, leur rôle <strong>de</strong> conseil prend tout son senset s’établit dans le respect strict du profil <strong>de</strong> risque« Qui, si ce n’est un professionnel, peut lireà travers les lignes <strong>de</strong> la performance<strong>de</strong> <strong>plus</strong> <strong>de</strong> 16 000 fonds ? »8 h-22 hC’est la plage horaire offerte auxclients <strong>de</strong> cortal consors pourpasser leurs ordres <strong>de</strong> Bourse,par téléphone ou par internet.établi : un bon moyen pour le client <strong>de</strong>s’assurer que ses investissements sontconformes à ses objectifs. <strong>de</strong> l’outilqui soutient le besoin d’indépendance<strong>de</strong> nos clients au conseil personnalisé,nous nous adaptons ainsi à chacune<strong>de</strong>s attentes <strong>de</strong> nos clients.> page 12 > couleurs épargne > couleurs épargne n°18 octobre 2010 > page 13


www.citifirst.comwww.cortalconsors.frRetrouvez tous nos conseils et outils sur notre site.techniques<strong>de</strong> placementTURBOS | WARRANTSTurbos sur l’or : redorez votre portefeuilleValeur refuge par excellence, le métal jaune est aussi utilisé comme instrument <strong>de</strong> couverture ou à titre spéculatif.Avec les Turbos CitiFirst, <strong>vous</strong> pouvez accé<strong>de</strong>r au marché <strong>de</strong> l'or à la hausse (Turbos calls) ou à la baisse (Turbos puts)tout en bénéficiant d'un effet <strong>de</strong> levier.Risques spécifiques pour l’investisseur :■ Absence <strong>de</strong> garantie en capital.■ Fort effet <strong>de</strong> levier : les Turbos sur l’or amplifient à la hausse comme à la baisse les variations du cours <strong>de</strong> l’once d’or.■ Risque <strong>de</strong> change : l'or est coté en dollar US et les Turbos sont cotés en euro, par conséquent l'or et les Turbos surl'or peuvent évoluer <strong>de</strong> façon décorrélée.■ Désactivation : un Turbo comporte une barrière désactivante qui peut provoquer son expiration définitive et sansvaleur avant la date prévue <strong>de</strong> son échéance. Le marché <strong>de</strong> l’or donnant lieu à <strong>de</strong>s cotations en <strong>de</strong>hors <strong>de</strong>s heures <strong>de</strong>marché <strong>de</strong> la Bourse <strong>de</strong> Paris, les Turbos sur l'or peuvent être désactivés et perdre toute valeur en <strong>de</strong>hors <strong>de</strong> leursheures <strong>de</strong> cotation sur NYSE Euronext Paris.Pour <strong>plus</strong> d’informations, consultez notre brochure Turbo sur www.citifirst.comou comman<strong>de</strong>z-la gratuitement au 0810 511 115 (numéro azur).Absence <strong>de</strong> garantie en capital : en raison <strong>de</strong> leur nature optionnelle, les Turbos peuvent connaître <strong>de</strong> fortes variations,voire perdre tout ou partie <strong>de</strong> leur valeur. Avant tout investissement, le recours à un conseiller professionnel peut s‘avérernécessaire pour <strong>de</strong>s personnes non averties <strong>de</strong>s spécificités <strong>de</strong>s Turbos. <strong>Les</strong> Turbos émis par Citi font l‘objet d‘un Prospectus<strong>de</strong> Base visé par la BaFin (régulateur financier allemand) et ayant fait l‘objet d‘un certificat d‘approbation par la BaFin à <strong>de</strong>stination <strong>de</strong>l‘AMF, et disponible sur le site www.citifirst.com. <strong>Les</strong> Conditions Définitives <strong>de</strong> l‘Offre sont également disponibles sur www.citifirst.comet sur le site <strong>de</strong> l’AMF www.amf france.org. L‘attention du public est attirée sur la partie « facteurs <strong>de</strong> risques » du prospectus.Comment bienpasser sesordres <strong>de</strong> Bourse<strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong> <strong>vous</strong> propose les outils les<strong>plus</strong> performants et <strong>de</strong>s services innovantspour optimiser vos passages d’ordres.1Auteur :Balla N’DiayeFonction :Marketing Bourse,<strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong>Le site Internet<strong>de</strong> <strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong>Le moyen le <strong>plus</strong> simple et le <strong>plus</strong>utilisé pour passer ses ordres<strong>de</strong>meure le site internetwww.cortalconsors.fr.Vous bénéficiez d’un fluxd’informations en temps réel(cours, informations sur lesvaleurs, conseils...), ainsi que <strong>de</strong>différents outils et services pouroptimiser vos investissements et<strong>vous</strong> ai<strong>de</strong>r à la prise <strong>de</strong> décision.2L’AppliBourse<strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong>Pour les <strong>plus</strong> noma<strong>de</strong>s,l’application iPhone <strong>Cortal</strong><strong>Consors</strong> <strong>vous</strong> apporte le tradingmobile en temps réel et enstreaming pour passer vos ordres,y compris lorsque les conditionsL’ordre « Meilleure Place », un service gratuitpour optimiser l’exécution <strong>de</strong> vos ordresPour <strong>vous</strong> offrir les meilleures conditions <strong>de</strong> marché, <strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong> a créél’ordre « Meilleure Place » : un système <strong>de</strong> routage intelligent sélectionnantautomatiquement le lieu d’exécution (NYSE Euronext Paris, Tra<strong>de</strong>gate ouIS BNP Paribas) qui optimise votre transaction selon le prix et la liquidité.Ce type d’ordre <strong>vous</strong> assure <strong>de</strong> bénéficier automatiquement <strong>de</strong> conditions <strong>de</strong>marché optimisées pour les ordres au marché.<strong>de</strong> réception du réseau sontdégradées. <strong>vous</strong> pouvez aussiconsulter vos comptes cortal<strong>Consors</strong> (Comptes Titres, pea,Livrets…) <strong>de</strong> manière intuitive,passer vos ordres <strong>de</strong> Boursesur les places nationales etinternationales, accé<strong>de</strong>r auxcotations et aux news enstreaming.3Le logicielActive Tra<strong>de</strong>rEnfin, pour les passionnés, nous<strong>vous</strong> proposons <strong>de</strong> découvrirActive Tra<strong>de</strong>r : une véritablesalle <strong>de</strong> marché à domicile.Ce logiciel <strong>de</strong> passage d’ordres,entièrement paramétrable, <strong>vous</strong>offre la possibilité d’accé<strong>de</strong>r à <strong>de</strong>sflux d’informations continus et<strong>de</strong> réaliser vos propres analysestechniques grâce à <strong>plus</strong> <strong>de</strong>70 indicateurs graphiques.Vous envoyez vos ordres enquelques clics…Si <strong>vous</strong> préférez passer vos ordres<strong>de</strong> manière traditionnelle, il estpossible <strong>de</strong> le faire par téléphoneauprès <strong>de</strong> votre conseiller au0 810 721 721. il est disponible <strong>de</strong>8 h à 22 h en semaine et <strong>de</strong> 9 h à17 h le samedi. <strong>vous</strong> pouvez aussi,si nécessaire, passer vos ordrespar courrier ou par fax au01 47 38 96 96. ces solutionsprésentent toutefois <strong>de</strong>s fraissupérieurs aux ordres passés parInternet et applications mobiles.© 2010 Citigroup Global Markets Limited. All rights reserved. Citi and Arc Design is a tra<strong>de</strong>mark and service mark of Citigroup Inc., used and registered throughout the world. > couleurs épargne n°18 octobre 2010 > page 15


EDRIM Solutions / 47, rue du Faubourg Saint-Honoré - 75401 Paris Ce<strong>de</strong>x 08 / Tél. +33 (0)1 40 17 25 25 - Fax +33 (0)1 40 17 23 67 / SA à Directoire et Conseil <strong>de</strong> Surveillance au capital <strong>de</strong> 6.000.000 Euros / 433 037 900 R.C.S Paris / TVA FR84433037900 / www.kult.frDRMultiFlex EmergingParce que les marchésles <strong>plus</strong> dynamiques imposentla pru<strong>de</strong>nceChoisissez un fonds qui participe au potentiel <strong>de</strong>s marchésémergents en limitant les risquesMultiFlex Emerging a obtenu le label QUalitradE 2010décerné par Seeds Finance, une société du groupe MorningstarTout investisseur potentiel doit se rapprocher <strong>de</strong> son prestataire ou conseiller, afin <strong>de</strong> se forger sa propre opinion sur les risques inhérents au fonds MultiFlex Emerginget sur son adéquation avec sa situation personnelle. Le détail <strong>de</strong>s principaux risques <strong>de</strong> MultiFlex Emerging (Risques liés à la structure du fonds : protection àchaque échéance annuelle, risque <strong>de</strong> monétarisation du produit, risque <strong>de</strong> perte d’opportunité, gestion discrétionnaire ; Risques <strong>de</strong> marché : risque <strong>de</strong> perte en capital,risques liés aux marchés cibles, exposition aux marchés actions, risque <strong>de</strong> taux, risque <strong>de</strong> change, risque lié à l’investissement dans certains OPCVM ; Risques liésà l’utilisation <strong>de</strong> produits dérivés.) figure dans le prospectus complet <strong>de</strong> l’OPCVM. Le prospectus simplifié et l’ensemble <strong>de</strong> la documentation juridique du fondsMultiFlex Emerging sont tenus à votre disposition sur simple <strong>de</strong>man<strong>de</strong> et sur notre site internet. Le label «Qualitra<strong>de</strong>» n’est pas une notation <strong>de</strong> marché et n’est pasassimilable à une recommandation d’acheter, <strong>de</strong> vendre ou <strong>de</strong> détenir <strong>de</strong>s parts <strong>de</strong> MultiFlex Emerging.www.edrim.frtechniques <strong>de</strong> placementComment choisir<strong>de</strong>s valeurs<strong>de</strong> ren<strong>de</strong>ment ?<strong>Les</strong> divi<strong>de</strong>n<strong>de</strong>s ont la cote, mais mieux vautmaîtriser les bons ratios pour faire son choixparmi les entreprises qui en versent.Auteur :Romain DionFonction :Rédacteur en chef,Le Revenu1Le consensusdu divi<strong>de</strong>n<strong>de</strong>Avant toute chose, il convient <strong>de</strong>s’assurer que le divi<strong>de</strong>n<strong>de</strong> anticipépar les analystes l’an prochain eststable ou en hausse (lire lesjournaux financiers comme LeRevenu, ou consulter le consensus<strong>de</strong>s analystes sur Internet). Ce quiimporte n’est pas le ren<strong>de</strong>menthistorique, mais le futurren<strong>de</strong>ment. Ensuite, il faut vérifierla récurrence <strong>de</strong>s flux <strong>de</strong> trésorerie.Enfin, l’analyse <strong>de</strong> la <strong>de</strong>tte est unautre élément important pourévaluer la pérennité du divi<strong>de</strong>n<strong>de</strong>et la solidité du bilan. Elle se faitvia un ratio professionnel quirapporte le montant <strong>de</strong> la <strong>de</strong>ttenette sur l’excé<strong>de</strong>nt brutd’exploitation (ou EBE). En résumé,pour limiter la prise <strong>de</strong> risques, si<strong>vous</strong> achetez une valeur à grosdivi<strong>de</strong>n<strong>de</strong>, il faut que la <strong>de</strong>ttenette rapportée à l’EBE soitinférieure à 3, un ratio quiindique que la société maîtrisesa <strong>de</strong>tte. En valeur absolue, une<strong>de</strong>tte peut être très importante,pourvu qu’il y ait <strong>de</strong>s cash flowstout aussi conséquents en face…2<strong>Les</strong> taux <strong>de</strong>distributionIl faut ensuite s’assurer que cequ’on appelle le payout ratio, outaux <strong>de</strong> distribution <strong>de</strong>sbénéfices (la masse <strong>de</strong>sdivi<strong>de</strong>n<strong>de</strong>s versés divisée par lebénéfice net), soit inférieur à80 % (c’est en tout cas la valeurque nous utilisons au Revenu…).L’entreprise doit donc distribueren 2011 moins <strong>de</strong> 80 % <strong>de</strong>srésultats réalisés en 2010.Quand <strong>vous</strong> avez pris tout cela encompte, il faut, <strong>de</strong> façon générale,<strong>vous</strong> méfier <strong>de</strong>s ren<strong>de</strong>mentssupérieurs à 7 %. La raison étantque, si le marché accepte unren<strong>de</strong>ment <strong>de</strong> 7 %, cela signifie qu’ilanticipe que la société ne sera pascapable <strong>de</strong> maintenir son divi<strong>de</strong>n<strong>de</strong>dans la durée. En effet, <strong>plus</strong> leren<strong>de</strong>ment est supérieur au tauxobligataire, moins le marché croit àcette pérennité du ren<strong>de</strong>ment. Biensûr, le marché peut se tromper,mais <strong>plus</strong> le ren<strong>de</strong>ment est élevé,<strong>plus</strong> il faut se méfier.3<strong>Les</strong> ratios<strong>de</strong> valorisationEnfin, il faut regar<strong>de</strong>r les ratios <strong>de</strong>valorisation, parce qu’il n’y a pasque le ren<strong>de</strong>ment. Vous n’achetezpas une action uniquement pour sonren<strong>de</strong>ment, il faut donc faireattention à ne pas la payer tropcher. Nous utilisons là <strong>de</strong>s ratioscomme la valeur d’entreprise (lacapitalisation boursière + la <strong>de</strong>tte)rapportée au résultat opérationnel(VE / EBIT (1) ). Nous estimons que ceratio doit être inférieur à 8. Pourfinir, nous complétons l’étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> lavaleur par une analyse graphique,afin <strong>de</strong> l’acheter au bon moment.(1) eBIT (Earnings Before interest and Taxou bénéfice avant déduction <strong>de</strong>s intérêts et<strong>de</strong> l’impôt sur les bénéfices) : il correspondau résultat opérationnel et il est quasimentéquivalent au résultat d’exploitation dans lesystème comptable français.Retrouvez l’interview complète et <strong>de</strong>s recommandations sur lesmeilleures valeurs <strong>de</strong> ren<strong>de</strong>ment sur notre site www.cortalconsors.fr,rubrique Vous accompagner > Nos communications > Plus d’interviews.> couleurs épargne n°18 octobre 2010 > page 17


Analyse techniqueinfos <strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong>Le « Time Scaling »,pour jonglerentre les tendancesPour bien suivre les tendances, il estintéressant d’étudier l’évolution <strong>de</strong>s coursà travers différentes temporalités, unetechnique appelée Time Scaling.Auteur :Rémy GaussensFonction :Responsable <strong>de</strong>l’analyse technique,Trading CentralEn Analyse Technique, on peut seheurter à la difficulté <strong>de</strong>déterminer l’horizon d’uninvestissement et la temporalitédu graphique qu’il faut y associer.Cela tient au fait que le marchéest un lieu d’échanges entredifférents horizonsd’investissement, entre le« scalper » (investisseur trèsactif qui joue sur les variations <strong>de</strong>titres), qui restera en positionquelques secon<strong>de</strong>s, etl’investisseur <strong>de</strong> long terme, quirestera en position <strong>de</strong>s années. Lepremier regar<strong>de</strong>ra un graphiqueen minutes, alors que le secondpourra se focaliser sur ungraphique mensuel. Par ailleurs, àchaque graphique, on prendraEn partenariatavec Trading centralsoin d’associer les indicateursayant la portée prédictiveadaptée. En effet, un croisement<strong>de</strong> moyenne mobile à 20 et 50jours sur un graphique journalierne donnera que peu d’indicationssur la tendance à trois jours,alors qu’une formation enchan<strong>de</strong>lier japonais sur le mêmegraphique sera bien <strong>plus</strong>pertinente.1Portée prédictiveoptimaleD’abord, on cherchera latemporalité optimale et onsupposera qu’un graphique a uneportée prédictive optimalecomprise entre 5 et 20 fois sapério<strong>de</strong>. Ainsi, un graphiquejournalier permet d’effectuer <strong>de</strong>sprévisions optimales allant d’unesemaine à un mois.Dans un <strong>de</strong>uxième temps, il estnécessaire <strong>de</strong> faire un tri pourtenter <strong>de</strong> classer les outilstechniques en fonction <strong>de</strong> leurportée prédictive. Par souci <strong>de</strong>simplification, nous ne ferons ladistinction qu’entre <strong>de</strong>ux horizonsprédictifs : court terme (environcinq pério<strong>de</strong>s) et moyen terme(environ 20 pério<strong>de</strong>s). Dans lacatégorie <strong>de</strong>s outils <strong>de</strong> courtterme, on trouvera principalementles chan<strong>de</strong>liers japonais, lesvolumes, le RSI... Dans celle <strong>de</strong>soutils <strong>de</strong> moyen terme, on trouverales figures chartistes, lesmoyennes mobiles et leur dérivé,le MACD. Une fois cette distinctioneffectuée, il reste à déterminer sonhorizon d’investissement et à ymarier le bon couple : temporalitédu graphique (60 minutes,journalier, hebdomadaire…) avecles outils techniques les <strong>plus</strong>adaptés (ayant la portée prédictiveoptimale).2Investir à horizond’une semaine ou <strong>de</strong>quatre moisPar exemple, pour effectuer uneanalyse visant à investir à unesemaine, on utilisera un graphiquejournalier (ayant une portéeprédictive optimale comprise entre5 et 20 fois sa pério<strong>de</strong>) et onmettra l’accent sur les signaux <strong>de</strong><strong>plus</strong> court terme (chan<strong>de</strong>lier, RSI,etc.). Si l’on cherche à investir àtrois ou quatre mois, on utiliseraun graphique hebdomadaire et onprivilégiera <strong>de</strong>s indicateurs <strong>de</strong>moyen terme (moyenne mobile,MACD). Une fois que l’on maîtriseces outils, on peut alors réaliserune analyse sur un mois etoptimiser son point d’entrée eneffectuant sur le même graphiqueune analyse sur une semaine pourentrer en position au momentoptimal, en bénéficiant <strong>de</strong>stendances à court terme pour sepositionner à moyen terme.Innovation mobileToute la Bourse en directsur votre iPhone !Découvrez l’AppliBourse, 1 re application <strong>de</strong> Trading mobile en streaming, offerte par <strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong>.Pour <strong>vous</strong> permettre <strong>de</strong> passer vos ordresen temps réel et en mobilité, nous avonslancé en juillet <strong>de</strong>rnier la premièreapplication iPhone <strong>de</strong> Trading disponiblegratuitement dans l’Apple Store.Il s’agit d’une innovation majeure, quipropose pour la première fois le passaged’ordres en direct et la cotation enstreaming et en temps réel : <strong>plus</strong> besoin<strong>de</strong> rafraîchir la page pour bénéficier <strong>de</strong>s<strong>de</strong>rniers cours sur les valeurs <strong>de</strong> NYSEEuronext et Tra<strong>de</strong>gate !Cette application offre un grand confortd’utilisation. En effet, comme l’a indiquéBenoît Gommard, Directeur Général <strong>de</strong><strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong> France, « les pages <strong>de</strong>notre application sont 200 fois <strong>plus</strong> légèresPlusd’infosAuteur :Lucile MatheFonction :Marketing Tra<strong>de</strong>rs,<strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong> Francequ’un site Internet adapté à l’iPhone. Ainsi,l’AppliBourse se révèle <strong>plus</strong> rapi<strong>de</strong> et <strong>plus</strong>fiable, notamment dans <strong>de</strong>s situations oùla couverture est perturbée ».Depuis son lancement, l’AppliBourserencontre un vif succès auprès <strong>de</strong>s a<strong>de</strong>ptes<strong>de</strong> la Bourse. Nous continuons donc àl’améliorer et à l’enrichir <strong>de</strong> <strong>nouvelles</strong>fonctionnalités. Dès la fin <strong>de</strong> l’année 2010,Découvrez <strong>plus</strong> en détails les possibilités offertes parl’application iPhone gratuite <strong>de</strong> <strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong>.• la Bourse en streaming et en temps réel.• passez vos ordres et consultez vos comptes.• créez vos listes perso, et bien <strong>plus</strong> encore…Ren<strong>de</strong>z-<strong>vous</strong> sur www.cortalconsors.fr, rubriqueNotre Offre > Bourse > Outils > Application iPhone.<strong>vous</strong> pourrez ainsi effectuer vos virements,passer <strong>de</strong>s ordres sur OPCVM et mêmeréaliser vos changements <strong>de</strong> prorogationpar défaut pour les positions au SRD !Le contenu « Infos & Marchés » évolueégalement : <strong>de</strong> <strong>nouvelles</strong> pages vontapparaître, notamment celles concernantles matières premières, les <strong>de</strong>vises, lesproduits dérivés, les fonds, les futures etles taux d’intérêts.La consultation détaillée <strong>de</strong>s comptes estjusqu’à présent accessible uniquementpour les Comptes Titres (Bourse etOPCVM), mais <strong>vous</strong> pourrez bientôtconsulter le détail <strong>de</strong>s mouvementsréalisés sur l’ensemble <strong>de</strong> vos comptes<strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong> (Livret €, Livret A, Livret<strong>de</strong> Développement Durable, Compte àTerme…).N’atten<strong>de</strong>z <strong>plus</strong>, téléchargez l’applicationgratuite <strong>de</strong> trading mobile !> page 18 > couleurs épargne> couleurs épargne n°18 octobre 2010 > page 19


infos <strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong>infos <strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong>Marchés émergentsUn certificat alliant dynamismeet garantie <strong>de</strong> capital<strong>Les</strong> pays émergents, qui se caractérisentpar une économie en forte croissance et unegran<strong>de</strong> capacité d’adaptation, <strong>de</strong>viennentune zone d’investissement incontournablemalgré un niveau <strong>de</strong> risque <strong>plus</strong> élevéqu’ailleurs.Dans ce contexte, Novi Mundi, un Certificat<strong>de</strong> maturité 5 ans in<strong>de</strong>xé à la performance<strong>de</strong> l’Indice SGI SLS Emerging 11 %, proposed’allier dynamisme <strong>de</strong>s marchés émergentset garantie du capital à échéance (1) .Cet indice, calculé et publié quotidiennementpar Dow Jones, est conçu <strong>de</strong> manière àtirer parti du potentiel <strong>de</strong> surperformance<strong>de</strong>s marchés émergents (à travers l’IndiceWISE Emerging) par rapport aux marchésdéveloppés (via l’Indice Dow Jones GlobalTitans). La meilleure Performance AnnuelleCapitalisée <strong>de</strong>puis le lancement est sécuriséeet reversée à l’échéance.Avant <strong>de</strong> souscrire à ce Certificat, ilconvient <strong>de</strong> lire attentivement son<strong>Les</strong> points forts <strong>de</strong> Novi Mundi :• une garantie intégrale du capital àl’échéance <strong>de</strong>s 5 ans (2) ;• une sécurité améliorée par un cliquetannuel sur la performance ;• un indice lié aux marchés émergents.prospectus d’émission (en particulier larubrique « Facteur <strong>de</strong> risque »), documentréglementaire disponible auprès <strong>de</strong> <strong>Cortal</strong><strong>Consors</strong> sur simple <strong>de</strong>man<strong>de</strong>.Votre Conseiller se tient à votre dispositionpour vérifier que Novi Mundi correspond àvotre profil et à vos objectifs.(1) Le capital garanti est le capital investi diminué <strong>de</strong>sfrais <strong>de</strong> souscription, hors fiscalité applicable.(2) Ce Certificat est construit dans la perspectived’un investissement jusqu’à la date d’échéance <strong>de</strong> lagarantie, le 28 décembre 2015. Il est donc recommandé<strong>de</strong> n’acheter ce Certificat que si <strong>vous</strong> avez l’intention<strong>de</strong> le conserver jusqu’à la date d’échéance. Si <strong>vous</strong> êtescontraint <strong>de</strong> le revendre avant cette date, le prix qui <strong>vous</strong>sera proposé sera fonction <strong>de</strong>s paramètres <strong>de</strong> marchéapplicables à la date <strong>de</strong> l’opération. Il pourra être trèsdifférent (inférieur ou supérieur) au montant résultant <strong>de</strong>la formule annoncée.Développement durableAvec 10:10, tous mobilisés contrele réchauffement climatiqueWebinairesNouveau <strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong> :les formations en ligne !Le 9 septembre <strong>de</strong>rnier, <strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong> alancé les « webinaires », <strong>de</strong>s formationsmultimédias et interactives, animées par<strong>de</strong>s spécialistes <strong>de</strong> la Bourse et <strong>de</strong> l’épargne,accessibles gratuitement.En participant à ces formations, <strong>vous</strong> pouvezparfaire vos connaissances sur <strong>de</strong>s sujetsd’actualité ou techniques, mais aussi <strong>vous</strong>informer en matière <strong>de</strong> placements et <strong>de</strong>stratégie. Pour accé<strong>de</strong>r à un webinaire, <strong>vous</strong><strong>de</strong>vez choisir le thème et <strong>vous</strong> inscrire enremplissant le formulaire en ligne.Une fois l’inscription validée, <strong>vous</strong> recevrezune confirmation par e-mail avec lesinformations nécessaires pour y prendrepart. Le planning <strong>de</strong>s webinaires et leformulaire d’inscription sont disponibles surAssurance viewww.cortalconsors.fr, rubriqueVous accompagner > Formation.Pour être tenu informé <strong>de</strong>s webinairesà venir et rejoindre <strong>de</strong> nombreuxparticipants, renseignez votre adressee-mail dans votre Espace Client,rubrique Mes comptes > Mon profil >Mes coordonnées.Une alternative intéressantepour votre contrat<strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong> s’est engagé dans lacampagne 10:10 <strong>de</strong> mobilisation contre leréchauffement climatique avec un objectif <strong>de</strong>réduction <strong>de</strong> 3 % <strong>de</strong> ses émissions <strong>de</strong> CO 2en2010. Parmi les principales actions mises enœuvre, nous sommes particulièrement fiers :• <strong>de</strong>s vélos électriques mis à la disposition<strong>de</strong>s collaborateurs ;• <strong>de</strong> l’alimentation bio proposée à partir <strong>de</strong>novembre dans le restaurant d’entreprise ;• <strong>de</strong> l’opération « Investir Utile VI ».Vous aussi, lancez-<strong>vous</strong> dans 10:10 !Grâce aux 317 clients qui ont participé àl’opération « Investir Utile VI », GoodPlanet areçu la somme <strong>de</strong> 39 490 €, qui soutiendra unprojet <strong>de</strong> gestion communautaire <strong>de</strong> forêtsau Sénégal. Neuf fonds ont été proposés avec<strong>de</strong>s droits d’entrée réduits à 0,5 %, abondéspar <strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong> et les sociétés <strong>de</strong> gestionpartenaires pour atteindre 2 % <strong>de</strong> la collectetotale. <strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong> et GoodPlanet,la Fondation <strong>de</strong> Yann Arthus-Bertrand,<strong>vous</strong> remercient <strong>de</strong> votre soutien.Pour en savoir <strong>plus</strong> :www.investissons-utile.frwww.1010.frLe gouvernement risque <strong>de</strong> modifier lafiscalité sur l’assurance vie. Dans cecontexte, notre offre Best € IV (1) présente<strong>plus</strong> que jamais une alternative intéressantepour votre contrat d’assurance vie ou <strong>de</strong>capitalisation, en cours ou à venir.Son principe est simple : <strong>vous</strong> investissez70 % au maximum sur le fonds en euros quiseront rémunérés à 3,65 % par an jusqu’àfin 2011 (2) . En 2012 et 2013, pour la partaffectée au fonds en euros, <strong>vous</strong> bénéficierezdu taux <strong>de</strong> ren<strong>de</strong>ment du fonds en eurosdéterminé par Cardif, ou <strong>de</strong> celui-ci majoréd’une contribution exceptionnelle maximale<strong>de</strong> 0,40 % (3) , si le taux <strong>de</strong> ren<strong>de</strong>ment net dufonds en euros est inférieur à la moyenne<strong>de</strong>s ren<strong>de</strong>ments nets constatés parmi cinqcontrats référents du marché.<strong>Les</strong> 30 % restants sont investis en unités <strong>de</strong>compte pour espérer dynamiser cette partie<strong>de</strong> votre investissement. Nos Conseillers<strong>vous</strong> orienteront, en fonction <strong>de</strong> votre profil,pour choisir parmi les fonds disponibles survotre contrat.Pour en savoir <strong>plus</strong> sur Best € IV, <strong>vous</strong> pouveztélécharger le bulletin <strong>de</strong> souscription surwww.cortalconsors.fr ou contactervotre Conseiller.(1) L’offre Best € IV est disponible jusqu’au 28/01/2011et peut être close à tout moment.(2) Taux <strong>de</strong> 3,65 % par an garanti jusqu’à fin 2011uniquement et sous conditions, conformément auxdispositions spéciales <strong>de</strong> l’offre.(3) Cette contribution exceptionnelle est versée au30 avril <strong>de</strong> l’année suivante selon les conditions stipuléesdans les dispositions spéciales <strong>de</strong> l’offre.> page 20 > couleurs épargne> couleurs épargne n°18 octobre 2010 > page 21


questions-réponseswww.cortalconsors.frEnvoyez vos questions à l’adresse suivante : <strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong>Courrier <strong>de</strong>s lecteurs – 24, rue <strong>de</strong>s Deux-Gares – 92855 Rueil-Malmaison Ce<strong>de</strong>x.Nicolas Blaizot,Directeur <strong>de</strong> la Centrale <strong>de</strong>s Sicav,<strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong> France<strong>Les</strong> fonds vertssont-ils performants ?Parmi les fonds« verts »proposés par<strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong>,une dizaine ont<strong>plus</strong> <strong>de</strong> cinq ans et unevingtaine, <strong>plus</strong> <strong>de</strong> troisans. Ils permettentd’investir sur lessecteurs <strong>de</strong> l’eau, lesénergies renouvelables,le recyclage <strong>de</strong>s déchetset les <strong>technologies</strong>propres, ou monosecteur.<strong>Les</strong> fonds utilisés dansles comparaisons ci<strong>de</strong>ssoussont tousrecommandés par <strong>Cortal</strong><strong>Consors</strong>. Sur trois ans,les fonds verts <strong>de</strong> notresélection battent <strong>de</strong>uxgrands indices. Ilsamortissent trèssensiblement la baisseet, <strong>de</strong>puis le début <strong>de</strong>l’année, sont presquepositifs, alors que lesindices DJ EuroStoxx 50,et MSCI Word sontsensiblement négatifs.Parmi les fondsrecommandés, les fondsverts se positionnentbien parmi les fondsclassiques.Sur cinq ans et sur troisans, à l’exception <strong>de</strong>CarmignacInvestissement, les fondsverts considérés sepositionnent <strong>de</strong>vant lesautres fonds retenus. Surcinq ans, seul PioneerGlobal Ecology est enretrait, mais il amorceune remontée.Comme le montrent cesrésultats, il estdésormais possibled’allier performance etresponsabilitéenvironnementale.Si investir reste unedémarche personnelle,elle peut se révéler utilepour les autres.<strong>Les</strong> performancespassées ne sont pas unindicateur fiable <strong>de</strong>sperformances futures.Au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong>s avantages fiscaux,qu’attendre d’un FCPI ou d’un FIp ?Frédéric FroumentyConseil Clientèle,<strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong> France<strong>Les</strong> FondsCommuns <strong>de</strong>Placement dansl’Innovation(FCPI) et lesFonds d’Investissement<strong>de</strong> Proximité (FIP) sont<strong>de</strong>s OPCVM <strong>de</strong> droitfrançais, agréés parl’Autorité <strong>de</strong>s MarchésFinanciers (AMF). Ilspermettent à <strong>de</strong>sparticuliers d’investirdans le capitalinvestissement: 60 % <strong>de</strong>l’actif collecté (minimumréglementaire) doiventêtre investis sur <strong>de</strong>spetites et moyennesentreprises (PME) àcaractère innovant etnon cotées. <strong>Les</strong> 40 %restants <strong>de</strong> l’actifcollecté sont confiés àune société <strong>de</strong> gestion<strong>de</strong> fonds, qui les placegénéralement en SICAVet FCP.Ces fonds sont risquéspar nature (1) et sontclassés dans la catégorie<strong>de</strong>s Fonds Communs <strong>de</strong>Placement à Risque,(FCPR). <strong>Les</strong> premiersmillésimes (1997-1999)ont été décevants,notamment en raison <strong>de</strong>l’éclatement <strong>de</strong> la bulleInternet. En pratique,lorsqu’on investit dansun FCPI ou un FIP, il fautêtre bien conscient qu’ils’agit d’uninvestissement quiengage sur le longterme (<strong>de</strong> huit à dixans). <strong>Les</strong> premièresannées sont peuconvaincantes, car ilfaut laisser augestionnaire le temps<strong>de</strong> trouver <strong>de</strong>s projets àfinancer, et la <strong>plus</strong>valueéventuelle (oupotentielle) ne peutapparaître qu’à la fin ducycle <strong>de</strong> vie du fonds,lorsque lesinvestissements sontconcrétisés (revente <strong>de</strong>sparts détenues par lasociété, par exemple).Nos Conseillers sont àvotre disposition pour<strong>vous</strong> orienter vers <strong>de</strong>ssolutions adaptées àvotre profil, vosobjectifs et votresituation financière.(1) Risque <strong>de</strong> perte en capital.<strong>Les</strong> performances passées nepréjugent pas <strong>de</strong>s résultatsfuturs et ne sont pas constantesdans le temps.Co<strong>de</strong> ISIN Libellé CatégoriePerf.2010*Perf.3 ans*Perf.5 ans*FR001014898FR0010341800LU040680314CarmignacInvestissementPalatine Or BleuParvestEnvironmentalOpportunitiesActionsInternationalesActionsEnvironnementActionsEnvironnement4,84 % 19,21 % 68,96 %-1,33 % -14,57 % n.a.-1,58 % -15,87 % n.a.LU011937217 Pioneer US Research Actions USA 6,43 % -16,95 % -6,81 %FR000000867 Fi<strong>de</strong>lity Europe Actions Europe 1,04 % -23,07 % -1,02 %LU027165613Pioneer Funds –Global EcologyActionsEnvironnement-2,89 % -28,52 % + 8,58 %MSCI World Indice Actions Mon<strong>de</strong> -0,45% -30,79% -9,55%EU0009658145 DJ EuroStoxx 50 Indice Actions Euro -12,58% -38,85% -20,42%* <strong>Les</strong> performances sont arrêtées au 23/08/2010 sauf le MSCI World au 31/08/2010.à quoi sert le questionnaireque je dois remplir ?La directiveeuropéenne2005/60/ce,dont lesexigences ontété renforcées en 2009,nous impose <strong>de</strong>sobligations en matière<strong>de</strong> lutte contre leblanchiment. Elle nousamène à <strong>vous</strong> poserquelques questions pourmieux <strong>vous</strong> connaître,mieux comprendre vosmotivations ou leverle doute sur lesconditions danslesquelles <strong>vous</strong> réalisezcertaines opérations(opération particulière,d’un montantinhabituellement élevéou qui paraît ne pasavoir <strong>de</strong> justificationéconomique).Pour nous permettre <strong>de</strong>vali<strong>de</strong>r leur cohérence,<strong>vous</strong> pouvez êtresollicité par votreConseiller ou sur notresite Internet pourremplir unquestionnaire qui portenotamment sur votreactivité professionnelleet vos revenus.Nous <strong>vous</strong> invitons à lecompléter dès à présentsur le sitewww.cortalconsors.fr,rubrique Mes Comptes> Mon profil > Monprofil financier, ou encontactant directementvotre Conseiller.<strong>Les</strong> données ainsicollectées sontconservées et protégéespar le secret bancaire,ce qui interdit leurdiffusion et garantit leurconfi<strong>de</strong>ntialité.Nuno Gomes,Conformité France,<strong>Cortal</strong> <strong>Consors</strong>> page 22 > couleurs épargne> couleurs épargne n°18 octobre 2010 > page 23

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